FR2462940A1 - Installation pour la distribution sous pression du liquide contenu dans le reservoir d'un camion-citerne - Google Patents

Abstract

INSTALLATION POUR LA DISTRIBUTION SOUS PRESSION DU LIQUIDE CONTENU DANS LE RESERVOIR D'UN CAMION-CITERNE. UN GROUPE DE POMPAGE COMPRENANT UNE POMPE 11 A PRESSION DE REFOULEMENT ELEVEE REGLABLE PAR VANNE DE DECHARGE17 ET UN MOTEUR THERMIQUE12 EST SUPPORTE A L'EXTERIEUR D'UNE CITERNE16 POUR ALIMENTER A VOLONTE GRACE A DES ROBINETS APPROPRIES DIFFERENTS ORGANES D'UTILISATION COMPRENANT UNE RAMPE D'ARROSAGE AVANT30, UN PISTOLET HYDRAULIQUE ALIMENTE PAR UN TUYAU SOUPLE D'UN ENROULEUR22, UNE TETE A JETS MULTIPLES ALIMENTEE PAR UN TUYAU SOUPLE D'UN ENROULEUR 26.

Description

L'invention a pour objet une installation pour la distribution sous pression du liquide contenu dans le réservoir d'un camion-citerne.

Plus particulièrement, l'invention concerne une installation de pompage d'eau, ou d'autres liquides obtenus par la dissolution de substances solides dans un liquide, permettant d'augmenter (avec de faibles quantités de liquide et à des pressions élevées de l'ordre de O à 70 atmosphères) de 1 à 4 fois l'autonomie de travail des camions-citernes, arroseuses, balayeuses-arroseuses actuellement en service dans des Administrations Publiques et dans des sociétés privées.

Une installation conforme à l'invention peut entre réalisée sur des camions-citerne, arroseuses et balayeuses-arroseuses destinés à des travaux urbains et extra-urbains dans des services de nettoyage, de désinfection, de désherbage, d'épandage d'engrais ou de produits antigel de débouchage de canalisations souterraines, de nettoyage de bouches d'égout, de travaux sur des infrastructures routieres, des zones de marchés de quartier, des ouvrages de maçonnerie, ponts, viaducs, planchers dtimmeubles civils et industriels de propriété publique et privée.

Les performances techniques fonctionnelles de l'installation proposée par l'invention peuvent autre obtenues aussi bien sur des camions-citerne de construction nouvelle que sur des camions-eiterne, arroseuses, balayeuses-arroseuses déjà en service dans des Aininistrations publiques ou privées, lesquels, indépendannnent de la marque du véhicule porteur, sont reconnaissables parla marque du constructeur de l'ins- tallation hydraulique d'arrosage montée sur le véhicule et par le fait qu'ils sont dotés à l'origine de pompes à débit élevé et à faible pression qui, au cours de l'exploitation, se traduisent par des consommations horaires très élevées du liquide et par des performances médiocres de l'engin.

En revanche, grRee à lginstallation selon ltin- vention, on obtint des pressions de distribution très élevées, tout en quadruplant l'autonomie du camion-citerne, avec, par conséquent, d'innombrables avantages pratiques parmi lesquels une plus grande rapidité de distribution du liquide et la capacité de parcourir des trajets beaucoup plus longs sans qu'il soit nécessaire de procéder à des ravitaillements fréquents dont la oonséquence serait de ralentir le rythme du travail.

Ces buts, ainsi que d'autres qui seront mieux compris par la suite, sont atteints par une installation pour la distribution sous pression du liquide contenu dans le réservoir d'un camion-citerne caractérisée selon l'inven- tion par le fait qu'elle comprend une motopompe portée par le véhicule et puisant dans le réservoir, cette motopompe alimentant en combinaison : un pistolet hydraulique et une pointe sphérique à jets multiples, tous deux montés à l'ex- trémité de tuyaux flexibles enroulés, en position de repos, sur des enrouleurs portés par des chabssis extérieurs au camion-citerne ; deux rampes d'arrosage montées à l'avant du véhicule, aptes à tourner autour de leur propre axe, dotées d'une pluralité de buses de distribution, dont une premier rampe tournant autour d'un axe sensiblement vertical et une seconde rampe constituée par deux bras téleseopiques opposés permettant de faire varier la distance entre les buses et l'axe de rotation de la première rampe; ainsi qutun diffuseur fixé latéralement au véhicule, apte à cotre déplacé verticalement et à répandre un jet sur une surface variable; en outre, sont prévus des moyens à manoeuvre manuelle pour intercepter le liquide envoyé par la pompe de manière à pouvoir condamner alternativement un ou plusieurs des organes d'utilisation.

D'autres caractéristiques et avantages de l'in- vention ressortiront plus clairement de la description qui va suivre d'un exemple préfèré de réalisation, donné ici à titre d'exemple nullement limitatif. On se reportera aux dessins annexés, dans lesquels :
- la figure 1 est une vue de coté d'un véhicule équipé
d'une installation selon l'invention ;
- la figure 2 est une vue schématique de l'installation
de l'invention,
- la figure 3 est une vue de face du véhicule de la
figure 1 ;
- les figures 4, 5 et 6 sont des vues de détail de
quelques éléments de l'installation de l'invention.

Dans l'exemple décrit ci-dessous, un véhicule 10 est équipé d'une installation selon l'invention constituée de la manière suivante.

Un groupe de pompage 11 comprenant une pompe à membrane ou à piston assure avantageusement un débit de 100 à 300 litres/minute avec une pression du jet de liquide de O à 80 atmosphère.

De façon-classique, la pompe est dotée d'une soupape de décharge 8, équilibrée, de régulation de pression, de type règlable, d'un manomètre indicateur de pression 21 et d'un réducteur à engrenages hélicofdaux nécessaire à son entratnement (ce dernier non représenté car étant de type connu).

La pompe est accouplée par un accouplement 9 rigide ou élastique, à un moteur thermique 12, de préférence refroidi à l'air et ayant une puissance suffisante pour l'exploitation intégrale des caractéristiques techniques de la pompe qui lui est -accouplée.

Le groupe motopompe 11-12 est supporté par un chsssis 13 en profilés métalliques par l'intermédiaire de blocs amortisseurs 14 en caoutchouc.

L'ensemble du groupe motopompe 11-12 peut Rtre disposé de n'importe quel cRté du véhicule ou sur sa partie supérieure, mais de préférence à droite ou à gauche, et fixé par des consoles aux longerons du châssis du camion-citerne.

La pompe est raccordée à une canalisation ou conduit 15 dont l'extrémité munie d'un filtre puise le liquide au fond d'une citerne 16 qui est portée par le véhicule.

A la suite de la dépression créée par les mouvements successifs de la membrane de la pompe, le liquide présent dans la citerne est aspiré par le filtre d'extrémité; il remonte dans la canalisation ou conduit 15 et parvient à la chambre de compression. Sous l'effet de la pression et de l'élasticité de la membrane le liquide est envoyé à la soupape de régulation équilibrée 17 qui détermine la pression d'envoi du liquide dans les conduites des organes utilisateurs.

Une deuxième canalisation ou conduit 18 partant de la pompe 11 et s'introduisant dans la citerne 16 permet le retour dans cette dernière du liquide excédentaire.

En se reportant maintenant à la figure 2 et aux différentes figures agrandies des éléments de détail, on examinera les différents conduits d'utilisation, qui sont munis chacun à leur extrémité d'un robinet à commande manuelle qui permet d'arrêter le liquide et d'interdire son arrivée aux différents équipements prévus sur les camionsciterne ou arroseuses et aptes à effectuer les travaux exigés par les différents services.

Un pistolet hydraulique 19, du type fonctionnant à haute pression, de O à 70 atm ., et à jet de liquide jusqu 20 mètres et plus, est alimenté par la pompe 11 à travers le conduit 20 (voir figure 2). La pression de refoulement de la pompe 11 est règlée par la soupape 8 et sa valeur est indiquée par le manomètre 21.

Si l'on désire obtenir un jet à géométrie variable, il suffit d'agir sur des manettes prévues à cet effet sur le pistolet. L'ouverture et la fermeture rapides du diffuseur s 'effectuent au moyen d'un clapet de retenue commandé par un levier disposé devant la poignée du pistolet.

Le pistolet hydraulique est particulièrement indiqué pour la projection de liquides antiparasitaires et d'engrais foliaires sur des plantes de formes et de hauteurs différentes, pour les travaux de désin$ectisation et de lavage, les désincrustations de saletés sur les chaussées, immeubles, etc...

D'autre part, la grande puissance d'impact du jet permet le dégagement à distance de matériaux encombrants.

Le pistolet hydraulique 19 est raccordé au conduit 20 au moyen d'ûn tuyau de caoutchouc 23 résistant au fonctionnement à des pressions moyennes. Lé tuyau de caoutchouc, qui a avantageusement une longueur de 30 mètres, est raccordé par son autre extrémité au joint tournant, étanche à la pression, d'un enrouleur 22 et peut par conséquent entre enroulé ou déroule du tambour dans un sens de rotation donné.

Ltenrouleur,en tale métallique matrice3,est commandé manuellement ou bien par un moteur hydraulique ou électrique. A cet effet, il est disposé sur des étriers fixés sur un côté du véhicule, autant que possible sur le côté arrière du longeron droit de l'engin.

Le Joint tournant étanche à la pression de 11 enrouleur est raccordé à un robinet du conduit 20 de fonctionnement sous pression.

L'interruption de l'arrivée du liquide au pistolet hydraulique est déterminée par un robinet à commande manuelle.

Un autre organe utilisateur est constitué par une pointe sphérique 25 à jets multiples permettant le nettoyage des canalisations souterraines, ainsi que des conduites et des puisards des égouts; cette pointe est raccordée à un tuyau en caoutchouc 26. Ce tuyau 26 est alimenté par la pompe ll grâce à un conduit 27.Il est d'autre part raccordé au Joint tournant étanche à la pression d'un enrouleur en tôle métallique matricée disposé sur une chape fixée sur un côté du camion-citerne, autant que possible latéralement au véhicule, et s'enroulant ou se déroulant du tambour de l'enrouleur par commande manuelle de celui-ci ou bien par commande hydraulique ou électrique comme dans le cas du pistolet hydraulique précédemment décrit
Le Joint tournant étanche à la pression de l'en- rouleur est à son tour raccordé à un robinet du conduit d'utilisation sous pression 27.L'interruption de l'arrivée du liquide à la pointe sphérique à jets multiples est égale ment déterminée par un robinet a commande manuelle
Un troisième moyen d'utilisation est constitue par une rampe pour l'arrosage des chaussées 30 (voir pages 1,2 et 3)fixée à la partie avant du camion-citerne, devant le radiateur du véhicule, par l'intermédiaire d'un châssis porteur 31. Cette rarape est supportée par untube central 32 pourvu d'une fentelongitudinale et d'une vis intérieure dotée d'un pas prédéterminé et manoeuvrable par un volant à main 33.La rotation de la vis permet de modifier la hauteur du sol de la rampe d'arrosage en fonction des caractéristiques de la chaussée à partir d'une hauteur minimum, par exemple de 200 mm, à une hauteur maximum de 650 mm.

La rampe d'arrosage 30 est dotée de buses 34 à jet angulaire (normalement au nombre de -5) aptes à débiter le liquide à une pression allant de O à 70 atm. Cette rampe est calculée pour couvrir avantageusement une largeur d'arrosage de la chaussée de 2.400 mm à une hauteur du sol de 500 mm. Elle a, d'autre part, la possibilité de tourner autour du tube de support central 32 et autre bloquée manuellement en position à l'aide deux levier de blocage, ce qui lui permet de travailler dans les positions suivantes frontale, inclinée à droite, inclinée à gauche.

La rampe d'arrosage peut en outre autre tournée sur elle-même et être bloquée dans une douille horizontale centrale, de telle sorte qu'il est possible de règler et de modifier l'angle de diffusion des buses suivant le plan de la chaussée.

L'alimentation de la rampe 30 s'effectue à travers une conduite 36 (fig.2) qui part de la pompe 11, tandis que deux robinets intermédiaires 37 et 58 permettent d'envoyer ou d'intercepter le liquide sélon que celui-ci doit autre diffusé ou non par les buses 34 de cette mye rampe.

L'installation comprend encore, également supportée par le châssis 31 à l'avant du véhicule, une rampe d'arrosage des caniveaux et des trottoirs latéraux des chaussées, an particulier des voies urbaines, constituée par une demi-rampe droite 49 et une demi-rampe gauche 39 qui peuvent chacune coulisser télescopîquement dans une gaine métallique 40 disposée horizontalement par rapport au châssis 31 et supportée par ce dernier.

La demi-rampe droite 49 est indépendante de la demi-rampe gauche 39 et vice versa, de sorte qu t elles peuvent étire soit développées simultanément, portant la largeur d'arrosage jusqu'à 1.500 mm au delà de la largeur totale du camion-citerne, de chaque côté de celui-ci, soit individuellement, bloquées à la largeur de travail désirée en augmentant la largeur d'arrosage jusqu'à 1.500 m au delà du c8té du véhicule concerné.

Les positions des demi-rampes d'arrosage pour caniveau; et trottoirs meuvent autre modifiées indépendamment ltune de l'autre en ce qui concerne la hauteur et la distance du jet,en fonction des caractéristiques de la chaussée.

Elles peuvent ainsi entre abaissées ou relevées par rapport au châssis, avec un coulissement en plus ou en moins de 500 mm. Elles peuvent d'autre part arroser avec une pression allant de O à 70 atm. L'interruption de l'arrivée du liquide sur le cRté droit ou sur le cRté gauche s'effectue indépendamment par action manuelle sur des robinets 41 et 42 installés respectivement sur les conduits 44 et 43 alimentés par la pompe 11. Si on le désire, ces robinets peuvent Autre actionnés par des moteurs électriques à courant continu, ou bien, en variante, autre remplacés par des électrovannes.

Chaque demi-rampe 49 et 39 est pourvue de buses 45 (avantageusement au nombre de 3) pour la distribution du liquide.

Enfin, sur la partie arrière gauche du véhicule il a été prévu un diffuseur 46 (représenté d'une manière schématique sur la figure 2) de type connu, de sorte qu'il ne sera pas décrit en détail. Ce diffuseur 46, doté de buses appropriées, est raccordéà un conduit d'utilisation 47 alimenté par la pompe ll; ce conduit, fixé au véhiculé au moyen de supports appropriés, autorise une liberté de coulissement qui permet de modifier sa hauteur au dessus du sol de 300 mm en plus ou en moins; en outre, les jets du diffuseur peuvent couvrir une surface ayant une largeur Jusqu'à 14 metres (distance suffisante pour n'importe quel type d'infrastructure routière) sans gèner la circulation. L'interruption de llalimentation en liquide s'effectue au moyen d'électrovannes commandées depuis la cabine de conduite du camionciterne.

Dans cette circonstance, le robinet 38 permet, suivant son sens d'ouverture, envoyer le liquide soit à la rampe d'arrosage 30, soit au diffuseur 46 car, en pratique, l'utilisaklon de l'un de ces éléments rend superflue celle de l'autre.

ta figure 6 montre plus en détail l'ensemble des commandes situées sur un côté du véhicule et qui sont manoeuvrables à partir du sol. Cet ensemble comprend un manomètre 51 indiquant la pression de l'huile du moteur et un accélérateur à main 52 de ce même moteur.

Un robinet 53 permet de commander l'ouverture et la fermeture du conduit 15 du liquide provenant du réservoir, tandis que des robinets 54 et 55 permettent de commander respectivement couverture et la fermeture des conduits 20 et 27 d'alimentation du pistolet hydraulique 19 et de la pointe sphérique 25.

Sur la figure 5 on peut voir des groupes de commande plaeés dans la cabine, constitués par deux robinets 41 et 42 destinés à intercepter ou exclure 11 arrivée du liquidé 'provenant du conduit 56 alimenté par la pompe 11 et à renvoyer alternativement ou simultanément aux demirampes gauche et droite à travers les conduits respectifs 44 et 43. Une vanne d'étranglement manoeuvrable par une manette 57 permet de règler la pression du liquide refoulé dont la valeur est indiquée par un manomètre 58 (le schéma de ce circuit d'alimentation est représenté sur la figure 2). Un accélérateur supplémentaire 59 permet de commander le moteur directement à partir de la cabine de conduite.

Enfin, sur la figure 4 on peut observer une configuration possible d'un tableau de contrEle placé dans la cabine de conduite. I1 peut comprendre un démarreyr 60, un compte-tours du moteur 61, un groupe de fusibles 62, deux lampes 63 d'éclairage du tableau et un témoin 68 de pression de l'huile du moiteur.

Deux boutons-poussoirs 64 et 65 qui commandent respectivement l'ouverture et la fermeture de l'alimentation en liquide de la rampe centrale et du diffuseur 46 utilisa- bles, comme on l'a déjà vu, alternativement chacun lorsque l'autre est exclu par simple rotation du robinet manuel 38, sont reliés à deux voyants 66 et 67 permettant de constater directement à partir de la cabine le fonctionnement de l'unou 1 t autre de ces organes utilisateurs.

Il va de soi que l'installation selon l'invention n'est pas limitée à la réalisation préfèrée qui vient d'être décrite et illustrée, mais qu'elle est au contraire susceptible de nombreuses modifications et variantes, aussi bien de caractère superficiel que structurel, sans que l'on sorte pour autant du cadre de l'invention.

Claims (6)

REVENDICATIONS

1. Installation pour la distribution sous pression du liquide contenu dans le réservoir (16) d'un camion-citerne, caractérisée par le fait qu'elle comprend une motopompe (11) portée par le véhicule et puisant le liquide dans le réser- voir (16), cette motopompe (11) alimentant en combinaison : un pistolet hydraulique (19) et une pointe sphérique (25) à jets multiples, tous deux montés à l'extrémité de tuyaux flexibles (23, 26) enroulés, en position de repos, sur des enrouleurs portés par des châssis extérieurs au camion -citerne; deux rampes d'arrosage (30, 40) montees à l'avant du véhicule, aptes à tourner autour de leur propre axe et dotées d'une pluralité de buses (34, 45) de distribution, dont une première rampe (30) tournant autour d 'un axe (32) sensiblement vertical et une seconde rampe (40) constituée par deux bras télescopiques opposés (39, 49) permettant de faire varier la distance entre les buses (45) et l'axe de rotation de la première r & e, ainsi qu'un diffuseur (46) fixe latéralement au véhicule0 apte à se déplacer vertical langent et à fournir un jet de surface variable, des moyens manuels (38) étant prévus pour intercepter le liquide envoyé par la pompe (11) @ de manière à condamner alternativement un ou plusieurs des organes d'utilisation.

2 Installation selon la revendication 1 caracterisee par le fait que la pompe (11) est d'un type apte à or un débit de liquide de l'ordre de 100 à 300 litres/minute avec une pression de distribution pouvant aller jusqu'à 80 atmosphères, cette pompe étant dotée dune soupape de décharge équilibrée (17) pour réglage de la pression.

3. Installation selon la revendication 1 caractérisée par le fait que le pistolet hydraulique (19) fonctionne à une pression variable jusqu'à 70 atmosphères avec un jet de liquide atteignant au moins 20 mètres de distance.

4. Installation selon la revendication 1 caractérisée par le fait que la première rampe (30) est supportée dans un tube central (32) fixé au véhicule, ce tube (32) contenant une vis à commande manuelle (33) pour le réglage en hauteur de la rampe (30) au dessus du sol.

5. Installation selon la revendication 4 caractérisée par le fait que la rampe (30) peut tourner sur elle-même, autour de son propre axe, à l'intérieur d'une douille horizontale, et être bloquée en position, ce qui permet de modifier l'angle de diffusion des buses (34) par rapport à la chaussée.

-6.- Installation selon la revendication 1 caractérisée par le fait qu'elle comprend un robinet à commande manuelle (41, 42) pour envoyer le liquide à un seul ou aux deux bras télescopiques (39, 49) de la rampe extensible (40), un robinet (54, 55) pour envoyer ou couper le liquide à la tête sphérique (25) et au pistolet hydraulique (19) et un robinet (38) pour envoyer le liquide alternativement au diffuseur (46) ou à la rampe d'arrosage (30) qui peut pivoter autour d'un axe vertical.