CH333470A - Machine pour le nettoyage d'une matière textile - Google Patents

Machine pour le nettoyage d'une matière textile

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CH333470A
CH333470A CH333470DA CH333470A CH 333470 A CH333470 A CH 333470A CH 333470D A CH333470D A CH 333470DA CH 333470 A CH333470 A CH 333470A
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CH
Switzerland
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liquid
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belt
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Inventor
Tann David
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Philco Corp S A
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    • DTEXTILES; PAPER
    • D06TREATMENT OF TEXTILES OR THE LIKE; LAUNDERING; FLEXIBLE MATERIALS NOT OTHERWISE PROVIDED FOR
    • D06FLAUNDERING, DRYING, IRONING, PRESSING OR FOLDING TEXTILE ARTICLES
    • D06F23/00Washing machines with receptacles, e.g. perforated, having a rotary movement, e.g. oscillatory movement, the receptacle serving both for washing and for centrifugally separating water from the laundry 

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Detail Structures Of Washing Machines And Dryers (AREA)

Description


  Machine pour le     nettoyage    d'une     matière        textile       On a rencontré des     difficultés    dans l'utilisa  tion des différents types de machines automati  ques à nettoyer les tissus, qui comprennent une  opération au cours de laquelle le liquide contenu  dans les tissus est extrait après l'opération de  nettoyage, car le principe le plus connu utilisé  dans ces machines pour réaliser l'extraction du  liquide consistait à centrifuger les tissus en  augmentant la vitesse de rotation du rotor.  



  Quand on utilisait de faibles vitesses, l'ex  traction du liquide en excès n'était que partielle,  au point qu'il restait plus d'un kg de liquide  par kg de tissu. Quand on utilisait au contraire  des vitesses plus élevées, le taux d'extraction  du liquide laissait moins d'un kg de liquide  dans un kg de tissu, mais le tissu soumis à des  forces plus grandes était endommagé par une  tension exagérée. En outre, les grandes vitesses  utilisées pour l'extraction du liquide exigeaient  des mécanismes d'engrenage et d'embrayage  coûteux, ainsi que des dispositifs de commande,  et obligeaient aussi à fixer la machine au plan  cher. Il fallait donc boulonner solidement la  machine sur le plancher, ou prévoir des cuvettes  ou autres moyens pour empêcher la machine  de se déplacer sur le plancher.  



  La présente invention a pour but d'obvier  à ces inconvénients et a pour objet une machine  pour le nettoyage d'une matière textile à l'aide  d'un liquide de nettoyage, caractérisée en ce    qu'elle comprend un récipient susceptible d'être  mis en mouvement de manière à agiter la  matière à nettoyer, récipient comprenant une  paroi périphérique et dont l'intérieur constitue  au moins une partie d'un espace entouré par  de la matière susceptible de retenir du liquide,  et en ce qu'elle comprend en outre des moyens  pour évacuer le liquide qui a été admis dans le  récipient et des moyens pour extraire le liquide  contenu dans ladite matière de retenue de liquide,  pendant que le récipient est encore en mouve  ment pour continuer d'agiter la matière à net  toyer,

   de manière que le liquide contenu dans  cette dernière puisse être recueilli par ladite  matière de retenue.    Le dessin annexé représente, à titre d'exem  ple, quelques formes d'exécution de la machine,  objet de l'invention.    La     fig.    1 est une élévation de face d'une  première forme d'exécution de la machine;    la     fig.    2 est une vue en plan de la machine  représentée sur la     fig.    1;    la     fig.    3 est une coupe transversale à plus  grande échelle de la même machine, suivant la  ligne 3-3 de la     fig.    1;

      la     fig.    4 est une coupe avec cassure de la       même.machine,    suivant la ligne 4-4 de la     fig.    3;      la     fig.    5 est une coupe brisée suivant la ligne  5-5 de la     fig.    4;  la     fig.    6 est une coupe brisée et agrandie  d'une variante, montrant un autre montage de  la poulie de synchronisation;  la     fig.    7 est une coupe agrandie suivant la       ligne    7-7 de la     fig.    3;

      la     fig.    8 est une élévation, avec cassure,  d'une partie de la construction représentée sur  la     fig.    5 et regardée suivant la ligne<B>8-8;</B>  la     fig.    9 est une vue schématique agrandie  de l'un des boutons de commande;  la     fig.    10 est une vue schématique agrandie  de l'autre bouton de commande;  la     fig.    11 est une coupe agrandie, suivant la       ligne    11-11 de la     fig.    3 ;  la     fig.    12 est une coupe avec arrachement  suivant la ligne     1'2-12    de la     fig.    1;

    la     fig.    13 est une coupe agrandie suivant la  ligne 13-13 de la     fig.    7;  la     fig.    14 est une vue considérablement  agrandie, avec arrachement, de la partie de la       fig.    4 indiquée par la ligne en trait mixte 14;  la     fig.    15 est une coupe analogue à la     fig.    14  et représente une variante;  la     fig.    16 est une coupe analogue à la     fig.    14  et représente une autre variante;  la     fig.    17 est une vue schématique des cir  cuits d'eau de la machine de la     fig.    1;

    les     fig.    19, 20 et 21 sont des vues en pers  pective schématiques de     différentes    variantes;  la     fig.    22 est une élévation schématique  d'une autre variante;  les     fig.    23 et 24 sont des coupes schématiques  d'autres variantes;  la     fig.    25 est une élévation, avec arrache  ment, de la variante représentée à la     fig.    24  regardée suivant la ligne<B>25-25;</B>  la     fig.    26 est une coupe suivant la ligne 26-26  de la     fig.    24;    la     fig.    30 est une coupe d'une variante et  représente une machine à laver automatique  comportant un sécheur de vêtements;

    la     fig.    31 est une coupe agrandie, avec arra  chement, suivant la ligne 31-31 de la     fig.    30;  la     fig.    32 est une coupe, avec arrachement,  suivant la ligne 32-32 de la     fig.    30;  la     fig.    33 est une coupe, avec arrachement,  suivant la ligne 33-33 de la     fig.    32;  la     fig.    34 est une vue en perspective schéma  tique d'une autre variante;  la     fig.    35 est une coupe, avec arrachement,  suivant la ligne 35-35 de la     fig.    33;

    la<B>fi-.</B> 36 représente     schématiquement    une  partie de la transmission et les circuits d'eau  de la machine de la     fig.    30;  la     fig.    37 est une vue schématique analogue  à une partie de la     fig.    36 et représentant une  autre variante;  la     fig.    38 est une coupe avec arrachement  analogue aux     fig.    4 et 30 et représentant une  autre variante;  la     fig.    39 est une coupe agrandie, avec arra  chement, suivant la ligne 39-39 de la     fig.    38;  la     fig.    40 est une coupe, avec arrachement,  suivant la ligne 40-40 de la     fig.    39;

    la     fig.    41 est une coupe agrandie, avec arra  chement, suivant la ligne 41-41 de la     fig.    40;  la     fig.    42 est une coupe avec arrachement,  d'une autre variante;  la     fig.    43 est une coupe agrandie suivant  la ligne 43-43 de la     fig.    21;  la     fig.    44 est une vue en perspective d'une  autre machine à laver, avec certaines parties  arrachées ;  la     fig.    45 est une coupe agrandie, avec arra  chement, suivant la ligne 45-45 de la     fig.    44;  la     fig.    46 est une vue analogue à la<B>fi-.</B> 44 et  représentant une autre forme d'exécution de  l'invention;

        la     fig.    47 est une coupe agrandie suivant la  ligne 47-47 de la     fig.    46;  la     fig.    48 est une vue analogue à la     fig.    44  et représentant une autre forme d'exécution de  l'invention;  la     fig.    49 est une coupe, avec arrachement,  du tissu employé pour la courroie de la machine  représentée à la     fig.    48;    la     fig.    50 est une vue analogue à celle de la       fig.    49 mais représentant une variante;    la     fig.    51 est une coupe d'une autre variante;

      la     fig.    52 est une coupe agrandie, avec arra  chement, d'une partie de la     fig.    51 limitée par  le cercle 52;  la     fig.    53 est une coupe d'une machine       analogue    à celle représentée sur la     fig.    44 mais  constituant une variante de cette dernière;  la     fig.    54 est une coupe, avec arrachement,  suivant la ligne 54-54 de la     fig.   <B>53,</B>  la     fig.    55 est une coupe agrandie, avec arra  chement, suivant la ligne 55-55 de la     fig.    54;

    la     fig.    56 est une vue analogue à la     fig.    53  mais montrant une autre forme d'exécution;  la     fig.    57 est une coupe avec arrachement,  représentant une autre variante.    Si on considère le dessin, et plus particuliè  rement les     fig.    1 à 26, inclusivement, on voit  que la machine à laver automatique représentée  comprend un coffre 40 supportant une cuve 42,  dans laquelle peut tourner un tambour 44 qui  possède une paroi extérieure cylindrique 46  susceptible de se laisser facilement traverser par  l'eau, une bande ou courroie 48 enroulée autour  de la paroi cylindrique 46 et capable d'absorber  l'eau traversant cette paroi, deux rouleaux  d'essorage 50 et 52 entre lesquels est entraînée  la bande 48,

   un moteur électrique 54 entraînant  l'un de ces rouleaux, des canalisations pour  faire arriver l'eau dans la cuve 42 et l'en évacuer,  et enfin un mécanisme de commande 55 pour,  commander l'admission et l'évacuation de l'eau  ainsi que la marche du moteur 54. Ce mécanisme    de commande 55, que l'on décrira plus loin  permet, quand on l'actionne     initialement,    de  réaliser automatiquement un cycle comprenant  une combinaison désirée des opérations de  lavage, vidage, rinçage et séchage.  



  Pendant ces opérations, le tambour 44 est  entraîné au moyen de la courroie 48 et à partir  des rouleaux d'essorage 50 et 52; la     courroie    48  remplit deux fonctions; d'une part, elle entraîne  le tambour 44, et d'autre part, pendant les  opérations de vidage et de séchage, elle absorbe  l'eau venant de la paroi périphérique perméable  46 du tambour 44 et elle la transporte aux       rouleaux    d'essorage 50 et 52, où l'eau est  extraite de la courroie et évacuée.  



  On va considérer maintenant plus en détail  les éléments de la machine mentionnées ci-dessus.  Le     coffre    comprend un bâti 56, qui est formé  par plusieurs cornières assemblées et qui est  recouvert par des panneaux avant, latéraux et  arrière 58, 60 et 62. La cuve 42 a une forme  générale cylindrique, avec son axe horizontal  et perpendiculaire aux panneaux avant et  arrière 58 et 62. A l'avant du coffre 40, la paroi  cylindrique de la cuve 42 possède un rebord 64  dirigé     radialement    vers l'intérieur et définissant  une ouverture centrale 66; cette ouverture est  normalement fermée par une porte 68 munie  d'un joint d'étanchéité 70.

   Cette porte est  constituée de préférence par un panneau de  verre 72, dans lequel est montée une petite  porte 74 donnant accès à un couloir 76, par  lequel on peut introduire du savon dans la  cuve 42. La cuve est fermée à l'arrière par une  plaque 78     fixée    par des vis 82 sur une collerette  80, qui est rabattue vers l'extérieur et fait partie  intégrante de la paroi cylindrique de la cuve.  Un joint annulaire d'étanchéité 84 est disposée  entre la plaque 78 et la collerette 80.  



  Le tambour 44 comprend une plaque 86  formant paroi avant, une plaque 88 formant  paroi arrière et parallèle à la précédente, et la  paroi cylindrique 46 qui est fixée aux plaques  avant et arrière 86 et 88 et qui est légèrement  écartée, vers l'intérieur, des bords périphériques  de     ces    deux plaques; les portions périphériques  extérieures des plaques 86 et 88 forment ainsi  des épaulements 90 qui constituent un guide      empêchant la courroie 48 de se déplacer     axiale-          ment    sur le tambour 44.  



  Le tambour 44 est monté tournant dans la  cuve 42 à l'aide d'un arbre central et tubulaire  92, qui se prolonge vers l'arrière à partir de la  paroi arrière 88; cet arbre est supporté par des  nervures de renforcement 94 soudées sur la face  extérieure de la plaque arrière 88. L'arbre 92  tourillonne dans un palier 96 porté par la plaque  arrière d'extrémité 78 de la cuve 42 et faisant  saillie vers l'intérieur; ce palier est renforcé  par des nervures 98. Le palier 96 est muni d'un  coussinet 100.

   La plaque avant 86 du tambour  44 comporte une portion périphérique annulaire  qui est rabattue vers l'extérieur de manière à  former une collerette cylindrique 102 qui définit  une ouverture centrale alignée avec l'ouverture  66 prévue dans la paroi avant de la cuve 42,  et qui fournit en même temps une surface d'appui  pour supporter le tambour à son extrémité  avant. Le support du tambour à cette extrémité  est constitué par deux galets 104 portés aux  extrémités opposées d'un bras oscillant 106,  qui est monté pivotant en son. centre sur une vis  <B>108</B> engagée dans un écrou 110 soudé sur la  collerette 64, du côté intérieur de la cuve 42 et  exactement sous l'ouverture 66 de la porte. Les  galets 104 sont disposés de part et d'autre de  l'axe du tambour 44, comme on le voit sur  la     fig.    1.

      L'eau arrive dans la cuve 42 par une conduite  d'alimentation 112 qui traverse la paroi arrière  78 et l'arbre tubulaire 92 porté par le tambour  44. A son extrémité intérieure, la conduite 112  comporte de petits orifices 114 à travers lesquels  l'eau pénètre à l'intérieur du tambour. On  remarquera que la conduite 112 est fixe et que  l'arbre 92 tourne avec le tambour 44. Un joint  annulaire<B>116</B> est prévu entre l'arbre 92 et la  conduite d'eau 112. Légèrement en-dessous du  palier 96, la paroi arrière 78 de la cuve 42 porte  un coude tubulaire soudé qui s'étend vers  l'extérieur et aboutit à une conduite de     trop-          plein    118 qui empêche un remplissage excessif  de la cuve.

   Dans la     forme    d'exécution représen  tée, les plaques avant et arrière 86 et 88 du    tambour 44 sont reliées entre elles et maintenues  dans une position relative fixe l'une par rapport  à l'autre par quatre cloisons 120, qui sont for  mées par des bandes de tôle repliées longitudi  nalement en forme de V     (Fig.    4); les parties  marginales de ces bandes sont rabattues vers  l'extérieur, comme on le voit en 122. Les faces  extérieures de ces parties rabattues se trouvent  sur une surface cylindrique de diamètre plus  petit que le diamètre du bord périphérique des  parois d'extrémité 86 et 88 et peuvent supporter  la paroi cylindrique 46 perméable à l'eau.

   On  remarquera que la paroi 46 peut être formée  par une matière appropriée quelconque per  méable à l'eau, par exemple de la tôle découpée  et tirée en longueur pour faire treillis à petites  ouvertures, un tissu organique ou minéral, de  l'éponge, du caoutchouc mousse, ou toute autre  matière possédant des caractéristiques conve  nables au point de vue durabilité et perméabilité  à l'eau. Dans la construction représentée sur les       fig.    4, 5 et 14, la paroi cylindrique 46 est formée  d'un tissu convenable et est supportée entre les  cloisons 120, par plusieurs tiges espacées 124,  dont les     extrémités    de diamètre réduit 126  sont introduites dans des orifices prévus dans  les plaques d'extrémité 86 et 88.

   Les tiges 124  sont flexibles, de manière à permettre de mettre  en place et enlever de leurs logements les  extrémités 126. La paroi de tissu 46 est cousue  sur elle-même, comme on le voit en 128, du côté  extérieur des tiges 124.  



  Les     fig.    15 et 16 représentent des variantes de  la paroi perméable 46. Dans la construction  représentée à la     fig.    15, on emploie deux couches  de tissu qui passent respectivement sur les  côtés intérieur et extérieur des tiges 124 et qui  sont cousues ensemble entre ces tiges, comme  on le voit en 130. Dans la construction repré  sentée à la     fig.    16, une couche unique et continue  de tissu passe sur les côtés extérieurs des tiges  124, dont les côtés intérieurs sont recouverts  par des bandes de tissu 132 s'étendant le long  des tiges et cousues sur la paroi 46 de part et  d'autre de celles-ci comme on le voit en 134.  



  La cuve 42 comporte une ouverture 136  disposée en bas, sous le tambour 44, et ayant une      longueur légèrement supérieure à la largeur de  la courroie 48. Cette ouverture s'étend autour  de la cuve, à partir de son point le plus bas dans  le sens de rotation du tambour 44, comme on  le voit sur la     fig.    4. La cuve 42 communique  par cette ouverture 136 avec une gouttière en  forme de V ou puisard 138, qui est assemblé  hermétiquement sur la cuve 42 au-delà des  limites périphériques de l'ouverture 136. Des  rouleaux d'essorage 50 et 52 sont disposés dans  le puisard 138 et sont montés tournants dans  des supports moulés 140 et 142 fixés respective  ment aux extrémités avant et arrière du pui  sard.

   Dans la construction représentée, le rou  leau supérieur 50 est le rouleau entraîné; il est  porté par les supports 140 et 142 de manière  à tourner autour d'un axe     fixe.    L'arbre court 144,  à l'extrémité de gauche du rouleau 50 en regar  dant la     fig.    5, tourillonne dans un palier 146  porté par la pièce 140, et l'arbre court 148,  à l'extrémité opposée, est supporté et entraîné  par un arbre 150 tourillonnant dans un palier  152 porté par la pièce moulée 142. L'arbre<B>150</B>  se prolonge à l'extérieur de la pièce 142 et porte  une poulie 154 entraînée par le moteur électri  que 54 par l'intermédiaire d'une courroie 156  à section en V.

   L'arbre 150 porte également  une poulie de synchronisation 158, qui entraîne  le mécanisme de. commande 55 déjà mentionné  comme on l'expliquera un peu plus loin.  



  Dans la variante de la     fig.    6, la poulie de  synchronisation 158' tourne avec le tambour 44  et non avec le rouleau d'essorage 50. Le palier 95'  porté par la paroi arrière 78 de la cuve 42  s'étend vers l'extérieur au lieu de s'étendre  vers l'intérieur, et l'arbre creux 92' comporte  une extrémité de diamètre réduit qui fait saillie  à l'extérieur du palier 96' et sur laquelle est  calée la poulie 158'. L'arbre 92' comporte  d'autre part une partie intermédiaire qui     tou-          rillonne    dans le coussinet 100' supporté par  le palier 96'. A son extrémité intérieure, l'ar  bre 92' est muni d'une rondelle d'étanchéité 116'  qui empêche les fuites d'eau entre l'arbre 92' et la  conduite 112 d'alimentation en eau.

   A son  extrémité intérieure, le palier 96' est muni  d'une autre rondelle d'étanchéité 117 qui empê  che l'eau de fuir entre l'arbre 92' et le palier 96'.    Les axes d'extrémité 160 et 162 du rouleau  inférieur 52 tourillonnent dans des paliers 164,  166 qui peuvent coulisser respectivement dans  les pièces moulées 140 et 142 de manière à pou  voir se rapprocher ou s'éloigner de l'axe du  rouleau 50. Ces paliers 164 et 166 sont poussés  vers le rouleau 50 par des ressorts 168 et 170  logés respectivement dans les pièces 140 et 142;  une     extrémité    de chaque ressort s'appuie contre  un siège réglable 172 que l'on peut déplacer  verticalement, pour régler la charge du ressort,  à l'aide d'une vis 174 ou 176 qui s'étend à l'ex  térieur de la pièce 140 ou 142.

   On comprend  donc que ces vis 174 et 176 permettent de modi  fier la pression exercée par les rouleaux 50 et  52 sur la courroie 48 passant entre eux.  



  La courroie 48 est continue et peut être  constituée par une matière     quelconque    capable  d'absorber ou d'entraîner l'eau sortant de la  paroi 46 du tambour 44, et de la transporter  dans le     puisard    138 où on peut l'extraire de la  courroie au moyen des rouleaux 50 et 52.  La courroie 48 peut être formée par exemple  d'un tissu fait d'une matière organique ou miné  rale, ou d'un caoutchouc mousse.  



  Dans le puisard 138, se trouve également  un rouleau fou 178 monté prés du bord de l'ou  verture 136, à l'endroit où la courroie 48 pénètre  dans le     puisard;    ce rouleau tourne autour d'un  axe fixe. La courroie 48 est entraînée sur le  rouleau 178, d'où elle passe entre les rouleaux  50 et 52. Elle renverse la direction de son mou  vement en tournant autour du rouleau d'essorage  50, d'où elle est entraînée sur un     rouleau    de  tirage 180, dont les extrémités opposées tournent  dans les paliers 182 susceptibles de coulisser  dans des glissières 184 et poussés par des res  sorts 186 dans le sens voulu pour rattraper le  mou de la courroie, c'est-à-dire vers la droite  en regardant la     fig.    4.

   Des moyens appropriés  (non représentés) peuvent être prévus pour régler  la charge des ressorts 186 de manière à régler  ainsi facilement la tension de la courroie 48.  



  Une conduite de vidange 188 est connectée  au fond du puisard 138 et aboutit à un décanteur  ou     filtre    190, à la sortie duquel est     connectée     une conduite 192 aboutissant à un robinet de  vidange 194; la sortie de celui-ci est reliée par      une conduite<B>195</B> à une pompe 197. Le filtre 190  est du type dans lequel l'eau s'écoule dans une  cartouche centrale 196, puis traverse des orifices  de     filtrage    et pénètre dans une partie extérieure  du filtre reliée à la conduite 192. Les particules  de charpie et autres matières solides étrangères  sont recueillies dans la cartouche 196, qu'il est  facile d'enlever pour la nettoyer.

   La conduite  de trop-plein 118 est connectée à la conduite de  vidange en aval du robinet 194, et se décharge  dans la conduite 195     (fig.    3 et 17).  



  La machine à laver comporte deux boutons  de     commande    198 et 200 disposés respective  ment à droite et à gauche sur la face avant,       comme    on le voit sur les     fig.    1 et 2. Le bouton  de commande 198, représenté sur la     fig.    10, et  portant les inscriptions   arrêt  ,   nettoyage  ,    rinçage   et   séchage  , sert à commander  manuellement l'arrivée de l'eau dans la cuve  pour le remplissage initial de celle-ci, comme  on l'expliquera un peu plus loin.  



  Le bouton de commande 200, représenté sur  les     fig.    9 et 12, et portant les inscriptions   ar  rêt  ,   chaud  ,   tiède   et   froid  , sert  à faire démarrer le moteur électrique 54 et à  amorcer le cycle désiré des opérations; on peut  aussi, en le tournant, obtenir une période dési  rée quelconque de lavage. Comme on le voit  sur la     fig.    12, le bouton de commande 200 est  fixé sur un arbre 202 tourillonnant dans un  palier 204 monté dans le panneau avant 58 du  coffre 40. L'arbre 202 dépasse à l'intérieur du  coffre et porte une roue dentée 206, sur laquelle  passe une chaîne sans fin 208 passant d'autre  part sur une autre roue dentée 210<B>(fi-.</B> 4 et<B>7)</B>  calée sur un arbre à cames 212, qui fait partie  du mécanisme de commande désigné dans son  ensemble par 55.

   Ce mécanisme de commande 55  comprend un socle 214 fixé à une plaque 216  disposée près du fond du coffre 40 et portée  par le bâti 56. Le mécanisme 55 se trouve du  côté droit du coffre, en regardant celui-ci par  l'avant, comme on le voit sur les     fig.    3 et 4.  L'arbre à cames 212 tourillonne dans des pa  liers 218 et 220 portés par le socle 214.  



  Le bouton de commande 198 est connecté,  au moyen d'un arbre non représenté, à une roue  dentée 222 reliée elle-même par une chaîne 224    à une autre roue dentée 226 calée sur un deuxième  arbre à cames 228 tourillonnant dans des paliers  230 et 232 portés par le socle 214. L'arbre à  carnes 228 porte deux cames 234 et 236 qui  coopèrent respectivement avec les bras oscillants  ou culbuteurs 238 et 240 montés pivotants à  leurs extrémités inférieures sur un arbre oscillant  242 articulé sur le socle 214. A leurs extrémités  supérieures, les culbuteurs 238 et 240 peuvent  agir sur des axes de commande des robinets 244  et 246, qui règlent respectivement l'écoulement  de l'eau dans les canalisations d'eau chaude et  d'eau froide 248 et 250.

   Les positions de ces  axes de commande déterminent le mélange  d'eau chaude et d'eau froide qui passe dans  l'unique canalisation d'alimentation 112     (fig.    17).  La forme des cames 234 et 246 (forme qui n'est  pas représentée sur le dessin) est telle que la  proportion d'eau chaude dans la conduite 112  augmente progressivement depuis un minimum  jusqu'à un maximum quand on tourne le  bouton 198     (fig.    10) dans le sens inverse de celui  des aiguilles d'une montre à partir de sa position    fermé  . L'opérateur fait tourner le bouton<B>198</B>  jusqu'à une position correspondant à la tempé  rature d'eau désirée, et le laisse dans cette  position jusqu'à ce que le niveau de l'eau dans  la cuve 42 atteigne le-repère<B>251</B> marqué sur le  verre 72 de la porte 68.

   Il ramène alors le bouton  à la position   fermé  . On peut prévoir sur la  porte 68 plusieurs repères<B>251</B> correspondant  aux différents types de vêtements à laver par la  machine.  



  Entre les paliers 218 et 220, l'arbre à cames  212 porte une première came 252 susceptible  d'actionner un micro-contact 254 et de faire  démarrer le moteur, quand on commence à faire  tourner le bouton de commande 200 dans le sens  de rotation des aiguilles d'une montre. Près de  la première came 252, l'arbre à cames 212 porte  également une deuxième came 256 destinée à  actionner un deuxième micro-contact 258     (fig.    3  et 7), en vue d'alimenter un élément de chauffage  électrique quand un tel élément est utilisé, comme  on l'expliquera un peu plus loin, dans une  machine à laver automatique comportant un  sécheur de vêtements, représentée sur les     fig.    30  à 33 inclusivement et 35 à 37 inclusivement.

        Quand le moteur 54 a démarré, comme on l'a  déjà expliqué, le rouleau d'essorage 50 est  entraîné en rotation par la courroie 156 et  entraîne à son tour le tambour 44 par l'inter  médiaire de la courroie 48. La poulie de synchro  nisation 158 se met également à tourner, puis  qu'elle est calée sur l'arbre 150 servant à l'entraî  nement du rouleau 50. Une courroie 260     (fig.    3)  à section en V passe sur la poulie 158 et sur une  autre poulie 262 calée sur un arbre fou 264  tourillonnant à une extrémité dans un palier 266  monté sur le bâti 56, et à l'autre extrémité dans  un palier 268 porté par le socle 214 du mécanisme  de commande 55.

   L'arbre fou 264 est solidaire  d'un arbre court 270 disposé     coaxialement    avec  l'arbre à cames 212 et susceptible de tourner  dans un palier 272 porté par le socle 214. Cet  arbre 270 comporte à une extrémité une douille  274, dans laquelle s'engage une extrémité de  l'arbre à cames 212.  



  Un embrayage à roue libre, représenté sur les       fig.    7 et 13, permet à l'arbre à cames 212 d'être  entraîné en rotation par l'arbre court 270 dans  le sens des aiguilles d'une montre (en regardant  la     fig.    13). Cet embrayage de type courant  comprend une bille 276 placée dans une cavité  en spirale 278 creusée dans l'arbre 270 et  communiquant avec la douille 274.  



  Quand l'arbre 270 tourne dans le sens des  aiguilles d'une montre (en regardant la     fig.    13),  la bille 276 se trouve coincée contre l'arbre à  cames 212 et le fait tourner avec l'arbre 270,  tandis que si l'arbre à cames 212 tourne dans  le sens des aiguilles d'une montre par rapport à  l'arbre 270 la bille 276 vient se placer à l'extré  mité élargie de la cavité en spirale 278 et n'est  plus coincée contre l'arbre à cames. On com  prend que cet embrayage à roue libre permet  d'avancer à la main, comme on le désire, le cycle  des opérations, en tournant simplement le  bouton de commande 200 dans le sens des  aiguilles d'une montre (en regardant la     fig.    9).  



  La liaison entre l'arbre fou 264 et l'arbre  270 comporte un réducteur de vitesse représenté  sur la     fig.    11. Une roue 280, ne possédant qu'une  seule dent 282, est calée sur l'arbre fou 264  et peut entraîner une autre roue 284 calée sur  un deuxième arbre fou 286, de manière qu'à    chaque tour de l'arbre 264 la dent 282 attaque  la roue 284, qui possède à sa périphérie plusieurs  dents régulièrement espacées, et la fasse tourner  d'un petit angle en même temps que l'arbre 286  sur lequel elle est montée.  



  L'arbre fou 286 porte aussi une autre roue  288 à une seule dent 290; cette roue peut attaquer  une roue 292 calée sur l'arbre court 270 et  possédant à sa périphérie plusieurs dents régu  lièrement espacées. Quand l'arbre 286 est  entraîné, comme on vient de l'expliquer, on  comprend qu'à chaque tour de la roue 288 la  dent 290 de celle-ci attaque la roue dentée 292  et fait tourner d'un petit angle l'arbre 270 sur  lequel cette dernière roue est calée.

      Quand le moteur 54 démarre par suite de la  rotation de l'arbre à cames 212, que l'on a pro  voquée en tournant le bouton 200 dans le sens  des aiguilles d'une montre, l'arbre 270 est  entraîné dans le sens des aiguilles d'une montre  par le moteur, par l'intermédiaire de la poulie  de synchronisation 158 et du réducteur de vitesse  que l'on vient de décrire en se référant à la       fig.    11. L'arbre 270 entraîne donc l'arbre à  cames 212 dans le sens des aiguilles d'une montre  (en regardant la     fig.    13) par l'intermédiaire de  l'embrayage à roue libre représenté sur cette  figure.

   Quand la poulie de synchronisation est  entraînée directement par le tambour 44, comme  sur la     fig.    6, on peut supprimer le réducteur de  vitesse de la     fig.    11, en donnant des dimensions  appropriées aux différentes poulies, car le  tambour 44 tourne beaucoup moins vite que le  rouleau d'essorage 50.  



  L'arbre à cames 212 porte deux autres cames  294 et 296 entre son palier 220 et son extrémité  engagée avec l'arbre 270. Ces cames peuvent  attaquer respectivement les culbuteurs 238 et  240. Elles ont la forme voulue (non représentée  sur le dessin) pour déplacer les culbuteurs 238  et 240 aux instants désirés et avec l'amplitude  nécessaire en vue de fournir à la cuve 42 de l'eau  à la température convenable, par l'intermédiaire  de la conduite 112, conformément aux exigences  du cycle des opérations de la machine, comme  on l'expliquera un peu plus loin.

        L'arbre à cames 212 porte encore une autre  came 298 susceptible d'attaquer une extrémité  d'un poussoir 300     (fig.    3) qui peut coulisser dans  un     palier    302 porté par le socle 214 du méca  nisme de commande; l'autre extrémité de ce  poussoir est reliée à la soupape 304 du robinet  de vidange 194. La soupape 304 est poussée  contre son siège, c'est-à-dire en position de  fermeture, par un ressort 306. La came 298 a  la forme voulue pour éloigner la soupape 304  de son siège et ouvrir le robinet de vidange 194  aux     instants    désirés et pendant des temps conve  nables en conformité avec les opérations du  cycle, comme on l'expliquera un peu plus loin.  



  Il faut remarquer que le cycle de fonctionne  ment de la machine automatique peut compren  dre en principe un nombre quelconque de  périodes de lavage, rinçage, séchage, d'une  longueur quelconque et disposées dans un ordre  quelconque. Dans une forme d'exécution parti  culière, les différentes cames du mécanisme de  commande 55 décrit plus haut peuvent être  calculées de manière à réaliser un cycle parti  culier qui comprend une période de lavage  pouvant atteindre 15 minutes et dépendant de la  position dans laquelle on a placé le bouton de  commande 200 pour faire démarrer le cycle,  une période de vidange de 6 minutes, une période  de rinçage à l'eau chaude d'une durée de  2 minutes, une période de rinçage à l'eau  froide de 5 minutes, et     enfinune    période de  séchage de 10 minutes.  



  L'utilisateur désirant laver des vêtements  avec la machine décrite n'a qu'à placer ceux-ci  dans le tambour 44, tourner le bouton de com  mande 198 pour remplir la cuve 42 d'eau à la  température désirée, ramener le bouton 198  à sa position de fermeture quand la cuve est  remplie jusqu'au repère 251, ajouter à l'eau  une quantité convenable d'un savon approprié  par la porte 74 prévue à cet effet, et enfin  tourner le bouton de commande 200 dans le  sens inverse de celui des aiguilles d'une montre  jusqu'à ce que la     flèche    308     (fig.    9) se trouve  en face du nombre de minutes correspondant  à la durée désirée de la période de lavage.

   Il  faut remarquer que, si on ne replace pas le bou  ton de commande 198 dans la position   fermé  ,    le niveau de l'eau continue à monter au-dessus  du repère<B>251</B> jusqu'au moment où il atteint  l'orifice de la conduite de trop-plein 118.  Puisqu'on désire avoir un niveau d'eau plus  élevé pendant le rinçage que pendant le lavage,  la conduite de trop-plein 118 est connectée  à la cuve à une hauteur correspondant au niveau  maximum désiré pour le rinçage. On notera  d'autre part que, lorsqu'on a commencé le  cycle en tournant le bouton 200, l'arbre à       carnes    212 qui commande le cycle est entraîné  par le moteur par l'intermédiaire de l'arbre 270,  et le cycle se déroule d'un bout à l'autre.

   Quand  la période de séchage est terminée, on ramène  le bouton de commande 200 et l'arbre à ca  mes 212 à la position  coupé ; dans cette  position, le contact 254 du moteur est ouvert,  tandis que le robinet de vidange 194, et les  robinets d'eau chaude et d'eau froide 244 et 266  sont fermés.  



  Pendant le fonctionnement de la machine,  la vitesse de rotation du tambour 44 est choisie  de préférence de manière que les vêtements, qui  se trouvent dans le tambour tournant dans le  sens des aiguilles d'une montre (en regardant  la     fig.    4), soient soulevés par les cloisons 120  jusqu'à une position dans le quadrant supérieur  de gauche de la cuve, d'où ils retombent plus  ou moins     diamètralement    en travers du tambour,  en venant en contact avec la paroi cylindrique  perméable 46 dans le quadrant inférieur de  droite<B>(fi-.</B> 4).

   Pendant la période de lavage,  cette action réalise une agitation qui aboutit  à un nettoyage très     efficace.    On remarquera  que le tambour 44 tourne continuellement pen  dant le fonctionnement de la machine et le  déroulement de toutes les opérations de lavage,  vidange, rinçage et séchage. Pendant la période  de rinçage, le mouvement imprimé aux vêtements  par les cloisons 120 réalise l'agitation nécessaire  à l'obtention d'un rinçage     efficace.    On notera  aussi que le robinet de vidange 194 est ouvert  pendant la période de vidange, la deuxième  période de rinçage c'est-à-dire le rinçage à l'eau  froide, et la période de séchage.

   Pendant ces  périodes, l'eau contenue dans les vêtements  traverse la paroi cylindrique perméable 46 du  tambour 44, puis est absorbée par la courroie 48      qui la transporte dans le puisard 48, où elle est  extraite de la courroie par les rouleaux 50 et 52  et passe dans la conduite de vidange.  



  L'action déjà mentionnée des cloisons 120,  grâce auxquelles les vêtements viennent frapper  la paroi 46 dans le quadrant inférieur de droite       (fig.    4) facilite cette élimination de l'eau des  vêtements.    On comprend qu'on peut utiliser -une grande  variété de dispositions pour entraîner le tambour  contenant les vêtements et pour éliminer l'eau  de ces derniers à l'intérieur du tambour. On  a représenté un certain nombre de ces variantes  sur les     fig.    19 à 26 inclusivement, et sur la     fig.    34.  



  Dans la variante de la     fig.    19, le tambour 310       diffère    du tambour 44 décrit plus haut par le  fait que la paroi cylindrique 312 est constituée  par un tamis métallique remplaçant le tissu  absorbant de la paroi 46. L'action obtenue par  les cloisons 120 provoque l'absorption de l'eau  des vêtements par la courroie 48, d'où l'eau est  extraite par les rouleaux 50 et 52. La     fig.    19  montre qu'au lieu de disposer les rouleaux  d'essorage dans un puisard au fond de la cuve,  on peut les placer dans le quadrant supérieur  de droite du tambour.

   Une gouttière 314 est  prévue pour recueillir l'eau extraite de la cour  roie 48 par les rouleaux 50 et 52; cette gouttière  est inclinée vers l'arrière, d'où l'eau est évacuée  de manière à ne pas retourner sur la courroie 48.    Dans cette construction, la seule partie de la  paroi cylindrique 312 qui ne soit pas en contact  avec la courroie 48 est la partie supérieure de  droite qui ne touche pas les vêtements.    La variante de la     fig.    20 est analogue dans une  certaine mesure à celle de la     fig.    19, mais en  diffère par le fait qu'elle comporte un rouleau  de tirage 316 qui est poussé par un ressort 318  dans la direction voulue pour rattraper le mou  de la courroie 48; les rouleaux 50 et 52 sont  disposés entre le rouleau de tirage 316 et le  tambour 310.

   L'eau extraite de la courroie 48  par les rouleaux 50 et 52 tombe dans une gout  tière 320, qui s'incline vers l'arrière de la  machine où l'eau passe dans une conduite de    vidange 322; cette conduite dirige l'eau dans la  partie inférieure de la cuve et l'empêche ainsi de  retomber sur la courroie 48 ou dans le tambour  310.  



  Si on considère les     fig.    21 et 43, on y voit,  sur le tambour, une courroie 324, qui peut être  constituée par la même matière que la courroie 48  ou par une matière analogue, mais quia une  longueur juste     suffisante    pour s'ajuster sur la  paroi cylindrique perméable 312. Un rouleau  de succion 311 est disposé dans le quadrant  inférieur de droite du tambour 310; un rouleau  analogue ou un rouleau fou d'essorage 52 peut  être utilisé dans le quadrant inférieur de     fgauche     du tambour. Le rouleau 311 comprend un man  chon cylindrique 313 comportant plusieurs  rangées très rapprochées d'orifices 315 traver  sant la paroi de ce manchon. Ce manchon  tourne sur un support cylindrique et fixe 317  monté à chaque extrémité sur des ferrures 319.

    Une poulie 321 est calée sur une extrémité du  manchon<B>313;</B> elle est entraînée par un moteur  électrique et par l'intermédiaire d'une courroie.  Ce moteur entraîne également une pompe  à vide 323, dont l'orifice d'admission est con  necté à un orifice 325 prévu dans le support  cylindrique 317; une fente 327 s'étend à partir  de cet orifice le long du support et parallèlement  à l'axe de celui-ci. La pompe établit une succion  à travers la fente 327 et les rangées d'orifices 315  du manchon, pendant que celles-ci défilent  devant la fente par suite de la rotation du  manchon. La succion extrait une partie du  liquide contenu dans la courroie 324, pendant  que le manchon et la courroie roulent l'un sur  l'autre.

   Le liquide aspiré dans la pompe 323  est refoulé par celle-ci, par l'intermédiaire de  la conduite de décharge 329, dans la conduite  de vidange ou dans la cuve (non représentées).  Comme on l'a indiqué ci-dessus, on peut utiliser  plusieurs rouleaux de succion 311 en contact  avec la courroie et répartis à la périphérie du  tambour; on peut utiliser aussi un rouleau fou 52  du côté opposé à celui où se trouve l'unique  rouleau de succion 311, comme le montre  la figure.  



  Dans la variante de la     fig.    22, le tambour 44  a sa paroi cylindrique     perméable    46 en contact      de roulement avec deux rouleaux 326 et 328  recouverts chacun d'une couche extérieure 330  constituée par une matière absorbant l'eau.  Ces rouleaux 326 et 328 sont en contact avec la  paroi 46 respectivement dans les quadrants  inférieurs de droite et de gauche, et sont entraînés  respectivement par des rouleaux 332 et 334 avec  lesquels ils coopèrent pour extraire l'eau absor  bée par les couches 330. Les rouleaux 332 et 334  sont entraînés respectivement par des poulies 336  et 338 qui reçoivent leur mouvement d'un mo  teur 54 par l'intermédiaire des courroies 340  et 342.  



  Dans la variante de la     fig.    23, le tambour 44  est monté     tournant    dans une cuve 344 nota  blement plus grande que lui. Le tambour se  trouve à la partie supérieure de la cuve; il est  entraîné par une courroie sans fin 346 qui  passe sur un rouleau 348 tournant autour d'un  axe     fixe    du côté gauche inférieur du tambour, et  sur un rouleau 350 monté près de la périphérie  du tambour, à droite et en bas. Ces     rouleaux     348 et 350 sont disposés de manière que la  courroie 346 soit maintenue en contact avec la  paroi perméable 46 du tambour dans tout  l'intervalle compris entre eux.

   Un rouleau fou  352 est prévu sous l'axe du tambour pour  empêcher le brin inférieur de la courroie de  toucher le brin supérieur qui est en contact avec  la paroi 46. Deux ressorts 354 poussent le  rouleau 350, tangentiellement par rapport au  tambour, de manière à l'éloigner du tambour 348  et à obtenir ainsi la tension désirée de la cour  roie. Un troisième rouleau 356 coopère avec le  rouleau 348 pour produire une action d'essorage  et extraire l'eau de la courroie 346. Le rouleau  348 est entraîné par le moteur 54 à l'aide d'une  courroie 358 et d'une poulie 360. Une conduite  de vidange 362 est prévue au point le plus bas  de la cuve 344.

   Le rouleau 348 entraîne égale  ment à l'aide d'une courroie 341 un ventilateur  343, dont     l'admission    est connectée par une  conduite 345 à une ouverture 347 prévue dans  la paroi de la cuve. Un canal     d'admission    349,  monté sur une ouverture de la cuve, est muni  d'un élément de chauffage électrique 351 destiné  à chauffer l'air aspiré par le ventilateur à  l'intérieur de la cuve. Quand la machine exécute    une opération de séchage, après que les vêtements  ont été lavés, rincés et débarrassés de la plus  grande partie de l'eau qu'ils contenaient, le  fonctionnement continu du ventilateur fournit  un séchage effectif et complet des tissus quand  on fait passer le courant dans l'élément de  chauffage 351.  



  Dans la variante représentée sur les     fig.    24,  25 et 26, où une partie du coffre est indiquée  en 364 et une partie de la cuve en 365, le tambour  366, qui est monté dans la cuve 365, est en tôle;  il comprend une paroi cylindrique 368 et une  cloison 370 faisant saillie     radialement    vers l'inté  rieur et analogue aux cloisons 120 de la forme  d'exécution représentée sur les     fig.    1 à 17  inclusivement. En dehors de cette cloison 370,  la surface intérieure de la paroi cylindrique 368  est recouverte d'une matière 372 absorbant  l'eau.

   Ce revêtement absorbant 372 peut être  fixé d'une manière quelconque à la paroi 368,  par exemple à l'aide d'une colle n'altérant pas  ses propriétés absorbantes, ou encore au moyen  de points de couture exécutés avec un fil métal  lique et traversant des orifices prévus dans la  paroi 368. La paroi arrière du tambour est  munie d'une collerette 374 annulaire, centrale  et orientée vers l'extérieur, qui s'étend à travers  la paroi arrière de la cuve 365 dont elle est  séparée par un joint d'étanchéité 375. Une  poulie 376 est fixée sur cette collerette et est  entraînée par le moteur électrique 54 au moyen  d'une courroie 378.

   Le tambour 366 ne tourne  pas d'un mouvement continu, mais oscille sur  un arc de 270 degrés environ, entre une position  dans laquelle la cloison 370 se trouve sur la  ligne 377     (fig.    26) et une autre position indiquée  par la ligne 379. Des orifices sont prévus dans  les parois d'extrémité du tambour 366, dans la  cloison 370 et dans la paroi cylindrique à  l'endroit de la cloison 370 pour permettre à  l'eau de s'écouler du tambour dans la cuve et  vice versa.  



  Un rouleau 380 est disposé à l'intérieur du  tambour 366 et placé en contact de roulement  avec la paroi cylindrique 368, au point le plus  haut de     celle-ci.    Ce rouleau 380 est monté en  cantilever sur un arbre 382 parallèle à l'axe du  tambour et fixé à l'une de ses extrémités sur      un bras 384; ce bras est fixé sur un arbre tubu  laire 386 qui fait saillie à l'intérieur du tambour,  à travers l'ouverture prévue dans la paroi  arrière de celui-ci et définie par la collerette  annulaire 374. La canalisation 112 d'alimentation  en eau pénètre dans le tambour à travers l'arbre  386. Le tambour 366 possède une autre colle  rette 388 rabattue vers l'extérieur et définissant  une ouverture 390 dans la paroi avant du tam  bour.

   Une gouttière 392 est portée par le bras  384 près du rouleau 380; elle est inclinée vers  l'avant et vers le bas à partir de sa fixation  sur le bras, de manière à décharger l'eau à  l'extérieur à travers l'ouverture 390 de la paroi  avant du tambour. Cette gouttière 392 recueille  l'eau que le rouleau 380 extrait par serrage de  la garniture 372 en matière absorbante de la  surface intérieure du tambour.

   Le mouvement  oscillant du tambour est obtenu à partir du  moteur 54 au moyen d'une transmission compre  nant: une roue 394 montée sur l'arbre du  moteur, une poulie 396 montée tournante sur  un support approprié 398, une biellette 400  articulée à une extrémité sur un axe de manivelle  402 de la roue 394 et à l'autre extrémité sur un  axe de manivelle 404 de la poulie 396, et enfin  la courroie déjà mentionnée 378 qui passe sur  les poulies 396 et 376.  



  Les     fig.    30, 31, 32, 33, 35 et 36 représentent  une autre forme d'exécution de l'invention,  qui consiste en une machine à laver comprenant  un sécheur pour vêtements. Dans cette forme  d'exécution, le     coffre    430 comprend un bâti 432,  qui supporte une cuve 434 de forme générale  cylindrique et analogue dans son ensemble à la  cuve 44. Un tambour ou rotor 436 est monté  tournant dans la cuve 434. Le tambour est  supporté par un palier 438 monté au centre  de la paroi arrière du tambour et susceptible  de tourner sur un manchon 440 porté par un  élément tubulaire 442, supporté lui-même par  la paroi arrière de la cuve 434.

   Une bague 444,  fixée à l'extrémité intérieure de l'élément tubu  laire 442 par une vis 446, empêche le tambour  436 de se déplacer     axialement.    A l'avant du  tambour 436 se trouve une collerette annulaire  448 rabattue vers l'extérieur et dans la direction  de l'axe. Trois galets 450, répartis uniformé-    ment sur une circonférence et montés tournants  en 452 sur la cuve 434, sont en contact avec la  collerette 448. Le tambour 436 a une paroi  cylindrique 454 qui peut être formée d'une  matière quelconque perméable à l'eau; dans  l'exemple représenté, elle est en tôle découpée  et tirée en longueur pour faire treillis.

   Dans le  tambour, quatre cloisons     angulairement    équi  distantes 456 s'étendent parallèlement à l'axe  du tambour et font saillie     radialement    et vers  l'intérieur sur la partie cylindrique 454. Ces  cloisons 456 comportent aux extrémités des  bords rabattus 458 par lesquels elles sont  fixées aux parois avant et arrière du tambour 436.  La cuve 434 possède deux ouvertures 460 et  462 s'étendant parallèlement à l'axe, espacées       circonférentiellement    et disposées dans le qua  drant supérieur de droite en regardant la       fig.    30.  



  Dans la portion supérieure de droite du  coffre 430     (fig.    30) sont montés deux rouleaux  rotatifs d'essorage 464 et 466. Ces rouleaux sont  munis à leurs extrémités d'axes courts qui sont  montés tournants dans des plaques d'extrémité  468; ces plaques peuvent se déplacer latérale  ment par rapport au coffre 430 au moyen de  paires de petits galets 470, une paire étant     prévue     pour chaque plaque 468. Ces galets 470 peuvent  rouler dans des rails 472 à section en U; chaque  rail a une extrémité fixée au bâti 432 et l'autre  extrémité supportée par la face supérieure de  la cuve 434.

   Les axes courts du rouleau inférieur  464 tournent dans des paliers 474 fixés dans les  plaques d'extrémité 468, et l'un de ces axes est  relié à un arbre coaxial 475 portant une poulie  476 et capable d'entraîner cet axe. Les axes  courts de l'autre rouleau d'essorage 466     touril-          lonnent    dans des paliers 478 montés coulissants  dans des rainures verticales prévues dans les  plaques d'extrémité 468. Ces paliers 478 sont  poussés vers les paliers 474, supportant le  rouleau 464, par les extrémités correspondantes  de bras 482 montés pivotants sur les plaques  d'extrémité 468 en 484, les autres extrémités de  ces bras étant soumises à l'action des ressorts  486.  



  Une courroie continue 488, formée d'une  matière capable d'absorber l'eau, est disposée      sur le tambour 436 en contact avec la paroi 454  de celui-ci; elle traverse l'ouverture 460 de la  cuve 434, passe entre les rouleaux d'essorage  464 et 466 et revient dans la cuve à travers  l'ouverture 462.

   Comme on le voit sur la     fig.    31,  les plaques     d'extrémité    468 portant les rouleaux  464 et 466, sont poussées vers la droite (en  regardant les     fig.    30 et 31) par des ressorts 490  disposés à l'intérieur des rails 472; chaque  ressort aune extrémité ajustée sur un guide 492  et appuyée contre un bloc 494 fixé par une vis  496 dans le canal du rail 472, tandis que son  autre extrémité s'ajuste sur une tige filetée 498  portée par la plaque d'extrémité 468 et s'appuie  contre des écrous de verrouillage réglables 500  vissés sur cette tige. En agissant sur ces écrous,  on peut régler la tension de la courroie 488  à une valeur quelconque désirée.  



  Une gouttière 502 est supportée par les  plaques d'extrémité 468 et descend vers une  conduite de vidange 504 qui amène à l'extérieur  l'eau extraite de la courroie 488 par les rouleaux  d'essorage 464 et 466. Cette conduite de vidange  504 aboutit à un raccord de vidange 506 monté  dans la paroi arrière de la cuve 434 au bas de  celle-ci; sur ce raccord 506 est montée également  une conduite de vidange 508 aboutissant au  filtre 510 qui peut être     analogue    au filtre 190  décrit précédemment. La sortie du filtre 510  est connectée par une conduite 514 à un robinet  de vidange 512, qui est connecté lui-même par  une conduite 516 à l'entrée d'une pompe 518,  dont la sortie est connectée à une conduite de  vidange 520.

   La pompe 518, qui est montée  dans la partie inférieure du coffre 430, est  entraînée par un moteur électrique 522, dont  l'arbre de sortie porte également une petite  poulie     d'entraînement    526     (fig.    33) reliée par  une courroie 528 à section en V à une grande  poulie 530 calée sur un arbre fou 532. Cet arbre  532 tourne dans des paliers 534 et 536 portés  par une équerre 538; une petite poulie 540 calée  sur cet arbre est reliée par une courroie 542 à  section en V à la poulie 476 déjà mentionnée  pour entraîner le rouleau inférieur d'essorage  464.  



  L'arbre 524 du moteur électrique porte aussi  une grande poulie 544 reliée par une courroie    546 à section en V à une petite poulie 548 calée  sur l'arbre 550 d'un ventilateur 552 installé dans  la partie inférieure du coffre 430; ce ventilateur  est connecté d'une certaine manière et pour  remplir une certaine fonction, comme on l'expli  quera un peu plus loin. L'eau arrive dans la cuve  434 par une conduite d'alimentation 554, dont  l'extrémité supérieure est vissée dans l'extrémité  extérieure de l'élément tubulaire 442, qui porte  également un ajutage 556 vissé dans son  extrémité intérieure et muni de plusieurs petits  orifices 558. Pour empêcher un remplissage  excessif de la cuve 434, on prévoit une conduite  de trop-plein 555 qui aboutit à la conduite de  vidange 516 allant du robinet de vidange 512  à la pompe 518.  



  Les mélanges désirés d'eau chaude et d'eau  froide sont fournis à la conduite d'alimentation  554 par un mécanisme automatique de distri  bution commandé par came (non représenté) et  analogue à celui décrit au sujet de la forme  d'exécution représentée sur les     fig.    1 à 17  inclusivement.  



  Le ventilateur 552 mentionné plus haut a sa  sortie (ou côté haute pression) connectée à une  conduite 560 qui a la forme générale d'un U  inversé; la branche transversale de cet U se  trouve très au-dessus du centre de la cuve 434,  tandis que son extrémité, du côté opposé à celui  du ventilateur 552, est connectée à la paroi  arrière de la cuve dans la partie basse de celle-ci       (fig.    30 et 33). La partie horizontale de cette  conduite 560 porte un réchauffeur électrique  562 alimenté en courant par un conducteur 564  sous le contrôle d'un relais 566, qui est actionné  par le mécanisme à carne du dispositif de com  mande (non représenté).

   L'entrée, ou côté basse  pression, du ventilateur 552 est connectée à une       extrémité    d'une conduite 568 dont l'autre extré  mité aboutit à une ouverture prévue dans la paroi  arrière de la cuve 434, dans la partie haute de  celle-ci     (fig.    30 et 33).

   Dans cette forme d'exécu  tion, le ventilateur 552 est continuellement  entraîné par le moteur électrique 522, mais ne  produit effectivement une circulation d'air que  lorsque le robinet de vidange est ouvert; en effet,  quand le robinet de vidange est fermé, l'eau  contenue dans la cuve remplit la conduite 560      jusqu'à une hauteur telle que la pression fournie  par le ventilateur ne peut que faire baisser le  niveau de l'eau dans cette conduite, car elle est       insuffisante    pour chasser complètement l'eau  et     souffler    de l'air dans la cuve 434.  



  L'air chauffé pénètre dans la cuve 434 par  la conduite 560; l'air froid est aspiré hors de la  cuve par la conduite 568. Les ouvertures de  ces deux     conduites    se trouvent dans la paroi  arrière de la cuve et sont éloignées des ouvertures  460 et 462, qui sont situées dans la paroi péri  phérique de la cuve. Il en résulte que tout l'air  chaud refoulé près du fond de la cuve contribue  au séchage des tissus, avec une quantité appré  ciable d'air qui s'échappe librement à travers  l'ouverture 462. De l'air frais est aspiré dans le  circuit à travers l'ouverture 460, en même temps  que se produit l'admission de la quantité désirée  d'air chaud.

   Un mélange     suffisant    d'air frais  et d'air chauffé est ainsi maintenu dans la  machine pour sécher     efficacement    les tissus, qui  se trouvent en présence d'un volume d'air  important en circulation continue. Des ouver  tures (non représentées) sont ménagées dans les  parois du coffre pour permettre le libre passage  de l'air frais et de l'air chauffé.    Un décanteur de charpie 570     (fig.    35) est  prévu dans la conduite 568; il comprend une  certaine hauteur d'eau 572 et une cloison ou  chicane 574 qui s'étend vers le bas et dans la  direction de la surface de l'eau.

   Cette chicane  oblige l'air aspiré à travers la conduite 568 par  la pompe 552 à changer brusquement de direc  tion au voisinage de la surface de l'eau 572;  il en résulte que la charpie     entrainée    par l'air,  ainsi que les particules plus grosses d'eau  contenues dans celui-ci, tombent dans l'eau 572.  Le niveau de l'eau 572 est maintenu dans le  décanteur 570, comme on le voit sur la     fig.    36,  par une valve à aiguille 576; cette valve permet  à un petit écoulement d'eau de s'effectuer à  partir d'une conduite 578 connectée à la conduite  de vidange 516, à travers la valve 576, puis une  conduite 580, et enfin dans la partie inférieure  du décanteur 570. L'extrémité extérieure de la  conduite 580 est fermée par un chapeau de  nettoyage 582.

   Le décanteur 570 comporte un    orifice d'évacuation 584 dans lequel se trouve  un clapet de retenue 586.  



  On a représenté sur la     fig.    37 une variante des  moyens     permettant    de maintenir le niveau d'eau  désiré dans le décanteur 570. Dans cette variante,  la valve à aiguille 576 est connectée à la conduite  554 d'alimentation en eau de la machine; il se  produit donc un petit écoulement d'eau continu,  à travers la valve 576 et la conduite 580, jusque  dans la partie inférieure du décanteur 570,  pendant les parties du cycle de fonctionnement  comportant une admission d'eau dans la cuve.

    Le décanteur représenté sur la     fig.    37 est construit  de la même manière que celui de la     fig.    36;  il comprend un orifice de trop-plein 584 muni  d'un clapet de retenue 586 et permettant à  l'eau en excès de s'écouler à travers la conduite  578 jusque dans la conduite de vidange 516.  



  Dans le mécanisme de commande (non repré  senté) de cette machine à laver, les cames corres  pondant aux cames 298, 294, 296 et 252, du  mécanisme de commande 55 de la machine à  laver représentée sur les     fig.    1 à 17 inclusivement  et décrite ci-dessus doivent comporter des por  tions d'arrêt     momentané    correspondant à la  période sur laquelle doit s'étendre l'opération  de séchage. On a représenté sur la     fig.    7 une       carne    256 servant à commander un     micro-con-          tact    258, qui est connecté à un relais 566 par  l'intermédiaire d'un conducteur 568'     (fig.    33)  pour commander le fonctionnement du réchauf  feur 562.  



  Dans la forme d'exécution que l'on vient de  décrire, le tambour est également entraîné à une  vitesse permettant aux vêtements de retomber,  comme on l'a expliqué en décrivant la première  forme d'exécution représentée sur les     fig.    1 à 17  inclusivement. Dans la présente forme d'exécu  tion, le seul endroit où la courroie 488 ne  touche pas le tambour est le quadrant supérieur  de droite (en regardant la     fig.    30), où les vête  ments ne viennent pas en contact avec la paroi  454 du tambour.  



  Les     fig.    30, 32 et 33 montrent qu'une surface  de travail peut être ménagée à la partie supé  rieure du coffre. Cette partie est recouverte de  bois 587, recouvert lui-même d'un revêtement  approprié, tel que du linoléum 588. Les bords      du bois et du linoléum sont recouverts par une  pièce moulée 589.  



  Une autre variante d'exécution de la ma  chine objet de la présente invention est repré  sentée schématiquement sur la     fig.    34. Dans       cette    variante, au     lieu    d'utiliser l'action d'esso  rage prévue dans les formes d'exécution décrites  précédemment, on extrait l'eau de la courroie  590, qui est entraînée autour du tambour 592  et au contact de la surface cylindrique perméable  594 de celui-ci, à l'aide d'un   sabot de vide    596. Le sabot 596 possède une surface extérieure  sur laquelle passe la courroie 590 et qui com  porte un certain nombre d'orifices 598. Une  succion est appliquée au sabot 596 par un ven  tilateur 600, qui peut être entraîné par le même  moteur électrique 602 que le tambour 592.

   Le  sabot 596 est connecté au côté admission du  ventilateur 600 par une conduite 604, dont l'ex  trémité inférieure 606 se trouve plus bas que  l'admission du ventilateur et sert à recueillir l'eau  aspirée dans le sabot et- descendant dans la  conduite 604. L'eau recueillie dans cette extré  mité 606 est évacuée par une conduite de  vidange 608. Le ventilateur 600     soufüe    dans un  réservoir 610 qui recueille toute l'eau traversant  le ventilateur et l'évacue par une conduite 612.  Ce réservoir est ouvert à la partie supérieure  pour permettre l'échappement de l'air     soufflé     par le ventilateur.  



  On peut utiliser un réservoir de récupération  de l'eau savonneuse, si on le désire, tel que par  exemple le réservoir 614     (fig.    35), afin d'employer  de nouveau cette eau. Ce réservoir peut être  recouvert d'un revêtement calorifuge 616 et  peut comprendre un     réchauffeur    électrique im  mergé 618 qui maintient l'eau à la température  désirée jusqu'au moment où on l'emploie de  nouveau. Des canalisations sont prévues pour  amener l'eau savonneuse au réservoir 614 et la  renvoyer de celui-ci à la cuve 434.  



  Les     fig.    38 à 41 inclusivement représentent  une variante analogue à la forme d'exécution  représentée schématiquement sur la<B>fi-.</B> 23; elle  en     diffère    cependant principalement par le fait  qu'elle comprend des moyens empêchant le  glissement de la courroie par rapport au tam  bour. .    Si on considère les     fig.    38 à 41 inclusivement,  on voit que la machine à laver qui y est repré  sentée comprend un     coffre    620 dans lequel est  supportée convenablement une cuve cylindrique  622.

   Un tambour ou rotor 624, de forme cylin  drique et notablement plus petit que la cuve 622,  est monté tournant dans celle-ci; son axe est  écarté latéralement et situé plus haut que l'axe  de la cuve 622, comme on le voit sur la     fig.    38.  Le tambour 624 comprend des parois avant et  arrière 626 et 628, et une paroi cylindrique 630;  cette dernière paroi est constituée par de la  tôle découpée et tirée en longueur pour faire  treillis et recouverte sur sa face intérieure d'un  revêtement de tissu 632 fixé à cette paroi d'une  manière quelconque par exemple à l'aide d'une  colle insoluble, ou d'un fil métallique conve  nable, ou d'une couture comme on le voit en  634.

   La paroi cylindrique 630 comporte des  rebords 636     (fig.    40 et 41) qui s'étendent au-delà  des parois avant et arrière 626 et 628 et com  prennent des encoches radiales 638 réparties  uniformément sur toute la circonférence de  manière à constituer de larges engrenages.  



  Deux rouleaux d'essorage 640 et 642 sont  disposés sous le tambour 624, dans l'espace  compris entre les parois excentrées du tambour  624 et de la cuve 622. Le rouleau 640 se trouve  sensiblement sous l'axe du tambour 624. Les  arbres courts avant et arrière 644 et 646 portent  chacun un bras court 648 et un bras long 650  montés pivotants sur ces arbres. Les bras courts  648 s'étendent vers la gauche du rouleau 640  (en regardant la     fig.    38) et chacun d'eux com  porte deux faces de portée 652 écartées l'une de  l'autre sur lesquelles est monté coulissant un  palier 654. Dans ces paliers 654 tourillonnent  les arbres courts opposés 656 du rouleau d'es  sorage 642. Ces bras 648 renferment également  des ressorts 658 qui poussent les paliers 654 vers  le rouleau 640 pour établir une pression désirée  entre les rouleaux 640 et 642.

   Les bras longs 650  s'étendent dans la direction opposée à partir du  rouleau 640 et fournissent également des sur  faces de portée 660 parallèles et espacées entre  lesquelles sont montés des paliers 662, dans les  quels tourillonnent les arbres courts opposés 664  d'un troisième rouleau 666. Les bras 650 sup-      portent également des ressorts 668 qui poussent  les paliers 662 de manière à les éloigner du  rouleau 640 et à donner ainsi une tension désirée  à la courroie 670; cette courroie passe sur les  rouleaux 642 et 666, et entre les rouleaux 640  et 642     (fig.    38).  



  Les arbres courts 644 et 646 du rouleau 640  portent des engrenages 672 fixés sur ces arbres  par des clavettes 674     (fig.    41) et disposés vers  l'intérieur par rapport aux articulations des bras  648 et 650 sur ces arbres. Des engrenages 676,  constitués par une matière appropriée, telle que  du caoutchouc durci, de la bakélite, du tissu en  plaque feuilletée, ou une matière analogue, co  opèrent avec les engrenages 672 et sont calés sur  les arbres courts 656 du rouleau 642 par des  clavettes 677; ils engrènent avec les engrenages  672. Les extrémités extérieures des dents des  roues dentées 676 sont arrondies, comme on le  voit en 678 sur la     fig.    41, de manière à s'engager  dans les dépressions 638 formées dans les  rebords 636 de la paroi 630 du tambour.  



  L'engrènement de ces dents avec les encoches  638 empêche tout glissement entre la courroie  670 et le tambour 624.  



  L'extrémité extérieure de l'arbre court avant  644 du rouleau 640 tourillonne dans une équerre  de support 680, qui est portée par la cuve 622  et comporte des rebords 682 susceptibles de  coulisser suivant l'axe de la cuve 622 sous des  bandes de retenue 684 fixées sur la face inté  rieure et au fond de la cuve. L'équerre 680 est  verrouillée en position d'assemblage par une vis  à oreilles 686 traversant l'une des bandes de  retenue 684 et se vissant dans un orifice de l'un  des rebords 682. L'arbre court opposé 646 du  rouleau 640 comporte un méplat 690 sur un  côté et s'engage dans une douille coopérante  d'un arbre 692, par l'intermédiaire duquel il est  entraîné à l'aide de moyens appropriés (non  représentés).  



  Les bras 650 sont articulés sur les arbres  courts 644 et 646 à l'extérieur des articulations  des bras 648 sur ces arbres, et sont maintenus  correctement écartés l'un de l'autre par une  entretoise 694     (fig.    39) fixée à ses deux extrémités  sur les bras 650 par des vis à oreilles 696. On  voit maintenant que l'assemblage complet com-    prenant les rouleaux 640, 642 et 666, les bras 648  et 650, et l'entretoise 694, peut être mis en place  par un déplacement axial, l'extrémité de l'arbre  court 646 s'engageant dans la douille de l'arbre  d'entraînement 692. On met ensuite en place  l'équerre 680 pour supporter l'arbre court 644,  et on la verrouille à l'aide de la vis à oreilles 686.

    Les bras 648 et 650 sont poussés vers le tam  bour 624 par les ressorts à lame 698 et 700 res  pectivement; ces ressorts s'appuient sur la sur  face intérieure de la cuve 622, comme on le voit  clairement sur les     fig.    38 et 40. Ils maintiennent  la courroie 670 appliquée avec la pression dési  rée contre le tambour 624, par l'intermédiaire  des bras 648 et 650 et des rouleaux 642 et 666  portés par ces bras.  



  Une conduite de vidange 702 est     connectée     au fond de la cuve 622 et aboutit à un filtre 704  analogue aux filtres 190 et 510 décrits ci-dessus.  On remarquera que la courroie 670 est en  contact avec le quadrant inférieur de droite du  tambour, ce quadrant constituant précisément  la zone dans laquelle retombent les vêtements.  La vitesse de rotation du tambour 624 est choisie  de manière à réaliser cette dernière condition.  



  La     fig.    42 représente une variante de la  forme d'exécution représentée sur les     fig.    38 et 41  inclusivement. On peut utiliser cette variante  quand on modifie la machine représentée sur ces  figures pour y inclure un ventilateur. Dans ce  cas     (fig.    42), le rouleau de tirage 666 peut com  porter une partie centrale fixe 710, qui contient  en son centre un élément de chauffage électrique  712 protégé hermétiquement, et un manchon  extérieur 714 pouvant tourner sur la partie  fixe 710. Dans la forme d'exécution représentée,  la partie centrale 710 est en fonte et le manchon  extérieur 714 en acier; on réalise ainsi les carac  téristiques de frottement nécessaires entre ces  deux pièces.

   Puisque dans la machine représentée  sur les     fig.    38 à 41 la courroie 670 se déplace  dans le sens indiqué par les     flèches,    on remar  quera qu'après avoir passé entre les rouleaux  d'essorage 640 et 642 la courroie 670 se déplace  vers le rouleau 666, puis tourne autour de celui-ci  qui, s'il est conforme à la variante de la     fig.    42,  produit un effet de   repassage   et extrait la  vapeur d'eau de la     courroie    en la séchant, avant      qu'elle ne vienne en contact avec la paroi cylin  drique du tambour 624; ce rouleau 666 aug  mente donc la capacité d'absorption de la  courroie 670.  



  La     fig.    44 représente un récipient cylindrique  <B>811</B> ayant une paroi avant 812 et une paroi  arrière 813 imperméables réunies à leurs péri  phéries par plusieurs tiges 814. Une paroi péri  phérique 815 en une matière capable d'absorber  les     fluides,    telle que lin, coton, produit synthé  tique et matière analogue, est fixée sur les tiges  par des plis 810 que celles-ci traversent, comme  on le voit sur la     fig.    45. Des ailettes de soulève  ment et de basculement 816 sont également  fixées aux parois avant et arrière 812 et 813 pour  aider les tiges 814 à soulever et à faire retomber  les tissus à l'intérieur du récipient.  



  Ce récipient 811 est suspendu sur un arbre  817 entraîné par une poulie 818, qui reçoit son  mouvement d'un réducteur de vitesse 819 que  fait tourner un moteur électrique 821. Une  plaque de chauffage 822 est disposée en travers  et près de la paroi périphérique; sur le dessin,  elle est placée à l'endroit où les vêtements retom  bent à l'intérieur du récipient. La chaleur desti  née à chauffer la plaque 822 est amenée, sous       forme    de courant électrique, de vapeur d'eau,  ou sous une autre forme. La surface de la plaque  est disposée directement près de la paroi de  tissu 815; de cette manière, quand les vêtements  à laver retombent sur cette paroi, le tissu de  celle-ci vient en contact avec la plaque et perd  son humidité.  



  Sur la     fig.    46, on voit un récipient analogue  ayant une paroi avant et une paroi arrière  réunies entre elles par une paroi périphérique  perforée 820 qui comporte des ailettes 816 fixées  entre les parois avant et arrière. Une bande de  tissu 824 est tendue autour de la paroi périphé  rique 820 et recouvre les ouvertures 825 de  celle-ci. Le récipient est entraîné d'une manière  analogue par un moteur électrique<B>821,</B> par       l'intermédiaire    d'un     réducteur    de vitesse 819 qui  fait     tourner    une poulie<B>818</B> montée sur l'arbre  817.

   Un élément de chauffage 826 est prévu;  il est constitué par une bobine résistante en fil  métallique dont les extrémités 827 sont connec  tées à une source d'énergie électrique, de    manière à absorber une puissance supérieure à  4000 watts. La chaleur est appliquée par l'élé  ment de chauffage à la zone du rotor se trou  vant juste en avant de l'endroit où les vêtements  retombent de la paroi périphérique, de manière  à faire évaporer toute humidité transférée des  vêtements à la bande de tissu 824. Ainsi, la  bande de tissu est séchée dans la moitié de droite  du récipient, qui n'est pas en contact avec les  vêtements, et elle offre par conséquent une plus  grande capacité d'absorption pour l'eau des  vêtements quand elle vient en contact avec       ceux-ci    dans la moitié de gauche du rotor.  



  Dans la machine représentée sur la     fig.    48,  le rotor comprend une paroi avant 812, une  paroi arrière 813 et une paroi périphérique per  forée 820; il est entouré par une courroie 830  en tissu qui lui communique un mouvement de  rotation. Deux rouleaux fous 831 et 832 sont  montés près du bord des parois 812 et 813. La  courroie est     entrainée    entre les rouleaux     d'en-          trainement    833 et 834 par une poulie 835 montée  sur le rouleau 833; cette poulie reçoit son mou  vement d'un réducteur de vitesse et d'un moteur  électrique non représentés sur la figure.

   Un  autre rouleau fou 837 est monté au-dessus du  rouleau 834 dans le but d'avoir une plus grande  longueur de courroie écartée du rotor et de  pouvoir ainsi sécher plus facilement la courroie.  On peut faire circuler de l'air chaud sur la por  tion de courroie 838 qui est écartée du rotor;  on peut également monter des éléments de chauf  fage 839 dans quelques-uns des rouleaux ou  dans tous les rouleaux; on peut utiliser ces  éléments séparément ou en combinaison avec la  circulation d'air chaud en vue de chauffer et de  sécher la courroie.  



  On peut bien entendu utiliser les dispositifs  des     fig.    44, 46 et 48, uniquement pour sécher des  vêtements qui ont été lavés au préalable dans  une machine séparée. Le passage de l'eau des  vêtements dans la paroi de tissu disposée à la  périphérie du récipient contribue au séchage, et  l'élément de chauffage sèche cette paroi, pendant  que de l'air circulant dans le récipient de la  manière habituelle pour sécher les vêtements  contribue également au séchage du tissu formant  la paroi périphérique.

        Le tissu constituant la     courroie    830 peut con  sister en un support flexible 841     (fig.    49) en  métal, en matière plastique, ou en une autre  matière flexible (ce support peut être perforé  ou se présenter sous la forme d'un tamis), sur  lequel on a fixé une couche de drap 842, ou de  fibres tressées ou d'une matière analogue. Dans  la forme d'exécution représentée sur les     fig.    51  et 52, la courroie 830 est associée au     récipient     de manière à retenir l'eau et à pouvoir laver  les vêtements agités à l'intérieur du récipient.  Dans cette disposition, les parois avant et  arrière 812 et 813 sont réunies par les ailettes  de soulèvement et de basculement 816 et par la  paroi perforée 820.

   Sur chaque bord de la paroi  périphérique se trouve une rainure annulaire  843 qui reçoit et retient une bague 844 en  caoutchouc souple. La courroie 845 comporte  une portion extérieure 846, en caoutchouc ou en  une matière imperméable analogue, qui est  recouverte d'une couche de tissu 847 destinée  à recevoir l'eau des vêtements à travers les  ouvertures 825 de la paroi périphérique 820.

   Les  bords de la courroie sont en contact avec les  bagues de caoutchouc 844 et forment avec  celles-ci des joints étanches; des moyens (non  représentés) peuvent être prévus pour entraîner  la courroie et pour la tendre autour de la  partie inférieure du récipient et l'appliquer  contre les bagues d'étanchéité; l'eau peut ainsi  être retenue dans le récipient, comme on le  voit sur la     fig.    51, jusqu'à un niveau indiqué  par le nombre de référence 849. Un bac 851  muni d'un orifice de vidange 852 est placé sous  le récipient pour recueillir les gouttes d'eau  tombant de la courroie pendant que celle-ci  entraîne le récipient. L'arbre 817 du récipient  est monté dans un palier disposé sur un support  approprié de la manière habituelle.

   Grâce à  l'emploi des bagues d'étanchéité 844 et de la  portion imperméable de courroie 846, on peut  retenir l'eau de lavage dans le récipient sans que  l'on ait besoin de le placer à l'intérieur d'une  cuve. L'eau extraite de la courroie par les rou  leaux d'entraînement pendant le lavage est  ramenée dans le récipient, à travers l'arbre 817  s'il est creux, ou à travers l'ouverture d'accès  prévue dans la paroi avant. Après le lavage, l'eau    extraite de la courroie est     dirigée    des rouleaux  d'entraînement vers un     orifice    de vidange,  comme on l'a déjà expliqué.  



  Dans la forme d'exécution représentée sur  les     fig.    53, 54 et 55, le récipient 860 comporte des  parois avant et arrière 812 et 813, et une paroi  périphérique perforée 861 qui peut être consti  tuée par un     tamis,    du métal perforé, ou une  matière analogue; une paroi périphérique en  tissu 862 est     appliquée    à l'extérieur de la paroi  861. Des ailettes 816 sont montées près de la  paroi 861 entre les parois avant et arrière 812  et 813. Le récipient 860 est monté sur un arbre  817 comme on l'a expliqué ci-dessus.

   Un tam  bour 863 est disposé autour de la paroi périphé  rique 862 et possède un diamètre supérieur à  celui de cette dernière; ce tambour 863 a une  paroi extérieure perforée 864 en métal, matière  plastique, ou en une autre matière rigide, sur  la face intérieure de laquelle est appliquée une  couche de matière 865 susceptible d'absorber ou  de transporter l'eau. Cette matière 865 est en  contact avec la matière 862 du récipient sur une  certaine distance dans la zone 866, grâce au  décalage prévu entre le centre 867 du tambour  863 et l'arbre 817.

   La paroi extérieure 864 et le  bord périphérique 868 des parois d'extrémité  812 et 813 et de la paroi périphérique 861 sont  dentelés en 869-     (fig.    55) de manière à réaliser  une sorte d'engrenage entraîné par des roues  dentées 871 et 872     (fig.    54 et 55). Ces dentelures  permettent de maintenir en synchronisme le  récipient et le tambour 863 entraînés simulta  nément par les roues dentées 871 et 872.  



  Les roues dentées 871 sont montées sur les  extrémités d'un rouleau 873; ces extrémités repo  sent sur des montants 874, qui portent des arbres  courts 875 sur lesquels peuvent tourner les roues  dentées 872. Une poulie 876 est montée sur  l'arbre 877 prévu à une extrémité du rouleau  <B>873;</B> cette poulie fait tourner les roues dentées  871 et 872 et reçoit elle-même son mouvement  par l'intermédiaire d'une courroie 878, d'un  réducteur de vitesse 819 entraîné par un moteur  électrique 821 (ces deux derniers non représen  tés). Un élément de     chauffage    826 peut être prévu  entre la paroi périphérique du récipient 860 et  le tambour 863 pour contribuer à chauffer l'air      circulant à l'intérieur du rotor et pour émettre  de la chaleur radiante en vue de sécher les cou  ches de tissu 862 et 865.

   A la place de l'élément  de chauffage 826, ou en combinaison avec lui,  on peut employer un autre élément de chauffage  881 disposé à l'intérieur du rouleau creux 873;  on le monte sur un support isolant 882 fixé sur  l'un des montants 874. La chaleur dégagée par  le rouleau est appliquée directement à la bande  864 pour contribuer à chasser l'humidité conte  nue dans la face intérieure de la couche absor  bante 865. Avec de telles dispositions, l'eau  contenue dans les vêtements placés à l'intérieur  du rotor est transférée à la paroi de tissu 862,  d'où elle passe dans la couche de tissu 863, qui  est séchée par l'élément de chauffage 862 ou  l'élément de chauffage 881, ou par ces deux  éléments à la fois.

      Dans la forme d'exécution de la     fig.    56, la  bande 864 possède des dents qui engrènent avec  les dents du récipient au point 866, de manière  que cette bande et le récipient soient entraînés  en synchronisme. La bande 864 est entraînée par  des engrenages 871 et 872 qui sont diamétrale  ment opposés au point 866 et sont montés sur  deux rouleaux 883 et 884; ces rouleaux en con  tact avec la bande 864 appliquent à celle-ci une  pression pour extraire mécaniquement l'eau de  la matière 865 et la faire tomber dans une gout  tière 885, d'où elle est ramenée dans le récipient  pendant un cycle de lavage pour être évacuée  ensuite.

   Un élément de chauffage 886 est monté  entre le récipient et la bande pour fournir de  la chaleur radiante à la matière fibreuse 862 et  865 en vue d'en chasser l'humidité, ainsi qu'à  l'air circulant entre le récipient et la bande à  travers les vêtements contenus dans celui-ci.  Dans les deux formes d'exécution représentées  sur les     fig.    53 à 56, on peut prévoir un carter  extérieur 887 autour de la bande extérieure pour  renfermer l'ensemble de la machine. Des  moyens appropriés (non représentés) sont pré  vus sur le plancher pour supporter le carter 887.

    Il est bien entendu que les engrenages 871 et  872, ainsi que les rouleaux 883 et 884, représen  tés sur la     fig.    56, sont entraînés par une poulie  876 montée sur un arbre 877 et recevant son    mouvement d'un réducteur de vitesse et d'un  moteur électrique,     comme    on l'a expliqué plus  haut.  



  Dans la forme d'exécution de la     fig.    57, un  sabot de succion 890 remplace l'élément de  chauffage 826 de la     fig.    46 pour extraire l'eau  de la paroi périphérique 815. Il est bien entendu  que l'on peut déplacer le sabot de succion 890  d'un angle de 900 par rapport à la position du  dessin, afin d'extraire le liquide de la paroi  avant que celle-ci ne soit chauffée par l'élément  de chauffage 826. Le sabot de succion 890 com  porte une plaque arrondie de même rayon que  le récipient et percée de plusieurs orifices 892;  cette plaque est fixée d'une manière étanche sur  un carter 893 muni d'un conduit d'aspiration  894 sur lequel est fixée une canalisation 895.  Cette canalisation est connectée à une source  créant une dépression, de manière à extraire l'eau  du tissu.

   On pourrait également fournir à cette  canalisation de l'air chaud sous pression pour  chauffer le tissu et en chasser l'humidité. Dans  cette forme d'exécution, le sabot de succion 890  est disposé de préférence dans la partie supé  rieure de droite du récipient, à un endroit où le  tissu absorbant n'est pas en contact avec les  vêtements.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Machine pour le nettoyage d'une matière textile à l'aide d'un liquide de nettoyage, carac térisée en ce qu'elle comprend un récipient susceptible d'être mis en mouvement de manière à agiter la matière à nettoyer, récipient compre nant une paroi périphérique et dont l'intérieur constitue au moins une partie d'un espace entouré par de la matière susceptible de retenir du liquide, et en ce qu'elle comprend en outre des moyens pour évacuer le liquide qui a été admis dans le récipient et des moyens pour extraire le liquide contenu dans ladite matière de retenue de liquide, pendant que le récipient est encore en mouvement pour continuer d'agiter la matière à nettoyer de manière que le liquide contenu dans cette dernière puisse être recueilli par ladite matière de retenue.
    SOUS-REVENDICATIONS 1. Machine selon la revendication, caracté risée en ce que ladite matière de retenue de liquide est constituée par une courroie qui passe autour de la paroi périphérique dudit récipient. 2. Machine selon la sous-revendication 1, caractérisée en ce que cette courroie passe aussi autour d'un organe d'entraînement, et sert à l'entraînement en rotation du récipient. 3. Machine selon la sous-revendication 2, caractérisée en ce que la courroie a la même largeur que ladite paroi périphérique. 4. Machine selon la sous-revendication 1, caractérisée en ce que lesdits moyens d'extrac tion comprennent une paire de rouleaux d'esso rage entre lesquels la courroie passe. 5. Machine selon la revendication, caracté risée en ce que le récipient a un axe horizontal et est monté dans un carter. 6.
    Machine selon la revendication, caracté risée en ce que le récipient a une ouverture pour l'entrée et la sortie de la matière à nettoyer et une ouverture pour l'évacuation du liquide et que des moyens entraînés par un moteur sont prévus pour agiter ladite matière dans le réci pient. 7. Machine selon la revendication, carac térisée en ce que ladite matière de retenue de liquide est appliquée contre la paroi périphé rique du récipient. 8. Machine selon la sous-revendication 7, caractérisée en ce que ladite matière, de retenue de liquide est constituée par un tissu. 9. Machine selon la sous-revendication 7, caractérisée en ce que ladite matière de retenue de liquide est constituée par de la matière fibreuse tissée. 10.
    Machine selon la revendication, carac térisée en ce que la paroi périphérique du réci pient est en tôle découpée et tirée en longueur pour faire treillis. 11. Machine selon la revendication, caracté risée en ce que la paroi périphérique du récipient est faite en matière non perméable et est per forée. 12. Machine selon la sous-revendication 1, caractérisée en ce que la paroi périphérique du récipient est cylindrique et la courroie touche la paroi périphérique sur la majeure partie de sa circonférence. 13. Machine selon la revendication, caracté risée en ce que le récipient est logé dans un carter et lesdits moyens d'évacuation sont agencés de manière à évacuer en dehors du carter et du récipient, pendant que la matière à nettoyer est agitée dans le récipient, le liquide de nettoyage qui a été admis dans le récipient.
    14. Machine selon la sous-revendication 13, caractérisée en ce qu'elle comprend une conduite de vidange et des moyens pour diriger vers cette conduite le liquide de nettoyage. 15. Machine selon la revendication, caracté risée en ce que des ailettes font saillie à l'intérieur du récipient sur la paroi périphérique de celui-ci, dans le but de soulever la matière à nettoyer pendant la rotation du récipient et de faire retomber ensuite cette matière sur la partie inférieure de celui-ci. 16. Machine selon la revendication, caracté risée en ce qu'elle comprend des moyens qui entraînent en rotation le récipient à la même vitesse pendant un cycle comprenant des opéra tions de nettoyage, de rinçage et d'extraction du liquide. 17.
    Machine selon la sous-revendication 14, caractérisée en ce que la conduite de vidange est munie d'un robinet, et en ce qu'elle com prend une conduite de trop-plein connectée au carter au-dessous du centre de celui-ci pour limiter la hauteur du liquide dans le carter, des moyens manuels de commande pour introduire initialement une certaine quantité de liquide dans le carter, et des moyens automatiques de commande pour réaliser un cycle comprenant des opérations de lavage, rinçage et extraction du liquide contenu dans la matière à nettoyer, ces derniers moyens automatiques comprenant des moyens pour actionner le robinet de vidange et un robinet d'admission de liquide pendant l'opération de rinçage du cycle,
    la hauteur du liquide admis pendant le rinçage étant limitée par la conduite de trop-plein. 18. Machine selon la sous-revendication 4, caractérisée par le fait qu'elle comprend un troisième rouleau qui tend la courroie. 19. Machine selon la sous-revendication 4, caractérisée en ce qu'une gouttière est disposée sous les rouleaux d'essorage pour recueillir le liquide. 20. Machine selon la revendication, carac térisée en ce que lesdits moyens d'extraction agissent par succion. 21. Machine selon la sous-revendication 20, caractérisée en ce que ces moyens d'extraction comprennent au moins un rouleau. 22.
    Machine selon la sous-revendication 1, caractérisée en ce que les moyens d'extraction comprennent des moyens agissant par succion et qui sont situés à distance de la paroi périphé rique du récipient et reliés à une pompe d'évacua tion, et sur lesquels passe la courroie pour y perdre le liquide qu'elle contient, et en ce que la pompe et la courroie sont entraînées par le même moteur. 23. Machine selon la sous-revendication 3, caractérisée en ce que la courroie passe sur un rouleau qui contient un élément de chauffage. 24. Machine selon la sous-revendication 5, caractérisée en ce qu'elle comprend des moyens pour chauffer de l'air et un ventilateur pour faire circuler cet air à travers le récipient. 25.
    Machine selon la sous-revendication 24, caractérisée en ce qu'un puisard contenant une hauteur déterminée de liquide est disposé dans la conduite de retour de l'air, qui vient frapper ce liquide de telle manière que la charpie est extraite du courant d'air avant que celui-ci ne pénètre dans le ventilateur. 26. Machine selon la sous-revendication 5, caractérisée en ce que le carter possède un organe qui fait saillie à l'intérieur, sur lequel est touril- lonné le récipient et qui présente un canal central pour l'entrée du liquide dans le récipient. 27.
    Machine selon la revendication, caracté risée en ce que le récipient est renfermé dans un carter dont l'axe est décalé ver le bas par rapport à celui du récipient, la surface intérieure de la paroi périphérique de ce dernier étant garnie de ladite matière de retenue de liquide qui est une matière pelliculaire absorbante, lesdits moyens d'extraction étant constitués par une courroie sans fin de matière susceptible d'absorber du liquide et disposée dans ce carter de manière à toucher une partie de la circon férence du récipient. 28. Machine selon les sous-revendications 1 et 5, caractérisée en ce que ladite courroie sans fin passe entre des rouleaux d'essorage et autour d'un rouleau tendeur montés de manière amo vible dans le carter, des moyens étant prévus pour presser la courroie contre la partie infé rieure du récipient. 29.
    Machine selon la sous-revendication 28, caractérisée par le fait que lesdits rouleaux sont montés sur un châssis de support. 30. Machine selon la sous-revendication 29, caractérisée par le fait qu'elle comprend des moyens pour l'entraînement de la courroie sans fin par l'entremise de l'un des rouleaux d'esso rage et d'autres moyens prévus pour maintenir le synchronisme entre le mouvement du récipient et celui dudit rouleau. 31. Machine selon la sous-revendication 28, caractérisée par le fait qu'elle comprend des moyens pour le chauffage du rouleau tendeur. 32. Machine selon la sous-revendication 1, caractérisée en ce que lesdits moyens d'extrac tion comprennent un élément de chauffage disposé à proximité de la courroie. 33.
    Machine selon la sous-revendication 32, caractérisée en ce que ledit élément est disposé de sorte qu'il rayonne directement sur la courroie la chaleur qu'il produit. 34. Machine selon la revendication, caracté risée en ce qu'un tambour est disposé autour du récipient contre la paroi périphérique cylindrique duquel est appliquée ladite matière de retenue de liquide qui est une matière pelliculaire absor bante, l'axe de ce tambour étant décalé par rapport à l'axe du récipient de manière qu'une couche de matière susceptible d'absorber du liquide, disposée sur la face intérieure du tambour, soit en contact avec ladite matière pelliculaire absorbante sur une partie de la circonférence du récipient afin de permettre le transfert du liquide contenu dans cette matière à celle constituant ladite couche.
    35. Machine selon la sous-revendication 34, caractérisée en ce que le cylindre et le tambour engrènent ensemble par des parties munies de dents, de manière à tourner en synchronisme. 36. Machine selon la sous-revendication 35, caractérisée en ce que lesdits moyens d'extraction de liquide comprennent deux rouleaux qui sont pressés de part et d'autre sur la paroi du tambour pour extraire le liquide contenu dans la couche disposée sur la face intérieure du tambour. 37. Machine selon la sous-revendication 36, caractérisée en ce que ces rouleaux possèdent des parties dentées qui engrènent avec celles du cylindre et du tambour. 38.
    Machine selon la sous-revendication 34, caractérisée par le fait qu'elle comprend des moyens de chauffage disposés entre le récipient et le tambour pour extraire le liquide de la couche disposée sur la face intérieure du tambour. 39. Machine selon la revendication, carac térisée en ce que le récipient consiste en un cylindre monté sur un support et possédant deux parois d'extrémité espacées, entre lesquelles se trouve la paroi périphérique, et en ce qu'elle comprend des moyens d'étanchéité disposés dans la paroi périphérique près des parois d'extrémité, une courroie,
    qui a une partie extérieure en matière imperméable recouverte d'une couche intérieure de ladite matière de retenue de liquide qui est une matière pelliculaire absorbante et qui est fixée autour de ladite paroi périphérique, et des moyens pour entraîner la courroie et pour la tendre autour de la partie inférieure du récipient et l'appliquer contre lesdits moyens d'étanchéité, de manière que le récipient puisse garder un liquide pendant le mouvement de la courroie et du récipient. 40.
    Machine selon la revendication, caracté risée en ce qu'elle comprend des moyens pour faire osciller le récipient sur un grand arc de cercle et une ailette qui fait saillie à l'intérieur de ladite paroi périphérique du récipient dans le but de soulever et de faire retomber la matière à nettoyer à l'intérieur du récipient, lorsque celui-ci oscille. 41. Machine selon la revendication, carac térisée en ce que les moyens d'extraction du liquide comprennent une paire de rouleaux ayant chacun une couche extérieure en matière susceptible d'absorber du liquide et appliqués contre la paroi périphérique du récipient, laquelle est garnie de ladite matière de retenue de liquide qui est une matière pelliculaire absorbante.
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