CH135212A - Procédé pour l'oxydation catalytique de l'anhydride sulfureux. - Google Patents

Procédé pour l'oxydation catalytique de l'anhydride sulfureux.

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CH135212A
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Description


  Procédé pour l'oxydation catalytique de l'anhydride sulfureux.    Cette invention concerne un procédé pour  l'oxydation catalytique .de l'anhydride sulfu  reux en vue de la production .de l'anhydride  sulfurique.  



  Antérieurement à la présente invention,  on a fait passer de l'air et des gaz contenant  de l'anhydride sulfureux sur divers     cataltT-          seurs    à des températures élevées pour trans  former     l'anhydride    sulfureux en anhydride  sulfurique. Deux catalyseurs principaux sont  actuellement en usage, savoir le platine fi  nement divisé et le     pentoxyde        @de    vanadium.  Le platine finement divisé, en particulier à  l'état précipité sur un véhicule ou support  inerte volumineux tel que des fibres d'a  miante, est le catalyseur     actuellement    le plus  employé et donne des rendements élevés et  des productions     volumétriques    satisfaisan  tes.

   Toutefois, l'amiante     -chargé    de platine  présente un grand nombre d'inconvénients  très sérieux. En premier lieu, son prix est  extrêmement élevé et l'un des facteurs les  plus importants du coût dans la fabrication  de l'acide sulfurique par contact est actuel-         lement    .le capital énorme engagé dans le ca  talyseur ,au     platine.    Un inconvénient encore  plus important réside dans le fait que le pla  tine est extrêmement sensible à divers genres  de poisons tels que, par exemple: les compo  sés volatils de l'arsenic et certains gaz .acides  tels que le chlore, l'acide chlorhydrique, etc.

    Un autre inconvénient réside dans le fait  qu'il est nécessaire d'introduire l'amiante  chargé de platine à .la main et avec beaucoup  de soin dans les convertisseurs et qu'il     faut;     fréquemment dix jours à deux semaines pour  charger un convertisseur, ce qui se traduit  évidemment par une perte considérable con  sistant dans l'intérêt du grand capital en  gagé qui reste inactif. Quand un .catalyseur  d'amiante chargé de platine devient épuisé,  il se produit aussi une grande perte de pla  tine, s'élevant généralement à 10 % environ,  lors de la régénération.  



  Le     pentoxy    de de vanadium a été proposé  comme catalyseur et employé dans une cer  taine mesure, mais n'a pas obtenu le succès      des catalyseurs au platine en raison de son  peu d'efficacité.  



  La présente invention a pour objet un  procédé pour l'oxydation catalytique de l'an  hydride sulfureux en présence d'un cataly  seur permettant de réduire au minimum ou  d'éviter complètement la plupart des incon  vénients -des catalyseurs au platine, sans sa  crifier le rendement élevé qui fait que, jus  qu'à ce jour, le platine était le catalyseur  préféré. Le procédé de la présente invention  peut être exécuté avec des catalyseurs qui ne  sont pas sensibles aux poisons .de .contact et  le procédé peut donc être réalisé aussi avec  des gaz de réaction qui contiennent ,des poi  sons qui     ruineraient    rapidement un cataly  seur au platine.

   Au lieu du système d'épu  ration coûteux et compliqué qui est absolu  ment essentiel quand on fait usage d'un ca  talyseur au platine, il suffit dans le procédé  faisant l'objet de la présente     invention,        .d'éli-          miner    seulement les poussières et particules  solides en suspension dans le courant de gaz.  



  Les catalyseurs ,dont on fait usage .dans  le procédé de la présente invention peuvent  être obtenus meilleur marché que le platine  et d'une structure physique très avantageuse;  ils peuvent être introduits rapidement et à  peu de frais dans les convertisseurs, -de telle  sorte qu'on évite les grandes pertes résultant  de la longue période de charge, qui est es  sentielle avec l'amiante chargé de platine.  



  Le procédé de la présente invention, nui  est exécuté avec .des gaz contenant de l'anhy  dride sulfureux, -de l'oxygène et de .la pous  sière entraînée mécaniquement, provenant de  la préparation du     SO=,    est caractérisé en-ce  qu'on enlève nu gaz la poussière     entraînée    et  en ce qu'on fait passer le gaz à une tempé  rature élevée sur une masse .de contact qui  contient au moins un corps siliceux échan  geur de base, dit composé     zéolithique,    du  genre de ceux résultant de la réaction .d'au       moins    un silicate soluble avec soit un ou plu  sieurs     métallates    (par exemple aluminates,       vanadates,        tungstates,

          molybdates,    etc.), soit  un ou plusieurs sels métalliques, au moins un  constituant     catalytiquement    actif non échan-         geable    étant présent dans ladite masse. Par       métallates,    il faut comprendre des sels con  tenant des métaux dans leurs     anions,    et par  sels métalliques, des sels .de métaux qui ne  sont pas des     métallates.    La masse de con  tact peut contenir en plus .d'un ou de plu  sieurs composés     zéolithiques        catalytiquement     actifs d'autres substances, inertes ou aussi       catalytiquement    -actives;

   .ainsi elle peut con  tenir un composé     zéolithique    uni à -des -di  luants pour     former    un produit physiquement  homogène.  



  Dans la description qui suit du procédé  de la présente invention, le mot "composé       zéolithique    ou zéolithe" est employé pour dé  finir le produit de réaction d'au moins un  silicate soluble avec un ou plusieurs     métal-          lates    ou avec un ou plusieurs     sels    métalli  ques. Les composés     zéolithiques        peuvent     être préparés soit par voie humide, soit par  fusion, et l'on peut faire usage, dans cer  tains cas, de zéolithes naturelles.  



  Les zéolithes en général, tant les zéo  lithes artificielles que les zéolithes naturelles,  telles que la,     néphéline,    la leucite, etc., ont  une structure physique     microporeuse    analo  gue à celle des nids d'abeilles. Les atomes  ou groupes catalytiques présents dans une  molécule de zéolithe sont séparés les uns des  autres par une .carcasse siliceuse .de la molé  cule et, en même temps, présentent une sur  face énorme aux gaz en raison de ladite  structure physique microscopique -du pro  duit.  



  Les catalyseurs     zéolithiques    dont an peut  faire usage dans le procédé de l'invention,  sont usuellement beaucoup plus efficaces,  par unité     @de    poids de composant     catalytique,     que ne l'est le composant catalytique sous  toute autre forme, et quoiqu'on ne sache pas  exactement ce qui a. lieu dans le catalyseur       zéolithique    pendant la.

   catalyse, il sem  ble que la très grande efficacité     @du     catalyseur     zéolithique    doive être     .attribuée     à sa structure     microscopiquement    poreuse  ainsi qu'au fait que c'est probablement un  composé de poids moléculaire très élevé dans      lequel les divers atomes sont probablement  combinés chimiquement de façon lâche.

       En     même temps, dans les zéolithes actives, les  atomes -ou groupes catalytiques individuels  sont séparés les uns des autres dans la molé  cule de zéolithe, et ceci a probablement  comme résultat de diminuer la tendance au       surchauffage    local     dîi.    au fait que le cataly  seur est concentré exagérément en certains  points. Cette explication est purement théo  rique et ne limite l'invention en aucune fa  çon. Il se peut que d'autres facteurs, ac  tuellement inconnus, soient la cause de la  grande efficacité que possèdent les cataly  seurs     zéolithiques.     



  Pour la. réalisation -du procédé, on peut  employer .des composés     zéolithiques        -cataly        ti-          quement    actifs à l'état non dilué, mais il est  des composés     zéolithiques    qu'il est préféra  ble de diluer par des corps inertes, et d'au  tres de ces composés peuvent être mélangés  a     ,,ec    un ou plusieurs corps     eatalytiquement     actifs qui se comportent à la.

   façon     d'activa-          teurs.    Parmi les corps de dilution pouvant  être employés, on citera .des produits poreux  finement divisés tels que la     poudre,de    pierre  ponce, l'amiante, la silice colloïdale, les  fragments de porcelaine, les fragments de  poterie, la poussière de brique, la terre de  diatomées, le manganèse, le     quartz,    les roches  riches en quartz, les métaux résistant aux  acides, les alliages .de métaux, etc. Toute  fois, les corps .diluants préférés sont les ter  res finement poreuses telles que le     kiesel-          g        uhr.     



  En raison -des grandes dimensions de la  molécule de zéolithe, .divers     .composants    cata  lytiques peuvent être introduits en propor  tion     appropriée,    ce qui constitue un avantage  très important, qui permet de proportionner  exactement les ingrédients catalytiques et     ac-          tivateurs    différents ;dans une structure  homogène unitaire possédant un caractère       physique    extrêmement avantageux.  



  Les     zéolithes    servant au procédé .de l'in  vention peuvent     contenir    ,de la silice à titre  de seul oxyde acide non     échangeable.    Toute  fois, il est possible     @de    remplacer une partie    de la silice par d'autres oxydes tels que les  oxydes de phosphore, de titane, d'étain, etc.  



  Des composés     catalytiques    additionnels  peuvent être préparés en faisant en     sort(,    que  la zéolithe échange ses bases alcalines nor  males avec d'autres bases qui     peuvent    être       c.atalytiquement    actives ou     "activatrices"     telles que, par exemple, le sodium, le potas  sium, l'ammonium, le rubidium, le césium,  le lithium, le béryllium, le magnésium, le  calcium, le zinc, le strontium, le cadmium  le baryum, l'aluminium, les terres rares, le       titane,    le zirconium, le plomb, le thorium,  l'antimoine, le chrome, le     molybdène,    .l'ura  nium, le manganèse, l'argent, le fer, ,le co  balt, le nickel, et le cuivre.

   Bien entendu,  le même élément peut être présent à la fois  sous une forme non échangeable et sous une       forme    échangeable et peut aussi être présent  -fans la même phase .d'oxydation sous les  deux formes ou dans des phases .d'oxydation  différentes. La facilité avec laquelle des  bases peuvent être échangées rend possible  de produire des gradations très fines de l'ef  fet catalytique, ce qui constitue un avantage  important de la présente invention.  



  Le procédé de la présente invention peut  aussi être effectué avec des masses de con  tact qui contiennent des corps obtenus en  traitant les composés     zéolithiques    par cer  tains groupes acides qui peuvent être     cata-          lytiquement    .actifs ou "activateurs".

   La zéo  lithe semble réagir en totalité avec ces acides  ou groupes acides, et le produit résultant se  comporte à beaucoup d'égards comme un sel  et sera     .appelé    ci-après "corps analogue à un  sel".     Parmi    les radicaux acides qui peuvent  être amenés à réagir dans le sens indiqué,  on citera     V205,        MoO',        UO',        Cr03,        i@In07,          Mn205,        WO",        Ta20',        Sb206,

          Mo\05.    L'intro  duction des anions peut être effectuée à l'aide  de leurs     acides    ou des solutions     @de    leurs  sels. La quantité d'anions amenée à réagir  avec la zéolithe peut être telle qu'elle donne  au corps analogue à un sel le caractère soit  d'un sel basique, soit d'un sel neutre, soit  d'un sel acide.

   Les zéolithes amenées à réa  gir avec les anions     .catalytiquement    actifs      peuvent elles-mêmes contenir -des éléments       catalytiques    ou peuvent être     catalytiquement     inactives (en ce cas la zéolithe rend la ma  tière de contact     extraordinairement    effective  en raison de sa structure physique et du  fait qu'elle disperse -de façon homogène les  molécules -ou groupes d'atomes     catalytique-          ment    actifs présents), -ou n'être c     atalyti-          quement    actives que dans une faible mesure.

    En d'autres termes, le pouvoir catalytique  peut résider entièrement dans la zéolithe, en  tièrement dans l'anion, en partie dans l'un  d'eux ou en     partie    dans chacun d'eux. Dans  le -cas de zéolithes diluées, -des catalyseurs  peuvent aussi être présents dans le     -diluant.     



  La structure physique des zéolithes est  telle que les masses catalytiques sont rendues  extrêmement actives et en même temps ca  pables de résister     .aux    températures qui in  terviennent dans l'oxydation .de l'anhydride  sulfureux. La résistance mécanique est usuel  lement adéquate mais, dans certains cas, en  particulier lorsqu'on fait usage d'une très  grande quantité de diluant, il peut être dési  rable d'incorporer d'autres liants pour aug  menter la. résistance mécanique .du produit.  On peut incorporer .ces liants pendant la for  mation de la zéolithe ou laver la zéolithe  finie à l'aide de colles ou silicates solubles  propres à effectuer une     "silicification"    su  perficielle qui augmente la résistance méca  nique     @du    produit.  



  Les     catalysateurs        zéolithiques    dont on  peut faire usage dans le procédé de l'inven  tion peuvent aussi être ,appliqués sur la sur  face -de supports massifs tels que des frag  ments de minéraux     quartzeux    résistant aux  acides, tels que les pyrites calcinées, la ru  tile,     l'ilménite,    le minerai -de fer     titanifère,     l'oxyde de chrome, l'oxyde de     manganèse,    la.

    bauxite, l'oxyde de cuivre, l'oxyde de nickel,  l'oxyde -de     cobalt,    l'oxyde     @de    baryum, etc  Les métaux ou alliages de métaux rugueux,  en particulier les métaux et alliages cataly  tiques tels que le chrome, le ferrochrome, le       ferro-vanadium,    le     silicium-aluminium-ferro-          manganèse,    le ferro-manganèse, le     ferro-mo-          lybdène,    le     ferro-silicium-manganèse,    le ferro-    titane, le ferro-tungstène, le     ferro-nickel,    le       ferro-chrome-nickel,    etc. peuvent être em  ployés.  



  Les     caractéristiques    physiques .des     zéo-          lithes    dépendront bien entendu à un degré  considérable des méthodes de précipitation,  et les corps peuvent être des gels, des préci  pités granulaires, des corps cristallins, etc.  Ils sont fréquemment opalescents et sont       presque    invariablement de porosité     submiero-          nique.     



  On remarquera. que les catalyseurs     zéoli-          thiques    subissent des transformations secon  daires, en particulier sur leur surface, pen  dant la catalyse. Ce en quoi consiste ces  changements n'est pas exactement     connu    et,  par conséquent, quand il est question de com  posés     zéolithiques,    zéolithes, catalyseurs     zéo-          lithiques,    etc., il est bien entendu que l'in  vention n'est     pas    limitée à -des corps qui con  servent la propriété d'échanger les bases pen  dant leur .durée entière.

   En commun avec les  usages -de la chimie catalytique ordinaire, la  nature du     catalyseur    est supposée être celle  qu'il possède au moment où il vient d'être  fabriqué.  



  On donnera     ci-parès,    à titre ,d'exemples,  plusieurs formes de     réalisation    de     l'invention     et, en particulier, plusieurs méthodes pour  préparer :des catalyseurs destinés à ces formes  de réalisation.

   L'invention n'est limitée en  aucune façon     aux    méthodes spécifiques dé  crites et l'on peut appliquer toutes autres  méthodes ou modifications convenables  comme il sera     évident    pour l'homme du  métier         Exemple   <I>1:</I>    On prépare un mélange de 0,42 partie  ,de     tungstate    de potassium et de 3 parties  ,de     métavanate    de potassium en dissolvant des  quantités correspondantes d'acide vanadique  et d'acide tungstique avec -de l'hydrate de  potassium dans 45 parties environ d'eau.

   On  neutralise     alors    la solution avec de l'acide  chlorhydrique dilué et l'on ajoute 8 parties  d'une solution de verre soluble à<B>38</B>       Bé.          ,On        chauffe    doucement la solution, on ajoute      4,5     parties    de     cellite    ou     g    parties de sable  et .l'on traite la suspension de temps en  temps par de faibles fractions d'acide chlor  hydrique dilué jusqu'à ce que l'agent de  dispersion soit juste alcalin.  



  Le mélange qui contient la zéolite est  une masse gélatineuse épaisse; on la pétrit  avec une quantité additionnelle de 5,5 par  ties de     cellite    ou de 16 parties de sable,  puis on la sèche et on en forme des gra  nules. La     cellite    peut aussi être imprégnée  de solutions .de sels métalliques dont les bases  possèdent de faibles pouvoirs catalytiques,  comme c'est le cas, par exemple, du sulfate  ferrique, du sulfate de nickel, :du sulfate  de cuivre,     .du    nitrate d'argent, du sulfate de       cobalt,    etc.  



  Une variante consiste à     rouler,des    pépites  de quartz, des pierres à filtre de quartz ou  des pyrites grillées avec la masse gélatineuse  épaisse contenant la zéolithe, ce qui a pour  effet d'enduire ces supports .de la masse de  contact. On sèche les granules et on les  traite ensuite d'abord par des gaz de brûleur  dilués à     4â0---460      C, puis par un gaz  de brûleur à 7     %,        SO'    se produisant alors  rapidement avec un rendement supérieur à  97 %. Les masses de contact résistent extra  ordinairement     aiLZ    températures élevées.  



  Il est avantageux, dans certains cas, d<B>e</B>  chauffer les masses de contact avant leur     ern-          ploi,    en vue d'éliminer l'eau d'hydratation ou  de cristallisation. Ce procédé ne change pas  la structure physique des catalyseurs qui les  rend si propres aux applications catalytiques.  Le pouvoir .catalytique reste sensiblement  non diminué.  



  <I>Exemple 2:</I>  On fond au rouge un mélange de 3,65  parties de     V20',    9,66 parties de silice fine  ment pulvérisée, 3,21 parties -de T10\, 1,83       parties    ;de     KOH    à 90 %, 10 parties de     K'C03     et 33,8 parties .de borax jusqu'à ce que le .dé  veloppement .de     C02    cesse et que le bain  fondu semble homogène. On verse alors le  bain fondu dans de l'eau et on l'épuise à  l'aide .d'eau courante jusqu'à ce que l'eau de  lavage cesse d'indiquer la présence -d'acide         borique.    L'eau de lavage ne contient que des  traces de vanadium et enlève l'excès     4'acide     borique qui n'est pas chimiquement combiné.  



  Le produit est sous forme de petites gra  nules dures qu'on soumet à un traitement  préliminaire à     l',aide        @de        SO\    dilué, et la masse  (le contact est alors prête à être employée et  donne un rendement excellent en     S03    à l'aide  de gaz     @de    brûleur à 7 %.  



  D'autres masses .de contact efficaces peu  vent être préparées en introduisant d'autres  éléments     catalytiquement        actifs    dans la zéo  lite grâce à un échange de bases.         Exemple   <I>3:</I>    On mélange une molécule -de     V20'    avec  de l'acide sulfurique concentré pour en for  mer une pâte qu'on chauffe en .ajoutant -de  petites quantités d'eau. On fait     pasger    un  courant rapide de     S02    à travers le fluide  chaud jusqu'à ce qu'une solution bleue par  faitement limpide ait été obtenue.

   On en  lève le     'S0'    en excès en faisant bouillir la  solution avec une solution d'hydrate de po  tassium jusqu'à ce que le précipité brun qui  se forme au début ait été complètement dis  sous et ait     .donné    une solution brun foncé  limpide.  



  On     ,dilue    quatre molécules -de     SiO2    sous  forme de silicate de potassium avec     .cinq    fois  la     quantité    d'eau et l'on ajoute trois molé  cules de     SiO2    sous forme de l'acide silicique  hydraté. On verse alors le mélange dans la  solution de     vanadite    en agitant vigoureuse  ment. On chauffe le mélange à 65   C en  viron et il se forme un précipité analogue  à une gelée qui se transforme graduellement  en une masse granulaire facile à filtrer. On  enlève la majeure partie .du liquide au fil  tre-presse et l'on lave parfaitement le préci  pité à l'aide d'eau jusqu'à ce que .l'essai de  l'eau de .lavage n'accuse pratiquement au  cune trace de vanadium.

   Le produit est  alors séché à une température inférieure à  100   C.  



  La zéolithe ainsi produite, lorsqu'elle  été brisée en fragments, constitue une masse  de     contact    excellente pour la production de    
EMI0006.0001     
  
    l'anhydride <SEP> sulfurique <SEP> et <SEP> donne <SEP> .de <SEP> bons <SEP> ren..
<tb>  dements. <SEP> La <SEP> zéolithe <SEP> peut <SEP> être <SEP> hydratée <SEP> de
<tb>  la <SEP> manière <SEP> usuelle, <SEP> puis <SEP> traitée <SEP> par <SEP> des <SEP> so  lutions <SEP> .de <SEP> nitrate <SEP> d'argent, <SEP> de <SEP> sulfate <SEP> ferri  que, <SEP> de <SEP> sulfate <SEP> de <SEP> cuivre, <SEP> de <SEP> chlorure <SEP> de
<tb>  calcium, <SEP> etc. <SEP> en <SEP> vile <SEP> d'effectuer <SEP> un <SEP> échange
<tb>  de <SEP> basas.

   <SEP> Ces <SEP> masses <SEP> ,de <SEP> .contact <SEP> qui <SEP> con  tiennent <SEP> .d'autres <SEP> éléments <SEP> catalytiques <SEP> sous
<tb>  une <SEP> fo<B>r</B>me <SEP> <I>éGIf,, <SEP> @'</I><B>p</B>
<tb>  <B>#</B> <SEP> <I>@@pIp</I>       et sont à peu près complètement insensibles  aux poisons des catalyseurs.  



  <I>Exemple</I>  On prépare les trois mélanges suivants:  1  On dissout 16,2     parties    de     V20"    et 10.2  parties de     KOH    à 100 % .dans 300 parties  d'eau, on chauffe jusqu'à l'ébullition et l'on  fait passer un courant     rapide    d'anhydride       sulfuréux    jusqu'à ce que la solution ait d'a  bord passé au vert et finalement au bleu et  que le sulfate de potassium     vanadyle    se soit  partiellement précipité sous forme ,d'un pré  cipité blanc bleuâtre.

   On enlève l'excès de  802 par ébullition et l'on ajoute de l'hy  drate de potassium avec précaution jusqu'à  ce que le précipité se soit dissous pour .don  ner une solution brune limpide du     vanadite.     



  20 On traite 10 parties d'alun de chrome  par la quantité juste suffisante     d'hydrate,de     potassium pour le dissoudre et donner     tune     solution claire.  



  30 On .dilue 160 parties de silicate de po  tassium à 39       Bé    avec<B>1000</B> parties .d'eau et  l'on introduit, en remuant, 80 parties de     cel-          lite.     



  Les solutions 1 et 2 sont versées en suc  cession rapide dans .le mélange 3 et sont  chauffées .doucement pendant qu'on agite vi  goureusement. La masse se solidifie d'abord  sous forme d'un gel et ,donne, si l'on .conti  nue à remuer, des agrégats granulaires fa  ciles à filtrer. On laisse reposer le mélange  pour le .décanter, on fait passer le précipité  au filtre-presse et on le lave à l'aide d'eau  froide jusqu'à ce que le filtrat soit incolore.

    On sèche alors .la matière solide du     filtre-          presse    à des températures inférieures à  100<B>0</B> C  
EMI0006.0016     
  
    La <SEP> zéolithe <SEP> de <SEP> Potassium-chrome-vana  dium <SEP> est <SEP> brisée <SEP> en <SEP> fragments <SEP> qui <SEP> peuvent
<tb>  être <SEP> employés <SEP> directement <SEP> comme <SEP> catalyseur
<tb>  dans <SEP> la <SEP> production <SEP> .de <SEP> .l'anhydride <SEP> sulfuri  que.

   <SEP> Quand <SEP> on <SEP> fait <SEP> passer <SEP> les <SEP> gaz <SEP> de <SEP> brûleur
<tb>  à <SEP> la <SEP> vitesse <SEP> usuelle <SEP> à <SEP> -des <SEP> températures <SEP> de
<tb>  400 <SEP> à <SEP> 500 <SEP>   <SEP> C, <SEP> la <SEP> catalyse <SEP> commence <SEP> rapi  dement <SEP> et <SEP> donne <SEP> des <SEP> rendements <SEP> supérieurs
<tb>  li <SEP> 97 <SEP> @,       La zéolithe de     potassium-chrome-vana-          dium    peut être déshydratée et traitée pal  des solutions telles que le nitrate d'argent,  le sulfate de cuivre, le nitrate de nickel, le  chlorure ferrique, le nitrate de cobalt, etc.,  ou par d'autres mélanges, en vue     d'introduire     les bases correspondantes dans la zéolithe  par un échange de bases.

   Différentes solu  tions peuvent aussi être employées succes  sivement au lieu de l'être simultanément.  Les produits obtenus sont d'excellents cata  lyseurs pour oxyder par contact l'anhydride  sulfureux.  



  <I>Exemple 5:</I>  On prépare .les mélanges suivants:  1.0 On mélange une molécule de V2 &   avec une faible quantité d'acide sulfurique  concentré pour former une pâte. On ajoute  .de faibles quantités d'eau et l'on chauffe le  mélange pendant qu'on fait passer un cou  rant rapide d'anhydride sulfureux jusqu'à ce  qu'on ait obtenu une     solution    bleue très lim  pide. Au lieu ,d'anhydride sulfureux, on  peut employer d'autres agents réducteurs  tels que l'hydrogène, l'acide nitreux, l'acide  phosphoreux, .le sulfure d'hydrogène, le chlo  rure d'hydrogène, l'acide bromhydrique, l'a  cide oxalique, l'acide citrique, .l'acide tartri  que, le sucre, l'alcool éthylique,     l'alcool    mé  thylique, la     formaldéhyde,    etc.  



  20 On dissout une     molécule    d'alun de po  tassium dans de l'eau, on précipite à la     tem-          pérature    d'ébullition, on presse à chaud et       ,l'on    .dissout l'hydrate .d'aluminium produit  dans la quantité minimum d'hydrate de po  tassium.  



  30 On dilue dix molécules de     8i02    sous  forme     .de    silicate le potassium à l'aide le      cinq fois la quantité .d'eau et l'on ajoute du  sable ou de la poudre de quartz jusqu'à ce  que la masse puisse encore juste être remuée.  



  Les solutions 1 et 2 sont versées dans 3  et le mélange est chauffé à 65   C en agitant  parfaitement. Il se forme d'abord un gel  qui se transforme ensuite en une masse gra  nulaire facile à filtrer. On presse le préci  pité, on le lave parfaitement dans de l'eau  jusqu'à ce que l'eau de lavage ait été pra  tiquement débarrassée du vanadium, puis on  le .sèche au-dessous de 100   C. La masse  de contact est un catalyseur excellent pour  l'anhydride sulfurique.  



  La zéolithe peut être traitée par des so  lutions de sels métalliques pour effectuer un  :change de bases comme il a été décrit rela  tivement aux autres exemples. L'introduc  tion d'argent, -de fer, de cuivre, de nickel,  de calcium ou de baryum par un échange  de bases améliore l'efficacité de la, zéolithe       comme    .catalyseur dans la fabrication de l'a  cide sulfurique par contact.         Exemple   <I>6:</I>    On dissout 85 parties de     tungstate    de       potassium        -dans    250 parties d'eau, puis on  acidifie légèrement la solution à     l'a-i.de        d'a.-          cide    chlorhydrique dilué.

   On dilue alors de  nouveau la solution avec 700 parties d'eau  et l'on ajoute 68 parties d'une solution de  verre soluble du     commerce    en agitant vigou  reusement, puis on chauffe le mélange à une  température ne dépassant pas 65   C. La  solution se transforme rapidement en un gel  et, en     continuant    à agiter, devient granu  laire. On filtre, presse et sèche le précipité  qui peut alors être employé directement .dans  la fabrication .de l'acide sulfurique par con  tact dans laquelle il forme un catalyseur  excellent.  



  Les cations: cuivre, fer, nickel, cobalt,  argent, etc. peuvent être introduits dans la  zéolithe par un échange de bases et augmen  tent l'efficacité de la masse de contact.  



  Les zéolithes décrites ci-dessus peuvent  aussi être employées sous une forme com  plètement ,déshydratée. Elles peuvent .aussi    être mélangées avec des diluants ou peuvent  être collées sur .des supports inertes comme  il a été décrit dans les exemples précédents.  



  L'introduction .des diluants peut être ef  fectuée pendant ou après la formation de la  zéolithe.  



  <I>Exemple 7:</I>  On transforme 100 parties d'une zéolithe  de sodium artificielle du genre ci-avant spé  cifié, préparée par fusion ou par voie hu  mide, en la zéolithe de cuivre corres  pondante par une .digestion continuée avec  une solution de sulfate de cuivre à 10     %.    On  lave la zéolithe de cuivre, puis on la traite,  en chauffant doucement, par une solution de       vanadate    -de potassium à 10 %, ce qui la  transforme en le     vanadate    de la zéolithe -de  cuivre.  



  Ce nouveau corps coloré est lavé, séché  ensuite au-dessous de 100   C et est alors  prêt à servir. On fait passer des gaz de  brûleur à 7 % sur la matière de contact à la.  vitesse usuelle des gaz et à une tempéra  ture moyenne de 450   C. Des rendements  supérieurs à 97,5 % -de S03 sont obtenus.  Cette masse .de .contact résiste aussi extra  ordinairement aux températures élevées et  peut être employée avec     beaucoup    ,de succès  avec des gaz contenant une faible teneur  en S02.  



  Au .lieu de cuivre, on peut introduire  dans la zéolithe artificielle du nickel,     idu    co  balt, de l'argent, du manganèse, du chrome,  etc. par un échange de bases. Le traitement  subséquent par le     vanadate    de potassium       donne'des    catalyseurs extrêmement efficaces  analogues.  



  Au lieu d'employer les masses ide con  tact décrites ci-dessus seules, on peut les  appliquer sur des supports tels que le  quartz, les pyrites calcinées, le minerai -de  fer     titanifère,    le ferrochrome, etc. à l'aide       ,l'un    peu de verre soluble. De préférence, les  catalyseurs sont appliqués sur .les supports  après séchage et pulvérisation.

   Les masses  de contact résultantes sont extrêmement ac  tives dans l'oxydation catalytique .de l'an  hydride     sulfureux.              Exemple   <I>8:</I>  100 parties d'une zéolithe de potassium  artificielle du genre     ci-avant    spécifié -ayant  été préparée par voie humide et diluée, pen  dant la. formation, avec une matière pulvé  risée résistant aux acides telle que le sable,  le basait broyé, etc. sont traitées par une  solution à 10 % contenant des quantités  égales de sulfate d'argent et .de sulfate de  cuivre.

   De préférence, le mélange est chauffé  doucement pendant le traitement et on lave  :a     zéolithe    double -de cuivre et :d'argent pro  duite, puis on laisse ruisseler sur elle une  solution .de     vanadate    -de potassium à 10  à 65   C, ce qui forme ce qu'on appellera le       vanadate    de la zéolithe double de cuivre et  d'argent.  



  Après séchage, le nouveau -produit est  une masse .de contact excellente pour l'oxy  dation de l'anhydride sulfureux, résiste       extraordinairement    à la chaleur et donne  d'excellents rendements presque égaux au  rendement -d'équilibre lorsqu'il est employé  avec des gaz .de brûleur à 6-8 % à 400  -500   C. Au lieu de cuivre et d'argent, on  peut introduire simultanément ou successive  ment d'autres mélanges de métaux tels que  le zinc, le nickel, le cobalt, le manganèse, le  chrome, etc. par un échange .de bases.  



  <I>Exemple 9:</I>  On chauffe ,doucement 1000 parties de  zéolithe artificielle -du genre     ci@avant    spécifié  et on fait ruisseler sur elle une solution de  chlorure ferrique à 5 % jusqu'à ce que l'é  change de bases soit     pratiquement    terminé;  on lave la zéolithe de fer formée et on la  traite à 50   C, par une solution diluée de       Vanadate    de potassium à 75 % et de     molyb-          date    de potassium à 25 %. Le     vanado-molyb-          date    de la zéolithe .de fer prend naissance et  peut, après séchage, être employé comme  masse de     contact.     



       Quand    on fait passer des gaz de brûleur  3e 6 à 8 % sur les catalyseurs à 400-500   C,  le processus .de la fabrication de l'acide sul  furique     par    contact commence au bout -d'un  temps très court et l'on obtient une trans-         formation    presque théorique de     S02    en     SO-'.     Au lieu du fer, on peut employer simul  tanément, ou successivement le nickel, le co  balt, le cuivre, l'argent, le manganèse, le  chrome ou leurs mélanges, et .l'on peut rem  placer le     molybd.ate    par des composés corres  pondants .des acides chromique,     tungstique,          uranique,    phosphorique, sulfurique,

       arséni-          que,        antimonique,        tantalique    ou     permangani-          que,    ou par des mélanges de ces composés qui  peuvent être employés successivement ou si  multanément.

           Exemple   <I>10:</I>         L    n     aluminate-silicate    échangeur de bases  préparé par voie humide est traité par une  solution de nitrate de plomb à 5 % jusqu'à ce  que l'échange de bases soit pratiquement ter  miné.     On    traite la préparation par une solu  tion à 10 % de chromate de potassium trans  formant le produit en le chromate de la     zéo-          lithe    e plomb. Cette masse de contact ré  siste extrêmement aux températures élevées  et possède une efficacité excellente.

           Exemple   <I>11:</I>    On fait agir une solution de cinq à     six     parties     d'aluminate    de potassium sur sept à  dix parties environ d'acide silicique hydraté  et l'on chauffe pendant une à deux heures.  On introduit ensuite du     kieselguhr        ou    -du sa  ble pendant qu'on chauffe et remue jusqu'à  ce que la masse soit -devenue épaisse, quoi  que encore     fluide.    On décante alors le liquide  et on .lave la zéolithe diluée pendant une  courte période de temps à l'aide d'eau, on  sèche au-dessous de 100   C et on hydrate.

    On fait ruisseler une solution diluée de ,ni  trate     d'uranyle    sur la zéolithe ainsi formée, ce  qui la transforme en la     zéolithe-d'uranyle     correspondante. On traite alors cette zéolithe  par une solution .diluée de     vana-date    de po  tassium. La. masse se colore alors en un  jaune citron clair et il se     forme    le     vanadate     de la     zé-o:lithe        d'uranyle.     



  Au lieu du radical     uranyl,    on peut in  troduire dans la zéolithe d'autres radicaux  de métal et -d'oxygène analogues tels que  les radicaux     "antimonyl"    et     "vanadyl",         soit seuls, soit mélangés simultanément :ou  successivement.

   La solution de     vanadate     peut être remplacée partiellement ou entière  ment par les sels solubles des acides     molyb-          dique,        tungstique,    uranique, phosphorique,       antimonique,    arsénique,     chromique,    perman  ganique, sulfurique,     tantalique    et     niobique.     Des mélanges des sels de ces acides peuvent  aussi être employés successivement ou simul  tanément.  



  Les catalyseurs décrits ci-dessus peuvent  être employés directement après séchage .dans  la fabrication de l'acide sulfurique par con  tact, ou bien on peut les pulvériser et les  fixer à des supports granulaires actifs ou  inactifs comme il a été décrit ci-dessus et les       cmp.loyer    sous cette forme. Des transforma  tions excellentes de     S02    en     S03    sont ob  tenues avec .des     a;-az    de     brûleur    :dilués ou     -L     7 % à 400-470 " C.  



       Exemple   <I>12:</I>  10 On disperse<B>16,2</B> parties de V20' et  10,2 parties de     KOH    à 100 % dans 300 par  ties d'eau, on chauffe à l'ébullition et l'on  fait passer un courant vigoureux d'anhydride  sulfureux. La. solution devient verte, puis  bleue, et l'on obtient un précipité partiel       blanc-bleuâtre    de sulfate de     va,na.dyl-potas-          sium.    On enlève l'excès de     'S02    par ébulli  tion et l'on ajoute de l'hydrate de potassium  avec précaution jusqu'à ce que le     vana@dite     se soit formé et que le précipité se soit dis  sous en une solution brune limpide.  



  20 On traite 19 parties     :d'alun    de chrome  par la quantité de     KOH    juste suffisante  pour dissoudre le précipité se formant au  début et     .donner    une solution claire.  



  <B>30</B> On dilue 160 parties de     silie.ate   <B>de</B> po  tassium à 39       Bé    avec 1000 parties d'eau  et l'on introduit en remuant parfaitement  90 parties .de     cellite.     



  Les solutions 1 et 2 sont versées dans 3  en succession rapide et l'on chauffe douce  ment le mélange pendant qu'on agite vigou  reusement. La masse se transforme d'abord  en un gel qui, si l'on continue à remuer, se  transforme lui-même en     agrégats    granulaires  faciles à     filtrer.       On décante la mélange, on le presse pour  enlever l'eau en excès on le lave avec de  l'eau froide jusqu'à ce que le filtrat soit in  colore. On sèche alors la matière solide à       ;les    températures inférieures à 100   C. On  divise en morceaux la, zéolithe de     potassium-          chrome-vanady    le et on hydrate de la. ma  nière usuelle.

   On traite alors la, zéolithe par       icne    solution diluée contenant des proportions  moléculaires de nitrate d'argent et de sulfate  de cuivre en faisant ruisseler la, solution sur  la zéolithe     c4    continuant le traitement jus  qu'à ce que léchage de bases soit pratique  ment terminé. On effectue alors un second  lavage à l'aide d'eau.  



  On traite alors la zéolithe de     cuivre-a.r-          sent-chrome-vana,dyle    par une solution :di  luée contenant des équivalents moléculaires  de     vanadate    de potassium et de     tungstate    de  potassium. (.)n peut avantageusement effec  tuer le traitement en faisant ruisseler la so  lution sur la     zéolitbe,    et il convient que ceci.       oit    suivi d'un lavage et d'un séchage par  faits à environ 90   C.  



  Le produit peut être considéré comme un       van.ado-tuiigstate    dilué de la. zéolithe     d'ar-          gent-cuivre-chrome-vana.dyle.    De préférence,  on soumet la zéolithe à un traitement préli  minaire de :courte durée par des gaz de     brfi-          :eur    et on l'emploie alors     comme    masse de  contact pour l'oxydation :de gaz .de brûleur  à 7 % à une température moyenne de     .130        'C.     La vitesse     .du    gaz peut atteindre 125 mètres  tubes par heure pour 100 litres de masse de  contact, et les rendements en     S03    sont sen  siblement théoriques.

   Les corps     pseudomor-          phes    de ces zéolithes peuvent aussi être erg  ployés et donnent d'excellents résultats.    <I>Exemple 13:</I>         1o    On mélange une molécule de     V20'     avec un peu :d'acide sulfurique concentré  pour former une pâte, on ajoute de faibles  quantités d'eau pendant qu'on chauffe, et     o!i     fait passer un     courant    rapide de     SOZ    à tra  vers le fluide chaud jusqu'à ce qu'il se soit  formé une solution bleue limpide.

   On en  lève alors l'excès de     SOZ    en faisant bouillir      la solution et l'on ajoute la quantité de solu  tion d'hydrate de potassium juste suffisante  pour que le précipité brun qui s'est formé  au début se dissolve juste en un liquide brun  foncé limpide.  



  20 On dissout une molécule d'alun de  potassium clans de .l'eau et -on précipite au  point d'ébullition avec .de l'ammoniaque, on  presse à chaud et l'on dissout .l'hydrate  d'aluminium formé à l'aide du minimum  de     KOH.     



  3<B>0</B>  On dilue dix molécules de     SiO2    sous  forme de silicate de potassium avec cinq  fois la quantité d'eau et l'on ajoute en re  muant une quantité maximum, mais néan  moins telle d'eau, d'oxyde ferrique et de gel  siliceux que la masse puisse encore être re  muée.  



  On verse alors les solutions 1 et 2 dans  3 et l'on chauffe à 65   C en agitant vigou  reusement et ajoutant un peu d'acide sulfu  rique. Le gel formé se transforme en une  masse granulaire facile à filtrer. On presse  le produit, on le lave parfaitement à l'aide  d'eau jusqu'à. ce que l'eau de lavage soit de  venue pratiquement exempte -de vanadium     ci-,     on sèche au-dessous de<B>100'</B> C.  



  On traite -de nouveau la masse     fragrnen-          ta-ire    à l'aide d'eau et on fait ruisseler une  solution diluée de nitrate d'argent sur cette  masse pendant qu'on chauffe doucement jus  qu'à ce que la solution qui se sépare accuse  une teneur constante en argent.  



  On lave la. zéolithe     d'argent-vanadyl-          aluminium    diluée avec de l'oxyde     @de    fer et  on la traite par une solution de     vanadate    -de  potassium soit à froid, soit en chauffant  modérément, puis on lave de nouveau et on       éche.    Le produit, qui peut être considéré  s     é     comme le     vanad.ate    de la zéolithe     d'argent-          vanadyl-aluminiumdiluée    avec .de l'oxyde de  fer et !du gel de silice,     constitue,    ,après avoir  été     brisé    en petits fragments,

   une masse de  contact excellente et permet d'obtenir" des  rendements de S03 supérieurs à 97 % à une  température moyenne de 440   C en     travail-          lant.avec    une charge de gaz de brûleur su  périeure de 40 % à celle usuellement em-    ployée pour une masse de contact au vana  dium.  



  La zéolithe peut être déshydratée avant  ou après le traitement par la solution de     va-          nadate    de potassium et, à l'état     pseudomor-          phique,    conserve inchangée son efficacité.         Exemple        14:       On .dissout 85 parties de     tu.ngstate    de po  i.assium dans 250 parties d'eau et l'on     acidule     la solution avec de l'acide chlorhydrique di  lué. On dilue alors     la    solution avec 700 par  ties d'eau, on ajoute, en agitant vigoureuse  ment, 68 parties .d'une solution de verre so  luble du commerce et l'on chauffe le mélange  à une température ne dépassant pas 65   C.

    Après une courte période de temps, la solu  tion se transforme en un gel et devient gra  nulaire si l'on continue à remuer. On presse  le précipité, on le sèche et on peut alors l'em  ployer directement dans .le procédé à contact.  



  Une amélioration considérable, en parti  culier dans la charge .admissible que les ca  talyseurs sont capables de supporter, sera ob  tenue en introduisant dans la zéolithe, par  un échange .de bases, -du cuivre, -du fer, du  nickel, du cobalt, du baryum, de l'argent, du       Calcium,    des terres rares,     .etc.    et en traitant  la zéolithe par .des acides éminemment .actifs  ou, par des -dérivés d'acides pour constituer  un corps analogue à un sel.

      <I>Exemple<B>15:</B></I>    On prépare une suspension d'une molécule  de     V\0'    -dans -de l'acide sulfurique dilué. en  réduisant     V20'    avec S0\ à une température  élevée et l'on soumet de nouveau     cette    sus  pension à une réduction par une électrolyse  avec -des électrodes de platine jusqu'à ce que  la couleur bleue de la solution vire au vert.

    On dilue alors quatre molécules de     SiO2    sous  forme d'un verre.     soluble    à 39       Bé    avec dix  volumes .d'eau et l'on introduit en remuant  60 parties environ de     kieselguhr.    On verse  alors dans le verre soluble la, suspension de       trioxyde    de vanadium verte en agitant vi  goureusement, ce qui forme un précipité vert        < ,lair    qu'on filtre et sèche à l'abri de l'air.

        On brise le produit en fragments et, après  L'avoir traité par des gaz contenant     SOz    et 0       @    une température élevée, on obtient un     .ca-          @alyseur    excellent pour fabriquer l'acide sul  furique par .contact sous les conditions décri  tes dans les exemples précédents.  



  <I>- Exemple 16:</I>  Des zéolithes contenant du vanadium sous  une forme     non    échangeable et dans plusieurs  phases .d'oxydation peuvent être préparées de  diverses façons, par exemple:       1o    On réduit une molécule de sulfate de       vanadyle    en sulfate     vanadeux    vert en solu  tion acide soit     électrolytiquement,    soit à l'aide  de poussière -de zinc.  



  20 On réduit une molécule d'acide     vana-          dique    en sulfate de     vanadyle    dans une     solu-          lion    d'acide sulfurique comme décrit dans les  exemples précédents.  



  <B>30</B> On traite huit à neuf molécules de       SiO2    sous forme d'une solution de verre se  luble avec une quantité suffisante d'alcali  pour que leur alcalinité suffise à neutraliser  l'acidité .des solutions 1 et 2 et assurer un  faible excès d'alcalinité. En même temps, on  peut introduire de l'acide silicique, de la pou  dre de pierre ponce, .de .la poudre de quartz,  etc. en remuant -de façon à produire une pâte  assez fluide.    On mélange les solutions 1 et 2 et  on les     .laisse    couler clans la solution  de verre soluble en agitant vigoureuse  ment. Le mélange .de réaction se solidifie  sous forme ,d'une masse vert .gris dont on éli  mine le liquide par pressage et dont on brise  la matière solide en fragments après séchage.

    Après avoir subi un traitement préliminaire  à l'aide de gaz de brûleur à 400-500   C,  le produit est une masse de contact excel  lente pour la préparation -de<B>803</B> à l'aide de  gaz de brûleur. Par un échange de bases  complet ou     partiel,    on peut introduire .du cal  cium, -du baryum, -de l'argent, du titane, du  cuivre, du nickel, du cobalt ou du fer dans  la     zéolithe-diluée.    On peut aussi introduire  du vanadium, par exemple à l'aide .d'une so-         lution    de chlorure ou de sulfate de     vanadyle.     On peut introduire simultanément ou succes  sivement, de la manière usuelle, :deux ou plus  de ,deux .des bases d'échange susmentionnées.

    En général, l'introduction -de métaux alca  lino-terreux, de métaux rares et  &  métaux  lourds augmente la résistance mécanique -de  la masse de contact et sa résistance aux tem  pératures élevées. Des effets excellents peu  vent aussi être obtenus quand les produits  sont soumis, après l'échange des bases, à     un     traitement qui introduit un radical acide ou  non     ;dans    le noyau. Ces radicaux peuvent  être     Cr04,    P04,     S04,        V04,        W04,        1VIo04,          A.s04,        etc.     



  Au lieu de préparer les diverses phases  d'oxydation .du vanadium de la façon décrite  plus haut, on peut régler la réduction élec  trolytique de     V,04    ou la réduction à l'aide  ;le poussière de zinc !de telle manière qu'une  partie seulement .de     V,O4    soit transformée  en     V,O,,    en produisant ainsi nécessairement  un mélange de différentes phases d'oxyda  tion.         Exemple   <B><I>17:</I></B>    On mélange 2,2     parties    de     vana & te     d'ammonium avec un mélange contenant en  viron 0,77 partie de     Naf    .dans 25 parties  d'eau et l'on fait bouillir le mélange jusqu'à  ce que l'odeur d'ammoniaque cesse .d'être per  ceptible.

   On neutralise alors le mélange avec  de l'acide chlorhydrique dilué jusqu'à ce  qu'il devienne jaune rougeâtre. On ajoute 65  parties environ d'eau pour     :diluer    la solution,  à laquelle on ajoute alors, en remuant cons  tamment, 9,7 parties environ de verre soluble  à 38       Bé    et une égale quantité d'eau. On  continue à remuer et l'on -réchauffe graduel  lement le mélange jusqu'à 65   C     environ,     point auquel la solution devient d'abord in  colore, après quoi il se produit un précipité  granulaire analogue à un gel et augmentant  graduellement.

   Pendant la précipitation, -on  ajoute :de temps à autre -de .l'acide chlorhydri  que dilué par petites fractions à la fois; il  en résulte que la solution devient temporai  rement jaune rougeâtre, coloration qui dis-      paraît toutefois rapidement. On continue  l'opération jusqu'à ce que la réaction de l'a  gent dispersant soit encore faiblement alca  line au tournesol. On sépare de la<B>,</B> solution  le précipité analogue à un gel et, après  l'avoir séché à une température inférieure à  100   C, on brise la masse incolore en mor  ceaux de la grosseur d'un pois.  



  On introduit la. zéolithe de vanadium  opalescente     éminemment    active ainsi produite  dans un convertisseur à. anhydride sulfureux  et l'on fait passer sur elle des gaz de brû  leur à environ 430-450   C. Au bout de  peu de temps, l'anhydride sulfureux com  mence à. se transformer en anhydride sulfu  rique, le rendement devenant excellent  (97 %). La masse de contact conserve son  activité même jusqu'à<B>600'</B>     i'..     



  Au lieu d'employer la zéolithe au vana  dium décrite ci-dessus seule, on peut l'em  ployer avec des supports résistant aux acides  tels que le sable réduit en poudre fine, les  roches riches en     quartz,    la poudre de verre,  =a poudre de pierre poncé, la poudre d'a  miante, des fibres, du     kieselguhr,    -de la terre  à foulon, de l'acide silicique, etc. De préfé  rence, on effectue le mélange en pétrissant  les supports diluants avec le précipité caillé  et humide de la zéolithe de vanadium, et l'on  comprime le mélange en tablettes ou frag  ments.  



  Le gel, ou zéolithe de vanadium séchée,  à l'état finement broyé peut aussi être appli  qué sous     forme    d'une couche mince sur des  supports à gros grains tels que des frag  ments .de porcelaine, poterie, pierre ponce,  terre de -diatomées, pierre à filtre, quartz,  minéraux résistant aux acides ou roches ou  sur des sulfates des métaux alcalins -ou alca  lino-terreux tels que le sulfate de magné  sium. Si nécessaire, des sulfates, phosphates  ou nitrates acides ou neutres de métaux, du  verre soluble ou des lessives de métaux alca  lins ou alcalino-terreux peuvent être em  ployés comme colle ou ciments.  



  Les produits suivants, qu'on sait être     ca-          talytiquement    actifs dans l'oxydation de  l'anhydride sulfureux: acide titanique, ilmé-         nite,    minerai de fer     titanifère,    oxyde .de  chrome, manganèse, bauxite, oxyde de cui  vre, oxyde de nickel, oxyde de cobalt, oxyde  de baryum, métaux et alliages métalliques  comme le chrome, le     ferro-clirome,    le ferro  Vanadium, le     silicium-manganèse-fer,    les al  liages de     fer-aluminium-manganèse,    le     ferro-          manga,nèse,    le ferro-titane, le     ferro-tungs-          tène,

      le ferro-nickel, etc. constituent     -d'ez-          .^,ellents        supports.     



  Les masses .de contact diluées sont     trai-          iées    .de la même façon que celle décrite dans  le cas des catalyseurs non dilués. Dans cer  tains cas, il     peut-,    être désirable de déshydra  ter partiellement ou entièrement les zéolithes       dt,    vanadium.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Procédé pour oxyder catalytitluement l'anhydride sulfureux en anhydride sulfu rique, en partant de gaz contenant de l'an liydride sulfureux, de l'oxygène et de la. poussière entraînée mécaniquement, prove nant de la préparation de l'anhydride sulfu reux, caractérisé en ce qu'on enlève au gaz la poussière entraînée et en ce qu'on fait pas ser le gaz à.
    une température élevée sur une masse de contact qui contient au moins un corps siliceux échangeur de base, dit com posé zéolithique, (lu genre de ceux résultant de la réaction d'au moins un silicate soluble soit avec un ou plusieurs métallates, soif avec un ou plusieurs sels métalliques, o u moins un constituant catalytiquement actif, non échangeable, étant présent dans ladil:
    masse. SOUS-REVENDICATIONS 1 Procédé suivant la revendication, carac térisé en ce que ledit constituant cataly- tiquement actif est chimiquement com biné dans ou avec ledit composé zéoli- thique. 2 Procédé suivant la revendication, carac térisé en ce que la masse de contact em ployée contient un composé zéolithique contenant du vanadium chimiquement combiné sous une forme non échangeable.
    3 Procédé suivant la revendication, carac térisé en ce qu'on emploie un composé zéolithique contenant du pentoxyde de vanadium non échangeable et en outre d'autres composants catalytiquement ac tifs. 1 Procédé suivant. la revendication, carac térisé en ce qu'on emploie un composé zéolithique dont. la silice est substituée en partie par un autre oxyde acide. a Procédé suivant la revendication, carac térisé en ce qu'on emploie un .composé zéolithique contenant en plus d'au moins un constituant catalytiquement actif des cations échangeables catalytiquement ac tifs.
    o Procédé suivant la revendication, carac térisé en ee qu'on emploie un composé catalytiquement actif, obtenu en faisant réagir un composé zéolithique avec un corps .contenant un anion catalytique- ment actif pour former avec lui un corps analogue à un sel.
    Ê Procédé suivant la revendication et la sous-revendication 6, caractérisé en ce qu'on emploie comme corps analogue à un sel un tel qui est le produit @de réaction entre un .composé zéolithique et un sel contenant dans l'anion .du vanadium. 8 Procédé suivant la revendication, carac térisé en ce que la masse de contact em ployée contient un composé zéolithique uni à des diluants pour former un pro duit physiquement homogène. 9 Procédé suivant la. revendication et la sous-revendication 8, .caractérisé en ce que le composé zéolithique est uni à des diluants extrêmement poreux.
    1O Procédé suivant la revendication et les sous-revendications 8 et 9, caractérisé en ce que le composé zéolithique est uni à des diluants catalytiquement actifs. :l Procédé suivant la revendication et les sous-revendications 8 à 10, caractérisé en ce que le composé zéolithique est uni à des diluants riches en silice. 1;? Procédé suivant la revendication, carac térisé en ce que la masse de contact est appliquée sur des fragments de support massifs.
    13 Procédé suivant la revendication, carac térisé en ce que la masse .de contact con tient des fragments de support catalyti- quement actifs. 14 Procédé suivant la revendication, carac térisé en ce que la masse de contact est appliquée sur des fragments -de support métalliques. 15 Procédé suivant la revendication, carac térisé en .ce qu'on emploie un mélange gazeux contenant des poisons de contact susceptible de corrompre les catalyseurs au platine.
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