FR1293636A - Machine automatique pour le flanchage des peaux - Google Patents

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Charles Wolf
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    • C14SKINS; HIDES; PELTS; LEATHER
    • C14CCHEMICAL TREATMENT OF HIDES, SKINS OR LEATHER, e.g. TANNING, IMPREGNATING, FINISHING; APPARATUS THEREFOR; COMPOSITIONS FOR TANNING
    • C14C15/00Apparatus for chemical treatment or washing of hides, skins, or leather

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Description

Machine automatique pour le flanchage des peaux.
On sait qu'on désigne sous le nom de flanchage des peaux une opération qui consiste à leur appliquer un produit liquide approprié, puis à les brosser légèrement pour étaler le produit et l'obliger à pénétrer dans le cuir. Cette opération est indispensable pour régulariser la surface de la peau et faire disparaître les marques qu'elle peut comporter.
L'opération en question s'est jusqu'ici effectuée à peu près entièrement à la main. On faisait passer les peaux sous un pulvérisateur et on les amenait à des ouvriers qui les brossaient. Ce travail était évidemment pénible et son prix de revient était élevé en raison des frais de main-d' u̇vre qu'il nécessitait.
On avait bien songé à réaliser l'opération en question par voie mécanique en soumettant les peaux à l'action de brosses entraînées suivant des parcours rectilignes ou circulaires. Malheureusement l'on s'était heurté à l'inconvénient que les peaux à traiter sont de forme et de dimensions irrégulières, de sorte que pour être certain de les flancher sur toute leur surface, on devait les disposer sur une table de grande largeur et faire agir la brosse sur toute la surface de la table dont la peau ne recouvrait qu'une partie seulement. Or lorsqu'une brosse se déplace sur une table en direction d'une peau reposant sur celle-ci, elle a tendance à soulever le bord de la peau et à rouler celle-ci sur elle-même.Dans le cas de l'opération à la main, cet inconvénient est évité par l'opérateur lui-même qui a bien soin de toujours poser la brosse sur la peau pour la faire ensuite passer de cette peau à la table, mais jamais en sens inverse.
La présente invention vise à permettre d'établir une machine automatique qui réalise le flanchage des peaux comme on l'exécutait jusqu'ici à la main, c'est-à-dire en appliquant la brosse sur la peau pour la déplacer ensuite de la peau vers la table ou le tapis qui la porte, sans jamais agir à l'inverse et par conséquent sans jamais tendre à soulever le bord de la peau.
La machine suivant l'invention comporte essentiellement un tapis transporteur sans fin sur lequel on dispose les peaux à traiter, des dispositifs détecteurs répartis sur la largeur de ce tapis de manière à déceler à chaque instant la partie de cette largeur occupée par la ou les peaux, un dispositif de mémoires qui enregistre l'information reçue des détecteurs, un dispositif de pulvérisation propre à appliquer sur les peaux en aval des détecteurs le produit destiné à assurer le flanchage, un mécanisme se déplaçant en travers du tapis transporteur en aval du dispositif de pulvérisation précité à une vitesse relativement élevée par rapport à la vitesse d'avance du tapis,ce mécanisme portant au moins une brosse propre à être abaissée sur les peaux à l'instant du passage de celles-ci un commutateur tournant en synchronisme avec le mouvement dudit mécanisme de manière à balayer les diverses mémoires élémentaires du dispositif de mémoires en les reliant sélectivement à l'appareil de commande du déplacement vertical de la brosse, et des moyens permettant de retarder le déplacement de la brosse par rapport à la position sur la largeur du tapis du détecteur auquel correspond la mémoire élémentaire qui provoque l'abaissement de la brosse.
On comprend que si à chaque instant le commutateur de balayage reliait à l'organe de commande du déplacement vertical de la brosse, la mémoire élémentaire qui correspond au point de la largeur du tapis où se trouve cette brosse, celle-ci serait exactement abaissée sur le bord de la peau, avec le risque de soulever ce bord, puis serait relevée exactement au bord opposé avec le risque que son relevage ne s'effectue légèrement trop tôt.
En prévoyant un retard à l'actionnement de la brosse, l'on obtient que celle-ci ne s'abaisse que lorsque sa projection horizontale a déjà dépassé nettement le premier bord longitudinal de la peau qu'elle rencontre (et qu'on peut appeler bord amont), puis qu'elle ne se relève qu'après avoir dépassé nettement le bord opposé ou bord aval de cette peau. Si l'on veut voir les choses sou's un autre angle, les mémoires et le commutateur qui les balaye reproduisent en quelque sorte une image de la peau, image dont la définition est évidemment assez grossière en raison du nombre nécessairement limité des détecteurs et des mémoires correspondantes.Grâce au retard la brosse agit conformément à une image fictive décalée transversalement sur le tapis, par rapport à l'image vraie, en aval par rapport au sens d'avance de la brosse, et ce retard évite l'inconvénient d'un abaissement prématuré en même temps qu''il compense complètement le manque de définition de l'image. Evidemment la brosse n'agit pas sur la partie-de la peau voisine du bord amont, mais comme cette brosse est portée par un mécanisme qui la fait se déplacer transversalement sur le tapis tantôt dans un sens, tantôt dans l'autre, les rôles respectifs des deux bords de la peau s'inversent à chaque demicycle du mouvement de la brosse, de sorte que finalement toute la surface de la peau est traitée de façon régulière.
De préférence, l'on utilise en guise de détecteurs et de mémoires, un dispositif du genre décrit au brevet français n[deg] 1.206.746 du 7 mai 1958 aux noms de Charles Wolf et de Aimé Fayolle pour : Economiseur automatique pour pulvérisateur . Une telle mémoire est constituée par un cylindre percé d'une rangée circulaire de trou's orientés axialement et dans lesquels coulissent des aiguilles dont la longueur est supérieure à l'épaisseur du cylindre. L'enregistrement s'effectue en faisant tourner le cylindre à une vitesse appropriée et en repoussant les aiguilles de manière à les faire déborder sur une face de celui-ci où, après un parcours angulaire déterminé, elles viennent actionner un contact tâteur.
On peut d'ailleurs avantageusement faire comporter à la machine suivant l'invention, un dispositif de pulvérisation de produit de flanchage établi suivant le brevet précité et utiliser pour la commande des brosses les mêmes mémoires élémentaires que celles assurant la commande du' pulvérisateur. Il suffit de faire comporter à chacune de ces mémoires un second contact de tâtage disposé en arrière de celui correspondant à la pulvérisation.
Quant au retard à l'actionnement des brosses, on le réalise très simplement en décalant le commutateur tournant de balayage des mémoires par rapport au mécanisme d'entraînement des brosses.
Il est avantageux d'associer au mécanisme précité non pas une seule brosse, mais bien deux, abaissables séparément. Ces deux brosses sont légèrement décalées sur la longueur du tapis, chacune d'elles étant commandée par les mémoires de façon séparée par l'intermédiaire d'un élément individuel de commutateur de balayage. On réalise ainsi l'équivalent de plusieurs mécanismes à brosse unique, disposés les uns derrière les autres sur la longueur du tapis, ce qui réduit l'encombrement et le bras de levier.
Dans une forme d'exécution préférée, le mécanisme d'entraînement des brosses comporte un chariot entraîné en va-et-vient par un taquet solidaire d'une chaîne sans fin à mouvement continu. Ce chariot porte deux vérins pneumatiques verticaux, la tige de chaque vérin portant en bout une brosse susceptible d'être abaissée sur le tapis à l'encontre d'u'n ressort de rappel ou équivalent. Les vérins sont commandés par deux vannes électro-magnétiques elles-mêmes commandées par deux éléments de commutateur de balayage entraînés en synchronisme avec la chaîne sans fin de manière à tourner exactement d'un tour pour un mouvement de va-etvient complet du chariot.
Le dessin annexé, donné à titre d'exemple, permettra de mieux comprendre l'invention, les caractéristiques qu'elle présente et les avantages qu'elle est susceptible de procurer : Figure 1 est u'ne vue de côté schématique d'une machine à flancher suivant l'invention; Figure 2 est une vue en plan correspondante, le dispositif de pulvérisation et le mécanisme de brosses n'étant indiqués que de façon très partielle et très schématisée; Figure 3 est une vue en perspective d'un cylindre d'une mémoire élémentaire du dispositif de mémoires; Figure 4 montre le cylindre en développement sur un plan avec les appareils qui lui sont associés, ces derniers étant représentés de façon très schématique; Figure 5 est une coupe suivant V-V (fig. 4) ; Figure 6 est une coupe transversale schématique de la machine montrant le mécanisme de brosses;Figure 7 est une vue de côté de détail du chariot mobile de ce mécanisme; Figure 8 est une coupe suivant VIII-VIII (fig. 7) ; Figure 9 montre de façon schématique l'un des éléments de commutateur du mécanisme de brosses avec le plateau porteur associé à ces éléments; Figure 10 est une vue en perspective indiquant les liaisons d'ensemble entre le dispositif de mémoire, les deux éléments de commutateur et le chariot porte-brosses; Figure 11 est une vue en plan d'une peau supposée rectangulaire avec indication des zones balayées par les brosses à l'aller et au retour du chariot; Figu're 12 est une représentation graphique du mouvement des brosses.
En figures 1 et 2 on a indiqué sous forme très schématisée les éléments essentiels de la machine suivant l'invention. Celle-ci comprend un tapis sans fin 1 renvoyé par deux tambours d'extrémité 2 et 3, le tambour 2 jouant le rôle de moteur pour assurer l'entraînement du tapis à une vitesse régulière déterminée. Le sens de déplacement est celui indiqué par la flèche 4, c'est-à-dire de droite à gauche sur le dessin, les peaux à traiter étant bien entendu posées sur l'extrémité droite pour traverser l'ensemble de la machine et ressortir à l'état traité à l'extrémité gauche.
Un peu en aval du tambour 2, la machine comporte un dispositif de détecteurs sensibles au passage des peaux. Ce système comprend une série de bras légers 5, par exemple en fil métallique, articulés autour d'un axe transversal sur u'n support 6, qu'on a supposé constitué par une traverse montée à poste fixe au-dessus du tapis 1. A chaque bras détecteur 4 est associé un micro-contact 7 réglé de manière à commander un circuit électrique dès que le bras est soulevé du tapis sur lequel il repose normalement par son extrémité libre. Dans l'exemple représenté les micro-contacts 7 sont portés par une même traverse 8. Les bras 5 sont régulièrement répartis sur la largeur du tapis 1 à un faible écartement les uns des autres.On comprend que lorsqu'une peau à traiter passe sous lesdits bras détecteurs 5, elle soulève légèrement ceux qu'elle rencontre en actionnant les micro-contacts 7 correspondants et en fournissant ainsi une information électrique qui correspond à chaque instant à la longueur et à la position de la section transversale de la peau considérée dans le plan moyen des extrémités des bras.
L'information ainsi transmise sous forme électrique par les bras détecteurs 5 et les micro-contacts 7 est envoyée à un dispositif de mémoires (auquel on a affecté la référence générale 9 en fig. 1 et 2) qui l'enregistre avant de la transmettre à son tour au dispositif de pulvérisation et au' mécanisme de brosses, ainsi qu'on l'exposera plus loin. Comme on l'a indiqué plus haut, ce dispositif de mémoires est du type déjà décrit dans le brevet français n[deg] 1.206.746 et par conséquent l'on se bornera à en rappeler succinctement ci-après les éléments essentiels et le fonctionnement général. Chaque mémoire élémentaire comprend un cylindre 10 (fig. 3) percé d'une rangée circulaire de trous longitudinaux dans chacun desqu'els peut coulisser une aiguille 11 de longueur supérieure à l'épaisseur du cylindre.Tous les cylindres 10 sont montés sur un même arbre 12 qui tourne en synchronisme avec l'avance du tapis 1. L'enregistrement se fait en repou'ssant les aiguilles sur un des côtés du cylindre de manière à les faire dépasser sur l'autre côté et en détectant ensuite les aiguilles ainsi déplacées.
En figure 4, on a représenté la périphérie d'un cylindre 10 en la supposant développée sur le plan de la figure, le sens de déplacement dudit cylindre étant celui représenté par la flèche 13. Sur l'un des côtés du cylindre, il est prévu une palette enregistreuse mobile 14 articulée en 15 et agencée de manière à constituer plan incliné pour repousser les aiguilles 11 de droite à gauche sur la figure.
Cette palette est elle-même commandée par un électro-aimant 16, celui-ci agissant, à l'encontre d'un ressort 17, sur une armature 18 articulée en 19 et attelée par une biellette 20 à un bras 21 solidaire de la palette 14. Dans l'exemple représenté l'actionnement de la palette est positif en ce sens que celle-ci est positivement amenée à la position d'enregistrement par l'effet du courant électrique et qu'au contraire elle est effacée par le ressort 17 quand le courant ne circule pas; mais l'on peut bien entendu adopter la disposition inverse, si on le désire.Sur l'autre côté du cylindre de mémoire 10, il est prévu trois tâteurs auxquels on a affecté les références générales 22, 23 et 24, savoir un premier propre à commander le dispositif de pulvérisation et deux autres destinés à assurer la commande des deux brosses élémentaires du mécanisme de brosses qu'on décrira plus loin.
Ces trois tâteurs étant semblables, il suffira de décrire ci-après le premier. Il comprend un doigt 25 (fig. 4 et 5) porté par un axe 26 orienté parallèlement à l'arbre 12 qui porte les cylindres 10.
L'axe 26 porte encore un petit bras 27 agencé de manière à actionner un contact 28 (qu'on peut avantageusement en pratique réaliser sous forme de micro-contact) propre à renvoyer le résultat du tâtage à l'un des dispositifs d'utilisation de la mémoire considérée, savoir au dispositif de pulvérisation dans l'exemple représenté. La disposition est telle que le doigt 25 soit actionné par la partie dépassante des aiguilles 11 qui ont été repoussées par la palette enregistreuse 14 et commande le contact 28 de façon correspondante à l'encontre d'un ressort de rappel 29 agissant sur le bras 27.
Il est à noter que le doigt 25 est assez long pour ne pas retomber entre deux aiguilles dépassantes successives, comme le montre bien figure 5, de manière à donner alors une réponse continue et non pas des impulsions séparées.
Enfin la mémoire élémentaire considérée comprend encore une rampe fixe 30 (fig. 4) agencée sur le même côté du cylindre 10 que les tâteurs successifs 22, 23 et 24 pour repousser sur l'autre côté du cylindre les aiguilles 11 qui avaient reçu l'action de la palette enregistreuse 14.
Le fonctionnement de la mémoire élémentaire de figures 3 à 5 est ainsi finalement le suivant : Lorsque le cylindre 10 tourne en synchronisme avec l'avance du tapis sans fin 1 de figures 1 et 2, les aiguilles 11 arrivent vers la palette enregistreuse 14 en dépassant toutes sur le côté droit du cylindre, puisqu'elles ont reçu' l'action de la rampe 30. Quand la palette 14 est à la position d'enregistrement (position figurée), elle forme plan incliné et repousse les aiguilles successives de manière à les faire dépasser sur le côté gauche du cylindre; si au contraire ladite palette est à la position de repos, elle laisse passer les aiguilles sans les repousser, comme on l'a supposé pour les trois aiguilles de la zone A en figure 4.Les aiguilles 11 qui ont été repou'ssées actionnent au passage les tâteurs 22, 23 et 24 et renvoient ainsi les indications aux dispositifs d'utilisation correspondants, alors que celles qui n'ont pas été repoussées n'agissent pas sur les tâteurs. Mais l'action des aiguilles sur les tâteurs se fait avec un certain retard qui correspond au temps nécessaire pour qu'une aiguille se déplace avec le cylindre entre la palette enregistreuse 14 et le tâteur considéré 22, 23 ou 24.
Le dispositif de figures 3 à 5 constitue donc bien une véritable mémoire qui enregistre l'information reçue des détecteurs 5 pour la renvoyer un peu plus tard au dispositif de pulvérisation et au mécanisme de brosses. Pour assu'rer l'entraînement de l'arbre 12 en synchronisme avec le mouvement du tapis, on relie cet arbre au tambour 2 par une transmission appropriée. En figures 1 et 2, cette transmission a été schématisée sous la forme d'une roue à chaîne 31 calée en bout de l'arbre 12, cette roue étant reliée par une chaîne 32 à un pignon intermédiaire 33, lui-même solidaire d'une roue 34 qu'une chaîne 35 relie à u'n pignon 36 calé sur l'arbre 37 du tambour 2.
En aval des doigts détecteurs 5 la machine comporte un dispositif de pulvérisation auquel on a affecté la référence générale 38 en figure 1. Ce dispositif peut être absolument quelconque. On pourrait notamment le constituer par une simple rampe transversale pourvu'e d'ajutages pulvérisant le produit approprié sur toute la largeur du tapis. Mais suivant l'invention on le réalise préférablement à la façon décrite dans le brevet français précité n[deg] 1.206.746. On rappellera que, suivant ce brevet, le dispositif comprend un chariot qui se déplace en va-et-vient au-dessus du tapis 1 à une vitesse relativement grande par rapport à la vitesse d'avance de celui-ci. Ce chariot porte une ou plusieurs têtes de pulvérisation orientées vers le bas et dont la mise en action est commandée par une vanne électromagnétique.Cette vanne est elle-même commandée électriquement par un commutateur à plots multiples actionnés en synchronisme avec le mouvement de va-et-vient du chariot de manière à effectuer un tour complet pendant un aller et retour de celui-ci. Les plots de ce commutateur sont reliés au contact 28 des tâteurs 22 (fig. 3 à 5) de manière que le pulvérisateur soit placé sous la dépendance de la mémoire correspondant au bras détecteur dans l'alignement longitudinal duquel il se trouve. De cette manière, et comme exposé au brevet français précité, le pulvérisateur ne fonctionne que lors du passage d'une peau et seulement sur la partie transversale du tapis 1 recouverte par celle-ci.
Pour ne pas surcharger inutilement le dessin on n'a pas représenté en figures 1 et 2 les détails du dispositif pulvérisateur 36. En figure 1, on a simplement représenté le montant latéral qui supporte les glissières du chariot, tandis qu'en figure 2 on a uniquement indiqué sous la référence 38 un petit cercle qu'on peut considérer comme représentant une buse de pulvérisation unique portée par le chariot baladeur du dispositif.
La machine comporte enfin un système de brosses mobiles 39 disposé en aval du dispositif de pulvérisation 38 sur le parcours utile du tapis sans fin. Ce système comprend (fig. 6) des glissières transversales 40 portées par deux montants latéraux 41, un chariot 42 monté à coulissement sur ces glissières, un mécanisme à chaîne 43 d'entraînement de ce chariot en va-et-vient, un dispositif de brosses abaissables 44 porté par le chariot 42 et un commutateur de balayage 45 pour commander ces brosses en fonction des mémoires.
Dans la forme d'exécution détaillée en figures 7 et 8 le chariot est réalisé sous la forme d'une plaque verticale solidaire de manchons 46 qui coulissent sur deux tiges représentant les glissières 40.
L'une des faces de ce chariot porte deux nervures verticales 42a entre lesquelles peut coulisser à jeu réduit un taquet d'entraînement 47 solidaire de la chaîne 43 dont les deux brins sont situés dans un plan vertical transversal très voisin de la plaque 42. En figure 7 on a indiqué en traits interrompus en 48 l'une des roues de renvoi de la chaîne 43.
On comprend que, lorsque la roue 48 tourne en entraînant la chaîne 43 dans un mouvement de translation continu, le taquet 47 entraîne lui-même le chariot, l'arrête en fin de course et le fait repartir en sens inverse de façon régulière.
Le chariot ainsi réalisé porte deux vérins pneumatiques verticaux 49, respectivement disposés sur l'une et l'autre de ses faces, à une certaine distance de celles-ci. Dans l'ensemble représenté on a figuré des bras 50 pour relier les deux vérins 49 à la plaque 42. Chaque vérin renferme un piston 51 solidaire d'une tige 52 qui se prolonge vers le bas pour porter une brosse 44 de forme allongée parallèlement à la longueur du tapis sans fin 1.
Chaque brosse 44 est normalement maintenue à la position levée par un ressort 53 inséré entre le piston 51 et le fond inférieur du vérin 49 correspondant. Il est, d'autre part, prévu des moyens (non représentés) pour empêcher la tige 52 de tourner sur elle-même. Par exemple, chaque tige peut comporter une rainure de clavette dans laquelle coulisse à jeu réduit une clavette fixe montée dans le petit manchon de guidage 49a du fond inférieur du cylindre de vérin 49 correspondant. Les deux vérins 49 sont très légèrement décalés l'un par rapport à l'autre dans le sens transversal de manière que les deux brosses 44 puissent se chevaucher en projection sur un plan horizontal. Chaque vérin est commandé par une vanne électromagnétique 54.L'air comprimé est amené aux deux vannes 54 par une canalisation souple 55 élastiquement maintenue au-dessus des glissières 40 de manière à pouvoir suivre le mouvement du chariot. Contre cette canalisation souple sont fixés les deux fils électriques 56 qui assurent l'arrivée de courant aux vannes, le retour étant supposé assuré par la masse.
Le commutateur de balayage 45 des mémoires associé aux brosses est fait en deux éléments, savoir un pour chaque brosse 44 ou, plus exactement, pour la vanne 54 associée à chacune desdites brosses. Chaque élément se présente sous forme circulaire, comme montré figures 9 et 10. Il comprend des plots fixes 57 et un bras de contact tournant 58 qui passe sur eux. Les plots 57 sont disposés sur deux arcs de cercle s'étendant sur un peu moins de 180[deg], ces deux arcs étant séparés par deux plots morts 59. Dans chacun de ces arcs le nombre de plots 57 est égal à celui des mémoires élémentaires du dispositif 9.D'autre part si, comme il est habituel en algèbre, on désigne les mémoires par les lettres successives a, b, c, etc., n en partant par exemple du bas en figure 2, dans l'un des arcs précités (arc inférieur en fig. 9) les plots 57 sont successivement reliés aux contacts tâteurs (23 pour l'un des éléments de commutateur et 24 pour l'autre) des mémoires successives a à n en tournant dans le sens des aiguilles d'u'ne montre, tandis que dans l'autre arc de cercle on retrouve les mêmes liaisons, mais en tournant en sens inverse des aiguilles d'une montre, le tout comme le fait bien ressortir figure 9. Il résulte de cette disposition que lorsque le bras de contact mobile 58 tourne, il balaye les mémoires élémentaires a à n pendant environ un demi-tour, puis les mémoires élémentaires n à a pendant le demi-tour suivant.Le bras de contact mobile 58 de l'un des éléments de commutateur est relié à la vanne 54 correspondant à l'une des brosses 44 et l'autre bras à l'autre vanne.
Les deux bras 58 sont calés sur un même arbre 60 (fig. 10) relié au mécanisme de commande du va-et-vient du chariot 42 de manière à tourner d'un tour complet par aller et retour complet du chariot. Dans l'exemple représenté en figure 10 on a indiqué sur l'arbre 60 une roue 61 qu'une chaîne 62 relie à un pignon 63 calé sur un arbre 64.
Celui-ci est relié par un couple d'engrenages d'angle 65 à l'arbre 66 de la roue 48 d'entraînement de la chaîne 43 qui commande le va-et-vient du chariot 42.
D'autre part, les plots 57 et 59 des deux éléments de commutateur sont portés par un même plateau 67 (fig. 9), par exemple en matière isolante ou doublé d'une telle matière isolante, et ce plateau, convenablement monté à rotation sur le montant 41 correspondant de figure 6, peut être réglé en position angulaire sur celui-ci par le moyen d'un dispositif de réglage micrométrique représenté en figure 9 sous la forme d'une vis tangente 68 man u̇vrée par un volant à main 69 et qui engrène avec des dents 70 prévues sur la périphérie du plateau.
On comprend que lorsque l'appareil fonctionne chacune des brosses 44 est abaissée lorsque le bras de contact mobile correspondant 58 se trouve sur un plot 57 qui correspond à une mémoire élémentaire a à n ayant enregistré antérieurement que la brosse devait s'abaisser. On comprend encore que moyennant un calage convenable du plateau 67 qui porte les plots 57 des deux éléments de commutateur, et moyennent bien entendu un calage convenable des plots 57 d'un élément par rapport à ceux de l'autre sur ledit plateau 67, on puisse s'arranger pour que le bras 58 considéré se trouve sur ledit plot 57 au moment où la brosse 44 se trouve elle-même dans l'alignement de la mémoire.
Comme dans chaque élément les plots 57 sont disposés suivant deux arcs de cercle symétriques par rapport à un même diamètre (voir fig. 9), la correspondance réalisée à l'aller du chariot 42 est également assurée au retour de celui-ci.
On comprend enfin que moyennant un calage approprié des contacts tâteurs 23 et 24 autour des cylindres 10 des diverses mémoires, on puisse obtenir que chaque mémoire abaisse une brosse 44 au moment où le point de la peau dont elle a enregistré le passage au droit des détecteurs 5 se trouve dans le plan transversal moyen de la brosse considérée.
Toutefois si l'on se contentait de cette correspondance, chaque peau transportée par le tapis 1 serait traitée par les brosses 44 exactement entre ses deux bords longitudinaux. En raison de l'imprécision inévitable due au fait que les détecteurs ne sont pas en nombre illimité, on courrait le risque que les brosses ne s'abaissent un peu trop tôt et ne viennent soulever le premier bord de la peau qu'elles rencontrent lors de chaque course du chariot 42 (bord amont, comme on l'a appelé plus haut).
Pour éviter cet inconvénient on décale volontairement le plateau 67 dans le sens de rotation des bras de contact mobiles 58 (soit donc dans le sens des aiguilles d'une montre en fig. 9 et 10). Dans ces conditions les plots 57 sont balayés avec un certain retard par rapport à la position théorique, de sorte que les brosses s'abaissent et se soulèvent elles-mêmes avec un certain retard. Il est facile de voir que moyennant cette précaution l'on obtient une action parfaitement régulière des brosses sur la peau, sans aucun risque de relever les bords de celle-ci.
Figure 11 fait bien comprendre ce qui précède. Dans cette figure on a supposé, pour simplifier, que la peau à traiter, référencée 71, présentait la forme d'un rectangle BCDE. Si l'on considère l'aller du chariot (flèche 72), avec le réglage théorique du commutateur de balayage et en supposant un nombre de détecteurs très grand, la brosse devrait s'abaisser sur la ligne BC puis se relever sur la ligne ED, tandis que, lors du retour (flèche 73), elle s'abaisserait sur la ligne ED pour se relever sur la ligne BC.Si l'on décale le plateau 67 d'une petite quantité dans le sens du retard, lors de l'aller (flèche 72) la brosse s'abaissera sur la ligne B'C' et se relèvera sur la ligne E'D', la ligne B'C' étant sur la peau un peu en aval du bord amont BC et la ligne E'D' sur le tapis, un peu en aval du bord aval ED de ladite peau, tandis que lors du retour (flèche 73) la brosse s'abaissera sur la ligne E"D", située sur la peau, pour se relever sur la ligne B"C" située sur le tapis. La peau aura bien été brossée régulièrement sur toute sa surface sans que la brosse ait jamais risqué de relever le premier bord ou bord amont qu'elle rencontre. Figure 12 représente graphiquement le mouvement des brosses.La largeur de la peau étant représentée en CD sur l'axe horizontal, la brosse suit à l'aller le parcours MNPQRS décalé vers la droite par rapport au segment CV, tandis qu'au retour elle suit le parcours STUVW vers la gauche par rapport à ce même segment. Figure 2 montre une autre façon de voir les choses. Dans cette figure on a représenté en 71 la peau rectangulaire à l'entrée sur la machine. 71a montre la position de la peau à l'instant où elle passe sous les détecteurs 5. Ceux-ci balayent cette peau suivant des lignes longitu'dinales en enregistrant dans les mémoires 9 la présence de la peau. En d'autres termes les mémoires 9 enregistrent l'image rectangulaire de cette peau.
Le tracé 71b représente la peau à l'instant où elle arrive sous le dispositif de pulvérisation 38.Celui-ci fonctionne d'après les mémoires, c'est-àdire qu'il pulvérise du liquide sur l'image de la peau qui lui est transmise par les mémoires. Si les contacts tâteurs 22 des mémoires ont bien été réglés et si le commutateur de balayage correspondant au dispositif de pulvérisation a été correctement calé, l'image transmise par les mémoires coïncide avec la position réelle de la peau et par conséquent le liquide de traitement est bien uniquement pulvérisé sur celle-ci, comme prévu au brevet français n[deg] 1.206.746 précité. Les erreurs de définition résultant de l'espacement des détecteurs et du fait que la vitesse de va-et-vient du pulvérisateur n'est pas infinie par rapport à la vitesse d'avance du tapis, sont compensées par la dispersion inévitable du jet pulvérisé.
Le tracé 71c représente la position de la peau sous le système de brosses. Si ce mécanisme avait été réglé de façon rigoureusement exacte comme le dispositif pulvérisateur, l'image de la peau transmise par les mémoires par l'intermédiaire des contacts tâteurs 23 et 24 et du commutateur de balayage 45 coïnciderait avec le tracé 71c et les brosses s'abaisseraient sur ce tracé, au risque de relever les bords de la peau.Mais en raison du décalage volontaire du- commutateur de balayage 45, les brosses agissent en réaliste sur deux images rectangulaires 71d et 71e décalées transversalement de part et d'autre de la position réelle 71c de la peau, de sorte que bien que celle-ci soit brossée sur toute sa surface, il n'y a pas de risque que ses bords soient soulevés par les brosses (en fig. 2 pour la clarté du dessin on a dû légèrement décaler longitudinalement les trois tracés 71c, 71d et 71e les uns par rapport aux autres, mais il doit être entendu que ce décalage longitudinal n'existe pas en réalité).
Dans ce cas les erreurs de définition auxquelles on a fait allusion pour le dispositif de pulvérisation sont compensées par la longueur donnée aux brosses 44 dans le sens longitudinal du tapis.
Il y a encore lieu de noter que les deux brosses 44 étant commandées par des contacts tâteurs séparés et par des éléments de commutateur séparés, il est possible de les faire agir sur deux images séparées de la peau. En d'autres termes, lorsque la peau 71 arrive vers le mécanisme de brosses, c'est la brosse 44 la plus à droite en figure 2 qui commence à entrer en action, l'autre ne le faisant qu'un instant après, tandis qu'inversement la brosse la plus à droite s'arrête d'agir avant celle la plus à gauche.
L'invention a donc bien permis d'établir une machine à flancher les peaux qui assure de façon automatique la totalité du traitement, savoir pulvérisation du liquide, puis brossage, en évitant radicalement les inconvénients rencontrés jusqu'ici dans les appareils de brossage automatique.
Il y a lieu de remarquer qu'il n'est nullement obligatoire de donner aux brosses un mouvement transversal rectiligne alternatif. En variante l'on pourrait parfaitement leur impartir un mouvement circulaire autour d'un axe vertical. Il suffirait de décaler convenablement les tâteurs 23 et 24 correspondant aux diverses zones longitudinales du

Claims (7)

  1. tapis pour que chacun soit actionné lorsque le point de la peau dont la mémoire correspondante a gardé l'image passe sur le cercle représentant le trajet des brosses. Cette disposition de machine à mouvement circulaire des brosses présente d'ailleurs l'avantage de permettre en pratique de plus grandes vitesses que le mécanisme susdécrit à mouvement alternatif. Il doit d'ailleurs être entendu que la description qui précède n'a été donnée qu'à titre d'exemple et qu'elle ne limite nullement le domaine de l'invention dont on ne sortirait pas en remplaçant les détails d'exécution décrits par tous autres équivalents. On comprend que le dispositif d'entraînement en va-et-vient du chariot porte-brosses pourrait être autre que celui figuré. De même l'abaissement et le relevage des brosses pourraient être commandés d'une manière différente de celle décrite. Il serait même possible d'imaginer d'autres genres de mémoires pour enregistrer le passage des peaux et assurer la commande des brosses. Le passage des peaux pourrait être détecté par voie photo-électrique ou de toute autre façon. RÉSUMÉ Machine à flancher les peaux comportant essentiellement un tapis transporteur sans fin sur lequel on dispose les peaux à traiter, des dispositifs détecteurs répartis sur la largeur de ce tapis de manière à déceler à chaque instant la partie de cette largeur occupée par la ou les peaux, un dispositif de mémoire qui enregistre l'information reçue des détecteurs, un dispositif de pulvérisation propre à appliquer sur les peaux en aval des détecteurs le produit destiné à assurer le flanchage, un mécanisme se déplaçant en travers du tapis transporteur en aval du dispositif de pulvérisation à une vitesse élevée par rapport à la vitesse d'avance du tapis, ce mécanisme portant au moins une brosse propre à être abaissée sur les peaux à l'instant du passage de celles-ci, un commutateur tournant en synchronisme avec le mouvement dudit mécanisme de manière à balayer les diverses mémoires élémentaires du dispositif de mémoire en les reliant sélectivement à l'appareil de commande du déplacement vertical de la brosse, et des moyens permettant de retarder le déplacement de la brosse par rapport à la position sur la largeur du tapis du détecteur auquel correspond la mémoire élémentaire qui provoque l'abaissement de la brosse, ladite machine pouvant en ou'tre comporter les autres caractéristiques ci-après, séparément ou en combinaison :
    1. L'on utilise en guise de détecteurs et de mémoires un dispositif à cylindre percé d'une rangée circulaire de trous longitudinaux dans lesquels coulissent des aiguilles dont la longueur est supérieure à l'épaisseur du cylindre, l'enregistrement s'effectuant par déplacement longitudinal des aiguilles dans le cylindre;
  2. 2. Le dispositif de pulvérisation de la machine est commandé par le même dispositif de mémoires que le mécanisme de brosse, chaque mémoire élémentaire comportant plusieurs tâteurs;
  3. 3. Le retard à l'actionnement de la brosse est réalisé par décalage du commutateur tournant de balayage des mémoires par rapport au mécanisme d'entraînement des brosses;
  4. 4. Il est prévu plusieurs brosses portées par le même mécanisme et légèrement décalées les unes par rapport aux autres sur la longueur du tapis, chacune d'elles étant commandée par les mémoires de façon séparée par l'intermédiaire d'un élément individu'el de commutateur de balayage;
  5. 5. Le mécanisme d'entraînement des brosses comporte un chariot entraîné en va-et-vient par un taquet solidaire d'une chaîne sans fin à mouvement continu;
  6. 6. Le chariot porte deux vérins pneumatiques verticaux, la tige de chaque vérin portant en bout une brosse susceptible d'être abaissée sur le tapis à l'encontre d'un ressort de rappel ou' équivalent;
  7. 7. Les vérins sont commandés par deux vannes électromagnétiques, elles-mêmes commandées par deux éléments de commutateur de balayage entraînés en synchronisme avec la chaîne sans fin de manière à tourner exactement d'un tour pour un mouvement complet de va-et-vient du chariot.
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