CH359655A - Machine permettant d'empiler mécaniquement des bobines, par exemple de filature, notamment en vue de leur mise en caisse - Google Patents

Machine permettant d'empiler mécaniquement des bobines, par exemple de filature, notamment en vue de leur mise en caisse

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CH359655A
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coils
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silo
tape
grippers
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Brand Andre
Brawand Andre
Salmona Gerard
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Fibrexa S A
Hasler S A
Filatures Et Tissages De Witte
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    • B65H2701/31Textiles threads or artificial strands of filaments

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  • Warehouses Or Storage Devices (AREA)

Description


  
 



   Machine permettant d'empiler mécaniquement des bobines, par exemple de filature, notamment en vue de leur mise en caisse
 La présente invention se rapporte à une machine permettant d'empiler mécaniquement des bobines, par exemple de filature, notamment en vue de leur mise en caisse.



   Outre cette dernière opération, se rapportant à l'emballage et l'expédition, il est en effet souvent nécessaire d'empiler les bobines de filature dans le simple but d'en faciliter la manutention, le problème à résoudre restant par contre toujours le même, soit de placer les bobines régulièrement réparties côte à côte et les unes sur les autres, avec leurs axes tous orientés dans la même direction.



   Pour résoudre ce problème, la machine selon la présente invention est caractérisée par un silo circulaire, présentant une rampe   hélicöïdale    intérieure d'élévation des bobines, un mécanisme communiquant audit silo des impulsions angulaires dirigées, ainsi qu'un canal de transfert dans lequel tombent les bobines élevées par ce moyen, canal qui se déverse sur un ruban répartiteur agencé de façon à conduire les bobines côte à côte dans une direction perpendiculaire à leur axe, des moyens déclenchant, à charge prédéterminée de ce ruban, un élévateur chassant la première bobine et un nombre prédéterminé de bobines lui faisant suite dans des paires de pinces disposées en plusieurs rangées dans un cadre chargeur qui, après réception d'un lot remplissant une rangée de pinces,

   est déplacé de façon à amener la rangée suivante de pinces vides au-dessus du ruban répartiteur, ce cadre, une fois complètement chargé, étant enfin amené à une station de réception des bobines, où le déclenchement d'un dispositif expulsant les bobines des pinces les fait se déposer en une couche, après quoi le cadre chargeur vide retourne à sa position de départ et les opérations précédentes se reproduisent, des tâteurs étant disposés à l'endroit du canal de transfert, arrêtant momentanément les fonctions des éléments le précédant lorsque ce canal est pratiquement plein, et arrêtant momentanément les fonctions des éléments lui faisant suite, lorsqu'il est pratiquement vide.



   Le dessin annexé montre une forme d'exécution de la machine faisant l'objet de l'invention, donnée à titre d'exemple, ainsi que des détails de variantes.



   La fig. 1 est une vue en élévation de cette forme d'exécution, laissant apercevoir un silo, un canal de transfert, un ruban répartiteur et un cadre chargeur supportant des pinces.



   La fig. 2 est une vue par-dessous du silo et de ses moyens d'entraînement.



   La fig. 3 est un détail d'une rampe intérieure d'élévation du silo dont
 la fig. 4 représente une particularité en coupe.



   La fig. 5 est une coupe et une vue partielle du canal de transfert et du ruban répartiteur, destinée à montrer la disposition de tâteurs contrôlant le remplissage de ce canal.



   La fig. 6 est une vue d'un élévateur destiné à chasser dans les pinces les bobines réparties sur le ruban.



   La fig. 7 montre une pince et le mode de fixation de ses branches.



   La fig. 8, qui se rapporte au cas particulier du remplissage d'une caisse, montre le cadre chargeur chargé de bobines et la caisse dans laquelle ces dernières vont être déposées en une couche.



   La fig. 9 se rapporte à un dispositif expulsant les bobines des pinces.  



   La fig. 10 montre, partiellement en coupe, une roue d'humidification qui, dans certaines formes d'exécution de la machine, est intercalée entre le silo et le canal de transfert.



   Les fig. 11 et 12 sont des vues partielles expliquant le chargement de cette roue à partir du silo.



   La fig. 13 est une coupe partielle à plus grande échelle montrant un moyen de sécurité placé à l'endroit du passage des bobines de la roue au canal de transfert.



   La fig. 14 montre, en perspective, des organes transporteurs permettant le retournement des bobines, dans le but de les orienter toutes dans le même sens par rapport à la conicité de leur tube.



   La fig. 15 est un détail de la disposition précédente.



   La fig. 16 se rapporte également à un détail.



   La fig. 17 est enfin une vue en perspective très simplifiée d'une forme d'exécution complète de la machine.



   La machine représentée à la fig. 1 comprend un silo 1 suivi d'un canal de transfert 2 conduisant les bobines une à une dans des godets d'un ruban répartiteur 3 passant sous une rangée de paires de pinces 4 d'un cadre chargeur surmonté d'une boîte 5. Celleci est susceptible de coulisser perpendiculairement au plan du dessin, le long de deux barres 6, soutenues par un bâti partiellement représenté en 7.



   Le silo 1, dans lequel on jette les bobines pêlemêle, présente une rampe hélicoïdale intérieure d'élévation 8, le long de laquelle les bobines sont destinées à circuler en s'élevant jusqu'à un point de sortie 9, d'où elles se déversent directement dans le canal de transfert 2.



   L'ascension des bobines a lieu sous l'effet d'impulsions angulaires dirigées, communiquées au silo oscillant autour de son axe support 10, par le moyen, d'une part, d'un piston contenu dans un cylindre 11 et, d'autre part, d'une paire de ressorts de rappel 12 (fig. 2).



   L'angle x chaque fois décrit par le silo est déterminé par une butée 13 de ce dernier, agissant sur deux contacts électriques de fin de course 14 et 15.



   Dans la position représentée en fig. 2, le contact 14 alimente un électro-aimant commandant un tiroir 16 en sorte de mettre le cylindre 11 en communication avec une alimentation 17 en air comprimé. La tige de ce piston agira sur le silo de manière à le faire tourner dans le sens des aiguilles d'une montre par rapport à la position de la fig. 2, ou encore dans le sens de la flèche 18 de la fig. 1.

   Ce mouvement angulaire s'arrêtera par contre lorsque la butée 13 rencontrera le second contact 15, par lequel le tiroir 16 sera déplacé en sorte de mettre le cylindre   1 1    en communication directe avec l'air libre, par l'intermédiaire de l'échappement 19, ce qui permet aux deux ressorts 12 de provoquer un brusque retour en arrière du silo jusqu'à sa position de départ, ces impulsions angulaires dirigées se suivant à une cadence plus ou moins rapide, déterminée par constraction.



   A la fig. 3, la flèche 18 correspond à l'impulsion provenant du cylindre 11, mouvement que suivra la bobine 20, tandis que son inertie l'empêchera de reculer au moment du brusque retour en arrière de la rampe 8 sous l'effet du mouvement de retour provenant des ressorts 12.



   L'action que   l'on    vient de décrire serait toutefois incertaine en utilisant une rampe lisse, raison pour laquelle la bobine est soutenue par des moyens appropriés spéciaux, tels que ceux représentés à titre d'exemple à la fig. 4.



   Dans cette figure, on voit que la bobine 20 repose sur la rampe 8 par l'intermédiaire d'une bande de tissu 21 à poils dirigés, soit en particulier une peluche du genre de celles connues des skieurs pour servir d'antidérapant, en remplacement des peaux de phoques naturelles. L'emploi d'un tel moyen assure la parfaite élévation des bobines, qui ne peuvent reculer, et que le support en peluche ne peut ni blesser, ni abîmer.



   Du silo 1, les bobines parviennent donc au canal de transfert 2, où elles viennent se placer l'une audessus de l'autre, comme le montre la fig. 5, dans le but de se poser ensuite une à une dans les godets 22 du ruban répartiteur 3. Celui-ci se déplace, comme l'indique la flèche 23, dans une direction perpendiculaire aux axes des bobines, lesquelles se présentent ici perpendiculairement au plan du dessin.



   Etant donné qu'il est, d'une part, impossible que le silo distribue les bobines une à une et bout à bout à un rythme régulier, et qu'il est, d'autre part, nécessaire, comme on le verra par la suite, que tous les godets 22 du ruban répartiteur 3 soient régulièrement chargés d'une bobine, on voit que le canal de transfert 2 constitue un intermédiaire jouant le rôle d'un régulateur entre le silo et le ruban. Pour cette raison, il porte deux contacts électriques 24 et 25, dont l'un, le contact inférieur 24, apparaît à la fig. 5 avec son tâteur 26 pénétrant dans le canai, ces contacts ayant les fonctions   suivantes   
 Lorsque le canal 2 est vide, le tâteur 26 y tombe, actionne le contact 24 et provoque par son intermédiaire l'arrêt momentané du ruban répartiteur 3 et, en général, de toutes les opérations faisant suite audit canal.

   Dès que des bobines remplissent à nouveau le canal 2, ces organes sont remis en marche par le contact précité mais, dès que le canal est plein, le tâteur du second contact 25 est soulevé et, à son tour, provoquera l'interruption du chargement du canal, en particulier des impulsions communiquées au silo.



   La fig. 1 montre une bobine 27, placée dans un godet 22 du ruban répartiteur 3 et, à hauteur de cette bobine, un contact électrique 28 dont le doigt est rencontré par cette bobine au moment où elle termine sa course horizontale. A ce moment, elle se trouve sous la pince 4 la plus avancée, c'est-à-dire  celle de gauche par rapport au dessin. Vu le remplissage parfait de tous les godets auquel il a été fait allusion, cette bobine sera suivie d'autres bobines, posées côte à côte dans les godets du ruban 3.



   Lors de la rencontre du doigt de contact 28 par la bobine de tête 27, le ruban répartiteur est arrêté dans une position telle que sous chaque paire de pinces 4 se trouve une bobine.



   En même temps qu'il provoque cet arrêt, le contact 28 déclenche la mise en marche d'un élévateur de bobines représenté plus en détail à la fig. 6.



   Il s'agit d'une pièce 29 en forme de gouttière, dont les branches s'élèvent de part et d'autre du ruban répartiteur 3 et qu'un piston 30 permet de soulever ou d'abaisser.



   Les arêtes horizontales supérieures des branches de cet élévateur présentent une suite d'encoches dont les distances respectives correspondent exactement au pas des godets 22 du ruban répartiteur. En s'élevant, cette pièce soulève à la fois toutes les bobines par leurs extrémités et les chasse d'un coup dans les paires de pinces correspondantes, le nombre des   pai-    res d'encoches étant égal au nombre de paires de pinces, permettant, dans l'exemple représenté, de recueillir chaque fois douze bobines.



   Il est évident que le mouvement d'élévation, qui est ici commandé pneumatiquement ou hydrauliquement, pourrait aussi être commandé mécaniquement au moyen d'une crémaillère, tout comme les impulsions communiquées au silo pourraient l'être par d'autres moyens que par le cylindre pneumatique décrit.



   En l'occurrence, il est nécessaire, durant que le ruban répartiteur 3 est arrêté, de chasser les bobines dans les pinces, de retirer l'élévateur 29, puis de remettre en marche le ruban 3, tandis qu'une nouvelle rangée de paires de pinces vient se placer audessus de ce dernier. Pour cette raison, l'élévateur 29 porte un doigt 31 agissant sur trois contacts 32, 33 et 34.



   Le contact inférieur 32 provoque l'arrêt de   l'élé-    vateur dans sa position la plus basse. Le contact 33 placé immédiatement au-dessus n'est pas influencé lors de la montée de l'élévateur, mais le contact 34 détermine par contre la fin de course et   Finversion    du mouvement de ce dernier en vue de passer de la montée à la descente.

   C'est en redescendant que le doigt 31, agissant sur le contact 33, provoque la remise en marche du ruban répartiteur, par exemple par l'intermédiaire de son moteur 35 (fig. 1), en même temps qu'est déclenché le transport de la boîte 5 le long des barres 6, de manière à amener une rangée de paires de pinces vides au-dessus du ruban, dont les godets se remplissent à nouveau jusqu'au moment où la nouvelle bobine de tête atteint le contact 28 et où les opérations que   l'on    vient de décrire recommencent.



   La fig. 7 montre une pince 4 à plus grande échelle. Elle est faite de deux fils courbés en sorte de réserver entre eux un espace élargi pouvant recevoir le tube 36 d'une bobine et s'écartant en outre   l'un    de l'autre vers leurs extrémités libres, de manière à faciliter l'entrée du tube qui s'y engage en direction de la flèche 37.



   Les deux fils formant cette pince et ceux formant les pinces adjacentes, sont enfilés dans des trous   correspondants    d'une barre quadrangulaire 38 et y sont maintenus par des vis de serrage 39, ce qui permet de les remplacer facilement et instantanément.



   Voici maintenant, en se basant sur la fig. 8, comment les séries de bobines introduites dans les paires de pinces peuvent être empilées couche par couche, par exemple dans une caisse 40.



   On voit en 3 le ruban répartiteur et, en 41, la bobine de tête d'une série de douze bobines placées dans la première rangée de paires de pinces. A côté de ces bobines, la boîte 5 porte encore trois rangées de pinces 4, qui sont vides.



   Cette boîte coulisse, comme on l'a vu, sur des barres 6, étant entraînée pour cela par un câble ou une chaîne 42. Elle porte, à sa partie supérieure, une butée 43, destinée à agir sur une série de contacts désignés par 44, 45, 46, 47 et 48.



   On a vu plus haut que, après avoir élevé et introduit dans les pinces une série de bobines, l'élévateur 29 (fig. 6) redescend et agit sur un contact 33, provoquant la mise en mouvement de la boîte 5 (par l'intermédiaire de 42).



   Ce mouvement se poursuit jusqu'à la rencontre de la butée 43 et du contact 45 qui, à son tour, immobilise la boîte. A ce moment, une série de paires de pinces vides se trouve au-dessus du ruban répartiteur 3 et les opérations précédentes recommencent, c'est-à-dire qu'un nouveau lot de douze bobines est introduit dans les paires de pinces vides se trouvant au-dessus du ruban.



   Ensuite la boîte 5 avance jusqu'au contact 46 et, après une nouvelle opération de chargement d'une rangée de paires de pinces, jusqu'au contact 47. La dernière des quatre rangées de paires de pinces est enfin. munie de bobines en sorte que le prochain avancement de la boîte 5 ne s'interrompt que contre le dernier contact 48.



   Celui-ci est un contact de fin de course, déclenchant en même temps les opérations de mise en caisse, soit le soulèvement de la caisse 40 par l'intermédiaire de câbles ou de chaînes 49, jusqu'au moment où les bobines y rencontrent, soit le fond, soit des couches de bobines déjà préalablement déposées.



   Cette rencontre a pour effet de provoquer l'éjection de toutes les bobines simultanément hors des paires de pinces, en même temps que la descente de la caisse 40 à sa position de départ, fixée par la rencontre du contact 50 et du plateau 51 la supportant.



   Quant à l'éjection des bobines, hors des paires de pinces, la fig. 9 permet de l'expliquer. On y voit la bobine 41 à plus grande échelle et, au-dessus de cette dernière, une plaque 52 supportée par une tige  verticalement mobile dans la bobine 53 d'un électroaimant, un contact 54 étant disposé au-dessus de cette plaque et à proximité immédiate de celle-ci, toutefois, sans la toucher.



   Lors de la montée de la caisse 40, au moment de la rencontre des bobines avec son fond ou avec d'autres bobines déjà déposées, la nouvelle couche de bobines est soulevée en direction de la plaque 52, qui s'élève à son tour (il y a en réalité une plaque par rangée de bobines) et qui atteint le contact 54.



  Le circuit ainsi fermé a pour effet de faire agir l'électro-aimant 53 sur l'armature maintenant la plaque 52 de manière à repousser cette dernière avec force vers le bas, en même temps qu'il se produit l'inversion du mouvement de la caisse 40 qui se met à descendre. Par raison de sécurité, chaque contact tel que 54 agit sur les électro-aimants de toutes les rangées de paires de pinces et de bobines.



   Les bobines ainsi repoussées descendent avec la caisse et quittent les pinces, tandis que la plaque 52 revient en arrière après avoir terminé sa course d'éjection. Lorsque la caisse 40 atteint enfin le contact de fin de course 50, un circuit se ferme, immobilisant la caisse et ramenant la boîte 5 à sa position de départ, où elle est à son tour arrêtée par la rencontre de la butée 43 et du contact 44.



   A ce moment, toutes les opérations précédentes recommencent et une nouvelle couche de quatre rangées de bobines peut être déposée dans la caisse de la manière décrite. Dans une variante, le cadre chargeur pourrait être abaissé au lieu que ce soit le support de la caisse qui s'élève.



   Dans une variante, la machine peut être complétée par un compteur de bobines, ou un compteur de couches, permettant, par   exemple,    d'arrêter les opérations automatiquement lorsque la caisse a atteint un remplissage partiel donné, ou par des moyens provoquant cet arrêt automatiquement lorsque la caisse est pleine seulement.



     I1    est enfin évident que la caisse peut être remplacée par un autre récipient ou en particulier encore par un support en. U, ne comportant qu'un fond et deux parois extrêmes et permettant la manutention directe des bobines empilées et éventuellement comptées, lorsqu'elles ne sont pas destinées à l'expédition.



   Les fig. 10 à 13 se rapportent à une variante qui est analogue à la machine que   l'on    vient de décrire, mais qui présente en outre des moyens permettant d'humidifier les bobines à volonté entre leur sortie du silo et leur distribution sur le ruban répartiteur.



   Ces moyens sont constitués par une roue 55, présentant des aubes 56, formant entre elles des alvéoles intérieurement délimités par un cylindre de treillis métallique 57. Cette roue est maintenue d'un côté par son arbre extérieur 58 et roule, de l'autre côté, sur des galets 59 permettant de réserver une ouverture donnant accès à l'intérieur de la roue.



   Celle-ci tourne dans le sens de la flèche 60 et reçoit des bobines une à une en 61 (l'une de ces bobines est dessinée en 62) puis, après environ un demi-tour, elle les déverse dans le canal de transfert 2, une paroi cylindrique 63 les empêchant de tomber hors des alvéoles avant d'avoir atteint ce canal.



   A l'intérieur de la roue, en 64, se trouve un conduit en forme d'arc de cercle concentrique à l'axe de la roue et, à l'extérieur, un conduit analogue 65 de même conformation, tout les deux pouvant être alimentés en eau sous pression, en vapeur ou tel produit que   l'on    voudra, que de petites ouvertures permettent de projeter à leur passage contre les bobines, tant par l'intérieur que par l'extérieur, en vue de les humidifier.



     I1    résulte de cette disposition. non seulement une humidification régulière de l'intérieur et de l'extérieur, mais encore de quantité constante en raison de la vitesse constante de la roue, étant, de préférence, prévu que, en cas d'arrêt de cette dernière pour une raison ou une autre, des vannes automatiques interrompent immédiatement l'alimentation des conduits.



   La fig. 11, qui montre la roue 55 vue par la tranche, sert à expliquer comment peut être effectué le chargement des bobines:
 Du bord supérieur du silo 1 part et monte un ruban transporteur 66 amenant ces dernières sur un second ruban transporteur 67 pratiquement horizontal, se déplaçant en regard des arêtes extérieures des aubes 56 et parallèlement à ces dernières (voir aussi le plan partiel de la fig. 12). Au-dessus du ruban 67 se trouve un déflecteur   o8,    ayant pour but de dévier les bobines en direction des alvéoles subsistant entre les aubes et de les y faire tomber.



   La division du ruban transporteur en deux tron çons a pour mission d'éviter, lors de l'arrêt de cette partie de la machine, qu'une bobine incomplètement introduite dans un alvéole de la roue se place en travers, en mauvaise position.   I1    suffit, pour cela, de donner au ruban transporteur 67 un mouvement ininterrompu et de n'arrêter que le seul ruban transporteur 66. Celui-ci n'amènera plus de bobines à la roue, mais toute bobine se trouvant encore sur le ruban transporteur 67 sera obligatoirement chassée dans la roue.



   Malgré cela, il pourrait arriver qu'une bobine ne soit pas correctement placée au fond de l'alvéole, mais se trouve mise en biais, de telle façon qu'une de ses extrémités, par exemple, émerge de la roue.



  Deux contacts de sécurité 69 (fig. 11), placés quelque part au voisinage du bord extérieur des joues de la roue, provoquent alors l'arrêt de la machine si une bobine vient à rencontrer   l'un    d'eux.



   La fig. 13 se rapporte à une variante présentant un dispositif de sécurité à l'entrée du canal de transfert 2, afin que les bobines y roulent les unes sur les autres toujours en bonne orientation.



   Cette figure montre le treillis métallique intérieur 57 de la roue, deux aubes 56 et une bobine 70 qui, s'étant mise en travers, risque de provoquer  un coincement entre une aube et le bord de la paroi du canal de transfert 2.



   Pour cette raison, cette portion de la paroi considérée possède, au voisinage de l'entrée du canai, un tronçon 71 formant un volet articulé en 72 et prenant appui sur un contact de sécurité 73, destiné à arrêter tous les organes précédant le canal de transfert 2, dès le moment où le volet 71 est déplacé.



   Les fig. 14 et 15 se rapportent à une autre variante analogue à la machine décrite, mais qui présente un dispositif particulier intercalé soit entre le silo et le ruban répartiteur, soit encore entre la roue d'humidification et ledit ruban.



   La vue en perspective de la fig. 14 montre que ce dispositif particulier est formé d'une série de creusures semi-cylindriques pratiquées chacune dans une plaque 74 de forme générale circulaire d'une chaîne sans fin de telles plaques. Ces creusures 75 s'étendent selon un diamètre de chaque plaque et perpendiculairement au sens de déplacement de celles-ci, indiqué par la flèche 76.   I1    ne s'agit de rien d'autre que d'une chaîne transporteuse spéciale.



   Chaque élément formé d'une plaque 74 et d'une creusure 75 est placé sur un axe central vertical 77, par lequel une chaîne non représentée les conduit tous, chacun de ces axes portant à sa base un pignon 78.



     I1    résulte de cette disposition un ruban pratiquement ininterrompu, formé de la succession des plaques 74, dans   lesquels    les creusures 75 se suivent à espaces reguliers.



   Ainsi donc, si l'on fait tomber les bobines sur ce transporteur par l'intermédiaire d'un organe tel que le canal de transfert 2, on voit qu'elles tomberont l'une après l'autre dans les creusures 75 et seront ainsi espacées les unes des autres.



   Les plaques 74 étant tronquées aux deux extrémités de leurs creusures et leur diamètre au plus égal à la longueur d'une bobine, il en résulte que ces dernières émergent par leurs extrémités, par exemple de la quantité dont leur tube de carton dépasse la portion bobinée.



   Le but du dispositif que   l'on    vient de décrire est d'orienter toutes les bobines dans le même sens, étant entendu que leur tube de carton n'est pas cylindrique, mais légèrement conique, c'est-à-dire de plus petit diamètre à l'une de ses. extrémités qu'à l'autre.



   Sur un côté des éléments représentés à la fig. 14 sont disposés des organes vérificateurs tels que ceux représentés à la fig. 15, dans laquelle la direction 79 correspond à la trajectoire de l'axe des bobines   transportées    comme on vient de le décrire ou encore au plan dans lequel se déplacent leurs axes.



   En 80 est vue en bout l'extrémité d'un tube de carton d'une bobine. A un moment donné, elle parvient sur un guide 81 la soulevant légèrement à son passage en 82, en regard d'un levier 83, pivoté en 84 et susceptible d'agir, en se soulevant, sur un contact 85.



   La plus petite distance entre la partie relevée 82 du guide et le levier 83 correspond au diamètre de l'extrémité du tube la plus mince, en sorte que toutes les bobines dont le tube présente le petit bout à l'endroit du guide 81 passent sans autre, tandis que les bobines tournées dans l'autre sens provoquent le soulèvement du levier 83 et la fermeture d'un circuit par le contact 85.



   Cette fermeture de circuit a pour effet, par l'intermédiaire d'un électro-aimant non représenté, de pousser en avant en direction de la flèche 86 une tige porteuse d'une crémaillère 87, venant engrener à leur passage avec les pignons 78, dans le but de leur faire exécuter un demi-tour. Cette rotation peut être limitée par la longueur de la crémaillère ou déterminée par un contact actionné par la plaque en rotation.



   On voit donc que les éléments 74-75 passeront sans autre devant la crémaillère lorsqu'elle se trouve dans la position rétractée représentée, tandis qu'ils effectueront une rotation de 1800, à la manière d'une plaque tournante, lorsque la crémaillère est poussée en avant sous l'action de la fermeture du contact 85. Le dispositif à crémaillère pourrait être remplacé par un dispositif à friction.



   Toute bobine dont le petit bout de son tube passe sur le guide 81-82 ne subit ainsi aucun changement de position, mais toute bobine dont le gros bout est tourné de ce côté est retournée de   1800,    d'où résulte que toutes les bobines quittent la   chaîne    en étant orientées dans le même sens.



   Du fait qu'au moment de ce retournement il pourrait arriver que la rotation de l'axe de la bobine ne soit pas exactement de 1800 ou pour prévenir également une déviation involontaire, il est utile d'adjoindre le dispositif que représente la perspective de la fig. 16 à la chaîne d'éléments que   l'on    vient de décrire.



   On y voit   l'un    des éléments 74-75 avec son axe 77, par lequel il est saisi par la chaîne non représentée, et le pignon 78 terminant cet axe.



   La flèche 86 indique la direction du déplacement de cet élément, dont le pignon 78 porte un doigt 87 qui, au cours de   oe    déplacement, est contraint de passer entre des guides 88-89, présentant entre eux un espace d'entrée large, se rétrécissant de manière à obliger le doigt 87 à se placer exactement dans le plan vertical passant par l'axe de translation de l'élément.   I1    est entendu que ce doigt sera convenablement placé, de manière qu'à ce moment la creusure 75 occupe une position transversale.



   Si la creusure est retournée de 1800, le dispositif décrit joue le même rôle, le doigt se trouvant alors en arrière au lieu   d'être    en avant par rapport au sens de déplacement.



   De part et d'autre de la chaine d'éléments est disposée une paroi guidant les extrémités libres des bobines, tout comme elles sont axialement maintenues entre les joues de la roue 55, par exemple, ou encore dans le canal de transfert 2.  



   D'une manière générale et au cours de toutes les
 opérations effectuées par la machine décrite, les bobines sont conduites de telle sorte que, à l'excep
 tion de leur sortie du silo, elles se déplacent toujours
 perpendiculairement à leur axe et ont toujours une position axialement bien délimitée. Ceci à l'exception de l'instant où elles passent dans les godets du ruban
 répartiteur 3. Mais là encore, il est possible de disposer des guides ou des contacts de contrôle arrêtant la machine si quelque chose n'est pas en ordre
 ou rectifiant la position d'une bobine mal placée.



     I1    n'a pas été représenté de schéma électrique général de la machine, mais celui-ci découle sans autre des indications données en cours de cette description, étant entendu que certaines opérations pourront ou devront éventuellement être ralenties en prévoyant des relais temporisateurs dans certaines parties de la commande électrique.



   La vue en perspective de la fig. 17 montre de façon schématique une forme d'exécution complète de la machine.



   On y voit en 90 le silo, monté sur un socle 91, et en 92 les organes transportant les bobines à une roue humidificatrice 93.



   Celle-ci fait ensuite tomber les bobines dans un premier canal de transfert 94, d'où celles-ci arrivent dans une chaîne d'éléments de retournement, qui se trouve dans le bâti, dans la partie horizontale 95.



   De cette chaîne, les bobines passent par un second canal de transfert 96, les faisant tomber sur un ruban répartiteur 97, au-dessus duquel se déplace une boîte 98, porteuse des rangées de paires de pinces et supportée par le bâti 99, dans une partie de laquelle on placera, en   l0Q    la caisse destinée à recevoir les bobines. En 101 se trouve enfin un pupitre de commande contenant l'appareillage électrique, des moyens de contrôle, des témoins et tout ce qui sera nécessaire à assurer le bon fonctionnement de la machine.
  

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine permettant d'empiler mécaniquement des bobines, par exemple de filature, notamment en vue de leur mise en caisse, caractérisée par un silo circulaire présentant une rampe hélicoïdale intérieure d'élévation des bobines, un mécanisme communiquant audit silo des impulsions angulaires dirigées, ainsi qu'un canal de transfert dans lequel tombent les bobines élevées par ce moyen, canal qui se déverse sur un ruban répartiteur agencé de façon à conduire les bobines côte à côte dans une direction perpendicul aire à leur axe, des moyens déclenchant, à charge prédéterminée de ce ruban, un élévateur chassant la première bobine et un nombre prédéterminé de bobines lui faisant suite dans des paires de pinces disposées en plusieurs rangées dans un cadre chargeur qui, après réception d'un lot remplissant une rangée de pinces,
    est déplacé de façon à amener la rangée suivante de pinces vides au-dessus du ruban répartiteur, ce cadre, une fois complètement chargé, étant enfin amené à une station de réception des bobines, où le déclenchement d'un dispositif expulsant les bobines des pinces les fait se déposer en une couche, après quoi le cadre chargeur vide retourne à sa posi tion de départ et les opération s précédentes se repro duisent, des tâteurs étant disposés à l'endroit du canal de transfert, arrêtant momentanément les fonctions des éléments le précédant lorsque ce canal est pratiquement plein, et arrêtant momentanément les fonctions des éléments lui faisant suite, lorsqu'il est pratiquement vide.
    SOUS-REVENDICATIONS 1. Machine selon la revendication, caractérisée en ce que la rampe du silo est garnie d'une matière s opposant à un glissement en arrière des bobines élevées.
    2. Machine selon la revendication et la sousrevendication 1, caractérisée en ce que la matière considérée est un tissu antidérapant.
    3. Machine selon la revendication, caractérisée en ce que les impulsions angulaires dirigées du silo lui sont communiquées contre l'action de ressorts de rappel, à laquelle le silo est abandonné chaque fois qu'il a été déplacé d'un angle d'oscillation prédéterminé.
    4. Machine selon la revendication et la sousrevendication 3, caractérisée par au moins un piston, dont la tige agit sur le silo sous l'impulsion d'un fluide sous pression et contre l'action élastique des ressorts, à laquelle le silo est ensuite abandonné en laissant le fluide s'échapper librement du cylindre.
    5. Machine selon la revendication et les sousrevendications 3 et 4, caractérisée en ce que l'angle dont le silo est déplacé à chaque oscillation est déterminé par des moyens mécaniques contrôlant l'action du fluide sous pression.
    6. Machine selon la revendication et les sousrevendications 3 et 4, caractérisée en ce que l'angle dont le silo est déplacé à chaque oscillation est déterminé par des moyens électriques contrôlant l'action du fluide sous pression.
    7. Machine selon la revendication, caractérisée en ce que, entre le silo et le ruban répartiteur, les bobines sont déversées une à une dans des alvéoles ménagés entre les aubes d'une roue dont la paroi cylindrique délimitant le fond de ces alvéoles est un treillis, une tubulure étant agencée à l'intérieur de cette roue et/ou, au voisinage de sa périphérie, présentant des gicleurs et permettant d'humidifier les bobines durant leur passage dans la roue.
    8. Machine selon la revendication, caractérisée en ce que, entre le silo et le ruban répartiteur, les bobines sont transportées par une chaîne d'éléments porteurs s'inscrivant chacun dans un profil circulaire, selon un diamètre duquel est ménagée une creusure susceptible de contenir une bobine, à laquelle chacun de ces éléments peut faire effectuer une rotation de 1800 dans le plan de transport et l'orienter ainsi de manière que les extrémités de même diamètre des tubes de toutes les bobines se trouvent dirigées du même côté au moment où celles-ci quittent la chaîne.
    9. Machine selon la revendication et la sousrevendication 8, caractérisée par des organes de mesure destinés à contrôler la position de chaque bobine à son passage et déclenchant des moyens produisant en marche le retournement de l'élément la portant, en fonction de la position déterminée.
    10. Machine selon la revendication et les sousrevendications 8 et 9, caractérisée en ce que chaque élément de la chaîne est monté sur un axe portant un pignon, une crémaillère extérieure provoquant, au passage d'un pignon, la rotation dé 1800 chaque fois que les organes de mesure l'influencent en sorte d'en provoquer le déplacement momentané en position d'engrènement.
    11. Machine selon la revendication et les sousrevendications 8 à 10, caractérisée en ce que les pignons portent chacun un doigt qui, en passant dans un guide axial placé après la station où s'effectue le retournement éventuel, assure ou rectifie la bonne position angulaire du pignon de telle sorte que chaque bobine quitte la chaîne d'éléments dans une direction perpendiculaire à son axe.
    12. Machine selon la revendication et les sousrevendications 7 et 8, caractérisée par un premier canal de transfert avec tâteurs disposé entre la roue d'humidification et la chaîne d'éléments de retournement et par un second canal disposé entre ladite chaîne et le ruban répartiteur.
    13. Machine selon la revendication et la sousrevendication 7, caractérisée en ce que le chargement des alvéoles de la roue d'humidification s'effectue à l'aide d'un ruban transporteur partant du silo et amenant les bobines sur un second ruban transporteur les déversant dans les alvéoles, ce dernier ruban restant en mouvement, même si un moyen de contrôle et de sécurité arrête tout ou partie de la machine.
    14. Machine selon la revendication, caractérisée en ce que l'élévateur chassant les bobines dans les paires de pinces soulève ces bobines par leurs extrémités de part et d'autre du ruban répartiteur et déclenche, par son mouvement, les opérations faisant suite à sa mise en action, soit sa descente après avoir chassé les bobines dans les pinces, suivie du déplacement du cadre chargeur en vue d'amener des pinces vides au-dessus du ruban répartiteur, et de son propre arrêt.
    15. Machine selon la revendication, caractérisée en ce que le cadre chargeur porteur de rangées de paires de pinces une fois complètement chargé se rend à une station d'éjection, où il déclenche la montée d'un support s'élevant en direction des bobines, ces dernières étant éjectées des pinces dès qu'elles subissent une pression tendant à les y enfoncer, en même temps que s'effectue le changement du sens de déplacement du support qui, redescendant à sa position de départ, y provoque à son tour son immobilisation et le retour du cadre à sa position de chargement de la première rangée de paires de pinces.
    16. Machine selon la revendication et la sousrevendication 7, caractérisée par des tâteurs situés à proximité des bords de la roue en vue de déceler une bobine incomplètement introduite dans un alvéole et de provoquer, dans ce cas, l'arrêt de la roue et de ses moyens d'alimentation, ainsi que la fermeture des vannes d'alimentation des tubulures.
    17. Machine selon la revendication, caractérisée par le fait que la position axiale des bobines la traversant est constamment déterminée et contrôlée en au moins un point, par des moyens de sécurité pro voguant l'arrêt de la machine dans le cas d'une bobine axialement mal placée.
CH359655D 1959-11-04 1959-11-04 Machine permettant d'empiler mécaniquement des bobines, par exemple de filature, notamment en vue de leur mise en caisse CH359655A (fr)

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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CN110451335A (zh) * 2019-08-16 2019-11-15 江西森阳科技股份有限公司 一种永磁电机加工用轮式排线收卷机
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