FR2463441A1 - Appareil de commande a optimisation destine a etre utilise avec une machine consommant de l'energie - Google Patents
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Abstract
L'INVENTION CONCERNE UN INSTRUMENT D'ESSAIS ELECTRONIQUES FACILITANT L'ANALYSE DE LA REPONSE D'UNE MACHINE A DES PERTURBATIONS CYCLIQUES D'UN PARAMETRE DE COMMANDE DE CETTE MACHINE ET PERMETTANT DE REGLER CE PARAMETRE DE COMMANDE EN FONCTION DE LA REPONSE OBSERVEE, AFIN D'OPTIMISER LE FONCTIONNEMENT DE LA MACHINE. L'INSTRUMENT PERMET D'INTERVENIR MANUELLEMENT SUR LA FREQUENCE ET L'AMPLITUDE DE LA PERTURBATION, SUR L'IMPORTANCE DU DECENTREMENT, C'EST-A-DIRE LA DEVIATION DU POINT DE FONCTIONNEMENT REEL PAR RAPPORT AU POINT DE FONCTIONNEMENT OPTIMAL, ET SUR LES LIMITES SUPERIEURE ET INFERIEURE OPTIMAL, ET SUR LES LIMITES SUPERIEURE ET INFERIEURE ENTRE LESQUELLES UNE CORRECTION EST POSSIBLE. POUR EMPECHER TOUTE OSCILLATION DU PARAMETRE DE COMMANDE AUTOUR D'UN POINT DE FONCTIONNEMENT, L'INSTRUMENT COMPORTE UN CIRCUIT TAMPON. DOMAINE D'APPLICATION: OPTIMISATION DU RENDEMENT DE MOTEURS ET AUTRES MACHINES CONSOMMANT DE L'ENERGIE.
Description
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L'invention concerne un appareil d'optimisation des performances de machines ou de systèmes consommant de
l'énergie, et plus particulièrement un dispositif électro-
nique numérique perfectionné démontrant l'effet du dispo-
sitif d'optimisation sur les performances d'une machine en permettant une commande sélective et une intervention
manuelle sur le fonctionnement du dispositif.
Le docteur Paul H. Schweitzer a réalisé un certain nombre d'inventions concernant des dispositifs de
commande destinés à être utilisés avec des moteurs à combus-
tion interne ou d'autres types de systèmes consommant de l'énergie, dans lesquels un paramètre de commande donné, par exemple le rapport air/carburant, le réglage de l'allumage ou tout autre réglage, est perturbé, et l'effet qui en résulte sur le fonctionnement de la machine ou du système est mesuré afin de produire un signal de commande qui est ensuite utilisé pour ajuster la commande du paramètre d'une manière tendant à améliorer le fonctionnement du système. A cet égard, les brevets des Etats-Unis d'Amérique NI 3 142 967, NO 4 026 251 et NI 4 130 863 décrivent les principes de base
de la servocommande et diverses formes de réalisation s'éten-
dant du domaine de L'électromécanique au domaine de l'élec-
tronique numérique.
L'invention a trait au sujet décrit dans les brevets précités et elle concerne plus particulièrement un
instrument d'essai qui peut être associé à un système consom-
mateur d'énergie afin de permettre une commande manuelle et une intervention sur divers paramètres de travail de ce système et sur le mécanisme de commande proprement dit. A
titre d'exemple, l'invention sera décrite dans son applica-
tion à des moteurs à combustion interne, par exemple des moteurs d'automobile, étant cependant entendu que le principe d'optimisation utilisé s'applique également à d'autres
systèmes de consommation d'énergie très divers.
Pour démontrer l'efficacité de l'optimisation des performances d'un moteur par l'utilisation d'un principe de tremblements ou d'oscillations, l'invention a été conçue de manière à pouvoir être associée au circuit d'allumage d'un moteur à combustion interne et pour recevoir, à son entrée, des impulsions provenant des contacts du rupteur, ainsi que des impulsions provenant d'un transducteur et dont le nombre est proportionnel à la vitesse de rotation de l'arbre de sortie du moteur. La sortie du dispositif selon l'invention produit une impulsion d'allumage et le dispositif selon l'invention permet de régler l'instant d'apparition de cette impulsion d'allumage en avance ou en retard par rapport à la position de point mort haut, afin que le dispositif recherche continuellement un point correspondant à l'avance minimale
pour le meilleur couple de sortie, ce point étant désigné ci-
après IMBTN.
Comme décrit dans le brevet NO 4 130 863
précité, il est parfois souhaitable que le point de fonction-
nement d'un moteur soit autre que le point MBT. En parti-
culier, au point MBT, il apparaît que certains moteurs
cognent ou que les émissions de NOX peuvent être excessives.
Il peut donc être souhaitable d'introduire un degré prédéter-
miné de "décentrement" selon lequel le moteur fonctionne avec
un réglage différent du point MBT. L'appareil selon l'inven-
tion permet à la fois un réglage grossier et un réglage fin du décentrement, afin que l'effet global de ce dernier sur la
performance du moteur puisse être étudié.
Etant donné que le concept de fonctionnement de l'appareil d'optimisation repose sur des perturbations prédéterminées d'un paramètre de commande d'un mioteur, par exemple le réglage de l'allumage, la position du papillon de carburateur, etc., il est souhaitable de pouvoir ajuster sélectivement à la fois l'amplitude de la perturbation et sa fréquence. Dans l'instrument d'essai constituant la forme préférée de réalisation de l'invention, l'ingénieur ou le technicien peut, par l'utilisation de commutateurs pouvant
être actionnés à la main, régler ces paramètres de l'oscil-
lation ou perturbation.
Il est en outre apparu, dans l'analyse de certains types de moteurs, que la courbe de réponse du couplez ou de la vitesse de sortie en fonction du réglage de l'allumage est relativement plate et que, par conséquent, le point MÂ3T est mal défini. Le concept d'optimisation provoque de petites variations pas à pas du réglage d'un paramètre jusqu'à ce que d'autres variations dans le même sens provoquent une diminution du rendement. Dans le cas de co4.=rbes très plates, le point PMBT peut ne pas être détecté et les incréments répétés de correction peuvent amener le réglage dans une zone provoquant des ratés dans un cylindre adjacent. Pour éviter ce problème, le dispositif selon l'invention permet d'introduire dans le circuit électronique
une limite avant et une limite arrière telles que la correc-
tion ne peut être effectuée crue sur la distance comprise entre ces deux limites. Le positionnement exact de ces limites avant et arrière par rapport à un point de référence
peut également être choisi par l'opérateur.
Etant donné la nature du dispositif commandé (un moteur à combustion interne), des oscillations inévitables de
"bruit" peuvent soulever des problèmes concernant l'établis-
sement d'un facteur de correction pour le paramètre de
commande. Ainsi, un éléiment destiné à filtrer ces oscilla-
tions parasites peut etre utile. Le dispositif selon l'invention comporte un circuit, appelé "tapton numérique", dont la fonction est d'empêcher toute correction, positive ou
négative, jusqu'à ce qu'il se soit produit un nombre prédé-
terminé d'étapes successives de correction dans le même sens.
Ce nombre prédéterminé est établi au moyen des commutateurs
manuels du tampon numérique portés par l'instrument d'essai.
Une autre caractéristique s'avérant souhaitable dans un instrument de ce type est la caractéristique dite de correction d'étape manuelle. Des commutateurs permettent à l'opérateur, en les actionnant successivement, d'appliquer des corrections incrémentielles au paramètre de commande ou de réglage du moteur. En disposant d'un tableau d'affichage
numérique, l'opérateur peut suivre ou tracer les caracté-
ristiques des performances du moteur sous la commande de l'appareil d'optimisation en manipulant les commutateurs
manuels de correction de pas.
L'invention concerne donc un instrument d'essai
électronique perfectionné destiné à analyser les perfor-
mances d'une machine consommant de l'énergie sous la commande d'une servocommande du type à optimisation. L'instrument d'essai comporte un appareil permettant à un opérateur de commander ou de régler un grand nombre de conditions de fonctionnement. L'instrument d'essai électronique contrôle le fonctionnement d'un moteur à combustion interne dont le réglage de l'allumage est sous la commande d'un dispositif
d'asservissement recherchant un point de fonctionnement.
L'instrument d'essai comporte également un élément qui établit des limites supérieure et inférieure entre lesquelles
une correction automatique par asservissement est possible.
L'instrument selon l'invention comporte un dispositif destiné à minimiser le risque de mauvais fonctionnement dû à des bruits aléatoires ou à des instabilités. L'instrument d'essai selon l'invention, destiné à être utilisé avec un moteur à servocommande du type à optimisation, permet une intervention manuelle pas à pas facilitant l'observation des
variations des performances de la machine.
L'invention sera décrite plus en détail en regard des dessins annexés à titre d'exemple nullement limitatif et sur lesquels
la figure 1 est un schéma simplifié de l'instru-
mènt d'essai à optimisation selon l'invention; la f igure 2 est un diagramme des temps montrant la séquence des opérations effectuées par l'instrument selon l'invention; les figures 3a à 3d, disposées comme montré sur la figure 3, représentent le circuit logique de certains des modules montrés schématiquement sur la figure 1; les figures 4a et 4b, disposées comme montré sur la figure 4, représentent le circuit logique de certains autres modules montrés sur le schéma de la figure 1; les figures 5a à 5c, disposées comme montré sur
la figure-5, représentent le circuit logique des compteurs-
décompteurs, des tampons de correction et de la commande de correction montrés sur la figure 1; et les figures 6a à 6f, disposées comme montré sur la figure 6, représentent les circuits logiques de la commande de tremblement, des additionneurs, de l'élément de réglage d'allumage et des éléments de réglage des butées
avant et arrière montrés sur la figure 1.
Pour comprendre la conception générale et le mode de fonctionnement de l'instrument d'essai à optimisation selon l'invention, il convient tout d'abord de considérer le
schéma simplifié de la 3igure 1 après la description duquel
sera donnée une explication portant sur la réalisation parti-
culière du matériel ou des circuits utilisés dans les divers blocs fonctionnels indiqués dans ce schéma. De plus, il
convient de noter que l'invention peut être utilisée conjoin-
tement avec divers systèmes consommant de l'énergie mais que, pour expliquer son fonctionnement, elle sera décrite dans son application à un moteur à combustion interne. A cet égard, il est possible d'appliquer le dispositif d'optimisation à un certain nombre de paramètres de commande d'un tel moteur. Par exemple, la commande peut être maintenue sur la position du papillon du carburateur, sur le processus d'injection du carburant ou sur le réglage de l'allumage. L'invention sera décrite dans son application à ce dernier paramètre de commande.
La fonction principale du dispositif d'optimi-
sation est d'utiliser l'information provenant de transduc-
teurs associés au paramètre de commande ou de réglage du moteur et à l'arbre de sortie pour calculer continuellement un réglage optimal de l'impulsion d'allumage pour toutes les conditions de régime et de charge du moteur. L'invention est mise en oeuvre sous la forme d'un dispositif de commande à réaction numérique dans lequel est développé un signal d'erreur numérique représentatif du sens dans lequel le
réglage doit être modifié pour l'obtention d'un fonction-
nement optimal. Des perturbations ou des ajustements incrémentiels, appelés "tremblement" ou "oscillations" portent sur le réglage afin d'annuler continuellement ce signal d'erreur. Autrement dit, le signal d'erreur est développé au moyen d'un tremblement ou d'une oscillation suivant lequel de petites variations sont apportées au réglage, sur une base périodique, et la réponse du moteur à
ce tremblement du paramètre de commande est détectée.
Comme représenté sur le schéma simplifié de la figure 1, le dispositif 2 de réglage du système comprend un oscillateur et des circuits logiques qui constituent une horloge polyphasée utilisée pour commander le fonctionnement du système. Afin d'éviter une complexité indésirable du schéma de la figure 1, la manière suivant laquelle les signaux de réglage sont appliqués aux autres blocs de ce schéma n'est pas représentée en détail, mais elle deviendra
apparente avec la description détaillée du système. Dans tous
-les cas, des impulsions de synchronisation sont appliquées à un circuit 4 de sélection de la fréquence de tremblement, qui est un diviseur binaire à sélection, conçu pour diviser le signal de sortie du dispositif 2 de réglage afin d'établir une fréquence pouvant être choisie et à laquelle le compteur 6 d'intervalles de tremblement est incrémenté. Ce compteur 6 peut être un compteur binaire à quatorze bits et il est utilisé pour définir l'intervalle pendant lequel le réglage du moteur est avancé et retardé, ainsi que les intervalles pendant lesquels un compteur- décompteur 8 exécute un comptage
ou un décomptage.
A la fin de chaque intervalle de tremblement ou d'oscillations, un circuit 10 de commande de mise à jour de référence délivre les impulsions de réglage nécessaires pour transformer le s-ignal d'erreur ou de correction détecté en
une mise à jour du registre 12 de référence de base qui, lui-
même, commande le réglage du moteur.
Le circuit 14 de commande de comptage et de
décomptage détermine la fraction de l'intervalle de tremble-
ment pendant laquelle l'un ou l'autre de deux circuits 16 et 18 de coïncidence est validé pour permettre à des impulsions tachymétriques IT, provenant du transducteur du moteur, d'atteindre le compteur-décompteur 8 par l'intermédiaire du circuit 20 de synchronisation tachymétrique. Autrement dit, le circuit 14 de commande de comptage et de décomptage détermine la portion de l'intervalle de tremblement pendant laquelle le compteur 8 est incrémenté et décrémenté par les
impulsions tachymétriques.
Les divers modes de fonctionnement de l'instru-
ment d'essai à optimisation exigent un certain degré de souplesse pour le circuit 14 de commande de comptage et de décomptage. Un circuit 22 de sélection de mode détermine la manière selon laquelle les six bits de poids forts du compteur 6 d'intervalles de tremblement sont décodés. Il est possible de choisir plusieurs options de décodage dans le circuit 24 pour produire diverses relations de phase entre la séquence de comptagedécomptage et la séquence de tremblement d'avance et de retard. Il est apparu également souhaitable d'introduire un degré réglable d'asymétrie entre les phases
de comptage et de décompt'age dans le compteur 8. Cette asymé-
trie est appelée dans le présent mémoire "décentrement" et le circuit 26 peut faire fonctionner le système à un degré prédétermine d'avance ou de retard du point de fonctionnement dit MBT. Ce point MBT correspond à l'avance minimale du
calage pour produire le meilleur couple (couple maximal).
L'amplitude du décentrement est déterminée par décodage des huit bits de poids faible du compteur 6 d'intervalles de tremblement et par l'utilisation du signal de sortie de ce compteur pour conditionner le circuit 14 de commande de
comptage et de décomptage.
Le circuit 28 de synchronisation de contact détecte le flanc avant de chaque impulsion de contact IC et le place en synchronisation avec le réglage global du système. Le circuit 20 de synchronisation tachymétrique effectue la même fonction avec le flanc avant de chaque impulsion tachymétrique IT. Le signal de sortie du circuit 28 de synchronisation de contact est utilisé pour repositionner le compteur 30 de retard d'allumage et le circuit 32 de
synchronisation de comparaison.
Le signal de sortie du circuit 20 de synchroni-
sation tachymétrique est utilisé pour incrémenter ou décré-
menter le compteur-décompteur 8 sous l'action du circuit 14 de commande de comptace et de décomptage, pour incrémenter le compteur 30 de retard d'allumage et pour assurer le réglage
du circuit 34 de commande de la largeur de l'allumage.
Le fonctionnement de base de l'instrument d'essai à optimisation selon l'invention sera à présent
décrit en regard de la figure 1.
Chaque impulsion de contact constitue une référence de réglage ou de calage pour le système et reposi- tionne le compteur 30 de retard d'allumage. Chaque impulsion tachymétrique, qui représente l'unité de base de réglage du système, provoque une incrémentation du compteur 30 de retard d'allumage. Le circuit 36 de comparaison compare le signal de sortie du compteur 30 de retard d'allumage au signal de sortie d'un additionneur 38 de tremblement. Le signal de sortie de cet additionneur est une quantité qui peut être considérée comme étant le "compte de référence de tremblement ou d'oscillation". Lorsque le total atteint dans le compteur
30 est égal ou supérieur au compte de référence de tremble-
ment, le signal de sortie du comparateur 36 déclenche le circuit 32 de synchronisation de comparaison dont le signal de sortie déclenche, luimême, le circuit 34 de commande de la largeur d'allumage, afin de transmettre une impulsion d'allumage au moteur. La largeur de l'impulsion ainsi obtenue est déterminée par le total sélectionné par le circuit 40 de sélection de largeur. Autrement dit, lorsque le nombre
drimpulsions tachymétriques reçues est égal au total sélec-
tionné par le circuit 40 de sélection de largeur, l'impulsion
d'allumage est coupée.
En fonctionnement normal, le retard entre une impulsion de contact et une impulsion suivante d'allumage dépend donc du compte de référence de tremblement. Si, dans une condition anormale de fonctionnement, l'impulsion de comparaison manque, le circuit 32 de synchronisation de comparaison permet à l'impulsion suivante de contact de
déclencher l'impulsion d'allumage. Cette mesure de précau-
tion permet au moteur de continuer de tourner malgré un
niveau de performance inférieur au niveau optimal.
Le registre 12 de référence de base peut, par exemple, être un registre à huit bits conçu pour contenir un compte correspondant au retard optimal entre l'impulsion de contact et l'impulsion d'allumage. Lors de la mise en marche,
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le circuit 42 d'initialisation de référence agit de manière à charger dans le registre 12 de référence de base le nombre binaire 11000000 qui correspond au nombre décimal 192. Bien que cette valeur puisse ne pas être optimale, elle tombe dans la bande dynamique du dispositif de réaction et elle peut donc être réglée à la valeur optimale par l'intermédiaire du
dispositif d'asservissement.
Un circuit 44 de codage de correction code
l'ordre de correction au compte nécessaire. La manière parti-
culière selon laquelle les ordres de correction sont produits sera décrite ci-après. Il suffit à présent d'indiquer que dans le cas o le compte de référence est trop faible, un ordre de correction positive est produit et a pour effet de faire délivrer au circuit de codage de correction une valeur +1. Le signal de sortie de l'additionneur 46 de base à huit bits est donc la valeur emmagasinée dans le registre 12 de référence de base, incrémentée de +1, et ce compte est appliqué à l'entrée d'un circuit 48 de verrouillage à huit
bits par l'intermédiaire des conducteurs d'un câble 50.
A la fin de chaque cycle de tremblement, le circuit 10 de commande de mise à jour de la référence produit des impulsions de réglage ou de synchronisation qui bloquent dlabord la donnée provenant de l'additionneur 46 de base dans le circuit 48 de verrouillage à huit bits, puis bloquent cette donnée dans le registre 12 de référence de base. De cette manière, chaque cycle de tremblement produisant une correction positive provoque l'incrémentation d'une unité du
compte de référence de base contenu dans le registre 12.
D'une manière analogue, un ordre de correction négative a pour effet de faire produire au circuit 44 de
codage de correction un compte binaire de 11111110 corres-
pondant à une valeur -1. Chaque cycle de tremblement dans lequel une correction négative est produite provoque donc une diminution d'une unité du contenu du registre 12 de référence de base. Lorsque la valeur optimale du compte de référence est atteinte, aucune correction ne se produit et le signal de sortie du codeur 44 de correction est zéro, ce qui a pour effet de laisser inchanger le compte de référence contenu
dans le registre 12 de référence de base.
Pour continuer la description du fonctionnement
du système en regard du schéma de la figure 1, on peut indiquer qu'un circuit 52 de sélection d'amplitude de tremblement peut comprendre quatre commutateurs à bascule qui peuvent être ouverts et fermés sélectivement afin d'établir
un compte d'amplitude de tremblement compris entre 0 et 15.
Ce compte est transmis à un circuit 54 de codage de tremble-
ment. Le bit de poids fort du compteur 6 d'intervalles de tremblement, conjointement avec -les commutateurs 22 de sélection de mode, détermine si le tremblement est situé dans une phase d'avance ou de retard. Lorsque le tremblement est situé dans la phase de retard, le compte d'amplitude de tremblement provenant du circuit 52 est transmis par le codeur 54 de tremblement, sans modification, à l'additionneur 38 de tremblement. Par conséquent, le signal de sortie de l'additionneur 38 correspond au compte de référence de base
augmenté de l'amplitude de tremblement.
Lorsque le tremblement est dans la phase d'avance, le codeur 54 de tremblement réalise le complément du compte d'amplitude de tremblement tel qu'établi par les commutateurs 52 de sélection d'amplitude de tremblement. Dans ce cas, le signal de sortie de l'additionneur 38 de tremblement constitue le compte de référence de base diminué du compte d'amplitude de tremblement. A la fin de chaque intervalle de tremblement, l'état du compteur-décompteur 8 est détecté. Si, à cet instant, le compteur est à zéro, ceci indique que le nombre de comptages est égal au nombre de décomptage et que le réglage est donc établi à la valeur optimale souhaitée. Par conséquent, aucun signal de correction n'est produit. Cependant, si le compte résiduel restant dans le compteur 8 à la fin du cycle de tremblement est positif, ceci indique un excès de comptages et la nécessité d'une correction positive. Cette correction est
mémorisée dans un circuit tampon 58 de correction positive.
Le tampon 58 de correction positive exige qu'un nombre prédéterminé de corrections positives soient détectées les unes à la suite des autres sans correction
négative intermédiaire avant que de tels signaux de correc-
tion soient transmis au circuit 44 de codage de correction.
Le nombre est déterminé par les commutateurs de sélection du tampon de correction positive (non représentés sur la figure 1). D'une manière analogue, lorsqu'une correction négative est détectée, le tampon 58 de correction positive est repositionné. Le tampon 60 de correction négative doit également détecter un nombre particulier de signaux de correction négative provenant du compteur-décompteur 8 sans compte positif intermédiaire avant que Ces signaux de correction soient transmis au codeur 44 de correction, et ce nombre prédéterminé est egalemient établi au moyen d'un jeu de
commutateurs pouvant être actionnés à la main (non repré-
sentés). Un signal de correction positive repositionne le
tampon 60 de correction négative.
La forme de correction intermédiaire effectuée dans les tampons de correction et décrite ci-dessus a pour effet de supprimer les bruits résultant de fluctuations imperceptibles du fonctionnement du moteur et les erreurs de quantification introduites par la méthode de comptage numérique. Les signaux tamponnés de correction ainsi produits correspondent donc vraiment aux signaux de correction nécessaires pour optimiser de nouveau le compte de référence de base après un changement d'un paramètre de.commande du
moteur.
En plus du mode automatique de fonctionnement décrit ci-dessus, il est possible de modifier manuellement le compte de référence de base. A cet égard, des commutateurs (non représentés sur la figure 1), reliés au codeur 44 de
correction, peuvent être utilisés pour introduire manuel-
lement une correction par pas positifs ou une correction par
pas négatifs dans le codeur 44. Chaque fermeture de commu-
tateur a donc pour résultat une modification d'un compte dans le sens indiqué par le commutateur particulier actionné,
c'est-à-dire un pas positif ou un pas négatif.
Pendant certaines conditions transitoires anormales, il est possible que les corrections détectées soient invalides et modifient le compte de référence en l'éloignant de sa valeur optimale. De même que pour tous les dispositifs d'asservissement, le dispositif d'optimisation selon l'invention possède une bande dynamique spécifique sur laquelle la correction par réaction peut avoir lieu. Compte tenu de ce fait, le dispositif comprend également des circuits de limitation avant et arrière qui empêchent constamment le compte de référence de sortir de la bande dynamique et, par conséquent, qui permettent au dispositif d'optimisation de se rétablir après la disparition de ces conditions transitoires anormales. Le circuit 62 de sélection de la limite arrière comprend un groupe de huit commutateurs qui sont placés dans une position correspondant à la limite
supérieure souhaitée pour le compte de référence de base.
Cette valeur binaire est présentée a circuit de comparaison de la limite arrière, avec le compte de référence de base - provenant du registre 12. Lorsque le compte de référence de base est égal ou supérieur à la limite arrière établie par les commutateurs 62, une correction négative est introduite à force dans le circuit 44 de codage de correction. Etant donné que des corrections positive et négative simultanées s'annulent mutuellement, on s'assure que le compte de référence de base reste à la limite ou est décrémenté jusqu'à ce qu'il soit inférieur à la valeur de réglage de la limite arrière. Un circuit 66 de sélection de la limite avant et un circuit 68 de comparaison de la limite avant fonctionnent d'une manière analogue pour introduire à force une correction positive lorsque le compte de référence de base est égal ou
inférieur à la limite avant sélectionnée par le circuit 66.
L'organisation et le fonctionnement du système global ayant été décrits, les particularités des circuits assumant les diverses fonctions indiquées sur le schéma
simplifié de la figure 1 seront à présent considérées.
Sur la figure 1, l'impulsion d'allumage est indiquée en IA; les comptes sont indiqués en CO; les repositionnements en REP; l'avance en AV; le retard en RET; les étapes positives en POS et les étapes négatives en NEG. Comme montré sur le diagramme des temps de la figure 2 et sur le schéma logique de la figure 3a, la
synchronisation globale de l'instrument d'essai à optimisa-
tion provient d'un oscillateur 100 qui peut, par exemple, comprendre un circuit intégré associé à des composants extérieurs le faisant fonctionner à une fréquence d'environ 8,39 MHz. Le signal de sortie de l'oscillateur 100 est
tamponné par un inverseur 102 de manière à former des impul-
sions d'horloge C à la sortie de cet inverseur, ces p impulsions étant appliquées à l'entrée de comptage d'un compteur numérique 104 à plusieurs étages qui fonctionnent comme un diviseur de fréquence et qui établit des signaux spécifiques de synchronisation par l'intermédiaire d'un décodeur ou translateur 3-sur-8 (c'est-à-dire à trois entrées et huit sorties). Suivant la valeur binaire contenue dans le compteur 104, les huit lignes de sortie 5 à a 7 sont sollicitées les unes à la suite des autres et les signaux de sortie qui en résultent sont inversés par des inverseurs 108
de manière à constituer huit phases séparées de synchroni-
sation indiquées 0% à OH, respectivement. Les impulsions d'horloge <CP) et les huit signaux de phase sont montrés sur les lignes A à I du diagramme des temps.de la figure 2. Le signal de sortie de l'étage d'ordre le plusélevé du compteur 104, apparaissant sur un conducteur 110, et la fo.rme inversée de ce signal, apparaissant sur un conducteur 112, alternent lors des cycles successifs afin de former deux types de cycles de synchronisation. En particulier, lorsque le signal présent sur le conducteur 110 est à l'état haut, le système est considéré comme fonctionnant dans son cycle Y, alors que dans le cas ou ce signal est bas, celui présent sur le conducteur 112 est haut et définit le cycle Z, comme indiqué
par les formes d'ondes des lignes J et K de la figure 2.
Comme décrit plus en détail ci-après, des combinaisons logiques des signaux %A à OH et des signaux des cycles Y et Z sont utilisées pour commander le fonctionnement global de l'instrument. Le signal de sortie de l'étage d'ordre le plus élevé du diviseur de fréquence 104 est appliqué à la borne d'entrée de comptage d'un autre diviseur de fréquence 114 faisant -partie du circuit 4 de sélection de fréquence de tremblement indiqué sur la figure 1. Le diviseur de fréquence ou compteur 114 peut être considéré comme étant le compteur de fréquence de tremblement et les signaux de sortie de ses étages indépendants sont transmis par un commutateur 116 de fréquence de tremblement à la borne d'entrée de comptage CKA d'un autre compteur numérique 118 correspondant au compteur 6 d'intervalle de tremblement indiqué sur la figure 1. Par un positionnement sélectif du commutateur manuel 116 de fréquence de tremblement, il est possible d'obtenir en sortie du compteur 114 de fréquence de tremblement des impulsions à des fréquences de tremblement respectivement égales à 262 kHz, 131 kHz, 65,5 kHz et 32,8 kHz, ces impulsions étant
appliquées au compteur 118 d'intervalle de tremblement.
Les signaux de sortie des étages indépendants du compteur d'intervalle de tremblement ainsi que leurs formes inversées ou complémentées sont appliqués aux contacts de plusieurs commutateurs manuels unipolaires à deux directions faisant partie du circuit 26 de sélection de décentrement montré sur la figure 1. Comme représenté, en positionnant ces commutateurs, il est possible d'appliquer le signal de sortie du compteur d'intervalle de tremblement directement ou sous sa forme inversée à un translateur représenté globalement par la référence numérique 515 sur la figure 3d. Le commutateur 116 étant dans la position représentée, le. compteur 6 d'intervalle de tremblement, comprenant des compteurs 118 et 119 à circuits intégrés, reçoit des impulsions d'horloge d'une fréquence de 262 kHz, ce qui a pour résultat une
fréquence de tremblement de 16 Hz correspondant à un inter-
valle de tremblement de 62,5 millisecondes. Lorsque le commutateur 116 est placé dans d'autres positions, on obtient
des intervalles de tremblement de 125, 250 et 500 milli-
secondes, respectivement.
Les impulsions tachymétriques sont--des signaux provenant d'un transducteur qui est accouplé au moteur d'une manière telle que les impulsions de sortie soient produites à une fréquence proportionnelle à la vitesse de rotation de l'arbre du moteur. En général, dans une automobile, les impulsions tachymétriques peuvent être obtenues au moyen d'un 1 5 transducteur magnétique associé à une roue à encoches fixée à la- poulie de coritmande de l'alternateur. La relation numérique
exacte entre le régime du moteur et les impulsions tachymé-
triques n'est que secondaire, l'exigence importante ou principale étant que cette relation soit constante. La fonction du circuit de synchronisation tachymétrique montré sur la figure 3c est de convertir le flanc avant d'un signal tachymétrique en une impulsion de comptage unique et, en outre, de synchroniser cette impulsion de manière qu'elle apparaisse à un instant o le compte de référence de base
dans le système est stable. En particulier des signaux tachy-
métriques sont transmis par le transducteur du moteur (non représenté) à la ligne 120 et sont appliqués à une première entrée d'une porte ET 126 qui reçoit également des signaux de réglage provenant du circuit 2 de réglage du système. Le signal tachymétrique ST présent sur la ligne 120 est également transmis par un inverseur 128 à une première entrée d'une porte ET 131. La sortie de la porte 126 est reliée à une autre porte ET 132 dont la sortie est elle-même reliée à 0 la borne J d'une bascule 134 du type JK. La sortie de la porte ET 131 est reliée à la borne K d'une seconde bascule 136 du type JK dont la sortie Q complémentaire est reliée par un conducteur 138 à la seconde entrée de la porte ET 132. Une autre porte ET 140 est reliée à la borne K de la. bascule 134 et est montée de manière à recevoir un signal de réglage de phase D à l'une de ses entrées et le signal apparaissant à la sortie Q de la bascule 136 à son autre entrée. D'une manière à peu près analogue, une porte ET 142 est reliée par sa sortie à la borne J de la bascule 136 et une première entrée de cette porte est reliée à la sortie Q de la bascule 134. La seconde entrée de la porte ET 142 est reliée au circuit de réglage du système (phase C). En cours de fonctionnement, un signal tachymétrique à pente positive, présent sur la ligne , valide donc partiellement la porte ET 126 et invalide également la porte ET 131 par l'intermédiaire de l'inverseur 128. A la phase B du cycle Y, la porte ET 126 est totalement validée et, étant donné que la bascule 136 est repositionnée, la porte ET 132 est également validée. Par conséquent, lors
-de l'impulsion d'horloge suivante, la bascule 134 se posi-
tionne. A une phase C du cycle Y, la porte ET 142 est
validée, ce qui provoque le positionnement de la bascule 136.
Ensuite, lors d'une phase D du cycle Y, la porte ET 140 est validée de manière à provoquer le repositionnement de la bascule 134. La porte ET 132 empêche la bascule 134 de se
positionner de nouveau avant que la bascule 126 soit reposi-
tionnée. Ceci se produit lors d'une phase F du cycle Y, consécutive au flanc arrière du signal tachymétrique, ce qui valide la porte ET 131. L'effet de cette action est de faire apparaître une impulsion de comptage tachymétrique unique à la sortie de la porte ET 144 lors du cycle suivant Y, une
impulsion de phase B suivant le flanc avant du signal tachy-
métrique. Le circuit 28 de synchronisation de contact montré sur le schéma simplifié de la figure 1 peut être réalisé comme décrit ci-dessous en regard de la figure 4a. La fonction de ce circuit de synchronisation de contact est de convertir le flanc avant du signal de contact SC en une impulsion synchronisée unique pouvant être utilisée pour commander les compteurs d'allumage et la séquence globale d'allumage. Le circuit de synchronisationrde contact comprend des bascules 146 et 148, des portes 150, 152, 154 et 156 associées aux bornes d'entrée J et K de ces bascules, et une porte ET 158. Le signal provenant des contacts est appliqué à la porte ET 158 par un conducteur 160 et, lors d'une phase A du cycle Y, cette porte. 158 est validée de manière à appliquer un premier signal d'entrée à la porte ET 150 dont le second signal d'entrée provient de la sortie Q de la bascule 148 par un conducteur 162. Les portes 152, 154 et 156 sont partiellement validées par des signaux de réglage de
phase G, de phase B et de phase F, respectivement. Initia-
lement, les bascules 146 et 148 sont repositionnées. Le flanc avant d'un signal de contact présent sur la ligne 160 valide partiellement la porte ET 158 et invalide la porte ET 156 au moyen d'un inverseur 164. A une phase A du cycle Y, lorsque la porte ET 158 est validée, la porte ET 150 est également validée car la bascule 148 est alors repositionnée. Par conséquent, lors de l'impulsion d'horloge suivante, la bascule 146 se positionne. Lors d'une phase B du cycle Y, la porte ET 154 est validée, ce gui provoque le positionnement de la bascule 148 à l'arrivée de l'impulsion d'horloge suivante. Ensuite, lors d'une phase G du cycle Y, la porte ET 152 est validée, et la bascule 146 est donc repositionnée lors de l'arrivée de l'impulsion d'horloge suivante. Le circuit reste dans cet état jusqu'au flanc arrière du signal de contact après lequel la phase F suivante du cycle Y valide la portée ET 156, ce qui a pour effet de repositionner la bascule 148. Il en résulte alors l'apparition d'une impulsion unique à la sortie de la porte ET 166, cette impulsion
s'étendant de la phase C à la phase G du cycle Y. Cette impul-
sion est ajoutée à une impulsion de phase E pour former l'ordre de suppression de l'impulsion d'allumage à la sortie
de la porte ET 168.
Les circuits de synchronisation de comparaison sont également montrés sur la figure 4a et comprennent des bascules interconnectées 170 et 172 du type JK, ainsi que des portes ET associées 174, 176, 178 et 180. La fonction du circuit de synchronisation de comparaison est de déclencher une impulsion d'allumage pour chaque signal de comparaison, pourvu qu'il y ait eu un signal de contact intermédiaire en l'absence duquel ce circuit valide le signal de contact afin dé déclencher une impulsion d'allumage. Initialement, les bascules 146, 148, 170 et 172 sont dans leur état effacé ou repositionné. Lorsque la ligne 182 de comparaison passe au niveau haut, la porte ET 174 est partiellement validée et, à l'arrivée de la phase A suivante du signal de réglage, la porte ET 180 est validée, ce qui a pour effet de valider totalement la porte ET 174 et de provoquer un positionnement de la bascule 170 à l'arrivée de l'impulsion d'horloge
suivante CP provenant de la sortie de l'inverseur 102 repré-
senté sur la figure 3a. Ensuite, lors d'une phase C, la porte ET 176 est validée, ce qui a pour effet de positionner la bascule 172 qui, en raison du signal présent sur une ligne 184, inhibe la porte ET 174 par l'intermédiaire de la porte ET 180. Ceci permet à la bascule 170 d'être repositionnée lors d'une phase G de réglage du système. L'impulsion qui en résulte à la sortie Q de la bascule 170 est transmise par un conducteur 188 à un inverseur 186 et à une porte ET 190 afin d'incrémenter le compteur 192 de commande d'impulsions
d'allumage pour qu'il produise une impulsion d'allumage.
Les bascules 170 et 172 restent dans leurs états respectifs jusqu'à ce qu'un signal de contact SC apparaisse sur la ligne 160 et positionne la bascule 146. Lors de la phase F suivante provenant des circuits de réglage ou de synchronisation du système, la porte ET 178 est validée, de manière à repositionner la bascule 172. Dans ces conditions, la porte ET 166 (figure 4) est validée, la bascule 172 est positionnée et la porte ET 194 est donc invalidée. Du fait de ce montage des circuits logiques numériques, les impulsions d'allumage ne sont produites que lorsqu'une impulsion de comparaison est présente sur la ligne 182. Si, pour toute raison anormale, l'impulsion de comparaison manque, une seule impulsion d'allumage manque. A l'arrivée du signal de contact
suivant, la bascule 172 aura été repositionnée. Par consé-
quent, lorsque la porte ET 166 est validée, la porte ET 194 est également validée, ce qui a pour effet le déclenchement d'une impulsion d'allumage par le signal de contact et par
l'intermédiaire de l'inverseur 196 et de la porte NON-ET 190.
Comme mentionné précédemment dans la description
du schéma simplifié de la figure 1, le circuit de commande 10 de mise à jour de référence sert également à produire les signaux de réglage ou synchronisation nécessaires à la mise à jour du compteur de référence de base en fonction du compte restant dans le compteur-décompteur 8, ainsi qu'à effacer le
compteur-décompteur en préparation de l'intervalle d'échan-
tillonnage suivant. Cette synchronisation ou ce réglage dans le temps est déclenché par une transition du bit de poids fort du compteur 6 d'intervalle de tremblement. Comme montré
sur la figure 3b, le bit de poids fort du compteur d'inter-
valle de tremblement comprend la sortie QD du compteur 121 à circuit intégré, cette sortie étant reliée au p8le situé le
plus à gauche d'un commutateur manuel bipolaire à deux direc-
tions 198, par l'intermédiaire de conducteurs 200 et 204. Le complément de ce signal apparaît à la sortie d'un inverseur 206 qui est connecté au pôle situé le plus à droite du
commutateur manuel 198 par un conducteur 210 (figure 3d).
Le commutateur 198 étant dans la position montrée sur la figure 4a, la synchronisation ou le réglage est déclenché par la transition négative de l'étage QD du compteur 121, cette transition apparaissant à la fin du cycle de tremblement. Cette transition apparaît lors de la phase A du cycle Y. Initialement, des bascules 212 et 214 sont repositionnées. Lors de la phase A du cycle suivant Z, une porte ET 216 est validée, ce qui a pour effet de positionner la bascule 212 du type JG. Lors du signal de synchronisation de la phase C suivante, une porte ET 218 est totalement
validée, ce qui provoque le positionnement de la bascule 214.
Lors de la phase G, une porte ET 220 est validée de manière à
repositionner la bascule 212.
Le circuit de commande de mise à jour de référence reste dans cet état jusqu'à ce que la sortie QD du compteur 121 soit de nouveau positionnée, ce qui a pour effet de repositionner la bascule 214. Le repositionnement de la bascule 214 provoque l'apparition d'une impulsion unique à la sortie de la bascule 212, cette impulsion s'étendant de la phase B à la phase G du cycle Z. Ce signal de sortie est utilisé directement pour constituer l'ordre de validation de
l'additionneur, cet ordre étant appliqué à un conducteur 222.
Le signal est également ajouté à un signal de commande de synchronisation de phase B dans une porte 224 pour former l'impulsion de validation de verrouillage 1 sur un conducteur 226, et il est ajouté à un signal de synchronisation de phase D pour former l'impulsion de validation de verrouillage 2 sur un conducteur 228 constituant la sortie d'une porte 230. Le
signal de sortie de la borne Q de la bascule 212 est égale-
ment ajouté à un signal de synchronisation de phase E dans une porte 232 pour produire sur un conducteur 234 un ordre de "remise à zéro du compteur-décompteur" Si le commutateur 198 est placé dans son autre
position (différente de celle montrée), cette synchroni-
sation est déclenchée à la moitié du cycle de tremblement, lors de la transition positive du signal de sortie QD du
compteur 121 d'intervalle de tremblement.
Comme représenté sur la figure 3d, une bascule 236 du type JK commande normalement les intervalles de comptage et de décomptage du cycle de tremblement. La façon suivant laquelle ces intervalles sont commandés sera décrite plus en détail ci-après. Cependant, il convient de noter à présent que, lorsque la bascule 236 est positionnée, une
porte NON-ET 238 est validée par l'intermédiaire de portes.
NON-ET 240 et 242. Inversement, lorsque la bascule 236 est
repositionnée, une porte NON-ET 244 est validée par l'inter-
médiaire de portes NON-ET 246 et 248. Par conséquent, les -impulsions de comptage tachymétriques provenant de la sortie de la porte ET 144 apparaissent sur une ligne 250 ou sur une ligne 252 suivant que l'une ou l'autre des portes 238 et 244
est validée.
Comme représenté sur là figure 5a, le compteur-
décompteur 8 ou compteur progressif-régressif, comprend trois circuits intégrés de comptage 254, 256 et 258 à quatre
étages, disposés en cascade et formant ainsi un compteur-
décompteur à douze bits. L'ordre précité de "remise à zéro du compteurdécompteur" présent sur la ligne 234 (figure 4b) est transmis par un conducteur 260 afin de remettre à zéro le compteur-décompteur -8. Un commutateur manuel 262 étant dans là position représentée, des impulsions provenant de la ligne 250 montrée sur là figure 3c provoque une incrémentation du compteur, alors que des impulsions apparaissant sur une ligne 252 provoquent une décrémentation du compteur. Lorsque le commutateur 262 est déplacé vers la position opposée à celle représentée, ces fonctions sont inversées. Sur la figure 5a, ainsi que sur les autres figures, les flèches orientées vers le haut indiquent une incrémentat-ion et celles orientées vers le bas indiquent une décrémentation. Le compteurdécompteur 8 progresse pendant une partie de l'intervalle de tremblement
et est décrémenté pendant la partie restante de cet inter-
valle. A la fin de l'intervalle de tremblement, une porte ET 264 produit un signal représentatif de l'état du compte résiduel. En particulier, si le compte est négatif, la sortie QD du compteur 258 est à la valeur binaire. "un", ce qui provoque l'application d'une même valeur à l'entrée d'une porte ET 290. Si le compte à la fin du cycle de tremblement est 0, toutes les sorties du compteur-décompteur 8 sont à O et la sortie de la porte ET 264 est également à 0. Le compte résiduel est constamment maintenu à une valeur inférieure à la valeur décimale 15. Par conséquent, seuls les quatre bits inférieurs du compteur-decompteur 8 doivent être testés pour déterminer l'existence d'un compte positif. Par conséquent, comme montré sur la figure 5a, les sorties QA à QD du compteur 254 sont inversées par des inverseurs 268 et appliquées aux entrées d'une porte NON-ET 270 dont la sortie est reliée à la porte ET 264. Pour tout compte positif compris entre 1 et 15, au moins l'une des sorties du compteur 254 est un signal binaire "un" et, par conséquent, la sortie de la porte NONET 270 est également à l'état "un". En raison des conditions supposées, la sortie QD du compteur 258 est à zéro, ce qui a pour effet, après inversion par un inverseur 266, de faire apparaître une valeur "un" à la sortie de la
porte ET 264.
La sortie de la porte ET 264 constitue un signal
de correction brute, appliqué aux circuits tampons de correc-
tion 58 et 60 montrés sur la figure 1. Un compte positif provoque une incrémentation du compteur de référence de base, alors qu'un compte négatif provoque une décrémentation de ce compteur. En raison de la présence de bruits dans les signaux tachymétriques et de l'erreur de quantification introduite dans le processus du comptage, les signaux de correction présentent communément des fluctuations n'ayant
pas de sens, à savoir une correction positive suivie immédia-
tement d'une correction négative qui, elle-même, est suivie d'une autre correction positive, etc. Etant donné qu'il est indésirable que la correction soit sensible aux variations parasites, le circuit tampon de correction sert de filtre
numérique supprimant de telles variations. Plus particuliè-
rement, avant qu'une correction tamponnée positive soit émise, il faut au moins N correction positive consécutive sans correction négative intermédiaire. De même, le circuit tampon de correction négative exige N correction négative consécutive sans correction positive intermédiaire. La façon
* dont cette fonction est réalisée sera à présent décrite.
Dans le cas de corrections positives, la valeur de N peut être choisie entre 0 et 7 au moyen de commutateurs manuels 274, 276 et 278. De même, une valeur de N pour les
corrections négatives peut être choisie au moyen de commuta-
teurs 280, 282 et 284.
Des compteurs 286 et 288 comprennent chacun deux parties indépendantes, à savoir une partie A qui est une bascule bistable repositionnée par une impulsion appliquée à une entrée RA et basculée par-un signal appliqué à une borne CKA (horloge A). L'autre partie du compteur est conçue de manière à former un compteur à trois bits incrémenté par des signaux appliqués à l'entrée CKB et repositionné par une impulsion appliquée à une borne RB. Les signaux de sortie sont produits à des bornes QB à QD. Le compteur 286 constitue le tampon de correction positive et le compteur 288 constitue le tampon de correction négative. On considère d'abord le cas dans lequel le compteur 286 est repositionné alors que le
compteur 288 contient un compteur arbitraire. Si une correc-
tion positive brute a été détectée, le signal de validation de verrouillage 1 provenant de la ligne 226 (figure 4b) valide une porte ET 290, ce qui a pour effet de repositionner le compteur 288- par l'intermédiaire d'un inverseur 310 et d'une porte ET 312. Etant donné que la partie A du compteur 286 est repositionnée, une porte ET 300 est validée par le signal de sortie d'un inverseur 294, de manière que la partie B du compteur 286 soit incrémentée à un compte égal à 1. Les commutateurs 274, 276 et 278 sont représentés comme étant placés pour établir une valeur égale à 3. Dans ce cas, une porte ET 296 reste invalidée. Par conséquent, la partie A du
compteur 286 reste repositionnée et une ligne 298, transmet-
tant le signal complémentaire de correction - positive
tamponnée, reste au niveau "un". Si, à l'instant de l'impul-
sion suivante de verrouillage 1, la correction est toujours positive, le compteur 286 progresse jusqu'à un compte égal à 2. Une troisième correction positive brute fait avancer le
compteur à trois, ce qui valide la porte ET 296 qui posi-
tionne la partie A du compteur 286 et applique un signal complémentaire de correction positive tamponnée à la ligne 298, ce signal étant indiqué en SCPT. La porte ET 300 est à présent invalidée, ce qui bloque le compteur 286 dans l'état qu'il présente à cet instant et maintient un signal de correction positive tamponné jusqu'à ce qu'une impulsion de
correction négative brute soit détectée.
Cette détection valide une porte ET 302 et le signal de validation de verrouillage 1 est transmis à un inverseur 306 et à une porte ET 304 afin de repositionner les deux parties du compteur 286. Etant donné que la porte ET 292 est à présent validée, le compteur 288 commence à effectuer un comptage comme décrit précédemment. Si le nombre demandé de corrections négatives brutes apparaît sans correction positive brute intermédiaire, comme exigé par la position des commutateurs 280, 282 et 284, une porte ET 308 est validée, ce qui a pour effet de positionner la partie A du compteur 283 et de provoquer l'émission d'un signal complémentaire de
correction négative tamponnée SCNT sur une ligne 299.
Comme représenté sur la figure 5b, des inter-
rupteurs 314 et 316 à bouton-poussoir permettent de corriger à la main par incréments le compte de référence. Chaque fermeture de l'interrupteur 314 de pas positif provoque une incrémentation du compte de référence, alors que chaque fermeture de l'interrupteur 316 de pas négatif provoque une décrémentation du compte de référence. Initialement, des bascules 318 et 320 sont repositionnées et, par conséquent, des portes NON-ET 322 et 324 sont invalidées. Si l'un ou l'autre des interrupteurs 314 et 316 est fermé, la sortie de la porte NON-ET 326 passe au niveau haut, ce sui valide la porte ET 328 et applique un signal d'entrée "un" à la borne d'entrée J d'une bascule 318 du type JK. Une autre impulsion de validation d'additionneur apparaissant sur la ligne 222 (figure 4b) provoque le positionnement de la bascule 318 et la validation de l'une ou l'autre des portes NON-ET 322 et 324, suivant que l'un ou l'autre des interrupteurs 314 et 316 a été fermé. Etant donné que l'entrée J de la bascule 320 est à présent au niveau haut, le flanc avant de l'impulsion de verrouillage 2 apparaissant sur la ligne 223 positionne la bascule 320, ce qui a pour effet d'appliquer un signal t"un" à
l'entrée K de la bascule 318 et d'invalider une porte ET 328.
Ensuite, à l'arrivée de l'ordre suivant de validation d'addi-
tionneur, la bascule 318 se repositionne, ce qui valide les portes ET 322 et 324. Le circuit reste dans cet état jusqu'à ce que l'interrupteur soit de nouveau ouvert, ce qui fait passer au niveau haut la sortie d'un inverseur 330 et ce qui permet à la bascule 320 d'être repositionnée à l'arrivée de l'impulsion suivante de validation du verrouillage 2. Il apparaît donc que chaque fermeture de l'interrupteur de pas positif provoque la production d'une impulsion négative synchronisée unique par la porte 322 (pas positif),alors que chaque fermeture de l'interrupteur de pas négatif provoque l'apparition d'une impulsion analogue à la sortie de la porte
NON-ET 324 (pas négatif).
Les figures 6a à 6c représentent des plaquettes
de circuits intégrés 350, 352, 354 et 356 qui sont des addi-
tionneurs à quatre bits dont la sortie.S N est la somme des entrées respectives AN et BN. Les circuits 358 et 360 sont des comparateurs à circuits intégrés dont les termes de sortie A = B, A < B et A > B sont déterminés par les valeurs
relatives des entrées A et B Les circuits intégrés iden-
tifiés par les références numériques 362, 364, 366 et 368 sont des verrous à quatre bits qui détectent l'état des entrées D1-4 pendant un signal de validation et qui sont
ensuite verrouillés sur le flanc arrière du signal de valida-
tion. Les additionneurs 354 et 356 sont montés en cascade de manière à former un additionneur produisant un signal à huit bits. Les sorties des additionneurs combinés représentent le compte de référence-de base qui reste stable pendant la totalité d'un intervalle de tremblement. Lors du cycle final Z de l'intervalle de tremblement, ce compte de
référence est modifié suivant l'état du signal de correction.
Des signaux de correction peuvent être produits par des corrections tamponnées automatiques ou par des corrections de pas manuels comme décrit précédemment. De plus, comme décrit plus en détail ci-après, les signaux de correction peuvent également être produits par des signaux de limite avant ou de
limite arrière.
Comme représenté sur la figure 6b, il apparait que tout signal de correction positive a pour effet de faire passer au niveau haut la sortie d'une porte NON-ET 370, ce qui provoque le passage au niveau bas d'une porte NON-ET 372 et le passage au niveau haut de la sortie d'une porte NON-ET 374 qui applique alors un compte 00000001 aux entrées "A" de l'additionneur de référence de base constitué par les circuits intégrés 354 et 356. Toute correction négative fait passer au niveau haut la sortie d'une porte NON-ET 376 et au niveau bas la sortie d'une porte NON- ET 378. Par conséquent, la sortie de l'inverseur 380 devient haute, de même que la sortie de la porte NON-ET 374. Il en résulte l'application d'1un compte 1 11 1 11 11 à l'1entrée A du compteur de réf érence de base. L'entrée d'introduction C IN de l'additionneur 356 étant
à la masse, ceci correspond à une valeur de "moins un" <-1).
S'il se produit. simultanément une correction positive et une correction négative, les deux portes NON-ET 370 et 376 produisent des signaux de niveau haut, ce qui valide une porte NON-ET 382 servant à invalider les portes NON-ET 372 et 378. il en résulte un signal de sortie bas de l'inverseur 380 et de la porte NON-ET 374. Ceci provoque l'application de 111 à toutes les entrées A de l'additionneur 46 de référence de base. Le même résultat se produit en l'absence de corrections, car les portes NONET 372 et 378
sont également invalidées dans cette condition.
On considère initialement le cas selon lequel la valeur de correction est zéro. Dans cette condition, les
sorties de l'additionneur de référence de base sont identi-
ques aux comptes mémorisés dans le registre de référence de base qui est cônst-itué par 'Les verrous 364 et 366. Le flanc avant de l'impulsion de validation d'additionneur apparais-
sant sur la ligne 222 figure 4b) valide des portes ET 384 à 398, ce qui applique la sortie de l'additionneur de référence de base aux entrées du circuit de verrouillage à huit bits constitué par les verrous 362 et 368. Le flanc arrière de l'impulsion de validation de verrouillage 1 mémorise ce compte dans le verrou et l'applique alors à l'entrée du
registre de référence de base. Le flanc arrière de l'impul-
sion de validation de verrouillage 2 mémorise le compte dans ce registre dont les sorties sont appliquées aux entrées B de l'additionneur 46 de référence de base constitué par les
plaquettes à circuits intégrés 354 et 356.
Il convient de noter que cette forme de double tamponnement, décrite cidessus et réalisée entre le verrou et le registre de référence de base, est nécessaire, car l'état des entrées B des additionneurs affecte immédiatement l'état des sorties des additionneurs. Etant donné que les entrées A de l'additionneur sont à la valeur "o0, la somme des sorties est égale à la valeur des entrées B et, dans cette condition, le compte de référence de base reste inchangé. Si une correction positive se produit, la sortie de l'additionneur prend la valeur du compte de référence de base augmentée d'une unité. La valeur est mémorisée dans les verrous 364 et 366 constituant le registre de référence c= base, lors de l'apparition de l'impulsion de validation de verrouillage 2. La valeur qui en résulte à la sortie de
l'additionneur correspond alors au compte de référence précé-
dent, augmenté de +2, car le compte de référence de base a été incrémenté et l'entrée A de l'additionneur est encore à la valeur "plus un" (+1). Si, lors du cycle suivant de
correction, la correction est "0", les sorties des addition-
neurs sont égales au compte de référence de base actuel.
D'une manière analogue, un signal de correction négative
provoque une décrémentation du compte de référence de base.
Les additionneurs 350 et 352 sont montés en cascade de manière à former l'additionneur de tremblement 38
à huit bits montré sur le schéma simplifié de la figure 1.
Cet additionneur de tremblement effectue la somme du signal de sortie de l'additionneur de référence de base et du signal de sortie du circuit d'amplitude de tremblement. La manière
dont cette somme est réalisée sera à présent décrite.
Des lignes 400 et 402 déterminent le signe du tremblement. Ces lignes sont connectées par l'intermédiaire d'un commutateur manuel 404, appelé commutateur d'inversion de phase du tremblement, au bit de poids fort du compteur 6 d'intervalle de tremblement montré sur la figure 3b. Ce montage permet d'inverser la relation entre le signe du tremblement et la phase de l'intervalle de tremblement. Des commutateurs 406 à 412 constituent les commutateurs 52 d'amplitude de tremblement représentés schématiquement sur la figure I. Ces commutateurs 406 à 412, lorsqu'ils sont dans les positions montrées sur la figure 6a, définissent un compte d'amplitude de tremblement égal à 0. La réponse du circuit de tremblement à cette condition sera à présent décriteo Au moment o la ligne 400 reçoit un signal haut, des portes NON-ET 414 à 420 restent invalidées, car leurs autres entrées sont toutes connectées à la masse par l'intermédiaire des commutateurs 406 à 412 d'amplitude de tremblement. A ce moment, des portes NON-ET 422 à 428 sont également invalidées car la ligne 402 est au niveau bas. Par conséquent, des portes NON-ET 430 à 436 sont toutes complètement validées, ce qui fait apparaître un compte 0000 à la sortie du circu': d'amplitude de tremblement, ce compte étant appliqué aux entrées A inférieures de l'additionneur de tremblement. Etant donné que la ligne 400 est au niveau bas, les entrées A supérieures de l'additionneur de tremblement sont également à la valeur 0000. A présent, lorsque le bit de poids fort du compteur d'intervalle de tremblement change, le signal présent sur la ligne 400 passe au niveau bas, alors que celui présent sur la ligne 402 passe au niveau haut, ce qui a pour effet de valider les portes NON-ET 422 à 428 dont les autres entrées sont connectées à une borne de tension +V par l'intermédiaire des commutateurs 406 à 412 d'amplitude de tremblement. Ceci invalide les portes NON-ET 430 à 436, ce qui fait apparaître un compte 1111 à la sortie du circuit
d'amplitude de tremblement.
La ligne 400 porte également un signal d'intro-
duction pour l'additionneur 352 et elle introduit également à force un compte 1111 dans les entrées A supérieures de
l'additionneur de tremblement. Les sorties de cet addition-
neur de tremblement constituent le compte à huit bits qui représente le compte de référence de tremblement. Ce compte est la somme du compte de référence de base appliquée à l'entrée B de l'additionneur de tremblement et du compte de
tremblement appliqué aux entrées A de ce même additionneur.
Dans la séquence décrite ci-dessus, une phase du cycle de tremblement présente un compte constitué uniquement de zéro à l'additionneur de tremblement, et, par conséquent, les sorties de l'additionneur sont identiques au compte de référence de base. Dans l'autre partie du cycle de tremble- ment, un compte constitué uniquement de "un", ainsi qu'un signal d'introduction, sont appliqués à l'additionneur de
tremblement. Ceci constitue un zéro négatif et, par consé-
quent, le compte de référence de base apparaît à la sortie de
l'additionneur de tremblement.
Si les positions des commutateurs 406 à 41-2 sont modifiées, les signaux de sortie des portes correspondantes 430 à 436 sont complémentés. Par exemple, si le commutateur 408 est déplacé par rapport à la position représentée, la première phase de tremblement a pour effet de produire un compte 00000100 qui ajoute un compte égal à 4 au compte de référence de base. Lors de l'autre cycle de tremblement, le compte d'amplitude de tremblement est 11111011 ou, en d'autres termes, le complément du compte précédent. Etant donné que l'addition du complément d'un nombre à un signal d'introduction équivaut à une soustraction, le signal de
sortie qui en résulte est le compte de référence de base -4.
De cette manière, les commutateurs d'amplitude de tremblement peuvent être placés pour provoquer lin tremblement centré sur une valeur de référence de base pouvant s'élever jusqu'à
comptes.
Les plaquettes 438 et 440 de comptage à circuits
intégrés constituent le compteur 30 de retard ou de tempori-
sation d!allumage représenté schématiquement sur la figure 1.
Ce compteur est repositionné par un ordre d'effacement de retard d'allumage apparaissant à la sortie de la porte ET 168 (figure 4b) à chaque fois qu'une impulsion de contact est détectée. Le compteur de retard d'allumage est incrémenté par les impulsions de comptage tachymétrique apparaissant à la sortie de laXporte ET 144 (figure 3c) à chaque fois qu'une impulsion tachymétrique est détectée. Des comparateurs 358 et 360 sont montés en cascade pour former un comparateur à huit bits qui compare les comptes différents de tremblement appliqués aux entrées A au compte de retard d'allumage appliqué aux entrées B. Si ce compte atteint une valeur égale au compte de référence de tremblement, la sortie A = B du comparateur 358 fait passer au niveau haut la ligne 441 de comparaison par l'intermédiaire d'un inverseur 444 et d'une porte NON-ET 446. Lorsque le compteur 438-440 de retard d'allumage continue de s'incrémenter et que les entrées B
deviennent supérieures aux entrées A provenant de l'addi-
tionneur de tremblement, la ligne 441 de comparaison est maintenue à un niveau haut par l'intermédiaire d'un inverseur 448 et de la porte NON-ET 446. Comme décrit précédemment, ce
signal est utilisé pour déclencher la séquence d'allumage.
L'effet de cette opération est d'établir une relation de temps selon laquelle l'intervalle entre un signal de contact et le signal d'allumage qui en résulte est défini par un nombre spécifique d'impulsions tachymétriques, ce nombre étant déterminé par la valeur du compte de référence de
tremblement. Au début de la mise en marche, il est souhai-
table que le dispositif d'optimisation soit initialisé à un compte de référence situé dans une bande de travail lui convenant. Ceci est réalisé par des portes ET 450 et 451
montées entre les verrous 362 et 364, de même que des inver-
seurs 452 et 453 qui produisent les commandes de validation des portes 450 et 451. Initialement, un condensateur 454 est déchargé, ce qui invalide les portes ET 450 et 451 et introduit à force un compte de référence minimal de 11000000 dans le verrou. Lorsque le condensateur 454 se charge à travers une résistance 456, la sortie de l'inverseur 452 passe au niveau haut et la sortie des portes ET 450 et 451
transmet les données d'entrée, directement et sans modifica-
tion. Des circuits intégrés 458 et 460 constituent des comparateurs séparés qui sont montés en cascade de manière à former un comparateur à huit bits dont la fonction est de comparer la valeur du compte de référence de base appliqué aux entrées A à la valeur du compte de limite arrière appliqué aux entrées B, ce dernier compte étant établi par des commutateurs manuels représentés dans le cadre 462 en t46344 1 trait pointillé. Ainsi, les commutateurs 462 correspondent'au
circuit 62 de sélection de la limite arrière montré schéma-
tiquement sur la figure 1.
D'une manière analogue, des circuits intégrés 464 et 466 sont montés en cascade de manière à former un comparateur à huit bits qui compare le compte de référence de
base à la valeur de la limite avant déterminée par le posi-
tionnement de commutateurs manuels représentés dans le cadre 468 en trait pointillé. Ces commutateurs correspondent donc
au circuit 66 de sélection de la limite avant montré schéma-
tiquement sur la figure 1.
La fonction des circuits décrits ci-dessus est de maintenir le compte de référence de base afin qu'il soit inférieur à un maximum établi par le réglage de la limite arrière et supérieur à un minimum déterminé par le réglage des commutateurs de limite avant. Les sorties du comparateur 458 de limite arrière sont appliquées aux entrées J et K d'une bascule 470 par l'intermédiaire de conducteurs 472 et 474. Si le compte de référence de base dépasse le compte de limite arrière, la bascule 470 est effacée, ce qui a pour effet l'apparition d'un signal complémentaire de limite arrière sur une ligne 473, ce signal invalidant les portes NON-ET 376 et 297 et obligeant donc à une correction positive. Lorsque le compte de référence a été décrémenté de manière à descendre au-dessous du compte de limite arrière,
la sortie A < B du comparateur 458 provoque un ieposition-
nement de la bascule 470 et permet le fonctionnement normal.
D'une manière analogue, la sortie du comparateur 464 est appliquée à une bascule 476 par des conducteurs 478 et 480 afin de déterminer l'état de cette bascule 476 qui produit un signal complémentaire de limite avant sur un conducteur 482
lorsque le compte de référence de base appliqué au compara-
teur est inférieur au compte de limite avant établi par le positionnement des commutateurs 468. Ceci provoque une invalidation des portes NON-ET 370 et 295 et oblige à une
correction négative.
La fonction du circuit de décodage d'intervalle de tremblement est de diviser le cycle de tremblement en deux phases, à savoir une phase pendant laquelle des impulsions
tachymétriques provoquent l'application de comptes progres-
sifs au compteur-décompteur 8 (figure Sa), et une autre phase pendant laquelle des impulsions tachymrétriques provoquent al'application de comptes régressifs à ce compteur. Bien que le mode préféré consiste à travailler avec un cycle de
tremblement décalé d'un quart de phase et avec un décen-
trement symétrique, il est plus aisé de comprendre le fonctionnement en le considérant sans décentrement et sans déphasage. Pour établir cette condition, un commutateur bipolaire 484 à deux directions (figure 3c) est placé dans la position opposée à celle représentée. Ainsi,des portes NONET 486 et 488 sont partiellement validées. Pendant la première moitié de l'intervalle de tremblement, c'est-à-dire entre les comptes 0 et 8191, la sortie de l'étage QD du compteur 121 est 0 et la sortie de l'inverseur 206 est à la valeur 1. La porte NON-ET 486 est alors validée, ce qui valide également la porte NON-ET 244 par l'intermédiaire de la porte NON- ET 248. Ceci permet aux impulsions de comptage tachymétriques provenant de la porte NON-ET î44 d'atteindre l'entrée de
comiptage progressif du compteur-décointeur par l'intermé-
diaire du commutateur 262 montré sur la figure Sa. Pendant l'autre moitié de l'intervalle de tremblement, c'est-à-dire entre les comptes 8192 et 16 383 la sortie de l'étage QD du compteur 121 est cependant à la valeur binaire "un" et la sortie de l'inverseur 206 est à la valeur 0. -Dans cette condition, la porte NON-ET 488 est validée, ce qui valide la
porte NON-ET 238 par l'intermédiaire de la porte NON-ET 242.
Cette action permet aux impulsions de compkage tachymé riques
d'atteindre l'entrée de comptage régressif du compteur-
decompceur 8 (figure 5a) par lir termaédiaire du commutateur 262. Il appara t done que, dans ce cas, la période de comptage progressif est en phase avec la période d'avance et que la période de comptage régressif ou dccomptage est en phase avec la période de retard. Le commutateur bipolaire à deux directions 490 permet une inversion de ce processus de manière qu'un décomptage puisse être effectué pendant la période d'avance et d'un comiptage puisse être effectué pendant la période de retard. Ceci a pour effet d'inverser le sens des signaux de correction apparaissant à la porte ET 264
montrée sur la figure 5a.
On considère à présent le cas ou cette relati.on de phase est décalée sur un quart d'un cycle de trimblement Dans ce cas, le commutateur 484 montré sur la figure 3c est dans la position représentée et, par conséquent, les portes NON-ET 486 et 488 sont invalidées alors que les portes 240 et 246 sont partiellement validées. Dans cette conmition, le
mode de comptage est déterminé par l'état de la bazcule 23s.
Lorsque cette bascule est positionnée, la porte NN-ET 244 est validée par l'intermédiaire des portes 248 et 246 alors que, lorsqu'elle est repositionnée, la porte NON-ET 238 est
validée par l'intermédiaire des portes 242 et 24D. Le comma-
tateur 262 étant dans la position représentée, le mode de comptage progressif est sélectionné lorsque Sa bascule 236
est positionnée et le mode de comptage régressif -est sélec-
tionné lorsque la bascule 236 est repositionnée. La bascule
236 du type JK est déclenchée par chaque impaIsiln de syn-
chronisation de phase B et elle est positionnée lzrsgu'une
porte ET 492 produit un signal 1, la bascule état repDsi-
tionnée lorsqu'une porte ET 494 produit également a signal 1. Si l'on examine les entrées des -der 'res portes ET citées, il apparaît que les conditions proDvquant le positionnement de la bascule 236 sont que les portes ET 4' et 498 et la sortie de l'étage QD de la plagmt:tet 121 de comptage soit simultanément à l'état "un". Des commutateurs unipolaires à deux directions 500 à 514 correspendent à la fonction de sélection de décentrement indiquée par le bloc 2-6 sur le schéma de la figure 1. Lorsque ces commutateurs sont placés dans la position montrée sur la figure 3b, le -système fonctionne avec un décentrement nul. Dans ce cas, la sortie de la porte ET 496 est à la valeur "un" lorsque toutes les sorties du compteur 118 sont à la valeur "zéros. De miême, la sortie de la porte ET 498 est à la valeur 1 lorsque teoutes les
sorties de la plaquette 119 de comptage sont à la valeur '0".
La sortie de la porte ET 209 est à la valeur 1"' lorsque les
sorties des étages QA' QD et QC du compteur 121 sont, respec-
tivement, aux valeurs 0, 0 et 1, et lorsque également les sorties des étages QB et QC du compteur 123 sont à la valeur 0. Ainsi, l'accumulation de ces conditions nécessaires pour positionner la bascule 236 correspond à un compte binaire 01000000000000, équivalant à 4096. De cette manière, le début de la phase de comptage progressif est retardé d'un quart de cycle sur le début de la phase d'avance. De même, la sortie de la porte ET 494 est à la valeur 1 lorsque les sorties des portes ET 516,518 et 211 et la sortie de l'étage QD du compteur 121 sont toutes en même temps à la valeur 1. Etant donné que la condition pour laquelle il en est ainsi est le complément exact des conditions décrites précédemment, ceci correspond à un compte binaire 1011111111111, ou 12 287. Il en résulte un mode de comptage-décomptage symétrique, selon lequel la période croissante et la période décroissante sont égales à 8192 comptages, ou à la moitié de l'intervalle de tremblement. Etant donné que le dispositif d'optimisation effectue des corrections pour régler la synchronisation afin que le nombre total de comptes progressifs soit égal au nombre total de comptes régressifs, ce cas implique un point de fonctionnement selon lequel le régime moyen du moteur pendant la partie d'avance du cycle est égal au régime moyen
pendant la partie de retard du cycle. Cette condition corres-
pond au point de fonctionnement MBT.
Comme indiqué dans le préambule du présent mémoire, il peut ne pas âtre toujours souhaitable d'opérer suivent ce point, mais, au lieu de retarder légèrement le point de fonctionnement par rapport au point MBT, on introduit le concept de décentrement. Autrement dit, un
décentrement dans le sens du retard est effectué par modi-
fication de la symétrie des intervalles de comptage et de décomptage. Si 1 -intervaîle de décomptage est raccourci et que l'intervalle de comptage progressif est allongé, le
dispositif d'optimisation recherche un point de fonction-
nement selon lequel la vitesse de décomptage est légèrement supérieure à la vitesse de comptage. Ceci implique une légère accélération du moteur pendant la phase d'avance du cycle de tremblement et un léger ralentissement pendant la phase de retard, ce qui correspond à un fonctionnement en retard sur le point MBT. Un décentrement est introduit au moyen des commutateurs 500 à 514 qui forment un registre d'entrée à huit bits, le commutateur 500 représentant le bit de poids faible et le commutateur 514 représentant le bit de poids fort. Ainsi, il est possible d'introduire une valeur de
décentrement pouvant s'élever jusqu'à 255 comptes.
A titre d'illustration, on considère l'applica-
tion de 50 comptes de décentrement. Ceci correspond à une valeur binaire de 00110010. Ce compte est introduit par modification de la position des commutateurs 502, 508 et 510 par rapport à celles représentées sur les figures. Lorsque cette opération est réalisée, la bascule 236 se positionne pour un compte binaire de 01000000110010, ce qui correspond au nombre décimal 4146, et elle se repositionne pour un compte de 10111111001101, ce qui correspond au nombre décimal 12 237. De cette manière, la période de comptage progressif est alors raccourcie de 100 comptes et la période de comptage
régressif est augmentée de 100 comptes.
D'une manière analogue, un fonctionnement en avance du point MBT peut être obtenu par l'application d'un décentrement d'avance. Ce décentrement modifie la symétrie du comptage-décomptage en sens opposé, c'est-à-dire que l'intervalle de décoinptage est augmenté et que l'intervalle de comptage est diminué. Le fonctionnement dans ce mode est obtenu par positionnement du commutateur 520 <appelé "commutateur de mode de décentrement") dans la position opposée à celle montrée sur la figure 3d. Cette manoeuvre du commutateur inverse le sens du bit de poids fort du compteur d'intervelle de décentrement, ce bit étant appliqué aux entrées des portes ET 492 et 494. Par conséquent, la bascule 236 se positionne à présent pour. un compte binaire de 11000000000000, ce qui correspond à un compte décimal de 12 288. La bascule se repositionne pour un compte binaire de 00111111111111, ce qui correspond à un compte décimal de 4095. Si un décentrement est à présent introduit, le compte de positionnement est augmenté d'une quantité correspondant à l'amplitude du décentrement et le compte de repositionnement est diminué d'une quantité correspondant à l'amplitude du décentrement. Ceci permet d'obtenir alors la symétrie souhaitée. Cependant, à présent, le sens de la bascule 236 est inversé, c'est-à-dire que cette bascule se positionne à la fin du troisième quart du cycle de tremblement et qu'elle se repositionne à la fin du premier quart. Cet effet peut
être compensé par une modification de la position du commu-
tateur 262 (figure 5a) qui intervertit les comptes croissants
et les comptes décroissants, respectivement.
Les circuits 192 et 193 de comptage comprennent chacun deux parties, à savoir une partie A qui est une bascule bistable unique commandée en CRA et comportant une sortie QAet une partie B qui est un compteur à trois sorties commandé en CKB et comportant des sorties OB' QC et QD' Des signaux appliqués aux entrées RA et RB repositionnent les parties A et B, respectivement. Comme décrit précédemment, une impulsion d'allumage est déclenchée par l'apparition d'un
signal binaire "zéro" à la sortie de l'un ou l'autre d'inver-
seurs 196 et 186 montrés sur la figure 4b. A ce moment,Ia sortie de la porte NON-ET 190 passe au niveau haut, ce qui fait basculer la partie A du compteur 192 dans l'état de positionnement. Ce signal de sortie produit l'impulsion d'allumage et libère également le repositionnement des deux 2.5 parties du compteur 193 par l'intermédiaire de l'inverseur 195. Il valide également une porte NON-ET 197 de manière que les impulsions tachyrtétriques puissent être appliquées à l'entrée CKB du compteur 193. Le commutateur 199 de rapport d'allumage étant dans la position représentée, les impulsions tachymétriques sont divisées effectivement par huit et appliquées à la borne CRB du compteur 192. Des commutateurs 201, 203 et 205 réalisent un décodage sélectif de la partie B du compteur 192, analogue à celui décrit dans la partie précédente du présent mémoire et portant sur les circuits tampons. Lorsque le compte contenu dans la partie B du compteur 192 correspond au compte établi par les commutateurs 201 à 205, une porte ET 207 est validée, ce qui positionne la partie A du compteur 193, et ce signal de sortie repositionne également les deux parties du compteur 192, ce dernier provoquant alors un repositionnement des deux parties du compteur 193, ce qui achève l'impulsion d'allumage. De cette manière, la largeur de l'impulsion d'allumage peut être choisie pour correspondre à-un nombre spécifique et souhaité
d'impulsions tachymétriques. Ce nombre est lui-même déter-
miné par le compte introduit au moyen des commutateurs 201, 203 et 205 et multiplié par la pondération du commutateur 199 de rapport d'allumage. Lorsque ce commutateur est dans la position représentée, cette pondération est de 8 alors que,
dans la position opposée, elle est de 4.
Le tableau suivant mentionne les types de.
certains composants pouvant entrer dans la constitution du dispositif selon l'invention, à titre nullement limitatif, mais simplement pour mieux montrer le meilleur mode de mise
en oeuvre de l'invention.
Eléments TYPE Oscillateur 100 MC 4024 Compteurs 104, 114, 118, 119, 121, 123,
192, 193, 254, 256, 258, 286, 2881 74193
Décodeur 106 74155 Bascules 134, 136, 236, 146, 148, 170,
172, 212, 214, 318, 320,. 470, 476 7476
Additionneurs 350, 352, 354, 356 -7483 Comparateurs 358, 360, 458, 460, 464,
466 7485
Compteurs 438, 440 7493 Verrous 362, 364, 366, 368 7475 Il a de soi que de nombreuses modifications peuvent être apportées à l'appareil décrit et représenté sans sortir du cadre de l'invention. Par exemple, d'autres types de circuits peuvent &tre utilisés et la logique peut être
modifiée ou remplacée par des montages sensiblement équiva-
lents. Sur la figure 2, la ligne R indique la forme de
l'intervalle de tremblement, la ligne S la forme des transi-
tions du compteur-décompteur, la ligne T la forme des transi-
tions du compteur d'allumage, la ligne U la forme des transitions des circuits tampons de correction, et la ligne V là forme des transitions de référence. Sur cette dernière
ligne, on indique en AI un changement de signe du tremble-
ment, en A2 un changement du circuit tampon de correction et
en A3 une mise à jour de référence.
Claims (10)
1. Appareil de commande à optimisation destiné à être utilisé avec une machine consommant de l'énergie, du
type comportant un dispositif destiné à perturber cyclique-
ment un paramètre de commande de la machine par rapport à un réglage initial de référence, un dispositif destiné à mesurer une variation du rendement de la machine sous l'effet de
ladite perturbation du paramètre de commande, et un dispo-
sitif destiné à modifier pas à pas le paramètre de commande par rapport au réglage initial de référence, dans un sens dépendant du signal de sortie du dispositif de mesure, afin que le réglage de référence modifié se rapproche d'un point de fonctionnement optimal, l'appareil étant caractérisé en ce qu'il comporte un premier circuit destiné à établir une valeur limite supérieure pour le réglage de référence, un second circuit destiné à établir une valeur limite inférieure pour ledit réglage de référence, et un dispositif qui, sous l'effet des premier et second circuits, inhibe le dispositif faisant varier le paramètre de commande afin que le réglage de référence soit maintenu entre lesdites valeurs limites
supérieure et inférieure.
2. Appareil de commande à optimisation destiné à être utilisé avec une machine consommant de l'énergie, du
type comportant un dispositif destiné à perturber cyclique-
ment un paramètre de commande de la machine, dans des sens opposés et de part et d'autre d'un réglage initial de référence, un dispositif relié à l'arbre de sortie de la machine et destiné à produire des impulsions tachymétriques à une fréquence proportionnelle à la vitesse de l'arbre de sortie, un dispositif destiné à accumuler les impulsions tachymétriques pendant des premier et second intervalles prédéterminés faisant partie de la période de perturbation cyclique, un dispositif logique numérique destiné à comparer le nombre d'impulsions tachymétriques accumulées pendant les premier et second intervalles prédéterminés, un circuit de
correction qui, sous l'action du signal de sortie du dispo-
sitif logique, produit des signaux de commande de correction, et un dispositif destiné à faire varier le paramètre de commande et monté de manière à recevoir lesdits signaux de commande de correction afin -de modifier le réglage de référence à partir de ladite valeur initiale, dans un sens tendant a accroître le nombre d'impulsions tachymétriques produites pendant l'un des premier et second intervalles prédéterminés, l'appareil étant caractérisé en ce qu'il comporte un dispositif programmable destiné à établir des première et seconde valeurs numériques correspondant à des limites supérieure et inférieure prédéterminées du réglage de référence, respectivement un comparateur numérique qui est relié au dispositif programmable et qui est destiné à recevoir des signaux numériques représentant un réglage de référence actuel afin de produire un signal de dépassement de limites lorsque ledit réglage de référence est extérieur à une bande définie par les première et seconde valeurs numériques, et un dispositif connecté au circuit de correction et qui, en réponse au signal de dépassement de limites, modifie le réglage de référence afin de le ramener dans ladite bande
définie par les première et seconde valeurs numériques.
3. Appareil selon la revendication 2, caractérisé en ce qu'il comporte des éléments pouvant être actionnés à la main et reliés au circuit de correction pour permettre la production manuelle desdits signaux de commande de correction afin que le réglage de référence puisse être déplacé pas à pas dans un sens ou dans l'autre, à l'intérieur
de ladite bande.
4. Appareil selon la revendication 2, caractérisé en ce qu' il comporte des éléments tampons associés au circuit de correction et au dispositif logique numérique, ces éléments tampons empêchant la production des signaux de commande de correction jusqu'à ce qu'un nombre
prédéterminé de cycles de perturbation se soient produits.
5. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce que les premier et second circuits comprennent chacun un groupe de commutateurs connectés à une source de potentiel de référence afin qu'un signal binaire d'un premier ou d'un second niveau puisse être appliqué sélectivement à un pôle des commutateurs du groupe, les signaux binaires étant appliqués collectivement aux pôles du groupe de commutateurs afin de former un mot binaire représentatif d'une limite prédéterminée, un comparateur comportant des premier et second groupes de bornes d'entrée et au moins une borne de sortie, des éléments qui relient les pôles du groupe de commutateurs aux premières bornes d'entrée du comparateur, et des éléments qui appliquent un mot binaire représentatif du réglage de référence modifié aux secondes
entrées du comparateur.
6. Appareil selon la revendication 5, caractérisé en ce que ledit dispositif d'inhibition comprend un circuit bistable connecté à ladite sortie du comparateur et destiné à être commuté d'un premier état vers un second état lorsque le mot binaire représentatif du réglage de référence modifié dépasse un mot binaire représentatif de ladite limite prédéterminée, et un circuit de porte connecté à la sortie du circuit bistable et destiné à transmettre des impulsions de mise à jour qui modifient le réglage de référence uniquement lorsque le circuit bistable est dans-son
premier état.
7. Appareil selon la revendication 4, caractérisé en ce que les éléments tampons comprennent un
compteur numérique à plusieurs sorties, un circuit de coinci-
dence à plusieurs entrées et une sortie, un dispositif de commutation qui relie la sortie du compteur numérique aux entrées du circuit de coïncidence, une bascule pouvant
prendre un état de positionnement et un état de reposition-
nement, cette bascule comportant une borne d'entrée de basculement connectée à la sortie du circuit de coïncidence, - et une borne de sortie, et un dispositif destiné à faire avancer le compteur numérique à la fin de chaque cycle de
pertubation, le montage étant tel que la bascule est posi-
tionnée lorsque le nombre de cycles de perturbation atteint
une valeur établie par le dispositif de commutation.
8. Appareil selon la revendication 7, caractérisé en ce qu'il comporte des éléments qui relient la borne de sortie de la bascule audit dispositif destiné à
modifier le paramètre de commande.
9. Appareil de commande à optimisation destiné à être utilisé avec une machine consommant de l'énergie, du
type comportant un dispositif destiné à perturber cyclique-
ment un paramètre de commande de la machine par rapport à un réglage initial de référence, un dispositif destiné à mesurer une variation du rendement de la machine sous l'effet de la perturbation du paramètre de commande, et un dispositif destiné à faire varier pas à pas le paramètre de commande à partir du réglage initial de référence, dans un sens dépendant du signal de sortie du dispositif de mesure, afin que le réglage de référence modifié soit rapproché d'un point de fonctionnement optimal, l'appareil étant caractérisé en ce qu'il comporte des éléments destinés à introduire une valeur de décentrement dans le dispositif sans faire varier le paramètre de commande, afin que l'on se rapproche d'un point
de fonctionnement recherché et éloigné du point de fonction-
nement optimal.
10. Appareil de commande à optimisation destiné à être utilisé avec une machine consommant de l'énergie,- du
type comportant un dispositif destiné à perturber cyclique-
ment un paramètre de commande de la machine par rapport à un réglage initial de référence, un élément relié à l'arbre de sortie de la machine et produisant des impulsions à une fréquence proportionnelle à la vitesse de cet arbre, un dispositif destiné à accumuler les impulsions au cours de premier et second intervalles prédéterminés de la période de
ladite perturbation cyclique, un dispositif logique numé-
rique destiné à comparer le nombre d'impulsions tachymé-
triques accumulées pendant les premier et second intervalles prédéterminés, un circuit de correction qui, sous l'action du signal de sortie du dispositif logique, produit des signaux de commande de correction, et un dispositif destiné à modifier le paramètre de commande et monté de manière à recevoir les signaux de commande de correction afin de modifier le réglage de référence à partir de ladite valeur
initiale, dans un sens tendant à accroître le nombre d'impul-
sions produites au cours de l'un des premier et second intervalles prédéterminés, l'appareil étant caractérisé en
ce qu'il comporte des éléments destinés à modifier sélecti-
vement les longueurs relatives des premier et second
intervalles prédéterminés.
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