CH148099A - Procédé de fabrication d'anhydride sulfurique par contact. - Google Patents

Procédé de fabrication d'anhydride sulfurique par contact.

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  Procédé de fabrication d'anhydride sulfurique par contact.    La présente invention concerne un pro  cédé     (le    fabrication d'anhydride sulfurique  par contact.  



       Dans    les brevets suisses n <B>135212,</B> en  date du 23 février 1927, n  136367, du 17  février 1928 et n  1.36365 -du 29 septembre  1927, on a décrit des procédés de fabrication       d'anhydride    sulfurique par contact, dans les  quels il est fait     usage    d'une masse de con  tact contenant une zéolithe et- dans     laquelle     le constituant     catalytiquement    actif est ou  bien chimiquement combiné dans la zéolithe,  ou bien physiquement associé à celle-ci.  La structure du corps échangeur de     bases    et       sii    constitution chimique étaient considérées  comme des facteurs essentiels du     succès    du  procédé.

   Aussi surprenant que cela puisse  sembler, la demanderesse a trouvé, mainte  nant, .qu'il est possible d'utiliser des masses  de contact, pour la fabrication -de l'anhydride  sulfurique par le procédé de contact, qui con  tiennent des silicates ou     polysilicates,    non  échangeurs de bases,     catalytiquement    actifs,         c''est-à-dire    contenant dans leur molécule     d-?s     éléments     catalytiquement    actifs. L'élément  ou les éléments     catalytiquement    actifs peu  vent former soit la partie basique du silicate,  soit être compris dans sa partie     acidique,    soit  même se trouver .dans les deux dites parties.

    Ces masses de contact sont très efficaces et,  bien qu'elles ne soient pas des corps     6chan-          geurs    de bases, elles paraissent partager bien  des caractères précieux -de masses de contact  qui contiennent des zéolithes. Cela ouvre un  très large champ, puisqu'il n'est pas néces  saire -de former les silicates à utiliser selon  la présente invention dans les conditions ri  goureusement contrôlées d'où résulte la pro  duction de     zéolithes.    Au contraire,

   on peut  préparer les silicates en solutions qui sont  neutres -ou acides à l'égard du tournesol et on  peut faire effectivement usage de bien des  éléments     catalytiquement        actifs    qui sont  si fortement     basiques    qu'ils sont difficiles à  introduire dans le noyau de zéolithes car,  bien     entendu;    ils forment aisément des silica-      tes, ou     poly    silicates, neutres d'un caractère  non échangeur de bases. Ce champ plus vaste  de choix constitue l'un des     avantages    clé     ïa     présente invention.  



  On peut faire usage clés silicates     ci-          dessus    définis sous la forme de composés non  dilués, mais on obtient les meilleurs résultats  en les diluant, de préférence, au cours de la  formation et dans tous les cas avant qu'ils  aient fait prise, avec des diluants clé divers  types tels, par exemple, qu'une matière po  reuse comme le     kieselgur,    la poudre de pierre  ponce, le     glaucosite,    etc., avec une matière       catalytiquement    active telle que du     liieselgur     imprégné, des corps échangeurs de bases si  liceux ou non siliceux,     catalytiquement        ao-          tifs,

      finement divisés, -et leurs dérivés, etc.  D'une manière générale, on peut faire usage,  avec de bons effets, .des diluants qui     oet    été  décrits dans les brevets antérieurs dont il a  été question ci-dessus. Il va cependant sans  dire que la présente invention est limitée à  l'emploi de masses de contact qui, lorsqu'elles  sont fraîchement préparées, contiennent au  moins un silicate     contenant    dans sa molécule  un élément catalytique-ment actif.

   Il est pos  sible de faire usage de l'un quelconque des  éléments     métalliques        -catalytiquement    actifs,  connus, qui sont capables de former des sili  cates, comme, par exemple, les métaux du  groupe du platine, les     éléments    métalliques  des .cinquième et sixième groupes du système  périodique, le fer, le manganèse, etc. Les si  licates de vanadium à divers stades d'oxyda  tion, tels, par exemple, que le silicate de     va-          na.dyle,    le silicate     vanadeux,    les silicates non  échangeurs de bases, complexes, contenant  du vanadium à divers stades d'oxydation,  etc., sont particulièrement efficaces.  



  Les silicates dont il est fait usage dans  la présente invention peuvent être préparés  clé diverses façons, par exemple, on peut les  préparer par la réaction de silicates solubles  avec un ou plusieurs     métallates    (sels dont l'a  nion contient un métal) ou avec     tin    ou plu  sieurs sels métalliques (sels qui ne     sontpas    des       métallatës,    ou tant avec des     métallates    que    des sels métalliques, les conditions étant,  bien entendu, telles qu'il ne se forme pas de  zéolithes.

   Les sels et les     métallates    peuvent  être des composés simples ou complexes, tels  que ceux contenant des groupes ammonia  caux, -des groupes     @cyanogénés,    etc. On peut  préparer de cette manière des silicates sim  ples dont un exemple est la réaction entre  du sulfate de     vanadyle    et du verre soluble:  ou bien, si l'on fait usage -de plusieurs     mé-          tallates    ou sels métalliques, ou     clés    deux, on  obtient des silicates complexes.

   C'est ainsi,  par exemple, que le produit de réaction de  verre soluble avec du sulfate de     vanadyle    et  du sulfate d'aluminium est un silicate com  plexe contenant tant de l'aluminium que du  vanadium tétravalent. Un tel     .silicate    com  plexe est fréquemment plus efficace .qu'un si  licate simple. On peut également préparer des  silicates complexes par la réaction de     troi     types de     constituants,    c'est-à-dire d'au moins  un silicate, au moins un     métallate    et au  moins un sel métallique, dans des conditions  telles qu'elles ne donnent pas naissance à.

    une     zéolithe:     On peut introduire des     diluant:    par l'une  quelconque des neuf façons clé procéder dé  crites dans le second des brevets antérieurs  susmentionnés à l'égard de catalyseurs     zéoli-          thiques,    et la .demanderesse préfère faire  usage -de masses de -contact aux silicates di  luées, car     elles'sont        habituellement    plus ef  ficaces que les non diluées dans lesquelles il  arrive fréquemment que la concentration des  éléments     catalytiquement    actifs est défavo  rable pour les meilleurs résultats.  



  Il va sans dire que les éléments qui sont  décrits dans le second et le troisième .des bre  vets antérieurs susmentionnés comme capa  bles d'entrer dans la formation de la     z4olithe     peuvent être utilisés pour former les silica  tes non échangeurs de bases utilisés dans le  procédé de la, présente invention.

   La présente  invention présente l'avantage supplémentaire  que bien des éléments énumérés dans des bre  vets dont il a été question ci-dessus, qui sont  difficiles à introduire dans la zéolithe sous      une forme non     échangeable,    exigeant dans  certains cas l'usage de     nomposés    complexes,  forment facilement des silicates non échan  geurs de bases simples ou complexes et qu'il  n'est normalement pas nécessaire de les intro  duire sous la forme de     composés    complexes.

    Bien que ce soit un avantage des silicates  employés selon l'invention que pour leur pré  paration, beaucoup de ces éléments peuvent  être introduits sous une forme plus simple  que dans le cas de masses de contact     zéoll-          thiques,    il va sans dire que cette     invention     n'est nullement limitée à     l'emploi-    de silica  tes pour la préparation desquels on a recours  à l'introduction -des éléments en question sous  la forme de composés simples et .que, au con  traire, cette introduction peut être faite sous  la forme de l'un quelconque des composés  complexes décrits dans les brevets susmen  tionnés.

   Il est parfois avantageux de faire  usage de     composés    complexes aisément     décoin-          posables,    ou. d'introduire des diluants que  l'on puisse facilement enlever ou détruire  soit par chauffage, lessivage ou d'autres  moyens, car par l'introduction -de tels, com  posés et leur destruction ou enlèvement. sub  séquent, on peut donner une plus grande  porosité aux silicates simples ou complexes,  ce qui augmente grandement leur efficacité.  



  Les catalyseurs aux silicates employés       rlans,    l, procédé selon la présente invention  non seulement sont, .dans bien des cas, plus  faciles à préparer que des catalyseurs aux       zéolithes    et offrent un plus large choix     ,l'é-          léments,    mais il partagent, dans un grande  mesure, les avantages de catalyseurs aux  zéolithes, tels qu'une résistance adéquate aux  hautes températures, une résistance mécani  que satisfaisante,     c-te.    Lorsqu'on fait usage  dans la présente     invention    de catalyseurs aux  silicates très dilués,

   il arrive parfois que la       quantité    de silicate n'est pas suffisante pour  donner une résistance mécanique aussi grande  qu'on le désire. Dans des cas de ce genre, il  est fréquemment désirable de laver le sili  cate :dilué avec une solution diluée d'un sili  cate soluble, tel que du verre soluble,     polar     effectuer une     silicification    superficielle qui    augmente la résistance mécanique de la masse  de contact, et l'emploi de telles masses de  contact ainsi traitées ultérieurement est, na  turellement, inclus dans la     présente    inven  tion.

   On peut également faire usage de com  posés des métaux alcalins et alcalino-terreux  pour donner un pouvoir     agglomératif    supplé  mentaire et pour doser le catalyseur.  



  Les silicates simples et complexes qui  constituent les nouveaux catalyseurs à em  ployer selon la présente invention peuvent,  dans certains cas,     subir        d-es    transformations  chimiques secondaires en raison d'un traite  ment de calcination préliminaire, tel que ceux  qui sont décrits dans les brevets antérieurs  susmentionnés et qui sont, bien entendu,  également applicables aux masses cle contact  à utiliser dans la présente invention; ou bien  ils peuvent être modifiés dans la catalyse  elle-même. Par conséquent, ces catalyseurs et  masses -de contact seront décrits ici comme du  moment où ils sont fraîchement. préparés,  ainsi que c'est l'habitude dans la nomencla  ture catalytique.  



  Lorsque les constituants     catalytiquement     actifs sont présents à la fois en     combinaison     chimique dans le silicate et dans le diluant,  ce dernier peut être siliceux ou non siliceux.  C'est ainsi que l'on peut faire usage, comme  décrit     ci-dessus,    de diluants contenant de la  matière finement divisée, .comme du     kiesel-          gur    imprégné de constituants     catalytique-          ment    actifs, ou que l'on peut     employ    or  comme diluants des corps échangeurs de ba  ses ou leurs dérivés qui sont     cataly        tiquem#--nt     actifs.

   Ces corps échangeurs de bases       catalytiquement    actifs dont on peut faire  usage comme     diluants    des silicates     cata-          lytiquement    actifs non échangeurs de bases,  peuvent     être    des zéolithes à deux constituants  ou à     constituants    multiples, ou bien ils peu  vent être des corps     échangeurs    de bases     lion     siliceux ou des dérivés, lessivés à l'acide, de       zéolithes    ou de corps ,échangeurs de bases  non siliceux.  



  On décrira ci-après plus en détail la pré  paration de masses de contact pouvant être      utilisées dans le procédé selon la présente in  vention.  



       Exemple   <I>1:</I>  On forme une bouillie de 16 parties d'a  cide vanadique avec 800 parties d'eau, on  l'acidifie avec de l'acide sulfurique, on la  chauffe à ébullition douce et on fait passer  à travers la solution chaude un courant  d'anhydride sulfureux jusqu'à. ce que l'on ob  tienne une solution bleue de sulfate de     va-          nadyle.    On dilue 140 parties de verre soluble  à base de potassium, à 39   Baumé, avec 500  parties d'eau et on y verse en un mince cou  rant la solution de sulfate de     vanadyle,    en  agitant vigoureusement, jusqu'à ce que     ia     mixture de réaction soit neutre ou légèrement  acide à l'égard du tournesol.

   Le produit       brun-gris    de la réaction, que l'on sépare de  la liqueur mère au moyen d'un filtre aspira  teur, constitue un     polysilicate    de     vanadyle.     On le sèche, de préférence à une température  élevée, .et on le casse en morceaux. Si la quan  tité de sulfate de     vanadyle    n'est pas tout à  fait suffisante pour rendre la mixture de  réaction faiblement acide à l'égard du tour  nesol, on ajoute la quantité nécessaire d'un  acide organique ou minéral tel que l'acide  acétique ou l'acide chlorhydrique.  



  On met dans un .convertisseur les frag  ments de silicate et on les traite pendant un  temps     considérable-avec    un courant de gaz de  brûleur à 3-5 % dilués, à 400-500   C, ce  qui fait qu'on obtient une bonne masse de  contact pour la fabrication d'acide sulfurique  par le procédé de contact.  



  Au lieu -de préparer un     polysilicate    non  dilué, il est préférable, et beaucoup plus éco  nomique, de faire usage d'un     polysilicate    di  lué dans lequel les diluants peuvent être       inertes,    être des     activateurs    ou être     eux-          mêmes        catalytiquement        actifs.    Un diluant  très utile et très bon marché est la terre de       "cellite"    ou     les    débris de     briques    de     cellitv;

  .     On peut introduire les diluants soit dans la  solution de sulfate de     vanadyle,    soit dans la       solution    -de verre soluble, ou partie, dans l'une    et partie dans l'autre. 60-80 parties de     dé-          bris    -de briques de     "cellite"    donnent une  masse de contact diluée très satisfaisante,  qui est très efficace pour la fabrication d'a  cide sulfurique par le procédé de contact.  



  On forme, de préférence, la masse -de con  tact, diluée, en morceaux     convenables    et il  est avantageux de la. mélanger avant forma  tion, avec des matières convenables ayant un  pouvoir     agglomératif    comme, par exemple,  l'oxyde ou l'hydroxyde de calcium, l'hy  droxyde -de potassium, le carbonate de po  tassium, le sulfate ou le bisulfate de po  tassium, le nitrate de potassium, le chlorure  de potassium, ou .d'autres composés des mé  taux alcalins ou alcalino-terreux, la quantité  de matière     agglomérative    ajoutée étant suffi  sante pour doter les granules formés de la ré  sistance nécessaire et     polir    les empêcher de  tomber en poussière.

   Ordinairement, l'addi  tion de 15 à 20% .du poids de     polysilicate    di  lué produira le résultat désiré.  



  On met dans un convertisseur les granu  les de la masse de contact diluée et on fait  passer sur la masse, à 400-550   C, des gaz  de brûleur ou des     gaz,d-e    fourneau de fusion  contenant de 4 à 9 % de     SO\    et débarrassés  de poussière; on obtient une conversion d'un       rendement        -de        SO''        en        S03        de        96    à     98.5%    .  



  Bien que les gaz doivent être débarrassés de  poussière, ils peuvent contenir les toxiques  bien connus pour catalyseurs au platine,  comme l'arsenic, etc.  



  On peut obtenir -des masses de contact  aussi efficaces par une façon -de procéder un  peu     :différente,    en transformant le sulfate de       vanadyle    en le     vanadite    de potassium brun  café au moyen d'une solution d'hydroxyde de       potassium    10 N. On mélange ensuite le     vana-          dite    de potassium avec le verre soluble et on  introduit. graduellement de l'acide sulfurique  2     N,    en agitant vigoureusement, jusqu'à     ee     que la mixture de réaction soit neutre ou  acide à l'égard du tournesol.

   Il est     ava.nia-          geux    de permettre à la     mixture    de réaction  de réagir pendant une heure ou deux dans  des conditions qui soient alcalines ou neutres      à l'égard de la     phénolphtaléine,    en     mainte-0          nant    la température à environ<B>50-60'</B> C.

    Après refroidissement, on ajoute le restant       cl'acide    e sulfurique pour rendre     la'mixture    de  réaction neutre ou faiblement acide à l'égard  du     tournesol    et on sépare immédiatement, en  la pressant, le produit de     réaction    de la       liqueur-mère.    On casse le tourteau séché en  morceaux convenables; il est riche en canaux  capillaires qui augmentent l'efficacité cata  lytique. -de la masse.  



  La, terre de     "cellite"    dont on fait usage  peut, si on le désire, être imprégnée de 5 à  10% de son poids .de sels des acides de mé  taux des cinquième et sixième groupes du  système périodique, comme le     vanadate    d'a  luminium, le     vanadate    -de -cuivre, le     vanadate,     le     tungstate    d'argent, etc.; ou bien, au lieu  d'employer de la terre de     "cellite"    imprégnée,  on peut faire usage de zéolithes ou     corps     échangeurs -de bases, ou leurs dérivés,     cata-          lytiquement    actifs ou inactifs, par exemple:

    de corps échangeurs     Ue    bases dans lesquels  les bases     échangeables    ont été remplacées  par des oxydes comme l'oxyde de fer, l'oxyde  (le cobalt, l'oxyde     @de    nickel, l'oxyde de cui  vre, l'oxyde d'aluminium et ainsi de suite.  Des corps échangeurs de bases qui ont réagi  avec des anions tels que ceux contenus dans  l'acide sulfurique ou des acides des métaux  des cinquième et sixième groupes pour for  mer     .ce    qu'on appelle des corps ressemblant à  des sels,     constituent    une autre classe -de di  luants efficaces.

   Des -corps échangeurs de  bases     catalytiquement    actifs ou inactifs, les  sivés à l'acide, siliceux ou non siliceux,  sont également des diluants très efficaces et  peuvent être préparés en traitant les corps  échangeurs de bases, après qu'ils -ont été for  més et on fait prise, avec un acide dilué,  comme l'acide .chlorhydrique, azotique ou  sulfurique à 2-3%. Cela a pour résultat  d'enlever une partie ou la totalité des bases  alcalines échangeables et il en résulte des  diluants qui sont très poreux et très     riches     en canaux -capillaires     effectuant    une augmen  tation très désirable -de l'efficacité catalyti  que des compositions.

      <I>Exemple 2:</I>  On forme une bouillie de 22 parties (le       vanadate        -d'ammonium    avec 300 parties     d'eau     et on la transforme en le     vanadite    soluble  à l'eau,     bleu    verdâtre, en     faisant    passer un       vigoureux    courant d'anhydride     sulfureux    à  travers la suspension à     90-100'    (.,'.

   On  ajoute ensuite suffisamment de     10H,    10N  jusqu'à -ce qu'on     obtienne    le     vanadite    de po  tassium     brun-café    et on mélange alors cette  solution avec 140     parties    de verre soluble à  base de potassium ou .de sodium à 39 "  Baumé, diluées avec     300--1()(_)    parties     d'eau.     On ajoute à la mixture des matières riches  en     Si02,    comme le     glaucosite    (résidu, traité  à l'acide, de grès vert), la.     terre    à     diatomAcs,     des menus fragments de     silicates    naturel;

   ou  artificiels, soit échangeurs de bases ou     n@)ii          échangeurs    de bases,<B>de,</B>     corps    échangeurs de  bases non siliceux ou des zéolithes,     dilL_it'#s     avec des matières riches en silice ou en oxyde       d'aluminium,    la quantité ainsi ajoutée étant  de 60-80 parties. A la     suspension,    on     ajoui:e          après    cela une solution à     20-31)%    de sul  fate d'aluminium ,jusqu'à ce que la mixture  de réaction soit. neutre ou acide à     l'égard    (lu  tournesol.

   Après avoir séparé le     tourl.cau    de  la liqueur-mère de la     manière    usuelle, on     le     sèche d'abord à 100   C, puis on le     chauf!'e     dans un courant d'air à     .t00-500    " C.     de        Pr(-          férence    en présence de gaz contenant     SO\.     après quoi on le casse en     morceaux    convena  bles; c'est une masse de contact très     efficace     pour la fabrication d'acide     sulfurique    par  le procédé de contact.  



  On peut montrer l'efficacité de la masse  ,de contact en mettant dans un tube de 35 à  38 millimètres de     diamètre        2f)0-301)    cm' (le  la masse et en faisant. passer sur celle-ci des  gaz à 5-9 % de S02, à 400--550   C,     -n     contrôlant convenablement la température     @t     en le faisant varier     graduellement,    dans la  direction de l'écoulement des gaz. de 5511 à  400   C.

   On obtient facilement des rende  inents de conversion de 96 à.<B>98,5%.</B> Si les  fragments de masse de contact ne     possèdent     pas une résistance physique suffisante. on  peut les traiter, avant calcination, avec di-      vers adhésifs comme le verre soluble ou     .des     composés des métaux alcalins ou     alcalino-          terreux;    les quantités d'adhésifs ainsi ajou  tées, allant de 5 à 15 % du poids de la masse  -de contact diluée. Ce renforcement peut être       avantageusement    effectué, par exemple, en  lavant le tourteau fraîchement préparé avec  une solution de verre soluble à base de po  tassium, passablement diluée.  



  Le constituant     vanadite,    dans la masse de  contact décrite ci-dessus, peut être partielle  ment remplacé par d'autres     métallates    :et le  constituant sel métallique, à savoir le sulfate  d'aluminium, peut être partiellement ou en  tièrement remplacé par une ou plusieurs au  tres solutions ,de sels métalliques, tels que des  sels de titane, de zirconium, de thorium, de  zinc, de cadmium, de     cuivre,    d'argent, de  chrome, ide fer, de cobalt, de nickel, de cé  rium, de platine, -de bismuth, de     vanadium,     etc.  



       Exemple   <I>3:</I>  On prépare les     solutions    suivantes:  <B>10</B> On fait dissoudre 20 parties de     V20'     dans l50-200 parties d'eau .contenant envi  ron 17 parties de     KOH    à<B>90%.</B>  



  20 On fait dissoudre dans 150-200 par  ties d'eau 6 parties de sulfate de cuivre avec  5 molécules d'eau et on ajoute une solution  concentrée d'ammoniaque jusqu'à ce qu'on  obtienne une solution bleue, claire, de     cupro-          ammonium.     



  <B>30</B> On fait dissoudre 2 parties d'oxyde  d'aluminium, dans l'état fraîchement préci  pité, dans une quantité correspondante de  solution de     KOH,    2 N, pour obtenir de l'alu  minate  &  potassium.  



  40 On dilue 80 parties de verre soluble  à base de     potassium,    à     33      Baumé, avec 2 vo  lumes d'eau et on ajouté de l'ammoniaque à  <B>10%</B> jusqu'à ce que le précipité nuageux qui  se forme d'abord soit de nouveau dissous.  



  5  On fait ,dissoudre dans 400 parties  d'eau 60 parties de sulfate ferrique avec 9  molécules d'eau.  



  On verse ensemble les solutions d'alumi  nate et de     cuproammonium    et on ajoute, afin    de former une suspension, 80--90 parties de  terre d'infusoires non broyée. On mélange en  suite les solutions de     vanadate    et de verre so  luble et on- les ajoute en agitant     vigourcuse-          ment,    puis on     verse,    en un mince courant, la  solution de sulfate ferrique.

   On rend ensuite  la mixture de réaction neutre ou     légèrement     acide à l'égard du tournesol, si c'est néces  saire au     mayen        d'aci.de    sulfurique 2 N, puis  on sépare le produit obtenu de la     liqueur-          mère    par un filtrage et un pressage suivis  d'un lavage avec environ 300 parties d'eau,  par portions.

   Le tourteau de filtre est ensuite  séché à une température élevée, à 150   C,  par exemple, et cassé en petits morceaux     qui     constituent une masse de contact contenant  un mélange de silicates complexes de vana  dium,     @de    cuivre, d'aluminium et de fer, dilué  avec     @de    la terre d'infusoires broyée.  



  On met la masse de contact dans un con  vertisseur     convenable,    on la -calcine avec (le  l'air à 400-500   C, puis on la, soumet à un  traitement préliminaire, à environ 450   C,  avec des gaz -de brûleur dilués. Après ce trai  tement préliminaire, la masse convient pour  la, fabrication d'acide sulfurique par le pro  cédé de contact et on en fait usage avec des  gaz ;de brûleur à 6-7     %",    .la température allant  de 500-550   C, dans les portions de la  masse de contact pour la plus grande vitesse  de réaction, à des températures plus basses,  descendant jusqu'à 400   C, dans d'autres por  tions pour le meilleur équilibre.  



  Au lieu de faire usage du     cuproammo-          nium        susdécrit,    on peut employer d'autres  composés complexes et substituer à l'alumi  nate     d'autres        métallates.    On peut également  remplacer, partiellement ou entièrement, le  constituant sel métallique par des quantités  correspondantes d'autres sels métalliques,  spécialement ceux des métaux lourds.

   Il est  également possible de remplacer le     vanadate     de potassium par une quantité correspon  dante de     vanadite    de potassium ou en partie  par des quantités correspondantes de     métal-          lates    de potassium des acides de métaux des  cinquième et sixième groupes du système pé-           rio.dique,    comme le     tungstate,    le     tantalate,    le       molybdat.e,    etc.  



  <I>Exemple I:</I>  On fait     dissoudre,6,6    parties d'oxyde d'a  luminium fraîchement précipité .dans une so  lution d'hydroxyde de potassium N afin<B>(le</B>  former     l'aluminate-de    potassium correspon  dant. A cette solution, on     ajoute    des diluants  riches en<B>S10\,</B> tels que -des silicates broyés,  du quartz, des roches broyées, des tufs, de la  lave     -d'origine    volcanique ou     éruptive,    des zéo  lithes naturelles ou artificielles, -du     kiesel-          gur,des    débris de briques de     ,;cellite",    etc..

   Si  l'on fait usage -de débris de briques de     ,;cel-          lite",    la quantité qui convient est envi  ron 80-100 parties. D'autres diluants  convenables sont la     SiO2    colloïdale, ou     des     acides siliciques complexes obtenus en lessi  vant des silicates échangeurs de bases, natu  rels ou     artificiels,    avec des acides     minéraux     dilués, afin d'enlever tant les bases     échangea-          bles    que la portion basique non échangeable  de la molécule.

   Dans certains cas, on peut  ajouter .environ     5-10%'    de corps échangeurs  de bases naturels     ôu    artificiels, lessivés avec  des acides minéraux dilués seulement au  point d'enlever une partie -ou la totalité des  bases échangeables. Ces matières ont un pou  voir     adsorplif    très élevé et dosent la masse  de :contact pour la meilleure efficacité.

   A la  suspension d'aluminate on ajoute rapidement,  en agitant vigoureusement, 150 parties de  solution de verre soluble à base de potassium,  à 33   Baumé, diluée avec 100 parties d'eau  et l'on ajoute en un mince courant une so  lution de sulfate de     vanadyle,    préparée de     1a     manière usuelle en réduisant     VZO',    jusqu'à  ce que la     mixture    de réaction devienne neu  tre ou faiblement acide à l'égard du tourne  sol. On obtient un     polysilicate    gélatineux di  lué ou l'on produit un mélange de     polysilica-          tes    contenant -de l'aluminium, du silicium     ët     <B>V'05</B> dans la molécule complexe.

   On enlève  la liqueur-mère -de la façon habituelle et l'on  sèche à une température élevée le tourteau  obtenu, que l'on casse ensuite en morceaux       eonvenables..    On peut changer à volonté l'or-         dre    dans lequel     '18s    trois classes de consti  tuants sont amenées à réagir, ou faire varier  les quantités de constituants     dans    des limites  considérables tout en obtenant ,des masses de  contact d'une efficacité similaire. On peut  également remplacer l'oxyde d'aluminium  par des     métallates    contenant du vanadium,  du tungstène, .du molybdène, du plomb, du  zinc ou du cadmium.

      On calcine d'abord avec de l'air à  400-500   C, les granules de la masse de  contact décrites     ci-dessus,    puis on les dilue  avec des gaz de brûleur contenant environ  3     %    de S02. Après ce traitement, -on fait pas  ser     sur    la masse des gaz .de brûleur, débar  rassés de poussière, à<B>7-8%,</B> contenant des  toxiques pour les masses de contact ordinai  res au platine, et une fabrication très     effi-          cace,d'acide    sulfurique par le procédé     -de    con  tact s'établit à des températures de 420 à  550   C.

   La distribution de température à  travers le catalyseur doit être telle     qu'uae     température élevée, .de 500-550   C, est  maintenue dans la portion de la masse de  contact qui vient d'abord en contact avec les  gaz concentrés .contenant     S02,    et où la vitesse  maximum de réaction est désirée, tandis que  les dernières portions de la masse de contact  sont maintenues à une température<B>de</B>  400-420   C, ce qui favorise le meilleur  équilibre de réaction.    Il y a parfois avantage à ajouter aux di  luants décrits dans les exemples 2-5 % d'un  oxyde métallique tel     .que    l'oxyde .de fer,  l'oxyde de titane ou l'oxyde de cuivre.

   Cette  addition semble augmenter     l'efficacitë    cata  lytique de la masse de contact aussi bien     que     sa résistance à une haute température.    <I>Exemple 5:</I>    On transforme 6 parties de     V20\    en     va-          naclate        @de    potassium au moyen de     KOH,        "#,     et on y ajoute 150 parties de solution de  verre soluble à base -de potassium, à 33    Baumé, diluée avec 300 parties .d'eau.

   Après  cela, on introduit, dans la mixture 60-80      parties de terre à diatomées non broyée et on  ajoute en un mince courant, en agitant vigou  reusement, une solution de 40 parties de sul  fate d'aluminium, avec 18 molécules d'eau,  dissoutes dans 250 parties d'eau. Après que  la solution de sulfate d'aluminium a été ajou  tée, la mixture de réaction doit être neutre ou  alcaline à     l'éz;ard    de la     phénolphtaléine.    On  peut arriver à cela en faisant varier la quan  tité     .de    sulfate d'aluminium employée ou en  a joutant un peu d'acide sulfurique N. On  sépare ensuite le produit de réaction -de la  liqueur-mère de la façon usuelle, on le lave  avec .deux fois la. quantité de liqueur-mère  obtenue, on le sèche et on le réduit en poudre.

    C'est un     corps    échangeur de bases non sili  ceux et -on l'emploie comme diluant dans un  silicate de     vanadyle    en ajoutant la poudre à  l'un des constituants, avant réaction. Ainsi,  par exemple, on met en suspension 6 parties  de     V20'    .dans 300 parties d'eau pour. former  une bouillie, et on acidifie avec 2-3 par  ties d'acide sulfurique concentré, puis on ré  duit en le sulfate de     vanadyle    bleu au moyen  de gaz     contenant        S02    .que l'on fait passer  dans la solution à une température d'ébulli  tion.

   On mélange avec la zéolithe     catalyti-          quement    active, pulvérisée, décrite dans le  premier paragraphe de l'exemple, 54 parties  d'une solution de verre soluble à     33      Baumé,  diluée avec<B>300</B> parties d'eau, puis on verse  la suspension dans la solution .de sulfate de       vanadyle,    en agitant vigoureusement, ce qui  précipite un silicate de     vanadyle.    On doit  prendre soin qu'après que toutes les solutions  ont réagi, la mixture résultante soit neutre  ou acide à l'égard .du tournesol, ce que l'on  obtient, si c'est nécessaire, à l'aide de petites       quantités    d'acide sulfurique.

   On calcine à       .100      C la masse mixte obtenue, on la traite  d'abord avec -des gaz contenant     S02    dilués,  pendant une courte période de temps, puis  on fait passer dessus, à des températures -de  420-500   C, des. gaz :de brûleur à 7-9     %    ;  il s'établit alors une fabrication très efficace  d'acide sulfurique par le procédé de contact.  Le rapport des     gaz,de    brûleur à la masse de  contact est de préférence 1500 volumes de    gaz -de brûleur à 7-9     I,    à, l'heure pour 2.00  volumes de masse de contact.  



       Exemple   <I>6:</I>  On fait dissoudre 15 parties -de     V20'    et  4 parties de MO' dans 300 parties .de     KOH     contenant assez de     KOH    pour transformer  les oxydes en les     métallates    de potassium ,cor  respondants. On     brasse    dans la solution envi  ron 90 parties de terre de     ,;cellite"    ou, si on  le .désire, on peut les remplacer, en     partie    ou  en totalité, par d'autres diluants, comme cela  a été .décrit dans les exemples précédents.

   On  chauffe la     suspension    à 80-90   C et on la  rend graduellement et faiblement acide au       congo    en faisant usage     -d'acide    sulfurique  2 N.     V20'    et     WO'    sont précipités dans le di  luant. Or,     sèche    ensuite la mixture et on la  broie.  



  On mélange 40 parties de solution (le  verre soluble à base de potassium à     33       Baumé, avec une solution     contenant    2 parties  de     A120'        transformées    en l'aluminate de po  tassium par la quantité correspondante de       KOH    5 N . Immédiatement après avoir mé  langé .ces     d@#ux    solutions, on pétrit la mixture  avec la terre de     "cellite"    imprégnée jusqu'à  ce que la mixture pétrie soit neutre à l'égard  du tournesol.

   On obtient ainsi une masse  contenant .des silicates complexes, car une  partie de     V20'    et -du     WO',    dans leur état  fraîchement précipité, réagit avec le verre  soluble, de sorte qu'on obtient une mixture  de silicates contenant du vanadium, de l'alu  minium et .du tungstène. On forme la masse  humide en morceaux que l'on sèche à .des  températures élevées en présence de gaz con  tenant     S02.    Après cela, on calcine à l'air les  masses de contact qui sont alors prêtes à être  employées pour la fabrication d'acide sulfu  rique par le procédé de contact, où elles  donnent un haut     rendement    de conversion soit  avec des gaz de brûleur ou avec des     gaz    de  fourneau de fusion.

           Eï,emple   <I>7:</I>  On dilue 40--50 parties de     SiO2    sous la  forme d'une solution de verre soluble à base      de potassium ou de sodium, à 33   Baumé,  avec 20 volumes d'eau et on les mélange avec  des matières riches en     SiO2,    telles que celles  mentionnées dans les exemples précédents, jus  qu'à ce qu'on obtienne une suspension qui  soit juste     remuable.    On fait dissoudre 18  parties de     V20'    dans suffisamment de solu  tion (le potasse caustique à 10-20%, de fa  çon à obtenir du     vanadate    de potassium.

   On  réduit 18 autres parties de     V20'    en le     sulfaie     (le     vanadyle    bleu par     @de    l'anhydride sulfuri  que dans une suspension     aqueuse    acidifiée  avec de l'acide sulfurique. Environ 200-300  parties d'eau sont nécessaires,     l'excès    de     S02     étant enlevé par ébullition.

   On verse     ensuite     ensemble le verre soluble et la mixture de va  nadate .de potassium et on y fait couler, en  agitant vigoureusement, la solution de sul  fate de     vanadyle    en prenant soin que la  mixture -de réaction devienne finalement neu  tre à l'égard     @du    tournesol. Si c'est néces  saire, on peut régler la neutralité à l'égard  du tournesol par de petites additions d'hy  droxyde de potassium N ou d'acide sulfuri  que N.

   On obtient une gelée d'un vert sale  que Won filtre avec aspiration, qu'on lave avec  un peu d'eau, puis qu'on sèche et qui cons  titue un silicate complexe, ou mélange de si  licates .contenant ,du vanadium tétravalent et       pentavalent    dilué avec -des matières qui sont  riches en     SiO2.     



  On soumet la masse de contact à un trai  tement préliminaire, comme     -décrit    dans les       exemples    précédents, et elle est alors prête à  être employée pour la fabrication d'acide  sulfurique par le procédé -de contact où elle  donne des     rendement        -de    conversion de     S02     en S03 s'élevant à     96-98,5    %.

   La terre de       ,;cellite"    ou autre diluant,     que    l'on incor  pore à la solution de verre soluble peut éga  lement être imprégnée avec 3-5 % d'oxydes  de fer, de nickel, d'argent,     de    -cuivre, de co  balt, d'aluminium ou d'autres oxydes que  l'on peut précipiter dans le diluant en par  tant .de solutions de leurs sels, au moyen  d'alcali dilué. Les diluants peuvent aussi  être imprégnés de     vanadates,        molybdates,          tungstates,    chromates ou     tantalates    métalli-         ques,    et     spécialement    de ceux des métaux pe  sants.

   Une imprégnation de 3-5 % de ces       métallates    donne un très bon résultat. L'im  prégnation du     diluant    augmente l'efficacité  catalytique de la masse de contact complexe  car les diluants sont, au moins en partie,     ca-          talytiquement    actifs.  



  <I>Exemple 8:</I>  On peut enrober de silicates ou     polysili-          cates    non échangeurs .de bases,     catalytique-          ment    actifs, ou de masses de contact les con  tenant, comme décrit dans les exemples pré  cédents, des fragments porteurs massifs d'o  rigine naturelle ou artificielle tels, par exem  ple, que des matières riches en     silice    comme  des fragments de quartz, pierres à filtrer       quartzeuses,    grès, fragments de     silicagel,     pierres à diatomées, briques de     ,;

  cellite",    frag  ments de pierre ponce, ou fragments de sili  cates     naturels    ou artificiels, qu'ils soient  échangeurs de bases ou non échangeurs de  bases, spécialement des zéolithes .diluées avec  des matières riches en silice. D'autres por  teurs massifs peuvent être des corps échan  geurs de bases non siliceux ou leurs déri  vés, dilués ou non dilués, des fragments de  porcelaine non vernie, des granules métalli  ques tels que granules d'aluminium ou gra  nules d'alliages métalliques comme le ferro  silicium, le     ferrovanadium,    le     ferrochrome,          ete.,    spécialement lorsque leurs surfaces ont  été rendues rugueuses.

   L'enrobage des por  teurs     maissifs    peut se faire après que la     masse     de contact a été formée, ou bien l'on peut  faire réagir la masse de contact. sur les frag  ments porteurs     et    la former in situ. Ainsi,  par .exemple, on peut d'abord enrober les  fragments porteurs des constituants ayant -des  réactions alcalines, telles que des solutions de  verre soluble et de     métallate,    puis pulvériser  dessus les     constituants    sels métalliques en  quantités suffisantes pour produire des sili  cates non échangeurs -de bases. Si on le dé  sire, on     peut    inverser l'ordre dans lequel on  applique ainsi les     constituants.     



  Au lieu de faire usage -de fragments por  teurs massifs     naturels,    on peut préparer .des      fragments artificiels en formant des granules  de     "cellite",    de     kieselgur,    de quartz     pulvé:

            risé,    de     silicagel,    de silicates pulvérisés di  lués ou non dilués,<B> & </B> -corps échangeurs de  bases non siliceux ou leurs .dérivés, en faisant  usage de divers adhésifs tels que verre solu  ble, sels de métaux     alcalins,    etc., les granu  les, après formation, étant bien entendu cal  cinés, de préférence à 400-500   C, et, si on  le désire, soumis à un traitement subséquent  avec un acide inorganique comme l'acide  sulfurique, l'acide chlorhydrique, etc.  



  Une autre matière     initiale    pour la prépa  ration de fragments porteurs     artificiels    est,  par exemple, le grés vert préalablement traité  avec un alcali ou du verre soluble, de di  verses façons, puis hydraté afin d'améliorer  les propriétés physiques de la matière, spé  cialement son pouvoir     absorptif.    On peut 'ob  tenir une autre masse porteuse volumineuse  en traitant     certaines    formes -de silice, comme  la terre à diatomées, avec de la chaux en pré  sence d'eau, avec ou sans emploi de chaleur.  D'autres oxydes ou     hydroxydes,    tels que  ceux -de strontium, peuvent remplacer la  chaux.

   On sèche le produit et on le pulvé  rise, ou bien on peut calciner ou     .carbonater     la masse humide. Par ce procédé, on produit  une     quantité        convenable    de     métasilicate    clé  calcium hydraté qui est un     diluant.    très utile  pour la préparation de silicates, ou     polysili-          cates,        catalytiquement        actifs    et de leurs mé  langes propres à être employés dans la fabri  cation d'acide sulfurique par le procédé de  contact,

   et c'est aussi une     excellente    ma  tière pour la préparation de fragments por  teurs massifs .dont il est fait usage dans les  masses de contact .décrites dans le présent  exemple.  



  Afin .d'obtenir un bon enrobage des frag  ments porteurs, on peut faire usage de divers  adhésifs tels, par exemple que des sels alca  lins, neutres ou acides     -les    métaux formant  des     alcalis,    comme, par exemple, sulfates,  chlorures,     nitrates,    verre soluble, carbonates,  hydroxydes, etc. Le rapport de - silicates et       polysilicates        eatalytiquement    actifs aux  fragments porteurs est d'environ 1     kilo    de si-         licates        clilués    ou non dilués pour 10 litres de  fragments porteurs de la grosseur d'un pois.

         Exemple   <I>9:</I>  On traite des fragments clé quartz de     la,     grosseur d'un pois avec une solution à envi  ron 20% d'acide fluorhydrique afin de mor  dre la surface des fragmenta ou, si on le,dé  sire, on peut chauffer les fragments de       quartz    avec de l'hydroxyde -de     potassium     concentré ou avec un mélange d'hydroxyde  de potassium concentré et d'aluminates  comme     l'aluminate    -de potassium,     aprés.    quoi  o 'limine par lavage l'excès     d'aleali.    Ce  n e<B>Zn</B>  traitement a un effet similaire à la morsure  par l'acide fluorhydrique.  



  On enrobe ou enduit ensuite les fragments  porteurs des silicates     catalytiquement    actifs,  non échangeurs de bases, .décrits dans les  exemples précédents, le rapport de revêtement  étant une partie en poids d'enduit pour 10  volumes de fragments porteurs.  



  On peut former les silicates     catalytique-          ment    actifs sur les     fragments    in situ, ou bien  on peut pulvériser les silicates préalablement  formés et en enrober les fragments avec  l'aide de substances adhésives telles que     (le     petites quantités de verre soluble, de sulfate  de magnésium, de     KOH,    -de     NaOH,    etc.  



  On obtient un corps     silicaté        catalytique-          ment    actif dont on peut faire usage sur les  fragments porteurs décrits ci-dessus en trans  formant 2 parties -de A1203 en aluminate de  potassium au moyen d'une     solution        cl'hy-          droxyde    de potassium N, en mélangeant  cette solution avec 40     parties        d,e    verre solu  ble à basse de sodium dilué avec 5     volumes     d'eau,

   puis en y versant une     solution    mélan  gée     contenant    4 parties d'acide     ehloroplati-          nique,    sous la forme d'une solution à 2-5%,  et 15 parties de sulfate ferrique avec 9 mo  lécules d'eau. Pendant qu'on verse la solution  acide     chloro-platinique-sulfate    ferrique, on  doit. agiter vigoureusement la mixture de  réaction et prendre soin que les corps     silica-          tés    résultants, contenant aluminium,     Si02,     fer et platine, soient neutres à l'égard du      tournesol.

   Si c'est nécessaire, on peut, régler  la     neutralit-    le la manière usuelle.     C'_        -U-          barrasse    le corps     silicaté    de la liqueur  par pressage et lavage, puis on le sèche. Au  lieu -de préparer un silicate non .dilué comme  décrit     ci-des..is,    on peut préparer un     silica#     dilué contenant des matières diluantes qui  sont riches en silice,     .comme    la     SiO2   <B>col-</B>  loïdale, le     kieselgur,    etc.

   L'enrobage des  fragments se fait comme décrit dans les  exemples précédents .et, quand on fait usage  clé silicates .dilués, il y a une notable écono  mie de     platine.    Après que la masse de con  tact finale a été soumise au traitement pré  liminaire usuel avec des gaz de brûleur à  environ 3     %,    à environ 450       C,    .elle se     trouve     transformée en une masse de contact au pla  tine, très efficace pour la fabrication d'acide  sulfurique par le procédé de contact.  



  <I>Exemple 10:</I>  On obtient une autre classe de masses de  contact efficaces en incorporant des silicates       catalytiquement    actifs non échangeurs de  bases à des corps échangeurs de bases     cataly-          tiquement    inactifs, ou leurs dérivés ressem  blant à des sels, ou leurs dérivés lessivés.  Les corps échangeurs de bases peuvent être  siliceux ou non siliceux .et, dans le cas (le  corps siliceux, ils peuvent être à ,deux     consti-          tuants    ou à constituants multiples.

   En plus  des silicates non échangeurs de bases     cata-          lytiquement    actifs, les corps échangeurs clé  bases peuvent également contenir des -consti  tuants     catalytiquement    actifs. On prépare  une masse de     eontact    représentative de ce  type en formant une bouillie -de 16 parties       ,l'acide        vanadique    avec 300 parties d'eau,  acidifiée avec -de     l'acide    sulfurique, et en ré  duisant en le sulfate -de     vanadyle    bleu de la  manière usuelle. On divise ensuite la solu  tion de sulfate de     vanadyle    en deux parties  clans le rapport de 1 : 2.

   On traite avec pré  caution un tiers de la solution     bleue    avec une  solution concentrée de potasse caustique jus  qu'à ce qu'on obtienne une solution     brun-          café    de     vanadite    de potassium.

   On mé  lange celle-ci avec une solution     contenant       140 parties de solution .de verre soluble à  base de potassium, à 36   Baumé, diluée avec  500 parties d'eau et l'on ajoute en un     mince          courant    et en agitant vigoureusement, les deux  tiers restants de la solution de     sulfate    de     va-          nadyle;

      la masse se solidifie d'abord en une  gelée d'un vert gris et, si l'on continue à  remuer, se transforme en agrégats granulai  res facilement     filtrables.    On doit prendre  soin que la mixture soit neutre ou légèrement  acide à l'égard du tournesol, une quantité       suffisante    d'acide sulfurique dilué étant  ajoutée pour obtenir qu'il en soit ainsi. On  laisse reposer la mixture de réaction, on la  décante, on la presse, on la lave à l'eau, on la  sèche, et finalement, on la broie. Au lieu de  silicates non dilués, on peut préparer un sili  cate dilué en faisant usage de matières di  luantes, par exemple: de matières riches en       Si02.     



  On peut incruster la composition de  masse de contact     susdécrite    clans des zéolithes  à .deux     constituants    ou à constituants multi  ples, ou dans des     corps    échangeurs de bases  non siliceux, en procédant, par exemple; de  la. façon suivante:  On dilué 90 parties de solution de verre  soluble à base de potassium, à 33   Baume.  avec     4--5    volumes d'eau et l'on ajoute les  corps     silicatés        susdécrits    ainsi que de la. terre       d'infusoires    non broyée, en remuant vigou  reusement la suspension afin d'obtenir une  distribution uniforme.

   La quantité de di  luants ajoutée .doit être telle que la     mixture     reste juste     remuable.    On fait dissoudre dans  200 parties d'eau 60 parties de sulfate d'a  luminium contenant 18 molécules d'eau et on  ajoute suffisamment d'ammoniaque à 20  pour précipiter l'hydroxyde d'aluminium.  Après l'avoir débarrassé de la liqueur-mère,  on le lave à l'eau, et on le traite avec suffi  samment ,d'une solution d'hydroxyde de po  tassium 2 N pour le transformer en l'alumi  nate de potassium correspondant. On verse  ensuite la solution d'aluminate dans la. solu  tion de verre soluble contenant les corps     sili-          catés    et on chauffe la mixture jusqu'à envi-           ron    60   C.

   On obtient un précipité gélati  neux que l'on peut augmenter par l'addition  graduelle d'acide sulfurique 2 N. Toutefois,       on.        -doit    arrêter     l'addition    de l'acide à un point  où la réaction reste faiblement alcaline à l'é  gard de la     phénolphtaléine,    ce qui donne une  zéolithe. Naturellement, si on le désire, on  peut augmenter la     quantité    d'acide jusqu'à  ce     que    la     réaction    soit neutre ou légèrement  acide à l'égard du tournesol, auquel cas on  obtient un     polysilicate    non échangeur de ba  ses.

   On presse le précipité gélatineux, on le  lave avec 200 parties d'eau par petites por  tions, on le sèche puis on le     .casse    en frag  ments. On place     2-4    volumes de la masse  de contact ainsi produite dans un convertis  seur pour fabrication d'acide sulfurique par  contact -et on fait passer sur la masse de con  tact, à des températures allant de 420 à  550   C, 1000 à 2000 volumes à l'heure de  gaz de brûleur à 7-9 % ou de gaz de four  neau de fusion; on obtient un haut pourcen  tage de conversion de     SOz    en S03.  



  On peut obtenir une autre masse de con  tact de ce type en     introduisant    les silicates,  comme diluants, dans des corps échangeurs  de bases non siliceux,. ou vice-versa. On pré  pare de la façon suivante un corps échangeur  de bases non siliceux, dilué, que l'on incor  pore à -des silicates non échangeurs de bases       catalytiquement    actifs.  



  On transforme 10 parties -de     A1'''03    fraî  chement précipitée en aluminate .de potas  sium au moyen d'une .solution d'hydroxyde  de potassium 2 N, en prévoyant un excès de  <B>10%</B> d'alcali. On brasse dans la solution d'a  luminate 70-80     parties,de    débris de     briques     de     ,;cellite"    ou d'autres matières résistant aux  acides, broyées.

   Après cela, on prépare une  solution en faisant dissoudre dans environ  200     parties    d'eau 66,6     parties    -de sulfate     @d'a-          luminium    avec 18 parties d'eau, puis on  ajoute la solution de sulfate d'aluminium à  la solution     d'aluminate    par petites portions  en agitant vigoureusement et en prenant soin  que la mixture de réaction reste     fortement     alcaline à l'égard du tournesol. On débarrasse  de la     liqueur-mère    le produit de réaction ob-    tenu, on le sèche à des températures inférieu  res à<B>1.00</B>   C et on le pulvérise; il constitua  un excellent diluant.

   Si on le désire, on peut  lessiver le corps échangeur de base non sili  ceux avec .de l'acide pour enlever une partie  ou la totalité -de     l'alcali    échangeable; ou  bien, au lieu de produire un :corps échan  geur -de base, on peut permettre à la. réac  tion     _de    devenir neutre ou légèrement acide  à, l'égard du tournesol, auquel cas on obtient  un oxyde d'aluminium, non échangeur de  basses, complexe. On peut introduire ces di  luants dans les silicates     catalytiquement    ac  tifs, comme cela a été     décrit    dans les exem  ples précédents.  



  Au lieu .de faire usage, comme diluant,  d'un corps échangeur de bases non siliceux,  on peut incruster dedans, soit durant, soit  après sa formation, ,des silicates     catalytique-          ment    actifs.  



  Une autre modification consiste à hydra  ter des fragments du corps échangeur de ba  ses non siliceux décrit ci-dessus et à rempla  cer une partie de l'alcali échangeable par des       oxyd    es de métaux lourds, en employant, par  exemple, .des solutions à     5-10%    .de nitrate  d'argent, de sulfate     ferrique,    de sulfate de  cuivre, etc.

   Après ce traitement, on peut en  core traiter le -corps échangeur .de bases avec  des solutions à<B>5-10%</B> de     métallates    des  cinquième et sixième groupes du     système    pé  riodique, en particulier avec des solutions de       vanadates    comme le     vanadate    d'ammonium  et le     vana@date    de potassium. On obtient ce  qu'on appelle un corps ressemblant à un sel  du corps échangeur de bases non siliceux et  on le transforme en un catalyseur     .catalyti-          quement    efficace pour la fabrication d'acide  sulfurique par le procédé de contact.

   On le  combine ensuite avec des silicates non     échaâ-          geurs    de bases     catalytiquem.ent    actifs, comme  décrit ci-dessus.  



  Le constituant aluminate du corps échan  geur de bases non siliceux peut être rem  placé, partiellement ou totalement, par d'au  tres     métallates    amphotères et le constituant  sulfate d'aluminium peut également être par  tiellement ou totalement remplacé par des      quantités correspondantes d'une ou plusieurs  solutions clé sels, tels que ceux de fer,  chrome, nickel, cobalt, manganèse, cuivre,  zirconium, thorium, titane, cadmium ou cé  rium.  



  On peut combiner avec les silicates     cata-          lytiquement    actifs à utiliser selon la présente  invention .d'autres corps échangeurs de bases,  non siliceux,     eatalytiquement    actifs tels, par  exemple, que des     vanadates    de     vanadyle    et  clés composés complexes similaires qui sont  des corps échangeurs de bases non siliceux  et dont beaucoup sont décrits dans la litté  rature.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Un procédé d'oxydation catalytique d'anhydride sulfureux en anhydride sulfuri que, selon lequel on fait passer à une température élevée, un mélange gazeux -con tenant de l'anhydride sulfureux -et de l'oxy gène sur une masse de contact -contenant au moins un silicate, non échangeur de bases, catalytiquement actif. SOUS-REVENDICATIONS 1 Un procédé selon la revendication, dans le quel le silicate est un -sel complexe.
    2 Un procédé selon la revendication, dans le quel le silicate employé est un polysilicate. 3 Un procédé selon la revendication, dans le quel la masse de contact contient un sili cate actif, non échangeur de bases, .dilué. 4 Un procédé suivant la revendication, .ca ractérisé par le fait que la masse catalyti que contient au moins un silicate non échangeur de bases, cataly tiquement actif, contenant chimiquement combiné clans sa molécule, un des métaux des cinquième et sixième groupes du système périodique.
    5 Un procédé selon la sous-revendication -l, dans lequel ledit métal est le vanadium. 6 Un procédé selon la sous-revendication 5, caractérisé par le fait que le silicate non échangeur de bases catalytiquement actif contient le vanadium à l'état tétravalent. 7 Un procédé selon la sous-revendication 3, dans lequel la masse catalytique contient, comme diluant du silicate non échangeur de bases et catalytiquement actif, un corps échangeur de bases. S Un procédé selon la sous-revendication 7, dans lequel le corps échangeur de bases formant diluant est catalytiquement actif.
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* Cited by examiner, † Cited by third party
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CN114806246A (zh) * 2022-06-29 2022-07-29 北京硅宝纳米活性硅材料有限公司 一种活性硅载添加剂、制备方法及具有甲醛净化功能的乳胶漆

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CN114806246A (zh) * 2022-06-29 2022-07-29 北京硅宝纳米活性硅材料有限公司 一种活性硅载添加剂、制备方法及具有甲醛净化功能的乳胶漆

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