FR2494207A1 - Siege pour le transport d'enfant sur une bicyclette - Google Patents

Abstract

SIEGE POUR LE TRANSPORT D'ENFANT A BICYCLETTE OU ANALOGUE COMPRENANT UNE SELLE 70 AVEC DOSSIER 74 MONTE SUR UNE ARMATURE 10. CETTE ARMATURE 10 POSSEDE UN DISPOSITIF D'ACCROCHAGE AU GUIDON D'UNE BICYCLETTE A L'AIDE DE TROIS POINTS D'APPUI 45-35 ET 36 QUI PERMETTENT DE TENIR LA SELLE 70 EN PORTE-A-FAUX A L'ARRIERE DU GUIDON. DES REPOSE-PIEDS 57, 58 PROLONGENT VERS L'AVANT ET VERS LE BAS L'ARMATURE 10 ET UN DISPOSITIF DE BLOCAGE AMOVIBLE 60 EST DESTINE A EMPECHER LE BASCULEMENT DU SIEGE VERS L'AVANT. UNE CEINTURE DE SECURITE EST EGALEMENT PREVUE.

Description

La présente invention est relative à un siège pour le transport des enfants, notamment des jeunets enfants, sur une bicyclette, et d'une façon générale sur tous vésicules à deux roues y compris vélomoteurs et cyclomoteurs et touscty- pes de cycles ou analogues, auxquels il est expressément fait référence ci-après lorsqu'on utilise le terme de bicyclette.

On connaît des sièges adaptés à un tel usage qui sont constitués par un fauteuil propre à être monté sur un portepaquets à l'arrière de la bicyclette. Les sièges présentent l'inconvénient que l'enfant n'est pas sous le contrôle direct du cycliste et ne peut communiquer facilement avec lui.

En outre, la présence d'un poids supplémentaire à l'arrière du véhicule constitue un facteur de désVquilibre, notamment au moment de l'arrêt et du départ. Enfin, l'enfant est relativement exposé aux chocs et autres causes de blessure en cas d'accident.

Pour ces raisons, les sièges d'enfant montés à l'avant de la bicyclette sont souvent préférables. On contact de tels sièges que I'op monte sur la barre supérieure du cadre d'une bicyclette d'homme par une fixation à vis. Les dispositifs ont notamment l'inconvénient de ne pas s'adapter aux bicyclettes de dames.Dans un.autre dispositif de siège existant, destiné à être accroché au guidon de la bicyclette ou analogue, l'enfant est installé à l'arrière du guidon de la bicyclette entre les bras du cycliste, vélomotoriste ou similaire, dans une position où il est bien entouré et peut être plus facilement surveillé qu'à l'arrière du véhicule Cependant, ce dispositif n'offre pas une protection suffisante de l'enfant en cas de choc ou d'arrêt brutal et son dispositif d'accrochage est parfois instable, notamment lorsque l'entant remue. En outre, ce dispositif ne s'adapte pas parfaitement sur tous les modèles de guidons de bicyclettes existants.

L'invention permet de remédier à ces inconvénients.

Elle a pour objet un siège pour le transport d'un enfant sur une bicyclette ou analogue, comprenant une selle, une armature à laquelle est fixée cette selle, pourvue d'un dispositif d'accrochage amovible au guidon de la bicyclette de façon à monter cette selle horizontalement en porte-àfaux à l'arrière du guidon, une paire de repose-pieds reliés à cette armature, et un moyen de blocage propre a empecher le basculement vers l'avant de la selle autour du guidon.

Ce moyen peut être réalisé par un dispositif de butée amovible qui peut être mis en place après l'accrochage de l'armature du siège sur le guidon de façon à en empecher son retrait, et notamment à bloquer toute possibilité de rotation du siège sous l'effet d'un couple de basculement vers l'avant.

Cette butée peut avantageusement être réglable en position pour s'adapter à tous les modèles de bicyclette existants.

De préférence, la selle est prolongée à sa partie arrière par un dossier et un dispositif de ceinture ae sécurité relié à l'armature est prévu pour maintenir l'enfant sur ladite selle.

Ainsi le Jeune enfant installé dans le sicle, se trouve non seulement sous le contrôle visuel airect du cycliste et relativement protégé par ses bras mais il est maintenu à l'arrière et à l'avant respectivement par le dossier et la ceinture, et le siège lui-même ne risque pas d'être projeté à l'avant ou de se désolidariser de la bicyclette en cas de choc brutal. Un siège si on l'invention permet donc le transport à bicyclette de jeunes enfants dans de bonnes conditions de confort et de sécurité.

Selon un mode de réalisation du dispositif d'accrochage, celui-ci définit trois points d'appui pour l'armature sur le guidon, un point d'appui central propre à venir s'appliquer sur le dessus de la potence du guidon d'autant plus fortement que la charge appliquée sur la selle est plus élevée, et deux points d'appui latéraux propres à venir en appui sous le guidon de part et d'autre dudit point de la potence à l'avant du point d'appui central.On a constaté qu'il était possible, avec cette forme de réalisation, d'obtenir un dispositif d'ac- crochage qui s'adapte parfaitement à tous les modèles de guidons à potence existantso
Dans le cas de guidons sans potence, par exemple sur certains cyclomoteurs et vélomoteurs, on prévoît que le point d'appui central vienne s'appliquer sur un adaptateurisur une partie d'guidon spécial conformé à cet effet, ou sur une pièce intermédiaire.

Avantagzasement, la hauteur du point d'appui central est réglable de façon à ajuster l'norizontalité de la selle.

Selon une caracteristique supplementaire avantageuse, on réalise les repose-pieds du siège de façon repiiable par rapport à l'armature ou sous une forme amovible L'emballage du siège s'en trouve facilité
D'autres caractéristiques du siège selon l'invention apparattront à leur lecture de la description suivante d'un exemple de réalisation, faite en réference au dessin annexé, dans lequel :
- la figure 1 est une vue en perspective d'un siège selon l'invention;
- La figure 2 est une vue de dessus du siège sans les repose-pieds
- la figure 3 est une vue en coupe longitudinale par un plan III-III de la figure 2 plan de symétrie du siège installé sur une bicyclette
- la figure 4 est une vue détaillée d'une partie de la figure 1.

Une armature 10 (figure 1) comprend une tige métallique 12 de forme généraIe en U dont les deux branches s'écartent davantage l'une de l'autre à leurs parties terminales 14 et 16. Les extrèmités respectives 15 et 17 des branches de la tige 12 sont soudées aux parties terminales 22 et a4 respectivement d'une pièce 20 en forme de cintre dans un plan sensiblement perpendiculaire au plan de la tige en U i2. Le cintre 20 est formé par une bande métallique repaisse courbée selon le profil convenable, la surface de cette bande étant perpendiculaire au plan du cintre.

L'armature comprend également une tige 25 qui, vue en plan (figure 2) a la forme d'un arceau dont le sommet 26 de la tige 12 est soudé à cette dernière aux poin-ts 28 et 29 à l'endroit ou les branches de la tige 12 s'écartent l'une de l'autre, de telle sorte que, dans cette vue, le profil des branches 31 et 32 de l'arceau 25 coïncide sensiblement avec celui des parties terminales 14 et 16 de la tige en U 12.

Vues de profil, (figure 1), les branches 31 et 32 de 1'arceau 25 sont légèrement recourbées pour s'écarter du plan de la tige 12 et sont soudées sur la face interne de la bande métallique constituant le cintre 20 en deux points de jonction respectifs 33 et 34. lies extr & ités libres 35 et 36 de l'arceau 25 se prolongent au-delà du cintre 20 en formant un angle légèrement aigu par rapport au plan de ce dernier.

Au sommet renforcé 39 du cintre 20 est ménage un trou taraudé dont l'axe est dans le plan du cintre 20, dans lequel est engagé une tige filetée 40 pourvue à ssp extrémité supérieure d'un bouton de ianoeuvre 42 et à son ex-tremité inferieure d'une pièce 44. Cette pièce 44 possède un fond 45 monte libre à rotation à l'extr'nité de la tige filetée 39 entre les bras du cintre 20, Deux bras 46 et 47 prolongent le fond 45 de part et d'autre de l'axe de la tige 40. La pièce 44 peut ainsi être avancée ou reculée à l'intérieur du cintre 20 par action sur la tige filetée 40.

A chacune des parties terminales 22 et 24 du cintre 20 est soudée une bague 50, respectivement 51, sur la face ex térieure de la bande métallique constituant ce cintre légè remuent au dessus de l'extrémité 15, respectivement 17. Dans cette bague est engagée, de façon amovible, l'extrémité libre d'un crochet en forme de U 53, respectivement 54, à l'ex -trêmité supérieure d2une tige métallique 55, respectivement 56, les extr8mités inférieures des tiges 55 et 56 sont pliées à angle droit en sens opposés pour former des segments respectifs 57 et 58 constituant des repose-pieds dont les extrt- mités sont recouvertes de capuchons de protection 59.L'orientation et la longueur des tiges 55 et 56 sont déterminées de façon telle que les segmentes 57 et 58 soient horizontaux, en position d'utilisation, perpendiculairement au plan de symétrie du siège et consti-buent un support à distance confortable pour les pieds d'un enfant destine à être transporté sur le siège.

Les tiges 55 et 56 sont démontables pour le transport et l'emballage du siège dans un encombrement réduit.

lies bagues 50 et 51 sont inclinées par rapport au plan du cintre 20 de façon à conférer aux tiges de liaison 55 et 56 l'inclinaison souhaitable en avant du plan du cintre. Comme l'illustre la figure 4, l'extrémité libre du crochet 53 peut être engagée à la partie supérieure de la bague 50 respective, et enfoncée vers le bas jusqu'à ce que le fond du
U du crochet vienne en butée dans la position représentée à la figure 1, sur le bord supérieur de la bague 50.Pour améliorer la rigidité du montage, la portion de tige 55 qui se trouve à la base de ce crochet sur l1autre branche du U vient buter vers l'avant dans une encoignure ménagée par un pan soulevé à l'extrêmité de la oande metallique constituant le cintre 20, et l'extrêmité 15 de la tige 12 à laquelle elle est soudée sur sa face interne. Le montage de la tige 76 est analogue. Ainsi, les tiges 55 et 56 de support des reposepieds sont calées sur l'armature 10, grâce, d'une part, aux bagues 50 et 51 et, d'autre part, aux pans 61 et 62 à la base du cintre 20.

Une tige de butée avant 60 est articulée autour de la tige 56 au moyen d'un anneau 64 formé å une de ses extrêmités. Elle comporte un crochet 65 à son autre extrémité propre à venir s'accrocher autour de la tige 55 dans une position symétrique de celle de l'articulation 64 dans la position de montage représentée sur la figure 1. La longueur de la tige 60 est légèrement inférieure à l'intervalle au repos entre les tiges 55 et 56 de telle sorte qu'il faille exercer un certain effort de rapprochement élastique des tiges 55 et 56 pour positionner le crochet dans la position représentée, la tendance des branches 55 et 56 à s'écarter l'une de l'au- tre pour reprendre leurs positions normales permettant de maintenir la tige 60 en place.

Une selle monobloc 70 est fixée à la partie postérieure de la tige 12. Elle présente une surface de siège antérieure 72 destinée à être installée en position horizontale, et prolongée par un dossier 74 sensiblement perpendiculaire à la surface 72 à l'arrière de cette dernière. lia face inférieure 76 de la selle 70 est pourvue d'une saignée dans laquelle est logée la tige 12 (Figure 4). Des pattes de maintien 75 vissées dans le corps de selle 70 permettent de maintenir la tige 12 calée au fond de la rainure pratiquée sur la face inférieure 76. On réalise ainsi une fixation solide de cette selle 70 sur l'armature 10, la longueur de la tige 12 étant telle que ltextremité arrondie 13 du U vienne sensiblement à l'aplomb du dossier 74.

La selle peut être réalisée en un plastique moulé par exemple ou en tout autre matériau convenable. Selle peut comprendre une suspension ou un matériau de rembourrage. bien entendu, elle peut également être réalisée en plusieurs parties, notamment un siège et un dossier distincts. sans ce dernier cas, la forme de l'armature 10 est adapte à la fi xation de ces différentes parties dans leurs posi-4ions respectives.

lies éléments constitutifs de l'armature 10 sont réalisés à l'aide de tiges et bandes métalliques en acier plastifiées après soudure dans le présent exemple. Bien entendu, ils pourraient être réalisés a laide d'autres éléments de forme convenable, en tout ou en partie, et en tous autres matériaux appropriés et par tous autres moyens d'assemblage y compris par des rêalisations monoblocstelles que celles obtenues par fonderie ou injection.

Le siège décrit en référence aux figures I et 2 est représenté à la figure 3 en position d'utilisation sur une bì- cyclette 100 dont on a représenté la partie avant du cadre 102 avec son fût de guidon 104 dans lequel est montée à sa partie supérieure la tige de guidon 106. La tige 106 est retenue dans le fut 104 à l'aide d'une bague de vissage molletée 108. A la partie supérieure du guidon, une potence 110 sensiblement perpendiculaire à la direction de la tige 106 monte, grâce à un collier de serrage 112, le guidon 114 proprement dit, à l'avant de la tige 106, selon une construction
traditionnelle de ce genre d'équipement. Sur la figure 3 on voit encore la branche gauche 116 du guidon 114 munie d'une poignée 118 à son extrémité.

L'armature 10 est accrochée sur ce guidon grâce à trois points d'appui. Un point d'appui central est ménage au fond 45 de la pièce fourchue 44 à la base de la tige filetée 40.

Quand la pièce 45 s'appuie en un point à la partie supérieure de la potence 110, les deux bras 46 et 47 de la fourche 44 sont calés latéralement de part et d'autre de la potence 110 pour empeAcher tout mouvement de cette pièce perpendiculairement au plan de symétrie de la bicyclette.

Un point d'appui 120 est constitué par le contact entre ltextrêmité 36 de la branche 72 (figures 2 et 3) de l'arceau 25 et la partie inférieure du guidon 120 d'un côté du collier 112, tandis qu'un point d'appui analogue non visible sur la figure 3 est constitué par le contact entre l'extrgmité 35 du bras 31 de l'arceau 25 et un point à la partie inférieure du guidon du côté opposé du collier 112.

Ainsi, l'armature 10 est en contact avec le guidon par trois points d'appui qui encaissent les efforts exercés par le poids de la selle 70 et de l'enfant qu'elle supporte en porte à faux à l'arrière du guidon 114.

Le niveau du point d'appui de la pièce 45 peut être réglé en agissant sur le bouton 42 au sommet de la tige filetée 40 de façon à rendre la tige 12 sensiblement horizontale. L'inclinaison des extrêmités 35 et 36 des branches par rapport au plan de l'arceau 20 permet d'assurer un bon calage du dispositif d'accrochage sur toutes sortes de guidons.

La longueur de ces branches est déterminée de façon à leur permettre de s'adapter à des potences 110 plus ou moins longues selon les types de guidons. En outre, l'intervalle entre ces branches est suffisamment large pour assurer une bonne stabilité transversale au siège.

Les tiges 55 et 56 prolongent l'armature 10 vers le bas et vers l'avant afin de disposer les repose-pieds 57 et 58 dans une position permettant à l'enfant de poser ses pieds à l'avant du guidon. La tige 60, visible sur la figure 3 avec son anneau d'articulation 64, est représentée dans sa position d'accrochage. Elle passe à proximité immédiate d' une zône 125 à l'avant du fût de guidon 164 de telle sorte que si un couple de basculement est appliqué au siège 70 tendant à le faire tourner dans le sens des aiguilles d'une montre autour du guidon 114, cette barre 60 rentre en contact immédiat avec la zône 125 pour contrecarrer ce mouvement.

La tige 60 peut être facilement mise en place après l'installation sur le guidon du dispositif d'accrochage de telle sorte que, dans la position représente e figure 3, ce dernier ne puisse être retiré jusqu'à ce que l'on désengage le crochet 65 de la tige 55 (figure 1).

Une ceinture de sécurité constituée par exemple de lanières de matière plastique permet de maintenir l'enfant sur son siège et notamment de l'empêcher de se soulever de façon dangereuse. Cette ceinture comprend une lanière centrale 130 montée par une boucle 132 au sommet 26 de l'arceau 25 (figure 12).

A l'autre extrêmi-té de la lanière 130, une boucle 134 permet de recevoir une ceinture proprement dite 136 munie d'une boucle d'attache 138 et dont la longueur est suffisante pour permettre de ceinturer l'enfant en passant derrière le dossier 74 de la selle ,J0.

On dispose ainsi d'un siège d'enfant particulièrement pratique pour le transport à bicyclette dans de bonnes conditions de sécurité. L'enfant reste en effet constamment sous le contrôle du cycliste. il est protégé contre les risques déjection ou de basculement du siège. il est relativement à l'abri des collisions entre les bras du cycliste.

Claims (8)

REVEVICATIONS

1. Siège pour le transport d'un enfant sur un véhicule tel qu'une bicyclette ou analogue caractérisé en ce qu'il comprend une selle, une armature à laquelle est fixée cette selle, pourvue d'un dispositif d'accrochage amovible au guidon du véhicule de façon à monter la selle horizontalement en porte à faux à l'arrière dudit guidon, et un moyen de blocage propre à empêcher le basculement vers l'avant de la selle autour du guidon.

2. Siège selon la revendication 1, caractérisé en ce que ledit moyen de blocage comprend une butée amovible propre à venir s'appliquer contre la partie antérieure du guidon ou du cadre de la bicyclette ou analogue sous l'action d'un couple de basculement de la selle vers l'avant.

3. Siège selon la revendication 2, caractérisé en ce que la butée comprend une tige propre à relier deux points de l'armature lorsque le dispositif d'accrochage est en place sur le guidon.

4. Siège selon la revendication 3, caractérisé en ce que ladite tige est articulée à une extrémité sur une tige reliant un repose-pied à l'armature et propre à venir s'accrocher à son autre extrémité sur une tige reliant un autre repose-pied à ladite armature à l'avant du cadre de la bicyclette ou analogue.

5. Siège selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comprend des repose-pieds repliables et/ou amovibles par rapport à l'armature.

6. Siège selon la revendication 5, caractérisé en ce que chaque repose-pied est constitué par une extrémité pliée d'une tige dont l'autre extrêmité forme un crochet dont le bec est engagé à coulissement dans une bague solidaire de l'armature.

7. diège selon lune des revendications précédentes, caractérisé en ce que le dispositif d'accrochage définit un point d'appui central propre à venir s'appliquer sur le dessus de la potence du guidon ou d'un point de support similaire, sous l'effet du poids de la selle et de sa charge en porte à faux, et deux points d'appui latéraux propres à venir s'appli- quer sous le guidon de part et d'autre de la potence à l'avant du point d'appui central.

Sic'-ge selon la revendication 7, caracterisé en ce que le point d'appui central est ménagé au fond d'une pièce fourchue dont les branches sont propres à venir se caler de part et dl autre de la potence.

9. Siège selon l'une des revendications 7 ou 8, caractérisé en ce que le point d'appui central est monté à l'ex- treamité d'une tige filetée de hauteur réglable par rapport à l'armature pour régler l'horizontalité de la selle.

10. Siège selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que la elle est équipée d'un dossier et d'une ceinture d sécurité.