CH466556A - Procédé de fabrication d'un stratifié plastique, appareil pour sa mise en oeuvre et stratifié obtenu - Google Patents

Procédé de fabrication d'un stratifié plastique, appareil pour sa mise en oeuvre et stratifié obtenu

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CH466556A
CH466556A CH1029667A CH1029667A CH466556A CH 466556 A CH466556 A CH 466556A CH 1029667 A CH1029667 A CH 1029667A CH 1029667 A CH1029667 A CH 1029667A CH 466556 A CH466556 A CH 466556A
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A Chavannes Marc
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A Chavannes Marc
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B32LAYERED PRODUCTS
    • B32BLAYERED PRODUCTS, i.e. PRODUCTS BUILT-UP OF STRATA OF FLAT OR NON-FLAT, e.g. CELLULAR OR HONEYCOMB, FORM
    • B32B27/00Layered products comprising a layer of synthetic resin

Landscapes

  • Laminated Bodies (AREA)
  • Shaping Of Tube Ends By Bending Or Straightening (AREA)

Description


  Procédé de     fabrication    d'un stratifié plastique,  appareil pour sa mise en     aeuvre    et     stratifié    obtenu    La présente invention a pour objets un procédé de  fabrication d'un stratifié plastique, un appareil pour sa  mise en     oeuvre    et un stratifié plastique obtenu par ce pro  cédé.  



  Dans la présente description, le terme laminage dési  gne non seulement le traitement par passage entre des  cylindres, mais     également    la formation de matériels stra  tifiés.  



  Bien que l'on utilise les matières plastiques et en par  ticulier les matières plastiques sous forme de feuilles pour  des applications très diverses, l'utilisation la plus impor  tante est peut-être constituée par l'emballage de matières  étant donné que les matières plastiques offrent d'une ma  nière générale de nombreux avantages par rapport aux  produits en papier. Les matières plastiques résistent par       exemple    d'une manière générale aux     effets    nuisibles de  l'humidité et aux effets d'autres liquides et gaz qui en  dommagent ou détruisent le papier.

   Les matières plasti  ques les plus courantes utilisées pour l'emballage telles  que le polyéthylène et le chlorure de polyvinyle ne sont  pas entièrement satisfaisantes étant donné qu'elles ne  sont pas entièrement imperméables à l'humidité sous.  forme de vapeur et aux gaz. Certaines des matières plas  tiques plus coûteuses telles que le chlorure de     polyvinyli-          dène    sont sensiblement imperméables à l'humidité sous  forme de vapeur et aux autres gaz, mais sont plus oné  reuses et d'un poids plus élevé.

   Le laminage de matières  plastiques telles que le polyéthylène et le chlorure de  polyvinyle avec des matières plastiques plus imperméa  bles telles que le chlorure de     polyvinylidène    a été suggéré,  mais les frais qui interviennent lors du laminage de  feuilles de ces matières     plastiques    empêchent de manière  générale leur     utilisation    dans des buts d'emballage et le       stratifié    résultant est naturellement relativement épais et  lourd.  



  Le procédé que comprend l'invention est caractérisé  en     ce    qu'on revêt une feuille plastique avec un liquide    dans lequel une matière plastique est distribuée unifor  mément, on soumet le revêtement à une radiation infra  rouge pour le chauffer, on maintient le côté non revêtu  de la feuille à une température suffisante pour éviter une  perte de chaleur à partir de la feuille et la maintenir     au-          dessous    de son point de fusion, et on refroidit la feuille  revêtue et sèche.  



  Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, des  formes d'exécution de l'appareil et du stratifié que com  prend l'invention  la     fig.    1 est une vue schématique d'une première  forme d'exécution de l'appareil ;  la     fig.    2 est une coupe à plus grande     échelle    suivant  11-11 de la     fig.    1 ;  la     fig.    3 est une vue schématique d'une seconde forme  d'exécution de l'appareil;  la     fig.    4 est une coupe à plus grande échelle suivant  4-4 de la     fig.    3 ;

    les     fig.    5 à 10 sont des vues schématiques d'autres  formes d'exécution de l'appareil, et  les     fig.    11 à 14 sont des coupes de produits cellulaires  composés de formes d'exécution du stratifié.  



  Trois facteurs sont très importants lorsqu'on utilise  des matières plastiques pour l'emballage et pour d'autres  buts similaires, c'est-à-dire le prix de revient, l'imperméa  bilité aux gaz, à la vapeur d'eau et analogue, et la résis  tance mécanique. Pour des matériels cellulaires dans les  quels une couche plastique est bosselée ou gaufrée et une  deuxième couche est scellée sur la couche bosselée de  manière à obtenir plusieurs poches d'air,     l'utilisation    de  matières plastiques sensiblement imperméables est d'une  importance considérable pour empêcher     la    diminution de  l'effet d'amortissement ou de rembourrage lorsque la ma  tière est soumise à une pression constante et prolongée.  



  Le procédé qui va être décrit permet la production  d'un matériel plastique relativement peu cher qui peut      être utilisé sous forme de feuilles ou qui peut être traité  de manière à obtenir un matériel cellulaire et qui pré  sente des     avantages    qu'on ne pouvait pas obtenir jusqu'à  maintenant avec les procédés connus. Il est par exemple  possible d'obtenir des stratifiés en matière plastique dans  lesquels le matériel de support peut avoir une épaisseur  de l'ordre de 12,7     microns    à plusieurs dizaines de mi  crons et même supérieure, tandis que la couche relative  ment     imperméable    peut avoir une épaisseur de l'ordre de  2,5 microns, bien que l'épaisseur ne soit pas critique.

   De  cette manière, le poids du stratifié résultant est     maintenu     à une valeur très faible.     Etant    donné que la matière im  perméable, qui est un produit onéreux en comparaison  d'une matière plastique telle que le polyéthylène et le  chlorure de polyvinyle, est utilisée en des quantités très  faibles, l'augmentation résultante de frais     est    faible. En  outre, lorsqu'on utilise des     procédés    et le dispositif selon  l'invention, la formation des stratifiés plastiques peut être  effectuée à des vitesses de l'ordre de 305     m/mn    et il en  résulte que les frais de traitement sont également     réduits     au minimum.  



  Lors de la fabrication de matériel de rembourrage, il  est possible de revêtir une matière plastique d'une cou  che imperméable et de traiter immédiatement le stratifié  résultant de manière à obtenir un matériel     cellulaire.    De       cette    manière, on évite une manipulation     intermédiaire     des feuilles stratifiées, ce qui réduit davantage le prix de  revient du produit fini. En outre, grâce à l'invention, on  peut produire une large gamme de matériels cellulaires  en utilisant des stratifiés doubles et triples avec des com  binaisons désirées quelconques de matières plastiques, de  papier revêtu de matière plastique, de tissus et analogues.

    En outre, l'invention procure des procédés améliorés de  scellage des stratifiés lors de la fabrication du matériel  cellulaire.  



  On se réfère maintenant à la     fig.    1, qui représente une  forme d'exécution de l'appareil pour le revêtement de  feuilles plastiques. Lors de la production du stratifié, une  feuille de support 10, en polyéthylène par exemple, est  amenée de manière continue à travers le dispositif de  laminage et entre dans le dispositif à partir du côté droit.  Elle est guidée par une série de rouleaux 11, 12 et 13  vers une paire de rouleaux 14 et 15 qui produisent  l'application d'un revêtement en une autre matière plasti  que sur l'un des côtés de la feuille 10. Le revêtement peut  être constitué par une émulsion, une dispersion ou une  solution 17 contenue dans une cuvette 16. Un rouleau 15  d'impression par rotogravure est au moins partiellement  immergé dans le liquide 17 et est revêtu à mesure qu'il  tourne.

   Une raclette 18 est en contact avec la surface du  rouleau 15 et élimine l'excès de liquide pouvant y adhé  rer. Lorsque le rouleau 15 entre en contact avec     la.    feuille  10, le liquide 17 est déposé sur la feuille et forme un revê  tement 19. Le rouleau 14 agit comme contre-rouleau du  rouleau 15 de manière à assurer un dépôt uniforme de la  couche 19 sur la feuille. La feuille imprimée est alors       amenée    autour d'une série de rouleaux 20 à 28 qui sont  disposés suivant une configuration en arc de     cercle    et qui  guident la feuille revêtue sur un tambour 29 sur lequel la  couche de revêtement en matière plastique est séchée et  durcie.

   Ce     procédé    de revêtement permet l'application de  couches excessivement minces et uniformes à des vitesses  très élevées.  



  L'appareil représenté à la     fig.    1 est en particulier utili  sable pour l'application d'un revêtement de chlorure de       polyvinylidène    sur la feuille de support 10, et l'épaisseur  du revêtement ainsi appliqué est régie par la profondeur    des dépressions dans le rouleau d'impression 15. Lorsque  les dépressions dans le rouleau d'impression 15 sont rela  tivement peu profondes, il est possible de recouvrir la  feuille 10 d'une couche de     chlorure    de     polyvinylidène     ayant une épaisseur de l'ordre de 2,5 microns.

   Le liquide  de revêtement peut naturellement prendre diverses for  mes, bien qu'une forme particulièrement bonne soit cons  tituée par un latex dans lequel environ 90 % en poids du  chlorure de     polyvinylidène    et 10 % en poids de     l'acryloni-          trile    ont été     copolymérisés    ensemble. Ceci produit un       revêtement    élastique qui peut être gaufré aisément.

   Les  dimensions de     particules    de la matière ne doivent de pré  férence pas dépasser 0,25 micron et le mélange est alors  combiné avec un agent     d'émulsionnement    et de l'eau de  manière à obtenir un latex ayant une viscosité appro  priée à l'application sur la feuille 10 au moyen d'un rou  leau d'impression comme décrit ci-dessus.

   Bien qu'il soit  possible     d'utiliser    un solvant à la place de l'eau et de  l'agent     d'émulsionnement    pour la production de latex       liquide,    il est important que le solvant     n'attaque    pas la  feuille de support et ne pénètre pas dans celle-ci, étant  donné que dans de telles circonstances, la feuille aurait  tendance à absorber le solvant et il serait alors difficile  d'éliminer ce solvant de la feuille et en outre     cela    pren  drait beaucoup de temps. Dans le cas où la feuille     n7ab-          sorbe    pas le solvant, on peut utiliser une solution de la  matière plastique à la place du latex.  



  A mesure que la feuille 10 avec le revêtement de latex  19 sur sa     surface        pwsse    sur les rouleaux 20 à 28 qui sont  de préférence     entraînés    à une vitesse uniforme, les     îlots     individuels du latex déposés par le rouleau d'impression  15 s'étalent sur la     surface    de la matière de support et pro  duisent un revêtement uniforme. Le chauffage initial de  la pellicule est effectué au moyen de radiateurs à infra  rouge 30, 31 et 32 qui chauffent la feuille de support et la  couche déposée à une température sensiblement infé  rieure à     celle    du point de fusion de la feuille.  



  Le tambour 29 autour duquel on amène la     feuille    10  revêtue est de préférence maintenu à une température  suffisamment élevée pour empêcher une perte excessive  de chaleur des stratifiés et pour ne     pas    faire fondre  cependant la couche de support. La couche 19 est durcie  et séchée pendant qu'elle passe autour du tambour 29  au moyen de plusieurs jets d'air 33 et 34. Les jets d'air  33 sont obtenus au moyen de plusieurs orifices très voi  sins formés dans un tube transversal 35, tandis que les  jets 34 sont obtenus au moyen de plusieurs     orifices    dans  un tube     adjacent    36 disposé latéralement.

   Les     tubes    35  et 36 sont reliés à une tubulure centrale 37 et chaque  paire de tubes 35 et 36 est logée ensemble avec la tubu  lure     commune    37 dans une enveloppe 38. On     alimente     en air chaud plusieurs des tubulures 37 au moyen d'une  canalisation maîtresse primaire 39.     Grâce    à cet agence  ment, les jets d'air chaud arrivent sur la couche 19à me  sure que la matière passe sur le tambour 29.  



  Lorsqu'on utilise une émulsion de chlorure de     poly-          vinylidène    la     température    de l'air provenant des jets 33  et 34 doit de     préférence    être de l'ordre de 149  à 2040 C.

    Ceci produit une élévation de la température du revête  ment de     polyvinylidène    et en même temps le tambour 29  maintient la feuille de     support    à une température infé  rieure au point de fusion de     cette        matière.    En utilisant  du polyéthylène comme matière de support, on a trouvé  que pour un     tambour    ayant environ 137 cm de diamètre  et pour une matière de support se déplaçant à une vitesse  d'environ 305 m par minute, les éléments de chauffage à      rayonnement infrarouge 30 à 32 doivent émettre suffi  samment de chaleur pour élever la température du revê  tement de latex à une valeur qui ne dépasse pas 79,5  C.

    Des températures de l'air de 149 à     204     C produisent  alors le séchage complet et le     durcissement    du revête  ment. Pour des feuilles de support ayant un point de  fusion supérieur, on peut utiliser des températures de  chauffage supérieures.  



  Après que la feuille émerge du dernier jet d'air, elle  est enlevée du tambour 29 au moyen d'une série de rou  leaux entraînés 40 à 44, les rouleaux 40 et 42 étant refroi  dis de manière à amener le stratifié 10' à la température  ambiante.  



  Le stratifié     terminé    10' est représenté sur la     fig.    2 et  on remarquera en     ce    qui concerne cette vue en coupe  fortement agrandie que la couche 19 est très mince en  comparaison du matériel de base 10.  



  Le stratifié 10' ainsi produit peut être utilisé pour la  production d'un stratifié à trois couches, la couche cen  trale étant     imperméable    aux gaz et à la vapeur d'eau,  tandis que les couches extérieures peuvent être     scellables          thermiquement    à des températures relativement basses.  Dans ce but, le stratifié 10' peut comprendre une couche  de base relativement mince 10 ayant par exemple une  épaisseur de 25,4 microns et la couche de latex 19 peut  avoir une épaisseur de l'ordre de 1/10000 de l'épaisseur  de la couche de base.

   Le stratifié 10' complet peut être  enroulé sur une bobine, la couche imperméable étant  dirigée vers l'intérieur ou il peut être amené directe  ment au dispositif pour la fabrication du matériel cellu  laire tel que représenté dans les     fig.    7 et 8.  



  En     ce    qui     concerne    l'appareil représenté sur la     fig.    3,  on assemble deux feuilles du stratifié 10' de manière à  former un stratifié à trois couches. L'appareil de la     fig.    3  comprend une paire de tambours 45 et 46 qui sont de  préférence maintenus à une température nettement infé  rieure au point de fusion de la couche de support pou  vant être scellée     thermiquement    des feuilles qu'on assem  ble. Dans le cas du polyéthylène, la température ne doit  de     préférence    pas dépasser     821,    C.

   En dessous du tam  bour 45 il y a une série de trois rouleaux 47, 48 et 49       entraînés    sur lesquels on amène un stratifié. Un ensemble  similaire de rouleaux 50, 51 et 52 est disposé en des  sous du tambour 46.  



  Le     stratifié    10'a est amené sur un rouleau de guidage  53, de là vers le haut autour du tambour 45 et autour  des rouleaux 47 à 49. Une série d'éléments de chauffage  54 à 58 à     chaleur    radiante est disposée de manière adja  cente au trajet de la pellicule à partir du rouleau 10'A et  autour du tambour 45 de manière à chauffer la feuille  de support et la couche     imperméable,    par exemple en       chlorure    de     polyvinylidène,    à une température non supé  rieure<I>à 79,50 C.</I> On a trouvé que les éléments de chauf  fage émettant un rayonnement ayant des longueurs  d'onde dans l'infrarouge dans le domaine approximatif  de 3,2 à 3,5 microns produisent de bons résultats.  



  Le stratifié 10'b provenant d'un deuxième rouleau  est amené autour d'un rouleau de guidage 59 et de là  vers le haut autour du tambour 46 et des rouleaux 50 à  52. Un ensemble similaire d'éléments de chauffage 60 à  64 à chaleur radiante est disposé le long du trajet du  stratifié 10'b à partir -du rouleau et autour du     tambour     46 de     manière    à chauffer la feuille de support et la cou  che de     polyvinylidène    de la même manière que celle  décrite pour le stratifié 10'a. Les rouleaux 47 à 49 et  50 à 52 sont de     préférence    refroidis de manière à ame  ner la température de la couche de     polyvinylidène    à    environ 160 C, après son chauffage par les éléments de  chauffage infrarouges.

   Il en résulte que le     polyvinylidène     devient amorphe et cet état durera pendant des heures.  



  On fait     alors    passer les stratifiés     10'a    et 10'b sur des  rouleaux 65 et 66 et on les amène ensemble entre des  rouleaux de pression 67 et 68, les revêtements de     poly-          vinylidène    étant en contact l'un avec l'autre. En opérant  ainsi, il y a une adhérence solide et permanente des  deux couches l'une sur l'autre, de sorte que les revête  ments de     polyvinylidène    sont assemblés de manière à       former    en fait une couche unique centrale. La pellicule  est alors amenée par des rouleaux 69, 70, 71 et 72 sur  une bobine 73 sur laquelle le stratifié terminé est enroulé.

    Une vue en coupe transversale fragmentaire du stratifié  complet est montrée à la     fig.    4 et on observera que la cou  che de     vinylidène    19' est sensiblement homogène et est  relativement     mince    en comparaison des couches super  ficielles. Lorsqu'on utilise des feuilles de base d'une  épaisseur de l'ordre de 12,7 microns, l'épaisseur totale  du stratifié composite sera légèrement supérieure à 25,4  microns.  



  Le stratifié ainsi produit peut être réalisé à des vites  ses     extrêmement    élevées de l'ordre de 305 m par minute  et il est évident qu'on peut opérer en combinaison avec  un appareil tel que représenté sur la     fig.    1 pour la pro  duction continue du produit stratifié plastique en trois  couches sans qu'il soit     nécessaire    de manipuler le maté  riel de base revêtu entre les stades du     procédé.     



  L'appareil de la     fig.    5 permet la production d'un stra  tifié à trois couches.  



  Dans cette forme d'exécution, deux tambours 74 et  75 correspondant aux tambours 45 et 46 de la     fig.    3  sont disposés de manière adjacente et sont     espacés    d'une  distance légèrement inférieure à la     distance    totale des  deux stratifiés 10'a et 10'b devant être assemblés l'un  à l'autre. De cette manière, les deux stratifiés sont soumis  à une pression afin d'effectuer l'assemblage.

   On fait pas  ser les stratifiés 10'a et 10'b autour de rouleaux 76 et 77  respectivement, à partir de là vers le haut autour des  tambours 74 et 75 et on fait alors passer le stratifié as  semblé autour de rouleaux de refroidissement 78, 79 et  80.     Les    deux stratifiés 10'a et 10'b sont de préférence  amenés sur les tambours 74 et 75 et autour de ces tam  bours, le revêtement de     polyvinylidène    étant sur les côtés  extérieurs. Les revêtements et la feuille de support sont  chauffés par des éléments de chauffage infrarouges 81 à  87 de manière à élever la température des revêtements  au moins à environ     121-135     C.

   Lorsque les revêtements  de     polyvinylidène    sur les feuilles sont amenés ensemble  dans cet     état    chauffé, ils adhèrent et les rouleaux 78 à 80  sont refroidis de manière à abaisser immédiatement la  température du stratifié de préférence à une température  inférieure à 380 C. Le stratifié final passe alors sur des  rouleaux 88, 89, 90 et 91 et est enroulé sur une  bobine 92.  



  Dans certains cas, il est désirable d'utiliser un vernis  sur la matière de base afin de produire une meilleure       adhérence    entre le revêtement     imperméable    et la ma  tière de base, par exemple une résine époxy ou une  autre résine ayant une base de     butadiyne    telle que la  combinaison de chlorure de polyvinyle et du     butadiyne.     Dans la plupart des applications, il est désirable d'utili  ser une dispersion de la résine dans l'eau bien qu'il soit  possible d'utiliser une solution à condition cependant que  le solvant n'attaque pas la matière de base ou de support  comme décrit ci-dessus.

        La formation de stratifiés plastiques en utilisant une  première couche de vernis est illustrée par la     fig.    6 dans  laquelle la matière de support ou de base est désignée  par le nombre de référence 93. Elle est     amenée    à partir  d'un rouleau 94 autour de rouleaux 95 et 96 sur un rou  leau d'impression 97. Le rouleau     d'impression    97 a une  partie de son pourtour immergée dans un     bain    98 conte  nant le vernis précité, et la quantité de vernis qui adhère  au rouleau est réglée par une raclette 99 et la profon  deur des     dépressions    dans le rouleau d'impression.

   Un  rouleau de pression 100 coopère avec le rouleau d'im  pression 97 de     sorte    qu'une certaine pression est appli  quée sur le stratifié pour assurer une     application    uni  forme du vernis sur la matière de support ou de base 93.       Après    revêtement de la matière de support 93, celle-ci  passe vers le haut devant des éléments de chauffage 101  et 102 à chaleur radiante et de là autour d'un tambour  103.

   Il est préférable de maintenir le tambour 103 à une  température inférieure au point de fusion de la matière  de support 93 comme     décrit    en liaison avec les formes  d'exécution     précédentes.    Un     élément    de construction 104  qui entoure une portion de la périphérie du tambour 103  est identique à l'élément de construction entourant le  tambour 29 représenté dans la     fig.    1 et fournit plusieurs  jets d'air amenant de l'air chauffé sur le revêtement.  



  Un exemple d'un     vernis    satisfaisant est constitué par  une dispersion de     po:lyvinylidène    contenant une résine  partiellement polymérisée et environ 40 % de solides tels  que la silice colloïdale. Après chauffage du revêtement  de vernis et refroidissement d'une manière sensiblement  identique à celle du revêtement de     latex    de     po:lyvinyli-          dène    décrite ci-dessus, le stratifié passe sur les rouleaux  106 à 109 pour un revêtement de latex de     polyvinylidène     comme décrit dans la     fig.    1.  



       L'application    du revêtement de     polyvinylidène    et son  durcissement sont     réalisés    d'une manière identique à celle  représentée et décrite en liaison avec la     fig.    1, et en     con-          séquence    on a utilisé des nombres de     référence    avec des  signes primes, identiques pour identifier les éléments  correspondants des     fig.    1 et 6.

   Le     polyvinylidène    est par  exemple appliqué par le rouleau d'impression 15' en  coopération avec le contre-rouleau 14',     la        pellicule    passe  alors sur le rouleau 20' et     passe    ensuite vers le haut  devant les éléments de chauffage 31' et 32' à chaleur  radiante et autour du rouleau 29', des jets d'air chaud 33'  et 34' frappant pendant     cette    période de temps la cou  che de manière à     effectuer    le durcissement. Le matériel  chauffé est alors enlevé du tambour 29' et se déplace sur  le tambour de refroidissement 42' et à partir de là sur les  rouleaux 43' et 44' vers la bobine 110.  



  Le stratifié résultant 111 qui contient une feuille de  support avec des revêtements successifs formés d'une  première couche de résine et d'une résine     imperméable     telle que du     polyvinylidène    peut alors être utilisé sous  cette forme pour l'emballage et pour d'autres     applica-          tions    ou on peut assembler deux stratifiés 111 de     ce     genre de manière à produire un matériel composite au  moyen des procédés et dispositifs représentés et décrits  en liaison avec les fi-.<B>3</B> et<B>5.</B>  



  Il est évident à partir de     ce    qui précède que le stra  tifié peut être fabriqué à des vitesses     excessivement    éle  vées et qu'il faut des quantités relativement faibles de  résine imperméable afin de produire un stratifié plus  efficace présentant simultanément des caractéristiques       importantes    de résistance et d'aptitude au     scellage    à  chaud.

   L'utilisation de quantités relativement faibles de  résine imperméable telle que du     polyvinylidène    augmente    très peu le     prix    de revient résultant du matériel sous  forme de feuilles et la mise en     oeuvre    réelle a montré  que les grands avantages obtenus ont plus que compensé  les faibles frais supplémentaires.  



  Les stratifiés décrits ci-dessus sont relativement lé  gers et     sensiblement    imperméables vis-à-vis des gaz et de  la vapeur d'eau. Ces stratifiés sont particulièrement utili  sables pour la     fabrication    de matériels cellulaires, par  exemple des stratifiés où au moins l'une des feuilles est  bosselée de     manière    à obtenir plusieurs bosses ou parties  saillantes scellées par une feuille dorsale.  



  L'appareil représenté sur la     fig.    7 est particulièrement  utile pour la     formation    de matériels     cellulaires    avec les       stratifiés    décrits ci-dessus dans lesquels les couches ayant  les points de fusion les plus bas doivent être soudées  l'une sur l'autre. Ceci     implique    naturellement le scellage  ou soudage de deux stratifiés à trois couches tels que  représentés dans la     fig.    4, de deux stratifiés à deux cou  ches ou de combinaisons de     stratifiés    à deux couches et .

    à trois     couches.    Cette forme d'exécution de l'invention  peut aussi être utilisée pour du chlorure de polyvinyle  revêtu de     saran,        les        surfaces    de     saran    des stratifiés étant  soudées l'une à l'autre.

   Bien que     l'appareil    de la     fig.    7  ait été représenté     comme    appareillage distinct, il est évi  dent qu'il peut être combiné avec une forme appropriée       d'appareillage    de revêtement ou de formation de strati  fiés tel que représenté     dans    les     fig.    1, 3, 5 et 6 de sorte  que     les    feuilles     plastiques    sont chacune revêtues et sont  ensuite automatiquement amenées dans le dispositif pour  la formation du matériel cellulaire,     ce    qui évite la mani  pulation du produit intermédiaire.

   En outre, en raison  des procédés     améliorés    de formation de stratifiés tels que  représentés dans les figures     précédentes,    on peut régler  la vitesse du procédé de formation du stratifié et la met  tre en     accord    avec la vitesse du dispositif pour la forma  tion du matériel     cullulaire.     



  En se référant maintenant à la     fig.    7, on voit que des  stratifiés de matière plastique 120, 121 devant être     trans-          formés    en matériel     cellulaire    proviennent de rouleaux  120' et 121'     respectivement.    La bande plastique prove  nant du rouleau 120' est amenée sur un rouleau 122 et  à partir de là sur une série de rouleaux 123 à 129 qui  sont de     préférence    des rouleaux     entraînés    de manière à  éviter toutes les contraintes non nécessaires en     ce    qui       concerne    la bande à mesure qu'elle est chauffée.  



  Plusieurs éléments de     chauffage    130 à 135 à chaleur  radiante sont disposés entre les paires de rouleaux 123 à  <B>129</B> et servent à élever graduellement la température du  stratifié 120. Les rouleaux 123 à 129 sont tous recouverts  d'une matière non     conductrice    à     résistance    élevée à la  chaleur telle que du     .téflon    ou une matière     analogue    pour  empêcher toute adhérence possible du stratifié plastique  120 aux rouleaux. Le chauffage des éléments de chauf  fage 130 à 135 est également réglé en accord avec le  point de fusion de ce stratifié.

   Dans le cas du polyéthy  lène par exemple     la    température du stratifié 120 doit       être    au voisinage de 180 à     200     C au moment où il  arrive sur un rouleau terminal 136, laquelle est nette  ment inférieure au point de fusion du polyéthylène. Dans  le     cas    de     saran    et de     chlorure    de polyvinyle, la tempé  rature est un peu plus élevée étant donné que les points  de fusion de     ces    matières plastiques sont supérieurs.  



  Le stratifié 120 passe alors autour du rouleau 136 et  des rouleaux<B>137</B> et 138, tous ces rouleaux étant de pré  férence revêtus d'une matière qui empêche     l'adhérence     de la matière plastique     chauffée.    On a trouvé que le té-      flou était très efficace dans ce but. Les trois rouleaux  136 à 138 sont tous chauffés de préférence à des tempé  ratures augmentant graduellement de sorte que la tempé  rature du stratifié 120, au moment où il est appliqué sur  le rouleau 139 de bossellement ou gaufrage, est telle que  la température de la     surface    extérieure lorsqu'elle se  trouve sur le rouleau de bossellement 139 est de préfé  rence voisine du point de fusion.

   On a trouvé désirable  d'éviter d'amener le     stratifié    120 à la température de son  point de fusion ou à une température supérieure, étant  donné qu'on a trouvé que le rouleau 139 effectuant le  bossellement au moyen d'un vide peut produire des trous  très fins dans la matière plastique lorsque la température  est trop élevée au moment où cette matière est appliquée  sur le cylindre de bossellement. En dépit de la tempéra  ture inférieure du stratifié 120 lorsqu'il est appliqué sur  le rouleau 139 de bossellement au moyen du vide, la réu  nion par fusion du stratifié bosselé 120 avec la couche  dorsale 121 est effectuée d'une manière qui sera décrite.  



  Le     cylindre    139 de bossellement ou de gaufrage peut  avoir toutes les dimensions ou toutes les configurations  désirées ; il est désirable cependant que sa surface con  tienne plusieurs dépressions discrètes ayant les dimen  sions et les configurations des bosses ou parties saillantes  devant être réalisées dans le stratifié 120, qu'il soit fabri  qué en une matière conductrice de la chaleur telle que  de l'aluminium ou une matière analogue. En plus, le rou  leau comprend un moyen permettant de maintenir sa  température à un niveau déterminé pendant tout le pro  cédé, qui est inférieur au point de fusion de la couche  plastique en contact avec le cylindre.  



  Une feuille plastique dorsale 121 est amenée à par  tir d'un rouleau 121' et on la fait passer sur un rouleau  140 et sur des rouleaux 141 à 145 revêtus de téflon, cha  cun de ces rouleaux étant entraîné. Plusieurs éléments  de chauffage 146 à 149 à chaleur radiante, qui sont des  éléments de chauffage à rayonnement infrarouge élè  vent la température de la feuille plastique à une tempé  rature un peu inférieure au point de fusion de     celle-ci.     La feuille 121 est alors amenée autour d'un rouleau 150  de chauffage     revêtu    de téflon et à partir de là autour  d'un rouleau<B>151</B> revêtu de silicone.

       Le    rouleau<B>151</B> est  de préférence maintenu à la température ambiante ou à  une température     inférieure    à la température ambiante et  il agit de manière à maintenir le côté arrière de la feuille  121 à une température sensiblement inférieure à son  point de fusion. En même temps, un élément de chauf  fage<B>152</B> à chaleur radiante, recourbé autour de la sur  face du rouleau 151, chauffe la surface extérieure de la  feuille 121 à une température sensiblement supérieure à  la température de soudage ou     scellage    de la surface de  cette feuille.

   En supposant par exemple que les couches  plastiques devant être soudées l'une à l'autre au moyen  du dispositif représenté sur la     fig.    7 aient une tempéra  ture de soudage d'environ 151,5 C, le stratifié 120 est  de     préférence    chauffé dans ces conditions à une tempé  rature d'environ 1490 C pour l'application sur le cylin  dre de bossellement. Cette température est inférieure à la  température de soudage ou scellage ce qui empêche la  possibilité d'un endommagement de la feuille pendant le  procédé de bossellement.

   Simultanément, la feuille 121  est chauffée en ce qui     concerne    sa     surface    extérieure à  une température de 154  C ou supérieure de sorte que la       surface    de la pellicule peut être à l'état fondu ou très  voisine du point de fusion. Cependant la feuille 121 ne  subit pas de distorsion ou n'est pas     endommagée    étant       donné    que le rouleau 151 maintient le côté arrière de la    pellicule à une température qui est bien inférieure à son  point de soudage.

   Dans ces conditions, la surface chauf  fée de la feuille 121 est suffisante pour élever momenta  nément la température de la surface extérieure du strati  fié 120 lorsqu'il est sur le rouleau de bossellement de  sorte que les surfaces de contact des deux     feuilles    se  trouvent à la température d'assemblage par soudage ou  à une température supérieure et sont assemblées ensem  ble de manière permanente, les parties bosselées du stra  tifié 120 étant     scellées    individuellement.  



  Un autre facteur important pour effectuer un bon  soudage entre les deux éléments 120 et 121 réside dans  le réglage de la     température    du rouleau de bossellement  <B>139.</B> On a trouvé que la température optimale pour le  rouleau 139 varie selon la vitesse de fonctionnement et  l'épaisseur des feuilles. Habituellement, lorsqu'on utilise  des feuilles de polyéthylène de 25 microns, la tempéra  ture du rouleau 139 peut aller jusqu'à 1800 C lorsque la  machine est mise en route. A mesure que la température  se stabilise dans la machine, et lorsqu'on opère à une  vitesse de l'ordre de 61 m par minute, la température  peut être diminuée sensiblement à une température voi  sine de     100     C et même à une température inférieure.

    Pour des vitesses supérieures, on peut maintenir des  températures encore plus basses dans le rouleau 139 et  naturellement pour des feuilles plus lourdes, on peut  aisément maintenir des températures plus faibles. Il est  désirable de maintenir une température aussi faible que  possible du rouleau 139 sans influencer défavorablement  le soudage entre les deux feuilles étant donné qu'il est  désirable     d'effectuer    un certain refroidissement des bos  ses ou parties saillantes tandis qu'elles se trouvent sur le       cylindre    de bossellement et d'éviter l'accumulation de  chaleur dans le cylindre qui peut conduire à un endom  magement des parties saillantes.  



  Le matériel cellulaire     terminé    153 est refroidi par des  jets d'eau ou d'air 139' et il est enlevé du cylindre 139 au  moyen d'une série de rouleaux de refroidissement 154,  155 et 156 qui abaissent encore davantage la température  du produit     terminé,    lequel est amené sur le rouleau 157  et ensuite sur une bobine 158 appropriée.  



  L'appareil représenté dans la     fig.    7 est particulière  ment utile pour l'obtention de matériel cellulaire à partir  de stratifiés tels que ceux représentés aux     fig.    11 et 12  dans lesquelles la matière imperméable est désignée de  manière générale dans chaque figure par la lettre I tan  dis que la matière de     support    est désignée par la lettre  B et où la matière de support B a habituellement un  point de fusion inférieur à celui de la matière imperméa  ble I.

   Même dans les cas où le point de fusion de     la     matière de support peut être légèrement supérieur à celui  de la matière I, il est possible d'utiliser le dispositif indi  qué     dans    la     fig.    7 étant donné que la température du  stratifié 120, du fait de l'application sur le cylindre 139  de bossellement, est généralement légèrement inférieure à  celle du point de fusion de la couche de matière devant  être soudée ou scellée,

   tandis que la feuille 121 est refroi  die par passage sur le rouleau 151 sur son côté arrière et  est chauffée par un élément de chauffage 152 sur le côté  extérieur de sorte que la     surface    au moins de la couche  extérieure qui est scellée ou soudée sur la feuille bosselée  120 aura une température qui est de préférence légère  ment supérieure à son point de fusion comme décrit  ci-dessus.  



  Lors de la fabrication du matériel cellulaire tel que  représenté dans la     fig.    11, où la couche imperméable 1      fond à une température supérieure à celle de la couche  de support B et est dans un état amorphe, on peut utili  ser un mode de soudage plus avantageux des deux cou  ches l'une sur l'autre décrit en liaison avec l'appareil  représenté dans la     fig.    8 du dessin. Dans     cette    figure, les  stratifiés 10'a et 10'b devant être soudés l'un sur l'autre  sont formés par exemple comme décrit en liaison avec la       fig.    1.

   Les stratifiés sont amenés à partir de rouleaux 160  et 161, le stratifié 10'a étant amené autour d'un rouleau  162 et passant ensuite vers le haut devant les éléments de  chauffage 163 et 164 à chaleur radiante et à partir de là  autour d'un rouleau 165 et d'un grand tambour 166. En  supposant que chacun des stratifiés 10'a et 10'b com  prend une couche de base de polyéthylène et une cou  che     superficielle    de     saran,    le     saran    se trouve alors sur la       face    gauche du stratifié 10'a comme indiqué dans la     fig.    8  et sur le côté droit du stratifié 10'b.

   Ainsi, les     éléments     de chauffage 163 et 164 à chaleur radiante     chauffent     principalement le     saran    à une température au voisinage  de 82 à 930 C. Le cylindre 166 est     chauffé    à une tempé  rature suffisamment élevée pour amener le revêtement  de     saran    à une température de l'ordre de 101,50 C à  107  C.

   La matière     chauffée    est alors appliquée sur le  cylindre de bossellement 167 lequel est     chauffé    d'une ma  nière décrite ci-dessus.     Le    cylindre de bossellement ou de  gaufrage 167 est sensiblement identique au cylindre 139  représenté et décrit dans la     fig.    7 et la couche bosselée  10'a est alors refroidie par une courroie de refroidisse  ment 168 qui est en contact étroit avec la     surface    du  cylindre de bossellement 167 et est     entra"mée    par les rou  leaux 169, 170, 171, 172 et 173,

       ce    dernier étant maintenu  à une température suffisamment basse pour amener le  revêtement de     saran    jusqu'à la température     ambiante    et  de préférence à une température     inférieure    à     celle-ci    et  pour amener ainsi     ce        saran    à un état amorphe.  



  Le deuxième stratifié 10'b qui doit être soudé sur  l'extérieur du stratifié bosselé 10'a pendant qu'il se trouve  sur le cylindre 167 de gaufrage, est entraîné par le rou  leau 174 vers le haut et passe devant des éléments de  chauffage 175 et 176 à chaleur radiante et ensuite autour  d'une série de rouleaux 177, 178, 179 et 180.     Etant    donné  que la couche de     saran    sur le stratifié 10'b se trouve sur  le côté droit comme on le voit dans la     fig.    8, les éléments  de chauffage 175 et 176     chauffent    le revêtement de     saran     à une température de l'ordre de 930 C comme dans le  cas des éléments de chauffage 163 et 164.

   Le rouleau du  cylindre 178 est chauffé à une température     suffisamment     élevée de manière à augmenter la température du     saran     à environ 101,5 à     1071,    C. Le rouleau 178 de même que  le rouleau 166 est de préférence revêtu de téflon afin  d'empêcher toute adhérence possible des couches sur ces  rouleaux de chauffage.

   Le stratifié chauffé 10'b quittant  le rouleau 178 se déplace autour de rouleaux 179 et 180  qui réduisent la température de la couche de     saran    au  voisinage de la température ambiante et de     préférence    à  une température plus faible, et la matière refroidie qui  se trouve alors dans l'état amorphe est     amenée    autour  d'un rouleau 181 et sur le stratifié 10'a gaufré et refroidi.

         Etant    donné que les deux revêtements de     saran    sont  dans un état     amorphe,    on obtient un soudage permanent  par contact des deux couches et le matériel fini est alors  enlevé du cylindre de bossellement au moyen d'une série  de rouleaux 182, 183, 184 et 185 et est enroulé sur une  bobine appropriée 186.  



  Le matériel fabriqué     grâce    au procédé et au disposi  tif représentés dans la     fig.    8 est représenté dans la     fig.    11  et on observera que les couches imperméables 1, qui     dans       la présente     forme    d'exécution sont     constituées    par du       saran,    sont complètement     enfermées    dans les couches de  base telles que du polyéthylène ou du polyvinyle.  



  Comme indiqué ci-dessus, certaines formes d'exé  cution de     l'appareil    peuvent être utilisées dans un     pro-          cédé    unique continu pour la fabrication d'un stratifié       plastique    et la transformation immédiatement subsé  quente des stratifiés en un matériel cellulaire. On peut  par exemple     utiliser    le procédé et l'appareil de     la.        fig.    1  avec le     procédé    et l'appareil indiqués dans     la        fig.    7 sous  forme d'un procédé unique permettant la     fabrication    con  tinue du matériel cellulaire.

   En opérant ainsi, il est pos  sible     d'éliminer    certaines des opérations de     chauffage    et  de refroidissement et     d'obtenir    ainsi un     procédé    plus       efficace.     



  Un appareil pour la formation de stratifiés plastiques  et la transformation     immédiatement    subséquente en un  matériel cellulaire est représenté dans la     fig.    9. Dans la  mesure oh     certains    éléments de la     fig.    9 correspondent à  des éléments des     fig.    1 et 7, on a utilisé des nombres  identiques additionnés de   200  pour désigner     ces    élé  ments dans la     fig.    9.

   Le rouleau d'impression 15 de la       fig.    1 est par exemple désigné dans la     fig.    9 par 215 et le  rouleau de gaufrage ou bossellement 139 de la     fig.    7 est  désigné par le nombre de référence 339.  



  L'appareil de la fi-. 9 peut être utilisé pour la fabri  cation d'une     grande    variété de stratifiés et en particulier  pour le revêtement de pellicules ou feuilles de polyéthy  lène et de chlorure de polyvinyle au moyen d'une matière       plastique    imperméable telle que du     saran.    Comme     cela     deviendra évident,

   les     revêtements    de     saran    peuvent ou  bien être soudés à chaud de     manière    à assembler deux  feuilles en matière plastique à revêtement pour la forma  tion d'un matériel cellulaire ou l'assemblage peut être       effectué    en amenant les revêtements de     saran    à un état  amorphe. Dans la description     précédente    d'autres for  mes d'exécution, les températures et le traitement thermi  que pour effectuer l'assemblage des stratifiés     plastiques     ont été décrits et les mêmes principes s'appliquent dans  le cas du dispositif de la     fig.    9.  



  Les feuilles de matière plastique devant être revêtues  sont désignées par les nombres 210a et 210b et sont trai  tées     simultanément.    On fait passer la     feuille    210a sur des  rouleaux 211 et 212 et de là entre un rouleau d'impres  sion 215 et un contre-rouleau 214. Le rouleau d'impres  sion 215 est immergé dans un bain 216 qui peut être  constitué par une émulsion de     saran    et     une    raclette 218       élimine        l'excès        d'émulsion    sur la surface du rouleau 215.

    La feuille     imprimée    210 passe alors sur les rouleaux 220  ,à 228 et en dessous des éléments de chauffage 230 à  232 à chaleur     radiante.    Le stratifié     séché    se déplace alors  autour du     cylindre    229 et le revêtement subit un séchage  supplémentaire au moyen de jets d'air chaud provenant  d'un logement 239 comme décrit ci-dessus en liaison     avec     la     fig.    1.

   Le     stratifié,    lorsqu'il quitte le cylindre 229 pen  dant qu'il est dans un état     chauffé,    se trouve à une tem  pérature     inférieure    au point de fusion du     saran.        Afin     d'élever     la.    température du stratifié à une     température     appropriée de moulage et d'assemblage par     fusion,    la  pellicule passe sur des rouleaux 336, 337 et 338 qui peu  vent être     chauffés    à des températures     successivement     croissantes, puis on l'amène sur un     cylindre    339 de bos  sellement au moyen du vide.  



       La    deuxième feuille 210b est     traitée    d'une manière  sensiblement identique à celle de la feuille 210a et les       éléments    pour le traitement de la feuille 210b sont dési  gnés par les nombres correspondants     affectés    du signe      prime.

   Après que la feuille 210b a quitté le tambour 229',  elle passe sur trois rouleaux de chauffage 336', 337' et  338' et à     partir    de là autour d'un rouleau refroidi 351  ayant un revêtement élastique 351a de     préférence    en un  caoutchouc de silicone de manière à obtenir une pression  de serrage sensiblement     uniforme    sur toute sa     surface    de  contact avec le cylindre 339 de bossellement ou de gau  frage.

   Un dispositif final de chauffage 352 entourant une  partie de la périphérie du rouleau 351 chauffe la     surface     extérieure de la feuille 210b à une température supérieure  à la     température    d'assemblage par fusion de manière à  effectuer un soudage avec la feuille gaufrée 210a et à  obtenir plusieurs cellules     scellées.    La température du  cylindre 339 est de     préférence    réglée à un niveau infé  rieur à la température de bossellement de la     feuille    210a.  A des vitesses     relativement    élevées, la température du  cylindre 339 peut être réduite à une température de l'or  dre de 38  C et même à une température inférieure.

   En  plus, des jets d'eau ou de gaz 339' de refroidissement  peuvent être utilisés pour assurer un refroidissement suf  fisant du matériel stratifié ainsi qu'une adhérence perma  nente entre les deux pellicules ou     feuilles    revêtues.. On  fait alors passer le matériel     fini    autour de rouleaux 354,  355 et 356 de refroidissement et on le fait ensuite passer  sur un rouleau 357 puis sur la bobine 358. Le matériel  fini correspond alors au produit indiqué dans la     fig.    11  bien que les bosses ou parties saillantes puissent avoir des  configurations autres que des configurations hémisphé  riques.  



  Le dispositif de la     fig.    9 peut aussi être utilisé pour  un procédé modifié pour le scellage ou soudage des  feuilles plastiques revêtues 210a et 210b, lorsque le revê  tement appliqué sur les feuilles comporte un état amor  phe tel que     dans    le cas du     saran.    Ce mode     opératoire     modifié fait intervenir le     chauffage    des revêtements de       saran    au moins à une température de l'ordre de 101,5  C  et ensuite le refroidissement rapide des revêtements à  une température bien inférieure à la température am  biante et de préférence de l'ordre de 40 à     161,    C.

   Le  refroidissement de la feuille 210a peut être effectué par  l'utilisation d'une courroie de refroidissement 168 comme  indiqué à la     fig.    8, laquelle agit de     manière    à refroidir la  feuille bosselée ou gaufrée 210a tandis qu'elle est sur le  cylindre de gaufrage ou bossellement 339. La feuille 210b  est alors     surfondue    au moyen de rouleaux 336', 337' et  338' et un rouleau 351 agit uniquement pour amener la  feuille 210b en contact de pression     avec    la feuille 210a  sur le cylindre de gaufrage 339. Avec cette disposition, il  n'est pas nécessaire de refroidir les rouleaux 354, 355 et  356 mais on peut les maintenir à température     ambiante.     



       L'appareil    représenté à la     fig.    10 permet un procédé  continu pour revêtir simultanément quatre feuilles plasti  ques séparées d'une matière plastique contenant du     saran     ou une matière analogue, de transformer en stratifiés  deux paires de feuilles de manière à obtenir un matériel  à trois couches comme décrit en liaison avec la     fig.    3 et  de réaliser ensuite un matériel cellulaire à partir des  deux stratifiés de manière à obtenir un produit fini qui  est sensiblement identique à celui indiqué par exemple  dans la     fig.    12 du dessin.  



  Les quatre feuilles qui sont traitées simultanément  sont désignées par les nombres de référence 410a, 410b,  410c et 410d. La feuille 410a est amenée par l'intermé  diaire des rouleaux 411a et 412a sur un rouleau d'im  pression 413a comportant une raclette 414a. Le rouleau       d'impression    413a est partiellement immergé dans un    bain 415a contenant un latex tel que la combinaison de       polyvinylidène    et d'acrylonitrile comme décrit précédem  ment. Un contre-rouleau 416a coopère avec le rouleau  d'impression 413a de manière à déposer le latex sur la  pellicule 410a.

   La feuille revêtue passe alors sur les rou  leaux 417a à 423a et les éléments de chauffage 424a,  425a et 426a à infrarouge agissent de manière à éliminer  une partie de l'humidité du revêtement     comme    décrit en  liaison avec la     fig.    1. La feuille passe alors autour d'un  tambour 427a     comportant    un dispositif 428a à jets d'air  correspondant au dispositif 39 décrit en liaison avec la       fig.    1. Celui-ci produit le séchage final du revêtement et la  feuille plastique revêtue 410a est alors enlevée du       tambour    427a au moyen de rouleaux     chauffes    429a,  430a, 431a et 432a.  



  Les feuilles 410b, c et d sont traitées simultanément  à la feuille 410a de la même manière et les éléments  correspondants de l'appareillage de traitement de     ces     trois pellicules sont désignés par des nombres correspon  dants comportant les     suffixes    b, c et d respectivement.  



  Les feuilles revêtues 410a et 410b sont réunies, les  revêtements étant chauffés à une température de sou  dage et elles passent entre les rouleaux de pression 433a  et 433b, ce dernier comportant de     préférence    un revête  ment élastique en un caoutchouc de     silicone    ou analo  gue. Ceci produit un stratifié à trois couches qui est sen  siblement comme indiqué dans la     fig.    4 du dessin et qui  est désigné dans la     fig.    10 par le nombre de référence  410'. Le stratifié est alors     amené    sur les rouleaux 434  à 439 et en dessous des éléments de chauffage 440, 441  et 442 à chaleur radiante infrarouge de manière à chauf  fer le stratifié 410'.

   Le stratifié     passe    alors autour de  rouleaux de chauffage 443, 444, 445 et 446 et à partir de  là sur le     cylindre    de gaufrage 447.  



  Un deuxième stratifié 410" à trois couches est alors  réalisé à partir des feuilles revêtues 410c et 410d de ma  nière similaire et les éléments de l'appareil pour     effectuer     la formation du     stratifié    correspondent aux éléments  de     l'appareil    pour former le stratifié à partir des feuilles  410a et 410b et sont désignés par des nombres identiques  comportant le signe prime. Toutefois les rouleaux 445  et 446 pour chauffer le stratifié 410' sont remplacés par  un rouleau 448 unique à revêtement élastique de manière  à obtenir une pression uniforme s'exerçant sur un cylin  dre de gaufrage 447 de sorte qu'un soudage     efficace    est  obtenu entre les deux stratifiés.

   Le revêtement sur le rou  leau 448 est de     préférence    en caoutchouc de silicone ou  en une matière     analogue    comme dans le cas du rouleau  <B>151</B> de la     fig.    7. Le matériel cellulaire stratifié sur le  cylindre 447 de gaufrage ou bossellement est alors re  froidi au moyen de jets d'air froid ou d'eau 449 et le  matériel refroidi est alors enlevé au moyen de rouleaux  de refroidissement 450, 451 et 452. Le matériel est alors  guidé autour d'un rouleau 453 et est enroulé sur la  bobine 454.  



  L'appareil de la     fig.    10 peut être modifié pour la for  mation des stratifiés à partir des feuilles plastiques revê  tues 410a et b et 410c et d par utilisation du     procédé    de  surfusion. Dans ce but, des rouleaux 429a, 430a et 431a  sont refroidis à la température de surfusion afin de  refroidir rapidement le revêtement de manière à l'amener  à un     état    amorphe. Les rouleaux 429b, 430b et 431b sont       amenés    de manière similaire à une température de sur  fusion afin de refroidir le revêtement sur la feuille 410b.  Lorsque les feuilles à revêtement surfondu sont réunies  entre les rouleaux 433a et 433b, elles adhèrent immédia-           tement    avec formation d'un stratifié à trois couches.

   Le  procédé de chauffage et de bossellement du stratifié à  trois couches 410' est ensuite le même que     celui    décrit  ci-dessus. On utiliserait le même procédé pour la for  mation d'un stratifié à partir des feuilles revêtues 410c et  410d par refroidissement des rouleaux 429c, 430c, 431c,  429d, 430d et 431d.  



  Il est évident à partir de     ce    qui précède qu'on peut  naturellement utiliser des combinaisons d'appareil pour  obtenir le produit résultant. Il est par exemple possible  de revêtir au moyen d'un     procédé    continu des feuilles  plastiques et de former un stratifié à trois couches et  ensuite de combiner le stratifié à trois couches avec un  stratifié à deux couches de manière à     former    un matériel       cellulaire.     



  Les produits sont représentés dans les     fig.    11 à 14 et  dans chaque cas les matières de support ou de base ont  été désignées par la lettre B tandis que la matière dépo  sée sur le support est désignée par la lettre I. Dans la       fig.    11, on a utilisé des stratifiés à deux couches, la cou  che imperméable I     étant    enfermée et protégée par la ma  tière de base.

   La matière de base peut     naturellement    être  du     chlorure    de polyvinyle ou du polystyrène par exem  ple, tandis que la matière imperméable peut comprendre  une combinaison de chlorure de     polyvinylidène    et d'acry  lonitrile, bien que d'autres matières plastiques appro  priées à l'obtention des mêmes résultats puissent être uti  lisées. On observera que lorsque les couches. 1 sont sou  dées ensemble de manière à former les cellules elles con  duisent à une structure sensiblement homogène permet  tant la fermeture permanente des cellules.  



  La     fig.    12 représente une variante dans laquelle on       utilise    des stratifiés à trois couches. On observera que  dans chacun des stratifiés, la matière     imperméable    I est  enfermée entre des couches extérieures de la matière de  base.  



       Les        fig.    13 et 14 représentent des variantes faisant  intervenir l'utilisation de stratifiés à deux couches et à  trois couches.  



  Dans la représentation des produits dans les     fig.    11 à  14, on a     accentué    les épaisseurs des couches pour des rai  sons de     clarté    ; la matière de base peut avoir une épais  seur de l'ordre de 25 à 50 microns, tandis que le revête  ment en matière     imperméable    peut avoir une épaisseur  de l'ordre du 1/10 de l'épaisseur de la matière de base  et les cellules peuvent être de     dimensions    et de     configura-          tions    désirables     quelconques.  

Claims (1)

  1. REVENDICATION I Procédé pour fabriquer un stratifié plastique, carac térisé en ce qu'on revêt une feuille plastique avec un liquide dans lequel une matière plastique est distribuée uniformément, on soumet le revêtement à une radiation infrarouge pour le chauffer, on maintient le côté non revêtu de la feuille à une température suffisante pour éviter une perte de chaleur à partir de la feuille et la maintenir au-dessous de son point de fusion, et on refroi dit la feuille revêtue et sèche. SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on fait passer la feuille entre un rouleau d'impression gravé et un rouleau de support coopérant tout en revê tant simultanément le rouleau d'impression avec une dis persion aqueuse de la matière plastique pour former le revêtement sur un côté de la feuille, et on sèche le revê tement plastique. 2. Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on sèche le revêtement en dirigeant sur lui des cou rants d'air à haute vitesse d'une température de 149 à 204o C. 3.
    Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on applique à la feuille une couche intermédiaire d'un adhésif avant l'application du revêtement. 4. Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on utilise comme revêtement une matière plastique comprenant du chlorure de polyvinylidène. 5.
    Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on utilise comme revêtement une matière plastique comprenant un copolymère de chlorure de vinylidène et d'acrylonitrile. 6. Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on chauffe le revêtement de deux feuilles et on fait adhérer les revêtements pour former un stratifié à trois couches.
    7. Procédé selon la sous-revendication 6, caractérisé en ce qu'on refroidit rapidement les revêtements après le chauffage afin de les transformer en un état amorphe. 8. Procédé selon la sous-revendication 6, caractérisé en ce qu'on repousse l'une au moins des feuilles revêtues avant de la faire adhérer à l'autre feuille, afin de former des cellules d'air scellées entre les feuilles. 9.
    Procédé selon la sous-revendication 6, caractérisé en ce qu'on scelle un stratifié à trois couches à un strati fié à deux ou trois couches, et on repousse l'un des stra tifiés avant le scellage afin de laisser des cellules d'air entre eux.
    REVENDICATION II Appareil pour la mise en oeuvre du procédé selon la revendication I, pour former un stratifié à trois couches, caractérisé en ce qu'il comprend un rouleau de revête ment pour revêtir chacune de deux feuilles plastiques d'une matière plastique plus imperméable, un radiateur à radiation infrarouge pour chauffer le revêtement sur chacune des feuilles tout en maintenant le côté non revêtu de chaque feuille au-dessous de sa température de fusion, un dispositif de refroidissement pour refroidir rapidement les revêtements,
    et une presse pour amener les revêtements refroidis des feuilles en contact sous pression l'un avec l'autre. SOUS-REVENDICATIONS 10. Appareil selon la revendication II, caractérisé en ce que la presse comprend deux rouleaux de pression. 11. Appareil selon la revendication II, caractérisé en ce qu'il comprend un dispositif de repoussage disposé immédiatement avant le dispositif de refroidissement pour repousser une au moins des feuilles revêtues. 12.
    Appareil selon la sous-revendication 11, caracté risé en ce que le dispositif de repoussage est un cylindre de repoussage sous vide. 13. Appareil selon la sous-revendication 12, caracté risé en ce qu'il comprend une courroie de refroidisse ment en contact avec une partie de la périphérie du cylindre de repoussage. 14. Appareil selon la sous-revendication 12, caracté risé en ce qu'il comprend un rouleau pour éliminer le stratifié du cylindre de repoussage.
    REVENDICATION III Stratifié plastique obtenu par le procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'il comprend une feuille plastique et un revêtement d'un copolymère de chlorure de polyvinylidène et d'acrylonitrile ayant une élasticité de 150 %. SOUS-REVENDICATIONS 15. Stratifié selon la revendication III, caractérisé en ce que la feuille est en polyéthylène. 16. Stratifié selon la. revendication III, caractérisé en ce que la feuille est en chlorure de polyvinyle.
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