**ATTENTION** debut du champ DESC peut contenir fin de CLMS **.
REVENDICATIONS
1. Médicament pour le traitement des ulcères gastro-duodénaux, des gastrites et des oesophagites, et des troubles cliniques que ces affections engendrent, caractérisé par l'association d'antiacides gastriques à effet prolongé, pour neutraliser la sécrétion gastrique, avec des anesthésiques de la muqueuse cesophago-gastro-duodénale augmentant la rapidité d'action et la durée de l'efficacité.
2. Médicament selon la revendication 1, caractérisé en ce qù'il contient comme antiacides gastriques à effet prolongé le mélange d'hydroxyde d'aluminium et de carbonate de magnésium, I'hy- droxyde de magnésium et le trisilicate de magnésium.
3. Médicament selon l'une des revendications I ou 2, caractérisé en ce qu'il contient comme anesthésiques de la muqueuse oesophagogastro-duodénale le chlorhydrate de lignocaine et l'oxomémazîne.
4. Médicament selon les revendications 2 et 3, caractérisé en ce qu'il est constitué d'environ:
- 50 parties en poids de mélange d'hydroxyde d'aluminium et de carbonate de magnésium,
- 80 parties en poids d'hydroxyde de magnésium,
- 50 parties en poids de trisilicate de magnésium,
- 5 parties en poids de chlorhydrate de lignocaine,
- i partie en poids d'oxomémazine
5. Médicament selon les revendications 2 et 3, caractérisé en ce que, pour 400 ml de gel, il contient environ:
- 10 g de mélange d'hydroxyde d'aluminium et de carbonate de magnésium,
- 16 g d'hydroxyde de magnésium,
- 10 g de trisilicate de magnésium,
- 1 g de chlorhydrate de lignocaine,
- 0,20 g d'oxomémazine.
6. Médicament selon l'une des revendications I à 4, caractérisé en ce qu'il se présente sous toute forme pharmaceutique acceptable et, en particulier, sous une forme pour l'administration par voie orale, en comprimés ou en gel.
La présente invention a pour objet un médicament dont le but est de traiter les malades atteints d'oesophagite, de gastrite ou d'ulcère gastro-duodénal.
Il est connu que la durée d'action d'un antiacide gastrique est d'autant plus longue que le pourcentage d'activité libérée au bout de 30 min est plus faible.
Il est également connu que les brûlures et les douleurs des malades atteints d'oesophagite et de gastrite, ainsi que les douleurs des malades atteints d'ulcère gastrique ou duodénal, peuvent être calmées par un anesthésique de contact muqueux.
Il a paru par suite avantageux de réunir dans un médicament des produits possédant cette propriété et des antiacides gastriques à effet prolongé.
Conformément à l'invention, le médicament se compose de trois antiacides gastriques à effet prolongé, le mélange d'hydroxyxde d'aluminium et de carbonate de magnésium (co-dried gel), I'hy- droxyde de magnésium et le trisilicate de magnésium, associés à deux anesthésiques de la muqueuse oesophago-gastro-duodénale, le chlorhydrate de lignocaine et l'oxomémazine, augmentant la rapidité d'action et la durée de l'efficacité thérapeutique.
Suivant l'invention, le médicament contient environ 50 parties en poids de mélange d'hydroxyde d'aluminium et de carbonate de magnésium (co-dried gel), environ 80 parties en poids d'hydroxyde de magnésium, environ 50 parties en poids de trisilicate de magnésium, environ 5 parties en poids de chlorhydrate de lignocaine et environ I partie en poids d'oxomémazine.
Egalement suivant l'invention, le médicament contient avantageusement environ 10 g de mélange d'hydroxyde d'aluminium et de carbonate de magnésium, environ 16 g d'hydroxyde de magnésium, environ 10 g de trisilicate de magnésium, environ 1 g de chlorhydrate de lignocaine et environ 0,20 g d'oxomémazine pour 400 ml de gel.
Suivant l'invention encore, le médicament peut se présenter sous forme de comprimés ou de gel. Dans la suite de cette description, on utilisera pour désigner le médicament suivant l'invention la dénomination gel P.
Ci-après sont décrites les études qui ont été faites en ce qui concerne le gel P.
1. Expérimentation animale
A. Test de protection des ulcères de contrainte
On a pratiqué dans deux séries de 8 lots faits de 15 rats femelles (Whistar), dont le poids oscillait entre 150 et 200 g, des ulcères par la méthode de contrainte. Les animaux étaient immobilisés horizontalement sur une tige métallique, les pattes antérieures et postérieures liées. Dans la première série la contrainte a été de 12h, dans la seconde série la contrainte a été de 24 h.
Les animaux témoins n'ont pas été protégés (NP); les animaux protégés (P) ont reçu différentes protections administrées avant la contrainte. La gravité des lésions a été définie par un score estimé en fonction des lésions. Les résultats sont repris dans le tableau I. Ils montrent chez les animaux qui ont subi une contrainte de 12 h, et chez ceux qui ont subi une contrainte de 24 h une diminution significative de la gravité des lésions, quand le chlorhydrate de lignocaine est associé à l'oxomémazine, par rapport aux lésions observées chez les animaux qui ont reçu ou le chlorydrate de lignocaine seul ou l'oxomémazine seule.
Ils montrent également, chez les animaux qui ont subi une contrainte de 12 h, et chez ceux qui ont subi une contrainte de 24 h, une diminution significative de la gravité des lésions chez les animaux qui ont été protégés par l'association P selon l'invention par rapport aux animaux qui ont été traités par les principes actifs administrés isolément, et également par rapport aux animaux qui ont été traités par l'association du chlorhydrate de lignocaine avec l'oxomémazine. (Tableau en tête de la page suivante)
Les différences entre (1) et (2), (1) et (3), (1) et (4), (1) et (5), (1) et (6), (1) et (7), (1) et (8) sont significatives au seuil p < 0,01. Les différences entre (5) et (7), (6) et (7) sont significatives au seuil p < 0,05.
Les différences entre (2) et (8), (3) et (8), (4) et (8), (5) et (8), (6) et (8), (7) et (8) sont significatives au seuil p < 0,01.
Les différences entre (9) et (10), (9) et (11), (9) et (12), (9) et (13), (9) et (14), (9) et (15), (9) et (16) sont significatives au seuil p < 0,01.
Les différences entre (13) et (15), (14) et (15) sont significatives au seuilp < 0,05. Les différences entre (10) et (16), (il) et (16), (12) et (16), (13) et (16), (14) et (16), (15) et (16) sont significatives au seuil p < 0,01. (N.B.: dans la série 2, les lots 1, 2 et 3 ne comptent que 14 animaux; un animal est mort dans chacun de ces lots.)
B. Test de cicatrisation des ulcères de contrainte
On a pratiqué dans 5 groupes de rats mâles (Whistar), dont le poids oscillait entre 150 et 200 g, des ulcères par la méthode de contrainte de 24 h précédemment décrite. Tous les animaux après la
contrainte ont été remis en liberté et ont pu s'alimenter normalement. Les animaux du groupe 1 (témoins) n'ont pas été traités.
Les
animaux des groupes 2, 3, et 4 ont été traités dès la fin de la con
trainte: le groupe 2 par 2 fois 2 g/kg de produit connu sous le nom
de Phosphalugel par jour, le groupe 3 par 2 fois 2 g/kg de produit
connu sous le nom de Muthésa par jour, le groupe 4 par 2 fois 2 g/kg de produit connu sous le nom de Maalox, le groupe 5 par 2 fois 2 g/kg de gel P selon l'invention.
Le gel P contient pour 400 ml: - Mélange d'hydroxyde d'aluminium et de carbonate de magné
sium 10 g - Hydroxyde de magnésium 16 g - Trisilicate de magnésium 10 g - Chlorhydrate de lignocaïne 1 g - Oxomémazine 0,20 g
l
Tableau I
Etude de la protection de l'ulcère de contrainte
Deux séries de 8 lots de 15 rats blancs femelles (Whistar)
EMI2.1
<tb> <SEP> Série <SEP> 1: <SEP> contrainte <SEP> 12h <SEP> Série <SEP> 2: <SEP> contrainte <SEP> 24 <SEP> h
<tb> <SEP> Lots <SEP> Valeur <SEP> de <SEP> la <SEP> médiane <SEP> Lots <SEP> Valeur <SEP> de <SEP> la <SEP> médiane
<tb> <SEP> des <SEP> lésions <SEP> ulcéreuses <SEP> des <SEP> lésions <SEP> ulcéreuses
<tb> NP <SEP> Témoins <SEP> 1 <SEP> - <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 39 <SEP> (1) <SEP> 1 <SEP> - <SEP> n <SEP> = <SEP> 14 <SEP> 82 <SEP> (9)
<tb> P <SEP> Aluminium <SEP> hydroxyde-magnésium <SEP> carbonate
<tb> <SEP> 1,25 <SEP> g/kg <SEP> 2 <SEP> - <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 21 <SEP> (2) <SEP> 2 <SEP> - <SEP> n <SEP> = <SEP> 14 <SEP> 54(10) <SEP>
<tb> P <SEP>
Trisilicate <SEP> de <SEP> Mg <SEP> 1,25 <SEP> g/kg <SEP> 3-n <SEP> 15 <SEP> 23(3) <SEP> 3n <SEP> = <SEP> 14 <SEP> 57(11) <SEP>
<tb> PHydroxyded'Al2g/kg <SEP> 4-n=15 <SEP> 17(4) <SEP> 4-n=15 <SEP> 51(12)
<tb> P <SEP> Chlorhydrate <SEP> de <SEP> lignocaine <SEP> 0,125 <SEP> g/kg <SEP> 5 <SEP> - <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 23 <SEP> (5) <SEP> 5 <SEP> - <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 46(13)
<tb> P <SEP> Oxomémazine <SEP> 0,025 <SEP> g/kg <SEP> 6 <SEP> - <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 19 <SEP> (6) <SEP> 6 <SEP> - <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 44 <SEP> (14)
<tb> P <SEP> Chlorhydrate <SEP> de <SEP> lignocaine <SEP> 0,125 <SEP> g/kg <SEP> +
<tb> <SEP> Oxomémazine <SEP> 0,025 <SEP> g/kg <SEP> 7 <SEP> - <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 12 <SEP> (7) <SEP> 7 <SEP> -
<SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 34 <SEP> (15)
<tb> <SEP> Association <SEP> P
<tb> P <SEP> Aluminium <SEP> hydroxyde-magnésium <SEP> carbonate
<tb> <SEP> 0,555 <SEP> g/kg
<tb> <SEP> TrisilicatedeMg0,555g/kg <SEP> 8 <SEP> - <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 4 <SEP> (8) <SEP> 8 <SEP> - <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> (16) <SEP>
<tb> <SEP> Hydroxyde <SEP> d'AI <SEP> 0,888 <SEP> g/kg
<tb> <SEP> Chlorhydrate <SEP> de <SEP> lignocaïne <SEP> 0,125 <SEP> g/kg
<tb> <SEP> Oxomémazine <SEP> 0,025 <SEP> g/kg
<tb>
Tous les animaux ont été sacrifiés le troisième jour après la cessa tion de la contrainte. La gravité des lésions ulcéreuses estimée en fonction des lésions a été définie par un score.
Les résultats sont repris dans le tableau II. Ils montrent la supériorité de l'effet cicatrisant du gel P par rapport au Phosphalugel, au Muthésa et au
Maalox.
Tableau II
Test de cicatrisation
Médiane des valeurs des lésions observées le troisième jour
après cessation de la contrainte chez le rat
EMI2.2
<tb> Groupe <SEP> 1
<tb> Témoins <SEP> <SEP> 41 <SEP>
<tb> n <SEP> = <SEP> 19 <SEP>
<tb> Nombre <SEP> de <SEP> morts: <SEP> 1
<tb> Groupe <SEP> 2
<tb> Traités <SEP> par <SEP> 2 <SEP> fois <SEP> 2 <SEP> g/kg <SEP> Phosphalugel <SEP> par <SEP> jour <SEP> 34(2) <SEP>
<tb> n <SEP> = <SEP> 19 <SEP>
<tb> Nombre <SEP> de <SEP> morts:
<SEP> 1
<tb> Groupe <SEP> 3
<tb> Traités <SEP> par <SEP> 2 <SEP> fois <SEP> 2 <SEP> g/kg <SEP> Muthésa <SEP> par <SEP> jour <SEP> 22(3) <SEP>
<tb> n=18 <SEP>
<tb> Nombre <SEP> de <SEP> morts: <SEP> 2
<tb> Groupe <SEP> 4
<tb> Traités <SEP> par <SEP> 2 <SEP> fois <SEP> 2 <SEP> g/kg <SEP> Maalox <SEP> par <SEP> jour <SEP> 20 <SEP> (4)
<tb> n <SEP> = <SEP> 20
<tb> Groupe <SEP> 5
<tb> Traités <SEP> par <SEP> 2 <SEP> fois <SEP> 2 <SEP> g/kg <SEP> gel <SEP> P <SEP> 11 <SEP> (5)
<tb> n <SEP> = <SEP> 19 <SEP>
<tb> Nombre <SEP> de <SEP> morts:1
<tb>
La différence entre (1) et (2) n'est pas significative. Les différences entre (1) et (3), (1) et (4), (1) et (5) sont significatives au seuil p < 0,01. La différence entre (2) et (5) est significative au seuil p < 0,01.
Les différences entre (3) et (5), (4) et (5) sont significatives au seuil p < 0,05.
2. Etude clinique
A. Traitement de malades atteints ulcère duodénal
120 malades atteints d'ulcère duodénal ont été répartis au hasard en 4 groupes de 30 malades. Le critère d'inclusion des malades dans ces groupes a été l'observation d'une lésion ulcéreuse duodénale lors de l'examen endoscopique, que la lésion soit douloureuse ou non.
Les traitements ont été administrés de manière ambulatoire pendant 4 semaines.
Groupe Gi: les malades de ce groupe ont été traités par la cimétidine administrée à raison de I comprimé (200 mg) avant chacun des trois repas et de 2 comprimés le soir au coucher. Dose quotidienne: I g.
Groupe G2: les malades de ce groupe ont été traités par une suspension contenant: phosphate d'aluminium colloïdal 55 g; pectine, agar-agar, sucre blanc q.s.p. 100 g (Phosphalugel). Les malades ont absorbé 20 g de cette suspension 1 h après les trois repas et 20 g de cette suspension le soir au coucher.
Groupe G3: les malades de ce groupe ont été traités par une suspension contenant: oxétacaine base) 0,188 g; hydroxyde d'aluminium 5,47 g; hydroxyde de magnésium 1,83 g pour 100 g (Muthésa).
Les malades ont absorbé 10 ml de cette suspension I h après les trois repas et 10 g de cette suspension le soir au coucher.
Groupe G4: les malades de ce groupe ont été traités par le gel P contenant: mélange d'hydroxyde d'aluminium et de carbonate de magnésium (co-dried gel) 10 g; hydroxyde de magnésium 16 g; trisilicate de magnésium 10 g; chlorhydrate de lignocaine I g; oxomémazine 0,20 g pour 400 ml. Les malades ont absorbé 10 ml de cette suspension 1 h après les trois repas et 10 ml de cette suspension le soir au coucher.
Si les thérapeutiques proposées étaient insuffisantes pour calmer les douleurs, les malades ont été priés de croquer au besoin des comprimés de produit connu sous le nom de Gélusil et de comptabiliser leur consommation quotidienne.
Les 4 groupes ne présentent pas de différence significative pour les paramètres suivants: I'âge, la répartition entre les sexes, I'ancienneté de la maladie ulcéreuse, la durée moyenne des poussées antérieures, le nombre de sujets ayant des douleurs lors de l'entrée dans l'essai (jour J0), le tabagisme.
Les résultats sont repris dans les tableaux III, IV et V. Ils montrent que le traitement par la cimétidine permet d'obtenir un pourcentage de cicatrisation au vingt-huitième jour significativement supérieur aux pourcentages obtenus par le traitement par le Phosphalugel, le Muthésa et le gel P. Le traitement par le gel P permet d'obtenir un pourcentagede cicatrisation significativement supérieur aux pourcentages obtenus par le Phosphalugel.
Le pourcentage de malades n'accusant plus de douleurs au vingthuitième jour de traitement est significativement supérieur dans le groupe de malades traités par la cimétidine par rapport au pourcentage observé dans le groupe de malades traités par le Phosphalugel ou par le Muthésa. Le pourcentage de malades n'accusant plus de douleurs au vingt-huitième jour est supérieur dans le groupe traité par le gel P par rapport au pourcentage observé dans le groupe de malades traités par le Phosphalugel.
La rapidité de l'effet sédatif sur la douleur après absorption du gel P est supérieure à celle observée pour le Phosphalugel (p < 0,01) et le Muthésa (p < 0,05).
La consommation de tablettes de Gélusil est significativement moindre pendant les 4 semaines de traitement chez les malades qui ont été traités par la cimétidine (groupe 1), par rapport à celle des malades des groupes 2 (p < 0,01), 3 (p < 0,02) et 4 (p < 0,05). La consommation de tablettes de Gélusil est significativement moindre chez les malades traités par le gel P (groupe 4) par rapport à celle des malades traités par le Phosphalugel (p < 0,10).
Tableau III
Résultats du traitement de l'ulcère duodénal
EMI3.1
<tb> <SEP> Examen <SEP> Nombre <SEP> de
<tb> <SEP> endoscopique: <SEP> malades <SEP> ayant
<tb> <SEP> Nombre <SEP> nombre <SEP> d'ulcères <SEP> des <SEP> douleurs
<tb> <SEP> de <SEP> cicatrisés <SEP> après <SEP> aux <SEP> jours
<tb> <SEP> malades <SEP> <SEP> <SEP> après <SEP> aux <SEP> jours <SEP>
<tb> <SEP> 4 <SEP> semaines
<tb> <SEP> de <SEP> traitement <SEP> Jo <SEP> Jl4 <SEP> J23 <SEP>
<tb> Gl <SEP> Cimétidine <SEP> 28 <SEP> (1) <SEP> 24 <SEP> (85%) <SEP> 27 <SEP> 11 <SEP> 3 <SEP> (5)
<tb> G2 <SEP> Phosphalugel <SEP> 27 <SEP> (2) <SEP> 9
<SEP> (33%) <SEP> 27 <SEP> 19 <SEP> 13 <SEP> (6)
<tb> G3 <SEP> Muthésa <SEP> 29 <SEP> (3) <SEP> 14 <SEP> (48%) <SEP> 28 <SEP> 16 <SEP> 10 <SEP> (7)
<tb> G4 <SEP> Gel <SEP> P <SEP> 29 <SEP> (4) <SEP> 17 <SEP> (58%) <SEP> 28 <SEP> 13 <SEP> 8 <SEP> (8)
<tb>
La différence entre (I) et (2) est significative au seuil p < 0,01.
La différence entre (1) et (3) est significative au seuil p < 0,01.
La différence entre (1) et (4) est significative au seuil p < 0,05.
La différence entre (2) et (4) est significative au seuil p < 0,10.
La différence entre (3) et (4) n'est pas significative.
La différence entre (5) et (6) est significative au seuil p < 0,01.
La différence entre (5) et (7) est significative au seuil p < 0,05.
La différence entre (5) et (8) n'est pas significative.
La différence entre (6) et (7) n'est pas significative.
La différence entre (7) et (8) n'est pas significative.
La différence entre (6) et (8) est significative au seuil p < 0,05.
Tableau IV
Efficacité sur la douleur de l'ulcère duodénal estimée pendant
la première semaine de traitement
EMI3.2
<tb> <SEP> Rapidité <SEP> de
<tb> <SEP> Nombre <SEP> l'effet <SEP> sédatif
<tb> <SEP> de
<tb> <SEP> malades <SEP> après <SEP> (médiane <SEP> en <SEP> minutes
<tb> <SEP> aprésïabsorption) <SEP>
<tb> Phosphalugel <SEP> 20 <SEP> 22 <SEP> (1)
<tb> Muthésa <SEP> 22 <SEP> 14 <SEP> (2)
<tb> GelP <SEP> 24 <SEP> 9 <SEP> (3)
<tb>
Cette estimation a été effectuée chez les malades qui présentaient une douleur I h après le petit déjeuner pendant la première semaine de traitement.
La différence entre (1) et (3) est significative au seuil p < 0,01. La différence entre (2) et (3) est significative au seuil p < 0,05.
Tableau V
Consommation des tablettes antiacides (Gélusil)
pendant les 4 semaines de traitement (valeurs médianes)
EMI3.3
<tb> Groupe <SEP> 1
<tb> Cimétidine <SEP> n <SEP> = <SEP> 28 <SEP> 16 <SEP> (1)
<tb> Groupe <SEP> 2
<tb> Phosphalugel <SEP> n <SEP> = <SEP> 27 <SEP> 39 <SEP> (2)
<tb> Groupe <SEP> 3
<tb> Muthésa <SEP> n <SEP> = <SEP> 29 <SEP> 34 <SEP> (3)
<tb> Groupe <SEP> 4
<tb> GelP <SEP> n <SEP> = <SEP> 29 <SEP> 26 <SEP> (4)
<tb>
La différence entre (1) et (2) est significative au seuil p < 0,01.
La différence entre (1) et (3) est significative au seuil p < 0,02.
La différence entre (I) et (4) est significative au seuil p < 0,05.
La différence entre (2) et (4) est significative au seuil p < 0,10.
La différence entre (3) et (4) n'est pas significative.
B. Traitement de malades atteints d'ulcère gastrique
30 malades atteints d'ulcère gastrique ont été répartis au hasard en 2 groupes de 15 malades. Le critère d'inclusion des malades dans ces groupes a été l'observation d'une lésion ulcéreuse lors de l'examen endoscopique, que la lésion soit douloureuse ou non. Une biopsie des berges de la lésion n'avait pas montré d'image histologique de néoplasie.
Les traitements ont été administrés de manière ambulatoire pendant 5 semaines.
Groupe 1: les malades de ce groupe ont été traités par la suspension correspondant à l'excipient du gel P. Les malades ont absorbé une cuiller à café de ce produit 1 h après chacun des trois repas et une cuiller à café le soir au coucher.
Groupe 2: les malades de ce groupe ont été traités par le gel P.
Les malades ont absorbé une cuiller à café du produit 1 h après chacun des trois repas et une cuiller à café le soir au coucher.
Si les malades accusaient des douleurs, ils ont été priés de croquer au besoin des comprimés de Gélusil et de comptabiliser leur consommation quotidienne.
Les 2 groupes ne présentent pas de différence significative pour les paramètres suivants: l'âge, la répartition entre les sexes, le diamètre de l'ulcération, la topographie des lésions ulcéreuses (pylore, antre, angulus, fundus), le nombre des malades accusant des douleurs lors de l'entrée dans l'essau Gour Jo), le tabagisme.
Les résultats sont repris dans les tableaux VI, VII et VIII. Ils montrent une différence significative de guérison au vingt-huitième jour au seuil p < 0,10 entre les malades traités par un placebo et les malades traités par le gel P. Ils montrent également une différence significative entre le nombre de malades accusant des douleurs traités par un placebo et par le gel P au vingt et unième ou vingthuitième et au trente-cinquième jour. Les malades traités par le gel P ont consommé en un mois moins de tablettes antiacides (Gélusil) que les malades traités par le placebo (p < 0,05).
Tableau VI:
Traitement de l'ulcère gastrique
EMI4.1
<tb> <SEP> Nombre <SEP> d'ulcères <SEP> cicatrisés
<tb> <SEP> au <SEP> 21e <SEP> jour <SEP> au <SEP> 28e <SEP> jour <SEP>
<tb> Groupe <SEP> 1
<tb> Placebo <SEP> n=15 <SEP> 5 <SEP> 6(1)
<tb> Groupe <SEP> 2
<tb> Gel <SEP> P <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 7 <SEP> in <SEP> (2) <SEP>
<tb>
La différence entre (1) et (2) est significative au seuil p < 0,10.
Tableau VII
Traitement de l'ulcère gastrique
EMI4.2
<tb> <SEP> Nombre <SEP> de <SEP> malades <SEP> accusant
<tb> <SEP> des <SEP> douleurs
<tb> <SEP> Jo <SEP> J8 <SEP> J14 <SEP> Jzl <SEP> Ja <SEP> J3s <SEP>
<tb> Groupe <SEP> I
<tb> Placebo <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 14 <SEP> 13 <SEP> 12 <SEP> 9 <SEP> (1) <SEP> 8 <SEP> (3) <SEP> 6 <SEP> (5)
<tb> Groupe <SEP> 2
<tb> GelP <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 13 <SEP> 10 <SEP> 7 <SEP> 5(2) <SEP> 1(4) <SEP> 1(6)
<tb>
La différence entre (I) et (2) est significative au seuil p < 0,10.
La différence entre (3) et (4) est significative au seuil p < 0,05.
La différence entre (5) et (6) est significative au seuil p < 0,05.
Tableau VIII
Traitement de l'ulcère gastrique
Consommation de tablettes pendant les 4 premières semaines
de traitement par malade (valeur médiane)
EMI4.3
<tb> Groupe <SEP> 1
<tb> Placebo <SEP> n=15 <SEP> 39 <SEP> (1) <SEP>
<tb> Groupe <SEP> 2
<tb> GelP <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 19 <SEP> (2)
<tb>
La différence entre (1) et (2) est significative au seuil p < 0,05.
C. Traitement de malades atteints de gastrite
90 malades atteints de gastrite superficielle et atrophique, dont le diagnostic a été affirmé par les études endoscopiques, histologiques et sécrétoires, ont été répartis au hasard en 3 groupes de 30 malades.
Les traitements ont été administrés de manière ambulatoire pendant 4 semaines.
Groupe 1: les malades de ce groupe ont été traités par le Phosphalugel. Groupe 2: les malades de ce groupe ont été traités par le
Muthésa. Groupe 3: les malades de ce groupe ont été traités par le gel P.
La posologie conseillée a été pour tous les malades de I cuiller à café (5 ml) de chacun des produits, administrés avant les trois repas (3 cuillers à café par jour). Dans le but de calmer les brûlures et les douleurs qui surviennent entre les repas, les malades ont absorbé au besoin des doses complémentaires (5 ml de suspension) en les comptabilisant quotidiennement. Un contrôle de la consommation hebdomadaire a été effectué.
Pendant la première semaine de traitement, on a estimé la rapidité de l'effet sur la brûlure et la douleur épigastrique, et la persistance de l'effet sédatif.
Les 3 groupes ne présentent pas de différence significative pour les paramètres suivants: I'âge, la répartition entre les sexes, I'ancienneté de l'affection, le tabagisme, la consommation excessive d'alcool, le débit acide maximal stimulé par la pentagastrine.
Les résultats de cette étude sont repris dans les tableaux IX et X.
La dose thérapeutique du gel P dans le traitement symptomatique de la gastrite est inférieure à celle du Phosphalugel et du Muthésa.
L'effet sédatif dans le traitement de la gastrite est plus rapide pour le gel P que pour le Phosphalugel et le Muthésa. La persistance de l'effet sédatif dans le traitement de la gastrite est plus grande pour le gel P que pour le Phosphalugel et le Muthésa.
Tableau IX
Traitement des malades atteints de gastrite
Estimation de la consommation quotidienne
EMI4.4
<tb> <SEP> Médiane <SEP> exprimée <SEP> Médiane <SEP> exprimée
<tb> <SEP> en <SEP> ml/d <SEP> pour <SEP> en <SEP> ml/d <SEP> pour
<tb> <SEP> les <SEP> ire <SEP> et <SEP> 2e <SEP> semaines <SEP> les <SEP> 3e <SEP> et <SEP> 4e <SEP> semaines
<tb> <SEP> de <SEP> traitement <SEP> de <SEP> traitement
<tb> Groupe <SEP> Gl <SEP>
<tb> Phosphalugel <SEP> n <SEP> = <SEP> 29 <SEP> 35 <SEP> mol <SEP> (1) <SEP> n <SEP> = <SEP> <SEP> 28 <SEP> 32,5mu(4) <SEP>
<tb> Groupe <SEP> G2
<tb> Muthésa <SEP> n <SEP> = <SEP> 28 <SEP> 27,5 <SEP> ml <SEP> (2) <SEP> n <SEP> <SEP> 28 <SEP> 25 <SEP> mi <SEP> (5)
<tb> Groupe <SEP> G3
<tb>
GelP <SEP> n=29 <SEP> 20ml <SEP> (3) <SEP> n=26 <SEP> 17,sol(6) <SEP>
<tb>
Les différences entre (I) et (2), (1) et (3), (2) et (3) sont significatives au seuil p < 0,05. Les différences entre (4) et (5), (4) et (6), (5) et (6) sont significatives au seuil p < 0,05.
Tableau X
Traitement des malades atteints de gastrite
Estimation pendant la première semaine de traitement de la rapidité
de l'ejjèt et de la persistance de l'effet sédatif
EMI4.5
<tb> <SEP> Rapidité <SEP> Persistance
<tb> <SEP> d'effet <SEP> (médiane <SEP> d'effet <SEP> (médiane
<tb> <SEP> en <SEP> min) <SEP> en <SEP> min)
<tb> Groupe <SEP> Gl <SEP>
<tb> Phosphalugel <SEP> n <SEP> = <SEP> 20 <SEP> 12 <SEP> (1) <SEP> 105 <SEP> (4)
<tb> Groupe <SEP> G2
<tb> Muthésa <SEP> n <SEP> = <SEP> <SEP> 16 <SEP> il <SEP> (2) <SEP> 130 <SEP> (5)
<tb> Groupe <SEP> G3
<tb> GelP <SEP> n <SEP> = <SEP> 10 <SEP> 6 <SEP> (3) <SEP> 190 <SEP> (6)
<tb>
Les malades repris pour cette estimation sont ceux qui ont fourni des précisions
complètes pour l'estimation des paramètres étudiés.
Ces paramètres ont été calculés à partir des doses complémentaires, qui ont été absorbées au besoin en plus des 3 doses quotidiennes.
La différence entre (1) et (2) n'est pas significative. Les différences entre (1) et (3), (2) et (3) sont significatives au seuil p < 0,01. La différence entre (4) et (5) est significative au seuil p < 0,05. La différence entre (4) et (6) est significative au seuil p < 0,01. La différence entre (5) et (6) est significative au seuil p < 0,05.
D. Traitement de malades atteints d'oesophagite
120 malades atteints d'oesophagite peptique secondaire à une malposition cardio-tubérositaire ou à une hernie hiatale par glissement, dont le diagnostic a été affirmé par un examen endoscopique et par l'histologie d'un fragment biopsique, ont été répartis au hasard en 3 groupes de 30 malades. Les traitements ont été administrés de manière ambulatoire pendant 4 semaines.
Groupe 1: les malades de ce groupe ont été traités par le Phosphalugel. Groupe 2: les malades de ce groupe ont été traités par le
Maalox. Groupe 3: les malades de ce groupe ont été traités par le
Muthésa. Groupe 4: les malades de ce groupe ont été traités par le
gel P.
La posologie conseillée a été pour tous les malades 1 cuiller à café (5 ml) de chacun des produits, administrée avant les trois repas (3 cuillers à café par jour). Dans le but de calmer les brûlures et les douleurs qui surviennent entre les repas et le soir, les malades ont absorbé au besoin des doses complémentaires (5 ml de suspension) en les comptabilisant quotidiennement. Un contrôle de la consommation hebdomadaire a été effectué.
Pendant la première semaine de traitement, on a estimé la rapidité de l'effet sur la brûlure et la douleur épigastrique, et la persistance de l'effet sédatif.
Les 4 groupes ne présentent pas de différence significative pour les paramètres suivants: I'âge, la répartition entre les sexes, la consommation excessive d'alcool, le débit maximal stimulé par la pentagastrine, le tabagisme, I'ancienneté de la maladie.
Les résultats sont repris dans les tableaux XI et XII. Ils montrent que la consommation quotidienne du gel P dans le traitement symptomatique de la brûlure et de la douleur de l'oesophagite peptique est inférieure à celle du Phosphalugel, du Maalox et du Muthésa. Ils montrent également que la rapidité d'action du gel P dans le traitement symptomatique de la brûlure et de la douleur de I'oesophagite peptique est supérieure à celle du Phosphalugel, du Maalox et du
Muthésa. Ils montrent enfin que la persistance de l'effet sédatif du gel P dans le traitement de cette affection est supérieure à celle du
Phosphalugel, du Maalox et du Muthésa.
Tableau XI
Traitement des malades atteints d'oesophagitepeptique
Estimation de la consommation quotidienne r
EMI5.1
<tb> <SEP> Médiane <SEP> exprimée <SEP> Médiane <SEP> exprimée
<tb> <SEP> en <SEP> ml/d <SEP> pour <SEP> en <SEP> ml/d <SEP> pour
<tb> <SEP> les <SEP> lre <SEP> et <SEP> 2e <SEP> semaines <SEP> les <SEP> 3e <SEP> et <SEP> 4e <SEP> semaines
<tb> <SEP> de <SEP> traitement <SEP> de <SEP> traitement
<tb> Groupe <SEP> G1 <SEP>
<tb> Phosphalugel <SEP> n <SEP> = <SEP> 28 <SEP> 72,5 <SEP> mi <SEP> (1) <SEP> n <SEP> = <SEP> 26 <SEP> 67,5 <SEP> mI <SEP> (5) <SEP>
<tb>
Tableau XI (suite)
EMI5.2
<tb> <SEP> Médiane <SEP> exprimée <SEP> Médiane <SEP> exprimée
<tb> <SEP> en <SEP> ml/d <SEP> pour <SEP> en <SEP> ml/d <SEP> pour
<tb>
<SEP> les <SEP> lre <SEP> et <SEP> 2e <SEP> semaines <SEP> les <SEP> 3e <SEP> et <SEP> 4e <SEP> semaines
<tb> <SEP> de <SEP> traitement <SEP> de <SEP> traitement
<tb> Groupe <SEP> G2
<tb> Maalox <SEP> n <SEP> = <SEP> 27 <SEP> 42,5mol(2) <SEP> n <SEP> = <SEP> 26 <SEP> 35ml <SEP> (6)
<tb> Groupe <SEP> G3
<tb> Muthésa <SEP> n <SEP> = <SEP> 27 <SEP> 30ml <SEP> (3) <SEP> n <SEP> = <SEP> 26 <SEP> 27,5mu(7) <SEP>
<tb> Groupe <SEP> G4
<tb> GelP <SEP> n <SEP> = <SEP> 26 <SEP> 22,sol(4) <SEP> n <SEP> = <SEP> 26 <SEP> 20ml <SEP> (8)
<tb>
Les différences entre (1) et (2), (1) et (3),
(1) et (4) sont significatives au seuil p < 0,01. La différence entre (2) et (3) est significative au seuil p < 0,05. La différence entre (2) et (4) est significative au seuil p < 0,01. La différence entre (3) et (4) est significative au seuil p < 0,05. Les différences entre (5) et (6), (5) et (7), (5) et (8) sont significatives au seuil p < 0,01. La différence entre (6) et (7) est significative au seuil p < 0,05. La différence entre (6) et (8) est significative au seuil p < 0,02. La différence entre (7) et (8) est significative au seuil p < 0,05.
Tableau XII
Traitement des malades atteints d'ssophagitepepdque
Estimation pendant la première semaine de traitement de la rapidité
de l'effet et de la persistance de l'effet sédatif
EMI5.3
<tb> <SEP> Rapidité <SEP> Persistance
<tb> <SEP> d'effet <SEP> (médiane <SEP> d'effet <SEP> (médiane
<tb> <SEP> en <SEP> min) <SEP> en <SEP> min)
<tb> Groupe <SEP> G1 <SEP>
<tb> Phosphalugel <SEP> n <SEP> = <SEP> 15 <SEP> 19 <SEP> (1) <SEP> 60 <SEP> (5)
<tb> Groupe <SEP> G2
<tb> Maalox <SEP> n <SEP> = <SEP> 13 <SEP> 15 <SEP> (2) <SEP> 105(6) <SEP>
<tb> Groupe <SEP> G3
<tb> Muthésa <SEP> n <SEP> = <SEP> 13 <SEP> 13 <SEP> (3) <SEP> 120 <SEP> (7)
<tb> Groupe <SEP> 4
<tb> GelP <SEP> n <SEP> = <SEP> ll <SEP> 7(4) <SEP> 165 <SEP>
(8)
<tb>
Les malades repris pour cette estimation sont ceux qui ont fourni des précisions complètes pour l'estimation des paramètres étudiés.
Ces paramètres ont été calculés à partir des doses complémentaires, qui ont été absorbées au besoin en plus des 3 doses quotidiennes conseillées. La différence entre (1) et (2) n'est pas significative. Les différences entre (1) et (3), (1) et (4) sont significatives au seuil p < 0,01. La différence entre (2) et (3) n'est pas significative. Les dif férences entre (2) et (4), (3) et (4) sont significatives au seuil p < 0,01.
Les différences entre (5) et (6), (5) et (7), (5) et (8) sont significatives au seuil p < 0,01. La différence entre (6) et (7) n'est pas significative.
La différence entre (6) et (8) est significative au seuil p < 0,01. La différence entre (7) et (8) est significtive au seuil p < 0,05.