Chaise L'invention a pour objet une chaise destinée à se raccrocher de manière amovible en une rangée rela tivement rigide avec d'autres chaises identiques pla cées côte à côte.
L'utilisation d'un grand nombre de chaises amo vibles destinées à permettre à des groupes de public très divers d'assister assis à des réunions pose des problèmes auxquels on n'a pas jusqu'à présent apporté de solution satisfaisante. Parmi ces problèmes figure celui de réaliser une chaise qu'on puisse emmagasiner dans un minimum d'espace et qu'on puisse également mettre rapidement et simplement en position d'utilisation. Du fait qu'on peut les utiliser sous forme assez compacte, on a utilisé, avec des degrés de succès variables, de nombreux types de chaises pliantes.
Toutefois, la chaise pliante présente de par sa nature deux inconvénients dont le premier est le temps excessif qu'il faut pour la déplier et pour la replier ensuite, le second provenant des articula tions qui s'usent, se relâchent et finissent par se rom pre ou par se déformer, par se coincer et par ne plus fonctionner.
Un autre problème est celui de réaliser des chai ses amovibles présentant assez de résistance mécani que et de longévité. Etant donné que la chaise doit recevoir des personnes de poids et tailles très variés, et ce avec une grande marge de sécurité, il est devenu classique de la réaliser en matériau relativement lourd et encombrant. Toutefois, l'aisance de manipu lation est importante par son incidence sur l'effort, et sur le temps qu'il faut pour disposer et pour retirer les chaises.
Bien qu'on utilise déjà pour recevoir des assis tances nombreuses, des chaises non pliables, et bien que certaines chaises de ce genre soient conçues pour s'empiler ou s'emboîter l'une sur l'autre, un problème gênant résulte de l'importance de l'espace excessive ment important à prévoir pour emmagasiner de telles chaises : en général, le bâti est trop grand et par ailleurs conçu de manière telle que les chaises sont bien empilables , mais qu'en fait on ne peut en empiler avec succès qu'un nombre limité, sous peine de voir l'empilage se renverser.
Il existe souvent un intervalle vertical de 6 à 10 cm entre les chaises, de sorte qu'un empilage de moins de 10 chaises a une hauteur supérieure à 1 m 20.
Un autre problème que pose l'utilisation d'un grand nombre de chaises de secours réside dans le mode de fixation à prévoir pour les solidariser en longues rangées permettant de manipuler simultané ment de nombreuses chaises. Jusqu'à présent, les moyens prévus pour fixer les chaises ensemble sont lourds et encombrants. Dans certains cas, on assure l'assemblage permanent d'une rangée de chaises en fixant ces chaises à de longues planches. Cette fixa tion exige beaucoup de main-d'oeuvre et l'utilisation de vis et tournevis ou d'écrous, boulons et de clefs de serrage.
D'autres moyens, impliquant l'utilisation de dispositifs de raccordement compliqués, posent des problèmes soit par leur difficulté de manoeuvre de manipulation, soit par leur manque de résistance mécanique.
La réalisation de chaises amovibles emmagasina- bles offrant un certain confort pose depuis longtemps encore un autre problème. Du fait qu'elles sont essen tiellement conçues pour se plier ou s'emmagasiner sous forme compacte, des chaises de ce genre sont très inconfortables, notamment quand on les utilise en continu, même pendant des temps relativement brefs. Les chaises utilisées dans les théâtres et stades en plein air sont généralement susceptibles d'être endom magées par la pluie et autres liquides qui les aspergent.
L'invention a pour but de fournir une chaise ne présentant pas ces inconvénients.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, deux formes d'exécution de l'objet de l'invention et des variantes la fig. 1 est une vue en perspective de la première forme d'exécution ; la fig. 2 est une vue explosée correspondant à la fig. 1 ; les fig. 3, 4 et 5 sont respectivement une vue de profil, une vue de face et une vue en plan correspon dant à la fig. 1 ; la fia. 6 est une vue en perspective de deux chai ses analogues à celle montrée sur la fi-. 1, repré sentées en cours d'empilage l'une sur l'autre ;
la fig. 7 est une vue à plus grande échelle et en plan d'une partie latérale des deux chaises occupant les positions représentées sur la fig. 6 ; la fig. 8 est une vue en perspective de trois chai ses analogues à celle montrée sur la fig. 1, complète ment empilées ; la fig. 9 est une coupe à plus grande échelle, sui vant 9-9 de la fig. 8 ; la fig. 10 est une vue en perspective, à plus grande échelle, d'un organe représenté notamment aux fig. 1 et 2 ;
la fig. 11 est une vue en perspective à plus grande échelle, d'un autre organe représenté notamment aux fig. 1 et 2 ; la fig. 12 est une coupe, à plus grande échelle, des coins avant inférieurs de deux chaises sur le point d'être réunies ; la fig. 13 est une vue analogue à la fia. 12 mon trant les chaises réunies ; la fig. 14 est une vue en perspective de l'arrière de deux chaises analogues à celle montrée sur la fig. 1, fixées ensemble côte à côte ;
la fig. 15 est une vue en perspective de deux rangées de chaises réalisées chacune en réunissant ensemble côte à côte des chaises analogues à celle montrée sur la fi g. 1, l'une des rangées de chaises étant empilée sur l'autre ; la fig. 16 est une vue, à plus grande échelle, des pieds arrière de deux chaises voisines sur le point d'être réunies ; la fia. 17 est une coupe suivant 17-17 de la fig. 16 ; la fig. 18 est une vue analogue à la fig. 16, mon trant les éléments après réunion ;
la fi-' 19 est une vue analogue à la fig. 18 vue de l'autre côté ; la fi-* 20 est une coupe suivant 20-20 de la fig. 19 ; la fig. 21 est une vue de dessus de deux chaises voisines telles que celle représentée à la fig. 1, en cours de réunion; la fig. 22 est une vue en plan, avec coupe par tielle et à plus grande échelle, montrant les points de jonction entre les chaises représentées sur la fig. 21, occupant la même position ; la fig. 23 est une vue analogue à la fig. 21, prise au moment où la réunion des chaises est terminée ;
la fig. 24 est une vue analogue à la fig. 22 montrant les positions occupées par les pièces à la fig. 23 ; la fia. 25 est une vue à plus grande échelle d'un organe représenté sur la fig. 22 ; la fig. 26 est une vue à plus grande échelle d'un autre organe représenté sur la fig. 22 ; la fia. 27 est une vue de profil d'une pile de qua rante chaises, selon la fig. 1 ; la fig. 28 est une vue partiellement en coupe d'une variante analogue à la fig. 9 ;
la fig. 29 est une vue de cette variante analogue à la fig. 7 ; la fig. 30 est une coupe, à plus grande échelle, suivant 30-30 de la fig. 3 ; la fig. 31 est une coupe analogue à la fig. 30, montrant les éléments pendant l'assemblage ; la fig. 32 est une coupe des barres latérales et des sièges de quatre chaises constituant des formes d'exé cution différentes ; la fi-. 33 est une vue en perspective de la seconde forme d'exécution ;
la fig. 34 est une vue en perspective explosée correspondant à la fig. 33 ; la fig. 35 est une vue de profil correspondant à la fig. 33 ; la fi-. 36 est une coupe, à plus grande échelle, suivant 36-36 de la fia. 35 ; la fig. 37 est une vue en perspective d'une variante, analogue à la fig. 16 ; la fig. 38 est une vue analogue à la fig. 37 mon trant les deux éléments en cours de réunion ; la fi-. 39 est une vue analogue à la fig. 38 mon trant les éléments complètement réunis ;
la fig. 40 est une vue en plan d'une variante, analogue à la fig. 21 ; la fig. 41 est une vue à plus grande échelle et avec arrachement d'organes représentés sur la fig. 40 ; la fig. 42 est une vue en plan montrant les chai ses de la fig. 40 réunies ensemble ; la fig. 43 est une vue à plus grande échelle avec arrachement d'organes représentés à la fig. 42 ;
les fig. 44 et 45 sont des vues de profil de deux organes représentés aux fig. 40 et 42, et la fig. 46 est une vue de profil de trois chaises telles que celle de la fig. 1 empilées les unes sur les autres.
Les fig. 1 à 5 représentent une chaise 50 qui n'est pas une chaise pliante, tous ses éléments consti tutifs sont rigidement assemblés et fixes les uns par rapport aux autres, mais qui est facile à empiler avec d'autres chaises identiques dans un espace réduit. D'une manière générale, les éléments principaux de la chaise 50 sont un bâti 51, un siège 52 et un dos sier 53, le siège 52 et le dossier 53 étant fixés sépa rément et rigidement au bâti 51.
Avant même de considérer la chaise 50 en détail, on peut noter certaines caractéristiques saillantes 1. La distance H (fig. 3) du siège 52 au sol est plu sieurs fois supérieure à l'épaisseur T du bâti 51, de préférence 30 fois ou davantage.
2. L'épaisseur t, du siège 52 et l'épaisseur t.@ du dos sier 53 sont toutes deux inférieures à l'épais seur T du bâti 51 (voir fig. 3) de sorte que, quand on empile plusieurs chaises 50, les bâtis 51 reposent l'un sur l'autre par l'intermédiaire de coulisseaux 85, 86, 87 et 88, le siège 52 et le dossier 53 étant isolés. Autrement dit, les chai ses 50 ne reposent ni sur leurs sièges 52, ni sur leurs dossiers 53 quand elles sont empilées.
3. L'espace situé au-dessous du siège 52 est entiè rement dégagé ; il n'est traversé par aucune entretoise ou organe qui ferait obstacle à l'em boîtement.
4. En direction du bas à partir du siège 52, le bâti 51 est incliné vers l'avant et vers l'arrière. Beaucoup d'autres caractéristiques importantes ressortiront d'un examen plus détaillé, d'abord, de la seule chaise 50, puis de chaises 50 réunies en pile indépendante, puis de chaises réunies en ran gées et, enfin, de chaises empilées en rangées.
Le bâti 51 peut avantageusement être en tiges d'acier cylindriques, qui peuvent être très minces. Par exemple, on a utilisé avec succès des tiges d'acier de 11 mm environ pour fabriquer une chaise robuste légère susceptible d'empilage. Au lieu d'être cylindri ques, comme représentées au dessin, les tiges pour ront être de section ovale, carrée, rectangulaire ou d'autre forme convenable. De plus, bien que le maté riau préféré pour réaliser le bâti soit du métal, on pourra aussi utiliser pour certaines applications du bois, de la matière plastique renforcée, des tiges en fibre de verre et autres matériaux présentant une bonne résistance mécanique pour la section transver sale utilisée et une longévité suffisante.
Le bâti 51 comprend quatre éléments constitutifs principaux, réunis solidement par soudage ou autre ment: deux éléments de bâti latéraux 54 et 55, un bâti de siège 56 et une entretoise avant 57.
Les organes de bâti latéraux 54 et 55 sont iden tiques et comportent chacun une barre inférieure horizontale 60, 61 en contact avec le sol et un pied arrière 62, 63 dirigé vers le haut et légèrement incliné vers l'avant. Les pieds arrière 62 et 63 s'étendent jusque au-dessus du siège 52 et se terminent par des tronçons de support de dossier 64 et 65 coudés vers l'arrière. Quand on réalise les pieds arrière 62 et 63 à partir de profilés minces, ainsi qu'il est préférable, on les renforce de préférence en leur fixant ferme ment, par soudage ou autrement, des organes de ren- forcement 66 et 67 pour les empêcher de s'effondrer sous l'action de fortes contraintes transversales.
Les organes 66 et 67 s'étendent tous deux tant au-dessus qu'au-dessous de la jonction entre les pieds arrière 62 et 63 et le bâti de siège 56. Ainsi qu'il apparaîtra plus loin, ces organes de renforcement 66 et 67 jouent en outre un rôle important lorsqu'on doit réunir les chaises 50 côte à côte, en rangées.
Le bâti de siège 56 comporte deux barres supé rieures inclinées de support de siège 70 et 71 qu'on forme en coudant vers l'extérieur une barre arrière 72 et des pieds avant parallèles 74 et 75, légèrement inclinés vers l'avant en direction de leurs extrémités inférieures 76 et 77. Les barres latérales 70 et 71 présentent un espacement relatif inférieur à celui des barres inférieures 60 et 61 d'une quantité au moins égale au double de l'épaisseur de ces barres infé rieures 60 et 61, de manière que les barres inférieu res 60 et 61 d'une chaise 50 supérieure ne soient pas stoppées par les barres latérales 70 et 71 d'une chaise 50 inférieure pendant empilage tel qu'illustré par la fig. 6.
Pour cette raison, les barres latérales 70 et 71 sont raccordées aux pieds arrière 64 et 65 par un élément d'entretoisement constitué par une soudure métallique 78 (voir fig. 9) et les pieds avant sont raccordés aux barres 60 et 61 par une soudure 79 (voir fig. 4).
Quand on réalise le bâti 51 à l'aide des quatre éléments 54, 55, 56 et 57, on peut l'assembler en soudant l'entretoise avant 57 aux pieds avant 74 et 75, sensiblement à mi-hauteur de ces derniers et parallèlement au sol, en soudant les extrémités de la barre arrière 72 aux pieds arrière 62 et 63 par une soudure d'entretoisement 78 et en soudant les extré mités inférieures 76 et 77 des pieds avant 74 et 75 aux barres inférieures 60 et 61 par une soudure d'entretoisement 79. Au lieu de soudage, on pourra utiliser d'autres modes de fixation tels que boulonnage ou rivetage et le bâti 51 pourra comporter des élé ments constitutifs en nombre supérieur ou inférieur à quatre.
Le bâti 51 résultant peut être empilé en l'état en fait, dans les chaises 50 complètement finies, ce sont les bâtis 51 qui s'empilent les uns sur les autres, les sièges 52 et les dossiers 53 étant réalisés de manière à ne pas gêner cet empilage ni se toucher après empilage. Il est souvent commode de pouvoir empiler à l'usine les bâtis isolés 51.
Le siège 52 pourra être réalisé en divers maté riaux durs, entre autres tôle revêtue ou non de vinyle, bois, matière plastique renforcée, fibre de verre imprégnée de résine et autres matériaux propres à présenter la résistance mécanique et la longévité vou lues. L'épaisseur t, du siège 52 est de préférence inférieure à l'épaisseur T du bâti 51 et au moins inférieure à celle des coulisseaux 85, 86, 87 et 88, comme clairement illustré sur la fig. 3. Cette carac téristique permet d'empiler les chaises l'une sur l'autre moyennant un minimum d'encombrement, étant donné que seuls les bâtis 51 des diverses chaises empilées sont en contact par les coulisseaux, les sièges 52 ne se touchant pas l'un l'autre.
Pour assurer le confort de l'utilisateur, on fait en sorte que la moitié arrière du siège 52 s'incline vers le bas depuis chaque barre latérale 70 et 71 jusqu'au milieu du siège, en produisant un effet de courbure inversé, et que la partie avant présente un bord menant régulièrement incurvé vers le bas pour sou tenir confortablement les cuisses et les genoux de l'occupant. En outre, l'ensemble du siège 52 s'incline vers le bas d'avant en arrière (fig. 3).
Ce profil assure en outre l'évacuation rapide et automatique des eaux de pluie ou autres liquides susceptibles de tomber sur le siège, de sorte que ces liquides ne s'accumulent pas, ce qui empêcherait de s'asseoir sur le siège et risquerait d'endommager ce dernier.
Le siège 52 est fermement fixé de chaque côté à la barre latérale 70 et 71 correspondante par des profilés 80 (fig. 2). Ces profilés peuvent présenter en coupe transversale la forme représentée sur les fig. 30 et 31 et avoir la forme de gouttières incurvées, étant fermement fixés à la barre latérale correspondante 70 ou 71 et sertis (fig. 30) sur un bord enroulé 81 du siège 52, après insertion de ce bord de la manière illustrée par les fig. 30 et 31.
Quand le profilé 80 se fixe par soudage à la barre 70 ou 71, il peut pré senter un renfoncement 83 destiné à recevoir la sou dure 82 et à la recouvrir. Ce renfoncement 82 ne gêne pas l'empilage du fait qu'il s'étend dans l'espace séparant les barres 70 ou 71 des rebords enroulés 81, comme représenté sur les fig. 30 et 32. Les profi lés 80 représentés à titre d'exemple constituent des moyens très robustes durables de fixation du siège 52 au bâti 51, mais on pourra utiliser des moyens de jonction d'autres genres, bien connus du technicien, et les substituer aux profilés préférés représentés.
La seule condition à respecter dans le choix d'autres sup ports est que l'épaisseur effective totale t3 du siège et du support soit inférieure à l'épaisseur T du bâti auquel ils sont fixés, ou au moins inférieure à l'épais seur des coulisseaux 85, 86, 87 et 88, de manière à ce que dans une pile, seuls les éléments du bâti ou les coulisseaux des chaises portent l'un contre l'autre.
Le dossier 53 de la chaise est de préférence réa lisé en le même matériau que le siège 52, mais on pourra utiliser d'autres types de matériaux durs, robus tes et convenables par ailleurs. En utilisant le même matériau pour réaliser tant le siège que le dossier, on donne à l'ensemble un aspect et une résistance uni formes et on simplifie en outre les processus de fabri cation.
Comme pour le siège 52, l'épaisseur t<U>.></U> du dossier 53 est inférieure à l'épaisseur T du bâti, ou au moins inférieure à l'épaisseur des coulisseaux 85, 86, 87 et 88, ce qui permet aux organes de bâti de s'emboîter étroitement sur les organes de bâti homo logues d'autres chaises pendant empilage, les dossiers eux-mêmes ne se touchant pas.
Au cours des recherches précitées sur le confort des sièges, on s'est particulièrement intéressé au dos sier 53 de la chaise en vue d'obtenir un maximum de confort en position assise soit inclinée, soit droite. Comme on le voit le mieux sur la fig. 3, les bords supérieur et inférieur du dossier 53 s'incurvent vers l'arrière de manière à présenter de profil une forme générale incurvée ; vus de dessus (fig. 5), les côtés s'incurvent vers l'avant à partir du milieu du dossier. Ces diverses courbures donnent une structure de voûte en berceau.
Les pieds arrière 62 et 63 inclinés vers le bas et vers l'arrière agissent à la manière d'arcs-boutants pour résister à la pression dirigée vers l'arrière exercée par l'occupant du siège sur le dossier 53.
Le dossier 53 est fixé au bâti 51 de la chaise et, plus particulièrement, aux supports de dossiers 64 et 65 par des supports ou profilés 84 analogues aux supports 80, sous cette réserve qu'ils sont incurvés.
Si on la considère isolément, en dehors de son aptitude à l'empilage, la chaise 50 présente de nom breuses qualités hautement avantageuses. Par exem ple, elle se manipule aisément moyennant un mini mum d'effort. Elle est faite d'un nombre relativement faible de pièces, ce qui permet de la fabriquer à meilleur compte que d'autres chaises plus compli quées. Ensuite, ces pièces sont réunies de manière relativement simple, ce qui contribue aussi à réduire le prix de revient. Bien que le bâti de chaise soit en profilés très minces, il est extrêmement robuste, grâce à sa configuration particulière. De même, le siège et le dossier sont aussi extrêmement robustes, bien que réalisés en matériau mince et peu coûteux.
La chaise offre un maximum de confort peu courant dans les chaises à surface dure. Elle est extrêmement durable et peut résister aux manipulations brutales subies par les sièges auxiliaires destinés au public, qu'on est sou vent amené à mettre en place, puis à emmagasiner. De ces observations, il ressort clairement que la chaise décrite permet d'atténuer ou de supprimer cer tains des problèmes antérieurs et constitue un siège peu coûteux, durable et confortable susceptible de ser vir en un grand nombre d'occasions.
Pour réunir diverses chaises en une rangée, comme illustré par les fig. 14 et 1.5, il est prévu des moyens originaux tout à fait simples, mais de struc ture robuste et durable, dont la manipulation est extrêmement rapide et aisée. Les moyens de réunion comportent les organes de renforcement ou supports 66 et 67, destinés à réunir les pieds arrière 63 et 62 de deux chaises 50x et 50y, tandis que le tronçon avant de la barre inférieure 60 d'une chaise 50y est réuni au tronçon avant de la barre inférieure 61 de l'autre chaise 50x par deux coulisseaux d'attache rapide 85 et 86.
(On pourra aussi prévoir un cou- lisseau n'assurant pas de jonction, 87 et 88, sur le tronçon arrière de chaque barre 60 et 61.) Les coulisseaux de jonction 85 et 86 (voir fig. 10 à 13) se caractérisent en ce qu'ils se débarrassent automatiquement des poussières, débris, etc., grâce à la mortaise verticale 90 ménagée dans le coulisseau femelle 85. La mortaise 90 est délimitée à l'arrière par une paroi verticale 91 inclinée vers l'avant et par une paroi verticale plus étroite 92, inclinée vers l'arrière.
Le coulisseau mâle 86 présente un tenon 93 délimité à l'arrière par deux parois inclinées 94 et 95, complémentaires des parois 91 et 92 et susceptibles de verrouillage avec elles. A l'avant, la mortaise 90 présente deux parois 96 et 97 inclinées sur la verti cale et qui se rejoignent suivant une ligne de faite ou crête 98. Le tenon 93 présente à l'avant deux parois 100 et<B>101</B> inclinées sur la verticale et un biseau latéral 102 qui lui permet de pénétrer dans la mor taise 90 lors du verrouillage des coulisseaux 85 et 86 (voir fig. 21 à 24). Ainsi, on peut verrouiller brusque ment les coulisseaux 85 et 86.
Les organes de renforcement 66 et 67 présentent deux points d'interraccordement des pieds arrière 62 et 63. Il est ainsi prévu, de chaque côté de la chaise, un raccordement en trois points, à raison de deux à l'arrière, sur les pieds 62 et 63, et d'un à l'avant, sur les barres 60 et 61. L'organe de renforcement 66 présente deux bossages 103 et 104 et l'organe de ren forcement 67 deux trous<B>105</B> et 106 qui le traversent de part en part pour recevoir les bossages 103 et 104, comme on le voit le mieux sur les fig. 16 à 20.
Les fig. 21 à 24 illustrent le mode de réunion des chaises<I>50x</I> et<I>50y.</I> Tout d'abord, on assure les deux jonctions arrière en insérant les bossages 103 et 104 dans les trous 105 et 106, puis en faisant pivoter les chaises l'une vers l'autre, les coulisseaux 85 et 86 s'engageant l'un dans l'autre et se ver rouillant brusquement. Il en résulte que les chaises sont fermement fixées l'une à l'autre par un raccor dement en trois points.
On peut ajouter d'autres chaises de la même manière. Par exemple, on peut ajouter une chaise 50z à la chaise 50y et une chaise 50w à la chaise 50x, puis réunir une chaise 50y à la chaise 50w, une chaise 50u à la chaise 50y, comme représenté sur la fig. 15. Des rangées de 10 ou même de 20 chaises sont très faciles à manipuler ; on désaccouple les chaises en inversant le processus, c'est-à-dire en déverrouillant brusquement les coulisseaux 85 et 86 et en extrayant à pivotement les bossages 103 et 104 des trous 105 et 106.
L'empilage de chaises individuelles est aisé à réa liser (fia. 6 à 9). On place la chaise à superposer 50B (fig. 6) au-dessus, mais légèrement en avant de la chaise 50A destinée à se situer au-dessous, les barres latérales 70 et 71 et les barres inférieures 60 et 61 de la chaise supérieure 50B se superposant directement aux barres homologues de la chaise infé rieure 50A. En conséquence, quand on empile les chaises l'une sur l'autre, les pieds arrière 64, 65 et les barres arrière 60, 61 de la chaise supérieure 50B chevauchent les barres latérales 70, 71 et les pieds avant 74, 75 respectivement de la chaise inférieure 50A. On enfonce alors la chaise supérieure 50B vers le bas et vers l'arrière pour l'appliquer contre la chaise inférieure 50A.
Quand la chaise supérieure 50B est insérée à fond sur la chaise inférieure 50A dans la position d'encombrement minimum (fig. 8 et 9), les coulisseaux 85, 86, 87 et 88 de la chaise supérieure 50B sont étroitement appliqués contre les coulisseaux homologues de la chaise 50A. On peut ajouter d'une manière analogue une troisième chaise 50C, et ainsi de suite. Il ne demeure aucun espace mort entre les bâtis 51 des chaises empilées, de sorte que les chaises emmagasinées n'occupent rigoureuse ment que le minimum d'espace. Ce fait ressort notam ment de l'examen des fig. 27 et 46.
En quantité supérieure à dix, les chaises suivant l'invention peu vent, grâce à leur structure, se loger dans un espace de volume donné en plus grand nombre qu'il n'ait jamais été possible jusqu'à présent pour des chaises soit pliantes, soit à empiler. Par exemple, on peut ranger 40 chaises suivant l'invention dans un espace d'environ 1 m 20 de hauteur (fig. 27).
Outre qu'elles sont très faciles à réunir en ran gées, les chaises décrites peuvent encore s'empiler en rangées de manière très compacte, comme illustré par la fig. 15.
Le processus est pratiquement le même que pour l'empilage de chaises individuelles, tel que décrit pré cédemment. Alors qu'une seule personne peut faci lement ériger une pile de chaises individuelles, pour l'empilage de rangées de chaises et notamment de longues rangées, il vaut mieux prévoir un opérateur à chaque bout de la rangée.
Il suffit alors de soule ver d'un seul tenant une rangée<B>110,</B> de la disposer de manière que chacune des chaises de cette rangée se situe latéralement en regard, mais un peu en avant, de la chaise correspondante d'une rangée 111, puis d'enfoncer la rangée supérieure vers le bas et vers l'arrière jusqu'à ce qu'elle repose aussi étroitement que possible sur la rangée inférieure 111 : on forme ainsi rapidement et aisément une pile compacte de rangées de chaises. De même que dans les piles de chaises individuelles, seuls les organes de bâti des chaises des rangées empilées sont en contact, les dossiers et les sièges étant étroitement voisins, mais isolés.
La fig. 27 illustre le fait que lorsqu'on empile quarante rangées de chaises 50 (ou quarante chaises), la hauteur de la pile n'est que de 50 % supérieure à celle d'une chaise 50 individuelle.
On peut déplacer, à l'aide d'un chariot ou autre moyen, une pile de chaises individuelles et aussi une pile de rangées de chaises. Le seul facteur limitatif serait le poids et, du fait que les chaises sont relative ment légères, on peut en empiler de nombreuses ran gées et les déplacer d'un seul tenant. Un tel mode de manipulation présente de nombreux avantages évi dents sur l'ancien système consistant à déplacer une rangée à la fois, ces rangées n'étant pas susceptibles de s'empiler sous forme compacte.
La fig. 32 illustre diverses variantes du siège et de son dispositif de fixation. On pourra aussi bien appliquer ces variantes au dossier et à son dispositif de fixation. Dans ce cas, la barre latérale 70 demeure inchangée et les sièges 230, 231 et 232 sont, par exemple, en contre-plaqué, fibre de verre ou autres matériaux formant un siège plus épais. Tel que repré- senté, le siège 230 est fixé par une vis 233 à un support coudé ou profilé 234, lui-même fixé à la barre 70. Un écrou à tête de vis 235 peut immobi liser la vis 233, s'étendant au ras de la face supé rieure du siège 230.
Le même profilé 234 peut être associé à un rivet 236, représenté fixé d'une manière bien connue au siège 231. On pourra aussi utiliser un profilé 237 de modèle légèrement modifié, tel que représenté sur le siège 232. Le profilé 237 présente un tronçon 238 qui repose dans une rainure 239 ménagée dans le bord de la face supérieure du siège 232, tandis que le profilé 237 présente aussi un tron çon inférieur 240 dont l'extrémité 241, coudée vers le haut, peut être sertie dans un siège en bois 232.
Outre qu'elle illustre des variantes de la structure de fixation, la fig. 32 met aussi en évidence le point principal qui est que, dans tous ces cas, les sièges 231 et 232 de la chaise ne portent pas les uns contre les autres et que, de plus, les profilés qui s'étendent au-dessus d'eux ne touchent pas non plus les sièges, de sorte qu'ils ne risquent pas d'endommager, en la rayant ou autrement, la surface du siège. Dans tous les cas, les organes de bâti 70 reposent les uns par dessus les autres et leur épaisseur T est supérieure à l'épaisseur effective t; de la combinaison siège-pro- filé de support.
La fi-. 32 représente encore un siège 242 situé à la base de la pile. Le siège 242 est collé au tronçon plat 243 d'une bande 244 qui est soudée à la barre 70. Ici, on n'a pas à utiliser de vis ni à assurer de sertissage et les relations demeurent inchangées.
La fig. 36 illustre une variante de fixation du siège à la barre latérale, suivant laquelle la fixation est directe. L'épaisseur de la tranche du siège, majo rée de celle de la barre 70, demeure ici encore infé rieure à celle des coulisseaux 85, 86, 87 et 88.
Les fi-. 33 à 45 illustrent une autre forme d'exé cution. La chaise 120 représentée sur ces figures comporte un organe 121 formant siège-dossier d'un seul tenant, destiné à constituer d'une seule pièce le siège 122 et le dossier 123. Cet organe présente à l'arrière un trou de purge 124 destiné à permettre au liquide de s'écouler et il est réalisé en fibre de verre et matière plastique, d'une manière bien connue.
Le siège 122 comporte deux organes de bàti latéraux 125 et 126 qui forment des barres infé rieures 127 et<B>128</B> et des pieds arrière 130 et 131. Il est également prévu deux organes de bâti 133 et 134 qui forment des pieds avant 135 et 136, des barres à siège 137 et 138 et des organes postérieurs dirigés vers le haut 140 et 141, fixés par soudage ou autrement aux pieds arrière 130 et 131. L'organe de renforcement antérieur 139 est prévu. Chaque organe de bâti latéral est réuni, par exemple par soudure, à un bâti de siège rapporté et l'organe de renforcement avant est soudé aux pieds avant, l'ensemble étant fixé au siège de toute manière désirée.
La chaise 120 est garnie de fers en U de ren forcement 142 et 143, destinés à renforcer les pieds arrière 130 et 131 et à les empêcher de s'écarter latéralement. Ces fers en U constituent un moyen original permettant de fixer une chaise 120x à une autre chaise 120y (fig. 37 à 45) d'une manière rigide analogue à celle prévue pour les chaises 50x et<B>503,</B> (fig. 21 à 26).
Les pieds arrière 130 et 131 sont renforcés au- dessus et au-dessous du niveau de la plate-forme de siège par des organes d'attache convenables 142 et 143. Chaque organe 142 et 143 comprend un fer en U de renforcement, mais qui sont de formes un peu différentes pour assurer le raccordement voulu. Ainsi, l'organe 143 porte au sommet un taquet qui présente dans sa face supérieure un renfoncement formant un réceptacle 145 ; un tronçon 144 solidaire du fer en U 142 est découpé dans ce dernier et coudé de manière à constituer un organe d'attache rapide destiné à s'insérer dans le renfoncement 145.
A l'extrémité inférieure du fer en U 142 est également prévu un prolongement 146, l'extrémité inférieure du fer en U 143 portant un prolongement analogue 147, de forme voulue pour s'accrocher dans l'autre organe 146. Comme représenté sur les fig. 37 à 39, on engage d'abord le crochet 147 dans le réceptacle 146, puis on raccorde brusquement les autres élé ments prévus au sommet, ce qui assure le raccorde ment à l'arrière du dispositif. Comme représenté sur les fig. 40 à 45, on pourra aussi donner aux coulis- seaux avant une structure légèrement modifiée.
Dans ce cas, le coulisseau 150 représenté sur la fig. 44 présente à l'avant un tenon 152 et à l'arrière un évidement 153 réunis par une encoche en V 154 dont la pointe est dirigée vers l'avant, tandis que le coulisseau 151, représenté sur la fia. 45, comporte un ensemble symétrique de tenon 155 et d'évidement 156 pour assurer un raccordement entre les deux organes.
Pour assurer la fixation, on commence alors par glisser le côté droit de la chaise 120x vers l'avant pour amener cette chaise au voisinage immédiat du côté gauche de la chaise 120y, de sorte que le tenon 155 du coulisseau 151 s'engage dans l'encoche 154 et dans l'évidement 153 du coulisseau 150, tandis que le tenon 152 remplit l'évidement 156. Une fois cette opération terminée, on insère le tronçon inférieur du fer en U d'attache 143 dans le tronçon inférieur du fer en U d'attache 142, de manière à ce que le crochet 147 s'engage dans le réceptacle 146.
On pousse alors le tronçon supérieur du fer en U 143 dans le fer en U 142 de manière à ce que le tronçon de fer en U 144 s'engage dans le récepta cle 145, par action brusque. Les deux chaises 120x et 120y sont ainsi fermement réunies en trois points situés, l'un à l'avant et les deux autres à l'arrière. Pour interrompre le raccordement, il suffit d'inver ser le processus.
Chair The object of the invention is a chair intended to be attached in a removable manner in a relatively rigid row with other identical chairs placed side by side.
The use of a large number of movable chairs intended to enable a wide variety of public groups to attend seated meetings poses problems which have so far not been satisfactorily resolved. Among these problems is that of making a chair that can be stored in a minimum of space and that can also be quickly and easily put into position for use. Because they can be used in fairly compact form, many types of folding chairs have been used with varying degrees of success.
However, the folding chair has by its nature two drawbacks, the first being the excessive time it takes to unfold it and then fold it up, the second being the joints which wear out, loosen and eventually break. pre or by deforming, by getting stuck and by no longer functioning.
Another problem is that of making removable cellars with sufficient mechanical strength and longevity. Since the chair must accommodate people of very different weights and sizes, and with a large margin of safety, it has become conventional to make it from a relatively heavy and bulky material. However, ease of handling is important in terms of its effect on effort, and on the time it takes to set up and remove chairs.
Although non-collapsible chairs are already used to accommodate many seating areas, and although some such chairs are designed to stack or nest on top of each other, an annoying problem results from this. importance of the excessively large space to be provided for storing such chairs: in general, the frame is too large and moreover designed in such a way that the chairs are stackable, but in fact they cannot be stacked with them. success only a limited number, otherwise the stack will overturn.
There is often a vertical gap of 6-10 cm between the chairs, so that a stack of less than 10 chairs has a height of more than 1 m 20.
Another problem posed by the use of a large number of emergency chairs lies in the method of attachment to be provided for joining them together in long rows making it possible to simultaneously handle numerous chairs. Until now, the means provided for fixing the chairs together are heavy and bulky. In some cases, a row of chairs is permanently assembled by attaching the chairs to long planks. This fastening is labor intensive and requires the use of screws and screwdrivers or nuts, bolts and spanner wrenches.
Other means, involving the use of complicated connection devices, pose problems either because of their handling difficulty or because of their lack of mechanical strength.
Another problem has long been a further problem in the making of removable, storable chairs offering a certain level of comfort. Because they are essentially designed to fold or store in a compact form, chairs of this kind are very uncomfortable, especially when used continuously, even for relatively short periods of time. Chairs used in theaters and outdoor stadiums are usually susceptible to damage from rain and other liquids that spray them.
The object of the invention is to provide a chair which does not have these drawbacks.
The appended drawing represents, by way of example, two embodiments of the object of the invention and of the variants in FIG. 1 is a perspective view of the first embodiment; fig. 2 is an exploded view corresponding to FIG. 1; figs. 3, 4 and 5 are respectively a profile view, a front view and a plan view corresponding to FIG. 1; the fia. 6 is a perspective view of two chai its analogous to that shown in fi-. 1, shown being stacked one on top of the other;
fig. 7 is a view on a larger scale and in plan of a side part of the two chairs occupying the positions shown in FIG. 6; fig. 8 is a perspective view of three cellars similar to that shown in FIG. 1, completely stacked; fig. 9 is a section on a larger scale, following 9-9 of FIG. 8; fig. 10 is a perspective view, on a larger scale, of a member shown in particular in FIGS. 1 and 2 ;
fig. 11 is a perspective view on a larger scale, of another member shown in particular in FIGS. 1 and 2 ; fig. 12 is a section, on a larger scale, of the lower front corners of two chairs about to be joined; fig. 13 is a view similar to fia. 12 showing the assembled chairs; fig. 14 is a perspective view of the rear of two chairs similar to that shown in FIG. 1, fixed together side by side;
fig. 15 is a perspective view of two rows of chairs each made by bringing together side by side chairs similar to that shown in fi g. 1, one of the rows of chairs being stacked on top of the other; fig. 16 is a view, on a larger scale, of the rear legs of two neighboring chairs about to be joined; the fia. 17 is a section on 17-17 of FIG. 16; fig. 18 is a view similar to FIG. 16, showing the elements after meeting;
Fig. 19 is a view similar to fig. 18 seen from the other side; Figure 20 is a section on 20-20 of FIG. 19; fig. 21 is a top view of two neighboring chairs such as that shown in FIG. 1, during a meeting; fig. 22 is a plan view, in partial section and on a larger scale, showing the junction points between the chairs shown in FIG. 21, occupying the same position; fig. 23 is a view similar to FIG. 21, taken when the meeting of the chairs is finished;
fig. 24 is a view similar to FIG. 22 showing the positions occupied by the parts in FIG. 23; the fia. 25 is a view on a larger scale of a member shown in FIG. 22; fig. 26 is a view on a larger scale of another member shown in FIG. 22; the fia. 27 is a side view of a stack of forty chairs, according to FIG. 1; fig. 28 is a partially sectional view of a variant similar to FIG. 9;
fig. 29 is a view of this variant similar to FIG. 7; fig. 30 is a section, on a larger scale, on 30-30 of FIG. 3; fig. 31 is a section similar to FIG. 30, showing the components during assembly; fig. 32 is a sectional view of the side bars and the seats of four chairs constituting different embodiments; the fi-. 33 is a perspective view of the second embodiment;
fig. 34 is an exploded perspective view corresponding to FIG. 33; fig. 35 is a side view corresponding to FIG. 33; the fi-. 36 is a section, on a larger scale, on 36-36 of the fia. 35; fig. 37 is a perspective view of a variant, similar to FIG. 16; fig. 38 is a view similar to FIG. 37 showing both elements during the meeting; the fi-. 39 is a view similar to FIG. 38 showing the elements completely assembled;
fig. 40 is a plan view of a variant, similar to FIG. 21; fig. 41 is a view on a larger scale and with cutaway of members shown in FIG. 40; fig. 42 is a plan view showing the cellars of FIG. 40 gathered together; fig. 43 is a view on a larger scale with cut away members shown in FIG. 42;
figs. 44 and 45 are side views of two members shown in FIGS. 40 and 42, and fig. 46 is a side view of three chairs such as that of FIG. 1 stacked on top of each other.
Figs. 1 to 5 show a chair 50 which is not a folding chair, all its constituent parts are rigidly assembled and fixed with respect to each other, but which is easy to stack with other identical chairs in a small space. In general, the main elements of the chair 50 are a frame 51, a seat 52 and a back 53, the seat 52 and the back 53 being separately and rigidly fixed to the frame 51.
Even before considering the chair 50 in detail, some salient features may be noted 1. The distance H (Fig. 3) of the seat 52 to the ground is several times greater than the thickness T of the frame 51, preferably 30 times or more. more.
2. The thickness t, of the seat 52 and the thickness t. @ Of the back 53 are both less than the thickness T of the frame 51 (see fig. 3) so that when stacking several chairs 50 , the frames 51 rest on one another by means of slides 85, 86, 87 and 88, the seat 52 and the backrest 53 being isolated. In other words, the cellars 50 do not rest on their seats 52 or on their backs 53 when they are stacked.
3. The space below the seat 52 is completely clear; it is not crossed by any spacer or organ which would obstruct the interlocking.
4. In a downward direction from seat 52, frame 51 is tilted forward and backward. Many other important characteristics will emerge from a more detailed examination, first, of the single chair 50, then of chairs 50 assembled in an independent stack, then of chairs assembled in rows and, finally, of chairs stacked in rows.
The frame 51 can advantageously be of cylindrical steel rods, which can be very thin. For example, steel rods of about 11 mm have been used successfully to make a sturdy, lightweight chair capable of stacking. Instead of being cylindrical, as shown in the drawing, the rods may be of oval, square, rectangular or other suitable shape. In addition, although the preferred material for making the frame is metal, it is also possible to use for certain applications wood, reinforced plastic material, fiberglass rods and other materials having good mechanical resistance for the section. dirty transver used and sufficient longevity.
The frame 51 comprises four main constituent elements, joined together securely by welding or otherwise: two side frame elements 54 and 55, a seat frame 56 and a front spacer 57.
The side frame members 54 and 55 are identical and each comprise a horizontal lower bar 60, 61 in contact with the ground and a rear leg 62, 63 directed upwards and slightly inclined forwards. The rear legs 62 and 63 extend above the seat 52 and terminate in backrest support sections 64 and 65 angled backwards. When making the rear legs 62 and 63 from thin sections, as is preferred, they are preferably reinforced by firmly attaching to them, by welding or otherwise, reinforcing members 66 and 67 to prevent them. to collapse under the action of strong transverse stresses.
The members 66 and 67 both extend both above and below the junction between the rear legs 62 and 63 and the seat frame 56. As will appear later, these reinforcing members 66 and 67 also play an important role when the chairs 50 are to be brought together side by side in rows.
The seat frame 56 has two upper inclined seat support bars 70 and 71 which are formed by bending outwards a rear bar 72 and parallel front legs 74 and 75, inclined slightly forward in the direction of. their lower ends 76 and 77. The side bars 70 and 71 have a relative spacing less than that of the lower bars 60 and 61 by an amount at least equal to twice the thickness of these lower bars 60 and 61, so that the lower bars 60 and 61 of an upper chair 50 are not stopped by the side bars 70 and 71 of a lower chair 50 during stacking as illustrated in FIG. 6.
For this reason, the side bars 70 and 71 are connected to the rear legs 64 and 65 by a spacer element consisting of a metal weld 78 (see fig. 9) and the front legs are connected to the bars 60 and 61 by a weld. 79 (see fig. 4).
When the frame 51 is produced using the four elements 54, 55, 56 and 57, it can be assembled by welding the front spacer 57 to the front legs 74 and 75, substantially halfway up the latter and parallel to the ground, by welding the ends of the rear bar 72 to the rear legs 62 and 63 by a bracing weld 78 and by welding the lower ends 76 and 77 of the front legs 74 and 75 to the lower bars 60 and 61 by a weld bracing 79. Instead of welding, other methods of attachment such as bolting or riveting may be used, and the frame 51 may include constituent elements in a number greater than or less than four.
The resulting frame 51 can be stacked as is in fact, in the fully finished chairs 50, it is the frames 51 which are stacked on top of each other, the seats 52 and the backrests 53 being made so as not to interfere with this stacking or touch each other after stacking. It is often convenient to be able to stack the insulated frames 51 in the factory.
The seat 52 may be made of various hard materials, including sheet metal coated or not with vinyl, wood, reinforced plastic, fiberglass impregnated with resin and other materials suitable for having the desired mechanical strength and longevity. The thickness t of the seat 52 is preferably less than the thickness T of the frame 51 and at least less than that of the slides 85, 86, 87 and 88, as clearly illustrated in FIG. 3. This feature makes it possible to stack the chairs one on top of the other with a minimum of space requirement, since only the frames 51 of the various stacked chairs are in contact by the slides, the seats 52 not touching each other. each other.
To ensure user comfort, the rear half of the seat 52 is made to tilt downward from each side bar 70 and 71 to the middle of the seat, producing an inverted curvature effect, and the front part has a leading edge curved down evenly to comfortably support the thighs and knees of the occupant. In addition, the seat assembly 52 tilts down front to back (Fig. 3).
This profile also ensures the rapid and automatic evacuation of rainwater or other liquids that may fall on the seat, so that these liquids do not accumulate, which would prevent sitting on the seat and risk to damage the latter.
The seat 52 is firmly fixed on each side to the corresponding side bar 70 and 71 by profiles 80 (fig. 2). These profiles may have in cross section the shape shown in FIGS. 30 and 31 and have the form of curved gutters, being firmly fixed to the corresponding side bar 70 or 71 and crimped (fig. 30) on a coiled edge 81 of the seat 52, after insertion of this edge in the manner illustrated by figs. . 30 and 31.
When the profile 80 is fixed by welding to the bar 70 or 71, it can present a recess 83 intended to receive the hard sou 82 and to cover it. This recess 82 does not hinder stacking because it extends into the space separating the bars 70 or 71 from the wound edges 81, as shown in FIGS. 30 and 32. The profi les 80 shown by way of example constitute very strong durable means of fixing the seat 52 to the frame 51, but it is possible to use connecting means of other types, well known to the technician, and to replace them. to the preferred profiles shown.
The only condition to be observed when choosing other supports is that the total effective thickness t3 of the seat and the support is less than the thickness T of the frame to which they are attached, or at least less than the thickness of the slides 85, 86, 87 and 88, so that in a stack, only the elements of the frame or the slides of the chairs bear against each other.
The backrest 53 of the chair is preferably made of the same material as the seat 52, but other types of hard, robust and otherwise suitable materials can be used. By using the same material to make both the seat and the back, the whole thing is given a uniform appearance and strength, and the manufacturing processes are also simplified.
As for the seat 52, the thickness t <U>.> </U> of the backrest 53 is less than the thickness T of the frame, or at least less than the thickness of the slides 85, 86, 87 and 88, which allows the frame members to interlock tightly with the homologous frame members of other chairs during stacking, the backs themselves not touching each other.
In the course of the aforementioned research on the comfort of the seats, particular attention was paid to the sier back 53 of the chair with a view to obtaining maximum comfort in the seated position, either inclined or upright. As best seen in fig. 3, the upper and lower edges of the backrest 53 curve backwards so as to present in profile a generally curved shape; viewed from above (fig. 5), the sides curve forward from the middle of the backrest. These various curvatures give a barrel vault structure.
The rear legs 62 and 63 inclined downwards and backwards act in the manner of flying buttresses to resist the rearward pressure exerted by the occupant of the seat on the backrest 53.
The backrest 53 is fixed to the frame 51 of the chair and, more particularly, to the backrest supports 64 and 65 by supports or profiles 84 similar to the supports 80, with the proviso that they are curved.
Viewed in isolation, apart from its stackability, chair 50 exhibits many highly advantageous qualities. For example, it is easy to handle with a minimum of effort. It is made from a relatively small number of parts, which makes it cheaper to manufacture than other more complicated chairs. Then, these parts are brought together in a relatively simple manner, which also contributes to reducing the cost price. Although the chair frame is made of very thin profiles, it is extremely robust, thanks to its particular configuration. Likewise, the seat and backrest are also extremely sturdy, although made of thin and inexpensive material.
The chair provides maximum comfort uncommon in hard surface chairs. It is extremely durable and can withstand the brutal handling endured by auxiliary seats intended for the public, which one often has to put in place and then store. From these observations, it is clear that the chair described alleviates or eliminates some of the foregoing problems and constitutes an inexpensive, durable and comfortable seat which can be used on a large number of occasions.
To unite various chairs in a row, as shown in fig. 14 and 1.5, completely simple original means are provided, but of a robust and durable structure, the handling of which is extremely quick and easy. The joining means comprise the reinforcing members or supports 66 and 67, intended to join the rear legs 63 and 62 of two chairs 50x and 50y, while the front section of the lower bar 60 of a chair 50y is joined to the section front of the lower bar 61 of the other 50x chair by two quick coupler slides 85 and 86.
(It is also possible to provide a slider not providing a junction, 87 and 88, on the rear section of each bar 60 and 61.) The junction sliders 85 and 86 (see fig. 10 to 13) are characterized by that they automatically get rid of dust, debris, etc., thanks to the vertical mortise 90 formed in the female slider 85. The mortise 90 is delimited at the rear by a vertical wall 91 inclined towards the front and by a narrower vertical wall 92, inclined backwards.
The male slide 86 has a tenon 93 delimited at the rear by two inclined walls 94 and 95, complementary to the walls 91 and 92 and capable of locking with them. At the front, the mortise 90 has two walls 96 and 97 inclined on the vertical and which meet along a ridge line or ridge 98. The tenon 93 has two walls 100 and <B> 101 </ B> inclined to the vertical and a lateral bevel 102 which allows it to penetrate into the mortise 90 when locking the slides 85 and 86 (see fig. 21 to 24). Thus, the slides 85 and 86 can be abruptly locked.
The reinforcing members 66 and 67 have two points of interconnection of the rear legs 62 and 63. There is thus provided, on each side of the chair, a three-point connection, two at the rear, on the legs. 62 and 63, and one at the front, on bars 60 and 61. The reinforcing member 66 has two bosses 103 and 104 and the reinforcing member 67 has two holes <B> 105 </B> and 106 which pass through it right through to receive the bosses 103 and 104, as best seen in FIGS. 16 to 20.
Figs. 21 to 24 illustrate how the <I> 50x </I> and <I> 50y chairs are assembled. </I> First of all, the two rear joints are made by inserting the bosses 103 and 104 in the holes 105 and 106, then by rotating the chairs towards each other, the slides 85 and 86 engaging each other and suddenly rusting. As a result, the chairs are firmly attached to each other by a three-point connection.
You can add other chairs in the same way. For example, one can add a 50z chair to the 50y chair and a 50w chair to the 50x chair, then join a 50y chair to the 50w chair, a 50u chair to the 50y chair, as shown in fig. 15. Rows of 10 or even 20 chairs are very easy to handle; the chairs are uncoupled by reversing the process, that is to say by suddenly unlocking the slides 85 and 86 and by extracting the bosses 103 and 104 from the holes 105 and 106 pivotally.
The stacking of individual chairs is easy to do (fig. 6 to 9). The stacking chair 50B (fig. 6) is placed above, but slightly in front of the chair 50A intended to be located below, the side bars 70 and 71 and the lower bars 60 and 61 of the upper chair 50B superimposed directly on the corresponding bars of the lower chair 50A. Accordingly, when the chairs are stacked on top of each other, the rear legs 64, 65 and rear bars 60, 61 of the upper chair 50B overlap the side bars 70, 71 and the front legs 74, 75 respectively. the lower chair 50A. The upper chair 50B is then pushed down and rearwardly to rest against the lower chair 50A.
When the upper chair 50B is fully seated on the lower chair 50A in the minimum encumbrance position (fig. 8 and 9), the slides 85, 86, 87 and 88 of the upper chair 50B are tightly pressed against the corresponding slides. of the 50A chair. A third chair 50C can be added in a similar manner, and so on. No dead space remains between the frames 51 of the stacked chairs, so that the stored chairs strictly occupy only the minimum space. This fact emerges in particular from an examination of FIGS. 27 and 46.
In quantity greater than ten, the chairs according to the invention little wind, thanks to their structure, can be accommodated in a space of given volume in greater number than has never been possible until now for either folding chairs. , or to stack. For example, 40 chairs according to the invention can be stored in a space of about 1 m 20 in height (fig. 27).
In addition to being very easy to reunite in rows, the chairs described can still be stacked in rows in a very compact manner, as illustrated in fig. 15.
The process is virtually the same as for stacking individual chairs as described above. While a single person can easily erect a stack of individual chairs, for stacking rows of chairs and especially long rows, it is best to have an operator at each end of the row.
It is then sufficient to lift a row <B> 110, </B> in one piece, and arrange it so that each of the chairs in this row is located laterally opposite, but a little forward, of the corresponding chair row 111, then push the top row down and back until it rests as tightly as possible on the bottom row 111: this quickly and easily forms a compact stack of rows of chairs. As in the stacks of individual chairs, only the frame members of the chairs in the stacked rows are in contact, the backs and the seats being closely adjacent, but isolated.
Fig. 27 illustrates that when stacking forty rows of chairs 50 (or forty chairs) the stack height is only 50% greater than that of an individual chair 50.
A stack of individual chairs and also a stack of rows of chairs can be moved by cart or other means. The only limiting factor would be weight, and because the chairs are relatively light, many rows can be stacked and moved in one piece. Such a method of handling has many obvious advantages over the old system of moving one row at a time, these rows not being able to stack together in compact form.
Fig. 32 illustrates various variations of the seat and its fixing device. These variants could also be applied to the backrest and to its fixing device. In this case, the side bar 70 remains unchanged and the seats 230, 231 and 232 are, for example, made of plywood, fiberglass or other materials forming a thicker seat. As shown, the seat 230 is secured by a screw 233 to an elbow or profile support 234, itself fixed to the bar 70. A screw head nut 235 can secure the screw 233, extending to the top. flush with the upper face of the seat 230.
The same profile 234 can be associated with a rivet 236, shown attached in a well-known manner to the seat 231. It is also possible to use a profile 237 of slightly modified model, as shown on the seat 232. The profile 237 has a section 238 which rests in a groove 239 formed in the edge of the upper face of the seat 232, while the profile 237 also has a lower section 240 whose end 241, bent upwards, can be crimped into a wooden seat 232.
In addition to illustrating variants of the fixing structure, FIG. 32 also highlights the main point which is that in all these cases the seats 231 and 232 of the chair do not bear against each other and that, moreover, the profiles which extend above they also do not touch the seats, so that they do not risk damaging, scratching or otherwise, the surface of the seat. In all cases, the frame members 70 rest one above the other and their thickness T is greater than the effective thickness t; of the seat-support profile combination.
The fi-. 32 again shows a seat 242 located at the base of the stack. The seat 242 is glued to the flat section 243 of a strip 244 which is welded to the bar 70. Here, it is not necessary to use screws or to ensure crimping and the relations remain unchanged.
Fig. 36 illustrates a variant of attachment of the seat to the side bar, according to which the attachment is direct. The thickness of the edge of the seat, plus that of the bar 70, here again remains less than that of the slides 85, 86, 87 and 88.
The fi-. 33 to 45 illustrate another form of execution. The chair 120 shown in these figures comprises a member 121 forming a single-piece seat-backrest, intended to constitute in one piece the seat 122 and the backrest 123. This member has at the rear a purge hole 124 intended for to allow the liquid to flow and it is made of fiberglass and plastic, in a well known manner.
The seat 122 has two side frame members 125 and 126 which form lower bars 127 and <B> 128 </B> and rear legs 130 and 131. There are also two frame members 133 and 134 which form front legs 135 and 136, seat bars 137 and 138, and posterior upwardly directed members 140 and 141, secured by welding or otherwise to rear legs 130 and 131. Front reinforcement member 139 is provided. Each side frame member is joined, for example by welding, to an attached seat frame and the front reinforcement member is welded to the front legs, the assembly being attached to the seat in any desired manner.
The chair 120 is furnished with reinforcing U-shaped irons 142 and 143, intended to reinforce the rear legs 130 and 131 and to prevent them from deviating laterally. These U-shaped irons constitute an original means of fixing a 120x chair to another 120y chair (fig. 37 to 45) in a rigid manner similar to that provided for the 50x and <B> 503 chairs, </B> ( fig. 21 to 26).
The rear legs 130 and 131 are reinforced above and below the level of the seat platform by suitable fasteners 142 and 143. Each member 142 and 143 includes a reinforcing U-bar, but which are slightly different in shape to ensure the desired connection. Thus, the member 143 carries at the top a cleat which has in its upper face a recess forming a receptacle 145; a section 144 integral with the U-shaped iron 142 is cut in the latter and bent so as to constitute a quick coupling member intended to be inserted into the recess 145.
At the lower end of the U-shaped iron 142 is also provided an extension 146, the lower end of the U-shaped iron 143 carrying a similar extension 147, of a desired shape to hook into the other member 146. As shown in the drawings. fig. 37 to 39, the hook 147 is first engaged in the receptacle 146, then the other elements provided at the top are suddenly connected, which ensures the connection to the rear of the device. As shown in Figs. 40 to 45, the front slides can also be given a slightly modified structure.
In this case, the slide 150 shown in FIG. 44 has at the front a tenon 152 and at the rear a recess 153 joined by a V-shaped notch 154, the point of which is directed towards the front, while the slide 151, shown in the fia. 45, comprises a symmetrical assembly of tenon 155 and recess 156 to ensure a connection between the two members.
To ensure the fixing, we then begin by sliding the right side of the chair 120x forward to bring this chair into the immediate vicinity of the left side of the chair 120y, so that the tenon 155 of the slide 151 engages in the 'notch 154 and in the recess 153 of the slide 150, while the tenon 152 fills the recess 156. Once this operation is completed, the lower section of the U-shaped attachment 143 is inserted into the lower section of the iron in U fastener 142, so that the hook 147 engages in the receptacle 146.
The upper section of the U-shaped iron 143 is then pushed into the U-shaped iron 142 so that the U-shaped section of iron 144 engages in the recepta key 145, by sudden action. The two 120x and 120y chairs are thus firmly united at three points located, one at the front and the other two at the rear. To interrupt the connection, simply reverse the process.