Installation pour le .vieillissement des bois. La présente invention se rapporte à une installation pour le vieillissement des bois comprenant une cellule pour contenir ceux-ci, un appareil producteur d'air sec, un appareil pour modifier la pression dans la cellule et un ozoniseur. Cette installation est caractéri sée en ce que les liaisons de ces appareils avec la cellule sont commandées par des obtura. teurs placés sous la dépendance d'une horloge électrique, dans le but que les diverses opé rations à faire subir aux bois se fassent-auto- matiquement.
Le dessin en représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution et une variante.
La fig. 1 est un schéma. de la forme d'exé cution; les fig. 2 et 3 se rapportent à un premier détail, et les fig. 4, 5 et 6 à un autre détail de celle-ci; La fig. ? est un schéma de la variante.
Dans la forme d'exécution, 2 est une cel lule, fermée, destinée à recevoir les bois à traiter, 3 est un appareil producteur d'air sec, 5 un ozoniseur et 18 une pompe à vida reliée, d'une façon non-représentée, à une conduite générale, à vide, 6. 3, 5 et 6 sont reliés à la cellule 2 ou, entre eux, par des conduits s'ou vrant ou se fermant au moyen de dispositifs obturateurs 19, 20, 21, 22 et 23. L'un de ces dispositifs. est représenté en fig. 4, 5 et 6 et est décrit en détail plus loin; pour le moment, il suffit de savoir que l'ouverture de l'un de ces dispositifs se produit par le moyen de l'électro-aimant 44, tandis que la fermeture se produit par l'électro-aimant de fermeture 44'.
L'obturateur 19 est placé sur la con duite 8 qui relie la cellule 2 à l'ozoniseur 5; l'obturateur 20 est placé sur la conduite 16 qui relie l'appareil 3 à la cellule; l'obtura teur 21 est placé sur la conduite 15 qui relie le même appareil 3 à la conduite 13 reliée à l'ozoniseur 5; l'obturateur 22 est placé sur la conduite 9 qui relie la cellule 2 à ladite con duite 13. Enfin, l'obturateur 23 est placé sur la conduite 7 reliant la cellule à la conduite à vide 6.
Les électro-aimants 44 et 44' des quatre obturateurs 19 à 22 sont placés dans des circuits a à f ouverts ou fermés par le moyen de l'horloge électrique 1. 11 est un manomètre à colonne liquide supportant un flotteur relié à la conduite 6; lorsqu'une dé pression suffisante est établie dans celle-ci, la colonne liquide du manomètre arrive en regard d'un contact électrique inférieur placé sur le tube et ferme, en ce point, un circuit électrique commandant un électro-aimant qai produit l'arrêt de la pompe 18.
Lorsque le degré de vide dans la, conduite 6, diminuant, la colonne du manomètre arrive en regard du contact électrique supérieur, placé sur le tube, il se ferme le circuit d'un électro-aimant re mettant la pompe en marche. Celle-ci s'arrête donc ou fonctionne automatiquement suivant les besoins. De même, 10 est un manomètre, à colonne liquide et à flotteur, relié à la cel lule 2; lorsque le degré voulu de vide est at teint dans celle-ci, le contact électrique placé sur le tube est fermé, ce q111 produit la mise en circuit de l'électro-aimant de fermeture de l'obturateur 23. L'électro-aimant d'ouverture de celui-ci a son circuit commandé par l'hor loge 1.
Cette dernière, représentée partiellement en fig. 2 et 3, comprend un pendule 28 et un mouvement d'horlogerie non représenté, agis sant sur l'arbre 27; celui-ci est accouplé, par un dispositif de changement de vitesse, avec l'arbre 26 sur lequel est fixée la roue 25. Celle-ci présente, sur sa périphérie, toute une série de trous 30 dans lesquels peuvent être engagés à, volonté les goujons 301.
Ces gou jons, qui font légèrement saillie sur la jante de la roue, viennent en prise avec les con tacts 31 à chacun desquels est relié l'un des conducteurs à f ; on peut donc., suivant la position qu'occupent les goujons 30' sur la jante de la roue 25, produire la. fermeture, respectivement.l'ouvert;ire, des obturateurs à. des moments déterminés; en modifiant la Po sition des goujons, on peut modifier soit l'or dre de ces ouvertures ou fermetures, soit les temps les séparant.
Ces temps peuvent être éOIa.lement modifiés en changeant la. vitesse de la roue 25. 32 est une poulie de freinage fixée sur l'arbre 26 et sur laquelle passe une corde à laquelle est fixé un poids 33; ce dis positif a pour but d'assurer un mouvement régulier à- la roue 25. Les fi-. 4, 5 et 6 représentent, en éléva tion de .côté, en plan et en élévation de face, l'un des obturateurs de la fig. 1, par exemple l'obturateur 19. 38 et 39 sont deux tubulures reliées chacune à l'un des tronçons de la con duite 8 que l'obturateur 19 relie; 61 est relié à la conduite à vide 6.
La tubulure 38 se prolonge par un conduit 40 terminé par un siège 42 qui fait saillie dans le cylindre in térieur 371; dans celui-ci se meut le piston 43, qu'un ressort 431 tend à appliquer contre le siège 42, pour fermer celui-ci, .et qui se pro longe, à l'extérieur, par la tige de commande 42': le cylindre 371 présente quatre ouvertures circulaires 41. le faisant communiquer avec le cylindre extérieur 3 7 dans lequel débouche la tubulure 39; on voit donc que la communica tion entre cette dernière et la. tubulure 38 est commandée par le piston 43. 36 est un souf flet communiquant par les ouvertures 361 avec une chambre 35 placée au-dessous de lui;
dans cette chambre est monté un diaphragme 50 avec lequel coopère la soupape 49 fixée par une tige au piston 48; la partie de la chambre placée au-dessus du diaphragme 50 communique avec une source d'air sous pres sion par le conduit 31=, tandis que la, partie de la. chambre située au-dessous de ce dia phragme communique avec la conduite 6 par 61; l'espace 47, situé au-dessous du piston 48, communique avec un conduit -15' aboutissant à l'air libre et obturable par l'armature 45 de l'électro-aimant d'ouverture 44.
Suppo sons cet électro-aimant excité; il attire son armature qui débouche le conduit 451; de l'air pénètre dans l'espace -17 et élève le piston -t8 en éloignant la soupape 49 du diaphragme 56 et en l'appliquant contre le siège pratiqué à l'extrémité (le l'ouverture 31=; l'intérieur du soufflet est donc mis en communication avec la. conduite à vide 6;
en conséquence, le souf flet s'applatit et le bras 51. agit sur le levier 52 de façon à, déplacer la tige 42' vers l'ex térieur, jusqu'à ce qu'elle soit enclenchée par le cliquet 53. L'oblurateur est alors ouvert.
L'électro-aimant -1?- désexcité, l'armature referme l'orifice du conduit 451 et l'air con tenu dans l'espace 47 nasse dans la conduite 61, petit à petit, grâce aux imperfections du joint entre le piston et son cylindre; .en ce mo ment, la soupape 49 retombe et le soufflet 36 est remis en communication avec la conduite 312.
Si l'on actionne alors l'électro-aimant 441, celui-ci agit, par l'intermédiaire d'une tige représentée en fig. 5, sur le cliquet 53 et libère la tige 52'; le piston 43 revient alors dans sa position de fermeture et l'obturateur est de nouveau fermé.
Le fonctionnement de l'installation repré sentée aux fig. 1 à 6 est le suivant: Nous supposons que les bois à traiter doi vent être soumis, après avoir été disposés dans la cellule, aux traitements suivants: <B>10</B> L'air de la cellule, chargé d'humidité, est remplacé par de l'air sec; durée de l'opé ration 90 secondes; 20 Production dans la cellule d'une dé pression de 1/2o d'atmosphère environ; durée de l'opération 30 secondes; 3o Ozonisation et circulation de l'air en dépression dans la cellule; durée de l'opéra tion 150 secondes; 40 Rentrée lente, dans la cellule, d'air sec ozonisé jusqu'à rétablissement de la pres sion atmosphérique; durée de l'opération 70 secondes;
<B>50</B> Ozonisation et circulation de l'air en circuit fermé à l'intérieur de la cellule et à la pression atmosphérique; durée de l'opéra tion 50 secondes; <B>60</B> Repos; durée de l'opération 210 se condes.
Total du cycle 600 secondes.
La vitesse de la roue 25 et la position d'es goujons 30 sont choisies de façon que les opé rations sus-indiquées se fassent dans l'ordre voulu et durant le temps voulu. Ceci fait, on met la pompe 18 en marche; celle-ci crée, dans la conduite 6, la, dépression voulue qui sera, désormais maintenue automatiquement grâce au manomètre 11 et à ses contacts élec triques; dès que le premier goujon arrive en prise avec le premier contact, les obturateurs 20 et 23 s'ouvrent; de l'air sec passe alors dé l'appareil 3 dans la cellule 2; lorsque le deuxième goujon arrive en contact avec le deuxième plot, le robinet 20 se ferme, l'ob turateur 23 étant encore ouvert;
c'est la pro duction, dans la cellule, de la dépression de 'j2o d'atmosphère; après quoi, les obturateurs <B>19</B> et 22 sont ouverts (phase 3), puis, 19 res tant ouvert, 22 se ferme et 21 s'ouvre (phase 4), puis 21 se ferme de nouveau, tandis que 22 s'ouvre, 19 restant ouvert (phase 5).
Dans la variante de fig. 7, B est la cel lule communiquant par l'obturateur b avec i 'air atmosphérique, par l'obturateur a. avec un ventilateur refoulant V, producteur d'air sec, et, par l'obturateur d, avec un réservoir R, dans lequel la pompe P crée une surpres- sion; l'ozoniseur est indiqué en 0; il est relié d'un côté avec un dessicateur D, relié à son tour à un petit compresseur C et, de l'autre côté, à. un gazomètre G, dont la cloche est reliée à la cellule B par l'obturateur c.
Les obturateurs<I>a b c et d</I> sont placés sous la dé pendance d'électro-aimants d'ouverture et de fermeture non représentés, commandés, à leur tour, par une horloge électrique semblable à l'horloge 1 de fig. 1, et non représentée également. Cette installation est disposée de façon que la pression à l'intérieur de la cel lule ne se trouve pas inférieure, à un moment de l'opération, à la pression atmosphérique.
A cet effet, si l'on travaille à Paris par exem ple, on commence par établir dans 1a cellule B une pression de 800 mm de mercure; les opérations sont les suivantes: <B>10</B> Le robinet b s'ouvre et la pression ini tiale, supposée de 800 mm, tombe à 760 mm, pression atmosphérique extérieure; 20 Le robinet a s'ouvre, le ventilateur V est mis en route et de l'air sec, à la pression.
normale de 760 mm, est introduit dans la, cellule; <B>30</B> Le robinet a se ferme, le ventilateur V s'arrête et le robinet c s'ouvre; l'ozonisa- tion se fait à la pression de 760 mm; 40 Les robinets cet b se ferment et le robinet d s'ouvre; la pression de 800 mm se rétablit lentement; <B>50</B> Le robinet d se ferme et ainsi tous les robinets sont fermés; pression de régime de 800 mm.
Installation for the aging of timber. The present invention relates to an installation for aging wood comprising a cell for containing the latter, an apparatus for producing dry air, an apparatus for modifying the pressure in the cell and an ozonator. This installation is characterized in that the connections of these devices with the cell are controlled by obtura. teurs placed under the control of an electric clock, with the aim that the various operations to be subjected to the woods are carried out automatically.
The drawing shows, by way of example, an embodiment and a variant.
Fig. 1 is a diagram. the form of execution; figs. 2 and 3 relate to a first detail, and FIGS. 4, 5 and 6 to another detail thereof; Fig. ? is a diagram of the variant.
In the embodiment, 2 is a cell, closed, intended to receive the wood to be treated, 3 is a device for producing dry air, 5 an ozonator and 18 a vacuum pump connected, in a non-controlled manner. shown, to a general pipe, empty, 6, 3, 5 and 6 are connected to cell 2 or, between them, by conduits which open or close by means of obturating devices 19, 20, 21, 22 and 23. One of these devices. is shown in fig. 4, 5 and 6 and is described in detail below; for the moment, it suffices to know that the opening of one of these devices occurs by means of the electromagnet 44, while the closing occurs by the closing electromagnet 44 '.
The shutter 19 is placed on the conduit 8 which connects the cell 2 to the ozonator 5; the shutter 20 is placed on the pipe 16 which connects the device 3 to the cell; the shutter 21 is placed on the pipe 15 which connects the same device 3 to the pipe 13 connected to the ozonator 5; the shutter 22 is placed on the pipe 9 which connects the cell 2 to the said pipe 13. Finally, the shutter 23 is placed on the pipe 7 connecting the cell to the vacuum pipe 6.
The electromagnets 44 and 44 'of the four shutters 19 to 22 are placed in circuits a to f open or closed by means of the electric clock 1. 11 is a liquid column manometer supporting a float connected to the pipe 6 ; when a sufficient de-pressure is established therein, the liquid column of the manometer arrives opposite a lower electrical contact placed on the tube and closes, at this point, an electrical circuit controlling an electromagnet which produces the stop the pump 18.
When the degree of vacuum in the pipe 6 decreases, the manometer column arrives opposite the upper electrical contact, placed on the tube, the circuit of an electromagnet closes again, starting the pump. It therefore stops or operates automatically as needed. Likewise, 10 is a pressure gauge, with liquid column and float, connected to cell 2; when the desired degree of vacuum is reached in the latter, the electrical contact placed on the tube is closed, which causes the closing electromagnet of the shutter 23 to be switched on. The electromagnet opening of the latter to its circuit controlled by clock 1.
The latter, shown partially in FIG. 2 and 3, comprises a pendulum 28 and a clockwork movement, not shown, acting on the shaft 27; the latter is coupled, by a speed changing device, with the shaft 26 on which the wheel 25 is fixed. The latter has, on its periphery, a whole series of holes 30 in which can be engaged at will. studs 301.
These studs, which protrude slightly from the rim of the wheel, engage with the contacts 31 to each of which is connected one of the conductors to f; one can therefore., depending on the position occupied by the studs 30 'on the rim of the wheel 25, produce the. closing, respectively.l'ouvert; ire, shutters to. specific times; by modifying the position of the studs, it is possible to modify either the order of these openings or closures, or the times between them.
These times can be greatly modified by changing the. speed of the wheel 25. 32 is a braking pulley fixed on the shaft 26 and on which passes a rope to which a weight 33 is attached; the purpose of this positive is to ensure regular movement of the wheel 25. The fi-. 4, 5 and 6 show, in side elevation, in plan and in front elevation, one of the shutters of FIG. 1, for example the shutter 19. 38 and 39 are two tubes each connected to one of the sections of the duct 8 that the shutter 19 connects; 61 is connected to the vacuum line 6.
The pipe 38 is extended by a duct 40 terminated by a seat 42 which projects into the inner cylinder 371; in it moves the piston 43, which a spring 431 tends to apply against the seat 42, to close the latter,. and which is extended, on the outside, by the control rod 42 ': the cylinder 371 has four circular openings 41. making it communicate with the outer cylinder 37 into which the pipe 39 opens; it can therefore be seen that the communication between the latter and the. tube 38 is controlled by piston 43. 36 is a bellows communicating through openings 361 with a chamber 35 placed below it;
in this chamber is mounted a diaphragm 50 with which cooperates the valve 49 fixed by a rod to the piston 48; the part of the chamber placed above the diaphragm 50 communicates with a source of pressurized air through the duct 31 =, while the part of the. chamber located below this diaphragm communicates with pipe 6 through 61; the space 47, located below the piston 48, communicates with a duct -15 ′ leading to the open air and which can be closed off by the armature 45 of the opening electromagnet 44.
Suppose this electromagnet excited; it attracts its armature which opens the conduit 451; air enters the space -17 and raises the piston -t8 by moving the valve 49 away from the diaphragm 56 and pressing it against the seat made at the end (the opening 31 =; the inside of the bellows is therefore placed in communication with the vacuum line 6;
consequently, the bellows flattens and the arm 51 acts on the lever 52 so as to move the rod 42 'outwardly until it is engaged by the pawl 53. The shutter is then open.
The electromagnet -1? - de-energized, the armature closes the orifice of the duct 451 and the air contained in the space 47 traps in the duct 61, little by little, thanks to the imperfections of the seal between the piston and its cylinder; .en this mo ment, the valve 49 drops and the bellows 36 is put back into communication with the pipe 312.
If the electromagnet 441 is then actuated, it acts, via a rod shown in FIG. 5, on the pawl 53 and releases the rod 52 '; the piston 43 then returns to its closed position and the shutter is closed again.
The operation of the installation shown in figs. 1 to 6 is the following: We assume that the wood to be treated must be subjected, after being placed in the cell, to the following treatments: <B> 10 </B> The air in the cell, loaded with humidity , is replaced by dry air; duration of the operation 90 seconds; 20 Production in the cell of a pressure of about 1 / 2o atmosphere; duration of the operation 30 seconds; 3o Ozonization and circulation of air in depression in the cell; duration of the operation 150 seconds; 40 Slow re-entry of dry ozonized air into the cell until atmospheric pressure is restored; duration of the operation 70 seconds;
<B> 50 </B> Ozonization and air circulation in a closed circuit inside the cell and at atmospheric pressure; duration of the operation 50 seconds; <B> 60 </B> Rest; duration of the operation 210 sec.
Total cycle 600 seconds.
The speed of the wheel 25 and the position of the studs 30 are chosen so that the above-mentioned operations are carried out in the desired order and during the desired time. This done, the pump 18 is started; this creates, in line 6, the desired depression which will now be maintained automatically by means of the pressure gauge 11 and its electrical contacts; as soon as the first stud comes into engagement with the first contact, the shutters 20 and 23 open; dry air then passes from device 3 into cell 2; when the second stud comes into contact with the second stud, the valve 20 closes, the shutter 23 still being open;
it is the pro- duction, in the cell, of the depression of 20 ° of atmosphere; after which the shutters <B> 19 </B> and 22 are open (phase 3), then, 19 remain open, 22 closes and 21 opens (phase 4), then 21 closes again, while that 22 opens, 19 remaining open (phase 5).
In the variant of fig. 7, B is the cell communicating through shutter b with atmospheric air, through shutter a. with a pressure fan V, producing dry air, and, through the shutter d, with a reservoir R, in which the pump P creates an overpressure; the ozonator is indicated in 0; it is connected on one side with a desiccator D, connected in turn to a small compressor C and, on the other side, to. a gasometer G, the bell of which is connected to cell B by the shutter c.
The shutters <I> abc and d </I> are placed under the dependence of opening and closing electromagnets, not shown, controlled, in turn, by an electric clock similar to the clock 1 of FIG. . 1, and also not shown. This installation is arranged so that the pressure inside the cell is not lower, at any time during the operation, than atmospheric pressure.
To this end, if one works in Paris for example, one begins by establishing in the cell B a pressure of 800 mm of mercury; the operations are as follows: <B> 10 </B> Valve b opens and the initial pressure, assumed to be 800 mm, drops to 760 mm, external atmospheric pressure; 20 The valve a opens, the fan V is started and dry air at pressure.
normal of 760 mm, is introduced into the, cell; <B> 30 </B> The tap a closes, the fan V stops and the tap c opens; ozonization takes place at a pressure of 760 mm; 40 The taps this b close and the tap d opens; the pressure of 800 mm is slowly restored; <B> 50 </B> Tap d closes and thus all taps are closed; working pressure of 800 mm.