FR2489926A1 - Dispositif de suspension d'armoire - Google Patents

Abstract

L'INVENTION CONCERNE UN DISPOSITIF DE SUSPENSION D'ARMOIRE COMPORTANT UN CARTER 10 ET UNE PARTIE DE SUSPENSION 11. LA PARTIE DE SUSPENSION 11 EST AGENCEE COMME UN CROCHET 105 EN FORME DE Z ET EST MONTEE, POUR LE REGLAGE DE PROFONDEUR, PAR SA PREMIERE BRANCHE DE FACON A POUVOIR PIVOTER AUTOUR D'UN AXE VERTICAL DANS LE CARTER 10 DU DISPOSITIF DE SUSPENSION TOUT EN POUVANT SE DEPLACER VERTICALEMENT PAR TRANSLATION SUIVANT CET AXE; POUR LE REGLAGE DE LA PROFONDEUR DE LA PARTIE DE SUSPENSION 11, IL EST PREVU UNE CREMAILLERE 103 MOBILE HORIZONTALEMENT ET EN PRISE AVEC UNE DENTURE DE LA PREMIERE BRANCHE ET, POUR LE REGLAGE DE LA HAUTEUR DANS LA DIRECTION DE LA PARTIE DE SUSPENSION 11, LA PREMIERE SURFACE 106 D'UN COIN MOBILE 107 S'APPLIQUE CONTRE UNE SURFACE FRONTALE 108 DE LA PREMIERE BRANCHE TANDIS QUE LA SECONDE SURFACE 110 DUDIT COIN 107 S'APPLIQUE CONTRE UNE SURFACE INTERIEURE 109 DU CARTER. APPLICATION AU DOMAINE DU MEUBLE.

Description

La présente invention concerne un dispositif de suspension d'armoire comportant un carter fixé sur l'armoire et une partie de suspension fixée de façon réglable dans le carter en vue dtun réglage bidimensionnel d'une armoire suspendue par rapport à une barre montée sur un mur porteur de bâtiment ou d'un crochet de suspension, le carter du dispositif de suspension étant installé avec la partie de suspension dans le volume intercalaire existant en a rrière de la paroi arrière de l'armoire, décalée vers l'intérieur de celleci, tandis que les éléments de réglage en hauteur et en profondeur peuvent être manoeuvrés au travers d'ouvertures recouvrables existant dans cette paroi arrière.

Dans un dispositif de suspension connu de ce type, on a rencontré des inconvénients en ce que, lors du réglage de la profondeur, c'est-à-dire de l'es- pacement entre le mur de suspension et l'armoire, la hauteur de cette dernière est également modifiée et la fixation du carter du dispositif de suspension sur le côté intérieur de la paroi latérale d'armoire à l'aide de deux boulons séparés du carter et de vis à bois supplémentaires ne correspond pas encore complètement au mode rationnel de montage souhaité par un fabricant de meubles.

La présente invention a en conséquence pour but d'agencer le dispositif de suspension d'armoire de type connu de manière qu'un réglage de hauteur ne nodi- fie pas ltespacement pré-établi entre le mur et l'armoire suspendue et inversement de manière que, lors d'un réglage de profondeur, l'armoire conserve son re- glage de hauteur et puisse être montée encore plus rapidement sur le mur de suspension.

n partant du carter du dispositif de sus pension d'arr.loire du du type défini ci-dessus, on a résolu ce problème en ce que la partie de suspension est agencée comme un crochet en forme de Z et est montée dans sa position de travail de façon à pouvoir pivoter par sa première branche autour d'un axe vertical dans le carter de suspension tout en pouvant se déplacer verticalement par translation suivant cet axe, en ce que, pour produire le mouvement de pivotement de la partie de suspension, une crémaillère mobile horizontalement vient engrener dans une denture de la première branche et en ce que, pour le réglage de hauteur de la partie de suspension, la première surface d'un coin mobile vient s'appliquer contre une surface frontale de la premiere branche tandis que la seconde surface du coin vient s'appliquer contre une surface intérieure du carter.

Un avantage important de la présente invention consiste dans sa simplicité d'assemblage. Dans le carter pouvant être réalisé par moulage par injection, avantageusement à partir de zinc, ou bien en tôle emboutie, tous les moyens de réglage peuvent être montés sans rivetage, sans emmanchement et sans utilisation d'éléments additionnels de fixation et ils ne sont maintenus dans le carter que par leur action propre.

Un autre avantage consiste dans le mode simple de fixation sur le côté intérieur de la paroi latérale de l'armoire et en arrière de la paroi arrière du meuble.

Dans le dispositif de suspension connu, il était avantageux que le carter du dispositif de suspension dtarmoire puisse s'appliquer par son côté frontal supérieur contre la paroi supérieure d'armoire en vue de la transmission des charges. Dans le dispositif de suspension conforme à l'invention, cela n'est plus nécessaire car le dispositif de suspension peut être emmanché dans des trous borgnes par l'intermédiaire de deux tampons en forme de pot qui sont formés sur le carter. Lorsqu'unie vis à bois est enfoncée radialement dans le tampon, celui-ci est erlpêcllé de sortir de son logement.La charge est alors transmise de I'roire suspendue au dispositif de suspension exclusivement par l'intermédiaire de la surface périphérique du tampon emmanché (carter) de sorte qu'il est avantageux de choisir pour le tampon emmanché un diamètre aussi grand que possible tout en restant dans la gamme des trous normalisés dans le domaine de la fabrication des meubles.

Du fait que la distance entre ia face frontale arrière d meuble et la paroi arrière de meuble, placée légèrement en retrait, c'est-à-dire légèrement engagée dans le volume intérieur du meuble, est plus petite, dans la plupart des cas, que le diamètre du tampon de fixation, une partie seulement du trou borgne peut se trouver effectivement dans la paroi latérale. Le chant arrière de la paroi latérale coupe le trou borgne sous la forme d'une sécante. salement, la paroi arrière peut couper le trou borgne sur le côté opposé sous la forme d'une sécante mais, en fonction des conditions d'installé lation, cela ntest pas obligatoire.La surface périphérique restante du trou borgne suffit non seulement pour centrer le tampon de fixation mais elle est également plus que suffisante pour assurer la transmission néces saire des charges.

Le trou borgne servant à la fixation du dispositif de suspension d'armoire ou bien, lorsque cela est nécessaire, plusieurs trous borgnes ménagés perpendiculairement dans la paroi intérieure du meuble, procurent au fabricant de meubles l'avantage de pouvoir percer à l'aide de machines de perçage à broches multiples ces trous borgnes dans une seule opération avec la rangée de trous servant à la fixation réglable des plateaux intermédiaires, de sorte qu'il ntest plus nécessaire ensuite d'effectuer une opération séparée.

3autres avantages et caractéristiques de l'invention seront mis en évidence dans la suite de la description, donnée à titre d'exemple non limitatif, en référence aux dessins annexés dans lesquels
- la figure 1 est une coupe d'une armoire suspendue à un dispositif de suspension mis en place, cette figure montrant en coupe partielle le système de réglage de hauteur du dispositif de suspension d'armoire conforme à l'invention,
- la figure 2 est une vue en élévation de la face arrière de larmoire suspendue à un dispositif de suspension mis en place,
- la figure 3 est une coupe faite suivant la ligne III-III de la figure 2,
- la figure 4 est une coupe faite suivant la ligne IV-IV de la figure 2,
- la figure 5 est une vue en élévation du volume intérieur de l'armoire suspendue, la vue étant faite à partir de sa face avant,
- la figure 6 est une coupe faite suivant la ligne VI-VI de la figure 5,
- la figure 7 est une vue en plan de dessus de la figure 6
Le dispositif de suspension d'armoire conforme à l'invention se compose d'un carter ouvert dun ctté et qui est avantageusement réalisé par moulage de zinc ou par emboutissage profond d'une tAcle placier ; les trous de passage de deux vis de réglage 19 et 21 et de la vis de fixation 125 sont également réalisés au travers de la paroi arrière du carter, placée à l'opposé du côte avant ouvert, lors du moulage ou lors de itemboutissage à savoir dans ce dernier cas par poinçonnage. Ta profondeur du carter 10, considérée entre la face frontale de la partie ouverte et la paroi arrière du carter, est fonction de l'espacement minimal 37 entre le coté arrière 126 du dispositif de suspension et la paroi arrière 4 de l'ar- moire qui est placée en retrait vers l'intérieur. La hauteur du carter 10 du dispositif de suspension est définie en fonction des moyens se trouvant à ltintérieur du carter et servant au réglage de profondeur dans la direction 43, 44 et au réglage de hauteur dans la direction 41, 42.Sur la paroi 11S du carter du dispositif de suspension qui est tournée vers la paroi latérale 5 du meuble, il est prévu des moyens de fixation qui peuvent être emmanchés dans un trou borgne 12O ménagé sur la faceintérieurell9 de la paroi de meuble 5 et qui peuvent additionnellement être fixés par vis. Ces moyens de fixation peuvent entre agencés sous la forme de tampons 121 coudés à angle droit ou bien également sous la forme d'une partie ayant un profil de pot, la paroi du carter 1O du dispositif de suspension s'étendant sous la forme d'un cylindre en direction du côté de fixation.

Le côté frontal 123 peut, dans le mode de réalisation en forme de pot, être supprimé lorsque cela est admissible pour des raisons de résistance. Sur les figures 3 et 4, on a montré comment la vis de fixation 125 traverse le tampon d(embotement ou bien le pot dlemboStement 121 par ltintermédiaire d'un trou de traversée afin d'en- pêcher ainsi le carter du dispositif de suspension dl être éjecté du trou borgne 12O lorsque l'armoire est en charge. La charge exercée par l'armoire suspendue sur le dispositif de suspension est transmise par la surface supérieure arrondie 122 du tampon 121. La surface arrondie 122 prévue sur le côté opposé dudit tampon sert plus à son centrage.Du fait que le tampon d'emboîtement peut avoir le plus grand diamètre possible pour la transmission de la charge, toutenntay-ant cependant pas une largeur supérieure à celle du carter 1o, il est prévu qu'au moins le côté avant ouvert soit aplati et coupe la périphérie du tampon sous la forme d'une sécante. Dans le cas dtun très faible espacement 37, le côté arrière fermé du tampon dtemboîtement peut également comporter un méplat car le tampon dssemboîtement doit rejoindre le carter aussi bien sur le côté avant ouvert que sur le côté arrière fermé.Lorsqu'un tampon d'emboîtement 121 n'est pas suffisant pour la transmission de la charge, on peut former sur la paroi du carter du dispositif de suspension armoire un second tampon demboîtement de même grosseur ou également plus petit et lembofter dans la paroi latérale 5 de l'armoire suspendue.

Dans la zone avant et dans la zone arrière de l'armoire, il est prévu, sur la face intérieure119 des parois latérales 5, des rangées de trous orientées verticalement, lesdits trous étant espacés dlintervalles correspondant à ceux des trous 127 et servant à la fixation des supports de plateaux intercalaires afin de permettre un réglage de hauteur desdits supports en correspondanceavec les espacements prévus entre lesdits trous 127. Ces rangées de trous sont réalisées avec des machines de perçage à broches multiples, les trous 127 ayant des axes parallèlesà celuidu trou baEne 120.Il est par conséquent très avantageux que les rangées de trous décrites ci-dessus puissent etre réalisées en m8me temps que le trou borgne 120 en une seule opération à l'aide des machines de perçage prctcs à plusieurs broches, ce qui permet de supDri1er une opération supplémentaire de préparation pour la fixation du dispositif de suspension d armoire.

L'organe intermédaire existant entre le carter 1 du dispositif de suspension d'armoire et la barre de suspension 6 prévue sur le mur 1 est constitué par une partie de suspension 11 en forme de Z, dont la première branche 101 est orientée parallèlement à la seconde branche 102, la première branche 101 étant montée dans le carter 10 du dispositif de suspension de façon à pouvoir pivoter autour de l'axe central vertical et pouvant en outre être déplacée verticalement en translation suivant cet axe.Dans ce but, il est prévu sur la face frontal inférieure de la première branche 101 de la partie de suspension 11, en saillie et concentriquement par rapport à son axe longitudinal vertical, un tourillon 111 réalisé au moulage ou bien fixé par emmanchement et qui est monté radialement dans un trou 112 ménagé dans le fond 113 du carter tout en pouvant coulisser axialement. La surface frontale 108, opposée à ce tourillon 111, de la première branche 101 a une forme conique, le sommet 114 du cône étant placé sur la périphérie de la branche 101 qui a une section droite circulaire, de manière que la longueur maximale d e la face reliant le sommet 114 à la périphérie de la branche soit orientée en direction de la seconde branche 102 et que l'angle de cône soit identique dans toutes les directions.Par ce moyen, on obtient que, lors du pivotement de la partie de suspension 11, celle-ci ne change pas de hauteur car langue de cône ne varie pas lors de la rotation de la branche 101 par rapport à un coin s'appuyant contre la surface inclinée 108. Le mouvement de pivotement dela partie de suspension 11, et par conséquent la variation de l'espacement entre le mur et l'armoire suspendue, c'est-à-dire le réglage de l'armoire dans la direction 43, 44, sont réalisés en faisant tourner, à l'aide d'un tournevis engagé dans une ouverture recouvrable 35 existant dans la paroi arrière 4, une vis 19 dont la tige pénètre, au travers du carter 10 du dispositif de suspension, dans un trou taraudé dans un coin 107, qui peut lui-même se déplacer dans la direction longitudinale de la vis 19.Une première surface 106 du coin 107 vient s'appliquer, avec conjugaison de forces, contre la surface inclinée 108 de la première branche 101 tandis que la seconde surface 110 du coin 107 vient s'appuyer contre la surface intérieure 109 du carter.

Un déplacement du coin 107 dans un plan horizontal fait déplacer la partie de suspension dans la direction verticale 41 42 et assure ainsi un réglage de hauteur de l'armoire suspendue 2. La facefronta2einclinéeî0S de la première branche 101 peut également dtre agencée sous la forme d'un cône ou d'un tronc de ctne coaxial mais dans ce cas la course de réglage de hauteur est fortement diminuée. On peut augmenter sensiblement cette course de réglage de hauteur en faisant en sorte que le sommet 114 de la surface frontale conique 108 ne soit pas placé sur ltaxe de la première branche 101 mais dans le prolongement du plan correspondant à la périphérie de branche.

La surface frontale conique inclinée de la première branche est plus longue dans la plage de l'angle de réglage désiré, ctest-à-dire que la course de réglage est plus grande. Lorsque l'angle de pivotement de la partie de suspension 11 est égal au maximum à 900, il suffit d'utiliser la surface conique 108 qui peut, par décalage du centre du chine, titre agencée de façon à ne former qutune partie de toute la surface conique existant sur la première branche 101.

Un mouvement de pivotement de la partie de suspension 11 autour de l'axe longitudinal vertical de la première branche 101 est engendré en faisant tourner la vis de réglage de profondeur 21 à laide d'un outil.

La tige filetée de la vis de réglage 21 traverse le carter 110 du dispositif de suspension de façon à venir se visser dans un trou taraudé d ' une crémaillère mobile horizontalement et dont la denture 115 est en prise avec une denture longitudinale 10-; prévue dans la zone supérieure de la première branche 101 de la partie de suspension 11. On fonction du sens de rotation de la vis 21, la crémaillère est déplacée horizontale ment vers l'avant ou vers lgarriàre et elle fait pivoter, par transmission de ce mouvement alternatif, la denture extérieure 1e4 de la première branche 101 de façon qu'elle tourne dun angle qui, dans le cas normal, est au maximum égal à 900.La crémaillère 1o3, réalisée avec une section droite rectangulaire pour simplifier, est montée dans un évidement correspondant 116 du carter de façon à pouvoir se déplacer par translation axiale en étant ainsi maintenue en prise avec la denture 104 de la première branche 101. La manoeuvre de la vis de réglage de profondeur 21 s'effectue également, à partir du volume intérieur de armoire suspendue, au travers d'une ouverture 38 ménagée dans la paroi arrière 4. Après achèvement du réglage, les ouvertures 38 de manoeuvre de la vis de réglage de profondeur 21 et de la vis de réglage de hauteur 19 sont recouvertes à laide de couvercles 35 dont la couleur se différencie à peine de celle du meuble et qui ne sont par conséquent pratiquement pas visibles.

Le coin 107 servant au réglage de hauteur dans la direction 41, 42 est réalisé sous la forme d'une pièce massive ou bien sous la forme d'une pièce en tôle d'acier emboutie.La fonction de réglage de hauteur pourrait également être remplie à l'aide d'un coin simple, ctesb-à-dire une pièce comportant seulement une surface inclinée et une surface,placée à l'opposé de cette surface inclinée , parallèle à l'axe de vis.

Claims (10)

R. ';DICiTIes-S

1. Dispositif de suspension armoire comportant un carter fixé sur l'armoire et une partie de suspension fixée de façon réglable dans le carter en vue d'un réglage bidimensionnel d'une armoire suspendue par rapport à une barre montée sur un mur porteur de bâtiment, ou d'un crochet de suspension, le carter du dispositif de suspension étant installé avec la partie de suspension dans le volume intercalaire existant en arrière de la paroi arrière de armoire, décalée vers l'intérieur de celle-ci, tandis que les éléments de réglage en hauteur et en profondeur peuvent être manoeuvrés au travers d'ouvertures recouvrables existant dans cette paroi arrière, caractérisé en ce que la partie de suspension (11) est agencée comme un crochet (105) en forme de Z et est montée, pour le réglage de profondeur, par sa première branche (101) de façon a pouvoir pivoter autour d'un axe vertical dans le carter (10) du dispositif de suspension tout en pouvant se déplacer verticalement par translation suivant cet axe, en ce que, pour le réglage de la profondeur de la partie de suspension (11), il est prévu une crémaillère (103) mobile horizontalement et en prise avec une denture (loi) de la première branche (101), et en ce que, pour le réglage de la hauteur dans la direction (41, 42) de la partie de suspension (11), la première surface (îo6) dsun coin mobile (1e7) s'applique contre une surface frontale (108) de la première branche (îoî) tandis que la seconde surface (110) dudit coin (107) s'applique contre une surface intérieure (109) du carter.

2. Dispositif de suspension d'armoire selon la revendication 1, caractérisé en ce que la première branche (1e1) de la partie de suspension (11) colporte, en saillie par rapport à sa face frontale inférieure et concentriquement par rapport à son axe longitudinal vertical, un tourillon de montage (111) formé par moulage ou fixé par emmanchement et qui est engagé radia lement dans un trou (112) ménagé dans le fond (113) du carter tout en pouvant coulisser axialement.

3. Dispositif de suspension d'armoire selon l'une des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que la surface frontale supérieure (10S) de la première branche (ici) de la partie de suspension (11) est pourvue d'une forme conique, le sommet (114) du cône étant placé sur la périphérie de la branche (101) de section droite circulaire de manière que la longueur maximale de la face s'étendant du sommet (114) à la périphérie de branche soit orientée en direction de la seconde branche (102) et que langle de cône soit égal dans toutes les directions.

4. Dispositif de suspension d'armoire selon l'une quelconque des revendications 1-à 3, caractérisé en ce que la surface frontale supérieure (108) de la première branche (ici) est agencée en forme de cône ou de tronc de cône coaxial.

5. Dispositif de suspension d'armoire selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que la crémaillère (103), de section droite rectangulaire, comporte une denture placée sur une face longitudinale(115) et est montée, sur ses trois autres faces longitudinales de façon à pouvoir coulisser axialement dans un évidement correspondant (116) du carter et à être maintenue en prise avec la denture (1ou) de la première branche (ici).

6. Dispositif de suspension d'armoire selon lune quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce qutune vis de réglage de profondeur (21) traverse un trou ménagé dans la paroi du carter de dispositif de suspension (tic) qui est tournée vers la paroi arrière (4) de l'armoire et est vissée dans un trou taraudé (117) de la crémaillère (103).

7. Dispositif de suspension d'armoire selon lune quelconque des revendications t à 6, caractérisé en ce que le coin (107) est agence sous la forme d'un coin simple ou d'un coin double, en étant agencé sous forme d'une pièce massive ou bien en étant réalisé par poinçonnage et emboutissage de tôle.

S. Dispositif de suspension d'armoire selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce qutune vis de réglage de hauteur (19 passe par un trou Ménagé dans la paroi de la partie de suspension (10) qui est tournée vers la paroi arrière (4) de ltar- moire et est vissée dans un trou taraudé placé entre les surfaces de coin (106, 110).

9. Dispositif de suspension d'armoire selon l > une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que la dimension extérieure de section droite du tampon (121) correspond à la largeur du carter (10)du dispositif de suspension.

10. Dispositif de suspension armoire selon ltune quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce qu'il est prévu parallèlement au côté frontal (123) du tampon un trou (124) de passage d'une vis à bois (125).

11. Dispositif de suspension d'armoire selon llune quelconque des revendications 1 à 10, caractérisé en ce que le trou borgne (120) destiné à la mise en place du tampon (121) dans le volume intercalaire (37) existant entre la paroi arrière (8-) et le cSte frontal arrière (126) de l'armoire est percé perpendiculairement dans ha face intérieure(119) de la paroi latérale (5) de l'armoire, auquel cas, en fonction du volume intercalaire existant, la face frontale arrière d'armoire (126) et la paroi arrière d'armrire (4) coupent le trou borgne (120), plus ou moins, suivant une sécante.