Roue de voitures d'enfants et véhicules jouets. Les roues pour voitures d'enfants et véhicules jouets tels que automobiles et bi cyclettes, comprennent généralement, suivant une vieille technique, un moyeu brut de fonte et des rayons vissés ou passés dans des trous pratiqués dans le moyeu et rivés ou soudés sur la jante. Mais ce mode de fixa tion ne permet pas de tendre les rayons qui doivent donc avoir une certaine rigidité pro pre pour éviter que la roue ne se déforme sous l'action d'efforts latéraux accidentels; dans ce but, on leur donne un diamètre bien supérieur à celui qui serait nécessaire pour résister aux efforts normaux; ces deux élé ments, moyeu de fonte et rayons trop gros, rendent la roue très lourde.
D'autre part, l'assemblage par rivetage ou soudure est long et doit être soigné pour obtenir un centrage convenable; il demande, par conséquent, beaucoup de main-d'oeuvre spécialisée. Cette construction est donc très onéreuse.
La présente invention a pour objet une roue de voitures d'enfants et véhicules jouets, caractérisée par le fait que les rayons sont figés sur le moyeu en deux groupes qui peu vent être rapprochés pour le montage des rayons, puis éloignés et maintenus écartés par une entretoise rigide, de façon à tendre les rayons et à assurer ainsi l'indéformabilité de la roue.
Le dessin représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'invention et di verses variantes.
Les fig. 1, 2; 3, 4 montrent les éléments" du moyeu; La fig. 5 est une vue du côté intérieur, La fig. 6 une coupe longitudinale, La fig. 7 une vue du côté extérieur, et La fig. 8 une coupe transversale du moyeu monté; Les fig. 9 et 10 représentent la fixation des rayons sur la jante dans le cas d'une roue caoutchoutée, Les fig. 11 et 12, dans le cas d'une jante pleine;
La fig. 13 est une coupe longitudinale, et La fig. 14 une coupe transversale du montage de la roue sur un essieu transversal; Les fig. 15 et 16 sont deux variantes du moyeu précédent; La fig. 17 représente une disposition dif férente de clavetage sur l'essieu; Les fig. 18, 19 et 20 montrent une va riante du montage des rayons de la jante; Les fig. 21 à 34 montrent d'autres va riantes.
Comme on le voit sur le dessin, le moyeu de la roue comprend deux joues 1 et 2, des tinées à recevoir l'attache des rayons, dans lesquelles sont embouties respectivement deux douilles 3 et 4. La douille 3 de la joue 1 est fermée de facon à constituer une calotte étanche pour pouvoir emboîter une des extré mités d'un tube entretoise 5, brut de coupe, sur lequel petit coulisser la douille 4 de l'autre joue 2.
Dans les joues 1 et 2 sont découpées des languettes 6 sur lesquelles sont accrochés les rayons, ainsi qu'il sera indiqué plus loin.
A l'extrémité de la douille 4 est prati quée une gorge circulaire 7 dans laquelle débouchent deux trous ovales 10 et 11, dia métralement opposés. Cette gorge est desti née à recevoir une clavette particulière 8 en fil d'acier plié, coudé et cambré comme re présenté, le milieu et les extrémités de cette clavette se logeant respectivement dans les trous 10 et 11.
Le tube entretoise 5 peut se terminer en biseau circulaire 9 pour assurer, comme expli qué ci-dessous, un meilleur coincement de la clavette 8. Dans ce biseau sont pratiquées deux entailles parallèles 12 et 13 qui attei gnent la paroi du tube.
La fusée d'essieu 15, sur laquelle doit être placée la roue, est tournée au diamètre intérieur du tube entretoise 5. Elle est un peu plus courte que ce tube et est chan- freinée à son extrémité. Elle présente urne gorge circulaire 16 correspondant à la gorge 7 et aux entailles 12 et 13.
Dans le cas (fig. 9 et 10) oir la jante est creuse pour recevoir un bandage en caout chouc, elle est percée de trous allongés 18 destinés à recevoir l'extrémité des rayons. Ces trous débouchent dans une rainure circu laire 19 dans laquelle peut être logé un fil d'acier 20 faisant le tour de la roue.
Si, au contraire (fig. 11 et 12), la jante 30 est pleine, elle comporte intérieurement une rainure circulaire 31 dans les joues de laquelle sont percés des trous 32.
L'ensemble des rayons 21 est constitua: au moyen d'un fil d'acier doux, plié m6cani- quement aux points de fixation sur la jante et sur. les joues, ces derniers plis étant ra battus d'équerre comme représenté fig. 6.
Le montage se fait de la façon suivante (fig. 6) On emboîte avec la douille 3 l'extrémité correspondante du tube entretoise 5, et la douille 4 est passée sur ce tube jusqu'à ce que les deux joues 1 et 2 soient prés l'une de l'autre, en ayant soin que les trous 10 et 11 soient parallèles aux entailles 12 et 13.
Les plis rabattus d'équerre de l'ensemble des rayons 21 sont accrochés sur les lan guettes 6 (fig. 6 et 7). Dans le cas de ,jante creuse (fig. 9 et 10), les plis droits sont in troduits dans les trous 18 de la jante et y sont maintenus par le fil d'acier<B>2</B>0, passé successivement dans chaque pli. Dans le cas de jante pleine (fig. 11 et 12), les plis droits sont engagés dans la rainure circulaire 31, et fixés par de petits rivets ou goupilles 33 dans les trous 32.
Les joues 1 et 2 sont écartées, ce qui a pour effet de tendre les rayons jusqu'à ce que la gorge 7 soit nettement dégagée du biseau 9. La clavette 8 est placée dans cette gorge, les extrémités et le milieu respective ment dans les trous 10 et 11, et en se dé tendant s'y loge exactement; la joue 2 est alors lâchée et est ramenée un peu vers la joue 1 par l'élasticité des rayons, jusqu'à ce que la clavette 8, coincée entre le gorge 7 et le biseau 9, la bloque exactement, tandis que son engagement dans les entailles 12 et 13 de la douille 4 d'une part et les trous 10 et 11 du tube 5 de l'autre, empêche ces deux pièces de tourner l'une par rapport à l'autre. L'ensemble de la roue forme un tout indéformable et solide;
le fil d'acier corrsti- tuaut les rayons ayant été plié mécanique ment aux longueurs calculées; ces rayons sont tous également tendus de la quantité voulue, ce quia pour effet de centrer instan tanément et exactement le moyeu.
De la graisse est placée dans l'extrémité du tube 5 contre la douille 3.
Puis on enfonce la fusée d'essieu 15 dans ce tube; grâce à son chanfrein elle écarte au passage les deux branches parallèles de la clavette 8 et les maintient écartées jusqu'à ce qu'elles retombent dans la gorge 16; la roue est alors en place sur la fusée et est maintenue solidement par la clavette.
Pendant le roulement, dés qu'il y a com- rnencement d'échauffement dans le moyeu, la graisse placée à l'extrémité du tube 5 fond et vient lubrifier les surfaces frottantes; la roue peut ainsi fonctionner de longs mois sans être regraissée. Mais quand cela devient nécessaire, elle peut être démontée instanta nément, en écartant avec une lame quelcon que les deux branches parallèles de la cla vette 8 pour les dégager de la gorge 16 et remontée ensuite très rigidement par la mé thode indiquée ci-dessus. Le joint entre la douille 3 et le tube 5 est suffisamment étan che pour qu'en aucun cas les personnes cir culant autour de la voiture rie puissent être tachées.
Comme on le comprend d'après la des cription précédente; la roue est composée d*éléments relativement légers qui peuvent être fabriqués économiquement en grande série et dont le montage est rapide et facile, tous avantages que rie présente pas le mo dèle de roue actuellement cri usage.
Les fig. 13 et 14 montrent le montage dans le cas où l'essieu traverse la roue (bi cyclettes, jouets, par exemple); les éléments sont disposés de la même façon. La douille 3 est percée pour donner passage à l'essieu.
La fig.15 représente rare roue montée sur des couronnes de billes. Le blocage de la douille 4 sur le tube entretoise 5 est ob tenu par un anneau fendu en fil d'acier 23, placé dans une gorge 24, pratiquée sur le tube et sur lequel la douille 4 vient bu ter. Un autre anneau fendu 34 maintient la couronne de billes de droite, celles de gauche étant bloquée par la douille 3 elle- même.
La fig.16 est la coupe d'une forme d'exécution simplifiée; les joues 1 et 2 étant rapprochées, les rayons sont montés comme indiqué ci-dessus; on écarte les joues et on place entre elles le tube entretoise 5 qui est maintenu par serrage élastique des rayons; les douilles 3 et 4 portent directement sur l'essieu 15 qui assure la cohésion de la roue.
L'organe de clavetage sur la fusée d'es sieu peut être modifié; la clavette en fil d'acier 8 peut être remplacée par une double clavette en feuillard 25, (fig. 13 et 14) ou même par deux petites vis 26 (fig. 17) pré sentant à leurs extrémités de petits tenons engagés dans la gorge 16 de la fusée d'es sieu, ou enfin, par tout autre organe appro prié.
Enfin, toutes les dispositions de fixation des rayons sur les joues et sur la jante peu vent être appliquées. Par exemple, l'accro chage sur les languettes petit être remplacé par engagement dans des trous ovales 35 (fig. 17) et fixation par petites goupilles fendues placées dans les plis, ou bien même par laçage dans les trous 35 réduits à la forme circulaire.
Ou bien enfin, on peut utiliser les rayons ordinaires terminés par une tête 28 engagée dans titre boutonnière 29 (fig. 18, 19, 20).
Toutes ces modifications peuvent être ap pliquées indifféremment aux roues en bout et aux roues traversPes par l'essieu et être combi nées de toutes les façons possibles.
Dans les dispositions des fig. 21 et 23, pour faire le rayonnage.de la nouvelle roue, or) prend un fil métallique assez prince, mais assez solide cependant pour résister aux ten sions auxquelles il sera soumis et on le plie à la machine ainsi que le fait voir le dessin, c'est-à-dire qu'entre deux parties 21 consti tuant deux rayons adjacents, on réserve des parties 21n de longueur convenable. Dans la jante 17, on pratique des entail les 18 (fig. 23 et 24).
Pour faire le montage, on engage les joues 1 et 2 sur le tube entretoise 5, rap prochées l'une de l'autre. Puis on fait passer les rayons 21 de l'extérieur vers le centre de la roue à travers les entailles 18. On accro che les plis 21u des rayons adjacents aux languettes 6; alternativement sur une joue et sur l'autre joue. On opère de même sur tout le pourtour de la roue et il n'y a plus qu'à écarter les joues 1, 2 pour que la roue soit montée.
Au lieu de former tous les rayons avec un seul fil, on peut utiliser deux fils pliés de manière semblable, ainsi qu'il est indiqué fig. 22, l'un des fils formant une des nappes de. rayons, et l'autre fil, l'autre nappe.
Dans l'un et l'autre cas, la fixation des rayons à la jante est obtenue à l'aide du fil même qui les constitue, les parties 21a venant se loger dans le fond de la jante comme le montre la fig. 3.
S'il s'agit d'une jante pleine (fig. 26), on pratique dans sa périphérie une entaille 40 faisant tout le tour de la roue et de place cil place on forme les fenêtres 18 où pas sent les rayons.
Pour éviter le déversement de la roue et empêcher la tendance au voilement dans le cas de la jante creuse, on peut répartir les fenêtres 18 dans deux plans à droite et à gauche du plan de symétrie. C'est ce qui a été représenté fig. 25. Cette disposition a aussi l'avantage d'augmenter la solidité da montage.
Les deux extrémités du fil formant les rayons peuvent être soudées cil elles. On peut éviter cette soudure de diverses ma nières, par exemple en coudant les extré mités 4? du fil (fig. 28) et eu les engageant dans les fenêtres voisines de celles où pas sent les derniers rayons. On peut aussi, pour éviter d'avoir deux fils 21" juxtaposés dans le fond de la jante, percer un petit trou 48, (fig. \39) où l'orl engage les extrémités cour- dées 42 du fil.
L'arrêt de la joue 2 sur le tube 5 peut être obtenu comme le montre les fig. 33 et 34, au moyen d'une bague 44 qui vient se loger entre une gorge 7 de la joue 2 et l'extrémité taillée en biseau du tube 5. On écarte la joue 2 un peu plus qu'il est nécessaire, on place la bague et on laisse les pièces revenir sous l'effet de la tension des rayons, ce qui coince la bague, en appuyant le bi seau 9 contre celle-ci, tandis que l'autre extrémité du tube entretoise 5 se coince dans la douille conique 3 de la joue 1. Ce mode de fixation est simple et économique et per met ultérieurement de démonter la roue sans aucune difficulté.
On remarquera (fig. 28) que les joues 1 et 2 une fois en place présentent toutes deux leurs douilles 3 et 4 du même côté. Cette disposition assure au tube entretoise la longueur minimum et permet de réaliser l'économie de matière la plus grande pos sible.
Les dispositions ci-dessus lie sont don nées qu'à titre d'exemple, les. formes, dimen sions, proportions et matériaux employés pouvant varier.
Wheel of children's carriages and toy vehicles. Wheels for children's carriages and toy vehicles such as automobiles and bicycles generally comprise, according to an old technique, a raw cast hub and spokes screwed or passed through holes made in the hub and riveted or welded to the rim . However, this method of fixing does not make it possible to tension the spokes, which must therefore have a certain specific rigidity to prevent the wheel from deforming under the action of accidental lateral forces; for this purpose, they are given a diameter much greater than that which would be necessary to withstand the normal forces; these two elements, cast iron hub and oversized spokes, make the wheel very heavy.
On the other hand, the assembly by riveting or welding is long and must be careful to obtain a suitable centering; it therefore requires a lot of specialized labor. This construction is therefore very expensive.
The present invention relates to a wheel for children's carriages and toy vehicles, characterized in that the spokes are fixed on the hub in two groups which can be brought together for mounting the spokes, then moved away and kept apart by a rigid spacer, so as to tension the spokes and thus ensure the undeformability of the wheel.
The drawing represents, by way of example, an embodiment of the invention and various variants.
Figs. 1, 2; 3, 4 show the elements "of the hub; Fig. 5 is a view from the inner side, Fig. 6 a longitudinal section, Fig. 7 a view from the outer side, and Fig. 8 a cross section of the mounted hub. Figures 9 and 10 show the attachment of the spokes to the rim in the case of a rubberized wheel, Figures 11 and 12 in the case of a solid rim;
Fig. 13 is a longitudinal section, and FIG. 14 a cross section of the mounting of the wheel on a transverse axle; Figs. 15 and 16 are two variants of the previous hub; Fig. 17 shows a different arrangement of keying on the axle; Figs. 18, 19 and 20 show a variant of the assembly of the spokes of the rim; Figs. 21 to 34 show other variations.
As seen in the drawing, the hub of the wheel comprises two cheeks 1 and 2, tines to receive the spoke attachment, in which two bushes 3 and 4 are respectively stamped. The bush 3 of the cheek 1 is closed. so as to constitute a sealed cap in order to be able to fit one end of a spacer tube 5, rough cut, on which the sleeve 4 of the other cheek 2 can slide.
In the cheeks 1 and 2 are cut tabs 6 on which are hung the spokes, as will be indicated below.
At the end of the sleeve 4 is practi c a circular groove 7 into which open two oval holes 10 and 11, diametrically opposed. This groove is intended to receive a particular key 8 of bent, bent and arched steel wire as shown, the middle and the ends of this key being housed respectively in holes 10 and 11.
The spacer tube 5 may end in a circular bevel 9 to ensure, as explained below, better wedging of the key 8. In this bevel are made two parallel notches 12 and 13 which reach the wall of the tube.
The stub axle 15, on which the wheel is to be placed, is turned to the inside diameter of the spacer tube 5. It is a little shorter than this tube and is chamfered at its end. It has a circular groove 16 corresponding to the groove 7 and to the notches 12 and 13.
In the case (fig. 9 and 10) where the rim is hollow to receive a rubber tire, it is pierced with elongated holes 18 intended to receive the end of the spokes. These holes open into a circular groove 19 in which a steel wire 20 can be accommodated going around the wheel.
If, on the contrary (fig. 11 and 12), the rim 30 is solid, it has a circular groove 31 internally in the cheeks of which holes 32 are drilled.
The set of spokes 21 is made up: by means of a mild steel wire, mechanically bent at the attachment points on the rim and on. the cheeks, these last folds being beaten square as shown in fig. 6.
The assembly is done as follows (fig. 6) The corresponding end of the spacer tube 5 is fitted with the sleeve 3, and the sleeve 4 is passed over this tube until the two cheeks 1 and 2 are close. from each other, taking care that holes 10 and 11 are parallel to notches 12 and 13.
The square folds of all the spokes 21 are hooked onto the lan guettes 6 (fig. 6 and 7). In the case of a hollow rim (fig. 9 and 10), the straight folds are introduced into the holes 18 of the rim and are held there by the steel wire <B> 2 </B> 0, passed successively in each fold. In the case of a solid rim (fig. 11 and 12), the straight folds are engaged in the circular groove 31, and fixed by small rivets or pins 33 in the holes 32.
The cheeks 1 and 2 are separated, which has the effect of tightening the spokes until the groove 7 is clearly free from the bevel 9. The key 8 is placed in this groove, the ends and the middle respectively in the holes 10 and 11, and by relaxing it lodges exactly there; the cheek 2 is then released and is brought a little towards the cheek 1 by the elasticity of the spokes, until the key 8, wedged between the groove 7 and the bevel 9, blocks it exactly, while its engagement in the notches 12 and 13 of the sleeve 4 on the one hand and the holes 10 and 11 of the tube 5 on the other, prevent these two parts from rotating relative to each other. The whole wheel forms an undeformable and solid whole;
the steel wire constitutes the spokes which have been mechanically bent to the calculated lengths; these spokes are all equally tensioned by the desired quantity, which has the effect of instantly and exactly centering the hub.
Grease is placed in the end of the tube 5 against the socket 3.
Then the stub axle 15 is driven into this tube; thanks to its chamfer it moves the two parallel branches of the key 8 apart and keeps them apart until they fall back into the groove 16; the wheel is then in place on the spindle and is securely held by the key.
During rolling, as soon as heating begins in the hub, the grease placed at the end of the tube 5 melts and lubricates the friction surfaces; the wheel can thus operate for many months without being regreased. But when it becomes necessary, it can be disassembled instantly, by removing with any blade the two parallel branches of the key 8 to release them from the groove 16 and then reassembled very rigidly by the method indicated above. The seal between the socket 3 and the tube 5 is sufficiently tight so that in any case the persons circulating around the car can be stained.
As can be understood from the previous description; the wheel is composed of relatively light elements which can be produced economically in large series and the assembly of which is quick and easy, all advantages which are not present in the wheel model presently in use.
Figs. 13 and 14 show the assembly in the case where the axle passes through the wheel (bi cyclettes, toys, for example); the elements are arranged in the same way. The socket 3 is drilled to give passage to the axle.
Fig. 15 represents a rare wheel mounted on crowns of balls. The locking of the sleeve 4 on the spacer tube 5 is ob held by a split steel wire ring 23, placed in a groove 24, made on the tube and on which the sleeve 4 comes to bu ter. Another split ring 34 maintains the crown of balls on the right, those on the left being blocked by the sleeve 3 itself.
Fig.16 is a section of a simplified embodiment; cheeks 1 and 2 being close together, the spokes are mounted as indicated above; the cheeks are moved apart and the spacer tube 5 is placed between them, which is held by elastic clamping of the spokes; the sockets 3 and 4 bear directly on the axle 15 which ensures the cohesion of the wheel.
The keying member on the axle rocket can be modified; the steel wire key 8 can be replaced by a double strip key 25, (fig. 13 and 14) or even by two small screws 26 (fig. 17) having at their ends small tenons engaged in the groove 16 of the es sieu rocket, or finally, by any other appropriate organ.
Finally, all the spoke fixing provisions on the cheeks and on the rim can be applied. For example, the hook on the small tabs be replaced by engagement in oval holes 35 (fig. 17) and fixing by small cotter pins placed in the folds, or even by lacing in the holes 35 reduced to the circular shape. .
Or finally, we can use the ordinary spokes terminated by a head 28 engaged in buttonhole title 29 (fig. 18, 19, 20).
All these modifications can be applied indifferently to the end wheels and to the transverse wheels by the axle and be combined in any possible way.
In the arrangements of fig. 21 and 23, to make the shelving of the new wheel, gold) takes a sufficiently fine metallic wire, but nevertheless strong enough to resist the tensions to which it will be subjected and it is bent by machine as shown in the drawing , that is to say that between two parts 21 constituting two adjacent spokes, parts 21n of suitable length are reserved. In the rim 17, we make notches the 18 (fig. 23 and 24).
To do the assembly, we engage the cheeks 1 and 2 on the spacer tube 5, close together. Then the spokes 21 are passed from the outside towards the center of the wheel through the notches 18. The folds 21u of the spokes adjacent to the tongues 6 are hooked; alternately on one cheek and on the other cheek. The same is done over the entire circumference of the wheel and all that is left is to move the cheeks 1, 2 aside so that the wheel is mounted.
Instead of forming all the spokes with a single wire, one can use two wires folded in a similar way, as shown in fig. 22, one of the threads forming one of the layers of. spokes, and the other wire, the other tablecloth.
In either case, the fixing of the spokes to the rim is obtained using the very wire which constitutes them, the parts 21a being housed in the bottom of the rim as shown in FIG. 3.
If it is a solid rim (fig. 26), a notch 40 is made in its periphery going all the way around the wheel and from place to place the windows 18 are formed where the spokes are not felt.
In order to prevent the wheel from spilling and to prevent the tendency to buckle in the case of the hollow rim, the windows 18 can be distributed in two planes to the right and to the left of the plane of symmetry. This is what has been represented in fig. 25. This arrangement also has the advantage of increasing the strength of assembly.
The two ends of the wire forming the spokes can be welded together. This welding can be avoided in various ways, for example by bending the ends 4? thread (fig. 28) and had them engaging in the windows next to those where the last rays are not felt. To avoid having two 21 "threads juxtaposed in the bottom of the rim, it is also possible to drill a small hole 48 (fig. \ 39) where the lead engages the curved ends 42 of the thread.
The stopping of the cheek 2 on the tube 5 can be obtained as shown in fig. 33 and 34, by means of a ring 44 which is housed between a groove 7 of the cheek 2 and the bevelled end of the tube 5. The cheek 2 is spread a little more than necessary, we place the ring and the parts are allowed to return under the effect of the tension of the spokes, which wedges the ring, by pressing the twin bucket 9 against it, while the other end of the spacer tube 5 gets stuck in the socket conical 3 of the cheek 1. This method of attachment is simple and economical and allows the wheel to be removed subsequently without any difficulty.
It will be noted (fig. 28) that the cheeks 1 and 2 once in place both have their sockets 3 and 4 on the same side. This arrangement ensures that the spacer tube has the minimum length and makes it possible to save as much material as possible.
The above provisions are given by way of example only. shapes, dimensions, proportions and materials used may vary.