CH661901A5 - Dispositif de rangement pour vehicules a deux roues non pourvus de bequilles. - Google Patents

Description

La présente invention concerne un dispositif de rangement pour véhicules à deux roues légers, notamment pour bicyclettes, non pourvus de béquilles latérales ou centrales et ne pouvant, par conséquent, se tenir d'eux-mêmes en position «debout» stable lorsqu'ils sont stationnés.

De nombreux dispositifs en forme de râteliers existent déjà sur le marché, qui permettent à tous les véhicules à deux roues, même ceux qui ne sont pas pourvus de béquilles, d'être rangés. Généralement, ces dispositifs sont conçus pour que l'antivol personnel de l'utilisateur puisse enserrer une partie du râtelier et tenter de sécuriser le véhicule à deux roues. Ces râteliers sont habituellement réalisés en métal traité contre la corrosion, par assemblage par soudage de différents éléments entre eux. Ils sont, pour la plupart d'entre eux, scellés au sol. Ils permettent, selon les cas, de stocker les véhicules à deux roues dans un seul sens, ou dans deux sens opposés ou parfois encore sur deux niveaux distincts. Certains dispositifs connus sont également réalisés pour ranger les véhicules à deux roues «en épi», c'est-à-dire dans une position où ceux-ci font, avec la direction longitudinale du dispositif, un angle différent de 90°.

Tous ces dispositifs sont encombrants et vieillissent mal, en raison des détériorations dues à la corrosion et à la fragilité inhérente à leur conception. De plus, ils sont de prix élevés et sont le plus souvent inesthétiques, surtout lorsqu'ils sont installés en milieu urbain.

Par ailleurs, la stabilisation en position verticale des véhicules à deux roues légers non pourvus de béquilles est faite généralement, sur les dispositifs actuels, par introduction de la roue avant ou arrière de chaque véhicule dans un espace étroit créé entre deux pièces métalliques en forme d'oreille ou de pince. Par suite de chocs ou de légers déplacements latéraux, les roues avant ou arrière des véhicules tels que bicyclettes, introduites dans les espaces en question, risquent fort d'être vrillées ou voilées. Un tel risque est réel, et bon nombre d'utilisateurs de bicyclettes de valeur ne se servent pas de ce genre de dispositifs mais rangent leurs véhicules n'importe où sur la voie publique.

La présente invention fournit un dispositif de rangement pour bicyclettes et véhicules à deux roues similaires, qui est de structure simplifiée et économique, et qui supprime l'ensemble des inconvénients signalés précédemment.

A cet effet, le dispositif de rangement pour véhicules à deux roues non pourvus de béquilles selon l'invention comporte une barre destinée à être scellée dans le sol ou dans un mur sur laquelle est fixé au moins un support constitué par une fourche dont le pied est solidaire d'une partie évidée en son centre pour être montée sur la barre, et dont les deux branches ont leurs extrémités libres conformées pour soutenir par son guidon un véhicule à deux roues.

Le dispositif de rangement selon l'invention se présente ainsi comme une fourche solidaire d'une partie se montant sur une barre horizontale qui est scellée au sol, après introduction sur celle-ci de plusieurs supports de stabilisation. Les extrémités des deux branches de la fourche permettent à l'utilisateur de suspendre sa bicyclette par le guidon, reposant sur ces deux branches, la potence de la bicyclette passant alors dans l'espace situé entre les deux branches de la fourche. La roue avant de la bicyclette se trouve soulevée du sol, à une hauteur dépendant de celle de la fourche, placée à hauteur convenable pour que toutes les bicyclettes puissent être soutenues,

tandis que sa roue arrière repose sur le sol.

De préférence, les deux branches de la fourche présentent, vers leurs extrémités libres, des évidements prévus pour recevoir le guidon du véhicule à deux roues, afin que celui-ci soit bien posi5

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tionné. Avantageusement, ces évidements des deux branches de la fourche sont des cavités à profil trapézoïdal, pouvant recevoir sans difficulté les différents diamètres de guidons de bicyclettes.

Ces évidements sont, dans une forme de réalisation particulièrement intéressante de l'invention, réalisés sur deux faces opposées des branches de la fourche, pour permettre l'utilisation du même support de stabilisation dans deux positions distinctes de montage sur la barre, l'une des positions s'obtenant par retournement du support, à partir de l'autre position. Les supports de stabilisation peuvent ainsi être montés sur la même barre soit avec leur fourche tournée vers le bas par rapport à la barre, soit en position retournée, c'est-à-dire avec leur fourche tournée vers le haut par rapport à la barre, ce qui permet de stocker les bicyclettes sur deux niveaux (en considérant leurs parties avant soulevées du sol) et, en conséquence, d'augmenter le nombre de bicyclettes pouvant être rangées sur une longueur de barre donnée, en «imbriquant» ces bicyclettes. De plus, par inversion de sens des supports de stabilisation, c'est-à-dire en tournant les fourches soit vers l'avant, soit vers l'arrière de la barre, on obtient la possibilité supplémentaire de ranger des bicyclettes de part et d'autre de la même barre.

De préférence, les deux branches de la fourche d'un support de stabilisation vont en s'écartant l'une de l'autre à partir du pied de fourche, en formant un angle permettant le passage de la potence d'un véhicule à deux roues, dégageant ainsi un espace suffisant et s'écartant aussi de manière à assurer une bonne stabilisation du véhicule par soutien de son guidon. Des orifices sont avantageusement ménagés aux extrémités des deux branches de la fourche, pour permettre le passage ou l'amarrage d'un système antivol, tel que câble, chaîne ou anse de cadenas, de façon à verrouiller le véhicule à deux roues sur le support de stabilisation. Le pied de la fourche peut en outre comporter un évidement central, également apte à recevoir des moyens antivol du véhicule à deux roues.

Selon une forme de réalisation de l'invention, le pied de la fourche forme, lorsque le support de stabilisation est monté sur la barre, un angle aigu par rapport à la verticale, de manière à décaler verticalement et horizontalement les branches de la fourche, donc le guidon du véhicule à deux roues, par rapport à la barre, évitant ainsi que le guidon ne heurte la barre.

Selon une autre caractéristique, le pied de la fourche est solidaire d'une partie présentant un évidement de section non circulaire, apte à coulisser sur la barre scellée, mais empêchant la rotation du support de stabilisation autour de la barre, de manière à maintenir la fourche dans la position désirée, avec ses deux branches sensiblement horizontales. La barre peut être constituée économiquement par un simple tube de section carrée, convenant pour placer les supports de stabilisation dans les quatre positions distinctes permettant le stockage des bicyclettes sur deux niveaux, et de part et d'autre de la barre. La partie évidée, dont l'évidement central est également de section carrée dans le cas considéré, est de préférence pourvue de moyens pour son immobilisation en translation sur la barre, par exemple perçage ou taraudage pour l'introduction d'une vis pointeau, d'une goupille ou d'une clavette.

Le support de stabilisation selon l'invention permet de ranger les bicyclettes «en épi», soit par déplacement de la roue arrière par rapport à sa position originelle en ligne avec la roue avant, soit en prévoyant sur les branches de la fourche des évidements, prévus pour recevoir le guidon, qui donnent à ce guidon une orientation oblique, selon un angle choisi, permettant de garer les bicyclettes en épi en gardant les deux roues en ligne.

Selon une autre forme de réalisation de l'invention, le pied de la fourche est solidaire d'une partie évidée formée de deux pièces réunies l'une contre l'autre autour de la barre scellée, et assemblées l'une à l'autre au moyen de vis, ce qui permet de fixer facilement le support de stabilisation sur une barre déjà installée. Pour des commodités de montage, les deux pièces formant la partie évidée montée autour de la barre sont articulées l'une à l'autre, avant assemblage par les vis, par une sorte de charnière de type emboîtable, réalisée au moyen de tétons solidaires de l'une des deux pièces et venant se loger dans des cavités de réception creusées dans l'autre pièce. Cette articulation peut être prévue indifféremment vers le départ du pied de la fourche du support de stabilisation, ou en une position diamétralement opposée à ce départ.

Enfin, l'évidement central de la partie se montant autour de la barre scellée peut recevoir des pièces de calage rapportées, rendues solidaires de la partie évidée et présentant elles-mêmes des évidements adaptés à une forme de barre déterminée. De telles pièces de calage intermédiaires permettent de fixer un même support de stabilisation sur des barres de sections diverses, en ce qui concerne leurs formes et leurs dimensions.

Le dispositif de rangement objet de l'invention sera maintenant décrit en référence au dessin schématique annexé représentant, à titre d'exemples non limitatifs, une forme de réalisation de ce support de stabilisation, ainsi qu'une variante:

la figure 1 est une vue en perspective montrant un dispositif de rangement non monté;

la figure 2 est une vue en perspective montrant le dispositif de rangement monté sur une barre à sceller, dans une position basse et dans une position haute obtenue par retournement;

la figure 3 est une vue de côté du dispositif de rangement, avec indication en coupe du guidon d'une bicyclette, reposant sur les branches de la fourche;

la figure 4 est une vue de côté, montrant les quatre positions possibles d'un dispositif de rangement, par rapport à la barre à sceller;

la figure 5 est une vue de côté, très schématique, montrant le rangement des bicyclettes sur deux niveaux;

la figure 6 est une vue en coupe transversale montrant la partie évidée d'un dispositif de rangement, dans une variante où cette partie est réalisée en deux pièces ;

la figure 7 est une vue en perspective d'une des deux pièces de la figure 6.

Le dispositif de rangement pour bicyclette représenté aux figures 1 à 5 comprend un corps métallique ou coque (1), évidé en son milieu suivant un axe transversal de manière à présenter un évidement (2) de section carrée (3), ou de toute autre forme empêchant sa rotation. Le corps (1) porte un pied de fourche (4), dont sont solidaires deux branches (5). Les deux branches (5) vont en s'écartant l'une de l'autre à partir du pied (4), suivant un angle (6) convenable pour permettre, dans l'intervalle ainsi créé, le libre passage d'une potence de bicyclette. A l'extrémité de chacune des branches (5), des cavités (7) sont aménagées pour recevoir un guidon de bicyclette. Ces cavités (7) sont pratiquées sur deux faces opposées (9 et 10) des branches (5), de façon à rendre le support réversible. A la pointe des branches (5), un orifice débouchant (11) est ménagé pour permettre l'amarrage d'un système d'attache approprié. Le profil (12) des cavités (7) est de préférence trapézoïdal pour recevoir sans difficulté les différents diamètres de guidons de bicyclette. La grande base du trapèze est tournée vers l'extérieur. Les arêtes (13) de la grande base du trapèze sont parallèles au corps (1) ou éventuellement peuvent former un angle rentrant ou sortant par rapport au corps (1). Le pied de fourche (4) comporte un évidement central (14) et forme un angle aigu (15) par rapport à l'axe vertical (16) du corps (1) du support. Le corps (1) peut être pourvu d'un trou (17) percé lisse ou taraudé pour recevoir une clavette ou une vis (18), pour l'immobiliser en translation dans une position requise.

La figure 2 montre deux supports de rangement montés sur une même barre horizontale (19), où l'angle aigu (15) est, pour le premier support, dirigé vers le bas et, pour le deuxième support, dirigé vers le haut, par simple retournement du même support. Les cavités (7) situées sur les faces (9 et 10) des branches (5) sont en position inversée sur le second support. L'on obtient ainsi économiquement un deuxième niveau de stockage des bicyclettes.

La figure 3 montre un dispositif de rangement, tel que décrit précédemment, monté dans l'une des positions possibles de telle sorte que le plan horizontal (20) des deux branches (5) se trouve à une hauteur (21) au-dessous du plan horizontal (22) contenant l'axe du corps (1). La hauteur (21) est déterminée pour ranger facilement le

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guidon (23) d'une bicyclette, indiqué en coupe, de telle façon qu'un guidon de n'importe quelle forme puisse être suspendu sans heurter la barre (19).

La figure 4 montre, d'une manière similaire à la figure 3 mais à plus petite échelle, les quatre positions possibles d'un dispositif de 5 rangement, permettant, si elles sont combinées, de réaliser un stockage de bicyclettes en rangées face à face, et sur deux niveaux distincts, en mettant à profit le fait que des cavités (7) sont formées sur deux faces opposées des branches (5).

La figure 5 montre, vues de côté, deux bicyclettes stationnées sur io deux niveaux différents. Les roues arrière (24) des deux bicyclettes prennent appui sur le sol (25), tandis que leurs guidons (23) sont logés à l'intérieur des cavités (7) des branches (5) de deux supports montés en positions inverses. La roue avant (26) de l'une des bicyclettes, rangée au niveau inférieur, se trouve soulevée du sol d'une is hauteur (27). La roue avant (26) de l'autre bicyclette, stationnée au niveau supérieur, se trouve soulevée du sol de la hauteur (27) augmentée d'un décalage vertical (28) sensiblement égal à la hauteur (29) séparant les branches (5) des deux supports, en supposant que les diamètres des roues (26) et les hauteurs des potences (30) soient 20 identiques, pour les deux bicyclettes.

Le corps du support, considéré jusqu'ici comme une partie monobloc, est réalisable aussi dans une variante en deux pièces (31 et 32) qui, réunies, forment le corps complet, comme montré à la figure 6. La jonction des deux pièces (31 et 32) est réalisée, comme le 25 montre aussi la figure 7, par des tétons (33) solidaires de la pièce (31) en (34), sur une face plane (35) de cette pièce (31), qui viennent se loger dans des cavités de réception (36) creusées sur une face plane

(37) de l'autre pièce (32). Il est à noter que l'articulation peut se faire indifféremment en position supérieure (38) ou inférieure (39). Dans la position (39), se trouvent sur la pièce (31) des trous (40) non débouchants et taraudés (en 41) sur la face plane (42). En opposition, se trouvent sur la face plane (43) de la pièce (32) des trous (44) débouchants pour permettre l'introduction de vis (45) qui réunissent solidement les pièces (31 et 32) et rendent immanœuvrable le téton (33) dans la cavité (36). Indifféremment là aussi les vis (45) peuvent se trouver soit sur la pièce (32), soit sur la pièce (31), la pièce (32) comportant alors des trous taraudés. Sur la figure 7 apparaît aussi l'évidement central (2), ici de forme cylindrique. Cet évidement (2) est pourvu de gorges en arc de cercle (46), à l'intérieur desquelles viennent s'introduire et se bloquer des ergots (47) appartenant à des pièces de calage (48), empêchant la rotation et la translation des pièces de calage (48) à l'intérieur de l'évidement (2). Les pièces de calage (48) peuvent être pourvues elles-mêmes d'évidements (49) de formes diverses, pour s'adapter aux formes des barres (19) existantes sur le marché ou installées en milieu urbain.

Dans une autre variante, non illustrée par le dessin, le corps évidé du support, au lieu d'avoir une structure monobloc, est divisé en deux bagues écartées l'une de l'autre. L'ouverture de ces bagues n'est pas nécessairement carrée; elle peut être aussi ronde, du moment que des moyens tels que vis de blocage sont prévus pour assurer l'immobilisation en rotation sur la barre scellée. Le terme «barre» doit être pris dans son acception la plus générale et désigne ici toute barre pleine ou tout tube, de section quelconque, scellé directement ou indirectement au sol, et capable de supporter les supports.

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Claims (14)

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1. Dispositif de rangement pour véhicules à deux roues, notamment pour bicyclettes, non pourvus de béquilles, caractérisé en ce qu'il comporte une barre (19) destinée à être scellée dans le sol ou dans un mur sur laquelle est fixé au moins un support constitué par une fourche dont le pied (4) est solidaire d'une partie (1) évidée en son centre pour être montée sur la barre (19), et dont les deux branches (5) ont leurs extrémités libres conformées (7) pour soutenir par son guidon (23) un véhicule à deux roues.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que les deux branches (5) de la fourche présentent, vers leurs extrémités libres, des évidements (7) prévus pour recevoir le guidon (23) du véhicule à deux roues.

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REVENDICATIONS

3. Dispositif selon la revendication 2, caractérisé en ce que les évidements des deux branches (5) de la fourche sont des cavités (7) à profil trapézoïdal (12).

4. Dispositif selon la revendication 2 ou 3, caractérisé en ce que les évidements (7) des deux branches (5) de la fourche sont réalisés sur deux faces opposées (9,10) de ces branches (5), pour permettre l'utilisation du même support dans deux positions distinctes de montage sur la barre (19), l'une des positions s'obtenant par retournement du support, à partir de l'autre position.

5. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que les deux branches (5) de la fourche vont en s'écar-tant à partir du pied de fourche (4), en formant un angle (6) permettant le passage de la potence d'un véhicule à deux roues.

6. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que des orifices (11) sont ménagés aux extrémités des deux branches (5) de la fourche, pour permettre le passage ou l'amarrage d'un système antivol.

7. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que le pied (4) de la fourche comporte un évidement central (14), pour permettre le passage ou l'amarrage d'un système antivol.

8. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que le pied (4) de la fourche forme, lorsque le support est monté sur la barre (19), un angle aigu (15) par rapport à la verticale, de manière à décaler verticalement et horizontalement les branches (15) de la fourche, donc le guidon (23) du véhicule à deux roues, par rapport à la barre (19).

9. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que le pied (4) de la fourche est solidaire d'une partie (1) présentant un évidement (2) de section non circulaire (3), apte à coulisser sur la barre (19), mais empêchant la rotation du support de stabilisation autour de la barre (19).

10. Dispositif selon la revendication 9, caractérisé en ce que la partie évidée (2) est pourvue de moyens (17,18) pour son immobilisation en translation sur la barre (19).

11. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 10, caractérisé en ce que le pied (4) de la fourche est solidaire d'une partie évidée formée de deux pièces (31,32) réunies l'une contre l'autre autour de la barre scellée (19), et assemblées l'une à l'autre au moyen de vis (45).

12. Dispositif selon la revendication 11, caractérisé en ce que les deux pièces (31, 32), formant la partie évidée montée autour de la barre (19), sont articulées l'une à l'autre, avant assemblage par les vis (45), au moyen de tétons (33) solidaires de l'une des deux pièces (31) et venant se loger puis se bloquer dans des cavités de répeption (46) creusées dans l'autre pièce (32).

13. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 12, caractérisé en ce que l'évidement central (2) de la partie se montant autour de la barre scellée (19) est prévu pour recevoir des pièces de calage rapportées (48), rendues solidaires de la partie évidée (1) et présentant elles-mêmes des évidements (49) adaptés à une forme de barre (19) déterminée.

14. Dispositif selon l'ensemble des revendications 11 et 13, caractérisé en ce que les pièces de calage rapportées (48) sont bloquées,

en translation et rotation, par des ergots (47) positionnés dans des gorges (46) ménagées sur chacune des deux pièces (31, 32) constituant la partie évidée, à l'intérieur de celles-ci.