CH702798B1 - Pièce d'horlogerie comportant une boîte renfermant un mouvement à tige brisée. - Google Patents

Pièce d'horlogerie comportant une boîte renfermant un mouvement à tige brisée. Download PDF

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CH702798B1
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Sylvain Geiser
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Patek Philippe Sa Geneve
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Abstract

L’invention concerne une pièce d’horlogerie comportant une boîte renfermant un mouvement à tige de remontoir brisée comportant une première partie (6), destinée à être assemblée dans le mouvement d’horlogerie (4) pour coopérer avec un pignon coulant de celui-ci, comportant à son extrémité dirigée vers la périphérie du mouvement un premier organe d’accouplement (7); et une seconde partie (8) dont une extrémité porte une couronne (9) tandis que l’autre présente un second organe d’accouplement (10), ces premier et second organes d’accouplement (7, 10) s’accouplant et se découplant par un mouvement axial. La seconde partie (8) de la tige de remontoir présente un premier moyen de sécurisation (11) destiné à coopérer avec un second moyen de sécurisation correspondant (12) solidaire de la boîte de montre (1, 2) coaxial à l’axe à la première partie (6) de la tige de remontoir. Ces premier et second moyens de sécurisation (11, 12) nécessitent une rotation de la seconde partie (8) de la tige par rapport à la boîte pour sa mise en place ou son démontage.

Description

[0001] La présente invention se rapporte aux pièces d’horlogerie comportant une boîte renfermant un mouvement à tige brisée. La mise en place d’une tige de remontoir classique nécessite d’avoir accès par le fond de la boîte à la face inférieure du mouvement d’horlogerie pour permettre d’actionner l’axe de tirette.
[0002] Pour des pièces d’horlogerie, en général des pièces de haute horlogerie comportant une boîte de montre ouvragée ou sertie de pierres, le fond de la boîte est souvent venu d’une pièce de fabrication avec la carrure de sorte que le fond de la boîte ne peut pas être enlevé. Il n’est donc pas possible, pour de telles boîtes de montre sans fond amovible, de mettre en place une tige de remontoir classique. Dans ce cas, on utilise une tige de remontoir dite brisée, c’est-à-dire constituée d’une première partie propre au mouvement comportant à son extrémité libre la partie mâle d’un accouplement et d’une seconde partie traversant la carrure comportant à son extrémité extérieure, hors de la carrure, une couronne et à son extrémité intérieure, la partie femelle d’un accouplement. On peut ainsi, le mouvement d’horlogerie étant mis en place dans la partie inférieure de la boîte de montre à fond fixe avec la première partie de la tige de remontoir, mettre en place la seconde partie de cette tige de remontoir en la faisant coulisser à travers un tube fixé dans la paroi de la carrure de la boîte de montre et l’accoupler par encliquetage des parties mâles et femelles de l’accouplement à la première partie de la tige de remontoir déjà montée dans le mouvement d’horlogerie. Une telle tige brisée de remontoir traditionnelle est illustrée aux fig. 1 à 4 .
[0003] L’inconvénient d’une telle tige brisée de remontoir réside dans le fait que les pièces mâles et femelles de l’accouplement étant très petites, la force de traction axiale nécessaire à la séparation des deux parties de la tige de remontoir est relativement faible, à peine plus importante que la force nécessaire pour faire passer la tige de remontoir de sa position de remontage à sa position de mise à l’heure, de sorte qu’il arrive que l’usager en voulant mettre à l’heure sa montre, arrache la partie de la tige de remontoir portant la couronne hors du mouvement et de la boîte. Ceci n’est pas acceptable et provoque de nombreux retours de pièces à la manufacture pour réparation.
[0004] La présente invention a pour but la réalisation d’une tige brisée de remontoir évitant tout désaccouplement intempestif et involontaire de ses premières et secondes parties tout en permettant un désaccouplement volontaire de ces parties sans outils.
[0005] La présente invention a pour objet une boîte renfermant un mouvement à tige brisée de remontoir qui se distingue par le fait qu’elle comporte une première partie destinée à être assemblée dans un mouvement d’horlogerie pour coopérer avec un pignon coulant de celui-ci, comportant à son extrémité dirigée vers la périphérie du mouvement, un premier organe d’accouplement, et une seconde partie dont une extrémité porte une couronne, tandis que l’autre présente un second organe d’accouplement destiné à coopérer avec le premier organe d’accouplement caractérisé par le fait que la seconde partie de la tige de remontoir présente un premier moyen de sécurisation destiné à coopérer avec un second moyen de sécurisation correspondant solidaire d’un perçage radial traversant la carrure d’une boîte de montre, coaxial à l’axe de la première partie de la tige de remontoir.
[0006] La présente invention a donc pour objet une pièce d’horlogerie comportant une tige brisée de remontoir telle que définie par la revendication 1, ces premier et second moyens de sécurisation nécessitant une rotation de la seconde partie de la tige par rapport à la boîte pour sa mise en place ou son démontage.
[0007] Le dessin annexé illustre d’une part aux fig. 1 à 4 une tige brisée de remontoir classique et d’autre part, aux fig. 5 à 13 une forme d’exécution de la tige brisée de remontoir munie de son dispositif de sécurité selon l’invention.
[0008] La fig. 5 illustre en coupe une partie d’une pièce d’horlogerie munie d’un mouvement et équipée de la tige brisée de remontoir sécurisée avant la mise en place de la seconde partie de ladite tige portant la couronne.
[0009] La fig. 6 est une coupe semblable à celle de la fig. 5 pendant une première phase de la mise en place de la seconde partie, de la tige de remontoir portant la couronne.
[0010] La fig. 7 est un détail de la fig. 6 .
[0011] La fig. 8 est une coupe semblable à celle de la fig. 5 pendant une seconde phase de la mise en place de la seconde partie, de la tige de remontoir portant la couronne.
[0012] La fig. 9 est un détail de la fig. 8 .
[0013] La fig. 10 est une vue semblable à celle de la fig. 5 , la seconde partie, portant la couronne, de la tige de remontoir étant assemblée à la première partie de cette tige en position de remontage.
[0014] La fig. 11 est une vue semblable à la fig. 10 , la tige de remontoir étant en position de mise à l’heure.
[0015] La fig. 12 est une vue semblable à celle de la fig. 11 illustrant ce qui se passe si l’usager tire très fort sur la couronne de remontoir.
[0016] La fig. 13 est un détail de la fig. 12 .
[0017] La tige brisée de remontoir sécurisée selon la présente invention est formée d’un ensemble comportant une première partie de tige de remontoir destinée à être montée dans un mouvement d’horlogerie pour coopérer avec un pignon coulant et comportant à son extrémité dirigée vers l’extérieur du mouvement, un organe d’accouplement; et une seconde partie de la tige de remontoir portant la couronne destinée à traverser la carrure d’une boîte de montre renfermant ledit mouvement et comportant à son extrémité un organe d’accouplement destiné à coopérer avec l’organe d’accouplement de la première partie de la tige en vue d’entraîner axialement et en rotation cette première partie à partir des mouvements imposés à la couronne de remontoir, cette seconde partie de la tige étant destinée à traverser un tube traversant la carrure d’une boîte de montre et étant fixé sur celle-ci; cette seconde partie de la tige et ce tube comportent des moyens interdisant l’introduction ou le retrait de la seconde partie de la tige hors dudit tube par un déplacement axial seulement de cette seconde partie de la tige.
[0018] L’invention a encore pour objet une pièce d’horlogerie munie d’une telle tige brisée sécurisée de remontoir.
[0019] La fig. 5 illustre partiellement en coupe une pièce d’horlogerie comportant une boîte formée d’une partie inférieure 1 formant le fond 1a et la carrure 1b de la boîte et une lunette 2 portant une glace 3. Cette boîte renferme un mouvement d’horlogerie 4 et comporte un tube 5 traversant la paroi de la carrure 1b et fixé sur cette carrure.
[0020] La tige de remontoir comporte une première partie 6 intérieure montée dans et assemblée au mouvement 4, avant que celui-ci ne soit placé dans la partie inférieure 1 de la boîte. L’extrémité de cette première partie de la tige de remontoir dirigée vers l’extérieur de la boîte 1 comporte un organe d’accouplement femelle 7 formant une pince similaire à l’organe d’accouplement femelle d’une tige brisée classique. A noter toutefois que dans une tige brisée classique, c’est la partie de celle-ci portant la couronne qui est équipée d’un organe d’accouplement femelle et non pas la partie interne au mouvement comme dans la présente exécution.
[0021] La tige de remontoir comporte encore une seconde partie externe 8 portant à l’une de ses extrémités une couronne de remontoir 9 et à son autre extrémité, dirigée vers le mouvement 4, un organe d’accouplement mâle 10 formant un entraîneur similaire à l’organe d’accouplement mâle d’une tige brisée classique, destiné à coopérer avec l’organe d’accouplement femelle 7 de la première partie 6 de la tige de remontoir.
[0022] Cette seconde partie 8 de la tige de remontoir comporte, située entre l’organe mâle d’accouplement 10 et la couronne 9 et de préférence à proximité de l’organe d’accouplement mâle 10, un filetage 11 comportant une à dix spires, trois dans l’exemple illustré. Ce filetage 11 est destiné à coopérer avec un taraudage 12 correspondant pratiqué dans la paroi intérieure du tube 5 traversant la paroi de la carrure 1b.
[0023] Ce filetage 11 et ce taraudage 12 constituent des moyens interdisant l’introduction dans ou le retrait hors du tube 5 de la seconde partie 8 de la tige de remontoir par un déplacement linéaire axial seul. Il faut en effet pour introduire ou extraire la seconde partie 8 de la tige de remontoir dans ou hors du tube 5 déplacer cette seconde partie 8 de la tige de remontoir simultanément linéairement le long de son axe et rotativement autour de cet axe. Un tel mouvement complexe de traction simultané avec une rotation ne peut pas se faire accidentellement, il faut que l’usager le fasse volontairement.
[0024] Lors de l’emboîtage du mouvement 4 dans la boîte de montre 1, 2, 3 qui se fait en atelier par un horloger, la seconde partie 8 de la tige de remontoir est introduite par un déplacement axial en direction de la pièce d’horlogerie, dans le tube 5 dont l’axe est situé dans le prolongement de l’axe de la première partie 6 de la tige de remontoir. Lorsque le filetage 11 bute contre le taraudage 12, l’horloger, tout en exerçant une pression sur la couronne 9 en direction du mouvement, tourne cette couronne, dans l’exemple illustré dans le sens des aiguilles d’une montre, provoquant la pénétration du filetage 11 dans le taraudage 12 (fig. 6 , 7 ). L’horloger tourne alors la couronne 9 jusqu’à ce que le filetage 11 échappe au taraudage 12 (fig. 8 , 9 ).
[0025] Ce faisant, l’extrémité de l’organe d’accouplement mâle 10 pénètre dans l’organe d’accouplement femelle 7 et une fois l’accouplement complètement enclenché, la pince 7 maintien l’organe mâle 10 et les deux parties 6, 8 de la tige de remontoir sont accouplées tant axialement qu’angulairement (fig. 10 ). Dans cette position une rotation de la couronne 9 provoque une rotation de la première partie 7 de la tige de remontage et permet le remontage manuel du mouvement de façon classique par l’usager de la montre.
[0026] Pour la mise à l’heure de la montre, l’usager tire la couronne 9 d’un cran vers l’extérieur (fig. 11 ) et tourne cette couronne dans un sens ou dans l’autre. Si par mégarde en tirant sur la couronne 9, l’usager dépasse le cran de mise à l’heure de la tige de remontoir, le filetage 11 vient buter contre le taraudage 12 (fig. 12 ), les deux parties 6, 8 de la tige de remontoir restent accouplées et la seconde partie 8 de cette tige de remontoir ne peut pas être arrachée et sortie du tube 5 par une simple traction axiale. Ceci évite donc tout arrachement indésirable et accidentel de la seconde partie 8 de la tige de remontage.
[0027] Lors d’une révision de la montre, l’horloger tire la couronne 9 jusqu’à ce que le filetage 11 arrive en butée contre le taraudage 12 puis tourne cette couronne dans le sens contraire des aiguilles d’une montre dans l’exemple illustré, ce qui permet au filetage 11 de traverser le taraudage 12 provoquant un déplacement axial vers l’extérieur de la seconde partie 8 de la tige de remontoir et donc le désaccouplement de celle-ci de la première partie 6 de cette tige. Enfin, la seconde partie 8 de la tige de remontoir est extraite axialement du tube 5. L’horloger peut alors séparer la lunette 2 de la carrure 1b et sortir le mouvement 4 de la boîte de montre.
[0028] Dans une variante ne comportant pas de tube 5, le taraudage 12 serait usiné directement dans la paroi interne d’un perçage traversant la paroi de la carrure 1b.
[0029] Dans l’exemple illustré et décrit ci-dessus, le dispositif de sécurisation de la tige brisée de remontoir est formé par le filetage 11 de la seconde partie 8 de la tige de remontoir et le taraudage 12 correspondant du tube 5. Il est évident que dans des variantes, d’autres moyens de sécurisation pourraient être envisagés tels qu’un dispositif à baïonnette ou toute autre combinaison de moyens nécessitant un déplacement axial et angulaire simultanés de la couronne 9 pour permettre l’extraction de la seconde partie 8 de la tige de remontage hors du tube 5. Le sens, horaire ou anti-horaire, du filetage et du taraudage correspondant de la forme d’exécution illustrée, peut être choisi à volonté.
[0030] Le dispositif de sécurisation de la tige brisée de remontoir comporte donc toujours un premier moyen de sécurisation, ici le filetage 11 porté par la seconde partie 8 de la tige de remontoir et un second moyen de sécurisation, ici le taraudage 12, solidaire de la carrure de la boîte de montre.

Claims (5)

1. Pièce d’horlogerie comportant une boîte renfermant un mouvement à tige de remontoir brisée comportant une première partie (6), destinée à être assemblée dans le mouvement d’horlogerie (4) pour coopérer avec un pignon coulant de celui-ci, comportant à son extrémité dirigée vers la périphérie du mouvement un premier organe d’accouplement (7); et une seconde partie (8) dont une extrémité porte une couronne (9) tandis que l’autre présente un second organe d’accouplement (10), ces premier et second organes d’accouplement (7, 10) s’accouplant et se découplant par un mouvement axial, caractérisé par le fait que la seconde partie (8) de la tige de remontoir présente un premier moyen de sécurisation (11) destiné à coopérer avec un second moyen de sécurisation correspondant (12) solidaire de la boîte de montre (1, 2) coaxial à l’axe à la première partie (6) de la tige de remontoir, ces premier et second moyens de sécurisation (11, 12) nécessitant une rotation de la seconde partie (8) de la tige par rapport à la boîte pour sa mise en place ou son démontage.
2. Pièce d’horlogerie selon la revendication 1 caractérisée par le fait que le second moyen de sécurisation (12) est pratiqué dans la paroi interne d’un tube (5) fixé dans un perçage radial de la carrure (1b).
3. Pièce d’horlogerie selon la revendication 1 ou 2 caractérisée par le fait que le premier organe d’accouplement (7) est un organe d’accouplement femelle (7) tandis que le second organe d’accouplement (10) est un organe d’accouplement mâle.
4. Pièce d’horlogerie selon l’une des revendications précédentes, caractérisée par le fait que le premier moyen de sécurisation (11) est un filetage tandis que le second moyen de sécurisation (12) est un taraudage correspondant.
5. Pièce d’horlogerie selon la revendication 1, caractérisée par le fait que les premier et second moyens de sécurisation (11, 12) sont constitués par un dispositif de type baïonnette.
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* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP3955066A1 (fr) 2020-08-13 2022-02-16 Patek Philippe SA Genève Montre comportant un mecanisme de commande a tige et tirette

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