CH713918A1 - Instrument d'écriture comportant un barillet et un rouage pour entraîner une animation. - Google Patents

Abstract

L’invention concerne un instrument d’écriture comportant: un corps (1), un barillet (5) disposé axialement dans le corps et destiné à stocker de l’énergie; un rouage (10) comprenant au moins un mobile rotatif autour d’un axe radial par rapport au corps et engrené par le barillet; une animation sonore entraînée par ledit rouage; et une animation visuelle, par exemple un oiseau chanteur, du côté arrière de l’instrument par rapport au barillet.

Description

Description

Domaine technique [0001] La présente invention concerne un instrument d’écriture comportant une animation sonore et/ou visuelle.

Etat de la technique [0002] Les instruments d’écriture usuels comportent le plus souvent un corps allongé et une pointe d’écriture à l’une des extrémités de ce corps. La réserve d’encre et parfois un mécanisme de rentrée et sortie de la pointe sont logés dans le corps.

[0003] Le volume occupé par la cartouche d’encre et le mécanisme ne remplit en général pas entièrement l’espace disponible à l’intérieur du corps. Il a été suggéré d’exploiter ce volume à disposition pour y loger une animation, c’est-à-dire un mécanisme destiné à améliorer l’attractivité de l’instrument d’écriture et à en faire un objet ludique.

[0004] Ainsi, le brevet EP 2 497 648 B1 au nom de Guenat SA Montres Valgine décrit un instrument d’écriture comportant un mécanisme pour l’extraction de la pointe d’écriture de manière lente et contrôlée. Ce mécanisme comporte un barillet pour le stockage d’énergie ainsi qu’un rouage avec plusieurs mobiles; les axes de ces éléments sont perpendiculaires à l’axe longitudinal de l’instrument. Le mécanisme décrit participe au fonctionnement de l’instrument dont il permet d’extraire la pointe et ne constitue pas une animation distincte.

[0005] Le modèle d’utilité DE 6 927 141 U décrit un stylo en forme de tour de télévision. Il intègre une boîte à musique avec un barillet et un tambour musical, disposés de manière coaxiale à l’instrument. Cette construction est uniquement adaptée à des instruments d’écriture avec un diamètre suffisant pour y loger un tambour à picots. Un tel instrument est peu commode pour l’écriture.

[0006] Une difficulté dans la réalisation de ce type d’instruments d’écriture réside dans la forme du volume à disposition, très allongé mais de faible diamètre. Le diamètre extérieur des plumes ou stylo ne dépasse en général pas 20 mm, soit nettement moins que le diamètre des mouvements horlogers usuels. Ce volume crée des contraintes importantes lors de la conception de telles animations.

[0007] En particulier, le volume restreint d’un instrument d’écriture ne permet pas l’intégration d’animations complexes, par exemple d’automates animés ou d’animations musicales.

Bref résumé de l’invention [0008] Un but de la présente invention est donc de proposer un instrument d’écriture incluant des composants d’une animation disposés d’une façon innovante afin d’exploiter au mieux le volume à disposition dans le corps de l’instrument.

[0009] Selon l’invention, ces buts sont atteints notamment au moyen d’un instrument d’écriture comportant: un corps; un barillet disposé axialement dans le corps et destiné à stocker de l’énergie; un rouage comprenant au moins un mobile rotatif autour d’un axe radial par rapport au corps et engrené par le barillet; une animation sonore et/ou visuelle entraînée par ledit rouage.

[0010] Le terme «animation» désigne ici un dispositif, en particulier un dispositif mécanique dont la fonction première est de divertir ou d’animer. En général, l’animation ne contribue pas à la fonction d’écriture ni de déplacement de la pointe d’écriture.

[0011] La disposition du barillet avec un axe parallèle à celui du corps est avantageuse car elle permet d’utiliser un mieux la forme cylindrique à disposition dans le corps.

[0012] La disposition du rouage avec au moins un mobile, par exemple un pignon ou une roue, monté avec un axe radial est avantageuse car elle permet de loger une chaîne cinématique dans la longueur de l’instrument.

[0013] Dans un mode de réalisation préférentiel, l’instrument d’écriture comporte à la fois une animation sonore et une animation visuelle.

[0014] L’animation visuelle peut être constituée par une figurine mise en mouvement par le rouage, par exemple un oiseau mécanique.

[0015] L’animation sonore peut être constituée par un mécanisme destiné à jouer une musique, un son ou un chant.

[0016] Dans un mode de réalisation, cette animation sonore permet de jouer un chant d’oiseau.

[0017] L’arrangement de composants proposés permet de gagner de la place pour loger des animations complexes, y compris des automates, par exemple des oiseaux chanteurs. Les oiseaux chanteurs sont connus en particulier dans les horloges à coucou ou dans les tabatières; une montre-bracelet munie d’un tel oiseau-chanteur a aussi été décrite dans la demande de brevet CH 706 771 A2 dont le contenu est intégré ici par référence. De manière générale, les mécanismes à oiseau chanteur comportent une figurine en forme d’oiseau animé et un sifflet commandé pour imiter le champ d’un oiseau. De tels oiseaux chanteurs mécaniques n’ont jusqu’à présent pas pu être intégré dans un instrument d’écriture.

[0018] L’animation sonore peut comporter un sifflet et un piston coulissant dans un cylindre pour insuffler de l’air dans le sifflet afin d’imiter le chant d’un oiseau.

[0019] Dans le contexte de l’invention, on entend par «sifflet» tout élément comprenant au moins une entrée d’air et au moins une sortie d’air permettant de générer au moins un son lorsque de l’air est insufflé dans l’entrée d’air.

[0020] Par «piston», on entend une pièce cylindrique se déplaçant dans un cylindre afin de comprimer un volume d’air ou d’un autre fluide.

[0021] Une bielle peut être prévue pour convertir le mouvement rotatif d’un mobile en un mouvement de translation pour actionner le piston.

[0022] Un réservoir d’air comprimé peut être prévu entre le piston et le sifflet.

[0023] Un deuxième piston peut être prévu afin de modifier un volume de manière à modifier la hauteur du son produit par le sifflet.

[0024] Les pistons peuvent être agencés pour se déplacer parallèlement au corps de l’instrument d’écriture.

[0025] Une came peut être entraînée par le barillet afin de modifier le son produit par le sifflet.

[0026] Une première came peut être agencée pour moduler la quantité d’air insufflé dans le sifflet, de manière à modifier le rythme et/ou la durée et/ou le volume des sons produits par le sifflet.

[0027] Une deuxième came peut être prévue pour entraîner un levier afin de modifier la position du deuxième piston de manière à produire un chant modulé.

[0028] Au moins une dite came, ou de préférence toutes lesdites cames, peuvent être montées sur la périphérie du barillet. [0029] L’animation visuelle peut être disposée du côté arrière de l’instrument par rapport au barillet. Elle peut par exemple être logée tout à l’arrière de l’instrument, dans un dôme transparent. L’animation visuelle peut être agencée dans le dôme pour être mise en rotation autour de l’axe du corps.

[0030] L’animation sonore peut être disposée du côté avant de l’instrument par rapport au barillet. Elle peut par exemple être logée entre le barillet et la réserve d’encre.

[0031] L’instrument d’écriture peut comporter une bague de remontage agencée pour être mise en rotation autour de l’axe du corps afin de remonter le barillet.

[0032] La vitesse de régulation du rouage peut être régulée par un organe régulateur, par exemple un volant.

[0033] L’instrument peut comporter un actuateur actionnable manuellement par l’utilisateur afin de déclencher manuellement la ou les animations.

[0034] L’instrument peut comporter un tube transparent autour du rouage.

Brève description des figures [0035] Des exemples de mise en oeuvre de l’invention sont indiqués dans la description illustrée par les figures annexées dans lesquelles:

La fig. 1 montre une vue en coupe d’un mode de réalisation du dispositif.

Exemple(s) de mode de réalisation de l’invention [0036] L’instrument d’écriture peut être par exemple une plume, un stylo-bille, un porte-mine, etc. Il comporte un corps allongé 1 et une pointe d’écriture 10 à l’extrémité de ce corps. Une partie médiane 13 du corps 1 peut être transparente, par exemple sous la forme d’un tube cylindrique en saphir, afin de voir le mécanisme décrit plus bas. La partie inférieure du corps 1, près de la pointe d’écriture 10, est de préférence opaque pour dissimuler la réserve d’encre et le mécanisme optionnel de rétractation de la pointe.

[0037] Le diamètre maximal du corps 1 est de préférence compris entre 12 et 20 mm, afin de permettre une bonne préhension.

[0038] L’instrument d’écriture comporte en outre un barillet 5 monté dans le corps 1 de l’instrument. Le barillet 5 comporte un ressort de barillet monté dans un tambour qui est mis en rotation autour de l’axe longitudinal de l’instrument lorsque le mécanisme est actionné au moyen d’un organe d’actionnement manipulé par l’utilisateur, par exemple en pressant sur le dôme ou au moyen d’une targette non représentée.

[0039] L’axe 61 du barillet est parallèle à l’axe longitudinal du corps 1, et de préférence coaxial. Le barillet peut être un barillet simple, avec un seul ressort, ou un barillet double, avec deux ressorts hélicoïdaux coaxiaux montés sur un même axe 61. L’utilisation d’un barillet double permet d’augmenter la réserve de marche et/ou le couple disponible sans augmenter le diamètre du barillet et sans nécessiter de ressort de barillet de hauteur inhabituelle.

[0040] L’instrument d’écriture comporte aussi une bague de remontage 14 montée sur le corps 1 et qui permet de remonter le barillet 5 en tournant la bague. La rotation de la bague de remontage est par exemple transmise au tambour ou à l’axe 61 du barillet, par exemple au travers de la portion transparente 13 du corps.

[0041] Comme on le verra, le barillet 5 est muni de cames 3, 6a, 6b, par exemple de cames montées sur son pourtour, afin d’actionner différents éléments du mécanisme de sifflet 7 ou d’animer une figurine 20 constituant une animation visuelle.

[0042] La vitesse de rotation du tambour est régulée par un régulateur de vitesse 101b, par exemple un volant inertiel, un frein, un échappement à ancre, etc. Ce régulateur de vitesse est lié cinématiquement au barillet au travers d’une chaîne cinématique comprenant une denture périphérique 6 avec des dents disposées axialement sous le barillet, un pignon angulaire 100 engrené avec cette denture périphérique, une roue 101 montée sur l’axe du pignon 100, un deuxième pignon 102 engrené avec la roue 101, une deuxième roue 103 sur l’axe du deuxième pignon 102, et un troisième pignon 105 sur l’axe du volant 101b, engrené par la deuxième roue 103.

[0043] Le pignon angulaire 100 permet de convertir la rotation du tambour de barillet selon un axe longitudinal en une rotation perpendiculaire à cet axe, par exemple radiale.

[0044] Dans une variante de réalisation, le barillet entraîne une roue de champ, qui peut être directement liée à la surface inférieure du barillet. Les dents de cette roue de champ sont parallèles à l’axe du barillet et de l’instrument d’écriture, et peuvent donc directement engrener un pignon 100 à denture droite.

[0045] Le rouage multiplicateur permet d’assurer une rotation lente du barillet et une rotation rapide du volant 101b. L’ensemble des mobiles 100, 101, 102, 103, 105 (à l’exception de la denture périphérique 6) possède un axe perpendiculaire à l’axe longitudinal de l’instrument d’écriture. Cette disposition permet d’exploiter la forme allongée de volume disponible dans le corps 1 de l’instrument d’écriture pour y loger le rouage. Les différents mobiles peuvent être montés sur une platine non représentée, à la manière d’un mouvement baguette en horlogerie. La disposition de la denture 6 avec des dents qui s’entendent longitudinalement permet de maximiser le diamètre à disposition pour le barillet 5.

[0046] Une roue 15 est entraînée par le rouage; sur l’exemple illustré, cette roue est montée sur l’axe du pignon 102 et de la roue 103. Une bielle 150 montée de façon excentrique sur la roue 15 permet de convertir le mouvement de rotation de ces mobiles en un mouvement de translation transmis à un piston 11 dans un cylindre 12, afin de pomper de l’air dans un réservoir à air comprimé 22 au travers d’un tuyau 120.

[0047] Dans l’exemple préférentiel illustré, l’ensemble cylindre 12 - piston 11 constitue une pompe à double effet afin d’injecter de l’air dans le réservoir 22 quel que soit le sens de déplacement du piston. Dans ce cas, chacun des deux volumes du cylindre de part et d’autre du piston 11 est relié par un tuyau 120, respectivement 121 au réservoir 22.

[0048] Le tuyau 120, respectivement les deux tuyaux 120 et 121, sont munis d’une première valve unidirectionnelle non représentée, en amont du réservoir 22 et en aval du cylindre 12, afin d’empêcher le retour d’air comprimé vers le cylindre 12.

[0049] L’admission d’air dans le cylindre 12, ou de part et d’autre de ce cylindre, n’est pas illustrée. Une (respectivement deux) autre valve unidirectionnelle non représentée est prévue afin de permettre l’entrée d’air dans le corps du cylindre (respectivement de part et d’autre du piston).

[0050] Le réservoir à air comprimé 22 est relié à un sifflet 7 via un tuyau 122. Une valve 123 permet d’ouvrir ou de fermer progressivement le passage d’air vers le sifflet. Le volume sonore augmente avec l’ouverture de la valve; il est nul lorsque la valve est fermée.

[0051] La hauteur du son est contrôlée au moyen d’un deuxième piston 8, dans le corps du sifflet 7 et qui permet de contrôler le volume de la chambre du sifflet. Le volume d’air présent dans le corps du sifflet 7 est important lorsque le piston est relevé, ce qui permet de jouer une note basse lorsque la valve 123 est ouverte. A l’inverse, la note sera aiguë lorsque le piston 8 occupe une position basse dans le sifflet 7.

[0052] Les cames 3,6a 6b sont disposées sur la périphérie du tambour de barillet 5 et tournent avec celui-ci. Des palpeurs non référencés palpent ces cames afin de contrôler l’animation sonore. Dans l’exemple illustré, un premier palpeur qui palpe la came 6A contrôle la position du piston 8 afin de modifier la hauteur du son de manière périodique. Un deuxième palpeur y palpe la came 6b afin de contrôler la valve 123 et donc le volume sonore. La forme des cames 6A, 6B est déterminée de manière à produire avec le sifflet un son modulé qui imite le champ d’un oiseau.

[0053] Une rotation d’un tour de barillet 5 permet au dispositif 1 de siffler un motif sonore une fois. Lorsque le barillet 5 est chargé il peut effectuer plusieurs tours, par exemple quatre ou cinq tours, ce qui correspond à plusieurs répétitions successives du même motif musical. Une fois que le barillet 5 est déchargé, le sifflet 7 ne peut plus émettre aucune note avant que le barillet ne soit à nouveau chargé manuellement ou au moyen d’un mécanisme de remontage automatique.

[0054] Une troisième came 3 sur la périphérie du tambour de barillet contrôle les mouvements d’une figurine 20 disposée dans un dôme en verre ou en saphir 23 à l’extrémité de l’instrument d’écriture. La came 3 est liée à cette figurine au moyen d’éléments de liaison mécanique ou leviers 21. Dans ce mode de réalisation, l’a figurine constituant l’animation visuelle est un oiseau mécanique 20 dont plusieurs parties, par exemple la tête, la queue, et les ailes peuvent bouger. La rotation de l’oiseau 20 sur lui-même dans un plan parallèle au cadran de la montre peut être commandée par une came supplémentaire non représente sur le pourtour du barillet 5 ou sur un autre mobile.

[0055] L’animation du bec, de la queue et/ou des ailes est commandée par la came 3 actionnant également la valve 18, ou par une came supplémentaire sur le pourtour du barillet 5 ou d’un autre mobile, au travers d’un levier 21a. Le levier 21 peut être coaxial au levier 21 a. Le levier 21 peut effectuer des mouvements de rotation sur son axe longitudinal, tandis que le levier 21a peut effectuer des mouvements de translation longitudinale selon son axe propre, afin d’actionner un mécanisme dans le corps de l’oiseau.

[0056] L’élément de liaison 21a peut comprendre plusieurs axes afin de commander indépendamment différentes parties du personnage articulé 20, par exemple au moyen de différents axes coaxiaux.

[0057] Dans l’exemple illustré, la figurine est constituée par un oiseau qui peut tourner sur lui-même, ouvrir les ailes et le bec sous le contrôle de la came 3 et éventuellement d’une autre came.

Numéros de référence employés sur les figures [0058] I. Corps de l’instrument d’écriture 3. Came 4. Sortie d’air de sifflet 5. Barillet 6. Denture périphérique 6a. Came 6b. Came 7. Sifflet 8. Deuxième piston 9. Levier II. Piston 12. Cylindre 13. Partie médiane du corps 15. Roue 150. Bielle 20. Figurine articulée 21. 21a. Eléments de liaison mécanique (leviers) 22. Réservoir à air comprimé 23. Dôme en verre ou en saphir 100. Pignon 101. Roue 101b. Régulateur de vitesse 102. Deuxième pignon 103. Deuxième roue 105. Troisième pignon 120. Tuyau entre le cylindre et le réservoir à air comprimé 121. Deuxième tuyau (optionnel) 122. Tuyau entre le réservoir d’air comprimé et le sifflet 123. Valve contrôlable

Claims (14)

Revendications

1. Instrument d’écriture comportant: un corps (1); un barillet (5) disposé axialement dans le corps et destiné à stocker de l’énergie; un rouage (10) comprenant au moins un mobile rotatif autour d’un axe radial par rapport au corps et engrené par le barillet; une animation sonore entraînée par ledit rouage; et une animation visuelle du côté arrière de l’instrument par rapport au barillet.

2. Instrument d’écriture selon la revendication 1, ladite animation sonore étant disposée du côté avant de l’instrument par rapport au barillet.

3. Instrument d’écriture selon l’une des revendications 1 ou 2, l’extrémité arrière de l’instrument comportant un dôme transparent, ladite animation visuelle étant agencée dans ledit dôme pour être mise en rotation par ledit barillet autour de l’axe du corps.

4. Instrument d’écriture selon l’une des revendications 1 à 3, comportant une bague de remontage agencée pour être mise en rotation autour de l’axe du corps afin de remonter ledit barillet.

5. Instrument d’écriture selon l’une des revendications 1 à 4, ladite animation sonore comportant un sifflet et un piston (11) coulissant dans un cylindre (12) pour insuffler de l’air dans le sifflet (7) afin d’imiter le chant d’un oiseau.

6. Instrument d’écriture selon la revendication 5, comprenant une bielle (15) actionnant ledit piston (11).

7. Instrument d’écriture (1) selon l’une des revendications 5 à 6, caractérisé par un réservoir d’air comprimé (22) entre ledit piston (11) et ledit sifflet (7).

8. Instrument d’écriture (1) selon l’une des revendications 5 à 7, caractérisé par un deuxième piston (8) afin de modifier un volume dans ledit sifflet (7), de manière à modifier la hauteur du son produit par le sifflet (7).

9. Instrument d’écriture (1) selon l’une des revendications 5 à 8, comprenant une came (6a, 6b) entraînée par ledit barillet afin de modifier le son produit par le sifflet.

10. Instrument d’écriture selon la revendication 9, comportant une première dite came (3) agencée pour moduler la quantité d’air insufflé dans ledit sifflet (7), de manière à modifier le rythme et/ou la durée et/ou le volume des sons produits par le sifflet (7), et une deuxième dite came (6b) entraînant un levier (9) pour modifier la position dudit deuxième piston (8) de manière à produire un chant modulé.

11. Instrument d’écriture selon l’une des revendications 9 ou 10, au moins une dite came étant montée sur la périphérie du barillet (5).

12. Instrument d’écriture (1) selon l’une des revendications 1 à 11, caractérisé par un organe régulateur (101b, 17) pour contrôler la vitesse de rotation.

13. Instrument d’écriture (1) selon l’une des revendications 1 à 12, caractérisé par un actuateur actionnable manuellement par l’utilisateur afin de déclencher manuellement ledit sifflet (7).

14. Instrument d’écriture selon l’une des revendications 2 à 13, comportant un tube transparent autour dudit rouage.