Porte-mousqueton. L'objet de l'invention est un porte-mous- queton, par exemple pour l'attache des ani maux, l'aviation, la marine, les travaux pu blics.
Il comporte, comme d'autres porte-mous- queton, connus pour l'attachage des animaux, deux mâchoires qui peuvent effectuer un mouvement de rotation relatif et laissent entre elles, à la position de fermeture, un espace oh est logée une pièce coopérant à l'emploi du porte-mousqueton. Mais il s'en distingue par un verrou, servant à mainte nir les deux mâchoires à la position de fer meture, pivotant sur l'une d'elles, agissant sur l'autre, soumis à l'action d'un ressort et disposé de manière que lorsqu'on ferme les mâchoires, il prenne automatiquement la po sition à laquelle il les maintient à cette po sition de fermeture.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, trois formes d'exécution du porte- mousqueton, destinées à l'attache d'animaux.
Les fig. 1 et 2 sont deux vues de face (l'une partie en coupe) d'une première forme d'exécution et montrant certaines parties à des positions différentes ; La fig. 3 est une vue de face d'une se conde forme d'exécution ; La fig. 4 représente la troisième forme d'exécution en vue de face.
La première forme d'exécution comporte une douille métallique a dans laquelle est logée une boucle métallique b à laquelle est fixé un licol servant â attacher une pièce de bétail. Sur la douille a tournent deux mâchoires métalliques symétriques c, <I>d</I> lais sant entre elles à la position de fermeture un espace qui a une forme d'ove, dont la pointe se trouve du côté de cette douille et qui est destiné à recevoir une pièce non re présentée en forme de boucle, assujettie à un point fixe, une paroi, une poutre, etc.
L'une d'elles, c, se termine à son extrémité libre par une dent e limitée par deux plans qui sont perpendiculaires à l'axe de rotation et se logeant dans une mortaise à l'extré mité libre de l'autre mâchoire d : la dent et la mortaise donnent une bonne liaison entre les deux mâchoires<I>c, d.</I> La douille<I>a</I> est rabattue sur celles-ci à ses deux extré mités, de sorte qu'elle 'les maintient en place.
Chacune des mâchoires présente un lo gement f ou g s'ouvrant sur l'espace qu'elles laissent entre elle. Dans le logement de la mâchoire d se trouve un axe la sur lequel pivote par l'une de ses extrémités le verrou i qui a la forme d'un arc de cercle et à l'autre extrémité duquel est ménagée une encoche j donnant sur. la face inférieure du verrou i. Cette encoche est destinée à rece voir une cheville fixe d placée dans le loge ment f de la mâchoire c. Un ressort k, en forme de<B>L</B> et fait en laiton par exemple, est solidaire du verrou i par l'une de ses branches et prend appui par l'autre sur les parois supérieures des logements f, g.
A la position d'ouverture des mâchoires <I>c, d,</I> que montre la fig. 2, l'extrémité libre du verrou i est maintenue en regard de la cheville 1-par le ressort<I>k.</I> Si, après avoir introduit entre les mâchoires<I>c, d</I> la pièce non représentée, on ferme celles-ci, l'extré mité libre du verrou<I>i</I> heurte la cheville d, glisse tout d'abord de bas en haut sur celle- ci malgré l'opposition du ressort k, puis re tombe sous l'action de ce dernier dès que l'encoche j s'emboîte sur cette cheville :
les deux mâchoires sont dès lors maintenues à la position de fermeture (fig. 1).
Pour pouvoir les ouvrir il suffit d'intro duire un doigt dans l'espace se trouvant entre elles et d'agir de bas en haut sur le verrou<I>i</I> pour dégager son encoche<I>j</I> de la cheville G.
Selon la fig. 3 l'une des mâchoires, m, a à peu près la forme d'un C et est soli daire vers l'une des extrémités d'un pivot n sur lequel peut tourner une boucle o au tour d'un axe se trouvant dans le plan de celle-ci. A cette même extrémité est pivotée la seconde mâchoire, p. Le verrou i, le res sort<I>k,</I> la cheville l sont identiques à ceux de la première forme d'exécution. Dans la dernière forme d'exécution (fig. 4) servant par exemple à tenir un chien en laisse, des moyens sont prévus pour que la personne tenant le chien puisse le libérer à distance, sans avoir à se baisser jusqu'à lui.
Dans ce but l'espace se trouvant entre les mâchoires<I>ni, p</I> reçoit le collier du chien, la boucle o est solidaire d'un solide fil mé tallique r se terminant par une grande boucle, un second fil métallique, s, est, d'une part, assujetti au verrou i, d'autre part, muni d'une petite boucle t; les deux fils passent dans une gaine g : en exerçant une trac tion sur la petite boucle<I>t</I> alors que le fil<I>r</I> est tendu, on soulève le verrou i, on libère les deux mâchoires m, p qui s'ouvrent sous l'effort que le chien, tenu en laisse, exerce sur son collier.
Les boucles des deux fils ou l'une d'elles seulement peuvent être revêtues d'une gar niture quelconque en étoffe, en fil textile par exemple.
Dans les trois formes d'exécution le res sort k peut former une spire à son sommet de façon à. avoir une plus grande élasti cité.
Ainsi que cela a été dit dans l'intro duction, le porte-mousqueton peut être uti lisé non seulement pour l'attache des ani maux, mais dans de nombreux autres cas.
Carabiner holder. The object of the invention is a carabiner, for example for the tethering of animals, aviation, navy, public works.
It comprises, like other carabiner holders, known for tethering animals, two jaws which can perform a relative rotational movement and leave between them, in the closed position, a space where a cooperating part is housed. using the carabiner holder. But it is distinguished from it by a lock, serving to maintain the two jaws in the iron meture position, pivoting on one of them, acting on the other, subjected to the action of a spring and arranged so that when the jaws are closed, it automatically assumes the position in which it maintains them in this closed position.
The appended drawing represents, by way of example, three embodiments of the carabiner holder, intended for the attachment of animals.
Figs. 1 and 2 are two front views (one part in section) of a first embodiment and showing certain parts in different positions; Fig. 3 is a front view of a second embodiment; Fig. 4 shows the third embodiment in front view.
The first embodiment comprises a metal sleeve a in which is housed a metal loop b to which is attached a halter serving to attach a piece of cattle. On the sleeve a turn two symmetrical metal jaws c, <I> d </I> leaving between them in the closed position a space which has an oval shape, the point of which is on the side of this sleeve and which is intended to receive a part not shown in the form of a loop, secured to a fixed point, a wall, a beam, etc.
One of them, c, ends at its free end with a tooth e limited by two planes which are perpendicular to the axis of rotation and which are housed in a mortise at the free end of the other jaw d : the tooth and the mortise give a good connection between the two jaws <I> c, d. </I> The sleeve <I> a </I> is folded over these at its two ends, so that 'she' holds them in place.
Each of the jaws has a housing f or g opening onto the space they leave between it. In the housing of the jaw d is an axis la on which pivots by one of its ends the latch i which has the shape of an arc of a circle and at the other end of which a notch j is provided facing. the underside of the lock i. This notch is intended to receive a fixed ankle d placed in the housing f of the jaw c. A spring k, in the shape of <B> L </B> and made of brass for example, is secured to the latch i by one of its branches and is supported by the other on the upper walls of the housings f, g .
At the opening position of the jaws <I> c, d, </I> shown in fig. 2, the free end of the latch i is held opposite the pin 1-by the spring <I> k. </I> If, after having introduced between the jaws <I> c, d </I> the part not shown, they are closed, the free end of the lock <I> i </I> hits the ankle d, first of all slides from bottom to top on it despite the opposition of the spring k, then falls under the action of the latter as soon as the notch j fits on this peg:
the two jaws are therefore kept in the closed position (fig. 1).
To be able to open them, it suffices to insert a finger in the space between them and to act from bottom to top on the lock <I> i </I> to release its notch <I> j </ I > of the ankle G.
According to fig. 3 one of the jaws, m, has roughly the shape of a C and is united towards one end of a pivot n on which a loop o can rotate around an axis located in the plan of it. At this same end is pivoted the second jaw, p. The lock i, the res outputs <I> k, </I> the peg l are identical to those of the first embodiment. In the last embodiment (FIG. 4) serving for example to keep a dog on a leash, means are provided so that the person holding the dog can release it from a distance, without having to bend down to him.
For this purpose the space between the jaws <I> ni, p </I> receives the dog collar, the loop o is secured to a solid metal wire r ending in a large loop, a second wire metallic, s, is, on the one hand, subject to the lock i, on the other hand, provided with a small loop t; the two wires pass through a sheath g: by pulling on the small loop <I> t </I> while the wire <I> r </I> is stretched, the latch i is lifted, the two jaws m, p which open under the force that the dog, held on a leash, exerts on his collar.
The loops of the two threads or only one of them can be covered with any covering of fabric, of textile thread for example.
In the three embodiments, the res sort k can form a turn at its top so as to. have greater elasticity.
As was said in the introduction, the carabiner can be used not only for tethering animals, but in many other cases.