Procédé de préparation de polyesters polymères et leur utilisation La présente invention a pour objet un procédé de préparation de polyesters polymères, caractérisé en ce qu'on condense l'acide téréphtalique, l'acide iso- phtalique ou un de leurs chlorures ou esters inférieurs avec un mélange contenant un a,cu-diol comprenant 4 à 5 atomes de carbone ou plusieurs a,w-diols dont au moins 20 % en poids sont représentés par un a,w- diol comprenant 4 à 5 atomes de carbone,
et un alcool aliphatique saturé comportant au moins trois groupes hydroxyles et qu'on polymérise le polyester ainsi obtenu à température élevée.
Les polyesters polymères obtenus selon ce pro cédé peuvent être utilisés pour des revêtements de conducteurs électriques et pour des émaux de fils de tous genres.
On a déjà préparé des polymères du téréphtalate d'éthylène ; mais parmi ces polymères, ceux qui ont un poids moléculaire suffisamment élevé pour per mettre leur utilisation comme isolant pour des conducteurs électriques sont difficilement solubles, ce qui les rend inutilisables pour cet emploi.
En outre, on a déjà proposé de recouvrir les conducteurs électriques avec une solution d'esters polymères du glycérol ou de la pentaérythrite avec l'acide téréphtalique, esters qui ont été préparés en présence d'un solvant non miscible à l'eau, choisis dans le groupe comprenant les amines tertiaires, les dialcoyl-amides, les cétones et les esters d'acide gras ainsi que certains esters et éthers d'éthylène-glycol et de polyéthylène-glycol. Toutefois, ces solvants sont relativement onéreux et de plus les produits obtenus n'ont pas donné réellement satisfaction.
Pour améliorer les propriétés des produits obtenus on a également proposé de remplacer une partie de l'acide téréphtalique par certains diacides aliphati ques, mais sans toutefois résoudre le problème posé. Selon le brevet belge No 543 486 on applique sur des conducteurs électriques un revêtement constitué par une solution d'un ester polymère obtenu à partir soit de l'acide téréphtalique, soit de l'acide isophtali- que, avec un mélange d'alcools, d'éthylèneglycol et d'alcool polyhydroxylé,
tel que le glycérol ou la pentaérythrite. L'ester polymère est préparé en main tenant entre certaines valeurs critiques les rapports, calculés sur les équivalents de téréphtalate diméthyli- que, par exemple éthylèneglycol et alcool poly- hydroxylé, tel que le glycérol.
Suivant ce brevet belge, le seul glycol satisfaisant est l'éthylèneglycol et aucune mention n'est faite rele vant que l'on puisse utiliser un autre glycol. Dans chacun des exemples donnés pour la mise en pauvre de ce procédé, seul l'éthylèneglycol est employé.
Selon le procédé objet de la présente invention, par contre, on peut obtenir des polyesters polymères qui possèdent les propriétés exigées pour des produits destinés à la réalisation de revêtements isolants pour conducteurs électriques ou des émaux pour fils de tous genres en faisant réagir un alcool polyhydroxylé comportant au moins trois groupes hydroxyles, par exemple le glycérol, la pentaérythrite, le 1,1,1,-tri- méthylol-éthane, le 1,1,1,-triméthylol-propane, la sorbite, la mannite, la dipentaérythrite,
le diglycérol, etc., ou des mélanges de ces alcools entre eux avec un a,w-diol aliphatique comportant 4 ou 5 atomes de carbone, par exemple le butanediol-1,4 avec l'acide téréphtalique ou l'acide isophtalique ou des halogé- nures de ces acides, par exemple le dichlorure d'acide téréphtalique ou un de ses esters avec un alcool inférieur, par exemple téréphtalate de méthyle, d'éthyle, de propyle, de butyle, d'amyle, d'hexyle et d'octyle,
ainsi que les isophtalates correspondants, de même que les demi-esters, par exemple le téréphtalate monométhylique, ainsi que des mélanges de ces esters et des acides ou halogénures d'acides.
On peut remplacer une partie du diol aliphatique comportant 4 ou 5 atomes de carbone par de l'éthylèneglycol, de telle sorte que sur le total de l'alcane diol présent, une portion comprise entre 20 et 100 % de poids du diol,
soit constituée par le diol aliphatique compor tant 4 ou 5 atomes de carbone, le reste étant de l'éthylèneglycol. Lorsqu'on utilise un mélange d'al cane diols, habituellement l'éthylèneglycol représente 10 à 80 0/0.
On a découvert que l'on peut réaliser les caracté ristiques et avantages de l'invention en faisant réagir un alcool polyhydroxylé comportant au moins trois groupes hydroxyles, par exemple le glycérol, la penta- érythrite, le 1,1,1-triméthylol-éthane, le 1,1,1-tri- méthylol-propane, la sorbite, la mannite, la dipenta- érythrite et le diglycérol, ou des mélanges de ces alcools entre eux, avec un diol aliphatique compor tant 4 ou 5 atomes de carbone,
par exemple le butanediol-1,4 avec l'acide téréphtalique ou l'acide isophtalique ou des halogénures de ces acides, par exemple le dichlorure d'acide téréphtalique ou un de ses esters avec un alcool inférieur, par exemple les téréphtalates de méthyle, éthyle, propyle, butyle, amyle, hexyle et octyle et les isophtalates correspon dants, ainsi que les demi-esters,
par exemple téré- phtalate monométhylique ainsi que des mélanges de ces esters et des acides ou halogénures d'acides. On peut remplacer une partie du diol aliphatique pré sentant 4 ou 5 atomes de carbone par de l'éthylène- glycol, de telle sorte que, sur le total de l'alcanediol présent,
une portion comprise entre 20 et 100 % du poids du glycol, soit constituée par le diol aliphati que avec 4 ou 5 atomes de carbone, le reste étant de l'éthylèneglycol ; lorsque l'on utilise un mélange d'al- canediols, habituellement l'éthylèneglycol représente 10 à 80 0/0.
On préfère utiliser un a,w-diol comportant 4 ou 5 atomes de carbone comme seul alcoolique mis en réaction.
Un groupe préféré de mélanges comprend ceux dans lesquels, les proportions étant calculées sur le nombre de molécules, la quantité de a,w-diol compor tant 4 ou 5 atomes de carbone représente environ 35 0% de la quantité d'alcool dihydroxylé, la quan tité d'éthylèneglycol représentant environ 65 0/0.
Tout écart notable au-dessus et au-dessous de cette valeur proportionnelle entre la quantité de a,w-diol avec 4 ou 5 atomes de carbone et celle d'éthylèneglycol a pour résultat une réduction marquée de la tempéra ture dans le test du percement par chauffage, par exemple dans le cas des produits avec une teneur relativement faible en glycérol (sauf pour les produits dans lesquels le a,w-diol avec 4 ou 5 atomes de car bone, constitue la totalité de l'alcool dihydroxylé).
On a découvert aussi que, à la limite inférieure de l'intervalle relatif à la teneur en glycérol, il y a un accroissement notable de la stabilité des polyesters polymères en utilisant un mélange de diol aliphatique à 4 ou 5 atomes de carbone et d'éthylèneglycol en contraste à l'éthylèneglycol seul.
Ainsi, un polyester préparé à partir de 776 parties de téréphtalate di- méthylique, 175 parties d'éthylèneglycol et 120 par ties de glycérol commence à précipiter, à partir de sa solution dans l'acide crésylique, après 3 mois de stockage,
tandis que des polyesters identiques dans lesquels on remplace 20 à 40 % en moles de l'éthylèneglycol par du butanediol-1,4 sont stables pendant plus de 6 mois sans précipitation.
Les alcools polyhydroxylés préférés contenant au moins 3 atomes de carbone sont le glycérol, le tri- méthylolpropane et la pentaérythrite et le dérivé phtalique préféré est le téréphtalate diméthylique et en général on préfère les téréphtalates aux isophta- lates.
L'alcanediol préféré est le butane-diol-1,4.
La réaction de transestérification et la formation de polymères entre le téréphtalate dialcoylique, l'al cool polyhydroxylé comportant au moins trois grou pes hydroxyles et le a,w-diol peuvent être réalisées en l'absence de solvant mais, de préférence, on emploie le crésol ou l'acide crésylique en tant que solvant. Bien que l'emploi d'un catalyseur d'estérification ne soit pas essentiel, il est fréquemment désirable d'en employer un.
Les catalyseurs habituels tels que acide chlorydrique, acide toluène-sulfonique, litharge, acé tate de plomb, oxyde de zinc, acétate ferrique. Le catalyseur préféré est la litharge.
Pour 776 parties (4 moles) de téréphtalate di- méthylique, on emploie une quantité d'alcool suffi sante, par exemple a,w-diol et alcool polyhydroxylé comportant au moins trois groupes hydroxyles, pour avoir au moins un groupe hydroxyle pour chaque groupe carboxyle (COO). De préférence, on a un total de 1,0 à 1,6 groupes hydroxyles provenant des alcools par groupe carboxyle de l'acide téréphtalique ou de son dérivé.
En général, une quantité comprise entre 25 et 75 % et habituellement 30 et 70 0/0, de l'alcool total est formée par un alcool possédant au moins trois groupes hydroxyles et le reste 75 à 25 0/0, ou habi tuellement 70 à 30 0/0, en poids est un a,w-diol. Comme on l'a indiqué ci-dessus,
une quantité de diol représentant 20 à 100 % du poids est du butane- diol-1,4 ; pentane-diol-1,5 ; butène -2-diol-1,4 ou butyne-2-diol-1,4 (ou un mélange de ces produits) le reste étant de l'éthylèneglycol.
Une autre manière d'exprimer les pourcentages des différents composants utilisés comme réactifs consiste à l'exprimer en pourcentages calculés sur les équivalents. D'une façon générale, il y a, en équiva- lents 25 à 62 % de dérivé de l'acide téréphtalique, par exemple téréphtalate diméthylique, 13 à 46 0/0 de diol, un mélange contenant un a,
w-diol compre nant 4 à 5 atomes de carbone ou plusieurs a,w-diols dont au moins 20 % en poids sont représentés par un a,w-diol contenant 4 à 5 atomes de carbone, par exemple le butane-diol-1,4, le reste, c'est-à-dire 80 à 0 0/0, peuvent être de l'éthylèneglycol,
et 13 à 46 0/0 d'alcool polyhydroxylé aliphatique comportant au moins trois groupes hydroxyles, par exemple glycérol. Quant au diol, 20 à 100 % en poids sont constitués par un a,w-diol comportant 4 ou 5 atomes de car bone, le reste, c'est-à-dire 80 à 0 0/0, en poids, étant de l'éthylèneglycol.
Le pourcentage en équivalents a été défini dans la littérature comme étant le nombre d'équivalents d'un produit particulier entrant en réaction, divisé par le nombre total d'équivalents de tous les produits entrant en réaction multiplié par 100.
On peut utiliser la pentaérythrite sous forme pure ou sous forme d'un mélange commercial, tel qu'un mélange à 90 % de pentaérythrite et de 10 % de di- pentaérythrite disponible dans le commerce sous la dénomination de Pentek . On peut utiliser la pentaérythrite pour remplacer le
glycérol, en totalité ou en partie. Il faut tenir compte, dans un tel rem placement, du groupe hydroxyle supplémentaire dis ponible dans la pentaérythrite.
Les esters polymères obtenus par le procédé selon l'invention peuvent être modifiés à l'aide d'un poly- isocyanate, de préférence un polyisocyanate compor tant au moins 3 groupes isocyanates, ou à l'aide de résines phénol-formaldéhyde.
Les polyesters polymères obtenus par le procédé selon selon la présente invention conviennent pour de nombreux emplois. Ainsi, on peut les employer pour le revêtement de conducteurs électriques tels que des fils de cuivre et pour le revêtement de diffé rents appareils électriques. Bien que les résines de la présente invention conviennent en premier lieu pour les applications dans l'industrie électrique, on peut les employer aussi dans des formules de pein ture et de vernis et pour mouler des objets comme, par exemple, des tasses.
Pour les applications dans l'industrie électrique, on emploie l'ester polymère de l'acide téréphtalique ou isophtalique, normalement à l'état dissous dans un solvant. Le solvant habituellement utilisé contient de l'acide crésylique.
Sur la figure unique du dessin, on a représenté une section transversale d'un conducteur électrique avec un revêtement à base du polyester polymère selon la présente invention.
En se reportant au dessin, on voit un fil de cuivre 2 avec un revêtement 4 en un polyester polymère tel que celui de l'exemple 1.
D'une façon générale, l'acide crésylique présente une zone d'ébullition de 200-220 C, par exemple 205 C environ. L'acide crésylique est défini dans l'ouvrage Bennett's Concise Chemical and Techni- cal Dictionary n (1947) comme un mélange de o-,m-, et p-crésols possédant une zone d'ébullition de 185 à 230^.
A la place de l'acide crésylique, on peut employer les différents crésols, par exemple p-crésol, m-crésol ou o-crésol, mais on préfère utiliser le mélange d'acide crésylique commercial. Il est fréquemment désirable de diluer l'acide crésylique avec un goudron de houille ou un naphta de pétrole ou avec des xylènes.
On peut employer le naphta en quantités comprises entre 0 et 60 0/0, par exemple 5 à 60 %, pourcentage rapporté au poids total du mélange du solvant. L'acide crésylique est le meilleur solvant, du point de vue pouvoir sol vant, mais le naphta améliore le lisse du revêtement. On ajoute le naphta de préférence lorsque la poly mérisation a atteint le stade de réaction désiré, qui est apprécié par les déterminations de viscosité. Tou tefois, on peut ajouter le naphta plus tôt, si on le désire.
On peut employer différents naphtas habi tuels, en particulier les naphtas à point d'ébullition élevé, par exemple le naphta EW (un naphta de gou dron de houille pour émail pour fil, vendu par la Société dite Baret Division of Allied Chemical and Dye Corporation) et le Solvesso No 100, un naphta aromatique extrait des pétroles.
La température de réaction n'est pas spéciale ment critique et l'on peut opérer aux températures habituelles de préparation des esters bien connus du glycérol ou de l'éthylèneglycol avec l'acide téréphta- lique, par exemple 800 C, jusqu'à la température de reflux du solvant.
On peut conduire la réaction soit en un seul stade, soit en plusieurs stades. Dans un procédé en deux stades, on fait réagir le téréphtalate diméthyli- que avec du glycérol et l'alcane-diol dans l'acide cré- sylique, jusqu'à ce que le produit ait atteint une vis cosité intermédiaire prédéterminée, on ajoute alors une quantité supplémentaire d'acide crésylique et l'on continue la réaction jusqu'à ce qu'on ait atteint la viscosité finale désirée.
Les proportions d'acide crésylique par rapport aux réactifs ne sont pas spé cialement critiques, bien que des quantités notables d'acide crésylique, par exemple une partie pour dix parties de téréphtalate diméthylique, soient habituel lement employées dans le premier stade.
Habituellement, on poursuit la réaction jusqu'à ce que le produit présente une viscosité, en solution dans l'acide crésylique, de 4000 à 5000 centipoises, mesurée à 250 C (température ambiante) et pour une concentration de 35 à 45 % en solides. De préfé- rence,
on conduit la réaction jusqu'à ce que le poly ester présente une viscosité Gardner-Holt d'environ Z3 pour une teneur de 40 % en solides en solution dans l'acide crésylique, à la température ambiante.
On peut appliquer la solution d'ester polymère de l'acide téréphtalique dans l'acide crésylique, avec ou sans naphta, sur le fil, par exemple un fil de cui vre, par l'une ou l'autre des deux méthodes habituel lement employées dans l'émaillage des fils. Par exem ple, on peut abaisser la viscosité et la teneur en soli des en utilisant un mélange d'acide crésylique et de solvant naphta EW et opérer suivant la méthode de trempage libre.
Dans cette méthode, on dilue la solu tion de résine jusqu'à ce qu'elle ait une viscosité à 250 C d'environ 50 à 100 centipoises, ou moins, et l'on fait passer le fil de cuivre sur une paire de pou- lies à demi submergées dans un récipient contenant la solution diluée.
Suivant une variante, on peut utili ser le polyester avec une viscosité de 4000 à 5000 centipoises (250 C) et l'utiliser comme émail pour fil à appliquer à la filière. La solution de résine convient aussi très bien pour l'application à la filière à des viscosités de 50 à 100 centipoises et à des teneurs en solides de 24 à 40 %. Le fil revêtu en utilisant <RTI
ID="0004.0015"> l'un de ces procédés est ensuite soumis à la cuisson dans un four pour l'émaillage des fils, aux températures habituelles, au-dessus du point d'ébullition du solvant, par exemple 350 à 4500 C, pour achever la poly mérisation de la résine et éliminer le solvant. On peut opérer à des vitesses de passage du fil de 5,5 à 13,7 mètres/minute.
Dans les exemples ci-après, les parties, sauf indi cations contraires, s'entendent en poids.
On a constaté que l'addition de petites quantités de dérivés du zinc, plomb, calcium ou cadmium améliore matériellement les propriétés, vis-à-vis de l'abrasion, de l'émail. On peut employer les siccatifs habituels à base de zinc, plomb, calcium ou cadmium, tels que les linoléates, octoates et résinates de chacun de ces métaux, par exemple résinate de zinc, résinate de cadmium, linoléate de plomb et linoléate de cal cium.
De même, on peut employer les naphténates, en particulier naphténate de zinc, naphténate de plomb, naphténate de calcium et naphténate de cadmium.
On peut employer aussi d'autres siccatifs métalli ques, en particulier des siccatifs dérivant de métaux polyvalents, tels que naphténate de manganèse et naphténate de cobalt, bien que l'on préfère l'octoate de zinc.
Le dérivé métallique est, de préférence, utilisé en quantités comprises entre 0,2 et 2,0 % de métal, calculées sur la quantité de solide totale de l'émail.
Les émaux, avec ou sans addition de siccatif mé tallique, présentent une tenue exceptionnelle aux températures élevées, ce qui permet de les utiliser comme isolants de la classe B. Les émaux contenant des polyisocyanates peuvent aussi être utilisés comme isolants de la classe F et, en fait, ils se rapprochent de ceux de la classe H, du point de vue des propriétés de résistance à la chaleur.
Dans les exemples suivants, sauf indications contraires, la solution de résine polyester est appli quée à un fil d'un diamètre de 1,024 mm par le pro cédé d'application à la filière en opérant avec une vitesse de fil de 7,6 mètres/minute et en faisant pas ser ensuite le fil recouvert dans un four de 3,7 mètres à une température de 3991, C. On fait passer le fil six fois à travers la solution et le four, le dépôt total d'émail de résine sur le fil étant, dans chaque cas, d'environ 0,069 à 0,076 millimètre.
On applique les résines émail pour fils à partir d'une solution contenant entre 25 et 50 % de soli- des, dans certains des exemples.
On a trouvé qu'il était désirable que le fil recou vert d'émail subisse certains essais pour être conve- nable pour l'emploi à 1350 C, pendant une longue durée. Ainsi, dans l'essai de résistance à l'abrasion, le fil émaillé doit résister à 20 passages, de préférence 30 passages.
Ainsi, le fil émaillé doit subir avec suc- cès l'essai d'élongation de 25 % plus flexibilité 3X. De même, il faut que le fil passe avec succès l'essai de résistance au solvant 50-50 et l'essai de rigidité diélectrique. Dans l'élongation après l'essai au chauf fage, il faut qu'il remplisse les conditions dans l'essai au Mandrin 5X après 100 heures à 185 C. Il doit subir l'essai de résistance aux chocs thermiques sur mandrin 5X.
Dans l'essai de résistance au cla quage à température élevée, la température minimum de claquage est de 160 C et il est désirable qu'elle soit supérieure à 175o C et de préférence encore plus élevée. Dans l'essai de rigidité diélectrique aux tem- pératures élevées, on doit avoir moins de 70 % de perte de la résistance diélectrique dans une humidité relative de 25 0/0,
pendant 500 heures à 200 C avec une tension d'essai de 2000 volts. Les fils émaillés préparés à partir des produits obtenus selon les exemples 1-19 sont soumis aux essais et passent avec succès toutes ces épreuves. Etant donné l'emploi de a,w-diol possédant 4 ou 5 atomes de carbone, les températures de claquage élevées sont tout à fait sur prenantes.
L'emploi de glycérol comme alcool polyhydroxylé possédant au moins trois groupes hydroxyles pré sente l'avantage d'améliorer la résistance au choc thermique, tandis que l'emploi de triméthylol-propane présente l'avantage de donner un revêtement plus lisse sur le fil.
Dans les exemples 1-19, on suit le mode opéra toire ci-après : on place le glycérol, le téréphtalate diméthylique, le a,w-diol possédant 4 ou 5 atomes de carbone (et l'éthylèneglycol lorsqu'on en emploie) la litharge (catalyseur) et l'acide crésylique (solvant) dans un appareil pour la réaction, équipé avec un agitateur, un thermomètre et une colonne courte avec refroidissement par air, reliée à un condensateur de distillation.
On chauffe l'appareil de réaction à 177 C et l'on fait démarrer l'agitateur. On porte ensuite progressi vement la température à une valeur comprise entre 232 et 243,, C sur une période de 6 heures. On main tient la vitesse d'accroissement de la température à environ 110 C par heure pendant cette période. Il se produit une distillation constante de méthanol.
On maintient le mélange dans l'appareil de réaction à 232-243 C jusqu'à ce que la viscosité Gardner-Holt soit de Z., pour une solution, avec une teneur de 40 0/0 en solides, dans l'acide crésylique. En général, il faut 6 à 12 heures de cuisson à 232-243 C pour atteindre cette viscosité.
Lorsque la masse a atteint une viscosité qui donne une valeur de Zz pour une solution avec une teneur de 40 % en solides, on la dilue avec un diluant (acide crésylique ou mélange d'acide crésylique et de xylène)
et l'on ajoute 40 par- ties d'une solution à 9 % d'octoate de zinc dans le naphta EW et l'on applique le mélange à un fil de 1,024 mm par le procédé d'application à la filière de la manière précédemment décrite.
Les exemples 24-32 sont conduits comme les exemples 1-19, mais, au lieu de 40 parties d'octoate de zinc, on ajoute 60 parties d'une solution à 9 0/0 d'octoate de zinc dans le naphta EW et ensuite le Mondur SH , et l'on applique le mélange sur un fil de 1,024 mm par le procédé d'application à la filière, de la manière décrite précédemment.
EMI0005.0010
<I>Exemple <SEP> 1</I>
<tb> Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 140 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 120 <SEP>
<tb> Butane-diol-1,4 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 51 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Lorsque l'on a atteint une viscosité de Z2, mesu rée pour une solution, avec une teneur de 40 0/0 en solides, dans l'acide crésylique, en opérant suivant le procédé de réaction que l'on vient d'indiquer, on dilue le mélange réactionnel avec de l'acide crésyli- que pour avoir une teneur en solides de 39 % et une viscosité de
Zl à Z2. A ce mélange ainsi dilué, on ajoute 40 parties d'une solution à 9 % d'octoate de zinc dans le naphta EW et ensuite on applique le mélange sur un fil de 1,024 mm par le procédé d'ap plication à la filière, en faisant 6 passes pour avoir un dépôt de 0,
076 millimètre. Le produit donne des résultats particulièrement bons dans l'essai de résis tance aux chocs thermiques et tous les exemples sont passés au mandrin de moins de 3. Le fil émaillé pré sente une température de claquage de 1900 C. Le polyester polymère de la solution formé dans le pré sent exemple est stable au stockage pendant plus de 6 mois.
Un polyester polymère similaire, sauf que l'on emploie 175 parties (2,82 moles) d'éthylène- glycol (à la place du mélange de 140 parties (2,25 moles) d'éthylèneglycol et 51 parties (0,57 mole) de butanediol-1,4), est stable pendant moins de 3 mois comme ceci est mis en évidence par la pré cipitation de solides.
<I>Exemple 2</I>
EMI0005.0044
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 105 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 120 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 102 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Lorsque l'on atteint une viscosité de Z., mesurée pour une solution, avec une teneur de 40 % en soli- des, dans l'acide crésylique, comme décrit ci-dessus,
on dilue le mélange réactionnel avec l'acide crésyli- que pour avoir une solution avec une teneur en soli- des de 43,5 % et une viscosité de Z2 à Z3. A ce mélange dilué,
on ajoute 40 parties d'une solution à 9 % d'octoate de zinc et l'on applique le produit obtenu sur un fil de 1,024 mm comme dans l'exem- ple 1. Le fil recouvert présente la même résistance au choc thermique exceptionnelle que celui de l'exemple 1 et le fil possède une température de cla quage de 2200 C. Le polyester polymère de la solu tion dans le présent exemple est stable au stockage pendant plus de 6 mois.
La résine polyester de l'exemple 2 diffère de celle de l'exemple 1 en ce que, dans l'exemple 2, sur la quantité totale de diol, expri mée en molécules, la quantité de butanediol-1,4 re- présente 40 %, celle d'éthylèneglycol 60 0/0, tandis que, dans l'exemple 1, le pourcentage de butane- dïol-1,
4 est de 20 % seulement, celui de l'éthylène- glycol étant de 80 %. <I>Exemple 3</I>
EMI0005.0109
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 140 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 120 <SEP>
<tb> Pentanediol-1,5 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 58,5 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Dès que l'on a atteint une viscosité de Z2, mesu- rée pour une solution, avec une teneur de 40 % en solides, dans l'acide crésylique, de la manière décrite,
on dilue le mélange avec de l'acide crésylique pour obtenir un produit avec 41,2 % de solides, et une viscosité de Z2. Le fil émaillé possède une tempéra ture de claquage de 1900 C.
<I>Exemple 4</I>
EMI0005.0136
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 150
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 150 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4. <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 38 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 0,2 <SEP> Une fois que l'on atteint une viscosité de Z2 pour une solution dans l'acide crésylique avec une teneur en solides .
de 40 0/0, on dilue le mélange avec l'acide crésylique pour avoir un produit avec une teneur en solides de 40,0 0/0, et une viscosité de Z2. Le fil émaillé a une température de claquage de 220o C.
<I>Exemple 5</I>
EMI0005.0142
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 114 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 150 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 88 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> .. <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Lorsque l'on a atteint une viscosité de Z2, mesu- rée pour une solution, avec une teneur de- 40 % en solides, dans l'acide crésylique,
on dilue le mélange avec de l'acide crésylique pour avoir un produit avec une teneur en solides de 42,0 % et une viscosité de Z3 à Z4. Le fil émaillé présente une température de claquage de 2400 C.
<I>Exemple 6</I>
EMI0006.0001
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 87,5 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 150 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4. <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 127 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Une fois que l'on a atteint une viscosité de Z2 pour une solution, avec une teneur de 40 % en soli- des, dans l'acide crésylique,
on dilue le mélange avec de l'acide crésylique pour obtenir une solution avec une teneur de 44,0 % en solides et une viscosité de Z3 à Z4. Le fil émaillé présente une température de claquage de 1800 C.
<I>Exemple 7</I>
EMI0006.0028
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 44 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 150 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4. <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 190 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Lorsque l'on a atteint une viscosité de Z2, mesu rée pour une solution à 40 0% de solides, dans l'acide crésylique, on dilue le mélange avec de l'acide crésy- lique pour avoir une solution avec une teneur de 35,0 % en solides,
avec une viscosité de Z5. Le fil émaillé présente une température de claquage de 225a C.
<I>Exemple 9</I>
EMI0006.0046
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 150 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 150 <SEP>
<tb> Pentanediol-1,5 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 42,2 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Une fois que l'on a atteint une viscosité de Z2 , mesurée pour une solution à 40 % de solides, dans l'acide crésylique, on dilue le mélange avec de l'acide crésylique pour avoir un produit avec une teneur en solides de 42,3 0% et une viscosité de 23. Le fil émaillé présente une température de claquage de 240,) C.
<I>Exemple 10</I>
EMI0006.0060
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 130 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 169 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4. <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 34 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Une fois que le mélange a atteint la viscosité de Z2, mesurée pour une solution, à 40 % de soli- des, dans l'acide crésylique,
on dilue le mélange avec de l'acide crésylique pour avoir un produit à 40,0 % de solides avec une viscosité de Z2. Le fil émaillé pos sède une température de claquage de 298o C.
<I>Exemple 11</I>
EMI0006.0084
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 112 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 225 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4. <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 19 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Lorsque le mélange a atteint la viscosité de Z2, mesurée pour une solution à 40 % de solides, dans l'acide crésylique,
on le dilue avec un mélange à 78 % d'acide crésylique et 22 % de xylène pour avoir un produit avec une teneur en solides de 37,
1% et une viscosité de Z+3. Le fil émaillé pré- sente une température de claquage de 2600 C.
<I>Exemple 12</I>
EMI0006.0117
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 100 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 225 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 36,5 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Une fois que le mélange a atteint la viscosité de Z j , mesurée pour une solution, à 40 % de solides, dans l'acide crésylique,
on le dilue avec un mélange à 60 % d'acide crésylique et 40 % de xylène pour obtenir une solution à 42,
5 % de solides et une vis- cosité de Z+3. Le fil émaillé présente une tempéra ture de claquage de 2800 C.
<I>Exemple 13</I>
EMI0006.0152
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 81 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 225 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 64 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Lorsque la masse a atteint une viscosité de 22, mesurée pour une solution, à 40 % de solides, dans l'acide crésylique,
on la dilue avec un mélange à 60 % d'acide crésylique et 40 % de xylène pour obtenir une solution avec une teneur en solides de 42,
5 % et une viscosité de Z+3. Le fil émaillé pré- sente une température de claquage de 2900 C.
<I>Exemple 14</I>
EMI0006.0185
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 62 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 225 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 91 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Lorsque la charge a atteint une viscosité de 22, mesurée pour une solution, à 40 % de solides, dans l'acide crésylique,
on la dilue avec un mélange de 60 % d'acide crésylique et 40 % de xylène pour obtenir une solution à 42,
5 % de solides RTI ID="0006.0213" WI="7" HE="4" LX="1831" LY="2578"> avec une viscosité de Z3. Le fil émaillé présente une tempéra ture de claquage de 275o C.
<I>Exemple</I> IS
EMI0007.0002
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 31 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 225 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 137 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Dès que le produit a atteint une viscosité de Z2, mesurée pour une solution, à 40 % de solides, dans l'acide crésylique,
on le dilue avec un mélange à 60 % d'acide crésylique et 40 % de xylène pour obtenir une solution à 30,0 % de solides,
avec une viscosité de Z+3. Le fil émaillé présente une tem pérature de claquage de 275o C.
<I>Exemple 16</I>
EMI0007.0035
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 225 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4. <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> <B>182</B> <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Lorsque le mélange a atteint une viscosité de Z2, mesurée sur une solution, à 40% de solides, dans l'acide crésylique, on le dilue avec un mélange à 60% d'acide crésylique et 40% de xylène pour obtenir une solution à 39,0% de solides, avec une viscosité de Z3. Le fil émaillé présente une tempé rature de claquage de 2800 C.
<I>Exemple 17</I>
EMI0007.0047
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 100 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 225 <SEP>
<tb> Pentanediol-1,5 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 42 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Une fois que le mélange a atteint la viscosité de Z,, mesurée sur une solution, à 40 % de solides, dans l'acide crésylique,
on le dilue avec un mélange à 82 % d'acide crésylique et 18 % de xylène pour obtenir une solution avec une teneur en solides de 42,
0 % avec une viscosité de Z4. Le fil émaillé pré- sente une température de claquage de 275 C.
<I>Exemple 18</I>
EMI0007.0080
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 87,5 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 150 <SEP>
<tb> Butène-2-diol-1,4 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 127 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Lorsque le mélange a atteint une viscosité de Z2, mesurée sur une solution, à 40 % de solides, dans l'acide crésylique, on le dilue avec de l'acide crésy- lique pour obtenir une solution à 50,
0 % de solides et une viscosité de Z... Le fil émaillé possède une température de claquage de 242o C. <I>Exemple 19</I>
EMI0007.0104
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 87,5 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 150 <SEP>
<tb> Butyne-2-diol-1,4 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 127 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> . <SEP> . <SEP> 0,2 <SEP> Lorsque le mélange a atteint une viscosité de Z2, mesurée sur une solution, à 40 % de solides, dans l'acide crésylique, on le dilue avec de l'acide crésyli- que pour avoir une solution à 44,
0 % de solides, et avec une viscosité de Z4 à Z5. On applique cette solution sur un fil de 1,024 mm, par le procédé d'ap plication à la filière précédemment indiqué, en opé rant avec une vitesse de 9 mètres/minute. Le fil émaillé présente une température de claquage de 265o C.
<I>Exemple 20</I>
EMI0007.0135
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 140 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 120 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 51 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Lorsque le produit présente une viscosité de Z.5, mesurée sur une solution, à 40% de solides, dans l'acide crésylique, en opérant suivant le procédé de réaction que l'on a décrit ci-dessus, on dilue le mélange avec de l'acide crésylique. Au mélange ainsi dilué,
on ajoute 60 parties d'une solution à 9 0/0 d'octoate de zinc dans le naphta EW et 688 parties d'une solution à 30 % de Mondur SH dissous dans l'acide crésylique. Le mélange résultant présente une viscosité de Z3-Z4 et une teneur en solides de 45 0/0.
La quantité de Mondur SH représente 20 % du total de solides et le polyester 80 % des solides de résine. On applique le mélange sur un fil de 1,024 mm, par le procédé à la filière, en 6 passes, et dans un four à la température de 399 C pour obtenir un dép"ot d'environ 0,076 mm.
Lorsque l'on fait l'essai à 7,6 mètres/minute dans l'essai de résis tance à l'abrasion (essai de raclage), l'échantillon résiste à 46 passes, subit avec succès l'essai d'élon- gation de 25 % plus flexibilité 3X, l'essai de résis- tance au solvant 70-30, l'essai de résistance au sol vant 50-50, l'essai de rigidité diélectrique ;
dans l'élongation après l'essai de vieillissement au chauf fage, en opérant dans les conditions plus sévères, à savoir mandrin 3X à 1750 C, l'échantillon résiste plus de 500 heures et subit avec succès l'essai de choc thermique et présente une température de cla quage de 2700 C, dans l'essai de la rigidité diélectri que à température élevée à 2250 C sous 2000 volts, il ne claque pas au cours de 250 heures d'essai.
Un autre essai d'application à la filière, mais à la vitesse de 9 mètres/minute, l'essai d'abrasion donne 36 pas ses, l'essai au mandrin 3X à 1750 C est de 720 heu res, le résultat dont la température de claquage est 2800 C et le nombre d'heures avant le claquage sous 2000 volts et à 25o C est de 652 heures.
<I>Exemple 21</I> On refait l'essai de l'exemple 20, mais en utili sant, comme matières premières pour la formation du polyester
EMI0008.0002
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 120 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4. <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 250 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> On ajoute la solution d'octoate de zinc dans le solvant naphta en quantité suffisante pour avoir une teneur de 0,75 % en octoate de zinc rapportée à la quantité de solides polyester et le mélange obtenu présente une viscosité de Z3-Z4 à une concentration de solides de 45 <RTI
ID="0008.0019"> %, le polyester formant 80 % des solides résineux, le Mondur SH représentant 20 0/0. On applique le mélange sur le fil à la vitesse de 7,6 mètres/minute et le fil recouvert ne claque pas au cours de l'essai de rigidité diélectrique en 272 heures à 2250 C.
<I>Exemple 22</I> On répète l'exemple 21. Le seul changement réside dans la composition des matières premières pour la formation du polyester.
EMI0008.0030
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 44 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 150 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4. <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 190 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> Le mélange polyester-Mondur SH (80 % de polyester, 20 % de Mondur SH, calculé sur les soli- des)
est appliqué sur un fil à la vitesse de 9 mètres/ minute et le fil recouvert ne claque pas au cours de l'essai pour la rigidité diélectrique en 176 heures à 225o C.
<I>Exemple 23</I> On répète l'exemple 22 en utilisant, comme com position, pour la formation du polyester
EMI0008.0053
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 150 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4. <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 190 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> On applique le polyester (80 o/,) et le Mondur SH (20 0/0) (calculé sur les solides) sur un fil, à des vitesses de 7,6 mètres/minute, 9 et 10,7 mètres/ minute. A la vitesse de 7,6 mètres/minute, les résul tats sont: 408 heures dans l'essai au mandrin 3X à 1750 C, une température de claquage de 270 C, essai de rigidité diélectrique durée de vie 226 heures à 2250 C ; à 9 mètres/minute la température de cla quage tombe à 2650 C et la durée de vie dans l'essai de rigidité diélectrique monte à 265 heures à 225o C ; à 10,7 mètres/minute, l'essai de rigidité di électrique donne une durée de 403 heures à 225 C.
<I>Exemple 24</I> On répète l'exemple 23 en utilisant, comme matières premières, pour le polyester
EMI0008.0061
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 100 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 225 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4 <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 36,5 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> La solution 80 % de polyester et 20 % de Mon- dur SH, appliquée au fil à la vitesse de 7,6 mètres/ minute, donne, à l'essai de raclage, 38 passes et, à l'essai pour la rigidité diélectrique, 578 heures à 225,) C ;
à 9 mètres/minute, pour l'essai de raclage, 39 passes, et une température de claquage de 302o C, et, pour l'essai de rigidité diélectrique, 435 heures à 225o C ; et, à la vitesse de 10,7 mètres/ minute, pour l'essai de raclage, 40, pour le claquage 285,, C, et, pour l'essai de rigidité diélectrique, 536 heures à 225o C.
<I>Exemple 25</I> On répète l'exemple 23 en utilisant, comme matières premières, pour le polyester
EMI0008.0080
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 225 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4. <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 182 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 0,2 <SEP> La solution 80 % de polyester et 20 % de Mondur SH , dans l'acide crésylique, appliquée au fil à la vitesse de 7,6 mètres/minute, donne, à Pesai de raclage, 41 passes au claquage 2810 C. Lorsqu'on l'applique, à la vitesse de 9 mètres/ minute, la température de claquage tombe à 267o C.
Dans les exemples 30, 31 et 32, on emploie le même polyester, mais on fait varier la quantité de Mondur SH . On prépare le polyester, dans les exemples 30-32, à partir de la composition sui vante
EMI0008.0100
Téréphtalate <SEP> diméthylique <SEP> . <SEP> . <SEP> 776 <SEP> parties
<tb> Ethylèneglycol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 114 <SEP>
<tb> Glycérol <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 150 <SEP>
<tb> Butanediol-1,4. <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 88 <SEP>
<tb> Acide <SEP> crésylique <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> .
<SEP> 200 <SEP>
<tb> Litharge <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> . <SEP> 0,2 <SEP> Au mélange, après - formation du polyester comme décrit ci-dessus, on ajoute la solution d'oc- toate de zinc dans le naphta de façon à avoir un total de 0,75 % d'octoate de zinc, rapporté au poly- ester.
<I>Exemple 26</I> Au mélange contenant le polyester que l'on vient de décrire, on ajoute une solution à 30 % de Mon- dur SH dans un solvant composé de 80 % d'acide crésylique
et 20 % de Solvesso 100 , en quantité suffisante pour avoir 10 % de Mondur SH et 90 % de polyester,
rapportés au total de solides. On ajoute une quantité suffisante d'acide crésylique et de Solvesso 100 pour avoir une teneur en solides de 31 %. On emploie les solvants de façon à obtenir un <RTI
ID="0009.0053"> mélange final de solvants, formé de 80 % d'acide crésylique et 20 % de Solvesso 100 . On obtient une viscosité M.
Lorsque l'on applique le mélange final sur un fil à la vitesse de 6,7 mètres/minute, la température de claquage est de 291 0 C, et le temps de vieillissement diélectrique est de 338 heures à 2200 C ; à la vitesse de 9 mètres/minute, le claquage se fait à 235,) C et l'essai de rigidité diélectrique donne 430 heures à 2200 C ; à 10,7 mètres/minute, le claquage se fait à 2020 C.
<I>Exemple 27</I> Dans cet exemple, on ajoute le Mondur SH en quantité suffisante pour donner 22,5 % de Mon- dur SH et 77,
5 % de polyester sur le total des soli- des. Le pourcentage de solides du mélange final est de 28 % et le solvant contient 80 % d'acide crésyli-
que et 20 % de Solvesso 100 . La viscosité finale est I-J. Lorsque le mélange est appliqué sur un fil à la vitesse de 7,6 mètres/minute, l'essai de raclage donne 43 passes, le claquage à 2700 C et le vieillisse ment diélectrique est de<B>561</B> heures.
A la vitesse de 9 mètres/minute, l'essai de raclage donne 30 pas ses, l'essai de claquage 2800 C et le temps de vieillis- sement diélectrique est de 696-I- heures à 2200 C (l'essai est arrêté avant le claquage).
<I>Exemple 28</I> Dans cet exemple, on ajoute le Mondur SH en quantité suffisante pour avoir 30 % de Mondur SH et 70 % de polyester. Le pourcentage de
solides dans le mélange final est de 27 % et le solvant com- prend 80 % d'acide crésylique et 20 % de
Solvesso 100 . La viscosité du mélange final est H. Lorsqu'on applique le mélange sur un fil, à la vitesse de 7,6 mètres/minute, la température de claquage est de <B>2930C,</B> et à 9 mètres/minute elle est de 257 C.
Pour préparer un mélange contenant une petite quantité de polyisocyanate, on ajoute le Mondur SH à la solution de polyester, formée dans l'exem- ple 1,
pour avoir un total de 1% de Mondur SH et 99 % de résine polyester sur un total de solides et l'on dilue le mélange avec l'acide crésylique
pour obtenir un produit avec 45 % de solides total. L'em- ploi de 1 % de Mondur SH améliore la régula- rité du dépôt sans affecter de façon notable les autres propriétés.
Le No 18 AWG désigne un fil de 1,024 mm. cures ou esters inférieurs avec un mélange contenant un a,cw-diol comprenant 4 à 5 atomes de carbone ou plusieurs a,cu-diols dont au moins 20 % en poids sont représentés par un a,cw-diol comprenant 4 à 5 atomes de carbone,
et un alcool aliphatique saturé comportant au moins trois groupes hydroxyles et qu'on polymérise le polyester ainsi obtenu à tempé rature élevée.
II. Utilisation des polyesters polymères obtenus selon la revendication I pour des revêtements isolants de conducteurs électriques et pour des émaux de fils de tous genres.