CH95408A - Machine à graver. - Google Patents

Machine à graver.

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CH95408A
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CH
Switzerland
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English (en)
Inventor
Cie Lienhard
Original Assignee
Lienhard & Cie
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B44DECORATIVE ARTS
    • B44BMACHINES, APPARATUS OR TOOLS FOR ARTISTIC WORK, e.g. FOR SCULPTURING, GUILLOCHING, CARVING, BRANDING, INLAYING
    • B44B3/00Artist's machines or apparatus equipped with tools or work holders moving or able to be controlled substantially two- dimensionally for carving, engraving, or guilloching shallow ornamenting or markings

Landscapes

  • Machine Tool Copy Controls (AREA)

Description


      Machine    à     graver.       Les machines auxquelles nous donnons ici  le nom générique de machines à graver et qui  comprennent les machines que l'on connaît  dans le commerce sous le nom de machine à  réduire, machines à copier, machines à guil  locher, etc., .sont toutes construites sur le prin  cipe du pantographe. Elles possèdent une       touche    ou palpeur s'appuyant sur le modèle  et qui, par l'entremise d'un parallélogramme,  transmet à     l'outil,    généralement une fraise,  les mouvements qui lui sont imprimés par  les creux et les bosses du modèle qui passe  devant elle.  



  Ces machines     comportent    donc nécessaire  ment tout un système de leviers et de tringles  extrêmement encombrant et lourd du fait que  tout le support de la touche ainsi que le sup  port de l'arbre porte-fraise sont portés et mûs  par tous ces organes. Ces leviers et ces tringles  ont nécessairement une grande inertie. On  est donc obligé de les supporter, de les pivoter  et de les équilibrer très exactement, ce qui  devient difficile lorsqu'on a affaire à des mo  dèles soignés et compliqués dans lesquels la  touche se meut constamment de longueurs  infimes.    Ces difficultés de     construction    augmen  taient considérablement le prix de revient de  la machine, la compliquaient et la rendaient  extrêmement encombrante.  



  Dans la.     machine    à graver selon la présente  invention, qui peut être également une ma  chine à réduire, une     machine    à guillocher ou  une machine à copier, on .a tourné la difficulté  en laissant les supports de la touche et de  l'arbre porte-fraise fixes et en montant à leur  intérieur ladite touche .et ledit arbre     porte-          fraise    de manière que tous deux soient Mo  biles     longitudinalement    à l'intérieur de ces  supports. On obtient de cette manière de très  petites masses à mettre en mouvement, ce qui  simplifie considérablement la construction de  la machine et lui permet de travailler beau  coup plus rapidement et plus finement tout en  étant bien moins encombrante.  



  Il est montré, à titre d'exemple, au dessin  ci-annexé une forme d'exécution d'une ma  chine à graver destinée à la fabrication auto  matique des roulettes chiffrées de numéro  teurs à partir     @d'ün    modèle dont on peut varier  les proportions.      La     fig.    1 montre la machine vue de face;  la     fig.        2-1a    montre en plan; la     fig.    3 la montre  vue de côté depuis la gauche de la     fig.    1;

    la     fig.    4 en est une coupe selon la ligne  IV-IV de la     fig.    1, et la     fig.    5 une coupe  également, mais partielle selon la ligne     V-V     de la     fig.    4.  



  Tous les organes de la machine sont portés  par un bâti creux désigné par a, sur lequel  est tourillonné l'arbre moteur b recevant son  mouvement par une poulie     b1    et qui se ter  mine d'un bout par une poulie étagée     b"    et  de l'autre par une poulie à corde     b3.    La pou  lie     b"    est en relation au moyen d'une courroie  non représentée avec une autre poulie étagée  cl, montée en porte à faux à l'extrémité de  l'arbre c qui traverse le bâti de part en part.  Cet arbre c porte la vis sans fin     c3    en relation  avec une roue hélicoïdale dl solidaire de l'axe  d perpendiculaire au     bâti    et portant la pièce  à travailler.  



  L'arbre c est en relation au moyen d'un  engrenage avec un arbre e qui lui est parallèle  et qui porte également une vis sans fin     e1    en  relation avec une roue hélicoïdale     f    calée sur  l'arbre f. C'est sur ce dernier que vient se fixer  le modèle. L'arbre d ainsi que l'arbre f tour  nent dans des paliers solidaires -de glissoires d\  et f  qui peuvent être déplacées dans des cou  lisses pratiquées dans la face supérieure du  bâti. Ces coulisses permettent l'ajustage aussi  bien du modèle que de la pièce à travailler  suivant leur diamètre relativement à la touche  et à la fraise.

   Cet ajustage peut se faire sans  précautions spéciales, les roues hélicoïdales  dl et     f1    tournant avec leur axe lorsqu'on pro  mène les glissoires     d"    et<B><I>f</I></B> à l'intérieur de  leurs coulisses respectives.  



  Le dernier étage de la poulie     b"    est en  relation an moyen d'une courroie non     reprc#-          sentée    avec une poulie 9 tournant folle sur un  tourillon fixé dans le bâti. Cette poulie peut  se solidariser .avec l'un des mobiles d'un en  grenage dont le second mobile est fixé en  bout de l'arbre     g3.    Le mouvement de ce der  nier est transmis par un engrenage hélicoïdal  à un axe     1r,    perpendiculaire au bâti qui porte  sur la surface supérieure de celui-ci un pi-    brion conique     1r,1    engrenant dans un dit faisant  tourner un arbre     i    à.

   l'extrémité duquel se  trouve une petite poulie à rainure destinée à  faire tourner, au moyen d'une corde non des  sinée, la touche d. Sur l'autre extrémité de  l'arbre     la    est calée une vis sans fin engrenant  avec une roue hélicoïdale     1c1    calée sur l'arbre  <B>le.</B> Celui-ci traverse également le bâti dans  toute sa largeur et porte sur le devant de la.  machine la came     1c'    que l'on voit en fi-. 1.  



  La touche<I>t</I> et l'arbre porte-fraise<I>1.</I> sont  tous deux animés d'un mouvement de rotation       q111    leur est imposé, pour la première, par  la poulie calée au bout de l'arbre i et, pour la  seconde, par une corde qui entoure partielle  ment la poulie     b5    et dont les deux brins  s'étendent tout au travers de la machine pour  s'enrouler sur une partie de la périphérie des  poulies     b     et     b5    et s'en aller entre ces deux  dernières mouvoir la poulie     l1    de l'arbre 1.  



  La touche comme l'arbre porte-fraise sont  mobiles     a.xialement    à l'intérieur de leurs sup  ports; ces derniers sont portés     par    des cha  riots verticaux<I>1\</I> et     t"    qui     s'appuyent    tous  deux sur des réglettes     wl    et     m'    pivotées toutes  deux sur une     règle        m-    qui est montée sur le  devant du     bâti    de manière à pouvoir y glisser  horizontalement,     c'est-à--dire    de gauche à  droite et, de droite à gauche sur la     fig.    1.

    L'inclinaison de ces réglettes ml et     7n\    peut  être réglée au moyen de vis à pas très fin.  Le contact entre les glissoires verticales     I"    et  <I>t\</I> et les réglettes inclinées<I>ne</I> et     aW    est établi  au moyen de galets pivotés à     l'extrémité    de  réglettes dont la position, relativement aux  chariots précités, est également réglable si  bien que par leur moyen la hauteur de la  louche ainsi que celle de l'axe de l'arbre       porte-fraise        reuvent    être ajustées selon les  besoins.

   Ceci est nécessaire pour pouvoir mon  ter sur la, machine et travailler par son moyen  des modèles et des pièces (le     différentes    hau  teurs.  



  Les mouvements de la. touche sont trans  mis à l'arbre porte-fraise     par    l'intermédiaire  d'un système de     leviers    et de bielles qui com  prend les leviers coudés     1t@    et     7a"        pivotés    tous      deux sur les bras coudés     W    et     n     d'un support       7a    fixé au bâti.

   Ces leviers coudés portent à  l'extrémité d'un de leurs bras des petits pla  teaux     p'    et     p2    dont la position est réglable  au moyen de vis et qui     s'appuyent    l'un contre  l'arbre porte-fraise et l'autre contre le bout  extérieur de la touche. Les autres bras des  leviers ni et     n"    possèdent chacun une coulisse  à l'intérieur .de laquelle peut glisser un prison  nier. Ces deux bras ,sont reliés par une     biel-          lette        q    dont la position peut être variée.

   C'est  au moyen de cette biellette que le     rapport    des  grandeurs des mouvements longitudinaux de  la touche et de l'arbre     porte-fraise    est réglé.  Dans la position dessinée en     fig.    2, le rapport  est de 1 à 1 vu que les distances séparant l'axe  des prisonniers des axes de rotation W et     n      des leviers coudés sont égales.  



  La règle     7n    est sollicitée vers la droite par  un ressort     îW    qui la fait appuyer, par l'inter  médiaire d'un galet, contre un bras r pivoté  dans le bâti et s'appuyant par l'intermédiaire  d'un goujon contre la came     7c2    fixée au bout  de l'arbre     k..    Le pourtour de cette came a la  forme d'une spirale     d'archimède    si. bien qu'à  chaque rotation l'arbre x est poussé vers la  gauche et transmet son mouvement à la, règle       iu.    Lorsque ce levier     r    est à.

   l'extrémité de  sa course, un prolongement     r    de la came     k2          appuye    sur un galet     r'    fixé à l'extrémité d'un  bras r\ pivoté sur le bâti et s'étendant jusque  derrière la poulie     t'    de la touche<I>t,.</I> Ces. organes  sont entre eux dans une relation telle qu'une  fois la règle     Ira    arrivée à fond de course le  bras     j.2    agisse sur la poulie     t'    pour retirer la  touche     du    modèle.  



  La came     k\    porte encore un nez 7? que  l'on voit en     fig.    1 qui oscille autour du même  axe que ladite came et dont la position peut  être réglée     au    moyen d'une vis à portée, se  fixant dans diverses positions à l'intérieur  d'une échancrure que     porte    la came     1c2.    Ce nez  a pour fonction de libérer la tige de débrayage  s portant la. fourchette de courroie     s',    pour  faire glisser cette dernière sur la. poulie folle  et arrêter la. machine.  



  La machine représentée fonctionne comme  suit: Un modèle gravé au préalable est fixé    sur l'extrémité de l'arbre f et la pièce à graver  tournée de grandeur voulue est fixée, elle, à  l'extrémité de l'arbre d. Ces deux pièces sont  amenées en contact avec la touche, d'une part,  et avec la fraise de l'autre en faisant glisser  les chariots     d2    et     f2    sur leurs coulisses respec  tives.  



  On règle ensuite le rapport de     profondeur,     c'est-à-dire le rapport qu'il doit y avoir     entre     les creux et les bosses du modèle     original    et  les creux et les bosses que l'on doit pratiquer  sur la périphérie de la roulette à graver.     Ceci     s'obtient au moyen de la     biellette        q.    Si.<B>la</B>  distance séparant l'axe de pivotement     n3    de  l'axe du prisonnier du bras de levier corres  pondant est plus grande que la distance qui  sépare le point de pivotement     n'    de l'axe (lu  prisonnier fixé sur le levier     n?,    on aura une  augmentation de la hauteur du relief du mo  dèle.

   Le contraire aura lieu si les distances  en question se trouvent dans un rapport in  verse.  



  On aborde ensuite le rapport des largeurs  du modèle et des roulettes; cette opération  se fait au moyen des réglettes     Ira'    et     în'    due  l'on incline plus ou moins .suivant les circons  tances. L'angle que doit faire la réglette     id     avec horizontale est donné par la hauteur du  modèle. Il faut que, lorsque la règle m, est à  fond de course, le support vertical     t2    ait fait  exécuter à la touche un mouvement explora  toire descendant à partir du haut du modèle  jusqu'à son     point    extrême inférieur. Si la  réglette     ara'    a la même inclinaison, le chariot     l2     descendra de la même quantité pendant la  même course.

   Ceci correspondra à une largeur  de pièce égale à celle qu'a le modèle.  



  En général cependant, les roulettes de       numéroteurs    sont très minces. Le modèle,  par contre, doit être assez large pour pouvoir  être travaillé facilement et recevoir un fini  suffisant pour obtenir un     travail    propre. On  réduira conséquemment la hauteur de course  du chariot     l2    en inclinant la réglette     m'    d'une       quantité    correspondant à la largeur de la  pièce à travailler. Il faudra que, lorsque le  chariot 12 est au bas de sa course, la fraise ait      également exploré toute la largeur de la pièce  à travailler.  



  On met ensuite la machine en marche en  embrayant au moyen de la tige s par l'inter  médiaire de laquelle la courroie se tire sur la  poulie fixe.  



  La façon dont sont conjugués les arbres       d   <I>et f</I> garantit un synchronisme parfait et ceci  quelles que soient leurs positions relatives à  la, surface supérieure du bâti. Un ressort qui  n'est pas représenté     appuye    constamment le  plateau     p'    sur l'extrémité de la touche si bien  que cette dernière a toujours la tendance de  pénétrer à l'intérieur du modèle. Elle est  taillée légèrement pointue et les bosses du mo  dèle font avec la     base    de laquelle elles s'élè  vent un angle tel que, lorsque le modèle  tourne, lesdites bosses peuvent pénétrer sous  la touche légèrement arrondie dans ce but.  



  Cette montée .de la touche sur les bosses  en question est grandement facilitée du fait  que la. poulie en bout (le l'arbre i. lui commu  nique un mouvement de rotation augmentant  énormément sa sensibilité. Chaque fois qu'elle       monte    sur une bosse, la touche, par     l'inter-          n?édïaire    du plateau     d\,    actionne le levier  coudé     r2'.    Les oscillations de ce dernier sont  transmises, par la biellette au levier coudé     îr"     qui oscille de manière à retirer le plateau p'  de sur     l'extrémité    de l'arbre porte-fraise 1.

    Un petit ressort sous l'influence duquel ce der  nier arbre se trouve constamment le retire de  la. surface de l'ouvrage. Ce mouvement est       également        facilité    du fait que la fraise est  animée d'un mouvement de rotation très ra  pide.  



  Lorsque la touche pénètre dans un creux,  c'est alors le     ressort    agissant sur le plateau     p'     qui transmet à. la fraise une impulsion pou"  la. faire pénétrer à. l'intérieur du métal.  



  Au fur et à mesure que le modèle tourne  et influence la fraise, la came     k"    fait avancer  la     règle   <B>ni</B> et les supports     r    et     t"    exécutent  leur mouvement descendant. Ce dernier est       e@:cessivement    lent si bien que les pas hélicoï  daux que la fraise trace sur la périphérie de  la pièce à travailler sont si près les uns des  autres qu'ils arrivent à se recouvrir du fait    de l'épaisseur de l'outil. Les surfaces planes  du modèle sont reportées également planes  sur la pièce à travailler.  



  Lorsque la règle     w.    arrive à fond de course,  c'est-à-dire lorsque toute la hauteur du mo  dèle a été parcourue par la touche, le prolon  gement r  de la came 1,     appuye    sur le galet     r1.     Ceci a pour effet de mettre la touche hors de  portée des     aspérités    du modèle et cette posi  tion est maintenue jusqu'à ce que le goujon du  levier     7-        appuye    de nouveau sur le plus petit  rayon de la spirale d'     Archimède    et permette  ainsi à la règle<I>art,</I> de revenir dans sa position  initiale.

   A ce moment, le nez<I>7c3</I> de la came  k\     .déclanche    un dispositif arrêtant la tige s  et cette dernière part, sous l'influence d'un  ressort, pour mettre la courroie sur la     poulie     folle et arrêter la machine. La rondelle est  alors terminée et la machine prête a recevoir  une autre pièce.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine à graver, caractérisée en ce que sa touche est mobile longitudinalement à l'in térieur (le son support et transmet les mouve ments qui lui sont imprimés par le modèle à. un arbre porte-fraise également mobile axiale- ment. SOUS-REVENDICATIONS 1 Machine ü, graver selon la. revendication, caractérisée en ce que la. touche est animée d'un mouvement -de rotation.
    Machine à gras er selon la sous-revendica- tion 1, caractérisée en ce que les mouve ments axiaux de la. touche sont transmis à l'arbre porte-fraise par l'entremisse de deux leviers coudées. o Machine à. graver selon la sous-revendica- tion 8, caractérisée en ce que les leviers coudés comportent des glissoires réunies par une biellette tle la position de laquelle dépend le rapport des courses de la touche et de la fraise.
    4 Machine à graver selon la sous-revendico- tion 3, caractérisée en ce que la touche et l'arbre porte-fraise sont connectés avec l'ensemble des leviers coudés par des pla teaux contre lesquels ils appuyent. 5 Machine à graver selon la revendication, caractérisée en ce que les supports dans lesquels glissent la touche et l'arbre porte-fraise sont placés tous deux sur des glissoires verticales.
    6 Machine à graver selon la sous-revendi- cation 5, caractérisée en ce -que les glissoires verticales portant les supports de la fraise et de la touche reposent sur une règle qui régit leur mouvement exploratif vertical. 7 Machine à graver selon la sous-revendica- tion 6, caractérisée en ce que la règle régis sant le mouvement exploratif vertical de la touche et de la fraise comporte des réglettes d'inclinaison variable sur les quelles les glissoires verticales des sup ports reposent par l'intermédiaire de ga-, lets.
    8 Machine à graver selon la revendication pour graver des roulettes de numéroteurs, caractérisée en ce que la touche et la fraise se meuvent perpendiculairement aux axes de rotation respectivement du modèle et de l'ouvrage. 9 Machine à graver .selon la sous-revendica- tion 8, caractérisée en ce que les axes de rotation du modèle, respectivement de . l'ouvrage, sont portés chacun par une glis soire permettant d'ajuster la position de ces axes par rapport à la touche, respec- tivem,ent à la fraise.
    10 Machine à graver selon la sous-revendica- tion 9, caractérisée en ce que les glissoires mentionnées sous 9 peuvent être mues pa rallèlement à deux vis sans fin faisant par tie d'engrenages hélicoïdaux transmettant à la pièce à travailler et au modèle leur rotation.
CH95408D 1920-12-17 1920-12-17 Machine à graver. CH95408A (fr)

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