CH673173A5 - - Google Patents

Description

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La présente invention a pour objet un mouvement de montre mécanique comprenant un barillet moteur maintenu axialement en place entre deux éléments de bâti, un rouage reliant le tambour du barillet à un échappement et un train d'engrenage reliant le tembour du barillet à des organes indicateurs des heures et des minutes.

Des mouvements de montre de ce genre sont connus depuis longtemps. L'un d'eux est décrit dans le brevet suisse N 7579. Dans cette construction, le premier mobile du train d'engrenage qui relie le tambour du barillet aux organes indicateurs est monté sur le moyeu du couvercle de barillet et accouplé à friction à ce moyeu. L'extrémité intérieure du ressort moteur est fixée à une bonde solidaire d'un arbre qui traverse le barillet et qui porte la roue à rochet.

Le brevet suisse N 40496 décrit une construction du même genre, pourvue d'un barillet sans couvercle. L'arbre est lié au tambour, soit rigidement, soit par un accouplement à friction. Il porte le premier mobile du train d'engrenage, qui est lié à l'arbre par un accouplement à friction ou rigidement. L'arbre présente des pivots coniques et est maintenu en place entre des crapaudines fixées à deux éléments de bâti.

Le brevet suisse N 84784 décrit une construction dans laquelle le premier mobile du train d'engrenage qui actionne les organes indicateurs est solidaire d'un tourillon solidaire lui-même du tambour de barillet. Ce mobile est noyé à l'intérieur d'un pont et entraîne un mobile réducteur qui est combiné à un accouplement à friction.

Dans ces diverses réalisations connues, le barillet ne peut pas être extrait du mouvement sans démontage de la cage. Or, à l'heure actuelle, on demande de plus en plus, afin de faciliter les révisions et le rhabillage des montres, que le barillet puisse être extrait latéralement du mouvement afin de faciliter le nettoyage. Dans ce but, on a déjà réalisé des mouvements dans lesquels l'arbre de barillet est une pièce distincte de la bonde montée de façon à pouvoir être enlevée dans le sens axial, ce qui libère le barillet. Dans le cas du brevet suisse N 356724, l'arbre est fixe, tandis que, dans le cas du brevet français N 657800, il est accouplé à la bonde que porte la roue à rochet. Toutefois, dans ces deux exécutions connues, comportant un arbre extractible, le mouvement ne compo'rte qu'un train d'engrenage qui constitue le rouage. L'entraînement des organes indicateurs se fait à partir d'un des mobiles de ce rouage, généralement la grande moyenne. Les solutions exposées dans les deux derniers brevets précités et permettant l'extraction latérale du barillet n'étaient pas applicables aux mouvements du genre défini au début, dans lesquels deux dentures tournant normalement avec le tambour de barillet entraînent chacune un train d'engrenage distinct constituant, l'un • le rouage et l'autre le dispositif d'entraînement des organes indicateurs, et le but de la présente invention est de permettre le démontage du barillet dans un mouvement de montre de ce genre.

Dans ce but, le mouvement de montre selon l'invention, du genre mentionné au début, est caractérisé en ce que le barillet comprend un arbre qui traverse au moins un desdits éléments de bâti et présente une extrémité faisant saillie sur le côté extérieur du mouvement, en ce qu'un organe dudit train d'engrenage est fixé à ladite extrémité saillante de l'arbre du barillet, et en ce que l'arbre est relié au tambour par un accouplement à friction qui comprend un verrou élastique assujettissant l'arbre au tambour dans le sens axial.

Cette disposition permet de réaliser une cage indémontable, le pont de barillet et de rouage étant fixé par rivetage aux piliers qui assurent son espacement par rapport à la platine.

Avec cette disposition préférentielle, il suffît de monter la roue de minuterie sur un carré situé à l'extrémité de l'arbre du barillet, côté platine, pour assurer l'entraînement des aiguilles.

Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution du mouvement de montre selon l'invention.

La fig. 1 en est une vue en plan de dessus,

la fig. 2 une vue en coupe selon la ligne II-II de la fig. 1, et la fig. 3 une vue en coupe à plus grande échelle à travers l'arbre montrant le verrou en plan.

5 Le mouvement de montre représenté au dessin est conçu de façon à pouvoir être fabriqué avec des moyens aussi rapides et rationnels que possible. Dans ce but, tous les éléments de ce mouvement ont été simplifiés, leur nombre a été réduit et leur forme a été choisie de façon à faciliter aussi bien la fabrication 10 que le montage.

Comme on le voit à la fig. 1, le mouvement comporte une platine I, un pont de barillet et de rouage 2, un coq 3. et, entre ces éléments de bâti, les organes du rouage: un barillet 4 (fig. 2), une roue de grande moyenne excentrée 5, une roue de petite 15 moyenne 6, une roue de seconde centrale 7, une roue d'échappement 8, une ancre 9 et un système oscillant à balancier et spiral 10. Le rouage d'entraînement des aiguilles des heures et des minutes sera décrit plus loin.

Le mécanisme de remontoir et de mise à l'heure comprend une roue de couronne baladeuse 11 qui s'appuie sur le coq 3, placé un peu plus bas que le pont 2, une tige 12 usinée avec une denture de pignon 13, et un renvoi de mise à l'heure (non représenté à la fig. 1) qui pivote sur la face inférieure de la platine. Ce mécanisme est du type décrit dans le mémoire-exposé suisse N' 9897/72. La tige est donc maintenue en place par une plaque élastique 14 qui s'étend en partie sous le coq 3.

Alors que le coq 3 est fixé sur deux piliers solidaires de la platine 1 par des vis 15, le pont 2 est fixé à la platine 1 par trois io piliers 16a, 16b, 16c qui sont rivés à la platine I et au pont 2 comme on le voit à la fig. 2. Les extrémités cylindriques des piliers sont en effet engagées dans des ouvertures circulaires découpées dans la platine 1 et dans le pont et sont ensuite rabattues latéralement sur les surfaces externes de ces éléments de bâti en assurant « ainsi une fixation rigide et indémontable de ces éléments de la cage du mouvement décrit.

La platine 1 présente, comme on le voit à la fig. 1, la forme d'un carré à angles arrondis. Elle est découpée selon le contour extérieur représenté au dessin et présente dans un de ses côtés 40 rectilignes une échancrure 17 d'orientation servant aux diverses opérations de découpage. La platine 1 est également tournée de façon à présenter les rebords saillants 18 qui s'étendent sur une partie de son épaisseur et qui servent à supporter le mouvement dans la boîte ou sur le cercle d'encageage. Les trous 19 et 20 45 servent à l'engagement et à la fixation des pieds du cadran. On remarque qu'ils s'étendent dans une région de la platine qui se trouve entièrement à l'extérieur de la zone circulaire centrale occupée par les organes du mouvement et recouverte par les ponts 2 et 3. Cette disposition de la platine permet déjà une so simplification de la fabrication. En effet, pour fixer la platine sur la machine de tournage qui sert à former les saignées de dégagement des rebords 18, on peut utiliser des porte-mouvements qui sont ajustés à la distance entre les côtés rectilignes parallèles de la platine quel que soit le diamètre des arrondis de la platine. Ces 55 mêmes porte-mouvements peuvent donc être utilisés pour des platines dont le diamètre des arrondis correspond à des calibres de différentes dimensions. Ainsi, par exemple, les arrondis des angles de la platine 1 peuvent être découpés et tournés à des dimensions correspondant à un calibre 13 lignes ou à un calibre » 12 lignes. Pour ces deux calibres, on utilisera les mêmes rouages et les mêmes ponts. Si le diamètre des arrondis de la platine est plus petit que ce qui est représenté au dessin, donc si les arrondis s'étendent jusque plus près des milieux des côtés rectilignes que ce que l'on voit au dessin, les trous 19 et 20 seront percés plus près 65 du centre.

On ne décrira pas en détail ici les différents perçages, découpages et fraisage de la platine I, ces éléments étant pour la plupart usuels.

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Le trou carré 21 du pont 2 correspond à deux trous carrés percés dans !a platine et ces trous servent à fixer un élément de potence sur lequel pivote la roue de couronne II. Un élément de potence semblable 22 est tenu en place entre une échancrure du coq et un trou rectangulaire percé dans la platine 1 au voisinage du côté rectiligne tourné sur 3 h.

Comme on le voit à la fig. 2, le rouage d'entraînement des aiguilles présente une particularité qui simplifie grandement sa fabrication. On voit, à cette figure, le pilier 16a qui relie la platine 1 au pont 2, la roue de seconde centrale 7 dont l'axe traverse un tube 23 fixé au centre de la platine ainsi que le tambour de barillet 4. Ce dernier présente une denture 24 qui est en prise avec le pignon de la roue de grande moyenne excentrée 5. En outre, le tambour 4 est pourvu d'un moyeu central tubulaire qui s'étend, d'une part sous forme d'un canon cylindrique 35 à l'intérieur du tambour, et d'autre part sous forme d'un manchon 26 présentant une gorge 27 crevée sur une partie de sa périphérie, à l'extérieur du tambour jusqu'au voisinage de la platine. A l'intérieur de ce moyeu 25, 26 est engagé un arbre de barillet 28 ajusté librement aux dimensions intérieures du moyeu. Au voisinage de ses extrémités, l'arbre 28 traverse deux ouvertures 29 et 30 pratiquées respectivement dans le pont 2 et dans la platine 1, ce qui assure le pivotement du barillet. A la hauteur de la gorge 27, l'arbre 28 présente également une gorge 31 de profil trapézoïdal dans le fond de laquelle appuie une des branches d'un verrou 32 dont la branche extérieure est engagée dans la gorge 27. Ce verrou, en forme d'épingle à cheveux (fig. 3), réalise un accouplement à friction entre l'arbre 28 et le barillet 4. En même temps, il fixe l'arbre 28 dans le sens axial. En effet, comme les ouvertures 29 et 30 sont de même diamètre que l'ouverture du moyeu 25, 26, l'arbre 28 peut coulisser axialement. Lorsque le verrou est en place, il presse élastiquement l'arbre 28 contre la face interne du moyeu 25, 26. Le bord interne de sa branche en contact avec le fond de la gorge 27 présente un arrondi concave tandis que le bord interne de l'autre branche est rectiligne et appuie par l'ouverture que présente la gorge 27 contre l'arbre 28.

A son extrémité supérieure, l'arbre 28 présente une tête 33 de forme tronconique munie d'une fente. Il peut être saisi par cette tête et extrait du mouvement, ce qui permet de sortir le barillet latéralement en vue d'une réparation ou d'une révision.

Sur le canon 25 qui s'étend à l'intérieur du tambour 4 est engagée une bonde de forme tubulaire 34 munie du crochet 35 d'arrêt de l'extrémité interne du ressort moteur et sur l'extrémité supérieure de laquelle est chassée la roue à rochet 36. Cette dernière joue donc le rôle de couvercle du barillet et s'étend immédiatement sous le pont 2. La longueur de la bonde 34 est très légèrement inférieure à celle du canon 25, lequel détermine avec le manchon 26 l'ébat axial de l'ensemble du barillet sur l'arbre 28.

A son extrémité inférieure, l'arbre 28 présente un carré 37 qui fait saillie de la face externe de la platine I dans une partie amincie de cet élément de bâti. Le carré 37 sert d'élément de liaison entre l'arbre 28 et une roue de minuterie qui est montée sur la face externe de la platine. Cette roue de minuterie est composée d'un pignon 38 et d'un disque denté 39. Le pignon 38 est fabriqué par découpage d'un flanc circulaire avec un trou central de forme carrée ajusté aux dimensions du carré 37. Il présente une denture périphérique qui sera usinée, de préférence par fraisage, et comporte, comme on le voit au dessin, des dents tronquées approximativement à moitié dans une surface cylindrique circulaire. Le disque denté 39 présente une ouverture centrale ajustée aux dimensions de cette surface cylindrique et est chassé sur le pignon. Etant plus mince que le pignon, il laisse subsister au-dessus de sa planche une portion suffisante de l'épaisseur des dents pour assurer l'engrènement du pignon 38 avec la roue à canon des heures 41, comme on le voit au dessin (fig. 2).

La roue à canon des heures 41 est elle-même montée sur la chaussée 40 qui pivote sur le tube 23 et engrène avec la denture périphérique du disque 39.

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Cette disposition permet d'utiliser une platine dans laquelle les différences de hauteur entre les diverses zones sont réduites au minimum. Ainsi, la roue de minuterie est logée dans une creusure ménagée dans la face externe de la platine. Elle est entièrement noyée dans cette creusure dont le fond est traversé par l'arbre 28, ce qui assure le pivotement du barillet dans la platine. L'accouplement à friction nécessaire pour permettre la mise à l'heure étant réalisé entre l'arbre 28 et le tambour 4, la roue de minuterie est directement entraînée par l'arbre de barillet grâce à l'accouplement rigide que constitue le trou carré du pignon 38 et le carré correspondant de l'extrémité de l'arbre 28. Cet entraînement indirect des aiguilles exige un nombre de pièces minimum et la disposition décrite permet un démontage aisé, aussi bien du barillet que des organes indicateurs de l'heure.

Le disque denté 39 sera en prise avec un renvoi de mise à l'heure pivotant également sûr la face externe de la platine, et coopérant avec les organes du mécanisme de mise à l'heure.

Dans le cas où le mouvement décrit doit être réalisé de façon à recevoir des organes indicateurs des heures et des minutes constitués par des disques s'étendant sous le cadran et apparaissant partiellement dans un guichet au lieu des aiguilles usuelles qui se déplacent au-dessus du cadran, les mêmes éléments constitutifs de la roue de minuterie peuvent être utilisés. Cependant, au lieu d'être fraisé avec toutes ses dents tronquées, le pignon 38 présentera un certain nombre de dents pleines réparties régulièrement sur sa périphérie. La denture de la roue à canon des heures présentera un diamètre externe légèrement plus petit que dans le cas décrit ci-dessus de façon que seules les dents pleines du pignon de la roue de minuterie engrènent avec sa denture. La roue à canon sera maintenue normalement dans une position fixe, par exemple par un ressort-sautoir et se déplacera de 1 /12 de tour chaque heure, entraînée par une des dents pleines du pignon de la roue de minuterie.

Dans ce cas, l'ouverture centrale du disque 39 sera découpée avec des échancrures correspondant aux dents pleines du pignon 38 de façon que ce disque puisse être chassé sur le pignon. On pourrait aussi prévoir de ne laisser subsister les dents entières du pignon 38 que sur une partie seulement de leur épaisseur, le disque 39 ayant alors une ouverture circulaire chassée sur les portions de dents tronquées. Cette roue de minuterie simplifiée assure l'entraînement des mobiles 40 et 41 dans des conditions qui correspondent aux conditions usuelles. En particulier, malgré le fait que les dents du pignon 38 sont tronquées sur à peu près la moitié de leur hauteur, une roue des heures à denture usuelle comme la roue 41 engrène parfaitement avec elles.

On voit à la fig. 3 la disposition du cliquet de retenue de la roue à rochet 36. Le cliquet 42 est une plaque plane découpée qui présente, le long d'un de ses bords, une échancrure en arc de cercle 43 s'étendant sur environ 220 . Sur son bord opposé à cette échancrure, la plaque 32 présente un bec 44 qui est légèrement incliné par rapport à la direction radiale déterminée par le centre de l'échancrure 43 et l'extrémité du bec 44. De part et d'autre de ce bec s'étendent deux ailes 45 et 46, l'aile 46 étant limitée par un bord rectiligne qui vient appuyer contre la denture de la roue à rochet 36 tandis que l'aile 45 s'étend au-delà du bord du pont 2.

Comme on le voit à la fig. 2, le pilier 16a présente un premier épaulement 47 qui sert à positionner le pont 2 par rapport à la platine 1 et, à partir du bord de cet épaulement, une portée cylindrique 48 limitée dans le sens axial par un second épaulement 49. C'est sur la portée 48 qu'est engagée l'échancrure 43 du cliquet 42, de sorte que ce dernier est maintenu axialement en place entre la face interne du pont 2 et l'épaulement 49. Le bec 44 est engagé dans la denture de la roue à rochet 36 et, normalement, l'action du ressort moteur applique l'aile 46 contre cette même denture, de sorte que la roue à rochet est bloquée. Cependant, si l'on presse sur l'aile 45 qui fait saillie au-delà du pont 2, le bec 44 se dégage de la denture de la roue à rochet, ce qui permet le désarmage du ressort moteur.

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Lors du remontage, lorsqu'on fait tourner la tige 12. de manière que la roue de couronne 11 soit entraînée dans le sens anti-horaire vu à la fig. 3, cette roue vient engrener dans la denture de la roue à rochet 36 et l'actionne dans le sens horaire. Le cliquet 42 pivote de manière que le bec 44 sorte de la denture. Il est alors rappelé par un ressort, constitué par le bras 50 qui est découpé dans la plaque 14 et qui appuie sur l'extrémité de l'échancrure 43 située du côté de l'aile 46.

Un trou 51, ménagé dans le pont 2, permet de vérifier si le cliquet est en place et s'il appuie correctement contre la roue à rochet.

La disposition qui vient d'être décrite pour le cliquet 42 simplifie considérablement la fabrication du mouvement et cela pour plusieurs raisons. Tout d'abord, alors que les cliquets usuels sont en général maintenus en place par une vis à portée, le cliquet décrit pivote autour d'une portée qui est tournée directement dans un des piliers du mouvement. On évite ainsi la fabrication d'une pièce et surtout d'une pièce munie d'un filetage. D'autre part, la réalisation d'un cliquet muni d'une échancrure s'étendant sur un arc de cercle supérieur à 180 demande un outillage incomparablement plus simple que celle d'un cliquet qui présente un trou. Les cliquets doivent être en acier afin d'éviter une usure trop rapide et le diamètre de portée du pivotement est évidemment très faible. Les outillages qui permettent de découper et de percer des plaques d'acier avec un trou de faible diamètre sont extrêmement délicats et, par conséquent, sujets à des risques de rupture tout en étant fort coûteux. La fabrication d'un outil de découpage ayant la forme nécessaire pour réaliser le cliquet 42 est beaucoup moins coûteuse et cet outil est beaucoup plus robuste qu'un outil présentant une tige de découpage d'un trou. Les frais d'outillage pour la fabrication du cliquet 42, de même que les rebuts, sont donc considérablement réduits avec la disposition représentée au dessin. Finalement, on remarquera que le mouvement décrit ne nécessite pas la fabrication et la mise en place d'un ressort spécial pour le cliquet puisque ce ressort est découpé d'une pièce avec celui qui maintient la tige de remontoir en place. Cette plaque, par exemple en bronze d'aluminium, assure les deux fonctions, et sa mise en place est également très simple.