Procédé de vérification optique d'un engrenage
et appareil pour sa mise en oeuvre
La présente invention a pour objet un procédé de vérification optique d'un engrenage.
Elle comprend également un appareil optique pour la mise en oeuvre de ce procédé, permettant notamment le calibrage des engrenages dans des conditions reproduisant les conditions de travail.
Le procédé que comprend l'invention est caractérisé en ce qu'on projette dans un plan d'observation sur un diagramme portant des groupes de repère représentant des crémaillères une image agrandie d'une partie d'une dent de crémaillère disposée dans le plan focal du système optique de projection; on déplace ladite partie de dent jusqu'à ce que son image com- cide sur le diagramme avec des repères appartenant à une première dent d'une crémaillère choisie sur ce diagramme; on dispose également dans le plan focal l'engrenage à vérifier dans une position où il est en prise avec ladite partie de dent;
on déplace latéralement l'axe de cet engrenage tandis qu'il est en prise avec ladite partie de dent de crémaillère de façon que l'engrenage roule sur cette partie de dent et on projette sur le diagramme une image agrandie d'une seconde dent de l'engrenage roulant de manière à pouvoir observer le mouvement de son image par rapport à une seconde dent de ladite crémaillère choisie sur le diagramme.
L'appareil que comprend également l'ùi- vention est caractérisé par un diagramme de comparaison disposé dans un plan d'observation et présentant à une échelle agrandie un contour théoriquement parfait des parties d'une crémaillère destinée à engrener avec un engrenage à vérifier; par des moyens pour déplacer dans le plan focal dudit système optique une partie de dent de crémaillère de sorte que son image sur le diagramme de comparaison coïncide avec un flanc d'une dent de la crémaillère inscrite sur le diagramme; par des moyens pour maintenir l'engrenage à vérifier dans le plan focal avec une dent en prise avec ladite partie de dent; par des moyens pour déplacer l'axe de l'engrenage latéralement de façon que ledit engrenage roule sur ladite partie de dent;
le système optique de projection étant agencé pour permettre d'observer, lors de ce déplacement, le mouvement de l'image agrandie d'une seconde dent dudit engrenage roulant par rapport à une seconde dent de la crémaillère inscrite sur le diagramme.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'appareil pour la mise en oeuvre du procédé que comprend la présente invention.
La fig. 1 en est une vue partielle de face montrant la monture de support d'un engrenage, dont l'image agrandie est projetée sur un calibre à diagramme d'un comparateur optique.
La fig. 2 est une vue en plan de la monture, le bras de support de la tige formant crémaillère et les organes associés ayant été supprimés.
La fig. 3 est une vue de face analogue à la fig. I sur laquelle la monture est représentée à plus grande échelle, une partie du comparateur optique étant arrachée.
La fig. 4 est une vue en coupe verticale médiane à travers la crémaillère et le pignon servant à déplacer le chariot inférieur de la tête de commande, sensiblement par la ligne 4-4 en fig. 10.
La fig. 5 est une vue en élévation du côté droit, une partie du comparateur optique ayant été arrachée.
La fig. 6 est une vue en élévation du côté gauche du comparateur optique dont une partie a été arrachée afin de montrer le système de projection optique et d'agrandissement.
La fig. 7 est une vue de face à plus grande échelle d'une partie du comparateur optique montrant une image d'un engrenage projetée sur un diagramme de calibrage.
La fig. 8 est une vue de face d'un diagramme d'engrenages.
La fig. 9 est une vue en élévation de la droite d'une partie de la tête de commande de la monture.
La fig. 10 est une vue en coupe verticale, sensiblement par la ligne 10-10 en fig. 3.
La fig. 11 est une vue en coupe verticale partielle à travers une partie de la base de la tête de commande, sensiblement par la ligne 11-11 en fig. 3.
La fig. 12 est une vue en coupe verticale, sensiblement par la ligne 12 - 12 en fig. 13.
La fig. 13 est une vue en coupe horizontale à travers une partie de la tête de commande de la monture, avec arrachement partiel.
La fig. 14 est une vue en coupe horizontale à travers une partie du dispositif de guidage vertical de la tête de commande.
La fig. 15 est une vue en coupe verticale longitudinale à travers une partie de la tête de commande de la monture.
La fig. 16 est une vue en coupe horizontale à travers une pointe de support de la tête de commande.
La fig. 17 est une vue en coupe verticale médiane de cette pointe de support de la tête de commande, sensiblement par la ligne 17 - 17 enfig. 16.
La fig. 18 est une vue en plan de la manette d'actionnement de la pointe de support.
La fig. 19 est une vue en élévation du côté gauche du bras de support de la tige formant crémaillère.
La fig. 20 est une vue en coupe horizontale à travers la partie avant de ce bras de support, sensiblement par la ligne 20-20 sur les fig. 19 et 24.
La fig. 21 est t une vue en coupe sensible- ment par la ligne 21-21 en fig. 24.
La fig. 22 est une vue en plan, avec arrachement partiel, du bras de support de la tige formant crémaillère.
La fig. 23 est une vue en coupe verticale médiane par un plan longitudinal du bras de support de la tige formant crémaillère, sensiblement par la ligne 23 - 23 en fig. 22.
La fig. 24 est une vue de face du bras de support de la tige formant crémaillère montrant une tige supportée par ce bras, un pignon monté dans une position d'analyse, engrenant avec cette tige, et une partie de la tête de commande et du comparateur.
La fig. 25 est une vue en coupe verticale transversale à travers ce bras de support, sensiblement par la ligne 25-25 en fig. 22.
La fig. 26 est une vue en coupe verticale, sensiblement par la ligne 26-26 en fig. 24.
La fig. 27 est une vue en coupe verticale, sensiblement par la ligne 27-27 en fig. 26.
La fig. 28 est une vue de face d'un gabarit d'alignement ou gabarit de réglage.
La fig. 29 est une vue en plan du dessus du gabarit d'alignement que montre la fig. 28.
La fig. 30 est une vue de profil de la droite de l'ensemble représenté sur la fig. 28.
La fig. 31 est une vue schématique montrant le mode d'utilisation du gabarit d'alignement.
La fig. 32 est une vue de face d'une partie du comparateur optique avec l'image d'un axe d'alignement dudit gabarit projetée sur un diagramme de calibrage.
Les fig. 33 et 34 sont des vues schématiques du diagramme de calibrage avec les silhouettes du pignon et de la tige ou du palpeur formant crémaillère dans certaines conditions.
L'appareil représenté comprend un comparateur optique, une monture de fixation, un calibre à diagrammes, et un gabarit d'alignement ou monture de réglage.
Le comparateur optique est représenté schématiquement sur la fig. 6. Il comprend un boîtier 51 muni sur sa face avant d'une fenêtre 53, dans laquelle est fixé un écran d'observation transparent 55 comportant de préférence sur sa face arrière ou interne une série de cannelures du type de Fresnel, intensifiant la lumière comme cela est utilisé fréquemment sur les plaques ou écrans de mise au point des appareils photographiques. Il est prévu en avant de l'écran 55 et au-dessous de celui-ci une table de travail ou platine 57 sur laquelle est fixée la tête de commande d'une monture de réception de l'engrenage. Un bras de support pour une tige ou un palpeur formant crémaillère, qui est fixé sur la face avant du boîtier du comparateur, est disposé au-dessous de l'écran 55 et au-dessus de la lumière 56 formant objectif.
Lors de l'utilisation, l'engrenage à contrôler est maintenu par la tête de commande. La projection de l'image de cet engrenage sur l'écran 55 est assurée en dirigeant la lumière provenant de la lampe 59 montée dans le boî- tier 61 à travers les lentilles 63, 64 et 66 du condensateur, afin d'éclairer le profil de l'en grenage. Les rayons lumineux passant sur l'en- grenage sont concentrés ensuite par des lentilles 65 et 67 sur les réflecteurs 69 et 71.
Du réflecteur 71, les rayons traversent la lentille de champ 73 et l'objectif 75 en direction du réflecteur 77, à partir duquel ils sont projetés sur l'écran d'observation 55. Les lentilles de focalisation et d'agrandissement 65 et 67 ont même distance focale, et elles sont écartées l'une de l'autre d'une distance égale à la somme de leurs distances focales. Un réflecteur annulaire 79 dont le centre est disposé dans le plan focal mutuel des lentilles 65 et 67 permet le passage de la lumière provenant de la lampe 59 à travers son orifice médian et réfléchit la lumière provenant de la lampe 81 à travers la lentille 65 afin d'éclairer la face arrière de l'engrenage maintenu dans la monture.
I1 est prévu sur la face externe de l'écran 55 du comparateur un calibre semi-transparent ou translucide 83 monté de façon amovible, et sur lequel est reporté avec exactitude un profil devant être comparé visuellement avec le profil agrandi et projeté de l'engrenage particulier devant être examiné. Au lieu de reporter sur le calibre 83 le profil théorique correct (agrandi de façon convenable) de deux ou plusieurs dents d'un engrenage de comparaison destiné à venir en prise avec l'engrenage à analyser.
On reporte sur ce calibre le profil de la crémaillère de base théorique correspondant à l'engrenage à contrôler et le profil ou la forme de dent est contrôlée ou analysée à l'aide d'une pièce dont une partie présente la forme d'une dent de crémaillère ou fait rouler l'engrenage sur ladite partie de cette pièce en observant le profil ainsi projeté de l'engrenage en mouvement par rapport à la crémaillère de base reportée sur le diagramme.
Cette utilisation d'un diagramme sur lequel sont portées les formes des dents de la crémaillère de base plutôt que les dents d'un engrenage constitue une particularité importante. Un avantage réside dans le fait qu'elle permet d'utiliser une seule crémaillère inscrite sur le diagramme pour le contrôle de tous les engrenages ayant le même pas de denture et le même angle de pression, quel que soit le diamètre de cet engrenage ou le nombre de dents qu'il porte. Si des dents de pignons plutôt que des dents de crémaillère sont reportées sur le diagramme de contrôle, il est nécessaire de prévoir un jeu séparé de dents inscrites pour chaque diamètre différent d'engrenage à contrôler, bien que ces engrenages puissent avoir le même pas de denture.
Un autre avantage réside dans le fait que les dents de la crémaillère, qui comportent des flancs droits au lieu de flancs curvilignes, peuvent être inscrites d'une façon plus précise sur le diagramme de contrôle que cela n'est possible avec des dents d'engrenages, qui exigent des côtés incurvés.
Un troisième avantage réside dans le fait que les dents de la crémaillère de base, avec leurs flancs rectilignes et leur forme angulaire, peuvent être amenées plus aisément que des dents de pignon dans une position d'engrènement avec d'autres dents ayant même angle de pression mais des pas de denture différents, de sorte qu'un grand nombre de dentures ayant des pas différents peuvent être placées sur le même diagramme de contrôle sans trop le charger ou sans gêner la clarté d'observation.
Ainsi, un seul diagramme 83 peut recevoir toutes les dentures de crémaillères nécessaires pour analyser ou contrôler tous les engrenages à développante usuels ayant un angle de pression donné (par exemple de 200) pour tous les pas de denture ou pas diamétraux habituellement rencontrés (par exemple de 14 à 1800) indépendamment du diamètre de l'engrenage à contrôler. Un exemple d'un diagramme ou calibre de contrôle 83 de ce type est représenté sur la fig. 8, et on comprendra que ce seul diagramme remplit les fonctions qui exigeraient autrement plusieurs diagrammes séparés si l'on reportait sur ceux-ci des dentures de pignon et non pas des dentures de crémaillères et si aucun moyen n'était prévu pour provoquer un déroulement réel de l'engrenage sur la denture de crémaillère (réelle ou factice).
Comme montré d'une façon générale sur les fig. 3 et 5, et plus en détail sur les fig. 9 et 10, la tête de commande de la monture de fixation est maintenue sur la platine 57 du comparateur par des boulons 85 traversant des oreilles 87 du socle 89 de cette tête de commande. La partie inférieure médiane du socle 89 présente une cavité 90, de sorte que seules les parties de la face inférieure de ce socle voisines de ses bords longitudinaux viennent en contact avec la platine.
Pour faciliter un contact parallèle entre la platine et le socle 89, les surfaces en contact présentent un fini de surface parfait. I1 est prévu sur la face supérieure du socle 89 une paire de rails de guidage longitudinaux 91 écartés transversalement l'un de l'autre, qui sont fixés dans une position parallèle par des boulons 93 vissés dans le socle 89 et dont les extrémités supérieures affleurent la face supérieure des rails de guidage.
Entre les rails de guidage longitudinaux 91 est disposé un chariot longitudinal mobile 95 en forme de T, présentant le long de ses bords longitudinaux inférieurs, dans une position parallèle aux rails de guidage 91 et en regard de ceux-ci, une paire de rails de guidage 97 qui sont retenus sur le chariot par des boulons 99 vissés vers le haut dans le chariot 95 et dont les extrémités inférieures affleurent la face inférieure des rails de guidage 97.
Les bords en regard voisins des rails de guidage longitudinaux 91 et 97 présentent chacun une rainure en V longitudinale 101 munie d'une fente rectangulaire 103 à son sommet et s'étendant sur toute la longueur des rails. Il est prévu entre chaque paire de rails de guidage 91 et 97 une cage rectangulaire allongée 104 dont les bords longitudinaux viennent se loger librement dans les fentes rectangulaires 103 des rails de guidage, et qui présentent des ori fices pour la réception d'une série de roulements à billes 105, en les maintenant dans une position d'écartement relatif approprié.
Ainsi, le chariot est monté de manière à pouvoir se déplacer le long des rails de guidage 91 sur les roulements à billes 105, ces rails étant réglés de manière à exercer une légère compression sur les billes, afin d'éliminer tout jeu transversal. On peut parvenir à ce résultat en montant l'un des rails de guidage 91 (par exemple le rail arrière ou de droite en regardant la fig. 10) dans une position fixe sur le socle 89, à l'aide des boulons 93, tandis que l'autre rail 91 (celui de gauche en regardant la fig. 10) peut subir un léger réglage sur le socle 89, les trous de réception des boulons ayant un diamètre légèrement supérieur à celui des boulons 93.
Une série de vis de réglage transversales 106 sont réparties à certains intervalles sur la longueur du rail de guidage avant ou de gauche 91, trois de ces vis étant visibles sur la fig. 13, et lesdites vis étant implantées obliquement vers le bas et vers l'arrière à travers le bord avant dirigé vers le haut du socle 89 (voir les fig. 9 et 10), de façon que les extrémités arrière des vis viennent porter sur le bord avant du rail de guidage. Quand les différents organes sont assemblés initialement ou sont réglés de nouveau pour compenser le jeu résultant de l'usure, les boulons 93 du rail avant 91 ne sont pas complètement serrés tant que les vis 106 n'ont pas été réglées pour obtenir le degré désiré de précompression des billes 105. On peut ensuite serrer ces boulons 93.
Pour faciliter le mouvement du chariot 95 le long du socle 89, ce chariot présente une crémaillère médiane longitudinale engrenant avec un pignon d'entraînement. Cette crémaillère est formée de deux crémaillères élémentaires identiques 107 et 1 07a (fig. 10) juxtaposées dans une cavité 111 du chariot. La crémaillère 107 est fixée rigidement par des boulons 109 dirigés vers le haut et traversant des trous de cette crémaillère. La crémaillère conjuguée 1 07a est fixée par des boulons 1 09a traversant des trous de cette crémaillère ayant un diamètre légèrement supérieur à celui des boulons, pour permettre un déplacement longitudinal limité de la crémaillère.
Il est prévu au-dessus de la crémaillère 107a une autre cavité 108 (fig. 4 et 10) contenant un ressort hélicoïdal de compression 110 qui prend appui à une extrémité contre l'extrémité de cette cavité et à son autre extrémité contre un axe ou téton vertical 112 fixé sur la crémaillère 107a, ce qui tend ainsi constamment à déplacer cette crémaillère 107a longitudinalement par rapport à la crémaillère 107, dans la faible mesure autorisée. Un pignon droit de grande largeur 113 engrène avec les deux crémaillères et est fixé par une goupille 115 sur un arbre transversal 117 tourillonné dans le socle et dont une extrémité fait saillie par rapport à ce socle. Un bouton 121 est fixé sur cette extrémité de l'arbre 117 par une vis de blocage 119.
Un bossage 123 solidaire du socle entoure l'arbre juste derrière le bouton 121, et un coussinet 125 est encastré à force dans ce bossage afin de servir de palier pour l'arbre.
En vue de verrouiller le chariot 95 par rapport au socle, il est prévu une vis de blocage 127 portant à une extrémité une manette ou un élément de commande 129 et à son autre extrémité un filetage mâle 131 qui est vissé dans un bossage taraudé 133 solidaire du bossage 123 et qui traverse le coussinet 125 pour venir bloquer lors de son serrage l'arbre 117. Etant donné la manière selon laquelle la crémaillère 1 07a est montée et est soumise à la sollicitation d'un ressort, tout jeu en retour entre le pignon et cette crémaillère est supprimé.
Des butées servant à limiter le déplacement longitudinal du chariot par rapport au socle sont prévues sur les bords avant de ce socle et du chariot (fig. 1, 3, 9 et 11). Ces butées comprennent une patte 135 fixée par des vis 137 sur le bord avant (bord de gauche en regardant la fig. 9) du chariot 95 et portant une oreille 139 dirigée vers le bas et étudiée de manière à venir coopérer avec les butées 141 réglables longitudinalement du socle, afin de limiter le mouvement longitudinal du chariot 95 à la course désirée.
Afin de faciliter la possibilité de réglage, les butées sont retenues en place sur le bord longitudinal avant ou gauche du socle (en regardant la fig. 9) au moyen de manettes 143 dont chacune comporte une tige 145 traversant un orifice d'une butée 141 et vissée dans un écrou 147 logé dans une rainure 149 en forme de T d'un bord longitudinal du socle. Comme montré sur la fig. il, une fois qu'une butée 141 a été amenée à la position désirée, la rotation de la manette 143 tend à appliquer la butée 141, par la face interne de la tête 150 de la tige 145, contre le bord de ce socle afin de bloquer cette butée par friction dans une position bien définie.
Etant donné que la rainure 149 a, comme montré sur la fig. 3, une longueur considérable, les butées 141 peuvent être amenées par réglage à diverses positions afin d'obtenir le degré de déplacement longitudinal désiré pour le chariot 95.
Une paire de rails de guidage 153 écartés transversalement l'un de l'autre sont fixés par des boulons 151 sur la face supérieure du chariot 95 et sont perpendiculaires à la direction des rails inférieurs 91. I1 est prévu entre ces rails 153 un chariot 155 sur lequel sont fixés des rails de guidage 157 maintenus par des boulons 159. Les rails de guidage 153 et 157 sont disposés en regard, et les bords voisins des rails présentent des rainures en V 161 analogues à celles prévues dans les rails de guidage 91 et 97.
Plusieurs roulements à billes 163 sont disposés dans chaque paire de rainures voisines 161 et sont maintenus à l'écartement convenable l'un de l'autre grâce à leur montage dans les logements d'une cage 165 disposée dans l'intervalle ménagé entre les rails 153 et 157 comme pour les cages 104 précitées.
Comme pour les roulements à billes du chariot 95, les roulements à billes du chariot supérieur 155 sont soumis à une contrainte ou charge préalable afin de supprimer tout jeu transversal. On parvient à ce résultat d'une manière analogue à celle utilisée pour le chariot inférieur. Le rail de gauche 153 est boulonné dans une position fixe sur la face supérieure du chariot 95, tandis que le rail de droite 153 est réglable transversalement à sa longueur étant donné que les trous de réception des boulons ont un diamètre légèrement supérieur à celui des boulons de fixation 151 qui les traversent.
Des vis de réglage 162 (fig. 3 et 9) traversant dans une position sensiblement horizontale une bride dirigée vers le haut du chariot 95 prennent appui contre le bord externe du rail de guidage droit 153, et elles peuvent être utilisées pour soumettre les roulements à billes 163 à la charge désirée avant le serrage complet des boulons 151 de ce rail droit.
Des ressorts sont prévus pour tendre à déplacer le chariot supérieur 155 d'une façon constante vers l'arrière le long des rails 153, c'est-à-dire en direction du boîtier principal 51 du comparateur ou vers la droite en regardant la fig. 5. A cet effet, la face supérieure du chariot inférieur 95 présente une fente ou rainure allongée 156 (fig. 9) disposée à midistance entre les rails 153 et parallèle à eux.
Dans cette rainure est logé un ressort hélicoïdal de compression 158 dont l'extrémité avant agit sur l'extrémité antérieure de la rainure et dont l'autre extrémité prend appui vers l'arrière sur un axe 160 fixé sur le chariot supérieur 155 et faisant saillie vers le bas en pénétrant dans la rainure 156. Le chariot 155 peut être tiré aisément à la main vers l'avant malgré la résistance opposée par le ressort 158, mais chaque fois qu'on relâche ce chariot le ressort le déplace de nouveau vers l'arrière avec l'amplitude de mouvement permise par la butée réglable.
Le chariot supérieur, qui a été désigné jusqu'ici par la référence 155 se rapportant à sa partie inférieure, comprend également une superstructure comportant une bride verticale 166 solidaire de cette partie inférieure 155 et présentant une face verticale droite et également deux nervures ou brides de raidissement 167 (fig. 3, 13 et 15) s'étendant vers la gauche depuis les extrémités avant et arrière de la bride 166 et également solidaires des parties 155 et 166. Les butées réglables servant à limiter le mouvement vers l'arrière du chariot 155, 166 comprennent un bras 171 dirigé latéralement (fig. 3 et 13) fixé sur la nervure avant 167 par des boulons 169.
L'extrémité gauche de ce bras présente une partie plus large 173 traversée par deux alésages 175 (fig. 10) et 177 parallèles l'un à l'autre et aux rails 153 et 157 du chariot, l'alésage 175 étant fileté tandis que l'alésage 177 est lisse.
Une vis de réglage ou de manceuvre 179 terminée à son extrémité avant par un bouton moleté 181 est fixée dans l'alésage 175, et un collet circulaire ou une bride annulaire 183 est fixé sur la vis 179 juste derrière le bouton 181. Une tige de butée coulissante 185 guidée dans l'alésage lisse 177 présente vers son extrémité avant une fente transversale 187 dans laquelle est logée une partie périphérique du collet circulaire 183.
Quand on fait tourner le bouton 181 afin de serrer la vis 179 plus avant dans l'alésage 175 ou pour l'en dégager, le déplacement axial du collet 183 coopérant avec l'encoche 187 provoque un déplacement axial de la tige de butée 185, qui peut être bloquée dans toute position de réglage désirée par une manette de verrouillage 189 engagée sur une vis de serrage 190 vissée dans la partie 173,
I'extrémité inférieure de cette vis étant étudiée de manière à venir coopérer avec un méplat 191 de la tige 185 afin d'assurer le maintien en place de cette dernière. L'extrémité arrière de la tige de butée 185 coopère avec une butée fixe portée par le chariot inférieur 95.
Cette butée est formée par une tige 192 (fig. 10 et 13) alignée axialement avec la tige 185 et fixée dans un flasque 193 solidaire de la face supérieure du chariot 95 par des boulons 195 et des goupilles 196.
Le chariot inférieur 95 peut être considéré également comme un chariot transversal étant donné que sa direction de déplacement le long des rails ou glissières 91, 97 est horizontale et transversale par rapport à l'axe optique du faisceau de lumière servant au calibrage, projeté vers l'arrière par la lampe 59 et passant au voisinage de la pièce à calibrer avant de pénétrer dans le boîtier du comparateur. De même, le chariot supérieur 155, 166 peut être dénommé chariot longitudinal étant donné qu'il se déplace le long des rails 151, 157 dans une direction parallèle à l'axe optique de ce faisceau lumineux, donc longitudinal. Sur ce chariot longitudinal ou supérieur sont prévus des glissières ou rails pour la réception d'un troisième chariot qui se déplace verticalement et qui peut être dénommé chariot vertical.
Les trois chariots ainsi que leurs accessoires forment d'une façon générale la monture de fixation.
Pour plus de facilité dans la fabrication, ces rails ou glissières sur lesquels le chariot vertical se déplace ne sont pas fixés directement sur les parties 155, 166 du chariot longitudinal, mais sur une partie séparée 197 reposant sur le banc ou la platine de ce chariot 155 et sont serrés contre sa bride verticale 166, en étant maintenus dans une position fixe sur cette bride 166 par des goupilles ou axes 199 et deux boulons 201. ll est prévu sur la face de droite de cette partie 197 une paire d'éléments de guidage verticaux 203 qui divergent vers l'exté rieur afin de former un tenon en queue d'aronde. Une paire de brides 205 écartées verticalement l'une de l'autre sont disposées entre ces éléments de guidage 203. La bride inférieure repose sur la face supérieure du chariot transversal.
Les brides 205 (fig. 15) présentent des orifices alignés 206 et 207 recevant des coussinets 209 et 210 servant à la réception d'un arbre de réglage du chariot vertical, décrit plus loin.
Cette partie 197 du chariot présente un élément 211 dirigé obliquement vers le haut, qui s'étend au-dessus du bord supérieur de la cage 165 et qui se termine par une bride sensiblement horizontale 213 solidaire du bord. supérieur de la partie 211 et s'étendant jusqu'en un point disposé verticalement au-dessus des brides 205. Cette bride horizontale 213 présente un orifice 221 recevant une monture de calibrage qu'on décrira plus loin. I1 est prévu sur la partie dirigée vers le haut 211 un bossage 215 traversé par un orifice 217 dont l'axe est horizontal, cet axe coupant l'axe commun des coussinets 209 et 210. Cet orifice 217 reçoit un coussinet 219 formant un palier pour un arbre de commande du chariot vertical décrit plus loin.
Le troisième chariot, ou chariot vertical, est monté de manière à pouvoir coulisser sur les glissières verticales 203 et il comprend une paroi principale 223 et une paire de brides verticales 225 et 227 (fig. 13) solidaires de cette paroi 223 et dirigées vers les éléments 197. Dans l'angle formé par la bride 225 et la paroi 223 du chariot est fixé au moyen de boulons 229 un rail de guidage vertical 231 présentant une face inclinée 233 venant coopérer avec la face externe de l'une des glissières 203. La face interne 235 de la bride 227 fait un angle aigu avec le plan de la paroi 223 du chariot et est parallèle à la face externe de l'autre glissière verticale 203, mais demeure toutefois à une certaine distance de celle-ci.
Un rail de guidage vertical 237 disposé entre la face 235 de la bride du chariot et la face externe de la glissière voisine 203 est appliqué contre le rail de guidage voisin ou la glissière 203 d'une manière suffisante pour supprimer tout jeu transversal au moyen de boulons 239.
Un orifice 241 sensiblement perpendiculaire au rail 237 traverse la bride 227 et reçoit par vissage une manette de blocage 243 qui est étudiée de manière à appliquer, lors de sa rotation dans un sens et par son extrémité interne, le rail 237 contre la glissière verticale 203, en verrouillant ainsi le chariot vertical par friction dans une position fixe.
Une patte 247 de forme sensiblement triangulaire est fixée par des boulons 245 sur la paroi 223 du chariot vertical, entre les brides 225 et 227, et elle est disposée entre la glissière 203 du chariot vertical et les brides 205.
La patte 247 présente un taraudage 249 qui se trouve dans l'alignement vertical des orifices des coussinets 209 et 210.
Il est prévu pour assurer le déplacement vers le haut et vers le bas du chariot vertical le long de sa glissière 203 un arbre 251 qui traverse verticalement l'orifice du coussinet 209 et dont l'extrémité de diamètre réduit 253 vient reposer dans le coussinet 210. Une partie médiane filetée 255 de cet arbre coopère avec le taraudage 249 de la patte 247. Au-dessus de la face supérieure d et mobiles indépendamment l'un de l'autre sont montés de manière à pouvoir coulisser horizontalement sur la paroi 223 et s'étendent vers la droite en divergeant l'un par rapport à l'autre (fig. 2, 3, 13 et 15). Chaque bras est monté sur le chariot vertical de la même manière, de sorte qu'il suffit de décrire le montage de l'un d'entre eux.
Le bras 297 porte à son extrémité de gauche (fig. 13) une paroi verticale 281 dont une face rectifiée vient buter contre la face de droite rectifiée d'une partie inférieure plus épaisse de la paroi 223 du chariot vertical.
Une rainure horizontale 285 s'étend sur toute la longueur de cette paroi 223, dans sa partie la plus épaisse, et le bord inférieur de cette rainure est sensiblement horizontal tandis que son bord supérieur est incliné de manière à former une rainure en queue d'aronde. I1 est prévu dans la paroi 280 du bras 297, en regard de la partie inférieure de la rainure 285, une rainure rectangulaire 282 (fig. 1) dans laquelle est logé un rail de guidage ou une clavette rectangulaire 284 faisant saillie au-delà de la face verticale de la paroi 281 et pénétrant dans la rainure 285 en prenant appui sur son support inférieur pour empêcher tout déplacement vers le bas du bras 297 par rapport à la paroi 223 du chariot vertical.
A peu près à mi-distance de la longueur de la rainure 282, celle-ci est interrompue par une cavité plus large en forme de V (fig. 15), suffisamment grande pour recevoir une patte 287 fixée sur une queue filetée 293 s'étendant obliquement vers le haut à travers un alésage 291 ménagé dans une partie 289 du bras 297.
L'extrémité supérieure en saillie de la tige 293 porte un écrou moleté 295 qui, quand il est serré, exerce une traction vers le haut sur la tige 293 et sur la patte 287, en appliquant ainsi cette patte contre le bord supérieur oblique de la rainure 285, afin de serrer le bras 297 pour l'empê- cher de se déplacer horizontalement le long de la rainure 285 et en même temps pour appliquer par traction la face de gauche de la paroi 281 contre la face droite de la paroi 223, et pour faire reposer la face inférieure du rail 284 contre le bord inférieur de la rainure 285.
Les extrémités libres des bras de support de pièces 297 et 298 présentent des corps ou bossages circulaires 299 et 300 qui sont inclinés axialement dans une direction parallèle à l'axe optique horizontal du faisceau lumineux servant au contrôle.
Le bossage 299 (fig. 16 à 18) est traversé axialement par un orifice 301 se prolongeant par un taraudage 303 prévu à une extrémité de ce bossage 299. Une pointe de support ou de montage présentant une extrémité conique 305 et ayant un diamètre supérieur à celui de l'alésage 301, une partie intermédiaire 307 ayant un diamètre coulissant à frottement doux dans cet alésage 301 et une queue 309 ayant un diamètre notablement inférieur à celui de la partie intermédiaire 307, traverse l'alésage 301 et le taraudage 303 du bossage 299, l'extrémité conique étant voisine de l'alésage 301 et la queue 309 s'étendant vers l'extérieur à partir du taraudage 303.
Un ressort 311 est disposé autour de la queue 309 de la pointe de support et prend appui vers l'avant sur l'épaulement formé entre les parties 307 et 309, ainsi que vers l'arrière sur un écrou 313 muni d'un orifice médian et vissé dans le taraudage 303.
Le bossage 299 présente une fente 315 traversant sa paroi inférieure et s'étendant dans une direction parallèle à celle de l'alésage 301.
Un bras de commande 317 est monté à pivotement sur le bras de support 297 en un point 316 et s'étend au-dessous du bossage 299 (fig. 18). Ce bras 317 présente une fente allongée 319 dont l'axe longitudinal est disposé directement au-dessous de l'axe longitudinal de la fente 315 du bossage 299 et fait un certain angle avec elle. Un axe vertical 321 fixé sur la partie médiane 307 de la pointe du support traverse les fentes 315 et 319, de sorte que le bras de commande 317 peut être déplacé angulairement sur son pivot 316 afin de solliciter l'axe 321 le long de la fente 319 pour rappeler ainsi la pointe 305 vers l'arrière par rapport au bossage 299 contre l'action du ressort 311.
Le bossage 300 porté par l'extrémité libre de l'autre bras de support 298 présente un alésage axial 323 aligné avec les alésages 301 et 303 du bossage 299. Une seconde pointe de montage 325 est disposée dans l'alésage 323 et est fixée sur le bossage 300 par un axe transversal 327. Cette seconde pointe présente également une extrémité conique 329 qui est disposée en regard de l'extrémité conique 305 de la pointe supportée par le bras 297. Comme expliqué plus en détail plus loin, les deux pointes 305 et 329 servent au montage de l'engrenage devant être analysé par engagement dans les trous médians axiaux prévus aux extrémité de l'arbre ou de la broche 331 sur lequel l'engrenage 333 est monté.
Dans certains cas, quand l'engrenage présente un moyeu, les pointes de montage coniques peuvent venir s'adapter directement dans l'alésage de ce moyeu, le montage de l'engrenage sur un arbre séparé devenant alors inutile. La mobilité axiale de la pointe 305 permet une adaptation à des arbres de longueurs différentes dans une gamme limitée. Les écrous de serrage 295 peuvent être desserrés et les bras de support 297 et 298 peuvent être amenés à différentes positions sur le chariot vertical 223 afin de permettre l'adaptation à des arbres d'engrenages de longueurs différentes ou pour amener l'arbre de montage à une position telle, dans le sens de sa longueur, que l'engrenage qu'il porte soit situé dans le plan focal du système de projection optique.
Le chariot transversal, le chariot longitudinal, le chariot vertical et les bras de support 297 et 298 ainsi que les éléments associés constituent la partie de la monture qui maintient l'engrenage dans le faisceau lumineux servant à l'analyse, comme on le comprendra à la lecture de ce qui précède, et ces éléments peuvent être dénommés d'une façon générale dispositifs de maintien ou de support de l'engrenage.
Une autre partie importante de la monture est formée par un dispositif servant à maintenir une dent de crémaillère réelle ou imaginaire dans une position fixe en prise avec une dent de l'engrenage à analyser, de façon que cet engrenage puisse rouler réellement sur la dent de la crémaillère en étant déplacé angulairement par contact avec celle-ci alors que l'engrenage ou son arbre de montage sont déplacés latéralement par rapport à l'axe optique et à la dent de crémaillère fixe. Cette partie de la monture peut être dénommée d'une façon générale dispositif de maintien de la crémaillère et sera décrite maintenant en regard des fig. 19 à 27.
Le bras de support principal 343 de cette partie de la monture est fixé sur la partie inférieure de la paroi avant du boîtier du comparateur par les boulons 337 qui traversent la partie arrière 339 du bras et qui sont vissés dans le boîtier, le bras 343 s'étendant vers l'avant en porte à faux. Ce bras a approximativement la forme d'un tube cylindrique dont la partie inférieure est entaillée obliquement (voir les fig. 3 et 19), l'axe du tube coïncidant avec l'axe optique du faisceau lumineux d'analyse provenant de la lampe 59 et parvenant à l'objectif 65, la plaque arrière 339 étant perforée en son centre afin de permettre le passage de ce faisceau lumineux.
La paroi supérieure du bras 343 présente vers son extrémité avant une surépaisseur comme montré sur la fig. 19, de sorte que divers glissières et paliers peuvent y être formés. Un arbre 349 s'étend transversalement à la paroi supérieure et est tourillonné dans des paliers 351 et 353 en vue de pouvoir tourner.
I1 est prévu le long de l'axe longitudinal du support 343, à une certaine distance vers l'intérieur par rapport à son extrémité, une fente 355 dans laquelle un pignon 357 est claveté sur l'arbre 349. Un chariot longitudinal 361 monté dans une cavité 359 de la face supérieure du support 343 présente dans sa face inférieure une cavité 363 dans laquelle une crémaillère 365 est fixée rigidement par des boulons 366 (fig. 23), cette crémaillère engrenant avec le pignon 357.
Un rail de guidage longitudinal recouvrant une lèvre du chariot 361 (fig. 25) est fixé dans la cavité 359 le long du bord longitudinal de gauche de ce chariot 361 par des boulons 367.
Un autre rail de guidage 371 fixé le long du bord longitudinal de droite ou opposé du chariot 361 présente une bord longitudinal incliné 373 coopérant avec un bord correspondant du chariot. Ce bord longitudinal opposé du rail 371 présente une partie parallèle au bord 373, et une partie rainurée 375 disposée à mi-distance de sa longueur. La partie du chariot 343 voisine de la partie rainurée 375 présente un orifice transversal 377 dans lequel est fixée une vis de blocage 379. Des vis de réglage 380 (fig. 22) prennent appui contre le rail 371 vers ses extrémités, dans une mesure suffisante pour empêcher tout jeu transversal du chariot.
Un bouton 381 est fixé sur l'extrémité externe de l'arbre 349 par une cheville 383, la rotation de ce bouton 381 provoquant, par l'intermédiaire du pignon 357 et de la crémaillère 365 le déplacement du chariot 361 entre le rail 369 et le rail de blocage 371.
Comme montré sur la fig. 19, le chariot 361 a un déplacement d'environ 5 cm. Quand ce chariot 361 occupe une position longitudinale désirée, la vis de blocage 379 est serrée contre le rail de blocage 371, qui prend appui à son tour contre la paroi inclinée du chariot longitudinal, en assurant ainsi le verrouillage en place de ce chariot.
Comme visible sur les fig. 22 et 25, il est prévu sur la face supérieure 345 du support 343 une graduation 385 servant à mesurer le déplacement longitudinal du chariot 361 par rapport au support 343. Cette graduation est étudiée de manière à être alignée longitudinalement avec un repère 386 prévu sur le bord longitudinal du chariot et voisin de la graduation, et elle est maintenue en place par la manette 389 portée par une vis de serrage traversant la fente 387 de la graduation et vissée dans le support 343.
Une plaque de guidage transversale 393, fixée par des boulons 391 transversalement à l'extrémité avant du chariot longitudinal 361 portant la dent de crémaillère, présente sur sa face avant une rainure en queue d'aronde horizontale 395. Un chariot transversal 397 est monté de manière à pouvoir se déplacer sur la plaque de guidage transversale 393 par un talon en queue d'aronde 399 partant de la face arrière du chariot transversal et pénétrant dans la rainure en queue d'aronde 395 de la plaque de guidage. Ce talon en queue d'aronde 399 a une largeur intérieure égale à celle de la rainure en queue d'aronde 395 afin de permettre à un coin de blocage allongé sensiblement horizontal 401, présentant un bord incliné qui correspond au bord supérieur du talon en queue d'aronde 399, d'être interposé entre le bord supérieur de ce talon 399 et la rainure en queue d'aronde 395.
Une manette de blocage 403 traversant la face supérieure de la plaque de guidage est vissée dans un orifice 405 qui débouche dans la rainure en queue d'aronde 395, de sorte que ce coin de blocage 401 peut être appliqué contre le bord supérieur du talon en queue d'aronde 399 par la manette de blocage 403, en assurant ainsi le blocage en place du chariot transversal.
Sur un des bords verticaux de la plaque de guidage 393 (fig. 20 et 22) est fixée une oreille 407 dirigée vers l'avant, traversée par un orifice 409. Un arbre 411 portant un bouton 413 à une extrémité est monté à rotation dans l'orifice 409 et est vissé dans un taraudage ménagé dans le chariot transversal.
La rotation de l'arbre 411 déplace le chariot transversal (quand le coin de blocage 401 est dans sa position de dégagement) étant donné que l'arbre 411 est empêché de se déplacer longitudinalement dans l'oreille 407.
Comme montré sur la fig. 24, le bord vertical opposé de la plaque de guidage 393 porte par des boulons 415 une patte 417 dirigée vers la droite, présentant une fente longitudinale 419 qui peut recevoir la vis de serrage usuelle prévue à l'arrière du comparateur à cadran 269, le palpeur du comparateur venant reposer sur une portée plane 420 à l'extrémité de droite du chariot transversal 397 si l'on désire dégager le comparateur du flasque 268 et le monter dans une position permettant de mesurer le déplacement horizontal transversal du chariot 397 dans certaines opérations de contrôle ou d'analyse.
Une plaque approximativement circulaire 423 porte un axe 421 dirigé vers l'arrière depuis sa face postérieure et venant s'engager exactement mais, toutefois de manière à pouvoir tourner, dans un alésage médian 422 du chariot transversal 397, en formant ainsi un axe (parallèle à l'axe optique du faisceau de contrôle) sur lequel cette plaque 423 peut tourner. La plaque 423 présente une rainure périphérique 425 prévue entre ses faces avant et arrière. Une paire de doigts en forme de crochets 447 sont fixés sur les faces supérieure et inférieure du chariot transversal 397 par des boulons 448, chaque doigt comportant une bride 449 qui vient s'engager dans la rainure périphérique 425 de cette plaque (fig. 23) afin de maintenir cette dernière étroitement appliquée contre la face avant du chariot 397.
Une cheville 427 (fig. 20 et 26) excentrée par rapport à l'axe de la plaque 423 traverse ladite plaque et pénètre dans une fente horizontale 429 ménagée dans un taquet 431 coulissant verticalement et monté dans une fente verticale 433 de la face antérieure du chariot transversal 397. Ce taquet est déplacé vers le haut et vers le bas (en faisant ainsi pivoter la plaque 423 sur son axe 421) grâce à la rotation d'un bouton moleté 445 porté par une vis 441 implantée dans un taraudage vertical 443 du chariot 397, l'extrémité inférieure de la vis étant reliée au taquet 431 par une rainure périphérique 437 prévue dans la vis et coopérant avec un axe 435 du taquet 431.
Le blocage de la plaque 423 dans la position désirée est assuré par une oreille de blocage 451 (fig. 21, 22 et 24) qui est fixée sur la face avant du chariot transversal par une vis de serrage 453 et qui est empêchée de tourner sur celle-ci par un doigt 461 a. Une extrémité de l'oreille de blocage pénètre dans la rainure périphérique 425 de la plaque 423, tandis que l'autre extrémité porte comme montré une bride venant en contact avec la face avant du chariot transversal.
La face avant de la plaque 423 présente une rainure diamétrale 455 en forme de V (fig. 20 et 22). Une tige allongée 457 formant crémaillère, dont l'extrémité inférieure peut être meulée conique sur tout son pourtour ou d'un côté seulement (bien que l'autre côté puisse être biseauté afin d'augmenter le jeu obtenu entre les dents d'engrenages de petites dimensions) est montée de façon réglable dans la rainure 455 (fig. 19, 20 et 22-24) et est maintenue dans cette rainure dans toute position de réglage longitudinal désirée par une patte ou oreille de serrage 499 en forme de
L monté à pivotement en un point excentré sur la face avant de la plaque 423 par l'axe 461. Dans la position de travail, cette oreille en forme de L prend appui par une aile sur la face avant de la plaque 423, tandis que l'autre aile recouvre la tige formant crémaillère 457.
Cette autre aile porte sur sa face arrière une rainure 463 en forme de V, venant s'engager sur cette tige 457, de sorte que celle-ci est enserrée par les deux rainures 455 et 463.
Une vis de serrage 465 portant une tête en forme de T traverse la patte 459 et est vissée dans la plaque 423 afin d'appliquer cette patte 459 contre la tige formant crémaillère 457.
Un ressort hélicoïdal de compression 466 entoure la vis de serrage 465 entre sa tête et la patte 459 afin de maintenir un certain degré de pression de cette patte contre la tige formant crémaillère, même si la vis de serrage est desserrée, ce qui évite l'échappement accidentel de cette tige.
Ces différents éléments réglables permettent à la tige 457, qui représente et constitue en fait une dent de la crémaillère théorique destinée à venir en prise avec l'engrenage qui est contrôlé et analysé, d'être amenée par rotation à l'angle désiré autour de l'axe de rotation 421 (parallèle à l'axe optique du système et à l'axe de l'engrenage défini par les pointes de support coniques 305 et 329), d'être déplacée vers le haut et vers le bas par rapport à l'axe optique (en desserrant la vis de serrage 465), d'être déplacée transversalement par rapport à l'axe optique (en faisant tourner le bouton 413 pour déplacer le chariot transversal 397), et d'être décalée dans une direction parallèle à l'axe optique (en faisant tourner le bouton 381 pour déplacer le chariot longitudinal 361)
afin de l'amener directement dans le plan focal du système optique ou bien en avant ou en arrière de ce plan focal. On obtient ainsi grâce à cette partie de la monture (support de la crémaillère) une grande souplesse de travail.
Pour favoriser le réglage de la monture et de ses différents éléments en vue d'un contrôle et d'une analyse d'engrenages d'une dimension particulière, il est désirable de fournir à l'opérateur un gabarit de réglage. Il est important, lors du réglage de l'appareil, que les pointes de support 305 et 329 des engrenages se trouvent à une hauteur telle que, quand l'engrenage est adapté sur ces pointes, le cercle primitif théorique de l'engrenage soit exactement tangent à la ligne ou au repère de cercle primitif du diagramme optique 83 adapté sur l'écran du comparateur. I1 est prévu pour faciliter ce réglage un gabarit d'alignement représenté sur les fig. 28 à 31.
Le gabarit d'alignement présente à peu près une forme en Y. I1 est constitué par une paire de bras de centrage 467, un corps triangulaire 469 et une queue verticale 471. Bien que l'on puisse utiliser des gabarits d'alignement ayant des formes différentes, la configuration du gabarit représentée a été étudiée afin de faciliter le travail et l'entreposage et de réaliser des économies de matière et de maind'oeuvre sans nuire à l'efficacité du dispositif.
Les extrémités des bras de centrage 467 présentent des trous de centrage médians 473 destinés à recevoir les pointes de support coniques 305 et 329. La face supérieure 475 du corps 469 est usinée avec précision afin de former une surface parfaitement lisse se trouvant dans un plan passant par les trous de centrage 473.
Ce corps 469 porte, sur l'une de ses faces, un support 477 dont la face supérieure est dans le même plan que la face supérieure 475 du corps et qui est également parfaitement rectifiée. Cette partie 477 forme, en fait, un prolongement latéral de la surface 475. Dans un alésage 479 ménagé au centre de la face supérieure 475 du corps 469 et traversant verticalement ce corps 469 et la queue 471 est logé un axe d'alignement 481 présentant une extrémité supérieure arrondie. Pour assurer un alignement précis du dispositif de montage, il est essentiel que l'alésage 479 soit perpendiculaire à la face supérieure 475 du corps et qu'il existe un coulissement à frottement doux entre l'alésage 479 et l'axe 481 pour empêcher tout jeu transversal entre cet axe et le reste du dispositif.
Le déplacement vertical de l'axe 481 est facilité par l'orifice 483, qui permet à l'opérateur de saisir cet axe à la main pour le dégager ou faire rentrer son extrémité supérieure. Une fois que l'axe a été amené à la position désirée par rapport au reste du gabarit d'alignement, il est bloqué en place par la vis 485, qui est vissée dans le taraudage 487 perpendiculaire à l'alésage 479.
Lors de l'utilisation, l'axe 481 du gabarit d'alignement est réglé tout d'abord en disposant sur le support 477 des cales dont la hauteur est égale à la hauteur désirée pour le sommet de l'axe 481 au-dessus du corps 475, c'est-à-dire à une hauteur égale au rayon de base (moitié du diamètre du cercle primitif) de l'engrenage à analyser. Une cale additionnelle est placée sur les cales déjà en place de manière à faire saillie dans le trajet vertical de l'axe 481. On déplace ensuite cet axe 481 vers le haut jusqu'à ce que son extrémité supérieure vienne au contact de la surface inférieure de cette dernière cale, et l'axe est ensuite bloqué dans cette position de réglage par la vis 485.
Le gabarit d'alignement est alors prêt à être utilisé et il est placé entre les bras de support 297 et 298 en étant maintenu en place par les pointes de support 305 et 329, qui sont engagées dans les trous de centrage 473.
Une fois que la manette de blocage 189 du chariot longitudinal 155 est desserrée, on peut faire tourner le bouton de manoeuvre 181 pour déplacer le chariot vers l'avant ou vers l'arrière jusqu'à ce que l'axe 481 se trouve dans le plan focal du comparateur, puis on resserre ensuite la manette de blocage 189.
On déplace ensuite le chariot vertical vers le haut ou vers le bas suivant le cas au moyen de la manette 267, jusqu'à ce que l'image de l'extrémité supérieure de l'axe 481 se trouve exactement sur la ligne correspondant au diamètre primitif du jeu de dents de crémaillère particulier choisi utilisé sur le diagramme de calibrage, comme montré sur la fig. 32. Sur cette figure, la ligne correspondant au diamètre primitif correspond au diamètre horizontal du diagramme de calibrage 83, mais ceci est simplement une coïncidence et ce n'est pas nécessairement le cas. On comprendra que le diagramme de calibrage 83 porte plusieurs jeux de dentures de crémaillères ayant des pas différents, correspondant chacun à une ligne de cercle primitif conjugée comme visible sur la fig. 8.
Quand le chariot vertical a été réglé de façon que l'extrémité supérieure de l'axe 481 se trouve exactement sur cette ligne du diagramme, ce chariot vertical est bloqué au moyen du dispositif de serrage 243 et il ne se produit plus aucun déplacement vertical tant qu'on analyse ou qu'on contrôle des engrenages ayant le même diamètre primitif. Le gabarit 469 est alors démonté de la machine et la tige 457 formant dent de crémaillère est introduite et serrée dans le dispositif 459 (si elle n'est pas déjà en place avant l'utilisation du gabarit) puis elle est réglée de façon telle que l'image d'une face de cette tige 457 coïncide exactement avec la dent devant être utilisée pour le contrôle et portée par le diagramme 83. Cette relation des différents éléments est représentée par exemple sur les fig. 1, 7 et 34.
L'engrenage à contrôler, qui est monté sur un arbre convenable, est maintenant mis en place (voir par exemple la fig. 2) entre les pointes 305 et 329 des bras de support 297 et 298. On a représenté en pointillé sur la fig. 2 deux engrenages de diamètres et d'épaisseurs différents montés sur des arbres de longueurs différentes pour montrer la grande souplesse de travail de l'appareil pour le contrôle d'engrenages de tailles différentes. I1 est possible, pour une mise en place convenable des bras 297 et 298 et par un réglage de la butée 185 du chariot longitudinal, d'amener l'engrenage, quelle que soit sa taille, à une position dans laquelle sa face arrière se trouve dans le plan focal du système de projection optique, comme montré sur la fig. 2.
La tige 457 formant dent de crémaillère est réglée également de manière à se trouver dans le même plan focal au cours du réglage initial précédant le contrôle, et cette tige demeure dans ce plan focal pendant toutes les opérations de contrôle.
Pour le contrôle des dents de l'engrenage en d'autres points de l'épaisseur de celui-ci, on déplace la tige 457 vers l'avant à partir de ce plan focal, jusqu'au point désiré de l'épaisseur de l'engrenage, au moyen du bouton 381. Ceci écarte la tige du foyer formé sur l'écran, mais conserve la même relation transversale des éléments, étant donné que ce déplacement est exactement parallèle à l'axe de l'engrenage.
En déplaçant le chariot transversal à l'aide du bouton 121, on peut déplacer l'axe de l'engrenage (défini par les pointes 305 et 329 portées par les bras 297 et 298) vers la droite ou vers la gauche par rapport à l'axe optique du faisceau lumineux, et pendant ce déplacement les dents de l engrenage viennent coopérer avec la tige formant dent de crémaillère, l'engrenage roulant en fait sur cette tige fixe en tournant au contact de celle-ci, ce qui fournit les mêmes résultats que si l'engrenage se trouvait réellement dans une condition de travail, sauf pour les facteurs concernant la vitesse et la charge.
En observant l'ombre ou le contour de la dent de l'engrenage suivant celle qui est en contact avec la tige formant crémaillère par rapport au profil de la dent de crémaillère porté par le diagramme, on peut vérifier si l'engrenage roule de façon correcte sur la ligne théorique représentée par cette tige formant dent de crémaillère. Si l'engrenage est parfait, quand une dent prend appui par son flanc droit sur le bord gauche de la tige formant dent de crémaillère, comme sur la fig. 1, par exemple, le flanc droit de la dent suivante doit être exactement tangent à la ligne du diagramme correspondant à la dent de crémaillère voisine, comme montré sur la fig. 1. Si une différence quelconque se présente, il existe un défaut dans la forme théorique de l'engrenage, au moins dans le cas d'un engrenage standard normal.
Le comparateur à cadran 269 peut être déplacé de la position représentée en fig. 3 sur le bras 417 (fig. 24) et son palpeur peut être amené en contact avec la portée 420 du chariot transversal afin de déterminer l'ampli tude du mouvement transversal de l'engrenage qui est nécessaire pour amener l'image de la dent d'engrenage dans une position tangente à la dent de crémaillère du diagramme. Cette position du comparateur permet également de mesurer l'arc de pas de l'engrenage.
Bien que le chariot vertical ne soit pas déplacé verticalement pendant des contrôles normaux du type précité, il peut être déplacé pour certains contrôles spéciaux, par exemple pour déterminer si la dent d'engrenage présente une saillie au-delà de la ligne d'engrènement ou un retrait par rapport à cette ligne trop ou trop peu prononcé. Par exemple, en partant de la position correspondant à la hauteur convenable déterminée par l'utilisation du gabarit, on peut déplacer le chariot vertical vers le haut pour amener le sommet du profil de la dent de l'engrenage en coïncidence avec la partie supérieure de l'entre-dent de la crémaillère, cette position étant approximativement celle montrée sur la fig. 7, et le comparateur à cadran 269 occupant la position représentée sur la fig. 3 peut être utilisé pour mesurer le degré de ce déplacement vertical du chariot.
Par ailleurs, le chariot vertical peut être déplacé vers le haut jusqu'à ce que le profil des deux flancs de la dent de l'engrenage soit tangent aux deux flancs de la dent de crémaillère du diagramme, ce qui constitue à peu près la position représentée sur la fig. 34, et le degré de déplacement vertical nécessaire pour parvenir à ce résultat peut être mesuré.
Suivant un autre contrôle possible, l'engrenage et son chariot de support peuvent être déplacés vers la gauche (au moyen du bouton 121) jusqu'à ce que le flanc gauche de la dent soit tangent au profil de la crémaillère. On peut alors déplacer latéralement la tige formant dent de crémaillère au moyen du bouton 413 (fig. 24) jusqu'à ce que cette tige vienne attaquer le flanc opposé de la même dent, cette position des éléments étant représentée sur la fig. 33. Ceci constitue l'un des contrôles permettant de déterminer le jeu ou retour de l'engrenage. Au cours de ce contrôle, le comparateur à cadran 269 est monté sur le flasque 417 (fig. 24) et son palpeur vient attaquer la portée 420 du chariot portant la tige formant crémaillère, afin de fournir une lecture correspondant au déplacement latéral de cette tige.
Quand le contrôle d'une dent est terminé et si l'on désire faire tourner l'engrenage pour amener une autre dent en prise avec la tige formant crémaillère, on réalise aisément cette opération en déplaçant à la main vers l'avant le chariot supérieur, au moyen par exemple du bouton 181 ou des brides 167, malgré la résistance du ressort 158, jusqu'à ce que l'engrenage se trouve en avant de la tige 457, et on peut alors faire tourner cet engrenage sans qu'il vienne attaquer cette tige. Après avoir fait tourner l'engrenage de l'amplitude désirée, on cesse d'exercer cette traction vers l'avant sur le chariot et le ressort 158 ramène ce chariot vers l'arrière jusqu'à la position de réglage précédente déterminée par coopération de la butée réglable 185 avec la portée fixe 192.
Dans cette position, la face arrière de l'engrenage se trouve de nouveau dans le plan focal du projecteur.
Le
Optical verification method of a gear
and apparatus for its implementation
The present invention relates to a method of optical verification of a gear.
It also comprises an optical device for implementing this method, making it possible in particular to calibrate the gears under conditions reproducing the working conditions.
The method which the invention comprises is characterized in that an enlarged image of a part of a tooth of a rack disposed in the focal plane is projected onto a diagram bearing reference groups representing racks. the projection optical system; said tooth part is moved until its image on the diagram becomes compact with reference marks belonging to a first tooth of a rack chosen on this diagram; the gear to be checked is also placed in the focal plane in a position where it is engaged with said tooth part;
the axis of this gear is moved laterally while it is in engagement with said part of the rack tooth so that the gear rolls on this part of the tooth and an enlarged image of a second tooth of the rolling gear so as to be able to observe the movement of its image relative to a second tooth of said rack chosen on the diagram.
The apparatus which the invention also comprises is characterized by a comparison diagram arranged in an observation plane and exhibiting on an enlarged scale a theoretically perfect outline of the parts of a rack intended to mesh with a gear to be verified; by means for moving a part of a rack tooth in the focal plane of said optical system so that its image on the comparison diagram coincides with a flank of a tooth of the rack inscribed on the diagram; by means for maintaining the gear to be checked in the focal plane with a tooth engaged with said tooth portion; by means for moving the axis of the gear laterally so that said gear rolls on said tooth portion;
the projection optical system being arranged to make it possible to observe, during this displacement, the movement of the enlarged image of a second tooth of said rolling gear relative to a second tooth of the rack inscribed on the diagram.
The appended drawing represents, by way of example, an embodiment of the apparatus for carrying out the method which the present invention comprises.
Fig. 1 is a partial front view showing the support frame of a gear, the enlarged image of which is projected onto a diagram gauge of an optical comparator.
Fig. 2 is a plan view of the frame, the support arm of the rod forming the rack and the associated members having been omitted.
Fig. 3 is a front view similar to FIG. I on which the frame is shown on a larger scale, part of the optical comparator being torn off.
Fig. 4 is a view in median vertical section through the rack and the pinion serving to move the lower carriage of the control head, substantially by the line 4-4 in FIG. 10.
Fig. 5 is an elevational view from the right side, part of the optical comparator having been cut away.
Fig. 6 is a left side elevational view of the optical comparator part of which has been cut away to show the optical projection and magnification system.
Fig. 7 is an enlarged front view of part of the optical comparator showing an image of a gear projected onto a calibration diagram.
Fig. 8 is a front view of a gear diagram.
Fig. 9 is a right side elevational view of a portion of the mount control head.
Fig. 10 is a vertical sectional view, taken substantially along the line 10-10 in FIG. 3.
Fig. 11 is a partial vertical sectional view through part of the base of the control head, substantially along the line 11-11 in FIG. 3.
Fig. 12 is a vertical sectional view, taken substantially along the line 12 - 12 in FIG. 13.
Fig. 13 is a horizontal sectional view through part of the mount control head, partially broken away.
Fig. 14 is a horizontal sectional view through part of the vertical guide device of the control head.
Fig. 15 is a longitudinal vertical sectional view through part of the control head of the mount.
Fig. 16 is a horizontal sectional view through a support tip of the control head.
Fig. 17 is a view in median vertical section of this support tip of the control head, substantially along the line 17 - 17 fig. 16.
Fig. 18 is a plan view of the support tip actuator lever.
Fig. 19 is a left side elevational view of the rack rod support arm.
Fig. 20 is a horizontal sectional view through the front part of this support arm, substantially along the line 20-20 in FIGS. 19 and 24.
Fig. 21 is a sectional view taken substantially along the line 21-21 in FIG. 24.
Fig. 22 is a plan view, partially cut away, of the support arm of the rod forming the rack.
Fig. 23 is a view in median vertical section through a longitudinal plane of the support arm of the rod forming a rack, substantially along the line 23 - 23 in FIG. 22.
Fig. 24 is a front view of the support arm of the rack rod showing a rod supported by this arm, a pinion mounted in an analysis position, meshing with this rod, and part of the control head and the comparator.
Fig. 25 is a transverse vertical sectional view through this support arm, substantially taken on line 25-25 in FIG. 22.
Fig. 26 is a vertical sectional view, taken substantially along the line 26-26 in FIG. 24.
Fig. 27 is a vertical sectional view, taken substantially along line 27-27 in FIG. 26.
Fig. 28 is a front view of an alignment jig or adjustment jig.
Fig. 29 is a top plan view of the alignment jig shown in FIG. 28.
Fig. 30 is a profile view from the right of the assembly shown in FIG. 28.
Fig. 31 is a schematic view showing the mode of use of the alignment jig.
Fig. 32 is a front view of a portion of the optical comparator with the image of an alignment axis of said template projected onto a calibration diagram.
Figs. 33 and 34 are schematic views of the calibration diagram with the outlines of the pinion and the rod or the probe forming a rack under certain conditions.
The apparatus shown includes an optical comparator, a mounting mount, a pattern template, and an alignment jig or adjustment mount.
The optical comparator is shown schematically in FIG. 6. It comprises a housing 51 provided on its front face with a window 53, in which is fixed a transparent observation screen 55 preferably comprising on its rear or internal face a series of Fresnel-type grooves, intensifying the light. as is frequently used on focusing plates or screens of cameras. There is provided in front of the screen 55 and below the latter a work table or plate 57 on which is fixed the control head of a mounting for receiving the gear. A support arm for a rod or a rack-and-pinion probe, which is fixed to the front face of the comparator housing, is disposed below the screen 55 and above the lens lumen 56.
During use, the gear to be controlled is held by the control head. The projection of the image of this gear on the screen 55 is ensured by directing the light coming from the lamp 59 mounted in the housing 61 through the lenses 63, 64 and 66 of the condenser, in order to illuminate the profile. of the grading. The light rays passing over the gear are then concentrated by lenses 65 and 67 on reflectors 69 and 71.
From the reflector 71, the rays pass through the field lens 73 and the objective 75 towards the reflector 77, from which they are projected onto the observation screen 55. The focusing and magnifying lenses 65 and 67 have same focal length, and they are separated from each other by a distance equal to the sum of their focal lengths. An annular reflector 79, the center of which is disposed in the mutual focal plane of the lenses 65 and 67, allows light from the lamp 59 to pass through its middle orifice and reflects the light from the lamp 81 through the lens 65 so to illuminate the rear face of the gear held in the frame.
There is provided on the external face of the screen 55 of the comparator a semi-transparent or translucent gauge 83 mounted removably, and on which is accurately transferred a profile to be compared visually with the enlarged and projected profile of the gear. particular to be considered. Instead of transferring to the caliber 83 the correct theoretical profile (suitably enlarged) of two or more teeth of a comparison gear intended to come into engagement with the gear to be analyzed.
The profile of the theoretical base rack corresponding to the gear to be checked is reported on this gauge and the profile or the shape of the tooth is checked or analyzed using a part, part of which has the shape of a tooth. rack or rolls the gear on said part of this part while observing the thus projected profile of the moving gear relative to the base rack shown in the diagram.
This use of a diagram on which the shapes of the teeth of the base rack are plotted rather than the teeth of a gear is an important feature. An advantage lies in the fact that it makes it possible to use a single rack listed on the diagram for the control of all the gears having the same tooth pitch and the same pressure angle, whatever the diameter of this gear or the number of teeth he wears. If pinion teeth rather than rack teeth are shown on the check diagram, it is necessary to provide a separate set of teeth listed for each different diameter of gear to be checked, although these gears may have the same pitch. toothing.
Another advantage is that the teeth of the rack, which have straight flanks instead of curvilinear flanks, can be entered more precisely on the control diagram than is possible with tines of gears, which require curved sides.
A third advantage lies in the fact that the teeth of the base rack, with their rectilinear flanks and their angular shape, can be brought more easily than pinion teeth into a position of meshing with other teeth having the same angle of. pressure but different tooth pitches, so that a large number of toothings with different pitches can be placed on the same control diagram without overloading it or without hindering the clarity of observation.
Thus, a single diagram 83 can receive all the toothings of the racks necessary to analyze or control all the usual involute gears having a given pressure angle (for example of 200) for all the tooth pitches or diametrical pitches usually encountered (for example from 14 to 1800) regardless of the diameter of the gear to be checked. An example of a control diagram or gauge 83 of this type is shown in FIG. 8, and it will be understood that this single diagram fulfills the functions which would otherwise require several separate diagrams if pinion toothings were placed thereon and not rack toothings and if no means were provided to cause unwinding. actual gear on the rack teeth (real or dummy).
As shown generally in Figs. 3 and 5, and in more detail in FIGS. 9 and 10, the control head of the fixing frame is held on the plate 57 of the comparator by bolts 85 passing through the ears 87 of the base 89 of this control head. The lower middle part of the base 89 has a cavity 90, so that only the parts of the lower face of this base close to its longitudinal edges come into contact with the plate.
To facilitate parallel contact between the stage and the base 89, the contacting surfaces have a perfect surface finish. I1 is provided on the upper face of the base 89 a pair of longitudinal guide rails 91 spaced transversely from one another, which are fixed in a parallel position by bolts 93 screwed into the base 89 and whose upper ends are flush. the upper face of the guide rails.
Between the longitudinal guide rails 91 is disposed a movable longitudinal carriage 95 in the form of a T, having along its lower longitudinal edges, in a position parallel to the guide rails 91 and facing them, a pair of rails. guide 97 which are retained on the carriage by bolts 99 screwed up into the carriage 95 and whose lower ends are flush with the underside of the guide rails 97.
The adjacent facing edges of the longitudinal guide rails 91 and 97 each have a longitudinal V-shaped groove 101 provided with a rectangular slot 103 at its top and extending over the entire length of the rails. There is provided between each pair of guide rails 91 and 97 an elongated rectangular cage 104, the longitudinal edges of which are freely received in the rectangular slots 103 of the guide rails, and which have ori fices for receiving a series of ball bearings 105, keeping them in an appropriate relative spacing position.
Thus, the carriage is mounted so as to be able to move along the guide rails 91 on the ball bearings 105, these rails being adjusted so as to exert a slight compression on the balls, in order to eliminate any transverse play. This can be achieved by mounting one of the guide rails 91 (eg the rear or right rail looking at fig. 10) in a fixed position on the plinth 89, using bolts 93, while that the other rail 91 (the one on the left when looking at fig. 10) can undergo a slight adjustment on the base 89, the receiving holes for the bolts having a diameter slightly greater than that of the bolts 93.
A series of transverse adjustment screws 106 are distributed at certain intervals along the length of the front or left guide rail 91, three of these screws being visible in FIG. 13, and said screws being implanted obliquely downwards and backwards through the front edge directed upwards of the base 89 (see Figs. 9 and 10), so that the rear ends of the screws bear on the leading edge of the guide rail. When the various components are initially assembled or are readjusted to compensate for the play resulting from wear, the bolts 93 of the front rail 91 are not fully tightened until the screws 106 have been adjusted to obtain the desired degree. precompression balls 105. These bolts 93 can then be tightened.
To facilitate the movement of the carriage 95 along the base 89, this carriage has a longitudinal median rack meshing with a drive pinion. This rack is formed of two identical elementary racks 107 and 107a (FIG. 10) juxtaposed in a cavity 111 of the carriage. The rack 107 is rigidly fixed by bolts 109 directed upwards and passing through holes in this rack. The mating rack 107a is secured by bolts 109a passing through holes in this rack having a diameter slightly greater than that of the bolts, to allow limited longitudinal displacement of the rack.
There is provided above the rack 107a another cavity 108 (fig. 4 and 10) containing a helical compression spring 110 which bears at one end against the end of this cavity and at its other end against an axis or vertical pin 112 fixed on the rack 107a, which thus constantly tends to move this rack 107a longitudinally relative to the rack 107, to the smallest extent permitted. A large-width straight pinion 113 meshes with the two racks and is fixed by a pin 115 on a transverse shaft 117 journalled in the base and one end of which projects relative to this base. A button 121 is fixed to this end of the shaft 117 by a locking screw 119.
A boss 123 integral with the base surrounds the shaft just behind the button 121, and a bearing 125 is force-fitted into this boss in order to serve as a bearing for the shaft.
In order to lock the carriage 95 relative to the base, there is provided a locking screw 127 carrying at one end a handle or a control element 129 and at its other end a male thread 131 which is screwed into a threaded boss 133 integral with it. of the boss 123 and which passes through the bearing 125 to come and block the shaft 117 when it is tightened. Given the way in which the rack 107a is mounted and is subjected to the bias of a spring, any backlash between the pinion and this rack is removed.
Stops serving to limit the longitudinal movement of the carriage relative to the base are provided on the front edges of this base and of the carriage (fig. 1, 3, 9 and 11). These stops include a tab 135 fixed by screws 137 on the front edge (left edge looking at FIG. 9) of the carriage 95 and carrying an ear 139 directed downwards and designed so as to cooperate with the adjustable stops 141. longitudinally of the base, in order to limit the longitudinal movement of the carriage 95 to the desired stroke.
In order to facilitate the possibility of adjustment, the stops are held in place on the front or left longitudinal edge of the base (looking at fig. 9) by means of levers 143 each of which comprises a rod 145 passing through an orifice of a stop 141 and screwed into a nut 147 housed in a T-shaped groove 149 of a longitudinal edge of the base. As shown in fig. it, once a stop 141 has been brought to the desired position, the rotation of the lever 143 tends to apply the stop 141, by the internal face of the head 150 of the rod 145, against the edge of this base in order to to block this stopper by friction in a well-defined position.
Since the groove 149 a, as shown in fig. 3, a considerable length, the stops 141 can be brought by adjustment to various positions in order to obtain the desired degree of longitudinal displacement for the carriage 95.
A pair of guide rails 153 spaced transversely from one another are fixed by bolts 151 on the upper face of the carriage 95 and are perpendicular to the direction of the lower rails 91. There is provided between these rails 153 a carriage 155 on which are fixed guide rails 157 held by bolts 159. The guide rails 153 and 157 are arranged opposite, and the neighboring edges of the rails have V-shaped grooves 161 similar to those provided in the guide rails 91 and 97.
Several ball bearings 163 are arranged in each pair of neighboring grooves 161 and are kept at the appropriate spacing from each other by their mounting in the housings of a cage 165 disposed in the gap between the rails 153 and 157 as for the aforementioned cages 104.
As with the ball bearings of the carriage 95, the ball bearings of the upper carriage 155 are subjected to a stress or pre-load in order to remove any cross play. This is achieved in a manner analogous to that used for the lower carriage. The left rail 153 is bolted in a fixed position to the top face of the carriage 95, while the right rail 153 is adjustable transversely to its length since the receiving holes for the bolts are slightly larger in diameter than the bolts. mounting 151 which pass through them.
Adjusting screws 162 (fig. 3 and 9) passing in a substantially horizontal position through an upwardly directed flange of the carriage 95 bear against the outer edge of the right guide rail 153, and they can be used to subject the bearings to pressure. balls 163 to the desired load before fully tightening the bolts 151 of this right rail.
Springs are provided to tend to move the upper carriage 155 steadily rearwardly along the rails 153, i.e. in the direction of the main housing 51 of the comparator or to the right when looking at FIG. . 5. For this purpose, the upper face of the lower carriage 95 has an elongated slot or groove 156 (FIG. 9) arranged midway between the rails 153 and parallel to them.
In this groove is housed a helical compression spring 158, the front end of which acts on the front end of the groove and the other end of which bears rearwardly on a pin 160 fixed on the upper carriage 155 and protruding. down by entering the groove 156. The carriage 155 can be easily pulled forward by hand despite the resistance opposed by the spring 158, but each time the carriage is released the spring moves it back to the front. rear with the range of motion allowed by the adjustable stopper.
The upper carriage, which has hitherto been designated by the reference 155 relating to its lower part, also comprises a superstructure comprising a vertical flange 166 integral with this lower part 155 and having a straight vertical face and also two ribs or flanges of stiffening 167 (fig. 3, 13 and 15) extending to the left from the front and rear ends of the flange 166 and also integral with parts 155 and 166. The adjustable stops serving to limit the rearward movement of the carriage 155, 166 include an arm 171 directed laterally (fig. 3 and 13) fixed to the front rib 167 by bolts 169.
The left end of this arm has a wider part 173 traversed by two bores 175 (fig. 10) and 177 parallel to each other and to the rails 153 and 157 of the carriage, the bore 175 being threaded while the bore 177 is smooth.
An adjusting or maneuvering screw 179 terminated at its front end by a knurled knob 181 is secured in the bore 175, and a circular collar or ring flange 183 is secured to the screw 179 just behind the knob 181. A shank of sliding stop 185 guided in the smooth bore 177 has a transverse slot 187 towards its front end in which a peripheral part of the circular collar 183 is housed.
When the knob 181 is rotated in order to tighten the screw 179 further into the bore 175 or to release it, the axial displacement of the collar 183 cooperating with the notch 187 causes an axial displacement of the stop rod 185, which can be locked in any desired adjustment position by a locking lever 189 engaged on a tightening screw 190 screwed into part 173,
The lower end of this screw being designed so as to cooperate with a flat 191 of the rod 185 in order to ensure that the latter is held in place. The rear end of the stop rod 185 cooperates with a fixed stop carried by the lower carriage 95.
This stop is formed by a rod 192 (fig. 10 and 13) aligned axially with the rod 185 and fixed in a flange 193 integral with the upper face of the carriage 95 by bolts 195 and pins 196.
The lower carriage 95 can also be considered as a transverse carriage given that its direction of movement along the rails or slides 91, 97 is horizontal and transverse to the optical axis of the light beam used for calibration, projected towards it. 'rear by the lamp 59 and passing in the vicinity of the part to be calibrated before entering the housing of the comparator. Likewise, the upper carriage 155, 166 can be referred to as the longitudinal carriage given that it moves along the rails 151, 157 in a direction parallel to the optical axis of this light beam, and therefore longitudinal. Slides or rails are provided on this longitudinal or upper carriage for receiving a third carriage which moves vertically and which may be called a vertical carriage.
The three carriages and their accessories generally form the fixing frame.
For ease of manufacture, these rails or slides on which the vertical carriage moves are not fixed directly on the parts 155, 166 of the longitudinal carriage, but on a separate part 197 resting on the bench or the plate of this carriage. 155 and are clamped against its vertical flange 166, being held in a fixed position on this flange 166 by pins or pins 199 and two bolts 201. There is provided on the right face of this part 197 a pair of elements of vertical guides 203 which diverge outwardly to form a dovetail tenon. A pair of flanges 205 spaced vertically from one another are arranged between these guide elements 203. The lower flange rests on the upper face of the transverse carriage.
The flanges 205 (FIG. 15) have aligned orifices 206 and 207 receiving bearings 209 and 210 serving to receive an adjustment shaft of the vertical carriage, described below.
This part 197 of the carriage has an element 211 directed obliquely upwards, which extends above the upper edge of the cage 165 and which ends in a substantially horizontal flange 213 integral with the edge. upper part 211 and extending to a point disposed vertically above the flanges 205. This horizontal flange 213 has an orifice 221 receiving a calibration frame which will be described later. I1 is provided on the part directed upwards 211 a boss 215 traversed by an orifice 217 whose axis is horizontal, this axis intersecting the common axis of the bearings 209 and 210. This orifice 217 receives a bearing 219 forming a bearing for a control shaft of the vertical carriage described later.
The third carriage, or vertical carriage, is mounted so as to be able to slide on the vertical slides 203 and it comprises a main wall 223 and a pair of vertical flanges 225 and 227 (FIG. 13) integral with this wall 223 and directed towards them. elements 197. In the angle formed by the flange 225 and the wall 223 of the carriage is fixed by means of bolts 229 a vertical guide rail 231 having an inclined face 233 which cooperates with the external face of one of the slides 203. The internal face 235 of the flange 227 makes an acute angle with the plane of the wall 223 of the carriage and is parallel to the external face of the other vertical slide 203, but remains at a certain distance therefrom.
A vertical guide rail 237 disposed between the face 235 of the flange of the carriage and the outer face of the neighboring slide 203 is pressed against the neighboring guide rail or the slide 203 in a manner sufficient to eliminate any transverse play by means of bolts 239.
An orifice 241 substantially perpendicular to the rail 237 passes through the flange 227 and receives by screwing a locking lever 243 which is designed so as to apply, during its rotation in one direction and by its internal end, the rail 237 against the vertical slide 203 , thus locking the vertical carriage by friction in a fixed position.
A tab 247 of substantially triangular shape is fixed by bolts 245 on the wall 223 of the vertical carriage, between the flanges 225 and 227, and it is disposed between the slide 203 of the vertical carriage and the flanges 205.
The tab 247 has an internal thread 249 which is in vertical alignment with the orifices of the bearings 209 and 210.
It is provided to ensure the upward and downward movement of the vertical carriage along its slide 203 a shaft 251 which passes vertically through the orifice of the bearing 209 and whose reduced diameter end 253 comes to rest in the bearing 210 A threaded middle part 255 of this shaft cooperates with the internal thread 249 of the tab 247. Above the upper face d and movable independently of one another are mounted so as to be able to slide horizontally on the wall 223 and extend to the right, diverging from each other (fig. 2, 3, 13 and 15). Each arm is mounted on the vertical carriage in the same way, so it suffices to describe the mounting of one of them.
The arm 297 carries at its left end (FIG. 13) a vertical wall 281, a rectified face of which abuts against the rectified right face of a thicker lower part of the wall 223 of the vertical carriage.
A horizontal groove 285 extends over the entire length of this wall 223, in its thickest part, and the lower edge of this groove is substantially horizontal while its upper edge is inclined so as to form a tail groove. dovetail. I1 is provided in the wall 280 of the arm 297, facing the lower part of the groove 285, a rectangular groove 282 (Fig. 1) in which is housed a guide rail or a rectangular key 284 projecting beyond the vertical face of the wall 281 and penetrating into the groove 285 bearing on its lower support to prevent any downward movement of the arm 297 relative to the wall 223 of the vertical carriage.
About halfway down the length of groove 282, this is interrupted by a larger V-shaped cavity (fig. 15), large enough to accommodate a tab 287 attached to a threaded shank 293 s' extending obliquely upwardly through a bore 291 formed in a portion 289 of the arm 297.
The protruding upper end of rod 293 carries a knurled nut 295 which, when tightened, exerts upward traction on rod 293 and tab 287, thereby pressing this tab against the slanted top edge of the groove 285, in order to clamp the arm 297 to prevent it from moving horizontally along the groove 285 and at the same time to apply by traction the left face of the wall 281 against the right face of the wall 223, and to rest the lower face of the rail 284 against the lower edge of the groove 285.
The free ends of the workpiece support arms 297 and 298 have circular bodies or bosses 299 and 300 which are inclined axially in a direction parallel to the horizontal optical axis of the light beam used for the control.
The boss 299 (fig. 16 to 18) is axially crossed by an orifice 301 extending by a thread 303 provided at one end of this boss 299. A support or mounting tip having a conical end 305 and having a diameter greater than that of the bore 301, an intermediate portion 307 having a diameter sliding with gentle friction in this bore 301 and a shank 309 having a diameter notably smaller than that of the intermediate portion 307, passes through the bore 301 and the internal thread 303 of the boss 299, the tapered end being adjacent to the bore 301 and the shank 309 extending outwardly from the thread 303.
A spring 311 is disposed around the shank 309 of the support tip and bears forward on the shoulder formed between the parts 307 and 309, as well as rearward on a nut 313 provided with a median hole and screwed into the thread 303.
The boss 299 has a slot 315 passing through its bottom wall and extending in a direction parallel to that of the bore 301.
A control arm 317 is pivotally mounted on the support arm 297 at a point 316 and extends below the boss 299 (Fig. 18). This arm 317 has an elongated slot 319, the longitudinal axis of which is disposed directly below the longitudinal axis of the slot 315 of the boss 299 and forms a certain angle with it. A vertical axis 321 fixed to the middle portion 307 of the tip of the support passes through the slots 315 and 319, so that the control arm 317 can be angularly moved on its pivot 316 in order to urge the axis 321 along the slot 319 to thus recall the point 305 rearwardly relative to the boss 299 against the action of the spring 311.
The boss 300 carried by the free end of the other support arm 298 has an axial bore 323 aligned with the bores 301 and 303 of the boss 299. A second mounting tip 325 is disposed in the bore 323 and is attached to it. the boss 300 by a transverse axis 327. This second point also has a conical end 329 which is disposed opposite the conical end 305 of the point supported by the arm 297. As explained in more detail below, the two points 305 and 329 serve for mounting the gear to be analyzed by engaging in the axial center holes provided at the end of the shaft or spindle 331 on which the gear 333 is mounted.
In some cases, when the gear has a hub, the tapered mounting tips can fit directly into the bore of this hub, mounting the gear on a separate shaft then becoming unnecessary. The axial mobility of tip 305 allows adaptation to shafts of different lengths within a limited range. The clamp nuts 295 can be loosened and the support arms 297 and 298 can be brought to different positions on the vertical carriage 223 to allow adaptation to gear shafts of different lengths or to bring the mounting shaft. in a position such, in the direction of its length, that the gear which it carries is situated in the focal plane of the optical projection system.
The transverse carriage, the longitudinal carriage, the vertical carriage and the support arms 297 and 298 as well as the associated elements constitute the part of the frame which maintains the gear in the light beam used for the analysis, as will be understood from reading the foregoing, and these elements may be generally referred to as devices for holding or supporting the gear.
Another important part of the frame is formed by a device for maintaining a real or imaginary rack tooth in a fixed position in engagement with a tooth of the gear to be analyzed, so that this gear can actually roll on the tooth of the rack. the rack by being angularly displaced by contact with the latter while the gear or its mounting shaft are displaced laterally with respect to the optical axis and to the fixed rack tooth. This part of the frame may be generally referred to as a rack-and-pinion holding device and will now be described with reference to FIGS. 19 to 27.
The main support arm 343 of this part of the mount is fixed to the lower part of the front wall of the comparator housing by bolts 337 which pass through the rear part 339 of the arm and which are screwed into the housing, the arm 343 s 'extending forward cantilevered. This arm has approximately the shape of a cylindrical tube, the lower part of which is notched obliquely (see Figs. 3 and 19), the axis of the tube coinciding with the optical axis of the analysis light beam coming from the lamp 59 and reaching the objective 65, the rear plate 339 being perforated in its center in order to allow the passage of this light beam.
The upper wall of the arm 343 has, towards its front end, an extra thickness as shown in FIG. 19, so that various slides and bearings can be formed therein. A shaft 349 extends transversely to the top wall and is journaled in bearings 351 and 353 for rotation.
There is provided along the longitudinal axis of the support 343, at a certain distance inwards from its end, a slot 355 in which a pinion 357 is keyed on the shaft 349. A longitudinal carriage 361 mounted in a cavity 359 of the upper face of the support 343 has in its lower face a cavity 363 in which a rack 365 is rigidly fixed by bolts 366 (FIG. 23), this rack meshing with the pinion 357.
A longitudinal guide rail covering a lip of the carriage 361 (Fig. 25) is fixed in the cavity 359 along the left longitudinal edge of this carriage 361 by bolts 367.
Another guide rail 371 fixed along the right or opposite longitudinal edge of the carriage 361 has an inclined longitudinal edge 373 cooperating with a corresponding edge of the carriage. This opposite longitudinal edge of the rail 371 has a part parallel to the edge 373, and a grooved part 375 disposed at mid-distance of its length. The part of the carriage 343 adjacent to the grooved part 375 has a transverse orifice 377 in which a locking screw 379 is fixed. Adjusting screws 380 (fig. 22) bear against the rail 371 towards its ends, to a sufficient extent. to prevent any transverse play of the carriage.
A button 381 is fixed on the outer end of the shaft 349 by a pin 383, the rotation of this button 381 causing, by means of the pinion 357 and the rack 365 the displacement of the carriage 361 between the rail 369 and the locking rail 371.
As shown in fig. 19, the carriage 361 has a displacement of about 5 cm. When this carriage 361 occupies a desired longitudinal position, the locking screw 379 is tightened against the locking rail 371, which in turn bears against the inclined wall of the longitudinal carriage, thus ensuring the locking in place of this carriage.
As can be seen in fig. 22 and 25, there is provided on the upper face 345 of the support 343 a graduation 385 serving to measure the longitudinal displacement of the carriage 361 relative to the support 343. This graduation is designed so as to be aligned longitudinally with a mark 386 provided on the longitudinal edge of the carriage and adjacent to the graduation, and it is held in place by the handle 389 carried by a tightening screw passing through the slot 387 of the graduation and screwed into the support 343.
A transverse guide plate 393, fixed by bolts 391 transversely to the front end of the longitudinal carriage 361 carrying the rack tooth, has on its front face a horizontal dovetail groove 395. A transverse carriage 397 is mounted so as to be able to move on the transverse guide plate 393 by a dovetail heel 399 starting from the rear face of the transverse carriage and penetrating into the dovetail groove 395 of the guide plate. This dovetail heel 399 has an interior width equal to that of the dovetail groove 395 to allow for a substantially horizontal elongated locking wedge 401, having an inclined edge which matches the upper edge of the tail heel. dovetail 399, to be interposed between the upper edge of this heel 399 and the dovetail groove 395.
A locking lever 403 passing through the upper face of the guide plate is screwed into a hole 405 which opens into the dovetail groove 395, so that this locking wedge 401 can be applied against the upper edge of the heel in dovetail 399 by the locking lever 403, thus ensuring the locking in place of the transverse carriage.
On one of the vertical edges of the guide plate 393 (fig. 20 and 22) is fixed a lug 407 directed towards the front, crossed by an orifice 409. A shaft 411 carrying a button 413 at one end is mounted for rotation in orifice 409 and is screwed into an internal thread formed in the transverse carriage.
Rotation of shaft 411 moves the cross slide (when locking wedge 401 is in its disengaged position) since shaft 411 is prevented from moving longitudinally in lug 407.
As shown in fig. 24, the opposite vertical edge of the guide plate 393 carries by bolts 415 a tab 417 directed to the right, having a longitudinal slot 419 which can receive the usual clamping screw provided at the rear of the dial indicator 269, the gauge of the comparator coming to rest on a flat surface 420 at the right end of the transverse carriage 397 if it is desired to disengage the comparator from the flange 268 and mount it in a position allowing the transverse horizontal displacement of the carriage 397 to be measured in certain operations control or analysis.
An approximately circular plate 423 carries an axis 421 directed rearwardly from its rear face and which engages exactly but, however so as to be able to rotate, in a median bore 422 of the transverse carriage 397, thus forming an axis (parallel to the optical axis of the control beam) on which this plate 423 can turn. The plate 423 has a peripheral groove 425 provided between its front and rear faces. A pair of hook-shaped fingers 447 are fixed on the upper and lower faces of the transverse carriage 397 by bolts 448, each finger comprising a flange 449 which engages in the peripheral groove 425 of this plate (fig. 23) in order to keep the latter tightly applied against the front face of the carriage 397.
An ankle 427 (fig. 20 and 26) eccentric with respect to the axis of the plate 423 passes through said plate and penetrates into a horizontal slot 429 formed in a tab 431 sliding vertically and mounted in a vertical slot 433 of the front face of the transverse carriage 397. This cleat is moved up and down (thus causing the plate 423 to pivot on its axis 421) by means of the rotation of a knurled knob 445 carried by a screw 441 implanted in a vertical thread 443 of the carriage 397, the lower end of the screw being connected to the cleat 431 by a peripheral groove 437 provided in the screw and cooperating with an axis 435 of the cleat 431.
The blocking of the plate 423 in the desired position is ensured by a locking lug 451 (fig. 21, 22 and 24) which is fixed to the front face of the transverse carriage by a clamping screw 453 and which is prevented from turning on the latter by a finger 461 a. One end of the locking lug enters the peripheral groove 425 of the plate 423, while the other end carries as shown a flange coming into contact with the front face of the transverse carriage.
The front face of the plate 423 has a diametrical groove 455 in the form of a V (Figs. 20 and 22). An elongated rod 457 forming a rack, the lower end of which can be ground conical around its entire circumference or on one side only (although the other side may be bevelled in order to increase the clearance obtained between the gear teeth of small dimensions) is adjustably mounted in groove 455 (fig. 19, 20 and 22-24) and is held in this groove in any desired longitudinal adjustment position by a clamping lug or lug 499
L pivotally mounted at a point eccentric on the front face of the plate 423 by the axis 461. In the working position, this L-shaped lug is supported by a wing on the front face of the plate 423, while the other wing covers the rod forming a rack 457.
This other wing has on its rear face a V-shaped groove 463, which engages this rod 457, so that the latter is clamped by the two grooves 455 and 463.
A tightening screw 465 carrying a T-shaped head passes through the tab 459 and is screwed into the plate 423 in order to apply this tab 459 against the rod forming a rack 457.
A compression coil spring 466 surrounds the set screw 465 between its head and the tab 459 in order to maintain a certain degree of pressure of this tab against the rack rod, even if the set screw is loosened, thus avoiding the accidental escape of this rod.
These different adjustable elements allow the rod 457, which represents and in fact constitutes a tooth of the theoretical rack intended to come into engagement with the gear which is controlled and analyzed, to be brought by rotation to the desired angle around the axis of rotation 421 (parallel to the optical axis of the system and to the axis of the gear defined by the conical support points 305 and 329), to be moved up and down with respect to the optical axis (by loosening the set screw 465), to be moved transversely to the optical axis (by turning the knob 413 to move the transverse carriage 397), and to be shifted in a parallel direction to the optical axis (by turning the knob 381 to move the longitudinal carriage 361)
in order to bring it directly into the focal plane of the optical system or else in front of or behind this focal plane. Thanks to this part of the frame (support of the rack), a great working flexibility is thus obtained.
To aid in the adjustment of the mount and its various elements for inspection and analysis of gears of a particular size, it is desirable to provide the operator with an adjustment jig. It is important, when adjusting the apparatus, that the support points 305 and 329 of the gears are at a height such that, when the gear is fitted on these points, the theoretical pitch circle of the gear is exactly tangent to the line or to the pitch circle mark of the optical diagram 83 adapted on the comparator screen. To facilitate this adjustment, an alignment jig shown in FIGS. 28 to 31.
The alignment jig is roughly Y-shaped. It is made up of a pair of centering arms 467, a triangular body 469, and a vertical shank 471. Although alignment jigs having different shapes, the configuration of the jig shown has been designed to facilitate work and storage and to save material and labor without compromising the efficiency of the device.
The ends of the centering arms 467 have middle centering holes 473 for receiving the conical support tips 305 and 329. The upper face 475 of the body 469 is precision machined to form a perfectly smooth surface lying in a passing plane. through the centering holes 473.
This body 469 carries, on one of its faces, a support 477, the upper face of which is in the same plane as the upper face 475 of the body and which is also perfectly ground. This part 477 forms, in fact, a lateral extension of the surface 475. In a bore 479 formed in the center of the upper face 475 of the body 469 and vertically crossing this body 469 and the tail 471 is housed an alignment pin 481 having a rounded upper end. To ensure precise alignment of the mounting device, it is essential that the bore 479 is perpendicular to the top face 475 of the body and that there is a smooth friction slide between the bore 479 and the pin 481 to prevent any transverse play between this axis and the rest of the device.
The vertical displacement of the axis 481 is facilitated by the orifice 483, which allows the operator to grasp this axis by hand to release it or to bring in its upper end. Once the pin has been brought to the desired position relative to the rest of the alignment jig, it is locked in place by screw 485, which is threaded into thread 487 perpendicular to bore 479.
In use, the axis 481 of the alignment jig is first adjusted by placing shims on the support 477, the height of which is equal to the desired height for the top of the axis 481 above the body 475, that is to say at a height equal to the base radius (half of the diameter of the pitch circle) of the gear to be analyzed. An additional wedge is placed on the wedges already in place so as to protrude in the vertical path of the axis 481. This axis 481 is then moved upwards until its upper end comes into contact with the lower surface. of the latter shim, and the axis is then locked in this adjustment position by screw 485.
The alignment jig is then ready for use and it is placed between the support arms 297 and 298 being held in place by the support pins 305 and 329, which are engaged in the centering holes 473.
Once the locking lever 189 of the longitudinal carriage 155 is released, the operating knob 181 can be rotated to move the carriage forward or backward until the axle 481 is in the middle. focal plane of the comparator, then the locking lever 189 is then tightened.
The vertical carriage is then moved up or down as the case may be by means of the handle 267, until the image of the upper end of the axis 481 is exactly on the line corresponding to the diameter pitch of the particular selected rack tooth set used on the sizing diagram, as shown in fig. 32. In this figure, the line corresponding to the pitch diameter corresponds to the horizontal diameter of the calibration diagram 83, but this is simply a coincidence and it is not necessarily the case. It will be understood that the calibration diagram 83 carries several sets of toothed racks having different pitches, each corresponding to a conjugate pitch circle line as visible in FIG. 8.
When the vertical carriage has been adjusted so that the upper end of the axis 481 is exactly on this line of the diagram, this vertical carriage is locked by means of the clamp 243 and no vertical movement takes place as long as that we analyze or check gears with the same pitch diameter. The jig 469 is then removed from the machine and the rod 457 forming the rack tooth is introduced and clamped in the device 459 (if it is not already in place before the jig is used) then it is adjusted so that the image of a face of this rod 457 coincides exactly with the tooth to be used for the inspection and carried by diagram 83. This relationship of the various elements is shown for example in FIGS. 1, 7 and 34.
The gear to be checked, which is mounted on a suitable shaft, is now placed (see for example fig. 2) between the points 305 and 329 of the support arms 297 and 298. The dotted line is shown in fig. . 2 two gears of different diameters and thicknesses mounted on shafts of different lengths to show the great working flexibility of the apparatus for controlling gears of different sizes. It is possible, for a suitable positioning of the arms 297 and 298 and by an adjustment of the stop 185 of the longitudinal carriage, to bring the gear, whatever its size, to a position in which its rear face is located. in the focal plane of the optical projection system, as shown in fig. 2.
The rack tooth rod 457 is also adjusted so as to be in the same focal plane during the initial adjustment preceding the inspection, and this rod remains in this focal plane during all inspection operations.
To check the teeth of the gear at other points of its thickness, the rod 457 is moved forward from this focal plane, to the desired point of the thickness of the gear. gear, by means of button 381. This moves the stem away from the focus formed on the screen, but maintains the same transverse relation of the elements, since this displacement is exactly parallel to the axis of the gear.
By moving the transverse carriage using button 121, the axis of the gear (defined by points 305 and 329 carried by arms 297 and 298) can be moved to the right or to the left with respect to the optical axis of the light beam, and during this movement the teeth of the gear come to cooperate with the rod forming the rack tooth, the gear actually rolling on this fixed rod while rotating in contact with it, which provides the same results only if the gear was actually in a working condition, except for the speed and load factors.
By observing the shadow or the contour of the tooth of the gear following that which is in contact with the rod forming the rack with respect to the profile of the tooth of rack carried by the diagram, one can verify whether the gear is running smoothly. correct on the theoretical line represented by this rod forming a rack tooth. If the gear is perfect, when a tooth is supported by its right side on the left edge of the rod forming the tooth of the rack, as in fig. 1, for example, the right flank of the next tooth should be exactly tangent to the line in the diagram corresponding to the neighboring rack tooth, as shown in fig. 1. If any difference occurs, there is a defect in the theoretical shape of the gear, at least in the case of a normal standard gear.
Dial indicator 269 can be moved from the position shown in fig. 3 on the arm 417 (fig. 24) and its feeler can be brought into contact with the seat 420 of the transverse carriage in order to determine the amount of transverse movement of the gear which is necessary to bring the image of the tooth. gear in a position tangent to the tooth of the rack in the diagram. This position of the comparator also makes it possible to measure the arc of the pitch of the gear.
Although the vertical carriage is not moved vertically during normal checks of the above type, it can be moved for some special checks, for example to determine whether the gear tooth is protruding beyond the line of mesh or too much or too little indentation from this line. For example, starting from the position corresponding to the suitable height determined by the use of the jig, the vertical carriage can be moved upwards to bring the top of the profile of the gear tooth into coincidence with the upper part of the the gap of the rack, this position being approximately that shown in FIG. 7, and the dial indicator 269 occupying the position shown in FIG. 3 can be used to measure the degree of this vertical displacement of the carriage.
On the other hand, the vertical carriage can be moved upwards until the profile of the two flanks of the gear tooth is tangent to the two flanks of the rack tooth in the diagram, which is roughly the position shown in fig. 34, and the degree of vertical displacement required to achieve this result can be measured.
According to another possible control, the gear and its support carriage can be moved to the left (by means of the button 121) until the left side of the tooth is tangent to the profile of the rack. The rod forming the rack tooth can then be moved laterally by means of the button 413 (fig. 24) until this rod comes to attack the opposite side of the same tooth, this position of the elements being shown in FIG. 33. This is one of the checks to determine the backlash or backlash. During this check, the dial indicator 269 is mounted on the flange 417 (fig. 24) and its feeler attacks the bearing surface 420 of the carriage carrying the rod forming the rack, in order to provide a reading corresponding to the lateral displacement of this rod. .
When the check of a tooth is finished and if it is desired to rotate the gear to bring another tooth into engagement with the rod forming the rack, this operation is easily carried out by moving the upper carriage forward by hand. , for example by means of the button 181 or the flanges 167, despite the resistance of the spring 158, until the gear is located in front of the rod 457, and this gear can then be rotated without it coming attack this rod. After having made the gear turn to the desired amplitude, this forward traction on the carriage is ceased and the spring 158 brings this carriage backwards to the previous adjustment position determined by cooperation of the adjustable stop 185 with the fixed reach 192.
In this position, the rear face of the gear is again in the focal plane of the projector.
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