La présente invention se rapporte à une serrure à cylindre, par exemple pour les portières ou le coffre d'un véhicule automobile, comprenant un cylindre tournant à l'intérieur d'un corps fixe et pourvu d'une série de plaquettes de retenue coulissantes qui s'engagent dans le corps fixe pour empêcher une rotation du cylindre, ce dernier présentant un trou pour l'introduction d'une clé servant à désengager les plaquettes de retenue du corps fixe et à rendre possible la rotation du cylindre.
Dans les serrures à cylindre classiques, chaque plaquette de retenue est soumise à l'action d'un ressort individuel de compression hélicoïdal qui se trouve au-dessous de la plaquette de retenue et est introduit dans le cylindre avant la plaquette de retenue correspondante. Ces ressorts sont très petits et sont difficiles à manier; leur introduction manuelle demande un temps considérable. Si l'on utilise une machine pour l'insertion automatique, il s'agit d'une machine compliquée et relativement coûteuse. En outre, les serrures à cylindre normalement utilisées dans les véhicules présentent à leur extrémité, qui est munie du trou de
serrure, une calotte au-dessous de laquelle est monté un couvercle glissant qui empêche l'entrée de corps étrangers à l'intérieur de la
serrure.
Le couvercle glissant est chargé par la force de ressorts, normalement au moyen de deux ressorts hélicoïdaux de compres
sion qui sont à peu près identiques, quant aux dimensions, aux
ressorts des plaquettes de retenue et qui présentent, quant aux mesures de montage, les mêmes difficultés que celles mentionnées
ci-dessus.
Le but principal de la présente invention est la réalisation de
ressorts qui puissent être montés plus facilement, permettant
d'économiser du temps lors de la production, et qui sont encore
moins coûteux à fabriquer.
Selon l'invention, la serrure comprend au moins un ressort
formé en une seule pièce avec un élément d'insertion de la serrure,
ce ressort étant constitué du même matériel que ledit élément
d'insertion.
De cette façon, le ressort peut être manié plus facilement et
plus rapidement. En outre, si le matériel utilisé est une matière
plastique comme on le préfère, le ressort peut être fabriqué d'une
façon moins chère, bien qu'elle assure un fonctionnement satisfai
sant pendant la durée de vie prévue de la serrure.
De tels ressorts peuvent être appliqués aussi bien aux pla
quettes de retenue qu'au couvercle glissant.
Dans le cas des ressorts pour les plaquettes de retenue, une
multitude de plaquettes de retenue peut être dotée de ressorts au
moyen d'un dispositif unique faisant ressort comprenant une
pièce du montage qui s'étend généralement parallèlement par
rapport à l'axe du cylindre et généralement parallèlement aux
ressorts qui s'étendent dans cette partie du montage et qui sont
distants l'un de l'autre le long de l'axe du cylindre pour agir sur la
plaquette de retenue respective, cette pièce du montage et les
ressorts étant formés en une seule pièce à partir du même maté
riel. De cette façon, I'introduction du ressort dans le cylindre peut
être considérablement simplifiée, et tous les ressorts peuvent être
soutenus par la pièce unique de construction pendant l'insertion.
On notera que l'utilisation du moyen faisant ressort permet de
réaliser une économie en temps et en argent, même si seulement
deux ressorts pour les plaquettes de retenue sont traités de cette
façon, et, en général, il n'est pas nécessaire que tous les ressorts
pour les plaquettes de retenue soient traités de cette manière. Puis,
en particulier, la plaquette de retenue qui se trouve à la distance
maximale depuis l'extérieur dans la serrure peut être poussée par
un ressort dans la direction opposée, par exemple comme il est
décrit dans le brevet britannique N" 738277 et, dans ce cas, il est
plus convenable d'employer un ressort séparé pour cette plaquette
de retenue.
Dans le cas où la serrure à cylindre possède un couvercle
glissant, qui est poussé dans sa position choisie au moyen d'au
moins un ressort, ce couvercle et le ou les ressorts peuvent être
constitués en une seule pièce fabriquée du même matériel. Le couvercle est normalement d'une telle dimension que, par l'introduction manuelle ou automatique, il peut être pris et manié très facilement, et le ou les ressorts peuvent être insérés manuellement ou automatiquement sous ce couvercle, et l'on rend ainsi l'insertion plus rapide ou bien l'appareil d'insertion plus simple. Bien qu'il soit possible de ne prévoir qu'un seul ressort qui agit sur le couvercle, il est quand même préféré de prévoir deux ressorts, et ces deux ressorts sont de préférence symétriques par rapport à une ligne parallèle à la direction du mouvement du couvercle glissant.
L'invention sera maintenant décrite à l'aide d'exemples d'exécution, en se référant au dessin dans lequel:
la fig. 1 est une coupe verticale d'une serrure à cylindre selon la présente invention selon la ligne I-I de la fig. 2;
la fig. 2 est une coupe verticale du cylindre et des parties associées de la serrure le long de la ligne Il-Il dans la fig. 1, reproduit dans une échelle plus grande;
la fig. 3 est une vue en perspective partiellement découpée du cylindre et des parties associées de la serrure selon la fig. 1, la serrure étant représentée avec les plaquettes de retenue dans la position débloquée, mais sans la clef;
la fig. 4 est une vue en élévation du moyen faisant ressort dans le cylindre de la serrure;
la fig. 5 est une vue d'une extrémité du cylindre de la serrure, la calotte étant enlevée, et on a représenté un couvercle glissant;
;
la fig. 6 est une coupe du couvercle glissant selon la ligne VI VI de lafig. 5;
la fig. 7 est une vue frontale du cylindre de la serrure, la calotte étant enlevée, qui montre un autre couvercle glissant;
la fig. 8 est une vue frontale du cylindre de la serrure sans la calotte et qui montre encore une autre variante d'un couvercle glissant, et
la fig. 9 est une vue en plan du couvercle glissant selon la fig. 8.
La serrure à cylindre comprend un cylindre rotatif 1 à l'intérieur d'un corps fixe 2 qui est seulement représenté dans la fig. 1.
Le cylindre 1 peut être formé à partir d'une matière plastique, par exemple une résine acétalique, et le corps fixe 2 peut être construit à partir d'un matériau quelconque approprié, par exemple le laiton. Le cylindre 1 comprend un certain nombre de plaquettes de retenue coulissantes 3, 4 qui peuvent glisser dans des cannelures ou rainures 5 diamétrales dans le cylindre 1, et les plaquettes sont maintenues en position au moyen d'une épine 6 qui s'étend parallèlement à l'axe et (lorsqu'une clef appropriée 7 n'est pas introduite dans la serrure) qui s'engage dans une ou deux rainures 8 pratiquées dans le corps fixe 2 qui s'étend parallèlement à l'axe de la serrure pour empêcher ainsi une rotation du cylindre 1.
Par l'introduction de la clef 7 dans le trou du cylindre 1, les plaquettes de retenue se trouvent libérées de la rainure 8 du corps 2, et le cylindre 1 peut maintenant tourner, pour ouvrir une portière, un coffre ou un débarras d'une automobile. En particulier, les six premières plaquettes de retenue 3 sont poussées vers-le haut, comme il est montré dans la fig. 1, pour s'engager dans la rainure supérieure 8 lorsque la clef n'est pas introduite, et les plaquettes sont actionnées par l'extrémité supérieure de la clef.
Cependant, la dernière plaquette de retenue 4, dénommée plaquette de retenue de sécurité, est poussée vers le bas pour entrer dans la rainure inférieure 8 pour être actionnée par la face inférieure de la clef selon une mesure de sécurité généralement décrite dans la description du brevet britannique N" 738277. Les serrures à cylindre de ce type sont en général connues, et ne seront pas
décrites en détail.
Selon l'état de la technique, chacune des plaquettes de rete
nue 3 et 4 est soumise à une force de ressort par un petit ressort
de compression hélicoïdal séparé. Selon la présente invention, les
cinq premières plaquettes de retenue 3 sont chargées de ressorts
par un seul moyen unitaire 9 faisant ressort; la sixième pla
quette 3 et la plaquette de sécurité 4 sont chargées chacune par un
petit ressort hélicoïdal normal (non représenté).
La pièce à res sort 9 comprend un élément de construction 10 qui s'étend généralement parallèlement à l'axe du cylindre 1 et des ressorts généralement parallèles 11 prenant origine dans l'élément de construction 10 qui sont distants le long de l'axe du cylindre 1 pour charger les plaques de retenue 3 respectives; I'élément de construction 10 et les ressorts 1 1 sont formés dans une seule pièce à partir du même matériel, et ce matériel peut être une matière thermoplastique, par exemple une résine de polyamide ou d'acétal. Plus en détail, chacun des ressorts 11 a une forme en zigzag, vue le long de l'axe du cylindre 1, et la position à l'état non comprimé du ressort 1 1 (c'est-à-dire la position du ressort 11 avant son insertion dans la serrure) est indiquée par des lignes pointillées dans la fig. 2.
L'élément 10 a, dans sa section transversale, la forme d'un canal dont la rainure s'ouvre dans la fig. 2 vers la droite, c'est-à-dire dans une direction perpendiculaire par rapport à la direction de la compression des ressorts 11. Les ressorts 1 1 prennent origine à la partie de base de la paroi latérale 13 du canal, I'élément de construction 10 étant logé dans une cannelure du cylindre 1 de la serrure, L'autre paroi latérale 14 du canal s'appuyant contre la base de la cannelure; la base 15 du canal se repose contre une paroi latérale de la cannelure, et l'extrémité libre des parois latérales 13 et 14 du canal se trouve en face de l'autre paroi latérale de la cannelure, comme on peut le voir dans la fig. 2.
De cette façon, la cannelure, qui a une forme rectangulaire, peut avoir un logement solide et stable à la pièce de construction 10 et empêche que le ressort 1 1 se déloge de sa position, bien que, en même temps, la paroi latérale 13 du canal puisse se plier légèrement vers la paroi latérale 14 lors de la compression du ressort 11, en modifiant ainsi les caractéristiques du ressort. En particulier, la force qu'exerce le ressort 1 1 peut être diminuée, soit en réduisant l'épaisseur de la base 15 du canal, soit en réduisant l'épaisseur du ressort 11.
La cannelure dans le cylindre 1 qui reçoit la pièce de construction 10 s'étend jusqu'à l'extrémité extérieure du cylindre 1, et le cylindre I présente un évidement 16 qui s'étend axialement (voir fig. 2) également jusqu'à l'extrémité extérieure du cylindre 1. En théorie, I'évidement 16 et la cannelure peuvent s'étendre depuis une quelconque des deux faces frontales du cylindre, mais on a trouvé qu'il est de loin le plus approprié si l'évidement et la cannelure s'étendent à partir de la face extérieure du cylindre 1.
La serrure sera montée selon la séquence suivante, soit manuellement, soit automatiquement:
1. On insère transversalement la plaquette de retenue de sécurité 4.
2. On insère transversalement le ressort de compression qui agit soit sur la plaquette de sécurité 4 soit sur la sixième plaquette de retenue 3.
3. On insère transversalement la sixième plaquette de retenue 3.
4. On insère le ressort 11 en prenant l'élément 10 et en le poussant axialement dans la cannelure du cylindre 1. Pour permettre le déroulement de cette opération sans outil spécial, chaque ressort 1 1 présente une largeur, mesurée dans la direction axiale du cylindre 1 qui est plus grand que l'espace entre les plaquettes adjacentes 3 (la largeur du ressort 11 qui se trouve plus à l'intérieur est plus petite que celle des autres ressorts 1 1 et, par conséquent, I'élément de montage 10 et le ressort 11 le plus à l'intérieur ne peuvent pas pénétrer dans la cavité transversale non représentée dans laquelle se loge la sixième plaquette de retenue 3).
5. On insère transversalement les cinq plaquettes de retenue 3 restantes.
6. Finalement, on insère axialement le tourillon 3 pour retenir toutes les plaquettes 3 et 4 dans leur position.
Le cylindre 1 est pourvu sur sa face externe d'un capuchon étampé 21 d'une construction classique (voir fig. 1) qui s'appuie par l'intermédiaire d'un bord 22 (voir fig. 1 et 5) muni d'ailettes repliées 23 pour maintenir le capuchon 21 en position. Au-dessous du capuchon 21, il y a une cavité 24 qui reçoit un couvercle glissant 25, qui est mobile dans un plan perpendiculaire à l'axe du cylindre 1.
Le couvercle 25 est poussé dans sa position fermée par deux ressorts 26 qui ont la forme zigzag et qui sont disposés symétriquement par rapport à la ligne ayant la référence 27 dans la fig. 5. Chaque ressort 26 a la forme d'un élément mince qui pousse le couvercle 25 généralement dans la direction de l'ouverture du couvercle 25, les ressorts 26 étant fixés à des parties opposées à l'extrémité du couvercle 25. La partie libre de l'extrémité 28 de chacun des ressorts 26 s'étend dans une direction qui forme un grand angle par rapport à la direction d'ouverture du couvercle 25.
Le couvercle 25 et les ressorts 26 sont formés en une seule pièce à partir du même matériel, telle une matière thermoplastique, comme par exemple une résine de polyamide ou d'acétal.
Les fig. 7, 8 et 9 montrent deux différents couvercles glissants, respectivement 31 et 32, qui sont formés en une seule pièce du même matériel, telle une matière thermoplastique, comme par exemple une résine de polyamide ou d'acétal, avec deux ressorts 33 ou 34 qui poussent le couvercle 31 ou 32 généralement dans la direction de l'ouverture du couvercle 31 ou 32.
Chaque ressort 33 ou 34 est plié tel que la partie d-'rextrémité libre 35 ou 36 s'étende dans une direction qui forme unrand angle par rapport à la direction d'ouverture du couvercle 31 ou 32, la partie d'extrémité libre 35 ou 36 s'appuyant contre une partie de la niche 37 ou 38 dans le cylindre 1 qui est disposé latéralement par rapport à une ligne 27 qui s'étend parallèlement à la direction de l'ouverture du couvercle 31 ou 32 et qui passe à travers le point dans lequel le ressort relatif 33 ou 34 s'unit aux couvercles 31 ou 32. Les positions de repos des ressorts 33 ou 34 sont indiquées en lignes pointillées et, pendant le mouvement du couvercle 31 ou 32, les parties d'extrémité libre 35 ou 36 glissent transversalement par rapport à la direction du mouvement du couvercle 31 ou 32.
Dans tous les cas, les deux ressorts 33 ou 34 sont en général symétriques par rapport à la ligne 27.
Dans la fig. 7, les deux ressorts 33 sont réunis à la partie centrale du couvercle 31 et sont incurvés de telle façon que leur allongement s'appuie contre une partie de niche 37 dans laquelle une corde 39 coupe un arc 40. Le centre 41 de cet arc 40 est adjacent au côté le plus proche du couvercle 31. Deux parties des extrémités 35 des ressorts 33 s'appuient contre le pourtour de la niche 37, la partie la plus voisine de l'extrémité libre du ressort 37 s'appuyant contre l'arc 40, et l'autre partie s'appuyant contre la corde 39.
Dans les fig. 8 et 9, les deux ressorts 34 sont réunis aux parties opposées d'extrémité du couvercle 32 et sont pliés l'un vers l'autre pour se croiser. La partie d'extrémité libre 36 de chacun des ressorts 34 s'appuie contre un côté 42 de la niche 38 qui est adjacent à une ligne qui s'étend parallèlement à la direction de l'ouverture du couvercle 32 et qui passe à travers le point dans lequel l'autre ressort 34 est réuni au couvercle 32. Le côté 42 est incurvé, et le centre 41 de l'arc se trouve adjacent au côté le plus voisin du couvercle 32.
Dans le montage du couvercle glissant décrit ci-dessus, la partie respective unitaire 25, 26 ou 31, 33 ou 32, 34 est retenue par le couvercle et sera rapidement et de manière simple glissée en position avant l'installation de la calotte 21.
Finalement, le cylindre 1 est inséré dans le corps fixe 2 et il est retenu dans le corps 2 par des moyens quelconques appropriés et non représentés.
The present invention relates to a cylinder lock, for example for the doors or the trunk of a motor vehicle, comprising a cylinder rotating inside a fixed body and provided with a series of sliding retaining plates which engage in the fixed body to prevent rotation of the cylinder, the latter having a hole for the introduction of a key serving to disengage the retaining plates from the fixed body and to make rotation of the cylinder possible.
In conventional cylinder locks, each retainer plate is subjected to the action of an individual helical compression spring which sits below the retainer plate and is inserted into the cylinder before the corresponding retainer plate. These springs are very small and are difficult to handle; their manual entry takes a considerable amount of time. If a machine is used for automatic insertion, it is a complicated and relatively expensive machine. In addition, cylinder locks normally used in vehicles have at their end, which is provided with the
lock, a cap below which is mounted a sliding cover that prevents the entry of foreign bodies inside the
lock.
The sliding cover is loaded by the force of springs, normally by means of two coil springs of compressors.
which are almost identical in terms of dimensions,
springs of the retaining plates and which present, as regards the assembly measures, the same difficulties as those mentioned
above.
The main aim of the present invention is to achieve
springs that can be fitted more easily, allowing
save time during production, and which are still
less expensive to manufacture.
According to the invention, the lock comprises at least one spring
formed in one piece with an insert of the lock,
this spring being made of the same material as said element
insertion.
In this way, the spring can be handled more easily and
faster. In addition, if the material used is a material
plastic as preferred, the spring can be manufactured from
cheaper way, although it provides satisfactory operation.
health over the expected life of the lock.
Such springs can be applied to both pla
retainers than the sliding cover.
In the case of springs for retaining pads, a
multitude of retaining pads can be fitted with springs
means of a single spring device comprising a
part of the assembly which generally extends in parallel
relative to the axis of the cylinder and generally parallel to the
springs which extend in this part of the assembly and which are
distant from each other along the axis of the cylinder to act on the
respective retaining plate, this mounting part and the
springs being formed in one piece from the same mate
riel. In this way, the introduction of the spring into the cylinder can
be considerably simplified, and all springs can be
supported by the single piece of construction during insertion.
It will be noted that the use of the spring means makes it possible to
save time and money, even if only
two springs for the retaining pads are treated in this way
way, and, in general, it is not necessary that all the springs
for retaining pads be treated in this way. Then,
in particular, the retaining plate which is at the distance
maximum from the outside into the lock can be pushed by
a spring in the opposite direction, for example as it is
described in British Patent No. 738277 and in this case it is
more convenient to use a separate spring for this pad
restraint.
In the event that the cylinder lock has a cover
sliding, which is pushed into its chosen position by means of
minus one spring, this cover and the spring (s) may be
made of a single piece made of the same material. The cover is normally of such a size that, by manual or automatic introduction, it can be picked up and handled very easily, and the spring (s) can be inserted manually or automatically under this cover, and thus the faster insertion or the simpler insertion device. Although it is possible to provide only one spring which acts on the cover, it is still preferred to provide two springs, and these two springs are preferably symmetrical with respect to a line parallel to the direction of movement of the sliding cover.
The invention will now be described with the aid of exemplary embodiments, with reference to the drawing in which:
fig. 1 is a vertical section of a cylinder lock according to the present invention along the line I-I of FIG. 2;
fig. 2 is a vertical section of the cylinder and associated parts of the lock along the line II-II in fig. 1, reproduced on a larger scale;
fig. 3 is a partially cut away perspective view of the cylinder and associated parts of the lock according to FIG. 1, the lock being shown with the retaining plates in the unlocked position, but without the key;
fig. 4 is an elevational view of the spring means in the cylinder of the lock;
fig. 5 is a view of one end of the lock cylinder, the cap being removed, and a sliding cover is shown;
;
fig. 6 is a section through the sliding cover along line VI VI of lafig. 5;
fig. 7 is a front view of the lock cylinder with the cap removed, showing another sliding cover;
fig. 8 is a front view of the lock cylinder without the cap and which shows yet another variant of a sliding cover, and
fig. 9 is a plan view of the sliding cover according to FIG. 8.
The cylinder lock comprises a rotating cylinder 1 inside a fixed body 2 which is only shown in fig. 1.
The cylinder 1 can be formed from a plastic material, for example an acetal resin, and the stationary body 2 can be constructed from any suitable material, for example brass. Cylinder 1 includes a number of sliding retaining pads 3, 4 which can slide into diametrical grooves or grooves 5 in cylinder 1, and the pads are held in position by means of a spine 6 which runs parallel to it. the axis and (when an appropriate key 7 is not inserted in the lock) which engages in one or two grooves 8 made in the fixed body 2 which extends parallel to the axis of the lock to prevent thus a rotation of cylinder 1.
By the introduction of the key 7 in the hole of the cylinder 1, the retaining plates are released from the groove 8 of the body 2, and the cylinder 1 can now turn, to open a door, a trunk or a storage room. a car. In particular, the first six retaining pads 3 are pushed upwards, as shown in fig. 1, to engage in the upper groove 8 when the key is not inserted, and the pads are actuated by the upper end of the key.
However, the last retaining pad 4, referred to as the safety retaining pad, is pushed down to enter the lower groove 8 to be actuated by the underside of the key according to a safety measure generally described in the description of the patent. British N "738277. Cylinder locks of this type are generally known, and will not be
described in detail.
According to the state of the art, each of the rete inserts
bare 3 and 4 is subjected to a spring force by a small spring
helical compression separate. According to the present invention, the
first five retaining pads 3 are loaded with springs
by a single unitary means 9 making it spring; the sixth place
quette 3 and the safety plate 4 are each loaded by a
small normal coil spring (not shown).
The res out part 9 comprises a building element 10 which extends generally parallel to the axis of the cylinder 1 and generally parallel springs 11 originating in the building element 10 which are spaced apart along the axis of the cylinder. cylinder 1 for loading the respective retaining plates 3; The construction element 10 and the springs 11 are formed in one piece from the same material, and this material may be a thermoplastic material, for example a polyamide or acetal resin. In more detail, each of the springs 11 has a zigzag shape, seen along the axis of the cylinder 1, and the position in the uncompressed state of the spring 1 1 (that is to say the position of the spring 11 before it is inserted into the lock) is indicated by dotted lines in fig. 2.
The element 10 has, in its cross section, the shape of a channel, the groove of which opens in FIG. 2 to the right, that is to say in a direction perpendicular to the direction of compression of the springs 11. The springs 11 originate from the base part of the side wall 13 of the channel, the element of construction 10 being housed in a groove of the cylinder 1 of the lock, the other side wall 14 of the channel resting against the base of the groove; the base 15 of the channel rests against one side wall of the groove, and the free end of the side walls 13 and 14 of the channel is opposite the other side wall of the groove, as can be seen in fig. . 2.
In this way, the groove, which has a rectangular shape, can have a solid and stable housing to the construction part 10 and prevent the spring 11 from dislodging from its position, although, at the same time, the side wall 13 of the channel can bend slightly towards the side wall 14 during the compression of the spring 11, thus modifying the characteristics of the spring. In particular, the force exerted by the spring 1 1 can be reduced, either by reducing the thickness of the base 15 of the channel, or by reducing the thickness of the spring 11.
The groove in cylinder 1 which receives component 10 extends to the outer end of cylinder 1, and cylinder I has a recess 16 which extends axially (see fig. 2) also up to the outer end of cylinder 1. In theory, the recess 16 and the groove can extend from any of the two end faces of the cylinder, but it has been found to be by far the most suitable if the recess and the groove extend from the outer face of cylinder 1.
The lock will be fitted in the following sequence, either manually or automatically:
1. Insert the safety retaining plate 4 transversely.
2. The compression spring is inserted transversely which acts either on the safety plate 4 or on the sixth retaining plate 3.
3. Insert the sixth retaining plate 3 transversely.
4. The spring 11 is inserted by taking the element 10 and pushing it axially into the groove of the cylinder 1. To allow this operation to take place without a special tool, each spring 1 1 has a width, measured in the axial direction of the cylinder. cylinder 1 which is larger than the space between the adjacent pads 3 (the width of the spring 11 which is further inside is smaller than that of the other springs 11 and, therefore, the mounting element 10 and the innermost spring 11 cannot enter the transverse cavity, not shown, in which the sixth retaining plate 3) is housed.
5. Insert the remaining five retaining plates 3 transversely.
6. Finally, the journal 3 is axially inserted to retain all the plates 3 and 4 in their position.
The cylinder 1 is provided on its external face with a stamped cap 21 of a conventional construction (see fig. 1) which is supported by means of an edge 22 (see fig. 1 and 5) provided with folded fins 23 to hold the cap 21 in position. Below the cap 21, there is a cavity 24 which receives a sliding cover 25, which is movable in a plane perpendicular to the axis of the cylinder 1.
The cover 25 is pushed into its closed position by two springs 26 which have the zigzag shape and which are arranged symmetrically with respect to the line having the reference 27 in FIG. 5. Each spring 26 is in the form of a thin member which urges the cover 25 generally in the direction of the opening of the cover 25, the springs 26 being attached to opposite parts at the end of the cover 25. The free part of the end 28 of each of the springs 26 extends in a direction which forms a large angle with respect to the direction of opening of the cover 25.
The cover 25 and the springs 26 are formed in one piece from the same material, such as a thermoplastic material, such as for example a polyamide or acetal resin.
Figs. 7, 8 and 9 show two different sliding covers, respectively 31 and 32, which are formed in a single piece of the same material, such as a thermoplastic material, such as for example a polyamide or acetal resin, with two springs 33 or 34 which push the cover 31 or 32 generally in the direction of the opening of the cover 31 or 32.
Each spring 33 or 34 is bent such that the free end portion 35 or 36 extends in a direction which forms a wide angle with respect to the direction of opening of the cover 31 or 32, the free end portion 35. or 36 resting against a part of the niche 37 or 38 in the cylinder 1 which is disposed laterally with respect to a line 27 which extends parallel to the direction of the opening of the cover 31 or 32 and which passes through the point at which the relative spring 33 or 34 unites with the covers 31 or 32. The rest positions of the springs 33 or 34 are indicated by dotted lines and, during the movement of the cover 31 or 32, the free end parts 35 or 36 slide transversely to the direction of movement of the cover 31 or 32.
In all cases, the two springs 33 or 34 are generally symmetrical with respect to line 27.
In fig. 7, the two springs 33 are joined to the central part of the cover 31 and are curved so that their elongation bears against a niche part 37 in which a cord 39 cuts an arc 40. The center 41 of this arc 40 is adjacent to the side closest to the cover 31. Two parts of the ends 35 of the springs 33 rest against the periphery of the recess 37, the part closest to the free end of the spring 37 resting against the arc 40, and the other part leaning against the rope 39.
In fig. 8 and 9, the two springs 34 are joined at the opposite end portions of the cover 32 and are bent towards each other to cross. The free end portion 36 of each of the springs 34 rests against a side 42 of the recess 38 which is adjacent to a line which runs parallel to the direction of the opening of the cover 32 and which passes through the point at which the other spring 34 is joined to the cover 32. The side 42 is curved, and the center 41 of the arc is located adjacent to the nearest side of the cover 32.
In the assembly of the sliding cover described above, the respective unitary part 25, 26 or 31, 33 or 32, 34 is retained by the cover and will be quickly and simply slid into position before the installation of the cap 21.
Finally, the cylinder 1 is inserted into the fixed body 2 and it is retained in the body 2 by any suitable means and not shown.