DESCRIPTION
On connaît depuis longtemps les tabatières avec oiseau chanteur mécanique. Elles comprennent un boîtier de la forme classique d'une tabatiére, avec couvercle articulé. A l'intérieur se trouve un mécanisme à ressort et un oiseau mécanique actionné par ce mécanisme lorsque l'on agit sur un bouton. Le couvercle s'ouvre, L'oiseau se dresse, se met à chanter et, dans certains cas, tourne sur lui-même plusieurs fois et bat des ailes. A la fin de son chant, qui correspond à un tour du mécanisme, L'oiseau s'incline et se couche dans son logement, tandis que le couvercle se ferme et le mécanisme s'arrête.
L'ennui avec ces tabatières est que, si l'on ferme distraitement le couvercle à la main, avant que le cycle d'opération soit terminé, donc pendant que l'oiseau est en position de chant, on détériore le mécanisme.
La présente invention vise à fournir une tabatière à oiseau chanteur qui soit exempte de ce défaut et dont le mécanisme ne puisse pas être endommagé si l'on ferme le couvercle pendant le fonctionnement. Elle a pour objet une tabatière à oiseau chanteur qui est conforme à la revendication 1.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la tabatière à oiseau chanteur selon l'invention.
La fig. 1 est une vue en coupe verticale partielle de cette forme d'exécution, en position de repos, couvercle fermé et l'oiseau couché dans son logement.
La fig. 2 est une vue en plan correspondant à la fig. 1, le couvercle étant supposé enlevé.
La fig. 3 est une vue analogue à la fig. 1, les organes étant en position de travail, c'est-à-dire le couvercle ouvert et l'oiseau dressé en position de chant.
La fig. 4 est une vue en plan correspondant à la fig. 3.
La fig. 5 est une vue analogue aux fig. 1 et 3, mais dans la position des organes correspondant au début du mouvement de fermeture du couvercle, à la main ou automatiquement vers la fin du cycle de travail de la tabatière.
La fig. 6 est une vue en plan correspondant à la fig. 5.
La fig. 7 est une vue en sens opposé de la fig. 5, mais dans la même position des organes.
La fig. 8 est une vue en plan correspondant à la fig. 7.
Pour ne pas compliquer outre mesure les dessins, on n'a représenté sur ceux-ci que le couvercle de la tabatière, l'oiseau chanteur mécanique et la partie du mécanisme utile à la compréhension de l'invention. En particulier, le corps de la tabatière et la partie motrice (barillet et organes annexes) ne sont pas représentés.
Sur les fig. 1 et 2, on voit en 1 une platine supérieure, reliée par des piliers 2 à une platine inférieure non représentée. C'est entre ces deux platines que sont disposés le barillet avec son ressort moteur, les engrenages démultiplicateurs et la roue à ailettes régulatrices de la rotation d'un arbre porte-cames, dont l'axe est indiqué en 3. Le profil du barillet est schématisé par le cercle 4.
Dans la position de repos selon les fig. 1 et 2, le couvercle 5 est fermé. Il appuie contre une butée constituée par une colonne 6 solidaire de la platine 1. Il appuie simultanément sur le bord de l'ouverture de la tabatière non représentée, qui est ainsi fermée. Ce couvercle 5 est monté à pivot en 7 sur une partie 8 portée par une paire de colonnes fixées à la platine 1 et dont une seule est visible en 9. Le couvercle 5 présente une patte 10 articulée à une extrémité d'une biellette 11 dont l'autre extrémité est articulée sur un bras vertical 12 d'un levier 13. Cette dernière articulation est réalisée par un prolongement horizontal cylindrique 14 du levier 13, prolongement qui est engagé dans un trou de la biellette 11.
Ainsi, la biellette peut pivoter sur la partie cylindrique 14 lorsque, comme on le verra, le levier 13 tourne autour d'un pivot 15 et que la partie cylindrique 14 glisse axialement dans le trou correspondant de la biellette 11.
Le levier 13 est coudé et son deuxième bras, 13a, présente une patte verticale 18. Au-dessus du levier 13 et pivotant aussi autour de 15 se trouve un autre levier, 17 (fig. 2 et 6), présentant prés de son extrémité libre un doigt 16 dont la fonction apparaîtra plus loin. Un ressort de traction 19 accroché, d'une part, au bras 17 et, d'autre part, à la patte 18 du levier 13 tend constamment à solidariser ces deux leviers en faisant buter la patte 18 contre 17.
A son extrémité libre, le bras 1 3a présente une autre patte verticale, 20, dont le rôle sera expliqué dans la suite. Un ressort de traction 21, accroché à la platine, sollicite le levier 13, 13a à tourner dans le sens inverse des aiguilles d'une montre sur la fig. 2, c'est-à- dire tend à ouvrir le couvercle 5.
Le mécanisme comprend une plaque découpée 22 en forme de tête de cheval, qui est montée à pivot en 23 sur la platine 1. Un ressort de traction 24, prenant appui sur la platine 1, sollicite la tête de cheval à tourner autour du pivot 23, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, vers la position selon la fig. 2 où la patte 20 fait arrêt pour la pièce 22.
Sur le levier 13 est fixée une pièce 25 dont une partie 26 s'étend vers le bas pour coopérer, comme on l'expliquera, avec un doigt 27 du barillet lorsqu'il tourne dans le sens de la flèche 28. Cette partie 26 passe, à cet effet, à travers une partie découpée 29 de la platine 1.
On voit en 30 L'oiseau couché horizontalement au-dessous du couvercle fermé 5. Il est porté par une tige tournant dans un support cylindrique coaxial 31. Ce dernier est monté pour pivoter autour d'un arbre horizontal 32 (fig. 7 et 8) porté par un support 33 solidaire de la platine 1.
La tige qui porte l'oiseau 30 est solidaire, à son extrémité opposée à l'oiseau, d'un pignon 34 qui engrène avec une crémaillère 35 que présente, à une de ses extrémités, une pièce allongée 36. A son extrémité opposée, cette pièce 36 présente une forme de crochet 37 passant à travers un trou d'une tige mobile 38, ce qui permet à cette tige, lorsqu'elle se déplace comme on le verra, d'actionner la crémaillère lorsqu'elle est dans la position selon les fig. 3 à 8, et de rester en prise avec la crémaillère lorsqu'elle est dans la position selon les fig. 1 et 2.
Le fonctionnement de la tabatière est le suivant.
Supposons qu'on prenne comme point de départ la position des organes selon les fig. 1 et 2, qui est la position fermée, de repos.
Au moment où l'on actionne le bouton de manoeuvre (non représenté), on libère un arrêt du barillet, qui va faire un tour et sera de nouveau arrêté à la fin de ce tour. Cette manoeuvre libère aussi le couvercle 5 qui, alors, sous l'action du ressort 21 et par l'intermédiaire des leviers 13-13a, 17, s'ouvre et vient dans la position selon les fig. 3 et 4. Simultanément, le doigt 16 du levier 17, qui est engagé dans une fente coudée 39 d'une pièce 40 tournant en 41 sur la platine 1, fait osciller cette pièce 40 dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (fig. 8). L'extrémité 42 de cette pièce coopère avec une extrémité d'une biellette 43 dont l'autre extrémité est articulée sur une manivelle 44 solidaire de l'arbre 32.
Cette oscillation de la pièce 40 a ainsi pour effet de faire tourner l'arbre 32 et d'amener l'oiseau
30 en position verticale selon les fig. 3 et 4.
Une came non représentée, mais calée sur l'arbre porte-cames dont l'axe est visible en 3, agit alors sur un doigt 45 passant à travers la découpure 29 de la platine 1. Ce doigt est fixé près de l'une des extrémités d'un bras d'un levier 46, pivotant en 47 sur la platine 1, et dont l'autre bras porte à son extrémité libre la tige 38. Ladite came fait osciller le levier 46 autour de 47, ce qui donne à la crémaillère 35 un mouvement longitudinal de va-et-vient (53 est un ressort de rappel du levier 46). L'oiseau tourne alternativement dans les deux sens, en même temps qu'un dispositif acoustique connu émet le chant de l'oiseau. Il pourrait y avoir un mécanisme supplémentaire connu, commandé aussi par came, qui ferait que l'oiseau ouvre le bec et batte des ailes.
Une butée 48 de la platine arrête les leviers 13 et 17 dans leur oscillation sous l'action du ressort 21.
Lorsque le barillet arrive vers la fin de son tour, la goupille 27 rencontre la partie 26, ce qui fait osciller le levier 13 à l'encontre de l'action du ressort 21 jusqu'à ce que le doigt 16 du levier 17 arrive en contact avec une surface d'appui 49 de la tête de cheval et que la patte 20 du bras de levier 13 rencontre une autre surface d'appui 54 de cette tête de cheval.
A ce moment, les deux leviers 13 et 17 se sont légèrement écartés l'un de l'autre (fig. 6) malgré l'action du ressort 19, et, sous l'effet de sa came de commande, l'oiseau se trouve dans la position représentée sur la fig. 6 et peut être amené, par pivotement de 90 , dans la position de repos (fig. 1) en même temps que le couvercle se ferme, le tout sous l'action du levier 13, par sa partie 14 sur le couvercle et par son doigt 16 sur la pièce 40 et la bielle 43 pour ce qui est de l'oiseau.
Ce fonctionnement qui vient d'être décrit est le fonctionnement automatique normal. Si, par distraction, on ferme le couvercle pendant que le barillet tourne, voici comment il est évité d'endommager l'oiseau.
Le barillet se trouvant dans une position quelconque, le doigt 27 est à distance de 26. L'oiseau est vertical et dans une position angulaire quelconque autour de son axe de rotation. La fermeture du couvercle doit donc se faire, dans l'exemple décrit, de telle façon que l'oiseau arrive sans endommagement dans sa position de repos selon la fig. 1. Voici comment cela est obtenu.
On commence par agir sur le couvercle dans le sens de la fermeture alors que les organes sont dans la position de travail selon les fig. 3 et 4. Pendant la toute première partie du mouvement de fermeture du couvercle, alors que celui-ci est encore distant de l'oiseau, lui toujours en position verticale, les organes passent de la position selon les fig. 3 et 4 à celle représentée sur les fig. 5 et 6. Pendant ce temps, il s'est passé ceci: le couvercle ayant légèrement oscillé, le levier 13 (et avec lui le levier 17) a été entraîné par lui et a légèrement oscillé autour de 15, les leviers 13 et 17 ont atteint la position selon la fig. 6, où la partie 20 vient appuyer sur la butée 54-formant plan incliné - de la tête de cheval 22, tandis que le doigt 16 du levier 17 s'appuie contre la surface d'appui 49 de cette tête de cheval.
Sous la poussée du couvercle 5, une extension 50 du bras 13a vient agir sur le levier 46 en poussant par son extrémité sur un cran 51 qu'il présente, ce qui le fait pivoter d'une quantité telle que l'oiseau vient dans la position angulaire selon la fig. 6, à partir de laquelle il peut être rabattu horizontalement dans la tabatière, sans risque d'être endommagé. Ce rabattement a lieu automatiquement en poursuivant le mouvement de fermeture du couvercle, ce qui produit les opérations suivantes.
La pression de 20 sur 48 et de 16 sur 49 fait tourner la tête de cheval, qui vient dans la position selon la fig. 2, en même temps que le doigt 13 agit sur la paroi de la rainure 39 pour donner à la pièce 40 un mouvement qui, par l'intermédiaire de 42, 43, 44, 32, amène l'oiseau en position escamotée. Lorsque la tête de cheval est revenue dans sa position de départ (fig. 2), sa partie 52 fait verrou vis-à-vis du doigt 45, empêchant ainsi tout mouvement du levier 46 et, par conséquent, de la crémaillère. Dès lors, tout mouvement de rotation de l'oiseau couché est impossible. Il est donc bien à l'abri de toute détérioration lors d'une fermeture à la main du couvercle 5.
DESCRIPTION
We have known for a long time the snuff boxes with mechanical songbird. They include a case in the classic shape of a snuffbox, with hinged cover. Inside there is a spring mechanism and a mechanical bird activated by this mechanism when a button is pressed. The lid opens, the bird stands up, starts to sing and, in some cases, turns on itself several times and flaps its wings. At the end of its song, which corresponds to a turn of the mechanism, the bird tilts and lies down in its housing, while the cover closes and the mechanism stops.
The trouble with these snuffboxes is that, if you absently close the cover by hand, before the operating cycle is finished, so while the bird is in the song position, you deteriorate the mechanism.
The present invention aims to provide a songbird snuffbox which is free from this defect and whose mechanism cannot be damaged if the cover is closed during operation. Its subject is a songbird snuffbox which conforms to claim 1.
The accompanying drawing shows, by way of example, an embodiment of the songbird snuffbox according to the invention.
Fig. 1 is a partial vertical sectional view of this embodiment, in the rest position, with the cover closed and the bird lying in its housing.
Fig. 2 is a plan view corresponding to FIG. 1, the cover being assumed to have been removed.
Fig. 3 is a view similar to FIG. 1, the members being in the working position, that is to say the cover open and the bird upright in the song position.
Fig. 4 is a plan view corresponding to FIG. 3.
Fig. 5 is a view similar to FIGS. 1 and 3, but in the position of the members corresponding to the start of the closing movement of the cover, by hand or automatically towards the end of the work cycle of the snuff box.
Fig. 6 is a plan view corresponding to FIG. 5.
Fig. 7 is a view in opposite direction of FIG. 5, but in the same position of the organs.
Fig. 8 is a plan view corresponding to FIG. 7.
In order not to overly complicate the drawings, only the cover of the snuffbox, the mechanical songbird and the part of the mechanism useful for understanding the invention have been shown on them. In particular, the body of the snuffbox and the driving part (barrel and annexed members) are not shown.
In fig. 1 and 2, we see in 1 an upper plate, connected by pillars 2 to a lower plate not shown. It is between these two plates that the barrel is arranged with its mainspring, the reduction gears and the impeller regulating the rotation of a camshaft, the axis of which is indicated in 3. The barrel profile is shown diagrammatically by the circle 4.
In the rest position according to fig. 1 and 2, the cover 5 is closed. It presses against a stop constituted by a column 6 secured to the plate 1. It presses simultaneously on the edge of the opening of the snuffbox not shown, which is thus closed. This cover 5 is pivotally mounted at 7 on a part 8 carried by a pair of columns fixed to the plate 1 and only one of which is visible at 9. The cover 5 has a tab 10 articulated at one end of a link 11 of which the other end is articulated on a vertical arm 12 of a lever 13. This last articulation is produced by a horizontal cylindrical extension 14 of the lever 13, an extension which is engaged in a hole in the link 11.
Thus, the link can pivot on the cylindrical part 14 when, as will be seen, the lever 13 rotates around a pivot 15 and the cylindrical part 14 slides axially in the corresponding hole of the link 11.
The lever 13 is bent and its second arm, 13a, has a vertical tab 18. Above the lever 13 and also pivoting around 15 is another lever, 17 (fig. 2 and 6), presenting near its end free a finger 16 whose function will appear later. A tension spring 19 hooked, on the one hand, to the arm 17 and, on the other hand, to the tab 18 of the lever 13 constantly tends to secure these two levers by causing the tab 18 to abut against 17.
At its free end, the arm 1 3a has another vertical tab, 20, the role of which will be explained below. A tension spring 21, hooked to the plate, biases the lever 13, 13a to rotate anticlockwise in FIG. 2, that is to say tends to open the cover 5.
The mechanism comprises a cut plate 22 in the shape of a horse's head, which is pivotally mounted at 23 on the plate 1. A tension spring 24, bearing on the plate 1, urges the horse's head to rotate around the pivot 23 , anticlockwise, towards the position according to fig. 2 where the tab 20 stops for the part 22.
On the lever 13 is fixed a part 25, a part 26 of which extends downward to cooperate, as will be explained, with a finger 27 of the barrel when it rotates in the direction of the arrow 28. This part 26 passes , for this purpose, through a cut-out portion 29 of the plate 1.
We see at 30 The bird lying horizontally below the closed cover 5. It is carried by a rod rotating in a coaxial cylindrical support 31. The latter is mounted to pivot around a horizontal shaft 32 (fig. 7 and 8 ) carried by a support 33 secured to the plate 1.
The rod carrying the bird 30 is secured, at its end opposite to the bird, by a pinion 34 which meshes with a rack 35 which has, at one of its ends, an elongated part 36. At its opposite end, this part 36 has a hook shape 37 passing through a hole in a movable rod 38, which allows this rod, when it moves as we will see, to actuate the rack when it is in the position according to fig. 3 to 8, and to remain in engagement with the rack when it is in the position according to FIGS. 1 and 2.
The functioning of the snuffbox is as follows.
Suppose that the position of the organs according to figs is taken as a starting point. 1 and 2, which is the closed, rest position.
When the operating button is actuated (not shown), a barrel stop is released, which will take a turn and will be stopped again at the end of this turn. This maneuver also releases the cover 5 which, then, under the action of the spring 21 and by means of the levers 13-13a, 17, opens and comes into the position according to FIGS. 3 and 4. Simultaneously, the finger 16 of the lever 17, which is engaged in a bent slot 39 of a part 40 rotating at 41 on the plate 1, causes this part 40 to oscillate in an anticlockwise direction ( fig. 8). The end 42 of this part cooperates with one end of a link 43 whose other end is articulated on a crank 44 secured to the shaft 32.
This oscillation of the part 40 thus has the effect of rotating the shaft 32 and bringing the bird
30 in vertical position according to fig. 3 and 4.
A cam not shown, but wedged on the camshaft whose axis is visible at 3, then acts on a finger 45 passing through the cutout 29 of the plate 1. This finger is fixed near one of the ends of one arm of a lever 46, pivoting at 47 on the plate 1, and the other arm of which carries the rod 38 at its free end. Said cam oscillates the lever 46 around 47, which gives the rack 35 a longitudinal back and forth movement (53 is a return spring of the lever 46). The bird rotates alternately in both directions, at the same time as a known acoustic device emits the song of the bird. There could be a known additional mechanism, also controlled by cam, which would cause the bird to open its beak and flap its wings.
A stop 48 of the plate stops the levers 13 and 17 in their oscillation under the action of the spring 21.
When the barrel arrives at the end of its turn, the pin 27 meets the part 26, which causes the lever 13 to oscillate against the action of the spring 21 until the finger 16 of the lever 17 arrives at contact with a bearing surface 49 of the horse head and that the tab 20 of the lever arm 13 meets another bearing surface 54 of this horse head.
At this time, the two levers 13 and 17 moved slightly apart from one another (fig. 6) despite the action of the spring 19, and, under the effect of its control cam, the bird located in the position shown in fig. 6 and can be brought, by pivoting 90, into the rest position (fig. 1) at the same time as the cover closes, all under the action of the lever 13, by its part 14 on the cover and by its finger 16 on the part 40 and the connecting rod 43 with regard to the bird.
This operation which has just been described is normal automatic operation. If, by mistake, the lid is closed while the barrel is rotating, this is how it is prevented from damaging the bird.
The barrel being in any position, the finger 27 is at a distance of 26. The bird is vertical and in any angular position around its axis of rotation. The closure of the cover must therefore be done, in the example described, so that the bird arrives without damage in its rest position according to FIG. 1. This is how it is obtained.
We start by acting on the cover in the closing direction while the members are in the working position according to fig. 3 and 4. During the very first part of the closing movement of the cover, while the latter is still distant from the bird, it still in a vertical position, the members pass from the position according to FIGS. 3 and 4 to that shown in figs. 5 and 6. During this time, this happened: the cover having slightly oscillated, the lever 13 (and with it the lever 17) was driven by it and slightly oscillated around 15, the levers 13 and 17 have reached the position according to fig. 6, where the part 20 presses against the stop 54-forming an inclined plane - of the horse head 22, while the finger 16 of the lever 17 bears against the bearing surface 49 of this horse head.
Under the thrust of the cover 5, an extension 50 of the arm 13a acts on the lever 46 by pushing at its end on a notch 51 which it presents, which makes it pivot by an amount such that the bird comes into the angular position according to fig. 6, from which it can be folded horizontally into the snuff box, without risk of being damaged. This folding takes place automatically while continuing the closing movement of the cover, which produces the following operations.
Pressing 20 out of 48 and 16 out of 49 turns the horse's head, which comes into position according to fig. 2, at the same time as the finger 13 acts on the wall of the groove 39 to give the part 40 a movement which, by means of 42, 43, 44, 32, brings the bird into the retracted position. When the horse's head has returned to its starting position (FIG. 2), its part 52 forms a lock vis-à-vis the finger 45, thus preventing any movement of the lever 46 and, consequently, of the rack. Therefore, any rotational movement of the lying bird is impossible. It is therefore well protected from any deterioration when the cover 5 is closed by hand.