Lampe électrique portative. L'invention a pour objet une lampe élec trique portative à génératrice électroméca nique.
Cette lampe est caractérisée selon l'inven tion par un boîtier dont la forme extérieure du dos est conformée pour épouser le creux de la main et par un organe de man#uvre à réarmement automatique sur lequel prennent appui les doigts, le dispositif optique étant monté dans un enfoncement de façon à être protégé et ayant son axe optique incliné par rapport à la direction transversale suivant laquelle se déplace l'organe de man#uvre, un dispositif de verrouillage servant à maintenir cet organe de man#uvre dans une position rapprochée du boîtier,
ce dernier dispositif se déverrouillant lorsqu'on appuie sur l'or gane de man#uvre dans la direction tendant à le rapprocher du boîtier.
Le dessin représente, à titre d'exemple, deux formes d'exécution de la lampe selon l'invention et des variantes de détail.
Fig. 1 à 3 sont respectivement des vues en élévation de face et de profil, et une vue en plan d'une première forme d'exécution.
Fig. 4 est une coupe verticale du disposi tif optique de cette forme.
Fig. 5 montre, à une échelle réduite, une variante de cette forme d'exécution.
Fig. 6 à 8 sont respectivement des vues en élévation de face et de profil et une vue en plan de la deuxième forme d'exécution. Fig. 9 est une coupe verticale du disposi tif optique de cette forme après ouverture du couvercle portant la lentille.
Fig. 10, 11, 14, 15, 17 et 18 montrent schématiquement des détails de la lampe des fig. 1 à 4.
Fig. 12, 13 et 16 montrent schématique ment des détails de la lampe des fig. 6 à 9. Fig. 19 montre une variante de détail. Fig. 20 et 21 montrent plus en détail, de face et de profil, l'agencement des organes mobiles dans le boîtier de la lampe des fig. 1 à 4.
Fig. 22 est une vue en plan du châssis du mécanisme de cette lampe.
Fig. 23 montre des détails de la lampe des fig. 6 à 9.
Fit-D. 24 montre le détail du montage de l'inducteur de la génératrice de la lampe des fi-. 1 à 4.
La lampe des fig. 1 à 4 est conformée extérieurement pour tenir confortablement dans une main normale. Le boîtier 2 de la lampe a le dos conformé pour épouser le creux de la main, la paume prenant appui en 3 et 4; les quatre doigts viennent appuyer dans les encoches arrondies 5, 6, 7, 8 de la pièce 9 de l'organe de manoeuvre et le pouce se rabat sur le boîtier en 10. Comme on le voit, les encoches 5, 6, 7 et 8 sont décalées dans le sens du mouvement de l'organe de manoeuvre. En section transversale, comme il est visi ble en 11 (fig. 3), le boîtier, dépourvu d'arêtes vives, affecte une forme ovale.
Quand la pièce 9 est appliquée contre le boî tier en 25, elle ne doit pas pincer la peau des doigts, et pour cela le boîtier déborde en 13 sur elle. La distance entre le dos du boîtier et chaque encoche de la pièce 9 est propor tionnée à la longueur moyenne de chaque doigt, elle est maxima pour le médius en 6 et minima pour l'auriculaire en 8.
La saillie 12 est destinée à s'appuyer sur la partie de la main comprise entre le pouce et l'index et la saillie 14 constitue un appui pour le pouce appuyé sur 10.
La bosse 4, située à la base du dos du boîtier 2 a une fonction essentielle: Elle se loge dans le creux de la paume de la main et assure le bon maintien de la lampe, mais surtout, elle permet aux doigts qui appuient sur la pièce 9 de se replier sans aucune torsion, quand la pièce 9 arriva en 25. La fatigue est ainsi considérablement diminuée et le maniement plus confortable.
Le dessous 17 du boîtier 2 est plat, ce qui permet de placer la lampe debout sur une surface horizontale, ce qui est utile pour la vente de l'article.
La pièce 9 ne possède pas nécessairement des encoches pour quatre doigts, en particu lier l'encoche auriculaire peut être suppri mée, et ce doigt cesse de concourir à la ma noeuvre. On peut aussi supprimer, plus ou moins complètement, les aspérités destinées à séparer les doigts et, par exemple, suivre le tracé 18 montré en pointillé.
Le corps 2 et la poignée 9 peuvent rece voir des revêtements divers, des stries ou autres reliefs destinés à les décorer ou à augmenter l'adhérence de la main.
La pièce 9 de l'organe de man#uvre est solidaire de la tige de commande 19, qui est guidée dans un guide 38 de façon à se dé placer suivant son axe transversalement au boîtier.
Lorsque l'organe de man#uvre est dans sa position rapprochée du boîtier, il peut être verrouillé dans cette position par un crochet 21 monté sur une goupille 23 du boîtier et s'accrochant à une goupille 30, portée par la pièce 9, en pénétrant dans une encoche 31 de cette pièce 9. Ce crochet 21 est rappelé dans la position d'ouverture, montrée par les figures, par un petit ressort 24. Dans cette position, le crochet 21 ne gêne en rien la man#uvre normale de la lampe.
La tige coulissante 19 présente un trou longitudinal 26, dans lequel sont logés le ressort 20 de réarmement de l'organe de ma- n#uvre et une tige-guide 28. Le ressort 20 contient un autre petit ressort 29 de pas con traire et très dur, qui vient en fin de course, lorsque l'organe de manoeuvre se déplace vers le boîtier, appuyer sur le bout de la tige- guide 28. A ce moment, le crochet 21 ne peut encore s'accrocher sur la goupille 30 de la pièce 9 en passant dans l'encoche 31.
Pour pouvoir accrocher le crochet 21, il faut exer cer sur la pièce 9 un effort supplémentaire qui comprime le ressort 29. Ainsi, en posi tion de verrouillage, l'effet du ressort 29 s'ajoute à celui du ressort 20 pour repous ser l'organe de manoeuvre contre le crochet 21, ce qui ajoute à la sécurité du verrouil lage. Pour décrocher le crochet 21., il faut de nouveau appuyer sur l'organe de man#uvre à l'encontre des actions des ressorts 20 et 29.
Si, pour une raison quelconque, le crochet reste accroché, on peut le décrocher en agis sant sur son extrémité 32 qui fait saillie dans l'encoche 31.
Le ressort 29 pourrait: être remplacé par un ressort à lame 33 (montré en pointillé à. la fig. 1) fixé à la pièce 9.
On pourrait aussi remplacer le ressort 20 par un ressort à lame 34 s'accrochant à. une goupille 35. Dans ce cas, on pourrait suppri mer le ressort 29 ou 33, l'effort supplémen taire de fin de course étant obtenu quand le ressort 34 vient en 36 et appuie sur le boîtier 2 non loin de son point d'appui sur la tige mobile 28.
Le mouvement de l'organe de manoeuvre, lorsqu'il s'éloigne du boîtier, est limité par un cliquet 37 monté sur un pivot 118 et soumis à l'action d'un ressort 119. Ce cliquet tombe dans une encoche 27 de la tige 19.
La tige 19 porte une semelle en métal dur dans laquelle sont taillées les dents d'une crémaillère 22.
L'axe optique DG du dispositif optique fait un angle de 45 avec l'axe de la tige 19, transversale par rapport à la lampe. On obtient ainsi sans fatigue la direction usuelle vers le bas du faisceau lumineux.
Le dispositif optique et l'ampoule doivent être facilement amovibles pour permettre de remplacer celle-ci aisément, même dans l'obscurité.
Le dispositif optique (fig. 3) est formé de deux lentilles ménisque convexe 30 et 40. La lentille 39 est aussi creuse que possi ble et la lentille 40 est extérieurement en demi-sphère. La plus grande est sertie sur la monture 41, la plus petite est pressée sur l'autre par un diaphragme ondulé 42. L'am poule 43 est maintenue en place par le dis positif optique qui la coiffe. Elle coulisse, par sa douille, dans un trou lisse et est pous sée, par la lentille 40, contre le piston à ressort 54 monté dans la pièce 45 isolée, par l'anneau 46, du couvercle de boîtier 47. Le fil 48, venant de la génératrice, vient se fixer, par un écrou, sur la pièce 45. Le con tact à l'autre pôle est fait par la masse con ductrice du couvercle 47 et par le ressort 49 placé dans une mortaise.
Pour démonter l'optique, on la fait tourner en la saisissant par la périphérie moletée de la monture 41. Des encoches du couvercle 47 donnent accès à la monture 41. La monture 41 porte deux rainures hélicoïdales 50 et le couvercle deux saillies 51 dont l'ensemble forme une fixa tion à baïonnette, la monture étant freinée par le joint de caoutchouc 52 qui assure aussi l'étanchéité. On voit que le dispositif optique possède la convergence maximum et un très grand rendement lumineux puisqu'il capte toute la lumière émise par le filament dans un angle solide voisin de 180 . Une ampoule de rechange 56 se trouve dans un logement 58 pratiqué dans le couvercle 47 et fermé par un volet rotatif 54.
Le fond du loge- ment est garni avec un morceau de tube de caoutchouc 55 formant bourrage élastique.
Le dispositif optique est monté dans un enfoncement 5 7 du couvercle 47 afin d'être bien protégé contre les chocs.
Une lanière de cuir 72, fixée à une boucle 73 articulée au couvercle 47, sert à porter et à accrocher la lampe.
Le corps du boîtier 2 est en métal léger injecté sous pression en une seule pièce. Sur lui s'emboîte le couvercle 47 de matière ana logue, la fixation se faisant par les vis 58.
Les fig. 10, 11, 14, 15, 17, 18, 20, 21, 22 et 24 montrent le détail de la génératrice et de son mécanisme d'entraînement. Le châssis intérieur est d'une seule pièce en métal 81; ce châssis présente le guide 38 de la tige 19 et les logements des paliers des arbres 88 et 98, et est isolé du boîtier par les lames de cuir 82, 83, 84, 85 fixées par des vis ou de la colle. Une pièce de cuir 86 assure l'étan chéité de la sortie de la tige 19.
Les lames de cuir 85 qui se trouvent obturer les alésa- ges des paliers des mobiles servent aussi de butées silencieuses et, étant imbibées d'huile. forment une réserve d'huile de graissage.
La crémaillère 22 de la tige 19 engrène avec un pignon 92 solidaire de la roue à rochets 93 et monté fou sur l'arbre 88. La grande roue dentée 94 est solidaire du même arbre et est rendue solidaire du pignon dans le sens de rotation qui correspond à l'enfon cement de l'organe de manoeuv re par des cli- quets 108. L'arbre 88 tourne dans des paliers 96. La grande roue 94 engrène avec le pignon 97 solidaire de l'arbre 98 qui tourne dans des paliers 99.
Cet arbre porte le rotor 100 de la génératrice. Les arbres 88 -et 98 sont situés du même côté par rap port à la tige 19.
L'arbre 88 présente une partie de moin dre diamètre 103, qui forme réserve d'huile. On pourrait aussi former un évidement dans l'alésage du pignon. La grande roue 94 est montée sur l'arbre 88 au moyen d'un disque, maintenu en place par une douille 104 chassée sur l'arbre et fixé à un flasque 105 fixé à, la roue 94 par des vis ou rivets 106. Une deuxième douille 107, chassée sur l'arbre 88, empêche le pignon 92 de sortir. Les cliquets 108, coopérant avec la roue à rochets 93, sont formés d'une partie circulaire et d'une dent.
La partie circulaire peut osciller librement dans une encoche circulaire découpée dans la roue de part en part. Cette encoche se pro longe pour former une grande encoche 109 qui reçoit le ressort de cliquet 110. Les cli- quets et les ressorts sont maintenus en place par la forme circulaire de leur logement. On évite ainsi les ruptures de pivots de cliquets et le mécanisme est très plat. Les cliquets 108 et les ressorts 110, ainsi logés dans l'épaisseur de la roue 94, sont maintenus entre le flasque latéral 105 et un deuxième flasque latéral 111 fixé également par le moyen des vis 106. Le châssis 112 est en métal injecté d'une seule pièce, et formé de deux flasques 113 et 114 réunis par trois pieds 115, 116 et 117.
Le flasque 114 porte le guide 38 de la tige 19. Ce guide est échancré pour laisser le passage au pignon 92. Pour pouvoir mettre les mobiles en place, les logements des paliers sont échancrés en 120. Les paliers 96 et 99 sont montés rotativement dans ces logements et tenus en place par les têtes des vis 121. Les alésages de ces paliers sont excentrés de façon que l'on puisse régler l'écartement et la position des arbres en faisant tourner les paliers 96 et 99 au moyen d'une pince à griffes engagées dans les trous 122. Les pa liers 96 portent l'arbre 88 par l'intermédiaire des douilles 104 et 107 chassées sur cet arbre.
Le rotor 100 de la génératrice est un inducteur à quatre pôles avec remplissage des encoches 124 avec une matière lourde. Le stator comprend deux pièces polaires 101 et 102 formées de paquets de tôles minces isolées assemblées par des rivets 125. Ces pièces polaires sont fixées, par des vis 126 et des entretoises 127, sur une platine 128 centrée sur une saillie cylindrique 129 soli daire d'un des paliers 99 et concentrique à l'alésage de ce palier. La saillie 129 n'est pas montrée à la fig. 24. La platine est elle- même fixée au châssis par les vis 130.
Lors qu'on veut régler l'écartement des arbres 88 et 98, on desserre d'abord les vis 130 dont les têtes ont un jeu suffisant dans le flasque, on fait le réglage, la platine se déplace avec l'axe de l'arbre 98, de sorte que l'alésage de l'induit reste centré sur l'axe du rotor, puis on bloque les vis 130. Les pièces polaires por tent des bobinages 131 sur leurs parties amincies 132.
Le rotor 100 est monté sur l'arbre 98 par l'intermédiaire de la douille de caoutchouc 143. L'arbre 98 est maintenu axialement par les pièces de cuir 85 formant butées. Les extrémités 145 de l'arbre 98 tournant dans les paliers 99 sont soigneusement polies. Les paliers 99 sont en matière poreuse imprégnée de lubrifiant et présentent des brides de fixation circulaires 146. Les paliers 96 pré sentent des brides analogues 113 et 114. Deux gorges 147 sont ménagées dans l'arbre 98 aux endroits où celui-ci sort des paliers 99.
Ces gorges s'apposent, par l'effet de la force centrifuge, à, la fuite de l'huile le long de l'arbre par capillarité. Le bord extérieur de la gorge est situé dans l'alésage du palier. De ce côté, la paroi de 1a_ gorge est perpen diculaire à la surface de l'arbre et forme avec. celle-ci une arête vive. Les, pièces de cuir 85 étant poreuses s'imbibent d'huile et forment ainsi réserve d'huile.
Ces dispositions assu rent la lubrification indéfinie de l'arbre avec une réserve d'huile infime. Le bruit de l'en grenage est très diminué et les vibrations du palier aussi, les butées sont silencieuses. La rupture de l'arbre en cas de chute de la lampe est évitée.
. Dans la seconde forme d'exécution, fig. 6 à 9, 12, 13, 16 et 23, la commande a lieu de la même façon que dans la. lampe des fig. 1 à 4. La pièce d'appui 9 de l'organe de manoeuvre est en matière plastique. La tige coulissante 19 de l'organe de manoeuvre y est prise en moulage et y est assurée par la. pla quette 76 fixée sur la tige par la vis 77. La pièce 9 est confoiznée comme celle de la lampe des fig. 1 à 4. Le dispositif optique est monté dans un enfoncement d'une pièce 60, de façon à être protégé contre les chocs.
Cette pièce s'em boîte sur le corps du boîtier et pivote autour d'une goupille 61 autour de laquelle pivote également le crochet de verrouillage 21. Le dispositif optique comporte une lentille 62, ménisque convexe, dont la surface extérieure est une demi-sphère de rayon aussi réduit que possible, tandis que la surface intérieure coiffe le mieux possible l'ampoule. On obtient un rendement presque aussi bon qu'avec le dispositif à deux lentilles (fig. 1 à 4). L'axe optique de la lentille est incliné de 45 sur l'axe de la tige transversale 19 suivant le quel se déplace cette tige. La lentille 62 est tenue par l'anneau vissé 63. Une rondelle de caoutchouc 64 assure l'étanchéité de la fer meture.
La fermeture est assurée par le tenon 65 solidaire de la pièce 60 et venant s'enga ger dans une mortaise du corps de boîtier où le fixe une bille 67 poussée par un ressort 68. L'ampoule 43 est poussée vers la lentille 62 par le piston 44 poussé par un ressort de con tact et coulissant dans une rainure du corps de boîtier qui est en matière isolante. Un piston 69 assure le second contact.
Une ampoule de rechange 56 est placée à côté de l'autre dans un logement 70 et est poussée contre la pièce 60 par le ressort 71. Le verrouillage et le déverrouillage de l'or gane de man#uvre s'effectuent comme dans la lampe des fig. 1 à 4.
La génératrice et son mécanisme d'en traînement sont portés par un châssis formé de deux platines assemblées par des vis et par trois entretoises. Chaque platine porte les logements des paliers des arbres 89 et 90 et l'une d'elles porte une pièce 91 formant tube de guidage pour la tige 19. Chaque entretoise est gainée d'un tube de caoutchouc 80 qui se loge dans une creusure du boîtier, les autres dispositions des pièces d'amortissement étant les mêmes que précédemment.
Le dos du boîtier est conformé extérieu rement comme celui du boîtier de la lampe des fig. 1 à 4, de façon à épouser le creux de la main. Le corps du boîtier, sur lequel s'emboîte la pièce 60, est formé par deux pièces symé triques en matière moulée assemblées par des vis 75.
La bosse 4 étant creuse en raison du mode de moulage, on peut y loger une partie du stator, ce qui permet de placer la bobine 102 en dehors de la projection de la grande roue dentée 94 et de réaliser un ensemble plus plat.
Les deux axes de rotation se trouvent également du même côté par rapport à la tige 19. Comme dans la lampe des fig. 1 à 4, la tige 19 est disposée d'une façon dissymé- trique par rapport au milieu de la longueur de la poignée et cela vers l'index, c'est-,à-dire vers les doigts qui produisent le plus d'effort, Sans changer la disposition générale, on pourrait aussi renverser tout le mécanisme par rapport au boîtier et placer la tige 19 au-dessous de ce mécanisme, la génératrice étant en haut vers l'optique,
ce qui peut être avantageux dans certains cas.
Le tube de: guidage 91 de la tige 19 est rapporté en 133 sur la platine correspondante qui présente une fente 134 dans laquelle cou lisse la tête d'une vis 135 garnie d'une ron delle d'amortissement 140 et solidaire de la tige 19, ce dispositif assurant les deux butées en fin de course de l'organe de man#uvre sans bruit. Les pistons à ressort 141 et 142 assurent les contacts avec les pistons 44 et 69.
En fig. 19 est représenté un encliquetage à six rouleaux pouvant remplacer celui re présenté à la fig. 18. Le montage général est le même.
Dans une variante, la tige de commande de l'entraînement du rotor pourrait être arti culée à un levier articulé au boîtier, comme il est montré fig. 5. Pour le reste, cette va riante présente les mêmes, caractères que les lampes des fig. 1 à 4 et 6 à 9.