CH143879A - Installation de commande automatique des régulateurs des équipements de véhicules de traction électriques. - Google Patents

Installation de commande automatique des régulateurs des équipements de véhicules de traction électriques.

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CH143879A
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Description


  Installation de commande     automatique    des régulateurs des équipements  de véhicules de traction électriques.    L'invention se rapporte à une installation  de commande automatique des régulateurs  des équipements de véhicules de traction  électriques quelconques: à courant continu ou  alternatif (mono- ou polyphasé) avec réglage  de la vitesse des moteurs limité au seul  démarrage ou étendu au freinage (récupératif  ou non), ce réglage pouvant être effectué au  moyen d'un régulateur de type quelconque,  le régulateur étant l'organe qui réalise les  combinaisons nécessaires entre les différentes  parties essentielles de l'équipement: moteurs,  résistances, groupe de réglage, excitatrice, etc.  



  L'installation de commande automatique  suivant l'invention     est    caractérisée en ce qu'un  relais unique commandant un appareil     d'ac-          tionnement    capable de faire avancer ou re  culer le régulateur est soumis à l'action de  deux tensions opposées, dont la première U  dépend de la vitesse actuelle N du train, et  dont la seconde Un dépend de la vitesse  moyenne Nn que l'on veut faire correspondre    à une position déterminée     n    du régulateur, de  manière que si la vitesse N du train passe d'une  certaine quantité au-dessus ou au-dessous de la  vitesse moyenne Nn relative à la position  actuelle du régulateur,

   le relais agit sur  l'appareil d'actionnement de faqorr que     celui-          ci    fait avancer le     régulateur    à la position       rt        -}-   <I>1</I> ou le fait reculer à la position     n-   <I>1.</I>  



  Il est nécessaire, pour l'intelligence de  ce qui suit, de rappeler que le régulateur  comporte, pour le démarrage et le freinage,  un certain nombre de     "cransl'    ou "d'étapes  de réglage" de la vitesse N des moteurs de  traction (ou du train); à chacune de ces  étapes de réglage, la vitesse     N    varie entre  un minimum     N'n    et un maximum     N"n,        n     étant le numéro d'ordre de l'étape de réglage  dans le sens des vitesses croissantes.

   Chacune  des étapes de vitesses correspondantes est  caractérisée par une certaine vitesse moyenne  
EMI0001.0017  
   et par un certain      écart entre chacune des deux vitesses extrêmes  et cette vitesse moyenne
EMI0002.0001  
    On connaît déjà des installations de com  mande de régulateur de l'équipement, dans  lesquels le passage du régulateur d'un cran  à l'autre est déterminé par le fait que le  courant absorbé (ou débité) par les moteurs  durant le démarrage (ou le freinage) passe  par une certaine valeur minimum. On connaît  également des installations de     commande    du  régulateur de l'équipement où ce réglage dé  pend, soit de la tension Vm des moteurs, soit  de celle Vg du groupe de réglage s'il en  existe un.

   L'installation de commande suivant  l'invention se différencie de tous ceux-là parce  que l'appropriation du cran n du régulateur  à la vitesse actuelle N des moteurs est dé  terminée par cette dernière grandeur     elle-          même,    alors que les tensions artificielles U  et Un n'ont aucun rapport avec aucune des  grandeurs électriques se manifestant dans  l'équipemement, de telle sorte que cette in  stallation est tout à fait indépendante de la  nature de l'équipement et qu'il peut être par  conséquent appliqué à un équipement     quel-          colnque.     



  Il n'est nullement nécessaire qu'il y ait  proportion alité entre U (ou Un) et N (ou Nn);  il suffit seulement que U soit astreint à  varier dans un sens déterminé lorsque N  varie dans le même sens ou en sens inverse,  autrement dit que
EMI0002.0007  
   soit toujours positif  ou toujours négatif.  



  Le dessin annexé représente, à titre  d'exemple, des formes d'exécution de l'objet  de l'invention.  



  Les fig. la,, lb, 2a, 2b montrent la forme  des courbes vitesse-courant correspondant aux  étapes de réglage du démarrage et du freinage.  Les fig. 3a et 3b montrent schématiquement  et respectivement, pour le démarrage et pour  le freinage, les quatre éléments principaux  d'une installation suivant l'invention;  La fig. 3c montre le relais principal dans  lequel les tensions U et Un sont en opposition;    La fig. 4 est une vue du dispositif destiné  à agir sur le régulateur suivant la valeur de  la différence U-Un ;  La fig. 5a à 5e sont des vues détaillées  de ce dispositif dans les différentes positions  de fonctionnement;  La fig. 6 est un schéma des différentes ten  sions Un utilisées dans le dispositif destiné  à fournir m ou m + 1 tensions Un;  La fig. 7 est une vue détaillée de ce  dispositif fournissant les tensions Un;

    La fig. 8 montre une forme simplifiée de  ce dispositif;  La fig. 9 montre un dispositif pour varier  la sensibilité du relais soumis à la tension  U-Un;  Les fig. 10 et 11 montrent un dispositif  pour ralentir et pour accélérer le démarrage  et le freinage dans des installations respec  tivement avec courant continu et courant  alternatif;  Les fig. 12 à 17 montrent un dispositif  multiple pour l'accélération et le ralentisse  ment du démarrage et du freinage;  La     fig.    12 montre une disposition dans  laquelle ce dispositif multiple agit sur la  tension     ïr        â    et la     fig.    13 est une variante;

    La     fig.    14 montre une disposition dans  laquelle ce dispositif agit sur la tension U  et 1a     fig.    15 est une variante ;  La     fig.    16 montre un dispositif pour le  contrôle simultané de ce dispositif multiple  et de l'inverseur     démarrage-freinage    de l'équi  pement;  La     fig.    17 est une variante;  La     fig.    18 montre un dispositif auxiliaire  et une variante du dispositif fournissant les       tensions    Un.  



  Pour bien comprendre le fonctionnement  des installations représentés au dessin, il faut  savoir     comment    se présentent les courbes  représentant la vitesse en fonction du courant  en correspondance avec les     différentes    étapes  de réglage. La     fig.    la montre la forme et la  disposition relatives de ces courbes correspon-           dant    à dix étapes de réglage du démarrage  d'un équipement avec rhéostat; les courbes  C1 à C5 se rapportent à la marche avec deux  groupes de moteurs en série, les courbes Cs  à C1o à la marche avec tous les moteurs en  parallèle.  



  La fg. lb montre la forme et la disposi  tion relative des courbes correspondant à  treize étapes de réglage du freinage d'un  équipement avec rhéostat et muni d'une     exci-          tatrice;    les courbes C3 et C2 se rapportent  à la marche avec tous les moteurs en pa  rallèle, et les courbes C1 à C7 à la marche  avec deux groupes de moteurs en série contre  la tension du réseau, les corbes C6 à C1 à  la marche des moteurs sur seules résistances.  



  Les fig. 2a et 2b montrent la forme et la  disposition relative de deux séries de courbes  analogues correspondant à six étapes de ré  glage du démarrage et à sept étapes de ré  glage du freinage d'un équipement muni d'un       subdiviseur    de tension. La septième étape de  réglage (courbe Co) correspond à la marche  des moteurs comme générateurs en     court-          circuit    (Vg = o).  



  On voit sur ces figures que celles de ces  courbes qui sont relatives au démarrage  s'élèvent du côté des courants faibles et celles  relatives au freinage s'élèvent du côté des  courants forts.  



  Des courbes représentant la vitesse en  fonction du couple ou de     l'effort    de traction  auraient d'ailleurs la même allure.  



  Considérons un démarrage:  En supposant que le régulateur se trouve  placé au troisième cran (par exemple), la  courbe de vitesse correspondante étant C3,  la vitesse augmente et le courant diminue.  A un certain moment, le courant étant redes  cendu à la valeur is, le dispositif de réglage  fait passer le régulateur au cran 4, ce pas  sage correspondant à un palier; à ce moment,  le courant atteint la valeur i4. Puis la vitesse  augmente d'après la nouvelle courbe     C4    et  le courant diminue à nouveau, et ainsi de  suite. Le diagramme de l'opération est donc  une ligne en zigzag serpentant autour d'une  abscisse moyenne io.    Le freinage est schématisé de façon ana  logue (fig. lb et 2b) en parcourant les courbes  y relatives dans l'ordre inverse.  



  Ce démarrage et ce freinage sont d'autant  plus rapides que la valeur de ce courant  moyen io est plus élevée.  



  En déterminant convenablement les étapes  de réglage, on peut obtenir des diagrammes  dans lesquels tous les paliers (correspondant  aux vitesses maximum N"n et minimum  NVn -j- 1 de deux courbes consécutives) soient  équidistants.  



  En raison d'ailleurs de l'allure des courbes,  toujours lorsque le démarrage est lent (valeur  moyenne     i'%    faible) et le freinage rapide       (i"o    fort), les vitesses moyennes atteignent  des valeurs plus élevées que lorsque le dé  marrage est rapide     (i".    fort) et le freinage  lent (i% faible).  



  En outre, dans certaines cas, comme celui  des     fig.        28,    et     2b,    l'équidistance des paliers  correspondant au démarrage à faible courant  moyen tel que     i'.    est plus grande que l'équi  distance des     paliers    correspondant au     dénnar-          rage    à courant moyen plus élevé tel que     i'o,     et l'équidistance des paliers du freinage à  faible courant moyen tel que     i'o    est plus  faible que l'équidistance des paliers du frei  nage à courant moyen plus élevé tel que     i"o.     



  Si l'on adopte pour le démarrage     în    étapes  de réglage sous tensions équidistantes, mo  teurs hors charge, et pour le freinage     m        -j-1     étapes de réglage sous les mêmes tensions  plus la tension nulle, on obtient deux séries  de courbes     vitesse-courant,    dont celles de  même ordre n se croisent en des poins d'abs  cisses très réduites marqués par de petits  cercles     fig.        %    et     2b.    Aux courants correspon  dants à ces intersections, les efforts d'accélé  ration ou de retardement sont également très  réduits, et le rendement des moteurs est  assez éloigné de sa valeur maximum.

   Il con  vient donc, en pratique, d'utiliser des zig  zags de démarrage et de freinage placés à  droite de ces intersections, et aussi loin que  possible. Dans ces conditions, les vitesses  moyennes relatives au freinage dépassent      assez bien les vitesses moyennes de même  rang relatives au démarrage.  



  Ainsi, pour un équipement à courant con  tinu pour tension de 1000 volts, avec étapes  de réglages à 0, 125, 250, . . . . 750, 875,  1000 volts, équipement auquel on rapportera  plus loin certaines applications, on a:  a) Au démarrage, vitesses moyennes 20,  77, 134, 191, 248, 305, 362, 419 tours par  minute, le courant variant dans les moteurs  de 80 à 180 ampères, autour d'une moyenne  de 130 ampères;  b) Au freinage, vitesses moyennes 109,  192, 275, 358, 441, 524, 607, 690 tours par  minute, le courant dans les moteurs variant  de 60 à 280 ampères, autour d'une moyenne  de 170 ampères.  



  L'écart de vitesse N vaut 28,5 au dé  marrage et 41,5 au freinage.  



  L'installation représentée au fig. 3a et 3b  comprend     quatre    dispositifs principaux et  nous supposerons d'abord dans l'énumération  de ces dispositifs que le régulateur de l'équipe  ment présente une seule série d'étapes de  réglage, soit pour le démarrage, soit pour  le freinage.  



  Ces quatre dispositifs sont les suivants  1  Un dispositif destiné à fournir une  tension U variant continuellement avec la  vitesse actuelle N des moteurs de traction  ou du train et dans le même sens qu'elles.  Il peut consister en une petite dynamo     E,     excitée d'une manière quelconque, qu'un ac  couplement quelconque fait tourner à une  vitesse proportionnelle à celle du train.  



  La tension     Uest    une fonction de N, variant  toujours dans le même sens que N, de manière  qu'à une valeur de N correspond toujours  une et une seule valeur de U et réciproque  ment. Cette correspondance peut être une       proportionalité;    cette     proportionalité    est com  mode, mais n'est point nécessaire.  



  On adoptera de préférence une dynamo  à courant continu pour ne pas être gêné par  une périodicité, variable avec la vitesse. Il  convient encore que la tension maximum à  produire éventuellement au moyen de cette    dynamo soit bien moins élevée que la tension  du réseau.  



  Sur l'un des dispositifs qui seront décrits  plus loin     (fig.    13), on a représenté une dis  position avantageuse suivant laquelle cette       dynamo        E    est entraînée à une vitesse pro  portionnelle à celle du train, par exemple par  les roues a d'un dispositif b articulé à la  manière d'un pantographe et placé sous la  voiture de façon que les roues soient appli  quées     élastiquement    contre les rails de roule  ment par des ressorts c; bien entendu, tout  autre dispositif équivalent, par exemple trolley,       etc....,    pourrait être employé.

   On évite  ainsi que la vitesse de rotation de la dynamo  ne soit pas proportionnelle à la vitesse  vraie du train du fait d'un patinage, comme  cela peut arriver au démarrage lorsque la  dynamo     E    est entraînée par une roue motrice  du train, ou au freinage lorsque la dynamo       E    est entraînée par une roue freinée du train.  



  2  Un dispositif destiné à fournir simul  tanément ou successivement une série de  tensions Un comprenant autant de tensions  que le régulateur présente d'étapes de réglage,  c'est-à-dire<I>in</I> ou in,     +    1 tensions Un, selon  que la série d'étapes de réglage exclut ou  comprend le réglage sous tension nulle, propre  au freinage, correspondant aux     in   <I>ou in</I>     -+-   <I>1</I>  vitesses moyennes chaque tension Un  étant égale à celle fournie par le dispositif  précédent lorsque la vitesse des moteurs passe  par la vitesse moyenne     Nn    relative à l'étape  de réglage n que l'on considère.  



  Ce dispositif peut être constitué  a) Par une résistance     potentiométrique     alimentée soit directement par le réseau, si  celui-ci est à courant continu, soit par un  petit appareil transformateur branché sur le  réseau, si celui-ci est à courant alternatif.  



  Les     in    tensions Un non nulles sont alors  fournies simultanément par autant de sections  de cette résistance     potentiométrique.     



  b) Par un petit groupe moteur-générateur,  le moteur     IVI    est alimenté par le réseau (à  courant quelconque) et le générateur G étant  à courant continu comme la petite dynamo       E    du dispositif. Les différentes tensions Un      peuvent être obtenues en faisant varier, à  chaque étape de réglage n, soit la vitesse  de marche du moteur M, soit l'excitation du  générateur G, soit ces deux éléments à la  fois.  



  Les ni tensions Un non nulles sont alors  fournies successivement.  



  Dans les fig. 3a et 3b, relatives la première  au démarrage et la seconde au freinage, et  adaptées au cas de l'équipement à 1000 volts  et à huit étapes de réglage indiqué plus haut  et que nous traiterons à titre d'exemple, la  résistance potentiométrique est R1 + R2.  La partie<B>Ri</B> sert de complément à la  partie R2, laquelle est subdivisée en huit ré  sistances élémentaires comprises entre les  bornes 0 et 1, 1 et 2, 2 et 3, etc.; les rési  stances composées 0-1, 0-2, 0-3, etc.  étant fonction, linéaire ou autre, des vitesses  moyennes Nn inscrites à gauche. Toutes ces  résistances sont calculées de manière que,  lorsque la tension V du réseau règne entre  la ligne L + et la terre T-, la tension  entre la borne 0 et la borne n soit Un.  



  Si, pour faciliter les choses, on a adopté  comme correspondance la proportionalité, alors  la première résistance élémentaire 0-1 est  proportionnelle au démarrage à la première  vitesse moyenne de démarrage, c'est-à-dire à  20 et au freinage à la première vitesse  moyenne de freinage, c'est-à-dire à 109, et  toutes j'es résistances élémentaires suivantes  1-2, 2-3, etc. sont égales entre elles et  proportionnelles à l'écart constant entre deux  vitesses moyennes successives, c'est-à-dire à 57  au démarrage et à 83 au freinage.  



  3  Un troisième dispositif destiné à op  poser successivement à la tension U fournie  par le premier dispositif, celle des tensions       Ua    fournies par le dispositif précédent qui  correspond à l'étape de réglage n à laquelle  se trouve actuellement le régulateur, car,  comme nous le verrons, ce dernier se dépla  cera     toujours,    comme s'il avait à     effectuer    le  réglage, même lorsque, par la volonté du  conducteur du train, les moteurs marchent à  vide en dehors de tout réglage.

      a) Dans le cas où le dispositif fournissant  les tensions     U,    est constitué par une rési  stance     potentiométrique   <B>Ri.</B>     --f-    R2, le dispo  sitif considéré consiste en un commutateur K  ayant pour objet d'intercaler, d'après l'étape  de réglage n atteinte par le régulateur de  l'équipement, une partie plus ou moins grande  de la résistance subdivisée R2 dans un     cir-          cuir   <I>0, R2,</I>     K,   <I>Ra, W,</I>     E,   <I>0</I> sur lequel la tension  Un régnant entre n et o s'oppose à la tension  U développée par la dynamo E, et cela, que  les moteurs de traction soient en charge ou  non.

       R3    est une résistance subdivisée en  autant de résistances élémentaires que la  résistance     Ba,    et destinée à donner au<B>*</B> circuit  <I>0, R2, K,<B>Ri,</B> W, E, 0</I> à chacune des<I>an</I> positions  que doit prendre le commutateur K, une  résistance totale particulière qui sera précisée  plus loin. Par le jeu de ce commutateur     K,     l'appareil     W,    compris entre Ra et E, est  soumis à la tension     U-Un    ou aux deux  tensions U et Un agissant séparément en  sers opposés.

     b) Dans le cas     oiz    le dispositif fournissant  les tensions Un est constitué par un     moteur-          générateur,    le dispositif considéré opposant  cette tension à la tension U consiste en un  commutateur     K    qui a pour objet de régler,  au moyen de résistances     approppriées,    ou  bien la vitesse du moteur, ou bien l'excitation  du générateur, ou bien ces deux éléments à  la fois, d'après l'étape de réglage n atteinte  par le combinateur de     l'équipement.    Le géné  rateur étant raccordé en opposition à la  dynamo E,

   l'appareil     6Y    compris dans leur  circuit est soumis à la tension U- Un ou  aux deux tensions U et Un agissant séparé  ment en sens opposés.  



  Dans un cas comme dans l'autre; la forme  à donner au commutateur     KK    dépend du type  du régulateur de l'équipement.  



  Si ce régulateur comporte un organe  tournant ayant une certaine position à chaque  étape de réglage n (comme un cylindre con  trôleur, un arbre à carnes, etc.), le commu  tateur     K    peut assumer la forme d'un commu  tateur tournant synchroniquement avec ledit      organe, de manière à fermer l'interruption  a2 as (fie. 3a) ou b2 bs (fie. 3b) de rang n  lorsque le     combinateur    se trouve au cran n.  



  Si le régulateur est constitué par un en  semble de contacteurs soit verrouillés électri  quement entre eux (interlock), soit commandés  mécaniquement, le commutateur     E    peut être  remplacé par huit contacts 1-l', 2-2', 3-3',  etc., établis successivement par ces contac  teurs.  



  4  Un quatrième dispositif soumis à la  différence U-Un qui se manifeste entre les  deux tensions mises en opposition par le dis  positif précédent, et destiné à agir sur le  régulateur toutes les fois que cette différence  de tension atteint une certaine valeur vn,  indice d'un écart Nn correspondant à l'étape  n à laquelle se trouve le régulateur, cette  action ayant pour effet de faire avancer le  régulateur au cran n + 1 dans le cas où la  différence de tension et l'écart de vitesse  sont positifs, et de faire reculer le régulateur  au cran n-1 dans le cas où cette différence  et cet écart sont négatifs.  



  Ce dispositif comprend essentiellement un  relais polarisé W, intercalé dans le circuit  où la dynamo     E    du dispositif fournissant la  tension U et la résistance subdivisée R2 ou  bien le générateur G du dispositif fournissant  les tensions Un sont en position, un commu  tateur C commandé par ce relais, et un  appareil d'actionnement Y, alimenté à travers  ce commutateur C et commandant le régula  teur de l'équipement non représenté dans les  fie. 3p et 3b.  



  Ce régulateur se trouvant au cran     n,     approprié au niveau où la vitesse assume les  valeurs minimum N'n, moyenne Nn, maximum  N"n, doit être porté au cran n + 1 si la  vitesse N des moteurs, dépassant la vitesse  Nn de l'écart Mn, atteint la vitesse N"n,  c'est-à-dire si la tension U dépasse la  tension Un de l'écart vn, et doit être  porté au cran n - 1 si la vitesse  N des moteurs, passant au-dessous de la  vitesse Nn de l'écart Mn, atteint la vitesse  N'n, c'est-à-dire si la tension U passe     au-          dessous    de la tension Un de l'écart vu.    C'est à effectuer cet avancement ou ce  recul que servent le relais W, le commuta  teur C et l'appareil d'actionnement Y.  



  Le relais W comprend soit une seule  bobine et est soumis à la tension U-Un,  soit deux bobines alimentées l'une par la  tension U et l'autre par la tension Un et  agissant sur l'équipage mobile en sens opposé.  



  La différence entre ces deux dispositions  ressort nettement de la comparaison des  fie. 12 et 14 d'une part, et des fie. 13 et 14  d'autre part dont le détail sera expliqué plus  loin.  



  Dans le cas du relais à deux bobines, si  Ro et So sont les résistances respectives des  circuits contenant les deux bobines, p et q  les nombres de spires des deux bobines, et  si l'on suppose que Un et U sont propor  tionnelles aux vitesses Nn et N, avec des coeffi  cients de proportionnalité, h et k, l'action  d'ensemble des deux bobines sur l'armature  du relais est égale à:  phNn/Ro - qkN/So  Pour que cette action s'annule, lorsque  Nu = N, il faut que:       phIlio        -=        qk/So     condition qui peut être satisfaite de nom  breuses manières.  



  Le relais à bobine unique est un cas  particulier du précédent dans lequel     p   <I>= q,</I>       h=ketBo=So.     



  Dans l'un et l'autre cas, le relais W est  réglé de     manière    que son équipage mobile;  rappelé dans une position moyenne par le  ressort<I>f,</I> dévie à droite lorsque     U-Un    est  positive et ferme l'interruption     ca   <I>a</I> du commu  tateur C lorsqu'elle atteint la valeur     +        Zn,     tandis qu'il dévie à gauche lorsque     U-Un     est négative et ferme l'interruption     r   <I>r</I> du  même commutateur lorsqu'elle atteint la va  leur -     vn.     



  Comme le ressort f est     réglé    une fois  pour toutes, il faut que l'équipage mobile du  relais W soit parcouru par un courant at  teignant au moins une certaine valeur pour      que cet équipage mobile ait la force de fermer  l'une ou l'autre de ces interruption a, a ou r, r.  Or, le courant est déterminé, à chaque cran n,  par l'écart de tension vn, qui dépend de l'écart  de vitesse Mn, et par la résistance totale du  circuit O, R2, K, R3, IV, L', 0. La résistance       Rs    sert précisément art réglage de cette  résistance totale à chaque étape de réglage  de vitesse.  



  Dans tous les cas, les résistances élémen  taires de     Rs    sont à déterminer une à une  par le calcul.  



  Lorsque la coupure a a est fermée, une  source locale de courant, qui pourrait être  une fraction d'une résistance     potentiométrique     analogue à R1 + R2 ou un petit     moteur-          générateur,    ou bien ces appareils eux-mêmes,  lance dans l'appareil d'actionnement Y un  courant dirigé de façon à faire tourner son  armature à droite, par quoi le régulateur est  avancé du cran n au cran n + 1.

   Lorsque  c'est la coupure     r   <I>r</I> qui est fermée, la même       source    locale lance dans l'appareil     d'actionne-          ment    Y un courant dirigé de façon à faire  tourner sort armature à gauche, par quoi le  régulateur est reculé du cran n au cran n-1.  



  Dans les fig. 3a, 3b et 10, le relais po  larisé IV est constitué par un aimant per  manent entre les pôles NS duquel une arma  ture peut tourner dans un sens ou dans  l'autre selon que U dépasse Un (fig. 3a) ou  Un dépasse U (fig. 3b). Dans les fig. 9 et 11,       l'aimant        permanent    est remplacé par un  électro-aimant. Mais ce relais pourrait pré  senter tout autre foime équivalente.  



  Le commutateur C, commandé par le  relais IV, peut agir sur l'appareil     d'actionne-          ment    Y soit directement (comme indiqué dans  les fig. 3a et 3b), soit indirectement (comme  indiqué dans la fig. 3c) ara moyen, par exemple,  de relais Wa et Wr à réponse immédiate, ou  différée, ou prolongée, suivant l'organisation  du relais W et de l'appareil     d'actionne-          ment    Y.  



  Dans cette fig. 3c, les interrupteurs y re  présentent les interrupteurs x, y, z des fig. 58  à     5e,    dont le fonctionnement sera exposé plus  loin.    Dans les fig. 3a et 3b, l'appareil     d'action-          nement    Y est constitué par une dynamo  dont l'armature est susceptible seulement  d'un déplacement angulaire limité, P et Q  sont deux parties du champ inducteur;     g    est  l'armature, rappelée à sa position initiale  par le ressort     F    lorsque le courant qui ali  mente la machine est interrompu.

   Cette  armature tend à tourner à droite ou à gauche  selon que le courant, fourni par une source  locale à la borne t de la machine, sort par  la borne<I>q</I> ou par la borne<I>p,</I> c'est-à-dire  selon que le relais W ferme la coupure a a  ou la coupure<I>r r</I> du commutateur     C    Cet  appareil     d'actionnement    Y doit donc faire  avancer le régulateur du cran n au cran  n     --\--    1 ou le faire reculer du cran n au cran  n - 1, selon que son armature tourne à  droite ou à gauche.  



  Mais cet appareil     d'actionnement    pourrait  assumer tout autre forme équivalente comme  celle de deux électro-aimants à succion, en  traînant l'art l'avancement et l'autre le recul  du régulateur, ainsi qu'il est indiqué dans la       fig.    4.  



  Quant à la nature du mécanisme inter  médiaire entre l'appareil     d'actionnement     et le régulateur de l'équipement, elle dépend  du type de ce régulateur.  



  Supposons comme plus haut, toujours à titre  d'exemple, que ce régulateur comporte un  organe tournant assumant une certaine posi  tion à chaque étape de réglage n, comme  un cylindre contrôleur, un arbre à came, etc.  Alors ce mécanisme pourrait assumer, par  exemple, la forme schématisée dans les     fig.     <B>5.</B> à     5b,    qui n'en représentent qu'une moitié  (celle destinée à l'avancement du régulateur),  l'autre moitié non représentée (destinée au  recul du régulateur) pouvant être symétrique  de la moitié représentée.  



  L est un levier commandé par l'appareil       d'actionnement    Y au moyen d'une pièce  agissant en     in    (voir     fig.    4). Ce levier tourne  autour de l'arbre de l'organe tournant du  régulateur duquel est solidaire la roue R  supposée avoir vingt dents, pas de<B>180.</B>      M est une manivelle tournant autour du  même arbre. Elle présente un logement C  dans lequel est engagé un bossage du levier  L. Logement et bossage sont profilés de  manière que le levier L ne puisse entraîner  la manivelle M à droite que lorsque l'angle  de ces deux pièces atteint 102  , et qu'il ne  puisse l'entraîner à gauche que lorsque l'angle  de ces deux pièces est réduit à 90  .  



  A est un poussoir d'avancement de la  roue R, mû par la manivelle M, et T est  un tirant reliant le poussoir A au levier L.  



  Les quatre pièces LMAT forment un  parallélogramme articulé dont l'angle en G  peut varier entre 90   et 102  . Un ressort H  tend à ramener cet angle à 90 .  



  F est un ressort tendant à rappeler le  levier L dans la position initiale qu'il assume  dans les fig. 5a et 5e; ce ressort est inutile  si l'appareil d'actionnement Y est lui-même  muni d'un ressort ayant le même effet.  



  V est un butoir à molette serré par un  ressort u contre un arrêt v.  



  Si, au moyen de l'appareil d'actionnement  Y, on a baissé le levier L d'un angle com  pris entre 0   et 12  , la molette du butoir V,  appuyée à l'épaulement e du poussoir A,  empêche le parallélogramme articulé de tourner  en conservant sa forme rectangulaire initiale.  Par conséquent, ce     parallélogramme    se dé  forme en tendant le ressort H, et l'angle en  G passe de 90   à 102  . A ce point, l'épaule  ment e du poussoir A se dégage de la mo  lette du butoir V, et le bec du même pous  soir se loge entre les dents a et b de la  roue R (fig. 5b).  



  Si, toujours au moyen de l'appareil     d'ac-          tionnement    Y, on baisse encore le levier L,  portant son inclinaison de 12  à 30 , le  parallélogramme, dégagé de l'action de la  molette du butoir V, ne pouvant pas se dé  former d'avantage, tourne d'une seule pièce  et fait tourner la roue R de 18  , amplitude  égale au pas de la roue. Les dents a et b  remplacent ainsi dans l'espace les dents b  et c (fig. 5b).  



  Si, à ce moment, l'action de l'appareil  d'actionnement Y cesse, le ressort F du mé-    canisme (fig. 5), ou bien le ressort F de  l'appareil d'actionnement Y (fig. 3a et 3b),  rappelle le levier L vers le haut, et le ressort  H ramène l'angle en G de 102  à 90 ;  alors le bec du poussoir A se dégage des  dents de la roue R (fig. 5d).  



  Ensuite le parallélogramme articulé, sous  l'action du ressort F, recule encore et la  molette du butoir 6' reprend sa place contre  l'épaulement e du poussoir A (fig. 5e).  



  Pour faire cesser l'action de l'appareil  d'actionnement Y et faire cesser l'abaissement  du levier<I>L</I> lorsque la roue<I>R a</I> avancé d'une  dent<B>(180),</B> il suffit d'interrompre, dans la  position de la     fig.        5a,    le courant qui alimente  l'appareil     d'actionnement    Y.  



  A cet     effet,    le levier L ou une autre pièce  solidaire peut être muni d'un riez N qui, en  fin de course, ouvre un interrupteur     x   <I>y</I> main  tenu normalement fermé par un ressort z.  



  Pour empêcher que cet interrupteur     x   <I>y</I>  se referme aussitôt     que    le levier L commence  à remonter, il suffit de prévoir une pièce     S     poussée par un ressort s venant retenir l'or  gane mobile x de l'interrupteur malgré l'ac  tion du ressort z     (fig.        5,,    et     5d).     



  Pour rétablir les conditions initiales     (xy     fermé.) lorsque le levier L se rapproche de  sa position initiale, il suffit de prévoir une  molette sur le levier L (ou sur une pièce  solidaire) déplaçant au bon moment la pièce  <B>8</B> et libérant ainsi l'organe mobile x de l'in  terrupteur     (fig.    5e).  



  Les     fig.        5a    à     5.    supposent que la roue R,  actionnée pour produire l'avancement du régu  lateur de l'équipement, est une roue à rochet.  L'autre moitié du     mécanisme,    destinée à  produire le recul du même régulateur, devrait,  dans cette hypothèse, comprendre     unedeuxièrne     roue à rochet symétrique de la première     (fig.    4).  Mais en fait, la roue R peut être quelconque,  quitte à donner au bec du poussoir     t1    une  forme appropriée à sa denture, et être com  mune aux deux demi-mécanismes d'avancement  et de recul.  



  D'ailleurs ces opérations d'avancement et  de recul du régulateur peuvent être réalisées      par d'autres dispositifs que celui décrit     ci-          dessus    à titre d'exemple à cause de sa sim  plicité.  



  Les dispositions précédentes s'appliquent  au cas d'équipement opérant le réglage de  la vitesse seulement au démarrage, le freinage  n'étant pas électrique, ou seulement au freinage,  le démarrage étant à la main. Ces équipe  ments présentent un seul système de con  nexions communes à toutes les étapes de  réglage entre les organes principaux, moteurs,  résistances, groupe de réglage, excitatrice,  ete., et une seule série de réglage, connexions  variables, excitations diverses, etc.  



  Il y a lieu de considérer aussi les équi  pements opérant le réglage de la vitesse tant  pour le démarrage que pour le freinage. Ces  équipements présentent un premier groupe  de connexions communes à toutes les étapes  de réglage du démarrage, un deuxième groupe  de     connexions    communes à toutes les étapes  de réglage du freinage et, ou bien deux  séries de réglage tout à fait distinctes, ou  bien une seule série de réglage avec quelques  éléments d'ajustage adaptant cette série unique  aux deux opérations.

   Un appareil spécial dit  inverseur de démarrage et de freinage est  alors prévu, soit exclusivement pour passer  d'un ensemble de connexions communes à  l'autre et d'une série de réglage à l'autre,  soit pour passer d'un     ensemble    de connexions  communes à l'autre et pour agir sur les  éléments d'ajustage de la série unique de  réglage selon l'opération à effectuer.  



  L'organe mobile de cet appareil présente  généralement trois positions: (D) de démar  rage, (O) moteurs sans courant, (F) de freinage.  



  C'est grâce à cet appareil que le conduc  teur dur train peut, à un moment quelconque,  produire à volonté une augmentation de la  vitesse (position D) ou une diminution de la  vitesse (position F), sans passer, avec les  moteurs marchant à vide, par toute une suite  (le crans intermédiaires de réglage sans     titi-          lité    immédiate.  



  Ce même appareil peut être utilisé pour  modifier encore, si nécessaire, lorsque l'on    passe du démarrage au freinage ou inverse  ment, quelques éléments susceptibles de servir  à l'ajustage non plus des réglages, ruais de  la commande automatique du     combinateur    de  l'équipement, pendant deux opérations, ainsi  qu'il sera montré par quelques exemples.  



  Considérons à     nouveau    l'équipement à  1000 volts à huit étapes de réglage indiqué  plus haut, et supposons d'avoir à commander  automatiquement le réglage des deux opéra  tions: démarrage et freinage.     Supposons    la  commande du régulateur pourvue d'an dis  positif à résistance     potentiométrique    comme  dans les     fig.        3p,    et 36. Pour plus de simpli  cité, on supposera encore que la correspon  dance entre tensions et vitesses soit la simple  proportionnalité.  



  Pour le démarrage, la     première    résistance  élémentaire 0-1 doit être proportionnelle à  20 et toutes les suivantes à<B>57</B> ; pour le  freinage, la première résistance élémentaire  0-1 doit être proportionnelle à 109 et toutes  les suivantes à 83.  



  Sans que cela soit indispensable, il con  vient de considérer une série intermédiaire  de résistances élémentaires. A titre d'exemple,  on supposera que la     première    résistance élé  mentaire 0-1 sera proportionnelle à 100, et  les suivantes 1-2, 2-3, etc. à 70     (fig.    6).  



  Les trois séries de résistances élémen  taires peuvent être obtenues en subdivisant  de trois manières     différentes    une même rési  stance     R2,    que l'on équilibrera par une même  résistance Ri subdivisée d'une manière cor  respondante appropriée. La résistance     R2    sera  connectée à trois séries de huit plots     a2,   <I>c2,</I>     b2     et la résistance     Rs    à trois autres séries de  huit plots as, es,     bs,    les deux plots de série  et de rang correspondants se faisant face sur  un commutateur triple     K        (fig.    7).

   Aux trois  paires     a2   <I>as,</I>     c2        es,        b2        bs,    de séries de plots,  correspondent trois organes mobiles     K    (a),       g   <I>(c),</I>     K   <I>(b)</I> solidaires entre eux et fonction  nant synchroniquement avec le régulateur  de l'équipement.

   Mais ces trois organes com  portent chacun une interruption, et l'une ou  l'autre de ces trois interruptions     s2        ss,        f2        1s,          r < 2    us sera fermée au moyen d'un commuta-           teur    Z entraîné par l'inverseur de démarrage  et de freinage. De sorte que, si cet inverseur  se trouve dans la position D (ou O, ou F),  c'est l'interruption s2 s3 (ou t2 ts ou u2 us)  qui est fermée par la pièce s (ou t, ou n) du  commutateur Z, et c'est l'organe mobile K (a)  (ou g (c), ou K (b), qui règle les résistances  R2 et R3 du circuit O, R2, K, Rs, W, E, 0.  



  En outre, comme l'écart de vitesse M est  de 28,5, 35,0 et 41,5 tours par minute res  pectivement au démarrage, dans la marche  à vide et au freinage, l'écart de tension V  qui doit amener la fermeture du commutateur  0 par le relais W varie de même. Et pour  que le courant dans l'équipage mobile du  relais W atteigne la valeur nécessaire, il faut  que la résistance totale du circuit o, R2,  K, R3, W, E, o augmente quand on passe  d'une     man#uvre    à l'autre dans l'ordre indiqué.  A cette fin, l'inverseur de démarrage et de  freinage peut être chargé de décourt-circuiter  successivement deux résistances R's et R"3  placées dans ledit circuit quand il passe de  la position D à la position O et de celle-ci  à la position F.  



  Mais il vaut mieux alors que l'inverseur  de démarrage et de freinage possède cinq  positions au lieu de trois, dont deux D' et  F' intermédiaires respectivement entre D et 0  et entre O et F, dans lesquelles, les moteurs  tournant à vide comme dans la position O,  l'ajustement des résistances élémentaires de  R2 et Rs est déjà accompli.  



  De cette manière, si la vitesse des moteurs  est, par exemple, de 380 tours par minute,  et si l'inverseur de l'équipement se trouve  dans la position O, le régulateur de l'équipe  ment se trouvera à l'étape de réglage 5, qui  est une étape intermédiaire entre l'étape 7 qui  conviendrait à cette vitesse durant le démar  rage, et l'étape 4 qui conviendrait à la même  vitesse durant le freinage. Mais si le conduc  teur du train prévoit qu'il devra bientôt aug  menter (ou diminuer) la vitesse et met l'in-    verseur dans la position D' (ou F'), le     com-          binateur    passe     successivement    aux crans 6  et 7 (ou au cran 4) avant encore que le  conducteur ne mette les moteurs eu charge  en     plagant    l'inverseur dans la position D  (ou F).

    



  A défaut de ces positions transitoires D'  et F', le     démarrage    ou le freinage commence  à la position D ou F à l'étape 5 par un  courant trop faible ou trop fort.  



  On peut très bien renoncer à l'emploi de  la série de résistances élémentaires c, inter  médiaire entre les séries a propre au démar  rage et b propre au freinage et se servir  pendant la marche à vide des moteurs, de  la série     b    appropriée au freinage. Dans ces  conditions et si l'on supprime les positions  transitoires D' et     F    à l'inverseur, on ren  contre le seul inconvénient, très supportable;  que le courant à la reprise du démarrage est  un peu trop faible, comme il arrive d'ailleurs,  et dans des proportions plus importantes,  dans les     équipements    ordinaires à rhéostats  où le régulateur est ramené, pour la marche  à vide, au cran extrême zéro.  



  Que l'on adopte trois ou deux séries de  résistances élémentaires, il est possible de  simplifier le commutateur     K    synchronisé au  régulateur de l'équipement, à condition de  compliquer le commutateur Z synchronisé à  l'inverseur de démarrage et de freinage de  l'équipement.  



  En     effet,    sauf les trois résistances élémen  taires d'ordre -a = 1, respectivement propor  tionnelles à 20; 100, 109, toutes les autres  sont égales et proportionnelles     â,    57, 70, 83  dans les trois séries. On peut. donc se servir  de résistances élémentaires proportionnelles  à 57, appropriées au     démarrage,    dans les  trois     manceuvres,    quitte à court-circuiter suc  cessivement deux résistances R'4 et     R"4,     placées en série avec Ri     +    R2, en passant  de la position<I>(D D')</I> à la position (0) et  de celle-ci à la position (F' F).

   Si les pro  portions suivantes sont respectées:  
EMI0010.0018     
      ces court-circuitages successifs amènent entre  deux bornes consécutives de     R2    des tensions  proportionnelles à 57 : 70 : 83, sans modifica  tion de la résistance élémentaire intercalée  (fig. 8).  



  Ces court-circuitages peuvent être effec  tués par le commutateur Z en même temps  que les substitutions nécessaires pour modi  fier la valeur de la première résistance     élé-          rnentaire    0-1, partie inférieure de Z, et en       même    temps que le réglage de la résistance  influençant l'effort du relais W, partie su  périeure de Z.  



  Si ce relais w possède une excitation  artificielle (fig. 9), sa sensibilité peut encore  être diminuée, comme elle doit être; eu  passant du     démarrage    à la marche à vide  et de celle-ci art freinage, en décourt-circuitant  (déshuntant) successivement deux résistances  r'3 et r"3 placées dans le circuit de cette  excitation, et cette opération peut aussi être  confiée au commutateur Z synchronisé à l'in  verseur.  



       Au    sujet de l'écart de tension v et de  l'écart de vitesse M déterminant un change  ment de cran au régulateur de l'équipement,  il convient que ces écarts soient plutôt     au-          dessus    qu'au-dessous de la moitié de la dif  férence entre deux tensions moyennes Un et  Un + 1 ou entre deux vitesses moyennes  Nn et Nn + 1 consécutives.

   En effet si l'écart  de vitesse M dépasse la moitié de la dif  férence entre deux vitesses moyennes consé  cutives, il peut se faire que, lorsque la vi  tesse N des moteurs passe par une vitesse  proche de la moyenne entre ces deux vitesses  moyennes, deux étapes de réglage puissent  lui correspondre et que le passage du régu  lateur de l'équipement d'un cran à l'autre       ,#e    produise avec un certain retard, ce qui  entraîne seulement une diminution du courant  moyen de démarrage ou de freinage.

   Mais si  le même écart de vitesse     31    est     moindre    que  la moitié de la     différence    entre deux vitesses  moyennes     consécutives,    les moteurs peuvent  passer par une vitesse intermédiaire entre  ces deux vitesses ne correspondant à aucune  étape de réglage, ce qui     amènera    le régula-         teur    à osciller entre deux étapes de réglage  arrêtant ainsi la succession normale des dif  férentes étapes de démarrage ou de freinage.  



  Si le dispositif fournissant les tensions Un,  au lieu d'être constitué par une résistance       potentiométrique        Ri        --f-        R2,    dont la partie     R2     subdivisée en plusieurs résistances élémen  taires, est constitué par un     moteur-générateur     dont ont fait varier ou bien la vitesse du  moteur, ou bien l'excitation du générateur,  ou bien ces deux éléments à la fois, dans le  cas d'un équipement à démarrage et à freinage  contrôlés, il faudra faire subir deux séries de  réglage à ladite vitesse, où à ladite excitation,  ou à ces deux éléments à la fois, selon que  se déroule le démarrage ou le freinage.  



  Le nombre des étapes de réglage étant     in,     il faudra avoir recours d'abord à un commu  tateur     K   <I>à</I>     m    positions synchronisé avec le  régulateur de l'équipement, et avoir recours  ensuite à un commutateur     K    à trois positions  principales, plus deux positions transitoires  intermédiaires éventuelles, synchronisé avec  l'inverseur de démarrage et de freinage de       héquipement    pour transformer selon les be  soins, au moyen de certains éléments d'ajus  tage, une certaine série de réglage. en deux  séries et éventuellement en trois séries de  réglage, d'une manière analogue à celle ex  posée plus haut.  



  Lorsque le régulateur de l'équipement ne  règle qu'une     manoauvre,    démarrage ou frei  nage,' le     conducteur    du train ne peut avoir  à choisir, à un moment quelconque de cette       manoeuvre,    qu'entre faire marcher les moteurs  en charge ou les faire marcher à vide, ce  qu'il obtiendra au moyen d'un interrupteur  avec manette à deux positions.  



  Lorsque le régulateur de l'équipement  règle les deux     manceuvres,    démarrage et frei  nage, le conducteur du train peut avoir à  choisir, à un moment quelconque, entre aug  menter la vitesse, démarrage ou reprise du  démarrage, ou diminuer la vitesse, freinage  ou reprise du freinage, ou faire marcher les  moteurs à vide, ce qu'il obtiendra au moyen  d'un inverseur avec manette à trois positions.

        Mais il est facile de le mettre en mesure  de suspendre temporairement le réglage auto  matique du démarrage ou du freinage en  arrêtant le régùlateur à un certain cran, de  manière à permettre aux moteurs de par  courir une plus grande partie de la courbe  vitesse-courant que la partie comprise dans  le zigzag correspondant au démarrage ou du  freinage sous contrôle, et de reprendre ensuite  le réglage automatique de cette opération,  d'accélérer ou de ralentir le démarrage ou le  freinage sous le réglage automatique.  



  a) Pour rendre possible la suspension  temporaire du réglage automatique de la  vitesse des moteurs, il suffit de prévoir, soit  un interrupteur z sur le circuit qui alimente  l'appareil d'actionnement Y (fig. 3a et 3b),  soit un interrupteur     x    sur le circuit qui ali  mente le relais W (fig.3a, 3b, 7, 8, 10).  Cette deuxième disposition est préférable.  



  Lorsque le conducteur du train referme  cet     interrupteur,    la commande automatique  du régulateur et, par conséquent, le réglage  automatique de la vitesse reprend,     sous    les  différences de vitesse N-Nn et de tension  U-Un anormales, sans inconvénient pratique,  car le passage d'un cran à l'autre se pro  duira sous un courant plus réduit qu'à l'or  dinaire; il pourra même arriver que deux  passages de cran se suivront sans intervalle.  



  b) Pour rendre possible une accélération  ou un ralentissement temporaire du démar  rage ou du freinage, il suffit de prévoir quel  que disposition qui change l'échelle des vi  tesses moyennes Nn caractéristiques des m  étapes de réglage, de manière qu'il en ré  sulte une augmentation ou une diminution  de la valeur du courant moyen de démarrage  ou de freinage.  



  Pour ralentir le démarrage et pour accé  lérer le freinage, il suffit de relever les va  leurs des vitesses Nn; pour accélérer le dé  marrage et pour ralentir le freinage, il suffit  de les abaisser.  



  Les écarts de vitesse Mn ou l'écart com  mun     M    varient dans le même sens que les  vitesses Nn.    Comme on a Nn = N lorsque Un = U,  c'est-à-dire lorsque Un = K N, il y a deux  moyens de relever l'ensemble des étapes de  vitesse: 1  augmenter les valeurs des ten  sions Un fournies par le dispositif II (résis  tance subdivisée ou moteur-générateur), 2  di  minuer la valeur de la tension U fournie (à  toutes vitesses) par le dispositif I,     c'est-à-          dire    l'excitation de la dynamo E.  



  Donc, on parvient à ralentir le     démarrage     ou à accélérer le freinage:  1  En court-circuitant une résistance R5  en série avec     Bz    ou faisant partie de la ré  sistance     potentiométrique,    si le dispositif II  est ainsi constitué     (fig.    10);

         2     En augmentant la vitesse du moteur       1V1,    ou l'excitation du générateur G, ou ces  deux éléments à la fois, si le dispositif Il  comporte un     moteur-générateur   <B>HG;</B>  3  En     décourt-circuitant        (déshuntant)    une  résistance     r5    en série avec le champ de la  dynamo     E    du dispositif I.  



  Et on parvient à accélérer le démarrage  ou à ralentir le freinage par des opérations  inverses des précédentes.  



  Toutes ces opérations peuvent être effec  tuées par le conducteur du train en pressant  ou en lâchant des boutons tels que a',<I>b',</I>  a",     b",    etc.  



  Il va sans dire que toutes ces opérations  sont applicables, sans changement aucun, à  un équipement à courant alternatif (mono- ou  polyphasé)     (fig.    11).  



  L'accélération ou le ralentissement du  démarrage ou du freinage peut également  être commandé par un dispositif multiple,  c'est-à-dire qui permette de réaliser des ac  célérations et des retardements à plusieurs  degrés progressivement croissants, grâce à un  changement progressif de la gamme des vi  tesses moyennes     Nn,    en agissant soit sur le  dispositif qui fournit les tensions Un, soit  sur celui qui fournit la tension U.  



  On devra alors prévoir un dispositif mul  tiple pour modifier en correspondance la sen  sibilité du relais W, c'est-à-dire l'importance  de l'action qui le met en fonctionnement,      action résultant des tensions U et Un et du  ressort antagoniste.  



  Ces deux dispositifs multiples pourront  d'ailleurs être conjugués de manière que leur  commande harmonique se fasse par     un    organe  unique.  



  Enfin la commande de cet organe pourra  être faite  a) Par la même manette qui commande  déjà ou bien le connecteur de démarrage  dans le cas où le démarrage est la seule  opération à effectuer, ou bien l'inverseur de  démarrage et de freinage s'il s'agit de réali  ser ces deux opérations;  b) Par la manette du contrôleur de     ma-          rroeuvre,    dans le cas où la commande du  connecteur de démarrage ou de l'inverseur  de démarrage et de freinage n'est pas faite  directement à la main, mais à distance par  un servomoteur quelconque.  



  Dans les fig. 12 et 13, les dispositifs  accélérateurs ou ralentisseurs multiples à  action graduelle agissent sur une résistance  R5 remplaçant les résistances R5a, R5b des  fig. 10 et 11 et divisée en plusieurs éléments  reliés par des conducteurs appropriés à une  série de plots; ces éléments peuvent être  ainsi court-circuités ou décourt-circuités en  nombre plus ou moins grand par le curseur  ou équipage mobile P d'un dispositif H com  mandé à la main ou par un servomoteur.  Cet équipage mobile peut décrire un chemin  circulaire comme fig. 12 ou rectiligne comme  fig. 13. L'accélération ou le ralentissement  du démarrage ou du freinage peut ainsi  s'obtenir d'une manière progressive entre un  démarrage très lent ou un freinage très ra  pide et un démarrage très rapide ou un frei  nage très lent.  



  Quant au dispositif destiné à changer la  sensibilité du relais IV, il consiste, par exem  ple, en une résistance S agissant comme les  résistances R's, R"s (fig. 7 et 8) et placée  soit dans le circuit de la bobine unique sou  mise à la différence U-Un (fig. 12), soit  dans le circuit de la bobine alimenté par la  tension U dans le cas d'une bobine double       (fig.    13). Cette résistance S est également    divisée en plusieurs éléments qui peuvent  être successivement court-circuités ou     décourt-          circuités.     



  Les deux dispositifs pour mettre succes  sivement en et hors circuit, les résistances     R5     et S peuvent être     conjugués    pour commande       unique.    Le     curseur    P, circulaire     (fig.    12), ou  rectiligne 13, est disposé de manière à co  opérer à la fois avec les plots successifs de       1L5    et avec les plots successifs de S.  



  Dans les     fig.    14 et 15, les dispositifs ac  célérateurs ou ralentisseurs multiples à action  graduelle agissent dans les mêmes conditions  que     fig.    10 sur une résistance     r5    faisant partie  du circuit d'excitation de la dynamo<B>E</B> qui  fournit la tension U, mais divisée en plu  sieurs éléments reliés par des conducteurs  appropriés à une série de plots, éléments qui  peuvent être mis successivement en circuit  ou hors circuit par le curseur ou équipage  mobile P du dispositif H. .  



  Le dispositif destiné à changer la sensi  bilité du relais     9T    consiste, comme dans les       fig.    12 et 13, en une résistance S placée dans  le circuit de la bobine unique     (fig.    14) ou de  la bobine double     (fig.    15) et divisée en plu  sieurs éléments mis successivement en circuit  ou hors circuit par le curseur P du disposi  tif H ci-dessus.  



  Dans certains cas, le dispositif pour ac  célérer ou ralentir le démarrage ou le frei  nage, ainsi que celui pour modifier en consé  quence la sensibilité du relais IV, au lieu  d'être commandé par une manette spéciale,  peut être commandé par la manette qui  commande déjà, ou bien l'interrupteur de       démarrage,    dans le cas où le démarrage est  la seule opération à     effectuer,    ou bien l'in  verseur de     démarrage    et de freinage, s'il  s'agit de réaliser ces deux opérations.  



  La     fig.    16 est une forme d'exécution dans  le cas où ces deux opérations sont à effectuer,  et montre comment on peut déterminer un  démarrage ou un freinage plus ou moins  rapide à volonté par la     manoeuvre    de l'in  verseur correspondant. On a supposé dans  cette figure que les deux réglages nécessaires  se font en agissant sur des résistance Set R5      comme dans les fig. 12 et 13, mais un mon  tage tout à fait analogue peut être utilisé dans  le cas où l'on agit sur les résistances Set     r5     (fig. 14 et 15) ou de toute autre manière  analogue.  



  L'inverseur de démarrage et de freinage  comprend dans ce cas  1  Une partie 1 préparant, comme indiqué  plus haut, les connexions principales     néces-          saires    au démarrage ou au freinage et éta  blissant ou coupant le courant; 2  une partie  correspondant, dans la forme d'exécution  représentée fig. 8 à la partie de l'inverseur  agissant sur les plots s à a, et faisant varier  d'une part au moyen de la résistance Rs le  niveau de la vitesse moyenne N1 la plus  basse, d'autre part au moyen de la résistance       R4    la     différence    de niveau entre deux vitesses  moyennes successives quelconques Nn et  Nn + 1, selon qu'il s'agit de démarrer ou  de freiner; 3  une partie H remplaçant le  dispositif H des fig. 12 à lb.  



  Pour utiliser cette dernière partie, on est  amené à donner à l'inverseur de démarrage  et de freinage plusieurs positions successives  de démarrage D1 à D5 et plusieurs positions  successives de freinage F1 à F5, au lieu d'une  seule de chaque sorte.  



  Dans la position D1, la résistance R5 est  complètement court-circuitée par la pièce de  contact Cd, ce qui relève les vitesses moyennes  de démarrage et abaisse les efforts corres  pondants, et la résistance S est complètement  insérée dans le circuit du relais W, ce qui  diminue la sensibilité de cet appareil. Dans  cette position le démarrage est le plus lent.  



  Dans la position D5, la résistance R5  est complètement insérée dans le circuit de       R2,    ce qui abaisse les vitesses moyennes de  démarrage et rehausse les efforts correspon  dants, et la résistance S est complètement  court-circuitée par la pièce de contact Td, ce  qui augmente la sensibilité du relais W.  Dans cette position, le démarrage est le plus  rapide.  



  Dans les positions intermédiaires     D2,   <B><I>Da,</I></B><I> D4,</I>  les pièces Cd et Td court-circuitent une partie    plus ou moins grande des résistances R5 et S  et le démarrage se fait avec des accélérations  intermédiaires.  



  Dans la position F1, la résistance R5 est  complètement insérée dans le circuit de     R2,     ce qui abaisse les vitesses moyennes de frei  nage et réduit les efforts correspondants, et  la résistance     S    est complètement     court-          circuitée    par la pièce de contact     Tf,    ce qui  augmente la sensibilité du relais W. Dans  cette position le freinage est le plus lent.  



  Dans la position     F5,    la résistance     1-i'5    est  complètement court-circuitée par la pièce de  contact     Cf,    ce qui relève les vitesses moyennes  de freinage et accroît les     efforts    correspon  dants, et la résistance S est complètement  insérée dans le circuit du relais     W,    ce qui  diminue la sensibilité de cet appareil. Dans  cette position le freinage est le plus rapide.  



  Dans les positions intermédiaires     F2,        F3,    F4,  les pièces de contact Cf et     Tf    court-circuitent  une partie plus ou moins grande des résis  tances     R5    et S et le freinage se fait avec  des ralentissements intermédiaires.  



  Dans l'installation gui vient d'être décrite,  un démarrage ou un freinage plus ou moins  énergique est donc obtenu simplement en  poussant plus     oui    moins loin la manette même  qui sert au démarrage ou au freinage normal.  Cette combinaison rend donc plus rapide et  plus instinctive la     manoeuvre    à faire par le  conducteur du train.  



  Dans la     fig.    16 on a en outre représenté  en     na    un inverseur pour changer les     connexions     entre l'armature de la dynamo E et le cir  cuit du relais W lorsque l'on invertit la  direction de marche et en     t    une roue auxi  liaire roulant sur un rail et entraînant l'ar  mature de la dynamo E.  



  Si la commande de l'inverseur de démar  rage et de freinage n'est pas faite directement  à la main, mais à distance par un servo  moteur quelconque, les dispositions peuvent  être plus simples.  



  La     fig.    17 montre une forme d'exécution  dans ce cas.  



  L'inverseur de démarrage et de freinage  comporte seulement deux positions: une posi-      Lion de démarrage, et une position de frei  nage qui doit être maintenue pendant la  marche à la dérive et pendant l'arrêt. Dans  l'exemple représenté, le passage d'une posi  tion à l'autre est commandé par l'organe de       man#uvre    M, qui comporte, lui, trois posi  tions principales D, O, F.  



  Sur cet organe de     man#uvre    sont prévus  deux groupes de pièces de contact Pd et Pf  d'une part, Qd et Qf d'autre part. Les pièces  Pd et Pf@agissent sur les électro-aimants D@  et Fo qui placent l'inverseur à la position  de démarrage ou à la position de freinage.  Les plots Qd et Qf ferment les connexions  entre les moteurs de traction et les appareils  destinés à les alimenter.  



  On voit qu'à la position 0 de l'organe  de     man#uvre,    l'inverseur sera à la position  de freinage, mais que les connexions ci-dessus  seront coupées, et qu'aux positions D et F,  l'inverseur sera amené respectivement à la  position de démarrage et à la position de  freinage, tandis que les connexions des mo  teurs seront rétablies.  



  Dans le cas où l'inverseur de démarrage  et de freinage n'est plus commandé directe  ment (fig. 16), mais indirectement (fig. 17)  au moyen d'un organe de     man#uvre    M, les  pièces Cd. Cf destinées à produire, au moyen  de la résistance Rs, l'accélération ou le ra  lentissement du démarrage ou du freinage,  et les pièces Td, Tf destinées à modifier en       conséquence,    au moyen de la résistance     S,     la sensibilité du relais W, ne sont plus por  tées par l'inverseur, mais par l'organe de       man#uvre;

      en conséquence, ce ne sont plus  les deux positions extrêmes de l'inverseur,  mais les deux positions extrêmes de l'organe  de     man#uvre,    qui doivent être décomposées  en plusieurs (de D1 à D5 et de F1 à F5 par  exemple).  



  Pour obtenir un démarrage ou un frei  nage plus ou moins rapide, le conducteur du  train doit alors     pousser    plus ou moins dans  le sens approprié la manette de l'organe de       man#uvre    M.  



  Lorsque le freinage électrique n'est pas  prévu, c'est-à-dire lorsque l'équipement com-    porte, au lieu d'un inverseur de démarrage  et de freinage, un simple interrupteur de dé  marrage, commandé directement ou indirec  tement, les pièces de contact relatives au  freinage<I>Cf,</I>     Tf,        Pf,        Qf    sont supprimées et  les pièces de contact relatives au démarrage,  telles que Cd,     Td,   <I>Pd,</I> sont prolongées si né  cessaire jusqu'à la position 0 de l'interrup  teur de démarrage ou de l'organe de ma  noeuvre qui le commande, à l'exception toute  fois de la pièce<B>QI</B> commandant les con  nexions des moteurs aux appareils destinés  à les alimenter, qui deviennent naturellement  des connexions invariables.  



  La manette     Mi    de l'inverseur de démar  rage et de freinage de l'équipement     (fig.    18)  peut être munie d'un verrouillage la laissant  toujours libre de prendre une des trois posi  tions<I>D', 0, F',</I> mais ne lui permettant de  mettre les moteurs en charge, au démarrage,  position D, au freinage, position F, que  lorsque l'appropriation de l'étage de réglage n  du régulateur de l'équipement au niveau de  la vitesse actuelle N des moteurs est réelle  ment accomplie.  



  A cet     effet,    l'équipage mobile du relais W  destiné à     maneeuvrer    le commutateur C lors  que la     vitesse,    N s'approche d'une des vitesses  extrêmes de l'étape de réglage, peut servir  encore à fermer une interruption s s     (fig.    18)  lorsque la vitesse N se maintient dans les  environs de la vitesse moyenne     Nn    de l'étape  de réglage.

   Cette     interruption    fermée, une  certaine source locale peut envoyer un courant  dans une bobine     X,    qui, alors, retire un  butoir qui s'encastre dans la manivelle     !1I     lorsque celle-ci est dans une des positions  <I>D', 0, F';</I> le conducteur peut, alors, porter  la manivelle     M    dans une des positions D  ou     F.     



       Matériellement,    une partie importante,  tant des appareils constituant le dispositif  de réglage de la vitesse des moteurs, que de  ceux constituant le dispositif de commande  automatique du     combinateur    unique, lequel  est compris dans le dispositif de la     fig.    17,  peuvent être rassemblés en un ensemble à  fermetures étanches, fixé ou suspendu par      des attaches rigides ou élastiques à la caisse  de la voiture, en supposant qu'il s'agit d'équi  pement de traction. Cet ensemble compote  un certain nombre de bornes à courant fort  et à courant faible pour les connexions avec  les moteurs, la ligne, la terre et les appareils  de     man#uvre    à portée du conducteur du  train.

   Une telle réalisation matérielle permet  le remplacement rapide d'un ensemble avarié  par un autre en bon état, et réduit ainsi le  temps de passage des voitures à l'atelier de  réparation.  



  Dans le cas de motrices isolées, le con  ducteur a à     man#uvrer,    outre l'interrupteur  ou l'inverseur, selon que l'équipement est à  une ou deux opérations contrôlées, le bouton  de suspension temporaire du réglage auto  matique et les boutons d'accélération et de  ralentissement du démarrage et du freinage,  l'inverseur de direction de marche et éven  tuellement le démarreur du     groupe    de réglage.  Toutes ces opérations peuvent alors être faites  directement.    Dans le cas de voitures motrices couplées en  parallèle, le conducteur commande à distance  les appareils de chaque motrice au moyen de  circuits et d'organes auxiliaires.

   Si ces circuits  sont sur chaque motrice alimentés par le  groupe de réglage de la motrice, le conduc  teur doit pouvoir faire démarrer le groupe  installé sur sa motrice avant de démarrer les  autres. Cette commande à distance ou in  directe des appareils des différentes motrices  ne gêne en rien le fonctionnement de la  commande automatique des combinateurs de  ces motrices.  



  Par contre, cette commande automatique  des régulateurs présente une caractéristique  qui étend la possibilité d'application du  couplage des motrices en parallèle.  



  En effet, le mode d'appropriation du cran  de chacun des régulateurs du train à la vi  tesse de celui-ci, tant pendant l'inactivité des  moteurs que pendant leur activité, ici pré  conisé, basé sur cette vitesse du train,     offre     l'avantage de permettre le couplage en paral  lèle de motrices même en tous points différents.    Il suffit qu'aux séries de vitesses moyennes  adoptées par les différentes motrices pour  caractériser les différentes étapes de réglage,  correspondent des courants tels que les efforts  de traction correspondants soient proportion  nels aux poids des motrices respectives.  



  Evidemment, cette relation doit être res  pectée non seulement au cours du déroulement  des séries d'étapes de réglage normales, niais  encore au cours du déroulement des séries  d'étapes de réglage exceptionnelles, pour  démarrages ou freinages accélérés ou ralentis.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Installation de commande automatique des régulateurs des équipements de véhicules de traction électrique ou analogue, caractérisée en ce qu'un relais commandant un appareil d'actionnement capable de faire avancer ou reculer l'organe mobile du régulateur qui réalise ladite commande est soumis à l'action de deux tensions opposées dont la première <I>U</I> dépend de la vitesse actuelle<I>N</I> du train et dont la seconde Un dépend de la vitesse moyenne Nn que l'on veut faire correspondre à une position déterminée de cet organe mobile, de manière que si la vitesse N du train passe d'une certaine quantié au-dessus ou au-dessous de la vitesse,
    moyenne Nn rela tive à la position actuelle de l'organe mobile du régulateur, le relais agit sur l'appareil d'actionnement de façon que celui-ci fait avancer cet organe au cran ii + <I>1</I> ou le fait reculer au cran n - 1. SOUS-REVENDICATIONS 1 Installation suivant la revendication, carac térisée en ce que la tension U variable de manière continue dans le même sens que 1e, vitesse du train, et fournie par une dyna mo à courant continu pourvue de moyens pour la faire tourner à une vitesse sensible ment proportionnelle à la vitesse des Mo teurs de traction.
    2 Installation suivant la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée en ce que la série de tension Un est fournie par une résistance potentiométrique comprenant plusieurs résistances élémentaires aux bornes desquelles se présentent les différentes ten sions Un, cette résistance potentiométrique étant soumise entre ses borne extrêmes à une tension sensiblement constante. 3 Installation suivant la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée en ce que la série de tensions Un est fournie par un moteur-générateur pourvu de moyens de réglage.
    4 Installation suivant la revendication et les sous-revendications 1 et 2, caractérisée en ce que, pour opposer à la tension U celle des tensions Un qui correspond à l'étape de réglage atteinte par le régu lateur un commutateur (K) synchronisé est employé avec ce régulateur et qui, à chaque cran de ce dernier, intercale dans un circuit local, en opposition avec les moyens fournissant la tension U, l'en semble des éléments de la résistance potentiométrique qui présente entre ses bornes la tension Un qui correspond au cran du régulateur.
    Installation suivant la revendication et les sous-revendications 1 et 3, caractérisée en ce que, pour opposer à la tension U celle des tensions Un qui correspond à l'étape de réglage atteinte par le régula teur, un commutateur (K) synchronisé est employé avec ce régulateur et qui, à chaque cran de ce dernier, règle d'après ce cran le moteur-générateur placé, sur un circuit local, en opposition avec les moyens fournissant la tension U.
    6 Installation suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 5, caractérisée en ce que, pour déplacer le régulateur, un dispositif comprenant un relais (W) est employé sur lequel les tensions U et Un agissant en sens opposés et disposé pour entrer en action lorsque la différence de tension (U-Un) atteint une certaine limite en valeur absolue, un commutateur (C) disposé pour être actionné par ledit relais et un appareil d'actionnement (Y) déplaçant le régulateur d'un cran en avant ou en arrière selon que la différence de tension (U-Un) est positive ou négative.
    7 Installation suivant la revendication et la sous-revendication 6 avec régulateur pourvu d'un organe tournant d'un certain angle pour passer d'une étape de réglage à une autre, caractérisée en ce que l'appareil d'actionnement (Y) comporte, en double, un parallélogramme articulé qui, par sa déformation, commande l'engagement d'un poussoir avec les dents d'une roue dentée, et qui, par sa rotation, entraîne ladite roue en rotation ou bien revient à sa position initiale, suivant le cas,
    un dis positif de verrouillage étant en outre dis posé pour couper le courant de commande après rotation de ladite roue et pour ré tablir le courant après retour du paral- lèlogramme à sa position initiale. 8 Installation suivant la revendication et les sous-revendications 1 et 2 avec inver seur de démarrage et de freinage, carac térisée par un commutateur (Z) synchronisé avec ledit inverseur et qui, à chaque posi tion de ce dernier, pour démarrage, pour marche à vide, pour freinage,
    adapte au mode de fonctionnement correspondant des moteurs de traction par la mise en ou hors circuit de résistances de réglage appropriés les moyens employés pour fournir les tensions U" et modifie en con séquence la sensibilité du relais (W). 9 Installation suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 8, caractérisée par un interrupteur disposé dans le cir cuit du dispositif d'actionnement du com- binateur de façon à arrêter temporaire ment la succession automatique des phases de démarrage et de freinage et à main tenir le régulateur à une certaine étape de réglage.
    10 Installation suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 9, caractérisée par des contacts mobiles manoeuvrables à la main disposés dans le circuit con trôlant les moyens chargés de fournir la tension U variable suivant la vitesse des moteurs, pour modifier la cadence de suc cession des phases de démarrage et de freinage. 11 Installation suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 10, caractérisée par des contacts mobiles man#uvrables à la mains disposés dans le circuit con trôlant les moyens chargés de fournir les différentes tensions Un pour modifier la cadence de succession des phases de dé marrage et de freinage.
    12 Installation suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 10, caractérisée par des dispositifs multiples pour l'ac célération et le ralentissement du démar rage ou du freinage suivant le cas pour permettre de passer à volonté d'un dé marrage ou d'un freinage déterminé à une série d'autres plus ou moins rapides. 13 Installation suivant la revendication et la sous-revendication 12, caractérisée en ce que le dispositif multiple accélérateur et ralentisseur du démarrage et du frei nage agit, pour obtenir un changement progressif de la gamme des vitesses moyennes Mn, sur l'un des deux disposi tifs qui fournissent respectivement les tensions Un et la tension U.
    14 Installation suivant la revendication et les sous-revendications 12 et 13, carac térisée par un dispositif multiple pour modifier en même temps la sensibilité du relais qui agit sur l'appareil d'actionne- ment. 15 Installation suivant la revendication et les sous-revendications 12 à 14, carac térisée en ce que le dispositif multiple accélérateur et ralentisseur du démarrage et du freinage est conjugué avec le dis positif multiple modificateur de la sensi bilité du relais, de manière que leur com mande se fasse par un organe unique.
    16 Installation suivant la revendication et les sous-revendications 12 à 15, caractéri sée en ce que le dispositif multiple pour accélérer et ralentir le démarrage et le freinage et le dispositif multiple pour modifier en conséquence la sensibilité du relais (W) sont commandés par la même manette qui commande l'établissement des connexions de démarrage et de frei nage. 17. Installation suivant la revendication et les sous-revendications 1 à 16, avec in verseur de démarrage et de freinage, caractérisée par des moyens de verrouillage de la manette de l'inverseur de démarrage et de freinage pour empêcher la mise en activité des moteurs avant l'arrivée du régulateur à la position qui correspond à la vitesse des moteurs.
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