Horloge à sonnerie électrique. La présente invention a pour objet une horIoge à sonnerie électrique du type dit à rateau. On sait que les dispositifs de cette nature, qui permettent la remise à l'heure des aiguilles de l'horloge sans nécessiter d'arrêt sur chaque heure et chaque demi- heure pour attein & e la fin de la son nerie correspondante, comportent essentielle ment un bras terminé par un secteur denté qui tombe un peu avant le moment on la sonnerie doit se produire,
d'un nombre de dents égal au nombre de coups qui doivent être frappés et qui, à l'heure juste, est re monté par un mécanisme approprié, dent par dent, un marteau frappant un coup sur un timbre à la remontée de chaque dent.
0'n a déjà construit des dispositifs de ce type dans lesquels la sonnerie est actionnée par un moteur électrique rotatif, cette,d'ispo- sition permettant la suppression de tout ba rillet de sonnerie et de tout régulateur de vi tesse.
La présente invention a pour objet une horloge à sonnerie électrique de ce genre, dans laquelle l'établissement et la rupture du courant sont obtenus au moyen de contacts insérés dans le circuit d'induit du moteur et commandés aux moments voulus par un or gane monté sur l'axe des aiguilles et exécu tant un tour par heure. Ces contacts peuvent être d'ailleurs constitués par exemple par les balais du moteur eux-mêmes.
L'horloge peut, bien entendu, être de l'un quelconque des systèmes connus, à ba lancier circulaire ou pendulaire, actionné par un ressort, un poids, un système électrique, ou encore être constituée par une horloge ré ceptrice commandée à distance par une hor loge mère. De même, le courant électrique qui alimente le moteur de la sonnerie pourra être fourni par une source quelconque, par exemple par une pile placée dans le coffre de l'horloge ou par un secteur de -distribution de lumière au moyen d'une prise de courant convenablement disposée.
Une forme d'exécution de l'invention est représentée, à titre d'exemple, aux dessins annexés, dans lesquels:' La fig. 1 est une vue schématique de l'ensemble du dispositif; La fig. 2 est une vue de détail montrant un dispositif permettant d'assurer automati quement l'égalité @de pression des deux ba lais du moteur; La fig. 2' représente un autre dispositif permettant également de réaliser cette égalité de pression et en outre de régler cette pres sion;
Les fig. 3 et 4 montrent deux modes d'exécution d'un dispositif permettant d'as surer une bonne répartition du couple né cessaire au relèvement du marteau du tim bre.
Enfin, les fig. 5, 6 et 7 représentent res pectivement, en vue arrière d'ensemble, en vue avant du côté des aiguilles et en coupe horizontale par l'axe de la fig. 5 un mode de disposition pratique des pièces sur un mou vement de pendulette électrique du système décrit id'ans le brevet français No 619869 dé posé par M. Gosselin, le 15 décembre 1925 et dans son addition du 9 juin 1926.
En fig. 1, les axes qui portent les aiguil les- des heures et des minutes sont représen tés respectivement en 1 et l'. Ces deux axes, qui sont concentriques, ont été représentés sé parés pour la clarté de la figure.
Sur l'axe 1, qui exécute un tour complet en douze heures, est calée une came 2 servant de butée variable à un doigt 3 porté par un levier 4 qui oscille autour d'un axe 5 et se termine par un secteur denté 6.
Sur l'axe l', qui exécute un tour en une heure, est calée une came 7 servant à la sonnerie des demies, par sa rencontre avec un second doigt 8. du levier -1 et comportant un secteur <I>A B</I> ayant son centre sur l'. Cette came porte d'eux goupilles 9 et 10, perpendi culaires au plan de la figure et qui viennent à. tour de rôle soulever un levier 11 qui pi vote librement autour de l'axe 12 et s'appuie au repos sur la. goupille fixe 13.
Au-dessus du levier 11 est disposé un axe 14 autour duquel pivote une pièce com portant un cliquet 15 coopérant avec le sec teur denté 6, un bras isolant 16, un bras à bec 17, et un bras 18 que vient rencontrer le levier 11. L'ensemble de cette pièce est solli- cité vers la droite par le ressort 19 et, dans la position de la figure, s'appuie sur une goupille fixe 20.
Le fonctionnement de ce dispositif pour la sonnerie d'une heure est le suivant: au mo ment où l'aiguille des minutes de l'horloge marque environ 50 minutes, la goupille 9 vient rencontrer le levier 11 qui pivote autour de l'axe 12 et soulève le bras 18: le cliquet 15, qui retenait le secteur denté 6, laisse échapper celui-ci qui tombe jusqu'à ce que le doigt 3 ait rencontré la came 2. Le secteur tombe ainsi d'un nombre de dents variable avec la position de la came 2 et ,égal au nom bre de coups qui devront être frappés à l'heure qui vient. La came 7 se trouve à ce moment dans une position telle qu'elle ne puisse être rencontrée par le doigt 8, même si la descente @du secteur 6 atteint son maxi mum, c'est-à-dire douze dents.
Pendant l'ascension du levier 11, le bras 21 qui le prolonge vient abaisser un ressort 22 qui porte une paillette en métal non oxy dable 23. Le bras 16 qui normalement sou levait un second ressort, 24, portant une se conde paillette 25, en s'abaissant, laisse tom ber le ressort 24. Mais les paillettes 23 et 25. qui étaient séparées avant tout déplacement du levier 11, restent séparées jusqu'à ce que la goupille 9, près d'atteindre le haut de sa. course, abandonne le levier 11 qui retombe sur la goupille 13, tandis que le bras 16 reste basculé, le cliquet 1,5 étant appuyé contre l'une des dents du secteur 6.
Par construction, cette position de la, gou pille 9 est atteinte au moment où l'aiguille des minutes indique une heure exacte.
Lorsque les deux paillettes se rencon trent, un courant électrique, fourni par la source d'électricité 26, s'établit suivant le circuit suivant: Pôle + de la source 26; balai 27 d'un moteur électrique à courant continu dont l'ai mant inducteur est représenté en 28; collec teur 29, induit 30 et deuxième balai, 31, de ce moteur; ressort 24, paillettes 25 et 23, ressort 22, pôle - de la source 2;6. Le moteur démarre sous l'action .de ce courant et entraîne le pignon denté 32 calé sur son axe<B>U.</B> Ce pignon engrène avec une roue dentée 34, sur l'axe 35 de laquelle est calé un doigt 36 qui, à chaque tour de la roue dentée 34, relève d'une dent le secteur denté 6.
Une goupille 37 fixée sur la roue 34 rencontre à chaque tour de celle-ci la queue 38 d'un marteau 39@ qui pivote autour de l'axe 40 et vient en retombant frapper le timbre 41.
Lorsque le secteur 6 a été relevé jusqu'à la dernière dent, le cliquet 15, n'étant plus retenu, retombe, davantage qu'entre le pas sage des. deux dents et le bras 17 vient bu ter contre la goupille 20, Le bras 16 se re lève en entraînant le ressort 24 et le con tact est rompu entre les paillettes 23 et 25. Le courant cesse de passer et le moteur s'ar rête.
La sonnerie des @d'emies se produit de la manière suivante: Quelques instants avant la demie exacte, la goupille 10 vient rencontrer le levier 11 qui, par le mécanisme précédem ment décrit, fait basculer le cliquet 15 qui libère le secteur denté 6 qui tombe jusqu'à ce que le doigt 8 rencontre la came 7. La forme et la disposition de celle-ci sont telles que cette chute ne corresponde qu'à une seule dent. Au moment de la demie exacte, le le vier 11 retombe comme décrit précédemment et le moteur se met en marche. Le secteur 6 est relevé d'une dent par le doigt<B>M</B> et le marteau 319 frappe un coup et un seul sur le timbre 41.
Pour que le système permette, comme la sonnerie mécanique ordinaire à rateau, la re mise à l'heure des aiguilles de l'horloge sans nécessiter d'arrêt sur chaque heure et cla que demie, il est indiqué de recourir à un artifice de construction.
Si, en effet, on tourne les aiguilles sans s'occuper de la sonnerie, il peut arriver, et il arrive souvent en pratique, que le soulève ment du levier 11 coupe le courant au mo ment où le doigt 36 se trouve engagé dans la dernière dent @au secteur 6. Il en résulte que, à l'heure suivante, le secteur 6 ne peut plus retomber et le cliquet 15 ne reste plus relevé lors de la chute du levier 11. Le con tact entre les paillettes 23 et 25 ne peut plus s'établir et le système de sonnerie reste blo qué.
Pour .éviter cet inconvénient, une came 42, de forme circulaire et munie d'une entaille 43, est calée concentriquement sur l'axe 35 de la roue 34 et du doigt 36. Lorsque la der- nïère dent du secteur 6 est relevée, la pièce portant le cliquet 1.5 ne retombe pas immé diatement sur la goupille 20, car le bec du bras 17 vient reposer sur la partie circulaire de la came 42. Le courant électrique ne peut donc être coupé que lorsque l'entaille 43 se présente sous le bec du bras 17, c'est-à-dire clans une position bien définie du doigt<B>U</B>, qu'on peut régler de manière que ce dernier soit bien nettement dégagé des dents @du sec teur 6.
On peut apporter de nombreuses modifi cations de détail au dispositif schématique de la, fig. 1. C'est ainsi notamment qu'on peut, en groupant convenablement les organes de l'appareil, amener les balais 27 et 31 dans une position telle qu'ils puissent être relevés et abaissés par les bras 16 et 21 de la même manière que le sont, sur la fig. 1, les res sorts 22 et 24. Ces derniers peuvent, alors être supprimés et les ruptures et fermetures du circuit électrique seront faites entre les balais 27 et 31, convenablement munis de paillettes non-oxydables si besoin est, et les lames du collecteur 29.
Cette disposition a l'avantage de supprimer les ressorts 22 et 24 el, de remplacer leur contact par pression par des contacts par friction dans lesquels la rup ture et l'établissement du courant se fontÎ en des endroits distincts des pièces de contact.
Les connexions électriques soue indiquées sur la fig. 1, mais an peut remarquer qu'une -des connexions peut être obtenue en mettant à la masse deux organes. consécutifs, par exemple le pôle négatif de la source 26 et le ressort. 22. Tous les autres points du circuit doivent être isolés électriquement de la masse et le bras 16, par exemple, qui touche le res sort 25 doit être muni d'un bec isolant.
Lorsque la source d'électricité est consti tuée par une pile placée dans le coffre de l'horloge, il est indiqué en pratique de ré duire la consommation de courant au mini mum et il est avantageux d'employer une pile d'un seul élément. D'autre part, la construc tion simple et économique du moteur exige que l'induit comporte un petit nombre de pôles et de bobines. On rencontre alors une difficulté dans le démarrage,du moteur. Elle tient à ce que les pôles de l'aimant inducteur exercent sur ceux de l'induit des attractions dont la résultante est variable avec la posi tion de l'induit autour de son axe.
L'induit s'arrête alors dans une, parmi un certain nombre de positions d'équilibre très stables et il faut, pour l'en faire sortir au moment du démarrage, un couple supplémen taire qu'on ne peut obtenir qu'en augmen tant la puissance du moteur et par suite la consommation de courant.
Pour réduire cet effet, l'induit du moteur peut être entouré d'un tube de métal ma gnétique, d'épaisseur convenable, enfoncé à frottement dur sur les pôles de l'induit, et sur lequel l'attraction des pôles de l'induc teur est à peu près constante quelle que soit la position de l'induit autour de son axe. L'équilibre de l'induit à l'arrêt est ainsi rendu à peu près indifférent et le couple -de démarrage du moteur peut être réduit de ma nière à vaincre simplement les résistances passives de frottement et à fournir les couples nécessaires au relèvement du secteur 6 et du marteau 41.
Il est évident, d'autre part, que l'induc teur du moteur pourra être formé soit par un aimant permanent, soit par un électro-aimant excité en série ou en dérivation sur les ba lais de l'induit.
Parmi les autres détails d'exécution du moteur, il convient de signaler une disposi tion des balais permettant d'obtenir automa tiquement l'égalité des pressions de chacun des balais sur le collecteur. Les balais 27 et 31 (fig. 2) sont montés sur des pivots 44 et 45 et la pression sur le collecteur 29 est don née par un ressort 46 fixé sur l'un ,des balais, 31 par exemple, et agissant sur l'autre. La tension de ce ressort peut être régléo au moyen de la vis 47 fixée sur le balai 27 et servant d'appui au ressort 46. Les balais, ou au moins l'un d'eux, sont convenablement isolés de la masse et ils sont isolés l'un de l'autre au moyen d'une butée isolante 48 dis posée entre la vis 47 et le ressort 46.
Le poids du balai 27 s'ajoute à la pression du ressort, tandis que le poids du balai 31, au contraire, s'en retranche. Pour tenir compte de cette particularité, il suffira de munir l'un des balais d'un contrepoids, tel que 49.
La fig. 2' représente un dispositif diffé rent permettant d'obtenir automatiquement cette égalité de pression.
Les deux balais 27 et 31 sont constitués, par deux lames élastiques vissées sur une pièce recourbée sur elle-même 56, munie d'une oreille 57 et mobile autour d'un axe 58. Les balais portent à leur extrémité libre une paillette 59 et 60 qui reposent sur le collec teur 29.
L'un d'eux, 27, par exemple, est à la masse, tandis que l'autre, 31, est isolé de la pièce 56 au moyen @de canons et de rondelles isolants placés autour des vis de fixation 61.
La. cambrure des lames 27 et 31 les force à s'appuyer normalement sur le collecteur 29 et la. pression peut être réglée au moyen de la vis 62 qui permet de rapprocher ou de laisser s'écarter l'une de l'autre les deux branches de la pièce 56.
Enfin, le relèvement du marteau 39 par la. goupille 37 exerce sur la, roue 34 un cou ple antagoniste qui freine le moteur. Pour réduire ce couple au minimum, il convient de relever le marteau pendant un arc aussi grand que possible @de la rotation de la roue 34 et de répartir également le couple anta goniste pendant toute la durée du passage de cet arc.
A cet effet, on peut par exemple relever le marteau de l'une ou l'autre des deux ma nières indiquées sur les fig. 3 et 4. !)ans le mode d'exécution représenté en fig. 3, la roue 34 est munie de la goupille 37 qui abaisse à chaque tour, pendant tout l'arc <I>A B,</I> le bras courbe 50 qui prolonge le bras du marteau 39 au delà de l'axe de pivote ment 40.
Lorsqu'elle arrive en B, la goupille 3 7 abandonne le bras 50 et le marteau 39 re tombe sur le timbre 41 sous l'action du res sort 52. Le relèvement du marteau s'accom plit pendant tout l'arc<I>A B,</I> c'est-à-dire pen dant plus d'un demi-tour de la roue 34. De plus, lorsque le mouvement de la goupille 37 est normal à l'extrémité<I>C D</I> du bras 50, c'est- à-dire aux environs du point E, le bras du le vier à partir de l'axe 40 est le plus grand, ce qui égalise l'effort. Enfin, la courbe de l'ex trémité<I>C D</I> du bras 50 peut être déterminée de manière à rendre le couple par rapport à l'axe de la roue 34 tout à fait constant pen dant l'arc<I>A B.</I>
Dans le mode d'exécution de la fig. 4, le même résultat est obtenu sur un tour en tier de la roue 34 au moyen d'une came en forme de limaçon 53, sur laquelle s'appuie l'extrémité @du doigt 54.
La forme de réalisation pratique repré sentée en fig. 5 à 7 ne diffère que par des détails de construction et de disposition des pièces du dispositif schématique représenté en fig. 1. C'est ainsi que les balais 27 et 31 du moteur sont disposés de manière à pro duire l'établissement et la rupture du cou rant et portent à cet effet les paillettes 23 et 25. De même le bras 18 est supprimé et remplacé par une cheville 55 (fig. .6) portée par le levier 11, qui vient soulever directe ment le cliquet 15. Le fonctionnement de cet ensemble se comprend sans difficulté en se reportant à la description donnée ci-dessus.
Electric strike clock. The present invention relates to an electric ring clock of the so-called rake type. It is known that devices of this nature, which allow the clock hands to be reset to the time without requiring stopping every hour and every half hour to reach the end of the corresponding ringing, comprise essential an arm terminated by a toothed sector which falls a little before the moment the ringing should occur,
a number of teeth equal to the number of blows which must be struck and which, at the right time, is re-assembled by an appropriate mechanism, tooth by tooth, a hammer striking a blow on a gong as each tooth comes up .
Devices of this type have already been constructed in which the bell is actuated by a rotary electric motor, this arrangement allowing the elimination of any bell ring and any speed regulator.
The present invention relates to an electric striking clock of this kind, in which the establishment and the breaking of the current are obtained by means of contacts inserted in the armature circuit of the motor and controlled at the desired times by a mounted organ. on the axis of the hands and executed one revolution per hour. These contacts can moreover be constituted, for example, by the brushes of the motor themselves.
The clock can, of course, be of any one of the known systems, with a circular or pendulum, actuated by a spring, a weight, an electrical system, or even be constituted by a receiving clock remotely controlled by a mother clock. Likewise, the electric current which powers the bell motor could be supplied by any source, for example by a battery placed in the clock case or by a light distribution sector by means of a socket. current suitably arranged.
An embodiment of the invention is shown, by way of example, in the accompanying drawings, in which: FIG. 1 is a schematic view of the entire device; Fig. 2 is a detail view showing a device making it possible to automatically ensure equal pressure between the two motor bays; Fig. 2 'shows another device also making it possible to achieve this pressure equalization and furthermore to adjust this pressure;
Figs. 3 and 4 show two embodiments of a device making it possible to ensure a good distribution of the torque necessary for raising the hammer of the timbre.
Finally, Figs. 5, 6 and 7 respectively represent, in overall rear view, in front view from the needle side and in horizontal section through the axis of FIG. 5 a practical mode of arrangement of the parts on an electric clock movement of the system described in French patent No. 619869 filed by M. Gosselin on December 15, 1925 and in his addition of June 9, 1926.
In fig. 1, the axes which carry the les- hour and minute hands are represented respectively at 1 and 1 '. These two axes, which are concentric, have been shown separated for the clarity of the figure.
On axis 1, which performs a complete revolution in twelve hours, is wedged a cam 2 serving as a variable stop for a finger 3 carried by a lever 4 which oscillates around an axis 5 and ends with a toothed sector 6.
On the axis l ', which performs one revolution in one hour, is wedged a cam 7 used for striking the halves, by its meeting with a second finger 8. of the lever -1 and comprising a sector <I> AB </ I> having its center on the. This cam carries from them pins 9 and 10, perpendicular to the plane of the figure and which come to. take turns lifting a lever 11 which votes freely around the axis 12 and rests on the. fixed pin 13.
Above the lever 11 is disposed an axis 14 around which pivots a part comprising a pawl 15 cooperating with the toothed sec tor 6, an insulating arm 16, a spout arm 17, and an arm 18 which the lever 11 meets. The whole of this part is biased towards the right by the spring 19 and, in the position of the figure, rests on a fixed pin 20.
The operation of this device for the one hour strike is as follows: at the moment when the minute hand of the clock marks approximately 50 minutes, pin 9 meets lever 11 which pivots around axis 12 and raises the arm 18: the pawl 15, which held the toothed sector 6, lets the latter escape, which falls until the finger 3 has encountered the cam 2. The sector thus falls by a variable number of teeth with the position of cam 2 and, equal to the num ber of blows which must be struck at the coming hour. The cam 7 is at this moment in a position such that it cannot be encountered by the finger 8, even if the descent @du sector 6 reaches its maximum, that is to say twelve teeth.
During the ascent of the lever 11, the arm 21 which extends it comes down a spring 22 which carries a non-oxidizable metal spangle 23. The arm 16 which normally raised a second spring, 24, carrying a second spangle 25, while lowering, let fall the spring 24. But the spangles 23 and 25. which were separated before any movement of the lever 11, remain separated until the pin 9, close to reaching the top of its. race, abandons the lever 11 which falls on the pin 13, while the arm 16 remains tilted, the pawl 1.5 being pressed against one of the teeth of the sector 6.
By construction, this position of the pin 9 is reached when the minute hand indicates an exact time.
When the two flakes meet, an electric current, supplied by the electricity source 26, is established according to the following circuit: + pole of the source 26; brush 27 of a direct current electric motor whose inductor mant is shown at 28; collector 29, armature 30 and second brush, 31, of this motor; spring 24, sequins 25 and 23, spring 22, pole - of source 2; 6. The motor starts under the action of this current and drives the toothed pinion 32 wedged on its axis <B> U. </B> This pinion meshes with a toothed wheel 34, on the axis 35 of which a finger is wedged 36 which, on each revolution of toothed wheel 34, raises toothed sector 6 by one tooth.
A pin 37 fixed on the wheel 34 meets at each turn of the latter the tail 38 of a hammer 39 @ which pivots around the axis 40 and comes falling to strike the gong 41.
When the sector 6 has been raised to the last tooth, the pawl 15, no longer being retained, falls, more than between the not wise. two teeth and the arm 17 comes to rest against the pin 20, The arm 16 rises by driving the spring 24 and the contact is broken between the spangles 23 and 25. The current stops flowing and the motor stops .
The ringing of the @emies occurs as follows: A few moments before the exact half, the pin 10 meets the lever 11 which, by the mechanism described above, causes the pawl 15 to swing which releases the toothed sector 6 which falls until the finger 8 meets the cam 7. The shape and arrangement of the latter are such that this drop corresponds to only one tooth. At the exact half-hour, the lever 11 drops down as described above and the engine starts up. Sector 6 is raised by one tooth by the finger <B> M </B> and the hammer 319 strikes one and only one blow on the stamp 41.
In order for the system to allow, like the ordinary mechanical rake, the resetting of the time of the clock hands without having to stop at every hour and a half, it is advisable to use a construction device. .
If, in fact, the hands are turned without taking care of the ringing, it can happen, and it often happens in practice, that the lifting of the lever 11 cuts the current at the moment when the finger 36 is engaged in the ring. last tooth @ to sector 6. As a result, at the following hour, sector 6 can no longer fall and pawl 15 no longer remains raised when lever 11 drops. The contact between straws 23 and 25 can no longer be established and the ringing system remains blocked.
To avoid this drawback, a cam 42, of circular shape and provided with a notch 43, is wedged concentrically on the axis 35 of the wheel 34 and of the finger 36. When the last tooth of the sector 6 is raised, the part carrying the pawl 1.5 does not immediately fall on the pin 20, because the spout of the arm 17 comes to rest on the circular part of the cam 42. The electric current can therefore be cut only when the notch 43 is present under the beak of the arm 17, that is to say in a well-defined position of the finger <B> U </B>, which can be adjusted so that the latter is clearly free from the teeth @of the sec tor 6 .
Numerous modifications of detail can be made to the schematic device of FIG. 1. It is thus in particular that one can, by suitably grouping the members of the apparatus, bring the brushes 27 and 31 into a position such that they can be raised and lowered by the arms 16 and 21 in the same manner. that are, in fig. 1, springs 22 and 24. These can then be removed and the breaks and closures of the electrical circuit will be made between brushes 27 and 31, suitably provided with non-oxidizable flakes if necessary, and the blades of the collector 29 .
This arrangement has the advantage of eliminating the springs 22 and 24 el, of replacing their pressure contact with friction contacts in which the breaking and the establishment of the current take place at places distinct from the contact parts.
The electrical connections soue indicated in fig. 1, but one can notice that one -connections can be obtained by grounding two components. consecutive, for example the negative pole of the source 26 and the spring. 22. All the other points of the circuit must be electrically isolated from the mass and the arm 16, for example, which touches the res out 25 must be provided with an insulating nozzle.
When the source of electricity is constituted by a battery placed in the case of the clock, it is advisable in practice to reduce the current consumption to the minimum and it is advantageous to use a battery of only one cell. . On the other hand, the simple and economical construction of the motor requires that the armature has a small number of poles and coils. There is then a difficulty in starting the engine. It is due to the fact that the poles of the inductor magnet exert on those of the armature attractions, the resultant of which is variable with the position of the armature around its axis.
The armature then stops in one, among a certain number of very stable equilibrium positions, and an additional torque is needed to release it when starting up, which can only be obtained by increasing both motor power and hence current consumption.
To reduce this effect, the motor armature may be surrounded by a magnetic metal tube, of suitable thickness, pressed with hard friction on the poles of the armature, and on which the attraction of the poles of the inducer is roughly constant whatever the position of the armature around its axis. The equilibrium of the armature at standstill is thus rendered almost indifferent and the starting torque of the motor can be reduced so as to simply overcome the passive frictional resistances and provide the torques necessary for the recovery of the sector. 6 and hammer 41.
It is obvious, on the other hand, that the inductor of the motor could be formed either by a permanent magnet, or by an electromagnet excited in series or in shunt on the armature bays.
Among the other details of the execution of the motor, mention should be made of an arrangement of the brushes making it possible to automatically obtain equal pressures for each of the brushes on the collector. The brushes 27 and 31 (fig. 2) are mounted on pivots 44 and 45 and the pressure on the collector 29 is given by a spring 46 fixed on one, of the brushes, 31 for example, and acting on the other. The tension of this spring can be adjusted by means of the screw 47 fixed on the brush 27 and serving as a support for the spring 46. The brushes, or at least one of them, are suitably isolated from the mass and they are isolated from each other by means of an insulating stop 48 placed between the screw 47 and the spring 46.
The weight of the brush 27 is added to the pressure of the spring, while the weight of the brush 31, on the contrary, is subtracted from it. To take this particularity into account, it will suffice to provide one of the brushes with a counterweight, such as 49.
Fig. 2 'represents a different device making it possible to automatically obtain this equal pressure.
The two brushes 27 and 31 consist of two elastic blades screwed onto a part bent on itself 56, provided with a lug 57 and movable around an axis 58. The brushes carry at their free end a straw 59 and 60 which are based on the collector 29.
One of them, 27, for example, is earthed, while the other, 31, is isolated from the part 56 by means of barrels and insulating washers placed around the fixing screws 61.
The camber of the blades 27 and 31 forces them to rest normally on the manifold 29 and 1a. The pressure can be adjusted by means of the screw 62 which makes it possible to bring the two branches of the part 56 together or to allow them to move away from each other.
Finally, the raising of the hammer 39 by the. pin 37 exerts on the wheel 34 an antagonistic neck which brakes the motor. To reduce this torque to a minimum, it is advisable to raise the hammer during an arc as large as possible @de the rotation of the wheel 34 and to distribute the antagonist torque equally throughout the duration of the passage of this arc.
For this purpose, one can for example raise the hammer in one or the other of the two ways indicated in figs. 3 and 4.!) In the embodiment shown in FIG. 3, the wheel 34 is provided with the pin 37 which lowers at each turn, throughout the arc <I> AB, </I> the curved arm 50 which extends the arm of the hammer 39 beyond the pivot axis ment 40.
When it arrives at B, the pin 3 7 leaves the arm 50 and the hammer 39 falls on the gong 41 under the action of the res sort 52. The lifting of the hammer is completed during the whole arc <I> AB, </I> that is, for more than half a turn of the wheel 34. In addition, when the movement of the pin 37 is normal at the end <I> CD </ I > of the arm 50, that is to say around point E, the arm of the lever starting from axis 40 is the largest, which equalizes the force. Finally, the curve of the end <I> CD </I> of the arm 50 can be determined so as to make the torque relative to the axis of the wheel 34 completely constant during the arc <I > A B. </I>
In the embodiment of FIG. 4, the same result is obtained on a third revolution of the wheel 34 by means of a cam in the form of a snail 53, on which the end @du finger 54 rests.
The practical embodiment shown in FIG. 5 to 7 differ only in details of construction and arrangement of the parts of the schematic device shown in FIG. 1. Thus the brushes 27 and 31 of the motor are arranged so as to produce the establishment and the rupture of the current and for this purpose carry the spangles 23 and 25. Similarly, the arm 18 is removed and replaced. by a pin 55 (Fig. 6) carried by the lever 11, which directly raises the pawl 15. The operation of this assembly is easily understood by referring to the description given above.