FR1433489A - Perfectionnements aux effilocheuses, notamment pour l'industrie textile - Google Patents
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Description
Perfectionnements aux effilocheuses, notamment pour l'industrie textile.
La présente invention est relative à des perfectionnements apportés aux effilocheuses du genre de celles qu'on utilise notamment dans l'industrie textile pour produire des fibres à partir de chiffons récupérés ou pour effilocher de la laine de verre ou des produits quelconques.
Pour maintenir les chiffons pendant qu'ils sont effilochés par les pointes du cylindre principal, on utilise différents systèmes de retenue dont un des plus courants consiste en un rouleau caoutchouté qui entraîne la matière sur une auge en acier. Ce dispositif connu assure une bonne tenue des matières à effilocher, et cela très près des pointes du cylindre principal, ce qui permet d'effilocher des chiffons très courts. Par contre, il présente un inconvénient résultant du fait que les bagues de caoutchouc sont des organes fragiles qui admettent difficilement des matières envoyées sous la forme de matelas de coupe tels qu'on en trouve dans les ateliers 'de confection, ces matelas comprenant quinze ou vingt épaisseurs de tissus superposées.
D'une manière générale, ces dispositifs de retenue à bagues de caoutchouc n'admettent pas le passage de corps présentant des surépaisseurs quelconques, qu'il s'agisse de corps, de cocons, de fils formant de gros n u̇ds, d'emballages de jute ou autres comportant des coutures ou des n u̇ds d'angle, ou autres produits.
'Certains fabricants ont remplacé l'arbre gainé de caoutchouc par un arbre cannelé en acier monté sur ressorts, et dont les dents ou cannelures travaillent sur une auge en acier pour retenir les matières.
Ce dernier dispositif connu entraîne de graves inconvénients. En effet, si l'on suppose que la largeur utile de la machine est de 0,5 mètre, 1 mètre, ou même davantage, il suffit ,d'une surépaisseur, de deux centimètres par exemple, due à un produit dont la largeur ne dépasse pas quelques centimètres même après écrasement par l'arbre cannelé, pour soulever l'ensemble de ce dernier. Pendant ce temps, tout ce qui aura moins de deux centimètres d'épaisseur sur toute la largeur de la machine, ne sera pas tenu par l'arbre cannelé en acier et sera attiré par le cylindre effilocheur sans avoir été travaillé.En outre, s'il se présente à cet instant un chiffon de grande longueur tel que par exemple un vieux sac, celui-ci sera attiré finalement dans la machine à une vitesse de 20 à 25 m/s qui est la vitesse périphérique du cylindre, et il en résulte un risque d'accident de personnes ou de matériel.
L'invention a principalement pour but d'éliminer ces inconvénients en réalisant un dispositif de retenue particulièrement robuste qui permet en outre d'accepter sans dommages des surépaisseurs locales dans la matière d'alimentation.
Le mécanisme de retenue d'une effilocheuse selon l'invention comprend un arbre d'acier muni de pointes ou de cannelures, qui travaille sur un ensemble de petites auges élémentaires ou pédales disposées côte-à-côte et articulées indépendamment les unes des autres à l'encontre de moyens de rappel élastique.
On comprend que le passage d'un gros n u̇d ou d'une surépaisseur locale quelconque provoque seulement le déplacement de la pédale correspondante, tandis que les autres continuent à fonctionner normalement sur toute la largeur de la machine.
Le dessin annexé, donné à titre d'exemple, permettra de mieux comprendre l'invention, les caractéristiques qu'elle présente et les avantages qu'elle est susceptible de procurer :
,Figure 1 est une vue en coupe transversale du mécanisme de retenue d'une effilocheuse selon l'invention; Figure 2 est une vue analogue montrant une variante de réalisation selon l'invention; Figure 3 représente schématiquement un dispositif de sécurité équipant une effilocheuse selon l'invention.
L'effilocheuse représentée en figure 1 comprend un tablier d'alimentation 1 qui envoie les chiffons devant un cylindre effilocheur rotatif 2 de type connu. Pour retenir les chiffons au moment de leur effilochage par le cylindre 2, on intercale entre celui-ci et la sortie du tablier 1, un mécanisme qui comprend un rouleau de transfert 3, un rouleau de compression 4, un arbre de retenue 5 et une série de petites auges ou pédales telles que 6 et 7, toutes identiques entre elles, et disposées côte-à-côte sous l'arbre 5. Le rouleau 3 est entraîné en rotation dans le sens indiqué par la flèche et il tourne autour d'un arbre fixe. Le rouleau 4, lui-même entraîné positivement en rotation par un mécanisme, non représenté, tourne autour d'un axe 8 qui est porté par un levier oscillant 11 que repousse un ressort 12.Le rouleau 12 tend donc à appliquer le rouleau 4 contre le rouleau 3, de façon à comprimer la matière fournie par le tablier d'alimentation 1. Après avoir passé entre les rouleaux 3 et 4, les chiffons sont envoyés entre l'arbre rotatif 5 et les pédales qui sont toutes identiques aux deux pédales 6 et 7 représentées en figure 1.
Chacune de ces pédales est montée à pivotement autour d'un axe 13 et elle est repoussée en direction de l'arbre 5 par un ressort 14. Chaque pédale possède son propre ressort 14, si bien que, à l'en-' contre de celui-ci, on peut l'écarter de l'arbre 5 sans agir sur les pédales voisines.
Chaque pédale telle que 6 et 7 comporte en outre un bras 15 qui vient porter contre une butée réglable à vis 16, solidaire du bâti de la machine. On comprend qu'en agissant sur les différentes butées 16, on puisse régler l'écartement 17 qui sépare normalement la périphérie de l'arbre 5 et le point le plus proche de chaque pédale. On évite ainsi tout frottement direct des dents ou cannelures de l'arbre 5 sur les pédales.
Au repos, chaque pédale est retenue par sa butée 16 et leur ensemble constitue une auge ayant le profil habituel, mais présentant selon l'invention la caractéristique d'être composée de plusieurs auges élémentaires qu'on peut abaisser indépendamment les unes des autres..
L'arbre 5 est en acier et il peut être à volonté cannelé ou muni de pointes à la manière connue. Il est en outre entraîné en rotation dans le sens indiqué par la flèche 18.
Le fonctionnement est le suivant :
Lorsque l'effilocheuse est en marche, le rouleau 3 et le rouleau 4 entraînent les chiffons qui défilent entre eux.
Ces chiffons sont alors envoyés entre l'arbre 5 et les pédales telles que 6 et 7, qui les retiennent sous le double effet des ressorts 14 d'une part et des dents ou cannelures de l'arbre 5 d'autre part. Ces chiffons sont donc présentés à vitesse contrôlée devant la périphérie du cylindre effilocheur 2, qui tourne à relativement grande vitesse, par exemple dans le sens indiqué par la flèche 19. Si une surépaisseur locale apparaît dans la matière qui passe entre l'arbre 5 et les pédales, on comprend qu'elle provoque seulement l'abaissement de la pédale intéressée, c'est-à-dire par exemple la pédale 7.
Par contre, les autres pédales restent en position normale, à la façon de la pédale 6. La matière est donc efficacement retenue sur toute la largeur de la machine, même pendant le passage de la surépaisseur au niveau de la pédale 7.
Bien entendu, le sens de rotation du cylindre 2 a été désigné à titre purement indicatif, et ce cylindre pourrait aussi bien tourner dans la direction opposée à celle de la flèche 19.
Suivant la variante représentée en figure 2. on a placé les pédales telles que 6 au-dessus de l'arbre 5 qui tourne donc cette fois dans le sens indiqué par la flèche 20. Par ailleurs, on a supposé que le rouleau 4 était pressé sur le rouleau 3 directement par un ressort 21, et non plus par l'intermédiaire du levier oscillant 11 de l'exemple précédent.
Le fonctionnement de ce dispositif de retenue est tout-à-fait analogue à celui montré en figure 1, c'est-à-dire que les pédales peuvent se soulever indépendamment les unes des autres à l'encontre de leur ressort 14, au passage d'une surépaisseur locale. Ici encore, le cylindre effilocheur 2 peut tourner indifféremment dans un sens ou dans l'autre.
On prévoit avantageusement sur la machine un dispositif de sécurité susceptible d'arrêter le moteur en vue d'éviter tout accident lorsque l'épaisseur de l'ensemble des produits dépasse la valeur permise à l'alimentation. Ce dispositif de sécurité peut être, soit constitué par un mécanisme connu quelconque relié au levier oscillant 11 qui porte le rouleau 4, soit par un système susceptible d'intégrer les déplacements des pédales telles que 6 et 7. Un tel dispositif de sécurité a été représenté schématiquement en figure 3. Dans cet exemple, on a supposé que les pédales 6-7 étaient au nombre de seize et on les équipe chacune d'un levier 22. Ces derniers sont réunis deux par deux aux extrémités de fléaux 23 sur lesquels ils sont articulés.De même, on relie deux par deux les fléaux 23 par des leviers 24 articulés en leurs centres et dont l'extrémité libre est montée à pivotement sur l'extrémité correspondante d'un fléau 25. Ces derniers sont au nombre de quatre dans le présent exemple et on réunit leurs centres à des leviers articulés 26 dont on relie les extrémités libres par deux fléaux 27. On réunit enfin au moyen de leviers 28. le centre des fléaux 27 aux extrémités d'un fléau unique 29 à la partie centrale duquel est suspendu un organe de rappel 30 qui est constitué par exemple par un contrepoids ou par un ressort. Ce moyen de rappel 30 est relié à articulation au centre du fléau 29 par un levier 31 sur lequel est articulée l'extrémité libre 32 d'un
La présente invention est relative à des perfectionnements apportés aux effilocheuses du genre de celles qu'on utilise notamment dans l'industrie textile pour produire des fibres à partir de chiffons récupérés ou pour effilocher de la laine de verre ou des produits quelconques.
Pour maintenir les chiffons pendant qu'ils sont effilochés par les pointes du cylindre principal, on utilise différents systèmes de retenue dont un des plus courants consiste en un rouleau caoutchouté qui entraîne la matière sur une auge en acier. Ce dispositif connu assure une bonne tenue des matières à effilocher, et cela très près des pointes du cylindre principal, ce qui permet d'effilocher des chiffons très courts. Par contre, il présente un inconvénient résultant du fait que les bagues de caoutchouc sont des organes fragiles qui admettent difficilement des matières envoyées sous la forme de matelas de coupe tels qu'on en trouve dans les ateliers 'de confection, ces matelas comprenant quinze ou vingt épaisseurs de tissus superposées.
D'une manière générale, ces dispositifs de retenue à bagues de caoutchouc n'admettent pas le passage de corps présentant des surépaisseurs quelconques, qu'il s'agisse de corps, de cocons, de fils formant de gros n u̇ds, d'emballages de jute ou autres comportant des coutures ou des n u̇ds d'angle, ou autres produits.
'Certains fabricants ont remplacé l'arbre gainé de caoutchouc par un arbre cannelé en acier monté sur ressorts, et dont les dents ou cannelures travaillent sur une auge en acier pour retenir les matières.
Ce dernier dispositif connu entraîne de graves inconvénients. En effet, si l'on suppose que la largeur utile de la machine est de 0,5 mètre, 1 mètre, ou même davantage, il suffit ,d'une surépaisseur, de deux centimètres par exemple, due à un produit dont la largeur ne dépasse pas quelques centimètres même après écrasement par l'arbre cannelé, pour soulever l'ensemble de ce dernier. Pendant ce temps, tout ce qui aura moins de deux centimètres d'épaisseur sur toute la largeur de la machine, ne sera pas tenu par l'arbre cannelé en acier et sera attiré par le cylindre effilocheur sans avoir été travaillé.En outre, s'il se présente à cet instant un chiffon de grande longueur tel que par exemple un vieux sac, celui-ci sera attiré finalement dans la machine à une vitesse de 20 à 25 m/s qui est la vitesse périphérique du cylindre, et il en résulte un risque d'accident de personnes ou de matériel.
L'invention a principalement pour but d'éliminer ces inconvénients en réalisant un dispositif de retenue particulièrement robuste qui permet en outre d'accepter sans dommages des surépaisseurs locales dans la matière d'alimentation.
Le mécanisme de retenue d'une effilocheuse selon l'invention comprend un arbre d'acier muni de pointes ou de cannelures, qui travaille sur un ensemble de petites auges élémentaires ou pédales disposées côte-à-côte et articulées indépendamment les unes des autres à l'encontre de moyens de rappel élastique.
On comprend que le passage d'un gros n u̇d ou d'une surépaisseur locale quelconque provoque seulement le déplacement de la pédale correspondante, tandis que les autres continuent à fonctionner normalement sur toute la largeur de la machine.
Le dessin annexé, donné à titre d'exemple, permettra de mieux comprendre l'invention, les caractéristiques qu'elle présente et les avantages qu'elle est susceptible de procurer :
,Figure 1 est une vue en coupe transversale du mécanisme de retenue d'une effilocheuse selon l'invention; Figure 2 est une vue analogue montrant une variante de réalisation selon l'invention; Figure 3 représente schématiquement un dispositif de sécurité équipant une effilocheuse selon l'invention.
L'effilocheuse représentée en figure 1 comprend un tablier d'alimentation 1 qui envoie les chiffons devant un cylindre effilocheur rotatif 2 de type connu. Pour retenir les chiffons au moment de leur effilochage par le cylindre 2, on intercale entre celui-ci et la sortie du tablier 1, un mécanisme qui comprend un rouleau de transfert 3, un rouleau de compression 4, un arbre de retenue 5 et une série de petites auges ou pédales telles que 6 et 7, toutes identiques entre elles, et disposées côte-à-côte sous l'arbre 5. Le rouleau 3 est entraîné en rotation dans le sens indiqué par la flèche et il tourne autour d'un arbre fixe. Le rouleau 4, lui-même entraîné positivement en rotation par un mécanisme, non représenté, tourne autour d'un axe 8 qui est porté par un levier oscillant 11 que repousse un ressort 12.Le rouleau 12 tend donc à appliquer le rouleau 4 contre le rouleau 3, de façon à comprimer la matière fournie par le tablier d'alimentation 1. Après avoir passé entre les rouleaux 3 et 4, les chiffons sont envoyés entre l'arbre rotatif 5 et les pédales qui sont toutes identiques aux deux pédales 6 et 7 représentées en figure 1.
Chacune de ces pédales est montée à pivotement autour d'un axe 13 et elle est repoussée en direction de l'arbre 5 par un ressort 14. Chaque pédale possède son propre ressort 14, si bien que, à l'en-' contre de celui-ci, on peut l'écarter de l'arbre 5 sans agir sur les pédales voisines.
Chaque pédale telle que 6 et 7 comporte en outre un bras 15 qui vient porter contre une butée réglable à vis 16, solidaire du bâti de la machine. On comprend qu'en agissant sur les différentes butées 16, on puisse régler l'écartement 17 qui sépare normalement la périphérie de l'arbre 5 et le point le plus proche de chaque pédale. On évite ainsi tout frottement direct des dents ou cannelures de l'arbre 5 sur les pédales.
Au repos, chaque pédale est retenue par sa butée 16 et leur ensemble constitue une auge ayant le profil habituel, mais présentant selon l'invention la caractéristique d'être composée de plusieurs auges élémentaires qu'on peut abaisser indépendamment les unes des autres..
L'arbre 5 est en acier et il peut être à volonté cannelé ou muni de pointes à la manière connue. Il est en outre entraîné en rotation dans le sens indiqué par la flèche 18.
Le fonctionnement est le suivant :
Lorsque l'effilocheuse est en marche, le rouleau 3 et le rouleau 4 entraînent les chiffons qui défilent entre eux.
Ces chiffons sont alors envoyés entre l'arbre 5 et les pédales telles que 6 et 7, qui les retiennent sous le double effet des ressorts 14 d'une part et des dents ou cannelures de l'arbre 5 d'autre part. Ces chiffons sont donc présentés à vitesse contrôlée devant la périphérie du cylindre effilocheur 2, qui tourne à relativement grande vitesse, par exemple dans le sens indiqué par la flèche 19. Si une surépaisseur locale apparaît dans la matière qui passe entre l'arbre 5 et les pédales, on comprend qu'elle provoque seulement l'abaissement de la pédale intéressée, c'est-à-dire par exemple la pédale 7.
Par contre, les autres pédales restent en position normale, à la façon de la pédale 6. La matière est donc efficacement retenue sur toute la largeur de la machine, même pendant le passage de la surépaisseur au niveau de la pédale 7.
Bien entendu, le sens de rotation du cylindre 2 a été désigné à titre purement indicatif, et ce cylindre pourrait aussi bien tourner dans la direction opposée à celle de la flèche 19.
Suivant la variante représentée en figure 2. on a placé les pédales telles que 6 au-dessus de l'arbre 5 qui tourne donc cette fois dans le sens indiqué par la flèche 20. Par ailleurs, on a supposé que le rouleau 4 était pressé sur le rouleau 3 directement par un ressort 21, et non plus par l'intermédiaire du levier oscillant 11 de l'exemple précédent.
Le fonctionnement de ce dispositif de retenue est tout-à-fait analogue à celui montré en figure 1, c'est-à-dire que les pédales peuvent se soulever indépendamment les unes des autres à l'encontre de leur ressort 14, au passage d'une surépaisseur locale. Ici encore, le cylindre effilocheur 2 peut tourner indifféremment dans un sens ou dans l'autre.
On prévoit avantageusement sur la machine un dispositif de sécurité susceptible d'arrêter le moteur en vue d'éviter tout accident lorsque l'épaisseur de l'ensemble des produits dépasse la valeur permise à l'alimentation. Ce dispositif de sécurité peut être, soit constitué par un mécanisme connu quelconque relié au levier oscillant 11 qui porte le rouleau 4, soit par un système susceptible d'intégrer les déplacements des pédales telles que 6 et 7. Un tel dispositif de sécurité a été représenté schématiquement en figure 3. Dans cet exemple, on a supposé que les pédales 6-7 étaient au nombre de seize et on les équipe chacune d'un levier 22. Ces derniers sont réunis deux par deux aux extrémités de fléaux 23 sur lesquels ils sont articulés.De même, on relie deux par deux les fléaux 23 par des leviers 24 articulés en leurs centres et dont l'extrémité libre est montée à pivotement sur l'extrémité correspondante d'un fléau 25. Ces derniers sont au nombre de quatre dans le présent exemple et on réunit leurs centres à des leviers articulés 26 dont on relie les extrémités libres par deux fléaux 27. On réunit enfin au moyen de leviers 28. le centre des fléaux 27 aux extrémités d'un fléau unique 29 à la partie centrale duquel est suspendu un organe de rappel 30 qui est constitué par exemple par un contrepoids ou par un ressort. Ce moyen de rappel 30 est relié à articulation au centre du fléau 29 par un levier 31 sur lequel est articulée l'extrémité libre 32 d'un
Claims (3)
1. Les pédales sont alignées au-dessus de l'arbre d'acier;,
2. Les pédales sont alignées au-dessous de l'arbre d'acier; ,
3. Les pédales sont reliées à un dispositif de sécurité qui intègre leurs déplacements et stoppe le moteur d'alimentation en cas d'épaisseur exagérée des produits admis dans la machine.
Priority Applications (1)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
---|---|---|---|
FR45609A FR1433489A (fr) | 1965-02-09 | 1965-02-09 | Perfectionnements aux effilocheuses, notamment pour l'industrie textile |
Applications Claiming Priority (1)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
---|---|---|---|
FR45609A FR1433489A (fr) | 1965-02-09 | 1965-02-09 | Perfectionnements aux effilocheuses, notamment pour l'industrie textile |
Publications (1)
Publication Number | Publication Date |
---|---|
FR1433489A true FR1433489A (fr) | 1966-04-01 |
Family
ID=8598429
Family Applications (1)
Application Number | Title | Priority Date | Filing Date |
---|---|---|---|
FR45609A Expired FR1433489A (fr) | 1965-02-09 | 1965-02-09 | Perfectionnements aux effilocheuses, notamment pour l'industrie textile |
Country Status (1)
Country | Link |
---|---|
FR (1) | FR1433489A (fr) |
-
1965
- 1965-02-09 FR FR45609A patent/FR1433489A/fr not_active Expired
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