CH84336A - Water hammer damper device - Google Patents

Water hammer damper device

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CH84336A
CH84336A CH84336A CH84336DA CH84336A CH 84336 A CH84336 A CH 84336A CH 84336 A CH84336 A CH 84336A CH 84336D A CH84336D A CH 84336DA CH 84336 A CH84336 A CH 84336A
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CH
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piston
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water
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CH84336A
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Joseph Bouvier Henri
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Joseph Bouvier Henri
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Description

  

  Appareil amortisseur des coups de bélier dans les conduites d'eau.    La     présente        invention    a pour objet.     un     appareil     destiné    à empêcher la production  des coups     cie    bélier dans les conduites d'eau,  et, tout particulièrement, dans les conduites  forcées qui alimentent des turbines, ou au  tres appareils hydrauliques, qui, par leur       réglage,    sont susceptibles de produire, clans  les     conduites        cl'eau,    (les variations plus ou  moins brusques du débit (le ces conduites.  



  On sait crue toute     variation    brusque de  débit. donne lieu à une série     d'ondes    com  portant. chacune une période (le surpression  et une période de dépression par rapport  à la pression     clcii    existait avant cette varia  tion.  



  Les périodes de surpression     deviennent          clang,ei erises    ou nuisibles, lorsqu'elles amè  nent des pressions supérieures à la     pression     statique,     c'est-à-dire    à la pression     que        sup-          poi te    la conduite     d'eau        quand    il n'y a pas de.

    débit, car c'est     toujours    la pression statique  qui sert de base pour le calcul de la     résis-          l.ance    à     donner    à     111    paroi d'une     conduite          forcée.       Si on     petit    faire en sorte que la pression  dans une conduite ne puisse jamais dépas  ser que très faiblement la pression statique,  et cela en     toute    circonstance, on réalisera à  la fois une condition de sécurité et une con  dition d'économie dans le coût d'établisse  ment de     cette    conduite,

   puisqu'on n'aura  pas à prévoir des     surépaisseurs    capables de  résister à des surpressions accidentelles.  



  Dans ce     (titi    va suivre, on appellera sur  pression toute     pression    qui sera supérieure  à. la. pression statique.  



  On conçoit que si au moment où se pro  duit     titi    coup de bélier et aussitôt. que dé  bute la période de surpression, on peut.,     ins-          tantanéinent,        ouvrir    un orifice de décharge  (le     section    suffisamment grande, la première  oncle qui aura. produit cette surpression va  se trouver arrêtée dans son     développement,     elle sera en     réalité    amortie, et le phénomène  ondulatoire qui accompagne toujours le       coup    (le bélier     disparaîtra    rapidement.  



       Lorsque    toute surpression aura disparu,  il     conviendra.    d'effectuer la     fermeture    de       l'orifice    (le     décharge    qui aura été momen-           ta.nénlent        ouvert,    afin que cet orifice puisse       s'ouvrir    à nouveau, lorsqu'il en sera besoin,  et aussi pour éviter une dépense d'eau  inutile.  



  Mais, pour opérer cette fermeture, il est  une condition essentielle à réaliser, c'est       çtu'elle    s'effectue assez lentement pour  qu'elle ne puisse pas provoquer à son     tour     un nouveau coup     cle    bélier qui pourrait être  tout     aussi        dangereux,    sinon plus; que le coup  de bélier initial.  



       L'ouverture    rapide de l'orifice de décharge  et la réalisation de sa fermeture lente et  progressive constituent un double objectif  à. réaliser, double objectif qui fait l'objet de  la présente invention.  



  Celle-ci consiste en un appareil amortis  seur des coups de bélier dans les conduites  d'eau, comportant un piston indicateur, qui  reçoit sur une de ses faces la pression qui  existe à chaque instant. clans la     conduite     d'eau et qui, clans le sens opposé à l'effort  résultant de cette pression, reçoit l'action  d'une force constante, ou très     sensiblement     constante, obtenue par l'action d'un contre  poids ou par tout autre moyen, force qui est  déterminée de telle façon qu'elle soit très  sensiblement égale à l'effort exercé par l'eau  sur le piston lorsque la pression     statique     existe dans la conduite d'eau, cette disposi  tion     ayant    pour effet.

   que le piston indica  teur s'éloigne de sa position de repos dès  que la pression de l'eau clans la conduite  devient supérieure et     pendant    tout le temps  où elle reste supérieure. à la pression stati  que et ledit piston étant relié par l'intermé  diaire d'un servomoteur à une soupape de  décharge qui s'ouvre en même temps que  le piston     indicateur    s'éloigne de sa position  de repos, ce qui donne lieu à un écoulement  d'eau empêchant la production de toute sur  pression     dangereuse,    cette soupape se refer  mant ensuite lentement, et d'une façon in  dépendante du mouvement plus ou moins  rapide de retour     dit    piston indicateur vers  sa position de repos,

   ce qui a pour effet d'é  viter     pendant    cette fermeture, et du fait     de;          cette    fermeture, toute surpression capable    d'amorcer des oscillations successives     (les     organes qui constituent l'appareil amortis  seur.  



  Les     fig.    1, 2, 3, 4 et 5 du dessin ci-annexé       représentent    schématiquement en coupe, à  titre d'exemples, plusieurs formes de réali  sation d'appareils qui permettent     d'obtenir     les résultats qui viennent. d'être indiqués;  La     fig.    6 représente en coupe le schéma  (le l'accouplement d'un appareil selon l'in  vention avec un appareil compensateur de       débit    selon le brevet français N  329407 en  date du 16 février 1903.  



  L'appareil représenté,     fig.    1, se     compose     essentiellement d'un piston indicateur A,  qui reçoit, sur une de ses faces, la pression  qui existe à chaque instant dans la conduite  principale B, laquelle est en communication  avec. la chambre     Cl    du servomoteur C, et.  par     l'intermédiaire        du    tuyau D avec le cy  lindre     F;    clans lequel se meut. le piston A.  



  La pression qui s'exerce ainsi sur le pis  ton A varie selon due la perte de charge clans  la     conduite,    forcée est plus ou moins grande,  elle varie aussi au moment où se produisent  des variations de débit dans la conduite,  mais, pour chaque installation, cette pression  prend une valeur bien déterminée     p,    lors  que la conduite est soumise à la pression  statique de l'eau, c'est-à-dire lorsqu'il ne se  produit aucun débit dans la conduite.  



  Dans le sens opposé à     l'effort    p. on fait,  agir sur le piston A une. force égale ou lé  gèrement supérieure à la valeur de p. Cette  force peut être obtenue soit au moyen d'un  contrepoids F, ainsi qu'il est figuré au des  sin, soit au moyen d'un fluide maintenu à.  une pression constante, soit au moyen d'un  ressort. antagoniste ayant une souplesse suf  fisante pour exercer un effort.     sensiblement     constant. soit. enfin, au moyen de l'action  simultanée d'un contrepoids et. d'un ressort.  



  La tige a du piston A     est.    reliée, par     l'in-          termédiaire    de la biellette     b,    à une des ar  ticulations     q    d'un levier G. A l'articulation       ot    vient     s'attacher.    par     l'int.ermédiaire    d'une  biellette c, la tige h. d'une soupape H. Cette  soupape peut ouvrir ou fermer l'orifice d'un      tuyau d'échappement 1. La chambre .1, de  laquelle part le tuyau d'échappement 1, est  en communication constante, par l'intermé  diaire du tuyau     Jl,    avec l'espace annulaire  C  du cylindre     C,    du servomoteur.

   Dans ce  cylindre C peut se mouvoir un piston K qui  est relié d'un côté avec le piston     Kl    formant  soupape de décharge et qui, de l'autre côté,  se prolonge par     une    partie cylindrique K'  de diamètre     moindre    que     Kl.    La partie cy  lindrique K' est elle-même reliée, par la  tige     k,    à l'articulation g' du levier G.

   Enfin,  l'espace annulaire C  est relié directement  à la     conduite    principale B par     l'in.termé-          chaire    du tuyau L, en un point duquel se  trouve interposé un pointeau M permettant  de réduire dans la mesure nécessaire la sec  tion de l'orifice de     passage.de    l'eau allant  de la     conduite    B à l'espace annulaire C'.

    Lorsque la soupape H est fermée, la pres  sion (le la conduite s'exerce des deux côtés  du piston     K,    mais le diamètre de la partie  cylindrique     K'    étant. moindre que celui du  piston soupape     Kl,    la différence des pres  sions qui s'exercent sur les deux faces du  piston K. a pour effet d'appliquer fortement  le piston soupape KI sur son siège. Si la  soupape H vient à s'ouvrir, elle met l'espace  annulaire C' en communication avec le  tuyau d'échappement 1; il se produit. alors  un abaissement de pression dans l'espace C',  car l'orifice, laissé ouvert par le pointeau     117,     est trop faible pour que cette pression puisse  se maintenir.

   L'effort qui s'exerce sur le  piston K du côté -de Cl devient alors plus  grand due celui qui s'exerce     du    côté Cie C'.  et, à ce moment, le piston K se soulève     en-          lraînant.    avec lui le piston K', ce qui amène  l'ouverture de l'orifice du tuyau de dé  charge 0.  



       5i,    maintenant, la soupape H vient à se  fermer, le piston     K    est. immédiatement ar  rêté dans sa course ascendante, car la pres  sion clé la conduite B se rétablit immédiate  ment dans l'espace annulaire C', ce qui pro  voque     aussitôt    un mouvement en sens in  verse du piston K, mais la vitesse de ce  mouvement clé     descente        dépendra    du     débit       de l'orifice dont la section est. réglée par le  pointeau     M,    cette vitesse sera d'autant plus  lente que la section laissée libre par le poin  teau sera plus faible.

   On pourra donc régler  la vitesse de fermeture de l'orifice de dé  charge 0 de telle façon que cette fermeture  ne produise aucune surpression appréciable  clans la conduite B.  



  L'ouverture et la     fermeture    de l'orifice  de décharge 0 étant dépendantes de l'ouver  ture ou de la fermeture de la soupape H,  il suffira d'effectuer le déplacement de cette  soupape pour provoquer, soit l'écoulement  d'un certain volume d'eau par l'orifice 0,  soit. la fermeture de cet orifice. C'est là le  rôle qui incombe au piston indicateur A.

    Toutes les fois que la pression dans la con  duite B dépassera la valeur pour laquelle  est réglé le     contrepoids    F, c'est-à-dire     toutes     les fois qu'il se produira dans la conduite  une pression supérieure à la pression stati  que, le piston A s'abaissera et continuera  à. s'abaisser tant que la pression dans la  conduite restera supérieure à la pression sta  tique, ce     déplacement    amènera l'ouverture  (le la     soupape    H et. celle de l'orifice de dé  charge 0.

   C'est à ce moment qu'intervient  le mode clé liaison, que réalise le levier G,  entre le piston A, la soupape H et le piston       K'.    En effet, le piston K' en se soulevant  fait osciller le levier G     autour    du point g, ce  quia pour effet, de soulever la soupape 11  et d'amener la fermeture de cette soupape  lorsque le piston K a effectué une course  correspondante à celle que vient de faire le  piston A.  



  En résumé, le levier G réalise un mouve  ment     d'asservissement    de la soupape H par  rapport aux deux pistons A et K. La hauteur  (le levée du piston     K1,    qui correspond tou  jours à la course effectuée par le piston A.  sera donc d'autant plus grande que l'effet  de la surpression clans la conduite     B    aura  provoqué un déplacement plus important  du piston A. Ce mouvement de levée de la  soupape (le décharge     K'    cessera aussitôt que  le piston indicateur A cessera de s'abaisser.

    Lorsque le piston-soupape     K'    a terminé sa      course ascendante, la pression clans la     eon-          cluite    L va continuer à s'abaisser tant. par  le fait. de     l'amortissement    (le la force vive  de l'eau clans la. conduite que par le fait  du débit de cette conduite.  



  A partir de ce moment, le piston A. obéis  sant à. l'effet du contrepoids F, tend à re  venir en sens inverse, c'est-à-dire vers son  point. Cie départ.     liais    ce     mouvement    de re  cul sera empêché par le fait que la soupape  H repose sur son siège, et l'effort. qui tend  à soulever le piston A n'aura. d'autre effet       que        d'appuyer    plus fortement cette     soupape     sur son siège.  



  Ainsi clone, dès que la     pression    dans la  conduite     devient        inférieure    à la pression  statique, le piston A n'a plus aucune action  sur l'ensemble des autres organes de l'appas       reil..    A partir de ce moment, la soupape     H     étant fermée, le piston K se met à descendre  lentement, ce qui amène la fermeture de  L'orifice de     décharge    O. Le levier G oscille  alors autour du point     g'    et le piston A ,se  relève au .fur et à mesure due le lui per  met le mouvement de descente du piston K.

    Ce     mouvement    de descente du piston K  s'effectue dans un temps qui est déterminé  par la position de     réglage    du pointeau M,  temps qu'on rendra assez long pour que la  vitesse de fermeture de l'orifice de décharge  ne donne lieu à aucune surpression appré  ciable.  



  11 convient de bien taire observer que si  cette condition n'était pas assurée, l'appareil,  loin (le donner la     sécurité.    qu'on se propose  d'obtenir pour la conduite d'eau, consti  tuerait. au contraire. pour cette     conduite    un  véritable     danger.     



  En     effet.    si     l'obturateur    venait à se fer  mer avec une vitesse trop grande. la surpres  sion     d!ïe    à cette vitesse     réa-irait    sur le pis  ton     indicateur    A. qui s'abaisserait à nou  veau. ce qui produirait     immédiatement.    un       nouveau    mouvement     d'ouverture    de l'ori  fice<I>(le</I>     déchar;

  e    O. ouverture suivie d'une  nouvelle     fermeture.    puis d'une     nouvelle    sur  pression clans la conduite, nouvelle ouver-         ture    et ainsi de suite, de telle sorte qu'il se  produirait en réalité un mouvement d'oscil  lation de l'obturateur     K1,    mouvement ana  logue à celui qui est utilisé clans les appa  reils élévatoires appelés béliers     hydrauliques.     Ce     mouvement    d'oscillation aurait. pour con  séquence la production de toute une série  de coups de bélier alors que le but de l'ap  pareil est précisément de. les éviter.  



  La     fermeture    lente et progressive de l'ori  fice de     décharge    est donc. une condition es  sentielle et primordiale pour l'obtention du  résultat technique envisagé.  



  Il est à     remarquer    que pendant le mou  vement de descente du piston K, c'est-à-dire  pendant que s'effectue la fermeture de l'ori  fice de décharge O, le piston A est toujours  prêt à obéir à l'effet d'une nouvelle surpres  sion, s'il vient à s'en produire clans la con  duite B, par le fait d'une variation nou  velle du débit clos moteurs ou machines ac  tionnés par l'eau sous pression. En effet, le  piston A, dès qu'il recevra l'action de cette  nouvelle surpression s'abaissera, et, instan  tanément, amènera une nouvelle ouverture:  de la soupape 11<B>et</B> un nouveau mouvement  ascendant du piston K donnant lui-même  une augmentation du     clegré        d'ouverture    de  l'orifice de décharge O.  



  Il résulte donc de la disposition décrite  que, à tout, instant, l'appareil est toujours  prêt à agir si, pour une cause, quelconque,  la pression dans la conduite vient à dépas  ser la pression statique.  



  La disposition décrite permet aussi de  donner à l'orifice de décharge et à la levée  (le l'obturateur K1 de cet, orifice des dimen  sions susceptibles de répondre à toutes les       exigences    qui peuvent correspondre aux ap  plications élu     système    à des conduites for  cées, même lorsque celle-ci débitent. de gros       volume        d'eau    sous     clos    pressions relativement  faibles.  



  Il suffira pour cela de choisir un rapport  convenable entre les     deux    branches du le  vier G.  



       Lorsqu'il        s'a;it    au contraire de conduites       forcées    à pressions relativement. élevées, dé-      bilant     des        volumes        d'eau    relativement     faibles,     on peut     simplifier    le     système    et lui     donner     la disposition qui est     représentée        fig.    ''.

   Dans  celle     variante,    le piton A     actionne    directe  ment la, soupape<B>Il</B> et celle-ci peut     être    pla  cée à     l'ilitérieur    du piston K du servomo  teur. Le pointeau     JI        règlera    toujours le dé  bit clans l'espace annulaire C'  Avec le dispositif représenté sur le des  sin, s'il se produit une     surpression    dans la       conduite        13,    le piston K suivra le déplace  ment de la soupape 11 et, par suite, du       piston    A.

   La course du piston     K    sera, clans  ce cas,     exactement    égale à celle du piston  A, alors que clans le     dispositif    de la     fig.    1,  cette course se trouvait amplifiée     clans    un  rapport résultant (les dimensions adoptées  pour les deux     branches    du levier C. Dans  ce deuxième dispositif, le mouvement de  retour     du    piston K s'effectuera     également     avec la hauteur désirable grâce au réglage  (lue permet. d'effectuer le. pointeau     i11.     



  Le     mouvement    lent et progressif, de re  tour (lit piston K du servomoteur, peut être  également obtenu par une disposition con  venable donnée clans ce but à la     soupape     H; qui peut être     construite    de telle façon  qu'elle ouvre un large orifice, lorsqu'il s'agit       d'assurer    le mouvement     d'ouverture    de la  soupape (le décharge (le la conduite et, au  contraire, ne laisser ouvert qu'un orifice de  section très réduite lorsqu'il s'agit d'amener  le mouvement de fermeture de l'obtura  teur K'.  



  A titre d'exemple, la     fig.    3 indique une  forme<B>(le</B> soupape qui permet d'obtenir ce  résultat. Lorsque la soupape H est appuyée  sur son siège, l'espace C' du cylindre du       servo-moleur    est. en communication avec       l'autre    côté     Cldu    cylindre par l'intermédiaire  des     branchements        C',   <I>et</I>     l\4    et des orifices de  faible section h1 percés clans la.

   paroi de la       soupape   <I>II.</I> La section (le ces orifices     h1    peut  être réduite, si besoin est., et     rélgée,        ait          moyen    (le la douille     Ml    filetée et.

   vissée sur  le corps de la tige     h-    (le la     soupape   <I>II.</I> Si,  ait contraire, la     soupape   <I>II</I> vient à s'ouvrir  seul l'action de la tige     h=,    l'espace C= sera         ïiii-s        cii        contniunication    par l'in     t.erinédiaire          dit        braticlietlicnt        C@    avec le tuyau     cl'écliaplie-          ment    !,

       liai'    tout l'espace     annulaire    que dé  couvre la soupape<I>II</I>     en    se soulevant.  



       lia    section offerte à     l'échappement    de       l'eau    (le l'espace     C'    pourra clone être rendue       beaucoup    plus     grande    que la section des pe  tits orifices     h.',    de telle sorte que la pression  clans l'espace C' s'abaissera aussitôt. que se       produira    le soulèvement de la soupape<I>II:</I>  le piston K suivra donc     immédiatement,    le  mouvement de soulèvement de la soupape<I>Il.</I>  



  Mais, dès que le piston indicateur A ces  sera de se soulever, le piston K, continuant  à se soulever, amènera le siège de la sou  pape H en contact avec cette soupape et  aussitôt la pression .de la conduite se ré  tablira clans l'espace C', ce qui aura pour       effet        d'amener    immédiatement le mouvement:

    d'abaissement (lu piston K, mouvement qui       s'effectuera    très lentement.,     puisqu'il        dépen-          dra    du débit des orifices     hl.    On aura assuré  ainsi la     fermeture    lente et progressive de  l'orifice (le     décharge    O par l'obturateur     Kl.     



  Dans les variations des fi-. ? et 3, de même  que clans le dispositif     fig.    1, il convient (le  faire observer que pendant que s'effectue le       niouvemenf    de descente de l'obturateur. le  piston A est toujours prêt à obéir à     tonte     surpression nouvelle, qui viendrait à se pro  duire clans la conduite, dès que cette sur  pression     dépasserait,    si légèrement que ce  soit, la pression statique. Toute nouvelle  surpression aurait immédiatement pour effet  d'amener une nouvelle levée de l'obtura  teur K', ce qui produirait une nouvelle aug  mentation du     degré    d'ouverture de l'orifice  de décharge.  



  La vanne de décharge peut être séparée  du cylindre du servomoteur, ce qui     permet          d'actionner    ce dernier     indifféremment    par  l'eau de la conduite forcée ou par un liquide  sous pression autre que l'eau de cette     con-          diiite.     



       Deux    de ces variantes sont représentées       schématiquement,    à titre d'exemples, par les       fig.    4 et     7i.         Dans la variante de la fi--. 4, on a -,in     iple-          ment,    prolongé le piston-soupape     Kl    à tra  vers un presse-étoupe ménagé à la base dit  cylindre Cl de     manière    qu'il obture la vanne  0 qui a été reportée dans une capacité O1.       indépendante    de celle du cylindre C et qui  communique par l'intermédiaire du     fuyait     0= avec la conduite d'eau forcée B.

   D'autre  part, la capacité inférieure Cl du cylindre  C est. munie d'une tubulure Q destinée à  amener au     servo-nioteur    le liquide sous pres  sion destiné à l'actionner.  



  Dans ce but, cette tubulure peut être re  liée, soit à la conduite B, soit à des pompes  ou à un accumulateur fournissant le liquide  sous pression.  



  Dans le cas de la     fig.    5, on a combiné  l'obturateur de la vanne de décharge avec  un piston auxiliaire     K3    relié directement au  piston K par la tige     Kl    et se déplaçant dans  un cylindre     C"    qui est mis en relation par  l'intermédiaire de la tuyauterie Q<B><I>QI</I></B> avec  la capacité Cl du cylindre C et avec une con  duite de liquide sous pression provenant,  soit. de pompes ou d'accumulateurs, soit de la  conduite d'eau forcée B. La capacité 01 dans  laquelle se meut l'extrémité inférieure du  piston-soupape     K3    est, comme précédemment,  en relation avec la conduite B, par l'intermé  diaire .du tuyau 0 -.  



  Cette disposition permet d'employer un  piston K à surfaces annulaires égales, de  telle sorte que lorsque la pression de l'eau  est établie en     C\    et C=, les efforts qui s'exer  cent sur les deux faces du piston K étant  égaux, celui-ci reçoit seulement l'effort qui  résulte de la pression de l'eau sur la face  annulaire du piston     K3.    Quant à l'autre face  du piston     K3,    qui constitue l'obturateur,  elle est constamment à la pression atmos  phérique.  



  Dans tous les cas où le servomoteur fonc  tionne sous l'action de pompes ou d'accumu  lateurs, la conduite d'échappement 1 de la  soupape H peut déboucher clans la hache  d'alimentation des pompes, dans le but  d'économiser le liquide servant à cette ali  mentation.    La disposition dit reste des appareils des       fig.    4 et ô et le     fonctionnement    d'ensemble  sont     identiques    à ce qui a été décrit en regard  de la fi-. 1.  



  Au lieu de monter directement l'obtura  teur de la vanne de décharge sur la tige du  piston K, on pourrait le relier à celle-ci in  directement par l'intermédiaire de leviers.  



  L'appareil qui vient d'être décrit peut  être combiné. avec un appareil compensateur  de débit du genre de celui décrit dans 1e  brevet français     N     329407, déposé le 16 fé  vrier 1903, pour "Régulateur de pression  pour conduites d'eau forcées", l'accouplement  de ces cieux     types    d'appareils étant réalisé  de telle façon que le cylindre qui forme  cataracte dans le compensateur de débit et. le  cylindre servomoteur clans l'amortisseur  soient réunis en un seul, jouant à la fois les  deux rôles qui incombent à ce cylindre dans  le fonctionnement des deux types d'appa  reils.  



  On sait. que les différents dispositifs de  compensateur de débit, basés sur le prin  cipe du brevet. français \  329407, relaté     ci-          dessus,    sont destinés à empêcher, dans une  certaine mesure, la production des coups de  bélier qui peuvent résulter d'une fermeture  plus ou moins brusque des distributeurs  d'eau;

   mais ils présentent l'inconvénient       d'être    sans action lorsqu'il s'agit de coups  de bélier résultant d'ouvertures brusques des  vannages, susceptibles d'amener la produc  tion d'ondes comportant des périodes de     sur-          pressions.    D'autre part, la compensation du  débit est. très difficile, sinon impossible à  réaliser, pour toutes les positions et tous  les déplacements des vannages, de telle sorte  que les     surpressions    résultant des ferme  tures des     distributeurs    sont loin d'être com  plètement évitées. Par contre, la vanne com  pensatrice de débit, étant reliée rigidement  au vannage, la fermeture de celui-ci entraîne  forcément l'ouverture de la vanne compen  satrice.  



  On a     indiqué,    d'autre part, que le rôle de  l'appareil amortisseur qui vient d'être décrit  est de parer aux coups de bélier, quelle que      soit la cause qui peut en     amener    la produc  tion et     d'éviter    toute surpression dans les  conduites forcées.  



  Une combinaison     d'un    appareil compen  sateur de     débit    (lu typa connu avec     l'alipa-          reil    amortisseur suivant     l'invention    permet  tra donc non seulement. d'obtenir une ou  verture de     ia    vanne de décharge simultanée  à toute fermeture des organes de vannage,  mais aussi     d'arrêter,    par l'intervention de  l'amortisseur, toute surpression qui vien  drait à se produire malgré le rôle joué par  le compensateur de débit.  



  Lors de l'ouverture clés vannages, c'est à  l'amortisseur seul qu'incombe le rôle     d1em-          pêcher    la production de toute surpression  puisque le compensateur de débit est: alors  sans effet.  



  Cette combinaison procure donc une sé  curité complète de fonctionnement dans tous  les cas et assure, en outre, une     ouverture     plus immédiate clé la vanne clé décharge.  dans les cas de     fermeture    (lu vannage, puisque  la vanne de décharge est     manceuvrée    par le  compensateur avant qu'une surpression ait  pu s'amorcer.  



  Au lieu de disposer les deux appareils  simultanément et indépendamment sur une  même conduite, on peut les combiner de  telle façon que certains     organes    soient     coin-          inuns    à, l'un et à     l'autre.     



  C'est une combinaison clé ce genre qui est  représentée schématiquement sur la     fig.    6.  Dans cette combinaison, les deux appareils  agissent sur une seule et même soupape de  décharge et le cylindre du servomoteur de  l'amortisseur     forme    en même temps cataracte  du compensateur clé débit.  



       73    désigne la conduite d'eau forcée, qui       cst    en relation avec un orifice de     cléclrarge     O, obturé cri temps ordinaire par la soupape       K'.    Cette soupape est reliée, par     l'intermé-          diaire    clé la bielle      & ,    à l'articulation     g'        d'ui:

       levier G', dont l'extrémité     g'    est reliée à son  tour par l'intermédiaire d'organes rigides  9> p', à l'arbre     I'    commandant le mouvement  clé vannage du distributeur<B>(le</B> la turbine    (ou de l'appareil utilisant la force motrice  de l'eau sous pression) et de telle façon que       l'articulation        g\    se soulève lorsque le vannage  se ferme et qu'elle s'abaisse au contraire  lorsque le vannage s'ouvre.  



  L'autre extrémité     g=    du levier est reliée  par la tige rigide     7c    à la tige     K=    du piston  K qui se meut dans le cylindre C.  



  A la tige inférieure K' du piston K se  trouve relié directement comme dans le cas  de la     fig.    5, ou indirectement, un second  piston     Kl    qui se meut clans un cylindre CI.  La face annulaire clé ce piston     Kl    est cons  tamment en communication, par l'intermé  diaire clé la tuyauterie<I>D Dl D- </I> avec la con  duite forcée     T    ou avec une conduite indépen  dante clé liquide sous pression, clé telle sorte  que lorsque la pression de l'eau est établie  en Cl et C=, les efforts qui s'exercent sur les  deux faces du piston K étant égaux, la tige       h:

      reçoit seulement l'effort qui résulte de la       pression    clé l'eau sur la face annulaire du  piston     K''.     



  Quant à l'autre face du piston     KI,    elle  est. constamment. à l'air libre et ne reçoit. que  la     pression    atmosphérique.  



  Une ou plusieurs soupapes N, montées  sur ressort, sont     disposées    sur le piston K,  de manière à pouvoir s'ouvrir si la pression  en C= devient     supérieure-    à la pression en  C'. Ces soupapes     s'appuient.    au     contraire    sur  leur siège si la pression en Cl devient supé  rieure à celle de C -.  



  Les espaces Cl et C= sont. mis en com  munication constante par l'intermédiaire  d'un tuyau L qui est muni d'un robinet à  pointeau M dont la section de passage peut       être    réglée à volonté en agissant sur le vo  lant ou la tige de     manceuvre    de ce pointeau.  



  La partie inférieure Cl du     cylindre    C.'  est aussi en communication avec la conduite  forcée B par l'intermédiaire du tuyau D'  qui porte, interposée en un point de son par  cours, une soupape     d,    qui s'ouvre si la pres  sion clans la conduite devient supérieure à  celle (le l'espace Cl et qui se ferme clans le   < 'as     inverse.         La partie supérieure     C@    du cylindre     C     est en     communication    avec un tuyau     d'é-          chappernent.    I     par,    l'intermédiaire du tuyau  <I>J'</I> et (le la soupape<I>Il.</I>  



  Cette soupape<B>il</B> est     elle-méiîie    reliée,     pat          l'ïntermcdiaire    de la bielle     e,    à     l@articulalion     \     cl un        levier    G articulé     eil        y-    sur la     tige     du piston K.  



  L'autre extrémité     g    de ce levier est re  liée par la bielle b avec un piston A qui se       meut    clans un cylindre     1;.    Le piston A re  çoit sur sa face supérieure la pression de  la conduite     B    par     l'intermédiaire    du tuyau       !i.    Ce piston reçoit Faction     d'une.    force     colis-          taille    F (contrepoids ou ressort     ayant    une  flexibilité     suffisante;

          égale    et opposée à     l'ef-          loi t    qui s'exerce sur le piston A lorsque la  conduite B est. à une     pression    égale il la pres  sion statique.  



       Voici        maintenant    quel est le fonctionne  ment de     l'ensemble.    (le ce mécanisme:       Supposons    tout.     d'abord    qu'il y ait     ferme-          ture    des     distributeurs        envoyant    l'eau sur les  appareils     hydrauliques    qui     @ut.ilisent    la puis  sance motrice de cette eau.     L'arbre        h    tourne  alors clans le sens de la     flèche   <I>P</I>.  



  L'extrémité     0'    du levier     G1    se soulève et  ce levier réagit sur le piston K, ruais celui-ci  lie petit descendre due très lentement, car  le pointeau     M    ne laisse ouvert qu'un orifice  de faible section, et, d'autre part; les sou  papes     N    et     d        s'appliquent    sur leur siège.<B>Il</B>  en résulte que la soupape de     décharge        K"     va se soulever,     .donnant    ainsi écoulement:  à     titre        certaine    quantité d'eau.

   Le soulève  ment de la soupape     K-    continuera tant que  durera     1-e    mouvement de fermeture des dis  tributeurs.  



  Pendant ces deux déplacements simul  tanés, il peut se présenter deux cas:        )    Le     soulèvement    de la soupape     K     a  été suffisant.     pour    empêcher toute surpres  sion crans la     conduite    B.  



  Dans celte     hypothèse,    le mouvement de       soulèvement    de la soupape     K     cessera     en          même    temps due le mouvement de fermeture  des distributeurs, et, à partir de ce moment,  le piston K, qui a été constamment sollicité    par la pression qui s'exerce sur le piston     K',     va     s'abaisser    lentement, ce qui amènera la       fermeture    lente de la soupape     K:@.     



  Le     pointeau        ,11    sera     réglé    pour que la vi  tesse de     fernielcire    de la soupape     K;    lie puisse  donner aucune     stirljressioïi    clairs la     con-          duite    B.  



       (     11 peut     se    faire due, pendant les deux  déplacements     simultanés    du vannage     d,#s          distributeurs    et     ire    la soupape     K",    la     com-          pensation    des     débits    lie soit pas suffisamment  rigoureuse et     qtl'tilie    surpression se produise       (laits    la     conduite    B.

   Dans ce cas, cette sur  pression     agit,    sur le piston A qui va s'abais  ser, le levier     (.'        oscillera        autour    de     soir     point     g\    et la soupape H s'abaissera, met  tant ainsi l'espace annulaire     C'    cri     conimu-          nication    avec le tuyau     d'échappement    1.

   La  pression en     C=        v    a s'abaisser et le piston K,  sollicité de bas en haut, va se soulever, ame  nant ainsi une     augmentation    de la vitesse       d'ouverture    (le la vanne de     décharge        K"    et       enipêcliant    par cette ouverture complémen  taire la     production    (Je toute surpression       (lan,,eretise.     



       ])airs        cette    dernière     hypothèse,    les effets  du     compensateur    de débit et de     l'amorlis-          seur    agissent de telle manière qu'ils s'ajou  tent et que les deux appareils juxtaposés con  courent tous les deux, si besoin s'en fait.  sentir. à     l'ouverture    (le la soupape de dé  charge     K,    et tous les deux     agissent    pour  s'opposer à la     production,    dans la conduite       forcée.    de toute     surpression        dangereuse.     



  Supposons maintenant qu'il s'agisse d'une       ouverture    plus ou moins rapide des distri  buteurs et voyons ce qui se passe clans  ce cas.  



       L'ouverture    (les distributeurs, qui s'effec  tue par la     rotation    de l'arbre p clans le     sens     de la flèche     F',    a pour effet     d'abaisser    l'ex  trémité.     çj'        (lit    levier G1. Ce     levier    oscille alors  autour du point. , < O',     l'extrémité        g=    se soulève  et ce mouvement de soulèvement est rendu  possible par le fait de l'ouverture des sou  papes N qui permettent le     mouvement,    de       l;as    en haut, de piston K.

   Le levier     Gl    os-      cille alors autour du point     g3    et la soupape  de décharge     K@@    reste appliquée sur son siège.  



  Mais, lorsque cesse le mouvement d'ou  verture des distributeurs, qui a donné lieu  à une certaine dépression clans la     conduite          13,    il se produit alors, dans cette conduite,  une oncle qui peut se traduire par une sur  pression d'autant plus grande que l'ouver  ture des distributeurs s'est, effectuée d'une  façon plus rapide. C'est à ce moment qu'in  tervient l'amortisseur automatique. Le pis  ton A s'abaisse dès due la surpression se  fait sentir, la soupape H s'ouvre et il en     ré-          suite    un abaissement de la pression dans  l'espace     C2,    de telle façon que le piston K se  trouve alors sollicité de bas en haut.

   Ce pis  ton se.     soulève    et ce mouvement. entraîne  aussitôt le     soulÈ,vement    (le la soupape de       décharge    K'. I1 se produit alors par le tuyau  de décharge 0 l'écoulement d'une certaine  quantité d'eau, écoulement qui a pour effet       d'empêcher    la surpression     d'atteindre    une  valeur     dangereuse    et qui, en outre, a pour  effet d'amortir immédiatement le phénomène  ondulatoire qui aurait pu     prendre    naissance  sans l'intervention (le la soupape (le décharge.  



  On voit. que, dans les deux cas examinés.  on obtient, ce résultat, à savoir que     l'auto-          maticité    de l'amortisseur qui, par son fonc  tionnement normal     empêche    la production  de toute surpression dangereuse dans la con  duite forcée, se trouve combinée avec l'effet  produit par le compensateur (le débit à. li  aison rigide avec le mouvement de vannage  des     distributeurs    d'eau sous pression, de  telle sorte que les     deux    appareils viennent  se compléter l'un et l'autre et donnent, par  leur accouplement, un ensemble dont la  sécurité de fonctionnement est assurée dans  tous les cas.



  Device for damping water hammer in water pipes. The object of the present invention is. an apparatus intended to prevent the production of water hammers in water pipes, and, in particular, in penstocks which feed turbines, or to very hydraulic apparatus, which, by their adjustment, are liable to produce, clans water pipes, (more or less abrupt variations in flow (these pipes.



  We know that there is any sudden variation in flow. gives rise to a series of com carrying waves. each a period (the overpressure and a period of depression with respect to the pressure clcii existed before this variation.



  Periods of overpressure become severe, or harmful, when they cause pressures greater than the static pressure, that is to say, the pressure that the water pipe supports when there is no has no.

    flow rate, since it is always the static pressure which is used as a basis for the calculation of the resistance to be given to the wall of a penstock. If we can ensure that the pressure in a pipe can never exceed the static pressure very slightly, and this in all circumstances, we will achieve both a safety condition and a condition of savings in the cost of 'establishment of this conduct,

   since we will not have to provide extra thicknesses capable of withstanding accidental overpressures.



  In what follows, any pressure which will be greater than the static pressure will be called over pressure.



  We can imagine that if at the moment when the water hammer occurs and immediately. when the overpressure period begins, we can instantly open a discharge orifice (the section is large enough, the first uncle who will have produced this overpressure will be stopped in its development, it will in reality be damped, and the wave phenomenon that always accompanies the blow (the ram will quickly disappear.



       When all overpressure is gone, it will be appropriate. close the orifice (the discharge which will have been momentarily opened, so that this orifice can open again, when necessary, and also to avoid unnecessary expenditure of water .



  But, to operate this closure, it is an essential condition to achieve, it is that it is carried out slowly enough so that it cannot in turn provoke a new water hammer which could be just as dangerous, otherwise more; than the initial water hammer.



       The rapid opening of the discharge port and the achievement of its slow and gradual closing constitute a dual objective. achieve, dual objective which is the subject of the present invention.



  This consists of a device for damping water hammers in the water pipes, comprising an indicator piston, which receives on one of its faces the pressure which exists at all times. in the water pipe and which, in the direction opposite to the force resulting from this pressure, receives the action of a constant force, or very substantially constant, obtained by the action of a counterweight or by any another means, a force which is determined in such a way that it is very substantially equal to the force exerted by the water on the piston when the static pressure exists in the water pipe, this arrangement having the effect.

   that the indicator piston moves away from its rest position as soon as the water pressure in the pipe becomes higher and throughout the time it remains higher. to static pressure and said piston being connected by the intermediary of a booster to a relief valve which opens at the same time as the indicator piston moves away from its rest position, which gives rise to a flow of water preventing the production of any dangerous over pressure, this valve then closes slowly, and in a manner independent of the more or less rapid movement of said indicator piston back to its rest position,

   which has the effect of avoiding during this closure, and because of; this closure, any excess pressure capable of initiating successive oscillations (the organs which constitute the damping device.



  Figs. 1, 2, 3, 4 and 5 of the accompanying drawing represent schematically in section, by way of examples, several embodiments of apparatus which make it possible to obtain the following results. to be indicated; Fig. 6 shows in section the diagram (the coupling of a device according to the invention with a flow compensating device according to French patent N 329 407 dated February 16, 1903.



  The apparatus shown, fig. 1, consists essentially of an indicator piston A, which receives, on one of its faces, the pressure which exists at all times in the main pipe B, which is in communication with. the chamber Cl of the servomotor C, and. via pipe D with cylinder F; clans which move. piston A.



  The pressure which is thus exerted on the pis ton A varies according to due the pressure drop in the forced pipe is more or less great, it also varies when variations in flow occur in the pipe, but, for each installation, this pressure takes a well-determined value p, when the pipe is subjected to the static pressure of water, that is to say when there is no flow in the pipe.



  In the opposite direction to the effort p. we do, act on the piston A a. force equal to or slightly greater than the p-value. This force can be obtained either by means of a counterweight F, as is shown in the sin, or by means of a fluid maintained at. constant pressure, or by means of a spring. antagonist with suf ficient flexibility to exert an effort. substantially constant. is. finally, by means of the simultaneous action of a counterweight and. of a spring.



  The rod a of piston A is. connected, by the intermediary of the rod b, to one of the articulations q of a lever G. The articulation ot is attached. via a connecting rod c, the rod h. a valve H. This valve can open or close the orifice of an exhaust pipe 1. The chamber .1, from which the exhaust pipe 1 leaves, is in constant communication, through the intermediary of the pipe Jl, with the annular space C of cylinder C, of the booster.

   In this cylinder C can move a piston K which is connected on one side with the piston K1 forming a relief valve and which, on the other side, is extended by a cylindrical part K 'of diameter smaller than K1. The cylindrical part K 'is itself connected, by the rod k, to the articulation g' of the lever G.

   Finally, the annular space C is connected directly to the main pipe B by the intermediary of the pipe L, at a point of which is interposed a needle M making it possible to reduce to the necessary extent the section of the pipe. water passage orifice going from pipe B to the annular space C '.

    When the valve H is closed, the pressure (the line is exerted on both sides of the piston K, but the diameter of the cylindrical part K 'being. Less than that of the valve piston Kl, the difference in the pressures that s 'exert on the two faces of the piston K. has the effect of strongly applying the valve piston KI on its seat. If the valve H opens, it puts the annular space C' in communication with the pipe of exhaust 1: there is then a drop in pressure in space C ', because the orifice, left open by the needle 117, is too low for this pressure to be able to be maintained.

   The force exerted on the piston K on the side -de Cl then becomes greater due that which is exerted on the Cie C 'side. and, at this moment, the piston K lifts up. with it the piston K ', which opens the orifice of the discharge pipe 0.



       5i, now the valve H comes to close, the piston K is. immediately stopped in its upstroke, because the key pressure the pipe B is immediately reestablished in the annular space C ', which immediately causes a movement in the reverse direction of the piston K, but the speed of this key movement descent will depend on the flow of the orifice whose section is. adjusted by the needle M, this speed will be slower the smaller the section left free by the needle.

   It is therefore possible to adjust the closing speed of the discharge port 0 so that this closing does not produce any appreciable overpressure in line B.



  The opening and closing of the discharge port 0 being dependent on the opening or the closing of the valve H, it will suffice to effect the displacement of this valve to cause either the flow of a certain volume of water through port 0, ie. closing this orifice. This is the role of indicator piston A.

    Whenever the pressure in the pipe B exceeds the value for which the counterweight F is set, that is to say whenever there is a pressure greater than the static pressure in the pipe, the piston A will lower and continue to. decrease as long as the pressure in the pipe remains higher than the static pressure, this displacement will bring about the opening (the valve H and that of the discharge port 0.

   It is at this moment that the key link mode intervenes, that the lever G performs, between the piston A, the valve H and the piston K '. In fact, the piston K ', by lifting, causes the lever G to oscillate around the point g, which has the effect of lifting the valve 11 and causing this valve to close when the piston K has performed a stroke corresponding to that what has piston A.



  In summary, the lever G performs a servo movement of the valve H with respect to the two pistons A and K. The height (the lifting of the piston K1, which always corresponds to the stroke performed by the piston A. will therefore be all the greater as the effect of the overpressure in line B will have caused a greater displacement of the piston A. This lifting movement of the valve (the discharge K 'will cease as soon as the indicator piston A stops lowering .

    When the piston-valve K 'has completed its upstroke, the pressure in the outlet L will continue to fall as much. by the fact. damping (the living force of the water in the pipe than by the flow of this pipe.



  From this moment, the piston A. obeys. the effect of the counterweight F tends to come back in the opposite direction, that is to say towards its point. Cie departure. but this reverse movement will be prevented by the fact that the valve H rests on its seat, and the effort. which tends to lift the piston A will not. other effect than to press this valve more strongly on its seat.



  Thus cloned, as soon as the pressure in the pipe becomes lower than the static pressure, the piston A no longer has any action on all the other organs of the appliance. From this moment, the valve H being closed, the piston K begins to descend slowly, which brings about the closing of the discharge orifice O. The lever G then oscillates around the point g 'and the piston A, rises at .fur and as due. allows the downward movement of piston K.

    This downward movement of the piston K takes place within a time which is determined by the adjustment position of the needle M, a time which will be made long enough for the closing speed of the discharge orifice not to give rise to any overpressure. appreciable.



  It should be observed that if this condition were not ensured, the apparatus, far (giving it the security which it is proposed to obtain for the water pipe, would constitute. On the contrary. driving a real danger.



  Indeed. if the shutter were to close at too high a speed. the overpressure d! ïe at this speed would react on the udder your indicator A. which would lower again. which would happen immediately. a new movement to open the <I> opening (the </I> discharge;

  e O. opening followed by a new closing. then a new pressure in the pipe, new opening and so on, so that in reality there would be an oscillating movement of the shutter K1, movement similar to that which is used in the lifting devices called hydraulic rams. This oscillating movement would have. to con sequence the production of a whole series of water hammers when the aim of the device is precisely to. Avoid them.



  The slow and gradual closing of the discharge port is therefore. an essential and primordial condition for obtaining the envisaged technical result.



  It should be noted that during the downward movement of piston K, that is to say while the discharge port O is being closed, piston A is always ready to obey the effect. of a new overpressure, if it happens to occur in line B, by the fact of a new variation of the closed flow of motors or machines activated by pressurized water. Indeed, the piston A, as soon as it receives the action of this new overpressure will drop, and, instantaneously, will bring about a new opening: of the valve 11 <B> and </B> a new upward movement of the valve. piston K itself giving an increase in the degree of opening of the discharge port O.



  It therefore follows from the arrangement described that, at any time, the device is always ready to act if, for any reason, the pressure in the pipe exceeds the static pressure.



  The arrangement described also makes it possible to give to the discharge orifice and to the lifting (the shutter K1 of this orifice of the dimensions likely to meet all the requirements which may correspond to the applications chosen for the system with drilled pipes. , even when these deliver large volumes of water under relatively low pressures.



  It will suffice for this to choose a suitable ratio between the two branches of the G tree.



       When there is, on the contrary, penstocks with relatively high pressures. high, resulting in relatively low volumes of water, the system can be simplified and given the arrangement shown in fig. ''.

   In this variant, the eyebolt A directly actuates the valve <B> Il </B> and this can be placed at the end of the piston K of the servomotor. The needle JI will always adjust the flow rate in the annular space C 'With the device shown in the figure, if an overpressure occurs in the pipe 13, the piston K will follow the movement of the valve 11 and, by continued, of piston A.

   The stroke of the piston K will be, in this case, exactly equal to that of the piston A, whereas in the device of FIG. 1, this stroke was amplified in a resulting ratio (the dimensions adopted for the two branches of the lever C. In this second device, the return movement of the piston K will also be effected with the desired height thanks to the adjustment (read allows. perform the i11 needle valve.



  The slow and progressive movement, of return (piston bed K of the servomotor, can also be obtained by a suitable arrangement given for this purpose to the valve H; which can be constructed in such a way that it opens a large orifice, when '' it is a question of ensuring the opening movement of the valve (the discharge (the the pipe and, on the contrary, to leave open only one orifice of very small section when it comes to bringing the movement closure of the shutter K '.



  By way of example, FIG. 3 indicates a form <B> (the </B> valve which makes it possible to obtain this result. When the valve H is pressed on its seat, the space C 'of the servo-knurling cylinder is. In communication with the other side Cldu cylinder via the connections C ', <I> and </I> l \ 4 and small section orifices h1 drilled clans la.

   valve wall <I> II. </I> The section (the these ports h1 can be reduced, if necessary., and adjusted, to medium (the threaded sleeve Ml and.

   screwed on the body of the stem h- (the valve <I> II. </I> If, on the contrary, the valve <I> II </I> comes to open only the action of the stem h =, the space C = will be communicated through the intermediary known as braticlietlicnt C @ with the eclipse pipe!,

       The entire annular space which the <I> II </I> valve uncovers when lifting is attached.



       The section offered to the escape of water (the space C 'can be made much larger than the section of the small orifices h.', so that the pressure in the space C 's' as soon as the lifting of the valve <I> II occurs: </I> piston K will immediately follow, the lifting movement of the valve <I> II. </I>



  But, as soon as the indicator piston A these is to rise, the piston K, continuing to rise, will bring the seat of the valve H in contact with this valve and immediately the pressure of the pipe will be reestablished in it. space C ', which will immediately bring the movement:

    lowering (read piston K, movement which will take place very slowly., since it will depend on the flow rate of the orifices hl. The slow and progressive closing of the orifice will thus have been ensured (the discharge O by the shutter Kl.



  In the variations of fi-. ? and 3, as in the device fig. 1, it should be observed that while the shutter downward movement is taking place, the piston A is always ready to obey a new overpressure, which would occur in the pipe, as soon as this overpressure occurs. pressure would exceed the static pressure, however slightly. Any further overpressure would immediately cause the shutter K 'to be lifted again, which would further increase the degree of opening of the orifice. discharge.



  The discharge valve can be separated from the cylinder of the booster, which makes it possible to actuate the latter either by the water of the penstock or by a pressurized liquid other than the water of this conduit.



       Two of these variants are shown schematically, by way of example, in FIGS. 4 and 7i. In the variant of the fi--. 4, we have -, in iple- ment, extended the piston-valve K1 through a stuffing-box formed at the base of said cylinder C1 so that it closes the valve 0 which has been transferred to a capacity O1. independent of that of cylinder C and which communicates via the leaked 0 = with the forced water pipe B.

   On the other hand, the lower capacity Cl of cylinder C is. provided with a tubing Q intended to bring to the servo-niotor the liquid under pressure intended to actuate it.



  For this purpose, this tubing can be connected either to line B or to pumps or to an accumulator supplying the liquid under pressure.



  In the case of fig. 5, the shutter of the discharge valve has been combined with an auxiliary piston K3 connected directly to the piston K by the rod Kl and moving in a cylinder C "which is connected by means of the pipe Q <B > <I> QI </I> </B> with the capacity Cl of cylinder C and with a pressurized liquid line coming either from pumps or accumulators or from the forced water line B. The capacity 01 in which the lower end of the piston-valve K3 moves is, as before, in relation to the pipe B, through the intermediary of the pipe 0 -.



  This arrangement makes it possible to use a piston K with equal annular surfaces, such that when the water pressure is established at C \ and C =, the forces exerted on the two faces of the piston K being equal , the latter only receives the force which results from the pressure of the water on the annular face of the piston K3. As for the other face of the piston K3, which constitutes the shutter, it is constantly at atmospheric pressure.



  In all cases where the servomotor operates under the action of pumps or accumulators, the exhaust line 1 of valve H can open into the pump feed ax, in order to save liquid. used for this food. The so-called rest arrangement of the devices of FIGS. 4 and ô and the overall operation are identical to what has been described with regard to fi-. 1.



  Instead of mounting the shutter of the discharge valve directly on the piston rod K, it could be connected to the latter in directly by means of levers.



  The apparatus which has just been described can be combined. with a flow compensating device of the type described in French patent N 329407, filed on February 16, 1903, for "Pressure regulator for forced water conduits", the coupling of these types of devices being made so that the cylinder that forms a cataract in the flow compensator and. the servomotor cylinder clans the shock absorber are combined into one, playing both roles which fall to this cylinder in the operation of the two types of apparatus.



  We know. than the various flow compensator devices, based on the principle of the patent. French \ 329407, related above, are intended to prevent, to a certain extent, the production of water hammers which may result from a more or less abrupt closing of the water distributors;

   but they have the drawback of being without action when it comes to water hammers resulting from sudden opening of the valve gates, liable to cause the production of waves comprising periods of overpressure. On the other hand, the flow compensation is. very difficult, if not impossible to achieve, for all the positions and all the movements of the valves, so that the overpressures resulting from the closings of the distributors are far from being completely avoided. On the other hand, the flow compensating valve, being rigidly connected to the valve, closing the latter necessarily causes the opening of the compensating valve.



  It has been indicated, on the other hand, that the role of the shock-absorbing apparatus which has just been described is to ward off water hammer, whatever the cause which may cause its production and to avoid any excess pressure in the water hammer. penstocks.



  A combination of a flow-compensating device (known typa with the shock-absorbing device according to the invention therefore not only makes it possible to obtain one or more opening of the discharge valve simultaneously with any closure of the valves. , but also to stop, by the intervention of the shock absorber, any overpressure which might occur despite the role played by the flow compensator.



  When opening the valves, it is the shock absorber alone that is responsible for preventing the production of any overpressure since the flow compensator has no effect.



  This combination therefore provides complete operating safety in all cases and also ensures more immediate opening of the key-discharge valve. in the event of closure (or valve, since the relief valve is operated by the compensator before an overpressure can be initiated.



  Instead of placing the two devices simultaneously and independently on the same pipe, it is possible to combine them in such a way that certain organs are combined with each other.



  It is a key combination of this kind which is shown schematically in FIG. 6. In this combination, the two devices act on one and the same relief valve and the cylinder of the damper servomotor at the same time forms the cataract of the flow key compensator.



       73 designates the forced water pipe, which cst in connection with an orifice of cléclrarge O, blocked cry ordinary time by the valve K '. This valve is connected, by the key intermediary of the connecting rod &, to the joint g 'of ui:

       lever G ', the end of which g' is in turn connected by means of rigid members 9> p ', to the shaft I' controlling the key valve movement of the distributor <B> (the </B> the turbine (or of the apparatus using the motive force of pressurized water) and in such a way that the joint g lifts when the valve closes and that it lowers on the contrary when the valve is opens.



  The other end g = of the lever is connected by the rigid rod 7c to the rod K = of the piston K which moves in the cylinder C.



  The lower rod K 'of the piston K is directly connected as in the case of FIG. 5, or indirectly, a second piston K1 which moves in a cylinder CI. The key annular face of this piston Kl is constantly in communication, through the key intermediary of the piping <I> D Dl D- </I> with the forced conduit T or with an independent key liquid under pressure, key such that when the water pressure is established in Cl and C =, the forces exerted on the two faces of the piston K being equal, the rod h:

      receives only the force which results from the water key pressure on the annular face of the piston K ''.



  As for the other face of the piston KI, it is. constantly. in the open and never receives. than atmospheric pressure.



  One or more valves N, mounted on a spring, are arranged on the piston K, so as to be able to open if the pressure at C = becomes greater than the pressure at C '. These valves are supported. on the contrary on their seat if the pressure in Cl becomes higher than that of C -.



  The spaces Cl and C = are. put into constant communication by means of a pipe L which is fitted with a needle valve M whose passage section can be adjusted at will by acting on the flywheel or the actuating rod of this needle.



  The lower part C1 of cylinder C. ' is also in communication with the penstock B via the pipe D 'which carries, interposed at a point along its course, a valve d, which opens if the pressure in the pipe becomes greater than that (the the space Cl and which closes in the reverse <'as. The upper part C @ of the cylinder C is in communication with an exhaust pipe. I through the intermediary of the pipe <I> J' </ I> and (the valve <I> Il. </I>



  This <B> il </B> valve is itself connected, through the intermediary of the connecting rod e, to the articulation \ cl a lever G articulated there on the piston rod K.



  The other end g of this lever is linked by the connecting rod b with a piston A which moves in a cylinder 1 ;. The piston A receives on its upper face the pressure from the pipe B through the pipe! I. This piston receives the action of one. package force - size F (counterweight or spring with sufficient flexibility;

          equal and opposite to the ef- law exerted on the piston A when the pipe B is. at a pressure equal to the static pressure.



       Here is how the whole works. (The mechanism: Let us suppose first of all that there are closed distributors sending water to the hydraulic devices which use the motive power of this water. The shaft h then turns in the direction of arrow <I> P </I>.



  The end 0 'of the lever G1 rises and this lever reacts on the piston K, ruais this one binds small to descend due very slowly, because the needle M leaves open only an orifice of small section, and, other go; valves N and d are applied on their seats. <B> It </B> results in the discharge valve K "going to rise, thus giving flow: as a certain quantity of water.

   The lifting of the valve K- will continue as long as the closing movement of the distributors lasts.



  During these two simultaneous movements, there may be two cases:) The lifting of the valve K was sufficient. to prevent overpressure in line B.



  In this hypothesis, the lifting movement of the valve K will cease at the same time due to the closing movement of the distributors, and, from that moment, the piston K, which has been constantly requested by the pressure exerted on the valve. piston K ', will slowly lower, which will cause the slow closing of valve K: @.



  The needle, 11 will be adjusted so that the ferniel speed of the valve K; lie can give no clear stirljressioïi the conduct B.



       (It can be done due, during the two simultaneous displacements of the valve of the distributors and ire the valve K ", the compensation of the flows is not sufficiently rigorous and that the overpressure occurs (milk the line B.

   In this case, this overpressure acts, on the piston A which will be lowered, the lever (. 'Will oscillate around evening point g \ and the valve H will be lowered, thus putting the annular space C' cry connection with the exhaust pipe 1.

   The pressure at C = will drop and the piston K, urged from bottom to top, will rise, thus increasing the opening speed (the discharge valve K "and intercepting by this additional opening production (I any overpressure (lan ,, eretise.



       ]) According to this last hypothesis, the effects of the flow compensator and the shock absorber act in such a way that they are added together and that the two juxtaposed devices concur both, if need be. feel. upon opening (the the relief valve K, and both act to oppose the production, in the penstock. of any dangerous overpressure.



  Now suppose it is a more or less rapid opening of the distributors and see what happens in this case.



       The opening (the distributors, which is effected by the rotation of the shaft p in the direction of the arrow F ', has the effect of lowering the end. Çj' (reads lever G1. This lever oscillates then around the point., <O ', the end g = rises and this lifting movement is made possible by the fact of the opening of the valves N which allow the movement, from the ace up, of the piston K.

   The lever Gl then oscillates around point g3 and the relief valve K @@ remains applied to its seat.



  But, when the opening movement of the distributors ceases, which has given rise to a certain depression in pipe 13, there then occurs, in this pipe, an uncle which can result in an even greater overpressure. that the opening of distributors was carried out more quickly. This is when the automatic shock absorber comes in. Pis ton A is lowered as soon as the overpressure is felt, valve H opens and the pressure in space C2 is lowered in such a way that piston K is then stressed. bottom up.

   This worse your self. raises and this movement. immediately causes the lifting (the relief valve K '. I1 then occurs through the relief pipe 0 the flow of a certain quantity of water, flow which has the effect of preventing the overpressure from reaching a dangerous value and which, moreover, has the effect of immediately damping the wave phenomenon that could have arisen without the intervention (the valve (the discharge.



  We see. that in the two cases examined. this result is obtained, namely that the automation of the shock absorber which, by its normal operation prevents the production of any dangerous overpressure in the forced pipe, is combined with the effect produced by the compensator ( the flow rate at. rigid link with the valve movement of the pressurized water distributors, so that the two devices complement each other and give, by their coupling, a whole whose safety operation is ensured in all cases.

 

Claims (1)

REVENDICATION Un appareil amortisseur des coups de bélier dans les conduites d'eau, composé d'un piston indicateur, qui reçoit sur une de ses faces la pression qui existe à chaque instant dans la conduite d'eau et qui, dans le sens opposé à l'effort résultant de cette pression. CLAIM A device for damping water hammer in water pipes, composed of an indicator piston, which receives on one of its faces the pressure which exists at all times in the water pipe and which, in the opposite direction to the effort resulting from this pressure. reçoit l'action d'une force constante, ou très sensiblement. constante, obtenue par l'action d'un contrepoids ou par tout autre moyen; force qui est déterminée de telle façon qu'elle soit très sensiblement égale à l'effort exercé par l'eau sur le piston lorsque la pression statique existe clans la conduite d'eau, cette disposition ayant pour effet que le piston in dicateur s'éloigne de sa position de repos dès que la- pression de l'eau dans la con duite devient supérieure et pendant tout le temps où elle reste supérieure à la pression statique, receives the action of a constant force, or very appreciably. constant, obtained by the action of a counterweight or by any other means; force which is determined in such a way that it is very substantially equal to the force exerted by the water on the piston when the static pressure exists in the water pipe, this arrangement having the effect that the indicator piston s' moves away from its resting position as soon as the water pressure in the pipe becomes higher and during all the time it remains higher than the static pressure, ce piston étant relié par l'intermé diaire d'un servomoteur à une soupape de décharge qui s'ouvre en même temps que le piston indicateur s'éloigne de sa position de repos, ce qui donne lieu à un écoulement d'eau empêchant la production de toute sur pression dangereuse, cette soupape se refer mant ensuite lentement et d'une façon in dépendante du mouvement plus ou moins rapide de retour du piston indicateur vers sa position de repos, ce qui a pour effet d'éviter pendant cette fermeture, et du fait de cette fermeture, toute surpression capable d'amorcer des oscillations successives des or ganes qui constituent, l'appareil. amortis seur. this piston being connected by the intermediary of a servomotor to a relief valve which opens at the same time as the indicator piston moves away from its rest position, which gives rise to a flow of water preventing the production of any dangerous overpressure, this valve then closes slowly and in a manner independent of the more or less rapid return movement of the indicator piston to its rest position, which has the effect of avoiding during this closing, and because of this closure, any excess pressure capable of initiating successive oscillations of the organs which constitute the apparatus. amortized. SOUS-REVENDICATIONS 1 Un appareil suivant la revendication, ca- ractérïse en ce que l'accouplement de la soupape du servomoteur du piston de ce servo-rnoteur et. du piston indicateur est obtenu par un ou plusieurs leviers réali sant l'asservissement du mouvement de la soupape du servo-mofeur aux mouvements simultanés des cieux pistons sus-indiqués, (le telle façon que cette soupape s'ouvre par le mouvement du piston indicateur, effectué sous l'effet. SUB-CLAIMS 1 An apparatus according to claim, characterized in that the coupling of the valve of the servomotor of the piston of said servomotor and. of the indicator piston is obtained by one or more levers realizing the slaving of the movement of the servo-actuator valve to the simultaneous movements of the above-indicated pistons, (such that this valve opens by the movement of the indicator piston , performed under the effect. d'une surpression., alors que le mouvement du piston du servomoteur, qui résulte de cette surpres sion, effectue au contraire la fermeture de la soupape. 2 Un appareil suivant la revendication, ca ractérisé en ce que la vanne de décharge se trouve clans une chambre distincte du cylindre du servomoteur, ce qui permet d'actionner ce dernier indifféremment par l'eau de la conduite forcée ou par un fluide sous pression autre que l'eau (le cette con- cluite. 3 Un appareil suivant la revendication et. of an overpressure, while the movement of the piston of the booster, which results from this overpressure, on the contrary closes the valve. 2 An apparatus according to claim, characterized in that the discharge valve is located in a chamber separate from the cylinder of the booster, which makes it possible to actuate the latter either by water from the penstock or by a pressurized fluid other than water (this concludes. 3 An apparatus according to claim and. 1a sous-revendication 2, caractérisé en ce que le seivo-nioteur comprend un piston à sur faces aimulaires égales combiné avec titi piston au: 1a sub-claim 2, characterized in that the seivo-nioteur comprises a piston on equal magnet faces combined with titi piston at: ciliaire. I. Un appareil amortisseur suivant la reven dication et les sou=-revenclications 1 et 3, caractérisé en ce qu'il est combiné avec un appareil compensateur de débit, ce com pensateur de débit n'ayant d'autre effet que de produire l'ouverture de la vanne de décharge, lorsque s'effectue une fer meture des vannages, ciliary. I. A damping device according to claim and sou = -revenclications 1 and 3, characterized in that it is combined with a flow compensating device, this flow compensator having no other effect than to produce the '' opening of the discharge valve when the valves are closed, puis de refermer en suite lentement cette vanne lorsque cesse le mouvement de fermeture des vannages. la combinaison étant réalisée de telle fa çon due les deu=x appareils coiiibiii@s agissent sur une seule et même soupape de décharge et (lue le cylindre qui forme cataracle dans le compensateur de débit et le cylindre du servomoteur de l'amor tisseur soient réunis en un seul, then slowly close this valve again when the valve closing movement ceases. the combination being made in such a way, the two coiiibiii @ s devices act on one and the same relief valve and (read the cylinder which forms a cataracle in the flow compensator and the cylinder of the servomotor of the primer are united in one, jouant à la fois les deux rôles qui incombent à ce cylindre dans- le fonctionnement (les deux appareils considérés isolément. 5 Un appareil suivant la revendication et les sous-revendications 1, 3 et ri, caractérisé par le fait que le piston du servomoteur pré sente clos surfaces annulaires égales et qu'on a prévu des soupapes s'ouvrant au- tonia(ictiienient pour permettre audit pis ton (le se déplacer rapidement sans agir sur la vanne (le décharge lors du mouve ment d'ouverture des organes distributeurs d'eau. playing at the same time the two roles which fall to this cylinder in the operation (the two apparatuses considered separately. 5 An apparatus according to claim and sub-claims 1, 3 and ri, characterized in that the piston of the servomotor pre feel closed equal annular surfaces and that automatic opening valves have been provided (ictiienient to allow said pis ton (it to move quickly without acting on the valve (the discharge during the opening movement of the distributors of 'water. R Un apparcil suivant la revendication et les sous-revendications 1. 3. !r et. 5. caractérisé par le fait que la tige c11-1 piston du servo- moteur est reliée au dispositif decommande des organes distributeurs d'eau par un levier auquel est également reliée la vanne de clérhar,e. R An apparatus according to claim and sub-claims 1. 3.! R and. 5. characterized in that the piston rod c11-1 of the servomotor is connected to the control device of the water distributing members by a lever to which the clérhar valve is also connected, e.
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