CA2538158C - Caisson de presentation - Google Patents
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Abstract
Caisson de présentation à surface développable ayant une structure cylindrique à section de forme convexe formée d'une ossature portant un voile muni de fentes longitudinales, et une feuille d'habillage. La fente (5) de l'ossature constitue une fente d'encastrement et le bord latéral de la feuille (7) est muni d'une lame souple (72) formant une ligne de pliage (73) à sa jonction avec le corps de la feuille et engagé e dans la fente d'encastrement (5) par une partie de sa longueur alors que la partie restante (.DELTA.L) peut se déformer élastiquement, librement par rapport à la fente d'encastrement (5) et à la structure pour tendre la feuille (1).< /SDOAB>
Description
CAISSON DE PRÉSENTATION
Domaine de l'invention La présente invention concerne un caisson de présentation à surface développable ayant une structure cylindrique à section de forme convexe constituée d'une ossature formée d'un voile muni de fentes longi-s tudinales, et au moins une feuille d'habillage appliquée extérieurement contre la structure pour l'envelopper et dont au moins un bord latéral, plié, est glissé dans une fente longitudinale de la structure pour tenir la feuille.
L'invention concerne notamment un caisson de présenta-to tion, de décoration ou d'information à surface développable de section convexe, polygonale ou courbe continue ou mixte.
Etat de la technique Autrefois réalisés en serrurerie et plaques de plastique pla-nes ou moulées, ces caissons sont aujourd~ui composés exclusivement de ~s matériaux plastiques, comme des feuilles translucides, minces, élastiques et semi-rigides.
Ces caissons à surfaces convexes, développables, sont ap-préciés en décoration, en signalétique et en publicité, comme supports graphiques. Ils sont, en effet, particulièrement élégants et attractifs lors-2o qu'ils sont luminescents et porteurs de graphismes de qualité.
Le développement de ces caissons est lié à la mise sur le marché de divers matériaux en feuilles minces, translucides, présentant des degrés d'élasticité différents, comme les feuilles de plastique, de non-tissés ou de papiers de différentes compositions ou épaisseurs. Certains 2s de ces produits possèdent en plus, une bonne résistance au feu, indispen-sable dans certains usages.
Ces associations de matériaux minces permettent la réalisa-tion économique de structures légères, souples et résistantes. Il est bien connu, par exemple, que l'inertie des feuilles minces est facilement aug-3o mentée lorsqu'on les cintre ou les plie, (comme une gouttière ou un diè-dre). Mais si ce cintrage s'exerce sur une feuille élastique, on doit alors conserver la forme donnée en exerçant une tension constante. Pour ces caissons, les cylindres minces, verticaux, forme appropriée pour résister aux contraintes de compression, d'une charge verticale, seront encore 3s plus performants, si on les réalise à partir de feuilles planes élastiques, courbées en cylindres et maintenues par des tensions constantes.
Ces caissons, cylindriques, constituent une structure élas-tique sous tension constante qui présente un avantage important
Domaine de l'invention La présente invention concerne un caisson de présentation à surface développable ayant une structure cylindrique à section de forme convexe constituée d'une ossature formée d'un voile muni de fentes longi-s tudinales, et au moins une feuille d'habillage appliquée extérieurement contre la structure pour l'envelopper et dont au moins un bord latéral, plié, est glissé dans une fente longitudinale de la structure pour tenir la feuille.
L'invention concerne notamment un caisson de présenta-to tion, de décoration ou d'information à surface développable de section convexe, polygonale ou courbe continue ou mixte.
Etat de la technique Autrefois réalisés en serrurerie et plaques de plastique pla-nes ou moulées, ces caissons sont aujourd~ui composés exclusivement de ~s matériaux plastiques, comme des feuilles translucides, minces, élastiques et semi-rigides.
Ces caissons à surfaces convexes, développables, sont ap-préciés en décoration, en signalétique et en publicité, comme supports graphiques. Ils sont, en effet, particulièrement élégants et attractifs lors-2o qu'ils sont luminescents et porteurs de graphismes de qualité.
Le développement de ces caissons est lié à la mise sur le marché de divers matériaux en feuilles minces, translucides, présentant des degrés d'élasticité différents, comme les feuilles de plastique, de non-tissés ou de papiers de différentes compositions ou épaisseurs. Certains 2s de ces produits possèdent en plus, une bonne résistance au feu, indispen-sable dans certains usages.
Ces associations de matériaux minces permettent la réalisa-tion économique de structures légères, souples et résistantes. Il est bien connu, par exemple, que l'inertie des feuilles minces est facilement aug-3o mentée lorsqu'on les cintre ou les plie, (comme une gouttière ou un diè-dre). Mais si ce cintrage s'exerce sur une feuille élastique, on doit alors conserver la forme donnée en exerçant une tension constante. Pour ces caissons, les cylindres minces, verticaux, forme appropriée pour résister aux contraintes de compression, d'une charge verticale, seront encore 3s plus performants, si on les réalise à partir de feuilles planes élastiques, courbées en cylindres et maintenues par des tensions constantes.
Ces caissons, cylindriques, constituent une structure élas-tique sous tension constante qui présente un avantage important
2 Dans leur forme d'usage, les feuilles de plastique étant rigidifiées par cin-trage, ces caissons restent suffisamment élastiques pour absorber des dé-formations accidentelles supplémentaires et restituer ensuite la forme donnée d'équilibre, comme des déformations consécutives à des chocs ou s des chutes. Les sources lumineuses axiales, bien protégées, sont prati-quement incassables, comme les caissons eux-mêmes qui les entourent en les protégeant.
Les ossatures des caissons en feuilles semi-élastiques sont donc particulièrement durables, donc longtemps réutilisables. Les feuilles to d'habillage, supports de graphismes, amovibles, de faible coùt, portant des messages imprimés, sont amovibles. On peut les changer à chaque nouvel usage.
Les caissons lumineux élastiques présentent donc de nom-breux avantages ts Terminologie Dans les descriptions suivantes, on nommera - « Caisson », l'ensemble de l'élément décoratif ou informatif de présenta-tion en état complet d'usage. Il est généralement muni d'une source lumineuse telle qu'un tube fluorescent placé sur son axe ou proche de 2o son axe.
- <~ Structure », l'ensemble de la partie résistante interne constituée d'un ou de plusieurs voiles maintenus en forme développable par des traver-ses tendues par l'action de l'élasticité du ou des voiles.
- « Voile », la partie de la structure constituée d'au moins une feuille de 2s voile semi-souple cintrée et/ou pliée en gouttière pour constituer tout ou partie de la surface développable et résistante du caisson sur la quelle est appliquée la feuille d'habillage. Le voile est généralement constitué d'une feuille de matière plastique semi-souple, nettement plus résistante que la feuille d'habillage.
30 - « Feuille d'habillage » ou « Feuille » constitue l'« épiderme » ou l'« enveloppe » ou le ~~ support graphique ». Il s'agit d'une feuille ime, translucide et diffusante d'habillage du caisson. Elle est nettement plus mince que la feuille constituant le voile d'ossature. Cette feuille de fini-tion porte le plus souvent un graphisme décoratif ou informatif.
3s - La « Largeur » de la composante d'un élément de forme cylindrique s'entend suivant la direction de la directrice du cylindre.
- La « Longueur » de la composante d'un même élément s'entend suivant la direction de la génératrice ou de la « hauteur » des caissons tels que
Les ossatures des caissons en feuilles semi-élastiques sont donc particulièrement durables, donc longtemps réutilisables. Les feuilles to d'habillage, supports de graphismes, amovibles, de faible coùt, portant des messages imprimés, sont amovibles. On peut les changer à chaque nouvel usage.
Les caissons lumineux élastiques présentent donc de nom-breux avantages ts Terminologie Dans les descriptions suivantes, on nommera - « Caisson », l'ensemble de l'élément décoratif ou informatif de présenta-tion en état complet d'usage. Il est généralement muni d'une source lumineuse telle qu'un tube fluorescent placé sur son axe ou proche de 2o son axe.
- <~ Structure », l'ensemble de la partie résistante interne constituée d'un ou de plusieurs voiles maintenus en forme développable par des traver-ses tendues par l'action de l'élasticité du ou des voiles.
- « Voile », la partie de la structure constituée d'au moins une feuille de 2s voile semi-souple cintrée et/ou pliée en gouttière pour constituer tout ou partie de la surface développable et résistante du caisson sur la quelle est appliquée la feuille d'habillage. Le voile est généralement constitué d'une feuille de matière plastique semi-souple, nettement plus résistante que la feuille d'habillage.
30 - « Feuille d'habillage » ou « Feuille » constitue l'« épiderme » ou l'« enveloppe » ou le ~~ support graphique ». Il s'agit d'une feuille ime, translucide et diffusante d'habillage du caisson. Elle est nettement plus mince que la feuille constituant le voile d'ossature. Cette feuille de fini-tion porte le plus souvent un graphisme décoratif ou informatif.
3s - La « Largeur » de la composante d'un élément de forme cylindrique s'entend suivant la direction de la directrice du cylindre.
- La « Longueur » de la composante d'un même élément s'entend suivant la direction de la génératrice ou de la « hauteur » des caissons tels que
3 représentés â la figure 1.
- Les deux « bandes latérales » renforcent les côtés d'une feuille et per-mettent la mise en place des feuilles.
De manière détaillée, les caissons actuels sont constitués s des deux principaux éléments - Une structure constituée de une ou plusieurs feuilles de matière plas-tique élastique, semi-rigide et translucide, d'environ 0,5 à 1 mm d'épaisseur. Les bords rectilignes d'une feuille de voile, une fois cintrée, pour augmenter son inertie, constituent des arêtes habituellement sui-to vant les génératrices d'un cylindre, (bien que cette forme développable puisse aussi être conique ou pyramidale). Ces arêtes forment avec un rabat par pré-pliage d'une bande de la feuille, au moins une rainure di-rigée vers l'intérieur. Les feuilles de voile sont maintenues cintrées en gouttières par des éléments tendus s'opposant à leur retour à leur posi-t s tion plane d'équilibre par élasticité.
- La feuille d'habillage, portant le plus souvent le graphisme décoratif ou informatif, est constituée d'une feuille très diffusante de la lumière, mais beaucoup plus mince que celle de l'ossature, d'une épaisseur de l'ordre de 0,2 mm. Elle présente beaucoup moins d'inertie que les feuil-20 les de la structure. Sa mise en oeuvre habituelle est réalisée grâce à la déformation, sous pression, puis le retour à l'équilibre d'une de ses deux bandes longitudinales préalablement semi-rigidifiée.
Mais cette technique de mise en place s'accompagne de l'apparition de défauts de planimétrie et d'irrégularités intrinsèques à la 2s nature méme des feuilles d'habillage. Ces feuilles très minces et de peu d'inertie, mème cintrées, se gondolent, une fois appliquées sur les structu-res courbes. Ces défauts d'aspect sont encore plus visibles lorsque les feuilles d'habillage sont brillantes, comme c'est le cas de la majorité des supports photographiques minces translucides et diffusants connus sous le nom de ~~ backlight ». Le renforcement actuel des bandes latérales des épidermes est réalisé soit par épaississement localisé par pliage et collage simple ou multiple des bords des panneaux, soit par apport et collage d'une bande de plastique mince élastique semi-rigide, soit par ces deux techniques combinées.
3s But de l'invention.
La présente invention propose d'améliorer les caissons de décoration ou d'information à surface développable, utilisés, notamment, dans les lieux publics comme éléments publicitaires ou informatifs et de
- Les deux « bandes latérales » renforcent les côtés d'une feuille et per-mettent la mise en place des feuilles.
De manière détaillée, les caissons actuels sont constitués s des deux principaux éléments - Une structure constituée de une ou plusieurs feuilles de matière plas-tique élastique, semi-rigide et translucide, d'environ 0,5 à 1 mm d'épaisseur. Les bords rectilignes d'une feuille de voile, une fois cintrée, pour augmenter son inertie, constituent des arêtes habituellement sui-to vant les génératrices d'un cylindre, (bien que cette forme développable puisse aussi être conique ou pyramidale). Ces arêtes forment avec un rabat par pré-pliage d'une bande de la feuille, au moins une rainure di-rigée vers l'intérieur. Les feuilles de voile sont maintenues cintrées en gouttières par des éléments tendus s'opposant à leur retour à leur posi-t s tion plane d'équilibre par élasticité.
- La feuille d'habillage, portant le plus souvent le graphisme décoratif ou informatif, est constituée d'une feuille très diffusante de la lumière, mais beaucoup plus mince que celle de l'ossature, d'une épaisseur de l'ordre de 0,2 mm. Elle présente beaucoup moins d'inertie que les feuil-20 les de la structure. Sa mise en oeuvre habituelle est réalisée grâce à la déformation, sous pression, puis le retour à l'équilibre d'une de ses deux bandes longitudinales préalablement semi-rigidifiée.
Mais cette technique de mise en place s'accompagne de l'apparition de défauts de planimétrie et d'irrégularités intrinsèques à la 2s nature méme des feuilles d'habillage. Ces feuilles très minces et de peu d'inertie, mème cintrées, se gondolent, une fois appliquées sur les structu-res courbes. Ces défauts d'aspect sont encore plus visibles lorsque les feuilles d'habillage sont brillantes, comme c'est le cas de la majorité des supports photographiques minces translucides et diffusants connus sous le nom de ~~ backlight ». Le renforcement actuel des bandes latérales des épidermes est réalisé soit par épaississement localisé par pliage et collage simple ou multiple des bords des panneaux, soit par apport et collage d'une bande de plastique mince élastique semi-rigide, soit par ces deux techniques combinées.
3s But de l'invention.
La présente invention propose d'améliorer les caissons de décoration ou d'information à surface développable, utilisés, notamment, dans les lieux publics comme éléments publicitaires ou informatifs et de
4 remédier à l'aspect irrégulier, gondolé et relâché, très dévalorisant, des feuilles d'habillage supports de graphisme du caisson Exposé et avantages de l'invention A cet effet l'invention concerne un caisson de présentation s du type défini ci-dessus caractérisé en ce que - la fente de l'ossature constitue une fente d'encastrement, - au moins l'un des bords latéraux de la feuille est muni d'une lame sou-ple formant une ligne de pliage à sa jonction avec le corps de la feuille et destinée à étre engagée dans la fente d'encastrement sur une partie ~o de sa largeur du côté de son bord libre alors que la partie restante de la largeur de la bande du côté pli peut se déformer élastiquement, libre-ment par rapport à la fente d'encastrement de la structure, - la largeur du corps de la feuille, mesurée entre le bord de la lame côté
pli et son autre bord fixé à la structure, est inférieure à la longueur de ~ s la corde s'appuyant au moins partiellement sur la structure et mesurée entre le bord fixé de la feuille et le bord de la lame côté pli, lorsque la lame est en position neutre non déformée élastiquement, de façon que la lame engagée dans une fente d'encastrement tende la feuille au moins en partie contre la structure, transversalement, par la tension 2o engendrée par la déformation élastique de la lame souple.
Le caisson selon l'invention a l'avantage de tendre parfaite-ment la ou les feuilles d'habillage sur l'ossature sans ondulations, gênan-tes pour l'esthétique, la présentation, voire la lecture des informations, surtout si une lumière plus ou moins rasante est dirigée sur le caisson.
2s De plus cette mise en tension de la feuille d'habillage sur l'ossature, l'ensemble étant formé d'éléments en matière semi-souple, crée une ten-sion rigidifiant l'ensemble sans qu'un choc déformant localement une par-tie de l'ossature avec la feuille d'habillage ne se traduise par une rupture ou une déformation permanente. La souplesse et l'élasticité de la structure 3o avec la feuille d'habillage permettent de rétablir la forme initiale.
Ce caisson peut être debout, fixé à un mur, posé en hau-teur ou accroché. Il peut recevoir une ou plusieurs sources d'éclairage et dans le cas d'un caisson formé de l'assemblage de plusieurs modules, les lames semi-souples bordant la feuille d'habillage permettent d'assembler 35 et de tenir les modules simplement superposés ou suspendus empilés les uns au-dessus des autres gràce à l'imbrication de la lame dans la fente d'encastrement et à la tension créée par la déformation de la lame.
Suivant une autre caractéristique avantageuse, s - l'autre bord latéral de la feuille est également muni d'une lame souple destinée à être engagée dans une autre fente d'encastrement en y étant tenue sur une partie de sa largeur du côté du bord libre, alors que la partie restante de la largeur de la bande du côté du pli peut se défor-s mer élastiquement, par rapport à la fente de la structure, et - le corps de la feuille ayant une largeur mesurée entre ses deux plis et inférieure à la longueur de la corde s'appuyant au moins partiellement sur la structure et mesurée entre le bord de chaque lame côté pli, au moins l'une des lames étant en position neutre non déformée élasti-quement.
Bien qu'en principe il soit possible de mettre la feuille d'habillage en tension à l'aide de seulement une lame souple prévue sur un bord de la feuille, la simplification de la fabrication et de l'assemblage pour n'avoir qu'un seul mode de fixation de la feuille d'habillage rend inté-ts ressante la réalisation d'une feuille d'habillage dont les deux bords sont munis d'une lame et en particulier au moins l'un des bords est muni d'une lame souple au sens de la présente invention c'est-à-dire qui, une fois engagé dans la fente d'encastrement, crée par déformation une ten-sion induite dans le corps de la feuille d'habillage.
2o Ainsi dans ce contexte, au moins l'une des lames souples de la feuille a une largeur supérieure à la profondeur de la fente. L'autre lame peut arriver jusqu'au bord de la fente d'encastrement et ne pas avoir d'effet d'élasticité dans le sens de la tension. Néanmoins étant donné la fragilité des matières et notamment celle de la feuille d'habillage, il est pré-2s férable de répartir régulièrement les efforts de tension exercés sur cette feuille et d'avoir une forme de feuille d'habillage aussi symétrique que pos-sible c'est-à-dire dont les deux bords sont garnis d'une lame souple créant une tension par déformation après son engagement dans la fente d'encastrement respective.
3o Suivant une autre caractéristique avantageuse, le caisson est formé par l'assemblage d'un voile à bords repliés et de traverses ten-dues constituant une ossature à laquelle sont fixés les bords repliés pour former les fentes d'encastrement.
Suivant une autre caractéristique avantageuse, le caisson 3s est formé par l'assemblage de deux voiles semi-souples à bords repliés constituant la structure, réunis par ces bords repliés pour former les fen tes d'encastrement pour les lames souples des feuilles d'habillage.
Suivant une autre caractéristique très avantageuse, les re-tours des voiles réunis ou la réunion d'un retour et d'une ossature for-mant les fentes d'encastrement sont assemblés par des points d'assemblage ponctuels en forme de rivets ou de boutons pression répartis s de manière définie sur la hauteur de chaque fente pour former des zones d'encastrement autour de chaque rivet et les lames souples des feuilles d'habillage ont des bords extérieurs munis d'encoches réparties selon l'écartement des rivets pour venir chevaucher les rivets et être encastrées dans les fentes.
to Ce mode d'assemblage des voiles de l'ossature constitue une solution particulièrement simple pour le montage et le démontage de la structure et aussi pour former des fentes d'encastrement recevant les lames souples de la ou des feuilles d'habillage. De plus gràce à la forme particulière de l'encastrement, les lames souples permettent un assem-Is Mage particulièrement intéressant de plusieurs modules de caissons su-perposës, que ces caissons soient posés, debout ou soient suspendus.
Dessins La présente invention sera décrite ci-après de manière plus détaillée à l'aide des dessins annexés dans lesquels 20 - la figure 1 est une vue en perspective montrant différentes formes de caisson de présentation selon l'invention, - la figure 2 montre différentes sections de caisson de présentation sui-vant des directrices, notamment ceux de la figure 1, - les figures 3A-3D montrent schématiquement les caractéristiques prin-2s cipales de la présente invention, - la figure 3A montre une section schématique suivant des sections par-tielles dans le plan de la directrice d'un caisson sans sa feuille d'habillage, - la figure 3B montre une section d'une feuille d'habillage pour l'ossature 3o selon la figure 3A, - la figure 3C montre la détermination de la longueur de la feuille d'habillage selon l'invention, - la figure 3D montre une feuille d'habillage installée sur une ossature de caisson de présentation selon l'invention, 3s - la figure 4 montre un premier mode de réalisation d'un caisson de pré-sentation, représenté en section, suivant une directrice, - les figures 5A, SB sont respectivement une section partielle et une vue simplifiée d'une variante du caisson de présentation de la figure 4 et de la mise en place d'une feuille d'habillage, - la figure 6 est une section simplifiée d'un autre mode de réalisation s d'un caisson de présentation.
Description de modes de réalisation de l'invention La figure 1 montre trois exemples de caisson de présenta-tion selon l'invention. Ces caissons sont l'un C 1 de forme cylindrique de section circulaire, de petite dimension, l'autre C2 de forme cylindrique cir-to culaire de dimension relativement importante, composé de deux parties ou modules réunis suivant une ligne de jonction L1. Le troisième caisson C3 est un caisson prismatique ou cylindrique de section rectangulaire com posé également de deux modules superposés réunis suivant la ligne de jonction L2. Ce caisson C3 laisse apparaitre une indication IG schémati Is sée par l'expression « text ».
Ces caissons sont, qu'ils soient petits ou grands, constitués d'une ossature formée d'un ou plusieurs voiles avec des traverses sur le-quel est tendue une ou plusieurs feuilles d'habillage comportant par exemple les éléments de décoration, un texte ou une information.
2o La figure 2 montre schématiquement différentes sections de caissons comme ceux de la figure 1. Ces caissons de forme rectangulaire, semi-lentïculaire, carrée, à côtés bombés, circulaires, lenticulaires, carrés à côtés droits ou triangulaires (D1-D7) ou encore semi-lenticulaires D8 laissent apparaitre les fentes F au niveau d'arétes pour la fixation des zs feuilles d'habillage. Ces feuilles sont munies de bords verticaux, repliés que l'on glisse dans les fentes pour les y maintenir La figure 3A montre en coupe partielle le caisson de présen-tation sans sa feuille d'habillage ; le caisson est représenté seulement par ses éléments servant à la description de l'invention. Seule la partie du 3o caisson contenue dans le cadran I est représentée ; cette section peut être complétée dans les autres cadrans II et/ou III et/ou IV par des formes identiques ou similaires ou même des formes quelconques convexes.
Le caisson sans ou avec habillage a une forme cylindrique ou conique au sens mathématique de ces termes, c'est-à-dire une forme 3s de surface développable engendrée par une génératrice s'appuyant sur une courbe convexe et restant parallèle à une direction donnée ou passant par un point fuie.
Dans l'exemple, le caisson 1 est un cylindre dont la généra-trice est perpendiculaire à la feuille du dessin et la courbe directrice sur laquelle s'appuie la génératrice qui correspond à la section du cylindre est contenue dans le plan de la feuille.
s La structure du caisson 1 composé d'une ossature verti-cale 2 munie des équipements 3 tels que des équipements lumineux, est solidarisées à un voile externe 4 représenté par sa section ; l'ossature a au moins une fente 5 étroite s'étendant sur la hauteur de l'ossature et fonc-donnant comme une fente d'encastrement dont la largeur (profondeur) LF
to est définie.
En fait, cette fente ayant un fond est schématisée par deux parois rapprochées sur la largeur LF. La fente peut se poursuivre par une partie évasée assurant la continuité de forme et la jonction avec le voile.
Mais cette partie évasée ne sera pas considérée comme constituant la Is fente d'encastrement au sens de la présente invention dans laquelle se fixe le bord replié de la feuille d'habillage.
Le voile externe 4 est relié à la fente 5 d'une manière quel-conque, schématisée par un trait interrompu 6 pour souligner l'absence de continuité de forme entre l'extrémité A de l'arc de la courbe représen-zo tant la section du voile 4 et l'entrée de la fente d'encastrement 5. La forme de la section du voile 4 est convexe à courbure continue ou composée de segments combinés selon un tracé polygonal ou mixte.
De façon générale, l'ossature ou voile et les feuilles d'habillage du caisson sont composées de matières semi-rigides, élasti 2s ques permettant des déformations élastiques et en particulier absorber les chocs sans détérioration de la forme initiale. Les matériaux semi-rigides du voile du caisson permettent le montage par cintrage ou inversement le démontage et le transport à plat. Ils sont plus rigides que les matériaux des feuilles d'habillage. Les matériaux sont notamment translucides par 30 l'éclairage du caisson par l'intérieur. De façon avantageuse, ces matériaux sont également traités pour résister au feu.
La figure 3B montre la section de la feuille d'habillage 7 re-présentée selon les mêmes conventions que la structure de la figure 3A.
La feuille 7 se compose d'un corps 71 destiné à s'appliquer 3s au moins en grande partie contre le voile 4 et d'une lame souple 72 équi pant au moins l'un de ses deux bords longitudinaux. La largeur de ces bords est perpendiculaire à la feuille de dessin).
Le corps 71 de la feuille d'habillage est en une matière sou-ple telle que du papier, du non-tissé, du plastique mince ou un tissu et la lame 72 fixée à la feuille d'habillage constitue une arrête de pliage 73 au niveau de la jonction avec le corps de la feuille, les bandes d'assemblage s n'étant pas figurées. Cela peut se faire par collage d'une bande marginale du corps de la feuille à la lame souple. L'articulation est schématisée par l'angle a montrant que cet angle est variable.
La feuille d'habillage 7 se fixe à la structure 1 d'un côté, par un point de fixation B non précisé ici et de l'autre, par la lame souple 72 t o qui s'introduit partiellement dans la fente d'encastrement 5.
Entre son point de fixation B et son bord d'articulation 73, le corps 71 de la feuille d'habillage a une largeur LH et la lame souple 72, une largeur LL. Les largeurs sont mesurées par définition dans le plan des figures 3A-3C. L'autre dimension, perpendiculaire à ce plan est la « hau-ts teur » de la feuille d'habillage ou celle de la structure du caisson dévelop-pable, ou celle de la lame.
La fixation de la feuille d'habillage 7 à la structure 1 au point B se fait de façon linéaire. L'articulation également linéaire, corres-pond au bord 73 de la lame 72 appelé bord « côté pli » alors que son autre 2o bord 74 est le bord extérieur.
Les dimensions de la feuille d'habillage 7 sont définies à
partir de la structure qu'elle habille comme cela apparaft à la figure 3C.
La lame 72 a une largeur LL supérieure à la profondeur LF
de la fente d'encastrement 5 ou de la partie de la fente assurant 25 l'encastrement de manière à laisser une largeur libre 4L (= LL - LF) qui peut se déformer élastiquement. En position de repos ou en position non déformée par exemple lorsque la feuille 71 n'est pas fixée en B, la lame 72 est plane ou droite, dans l'alignement de la fente d'encastrement et son bord côté pli 73 se trouve à la position théorique E.
3o La largeur LH du corps 71 de la feuille 7 se définit à partir de la position non déformée de la lame souple 72 : la largeur LH est infé-rieure à la longueur Ll entre les points E et B. La largeur LH du corps 71 de la feuille 7 se définit à partir de la position non déformée de la lame souple 72 : la largeur LH est inférieure à la longueur Ll entre les points E
3s et B, c'est-à-dire la longueur de la corde tendue entre le point B et le point E. Cette corde a un tracé épousant le contour du voile 4 pour s'en dégager au point de tangence T et suivre le tracé droit jusqu'au point E.
Suivant la géométrie de la section du voile 4, la position de son bord A et la largeur libre DL de la lame souple 72, le point T sera un point de contact (encore appelé point de tangence) ou un point singulier de flexion dans la ligne mixte ou corde passant par les points E, T, B re-s présentant la longueur maximale de la corde développée.
Pour cette détermination, la largeur OL de la lame 72 est choisie pour que, par déformation élastique, la lame crée une tension ap-propriée constante s'exerçant sur le corps 71 de la feuille d'habillage 7 et la plaquant sur tout ou partie contre le voile 4.
lo Dans cette représentation théorique, la lame 72 est imagi-née en position neutre pour définir la largeur des différents éléments constituant la feuille d'habillage comme cela a été indiqué ci-dessus. Mais une telle situation n'existe pas en pratique puisque la lame doit toujours tendre la feuille d'habillage 7 sur le voile 4. En réalité, la lame est défor-ls mée sur sa partie libre 0L et son bord côté pli 73 est tiré vers le point B.
La figure 3D montre une feuille d'habillage dont la lar-geur LH a été déimie comme indiqué ci dessus pour qu'elle soit tendue transversalement (par rapport à la direction de la hauteur, perpendicu-laire à la feuille du dessin) entre son point de fixation B et son bord 73 re-lié à la lame 72. Cette figure met en évidence la flexion de la lame élastique 72 sur sa largeur libre OL.
Aux figures 3A - 3D, la liaison entre le bord A du voile 4 et l'entrée de la fente d'encastrement 5 n'a pas été représentée pour souli gner que l'encastrement s'arrête et permet la déformation de la largeur li es bre ~L de la lame 72.
Il convient également de souligner que l'encastrement de la fraction de largeur DL de la lame souple 72 suppose que son bord exté-rieur 74 soit en butée au fond 51 de la fente d'encastrement 5.
L'invention décrite à l'aide des figures 3A-3D s'applique 3o dans les mèmes conditions à l'autre bord de la structure 1, au niveau d'une autre fente recevant la lame souple fixée à l'autre bord de la feuille d'habillage.
Cette réalisation du deuxième bord de la feuille remplace alors le point fixe B utilisé ci-dessus de manière schématique pour simpli-3s fier la description de l'invention. Dans ce mode de réalisation du caisson et de sa feuille d'habillage, la largeur du corps de la feuille se définit à
par-tir des extrémités E des deux lames en position théorique de repos, ali-gnées sur les fentes d'encastrement.
ll Même si pour des raisons d'équilibre et de répartition des efforts de tension et pour simplifier la fabrication du caisson et notam-ment de sa feuille d'habillage, il est préférable que la feuille soit symétri-que avec des lames souples identiques, il est également possible de choisir, si cela est nécessaire pour d'autres raisons, qu'une seule des la-mes présente une largeur libre 0L exerçant ainsi la tension sur le corps de la feuille d'habillage.
La figure 4 est une coupe analogue à celle des figures pré
cédentes d'un mode de réalisation d'un caisson de présentation 101 dont la structure comporte une ossature verticale 102 en forme de panneau plan rigide auquel est fixé un voile 104 avec des retours 104-1 formant avec l'ossature 102, des fentes d'encastrement 105 ; les retours 104-1 sont reliés au panneau 102 par des moyens de liaison amovibles tels que des rivets 105-1 ou des boutons-pression fonctionnant comme des rivets à
ts double collerette pour permettre un jeu de placement de la lame 72. Un rivet à double collerette est un rivet laissant un jeu fixe entre les deux par-ties qu'il serre comme un boulon muni d'une rondelle entre les parties serrées.
Les fentes d'encastrement 105 se poursuivent par une en-2o Crée évasée due à la forme particulière des retours 104-1. La feuille d'habillage 107 se compose d'un corps 171 bordé des deux côtés par deux lames souples 172 reliées chacune au corps 171 par une ligne d'articulation 173. La partie non encastrée des lames souples 172 se dé-forme élastiquement et tend le corps 171 de la feuille contre une partie du 2s voile 104. Cet ensemble a une forme symétrique qui ne correspond qu'à
un choix particulier non indispensable.
Les dimensions des lames souples 172 ont été exagérées pour mieux mettre en évidence les caractéristiques de l'invention.
Les figures 5A, 5B montrent un mode de réalisation de 30 l'encastrement de la lame souple d'une feuille d'habillage dans la fente d'encastrement comme l'une de celles du mode de réalisation de la fi Bure 4.
La fente d'encastrement 105 est en fait constituée par le re-tour 104-1 autour d'un rivet à double collerette 105-1 et le bord extérieur 3s 174 de la lame 172 hachurée comporte des encoches 175 dans des posi-tions correspondant à celles des rivets 105-1 pour chevaucher ces rivets et s'encastrer entre les retours 104-1 et l'ossature 102.
La figure 6 montre un mode de réalisation doublement sy-métriquement dans les cadrans I, II, III, IV.
L'ossature se compose de deux voiles à section lenticu laire 204, 304 dont les deux retours 204-1 et 304-1 sont assemblés deux à
s deux par des rivets 205-1 comme dans le mode de réalisation de la fi gure 4 formant ainsi des fentes d'encastrement 205 communes aux deux voiles.
Chacun des deux voiles 204, 304 reçoit une feuille d'habillage 207, 307 munie de deux lames souples 272, 372 encastrées et lo assurant par flexion, la tension des corps 271, 371 des feuilles d'habillage 207, 307.
I1 est à remarquer que le caisson de présentation peut être formé de plusieurs modules superposés suivant la hauteur à réaliser. Le caisson peut être placé soit debout, soit suspendu. L'assemblage des mo-ts Jules se fait avantageusement à l'aide des lames souples, des feuilles d'habillage chevauchant la jonction de deux modules de caissons puisque la feuille d'assemblage peut avoir une hauteur correspondant à la hauteur totale de la superposition des modules constituant le caisson entier car la feuille d'habillage s'enroule facilement avec ses bords souples déployés 2o c'est-à-dire mis à plat.
pli et son autre bord fixé à la structure, est inférieure à la longueur de ~ s la corde s'appuyant au moins partiellement sur la structure et mesurée entre le bord fixé de la feuille et le bord de la lame côté pli, lorsque la lame est en position neutre non déformée élastiquement, de façon que la lame engagée dans une fente d'encastrement tende la feuille au moins en partie contre la structure, transversalement, par la tension 2o engendrée par la déformation élastique de la lame souple.
Le caisson selon l'invention a l'avantage de tendre parfaite-ment la ou les feuilles d'habillage sur l'ossature sans ondulations, gênan-tes pour l'esthétique, la présentation, voire la lecture des informations, surtout si une lumière plus ou moins rasante est dirigée sur le caisson.
2s De plus cette mise en tension de la feuille d'habillage sur l'ossature, l'ensemble étant formé d'éléments en matière semi-souple, crée une ten-sion rigidifiant l'ensemble sans qu'un choc déformant localement une par-tie de l'ossature avec la feuille d'habillage ne se traduise par une rupture ou une déformation permanente. La souplesse et l'élasticité de la structure 3o avec la feuille d'habillage permettent de rétablir la forme initiale.
Ce caisson peut être debout, fixé à un mur, posé en hau-teur ou accroché. Il peut recevoir une ou plusieurs sources d'éclairage et dans le cas d'un caisson formé de l'assemblage de plusieurs modules, les lames semi-souples bordant la feuille d'habillage permettent d'assembler 35 et de tenir les modules simplement superposés ou suspendus empilés les uns au-dessus des autres gràce à l'imbrication de la lame dans la fente d'encastrement et à la tension créée par la déformation de la lame.
Suivant une autre caractéristique avantageuse, s - l'autre bord latéral de la feuille est également muni d'une lame souple destinée à être engagée dans une autre fente d'encastrement en y étant tenue sur une partie de sa largeur du côté du bord libre, alors que la partie restante de la largeur de la bande du côté du pli peut se défor-s mer élastiquement, par rapport à la fente de la structure, et - le corps de la feuille ayant une largeur mesurée entre ses deux plis et inférieure à la longueur de la corde s'appuyant au moins partiellement sur la structure et mesurée entre le bord de chaque lame côté pli, au moins l'une des lames étant en position neutre non déformée élasti-quement.
Bien qu'en principe il soit possible de mettre la feuille d'habillage en tension à l'aide de seulement une lame souple prévue sur un bord de la feuille, la simplification de la fabrication et de l'assemblage pour n'avoir qu'un seul mode de fixation de la feuille d'habillage rend inté-ts ressante la réalisation d'une feuille d'habillage dont les deux bords sont munis d'une lame et en particulier au moins l'un des bords est muni d'une lame souple au sens de la présente invention c'est-à-dire qui, une fois engagé dans la fente d'encastrement, crée par déformation une ten-sion induite dans le corps de la feuille d'habillage.
2o Ainsi dans ce contexte, au moins l'une des lames souples de la feuille a une largeur supérieure à la profondeur de la fente. L'autre lame peut arriver jusqu'au bord de la fente d'encastrement et ne pas avoir d'effet d'élasticité dans le sens de la tension. Néanmoins étant donné la fragilité des matières et notamment celle de la feuille d'habillage, il est pré-2s férable de répartir régulièrement les efforts de tension exercés sur cette feuille et d'avoir une forme de feuille d'habillage aussi symétrique que pos-sible c'est-à-dire dont les deux bords sont garnis d'une lame souple créant une tension par déformation après son engagement dans la fente d'encastrement respective.
3o Suivant une autre caractéristique avantageuse, le caisson est formé par l'assemblage d'un voile à bords repliés et de traverses ten-dues constituant une ossature à laquelle sont fixés les bords repliés pour former les fentes d'encastrement.
Suivant une autre caractéristique avantageuse, le caisson 3s est formé par l'assemblage de deux voiles semi-souples à bords repliés constituant la structure, réunis par ces bords repliés pour former les fen tes d'encastrement pour les lames souples des feuilles d'habillage.
Suivant une autre caractéristique très avantageuse, les re-tours des voiles réunis ou la réunion d'un retour et d'une ossature for-mant les fentes d'encastrement sont assemblés par des points d'assemblage ponctuels en forme de rivets ou de boutons pression répartis s de manière définie sur la hauteur de chaque fente pour former des zones d'encastrement autour de chaque rivet et les lames souples des feuilles d'habillage ont des bords extérieurs munis d'encoches réparties selon l'écartement des rivets pour venir chevaucher les rivets et être encastrées dans les fentes.
to Ce mode d'assemblage des voiles de l'ossature constitue une solution particulièrement simple pour le montage et le démontage de la structure et aussi pour former des fentes d'encastrement recevant les lames souples de la ou des feuilles d'habillage. De plus gràce à la forme particulière de l'encastrement, les lames souples permettent un assem-Is Mage particulièrement intéressant de plusieurs modules de caissons su-perposës, que ces caissons soient posés, debout ou soient suspendus.
Dessins La présente invention sera décrite ci-après de manière plus détaillée à l'aide des dessins annexés dans lesquels 20 - la figure 1 est une vue en perspective montrant différentes formes de caisson de présentation selon l'invention, - la figure 2 montre différentes sections de caisson de présentation sui-vant des directrices, notamment ceux de la figure 1, - les figures 3A-3D montrent schématiquement les caractéristiques prin-2s cipales de la présente invention, - la figure 3A montre une section schématique suivant des sections par-tielles dans le plan de la directrice d'un caisson sans sa feuille d'habillage, - la figure 3B montre une section d'une feuille d'habillage pour l'ossature 3o selon la figure 3A, - la figure 3C montre la détermination de la longueur de la feuille d'habillage selon l'invention, - la figure 3D montre une feuille d'habillage installée sur une ossature de caisson de présentation selon l'invention, 3s - la figure 4 montre un premier mode de réalisation d'un caisson de pré-sentation, représenté en section, suivant une directrice, - les figures 5A, SB sont respectivement une section partielle et une vue simplifiée d'une variante du caisson de présentation de la figure 4 et de la mise en place d'une feuille d'habillage, - la figure 6 est une section simplifiée d'un autre mode de réalisation s d'un caisson de présentation.
Description de modes de réalisation de l'invention La figure 1 montre trois exemples de caisson de présenta-tion selon l'invention. Ces caissons sont l'un C 1 de forme cylindrique de section circulaire, de petite dimension, l'autre C2 de forme cylindrique cir-to culaire de dimension relativement importante, composé de deux parties ou modules réunis suivant une ligne de jonction L1. Le troisième caisson C3 est un caisson prismatique ou cylindrique de section rectangulaire com posé également de deux modules superposés réunis suivant la ligne de jonction L2. Ce caisson C3 laisse apparaitre une indication IG schémati Is sée par l'expression « text ».
Ces caissons sont, qu'ils soient petits ou grands, constitués d'une ossature formée d'un ou plusieurs voiles avec des traverses sur le-quel est tendue une ou plusieurs feuilles d'habillage comportant par exemple les éléments de décoration, un texte ou une information.
2o La figure 2 montre schématiquement différentes sections de caissons comme ceux de la figure 1. Ces caissons de forme rectangulaire, semi-lentïculaire, carrée, à côtés bombés, circulaires, lenticulaires, carrés à côtés droits ou triangulaires (D1-D7) ou encore semi-lenticulaires D8 laissent apparaitre les fentes F au niveau d'arétes pour la fixation des zs feuilles d'habillage. Ces feuilles sont munies de bords verticaux, repliés que l'on glisse dans les fentes pour les y maintenir La figure 3A montre en coupe partielle le caisson de présen-tation sans sa feuille d'habillage ; le caisson est représenté seulement par ses éléments servant à la description de l'invention. Seule la partie du 3o caisson contenue dans le cadran I est représentée ; cette section peut être complétée dans les autres cadrans II et/ou III et/ou IV par des formes identiques ou similaires ou même des formes quelconques convexes.
Le caisson sans ou avec habillage a une forme cylindrique ou conique au sens mathématique de ces termes, c'est-à-dire une forme 3s de surface développable engendrée par une génératrice s'appuyant sur une courbe convexe et restant parallèle à une direction donnée ou passant par un point fuie.
Dans l'exemple, le caisson 1 est un cylindre dont la généra-trice est perpendiculaire à la feuille du dessin et la courbe directrice sur laquelle s'appuie la génératrice qui correspond à la section du cylindre est contenue dans le plan de la feuille.
s La structure du caisson 1 composé d'une ossature verti-cale 2 munie des équipements 3 tels que des équipements lumineux, est solidarisées à un voile externe 4 représenté par sa section ; l'ossature a au moins une fente 5 étroite s'étendant sur la hauteur de l'ossature et fonc-donnant comme une fente d'encastrement dont la largeur (profondeur) LF
to est définie.
En fait, cette fente ayant un fond est schématisée par deux parois rapprochées sur la largeur LF. La fente peut se poursuivre par une partie évasée assurant la continuité de forme et la jonction avec le voile.
Mais cette partie évasée ne sera pas considérée comme constituant la Is fente d'encastrement au sens de la présente invention dans laquelle se fixe le bord replié de la feuille d'habillage.
Le voile externe 4 est relié à la fente 5 d'une manière quel-conque, schématisée par un trait interrompu 6 pour souligner l'absence de continuité de forme entre l'extrémité A de l'arc de la courbe représen-zo tant la section du voile 4 et l'entrée de la fente d'encastrement 5. La forme de la section du voile 4 est convexe à courbure continue ou composée de segments combinés selon un tracé polygonal ou mixte.
De façon générale, l'ossature ou voile et les feuilles d'habillage du caisson sont composées de matières semi-rigides, élasti 2s ques permettant des déformations élastiques et en particulier absorber les chocs sans détérioration de la forme initiale. Les matériaux semi-rigides du voile du caisson permettent le montage par cintrage ou inversement le démontage et le transport à plat. Ils sont plus rigides que les matériaux des feuilles d'habillage. Les matériaux sont notamment translucides par 30 l'éclairage du caisson par l'intérieur. De façon avantageuse, ces matériaux sont également traités pour résister au feu.
La figure 3B montre la section de la feuille d'habillage 7 re-présentée selon les mêmes conventions que la structure de la figure 3A.
La feuille 7 se compose d'un corps 71 destiné à s'appliquer 3s au moins en grande partie contre le voile 4 et d'une lame souple 72 équi pant au moins l'un de ses deux bords longitudinaux. La largeur de ces bords est perpendiculaire à la feuille de dessin).
Le corps 71 de la feuille d'habillage est en une matière sou-ple telle que du papier, du non-tissé, du plastique mince ou un tissu et la lame 72 fixée à la feuille d'habillage constitue une arrête de pliage 73 au niveau de la jonction avec le corps de la feuille, les bandes d'assemblage s n'étant pas figurées. Cela peut se faire par collage d'une bande marginale du corps de la feuille à la lame souple. L'articulation est schématisée par l'angle a montrant que cet angle est variable.
La feuille d'habillage 7 se fixe à la structure 1 d'un côté, par un point de fixation B non précisé ici et de l'autre, par la lame souple 72 t o qui s'introduit partiellement dans la fente d'encastrement 5.
Entre son point de fixation B et son bord d'articulation 73, le corps 71 de la feuille d'habillage a une largeur LH et la lame souple 72, une largeur LL. Les largeurs sont mesurées par définition dans le plan des figures 3A-3C. L'autre dimension, perpendiculaire à ce plan est la « hau-ts teur » de la feuille d'habillage ou celle de la structure du caisson dévelop-pable, ou celle de la lame.
La fixation de la feuille d'habillage 7 à la structure 1 au point B se fait de façon linéaire. L'articulation également linéaire, corres-pond au bord 73 de la lame 72 appelé bord « côté pli » alors que son autre 2o bord 74 est le bord extérieur.
Les dimensions de la feuille d'habillage 7 sont définies à
partir de la structure qu'elle habille comme cela apparaft à la figure 3C.
La lame 72 a une largeur LL supérieure à la profondeur LF
de la fente d'encastrement 5 ou de la partie de la fente assurant 25 l'encastrement de manière à laisser une largeur libre 4L (= LL - LF) qui peut se déformer élastiquement. En position de repos ou en position non déformée par exemple lorsque la feuille 71 n'est pas fixée en B, la lame 72 est plane ou droite, dans l'alignement de la fente d'encastrement et son bord côté pli 73 se trouve à la position théorique E.
3o La largeur LH du corps 71 de la feuille 7 se définit à partir de la position non déformée de la lame souple 72 : la largeur LH est infé-rieure à la longueur Ll entre les points E et B. La largeur LH du corps 71 de la feuille 7 se définit à partir de la position non déformée de la lame souple 72 : la largeur LH est inférieure à la longueur Ll entre les points E
3s et B, c'est-à-dire la longueur de la corde tendue entre le point B et le point E. Cette corde a un tracé épousant le contour du voile 4 pour s'en dégager au point de tangence T et suivre le tracé droit jusqu'au point E.
Suivant la géométrie de la section du voile 4, la position de son bord A et la largeur libre DL de la lame souple 72, le point T sera un point de contact (encore appelé point de tangence) ou un point singulier de flexion dans la ligne mixte ou corde passant par les points E, T, B re-s présentant la longueur maximale de la corde développée.
Pour cette détermination, la largeur OL de la lame 72 est choisie pour que, par déformation élastique, la lame crée une tension ap-propriée constante s'exerçant sur le corps 71 de la feuille d'habillage 7 et la plaquant sur tout ou partie contre le voile 4.
lo Dans cette représentation théorique, la lame 72 est imagi-née en position neutre pour définir la largeur des différents éléments constituant la feuille d'habillage comme cela a été indiqué ci-dessus. Mais une telle situation n'existe pas en pratique puisque la lame doit toujours tendre la feuille d'habillage 7 sur le voile 4. En réalité, la lame est défor-ls mée sur sa partie libre 0L et son bord côté pli 73 est tiré vers le point B.
La figure 3D montre une feuille d'habillage dont la lar-geur LH a été déimie comme indiqué ci dessus pour qu'elle soit tendue transversalement (par rapport à la direction de la hauteur, perpendicu-laire à la feuille du dessin) entre son point de fixation B et son bord 73 re-lié à la lame 72. Cette figure met en évidence la flexion de la lame élastique 72 sur sa largeur libre OL.
Aux figures 3A - 3D, la liaison entre le bord A du voile 4 et l'entrée de la fente d'encastrement 5 n'a pas été représentée pour souli gner que l'encastrement s'arrête et permet la déformation de la largeur li es bre ~L de la lame 72.
Il convient également de souligner que l'encastrement de la fraction de largeur DL de la lame souple 72 suppose que son bord exté-rieur 74 soit en butée au fond 51 de la fente d'encastrement 5.
L'invention décrite à l'aide des figures 3A-3D s'applique 3o dans les mèmes conditions à l'autre bord de la structure 1, au niveau d'une autre fente recevant la lame souple fixée à l'autre bord de la feuille d'habillage.
Cette réalisation du deuxième bord de la feuille remplace alors le point fixe B utilisé ci-dessus de manière schématique pour simpli-3s fier la description de l'invention. Dans ce mode de réalisation du caisson et de sa feuille d'habillage, la largeur du corps de la feuille se définit à
par-tir des extrémités E des deux lames en position théorique de repos, ali-gnées sur les fentes d'encastrement.
ll Même si pour des raisons d'équilibre et de répartition des efforts de tension et pour simplifier la fabrication du caisson et notam-ment de sa feuille d'habillage, il est préférable que la feuille soit symétri-que avec des lames souples identiques, il est également possible de choisir, si cela est nécessaire pour d'autres raisons, qu'une seule des la-mes présente une largeur libre 0L exerçant ainsi la tension sur le corps de la feuille d'habillage.
La figure 4 est une coupe analogue à celle des figures pré
cédentes d'un mode de réalisation d'un caisson de présentation 101 dont la structure comporte une ossature verticale 102 en forme de panneau plan rigide auquel est fixé un voile 104 avec des retours 104-1 formant avec l'ossature 102, des fentes d'encastrement 105 ; les retours 104-1 sont reliés au panneau 102 par des moyens de liaison amovibles tels que des rivets 105-1 ou des boutons-pression fonctionnant comme des rivets à
ts double collerette pour permettre un jeu de placement de la lame 72. Un rivet à double collerette est un rivet laissant un jeu fixe entre les deux par-ties qu'il serre comme un boulon muni d'une rondelle entre les parties serrées.
Les fentes d'encastrement 105 se poursuivent par une en-2o Crée évasée due à la forme particulière des retours 104-1. La feuille d'habillage 107 se compose d'un corps 171 bordé des deux côtés par deux lames souples 172 reliées chacune au corps 171 par une ligne d'articulation 173. La partie non encastrée des lames souples 172 se dé-forme élastiquement et tend le corps 171 de la feuille contre une partie du 2s voile 104. Cet ensemble a une forme symétrique qui ne correspond qu'à
un choix particulier non indispensable.
Les dimensions des lames souples 172 ont été exagérées pour mieux mettre en évidence les caractéristiques de l'invention.
Les figures 5A, 5B montrent un mode de réalisation de 30 l'encastrement de la lame souple d'une feuille d'habillage dans la fente d'encastrement comme l'une de celles du mode de réalisation de la fi Bure 4.
La fente d'encastrement 105 est en fait constituée par le re-tour 104-1 autour d'un rivet à double collerette 105-1 et le bord extérieur 3s 174 de la lame 172 hachurée comporte des encoches 175 dans des posi-tions correspondant à celles des rivets 105-1 pour chevaucher ces rivets et s'encastrer entre les retours 104-1 et l'ossature 102.
La figure 6 montre un mode de réalisation doublement sy-métriquement dans les cadrans I, II, III, IV.
L'ossature se compose de deux voiles à section lenticu laire 204, 304 dont les deux retours 204-1 et 304-1 sont assemblés deux à
s deux par des rivets 205-1 comme dans le mode de réalisation de la fi gure 4 formant ainsi des fentes d'encastrement 205 communes aux deux voiles.
Chacun des deux voiles 204, 304 reçoit une feuille d'habillage 207, 307 munie de deux lames souples 272, 372 encastrées et lo assurant par flexion, la tension des corps 271, 371 des feuilles d'habillage 207, 307.
I1 est à remarquer que le caisson de présentation peut être formé de plusieurs modules superposés suivant la hauteur à réaliser. Le caisson peut être placé soit debout, soit suspendu. L'assemblage des mo-ts Jules se fait avantageusement à l'aide des lames souples, des feuilles d'habillage chevauchant la jonction de deux modules de caissons puisque la feuille d'assemblage peut avoir une hauteur correspondant à la hauteur totale de la superposition des modules constituant le caisson entier car la feuille d'habillage s'enroule facilement avec ses bords souples déployés 2o c'est-à-dire mis à plat.
Claims (9)
1~) Caisson de présentation à surface développable ayant une structure développable à section de forme convexe formée d'une ossature portant un voile muni d'une ou de plusieurs fentes longitudinales, et au moins une feuille d'habillage appliquée extérieurement contre le voile d'ossature pour l'envelopper et dont au moins un bord latéral, plié, est glissé dans une fente longitudinale de la structure pour tenir la feuille, caractérisée en ce que - la fente (5) de l'ossature (2) constitue une fente d'encastrement, - au moins l'un des bords latéraux de la feuille (7) est muni d'une lame souple (72) formant une ligne de pliage (73) à sa jonction avec le corps (71) de la feuille et destinée à être engagée dans la fente d'encastrement (5) par une partie de sa largeur du côté de son bord li-bre (74) alors que la partie restante (.DELTA.L) de la largeur de la bande du côté pli (73) peut se déformer élastiquement, librement par rapport à la fente d'encastrement (5) et à la structure (1), - la largeur du corps (71) de la feuille, mesurée entre le bord (73) de la lame côté pli et son autre bord fixé (B) à la structure, est inférieure à la longueur de la corde s'appuyant au moins partiellement sur la struc-ture et mesurée entre le bord fixé (B) de la feuille (7) et le bord (73) de la lame côté pli (E), lorsque la lame (72) est en position neutre non défor-mée élastiquement, de façon que la lame engagée dans une fente d'encastrement (5) tende la feuille (7) contre le voile d'ossature (2), transversalement, par la tension engendrée par la déformation élasti-que de la lame souple (72).
2~) Caisson de présentation selon la revendication 1, caractérisé en ce que - l'autre bord latéral de la feuille (107) est également muni d'une lame souple (172) destinée à être engagée dans une autre fente d'encastrement (105) en y étant tenue sur une partie de sa largeur du côté du bord libre, alors que la partie restante de la largeur de la bande du côté du pli (173) peut se déformer élastiquement, par rapport à la fente (105) et à la structure (104), et - le corps (171) de la feuille (107) ayant une largeur mesurée entre ses deux plis et inférieure à la longueur de la corde s'appuyant au moins partiellement sur la structure (104) et mesurée entre le bord de chaque lame côté pli (E), au moins l'une des lames étant en position neutre non déformée élastiquement.
3~) Caisson de présentation selon l'une des revendications 1 et 2, caractérisé en ce qu' au moins l'une des lames souples (72, 172, 272, 372) de la feuille (7, 107, 207, 307) a une largeur (LL) supérieure à la profondeur de la fente (5, 105).
4~) Caisson de présentation selon la revendication 1, caractérisé en ce que le caisson est formé par l'assemblage d'un voile à bords repliés (172) et d'une ossature (102) à laquelle sont fixés les bords repliés pour former les fentes d'encastrement (105).
5~) Caisson de présentation selon la revendication 1, caractérisé en ce que le caisson est formé par l'assemblage de deux ou plusieurs voiles (207, 307) à bords repliés (272, 372), réunis par ces bords repliés pour former les fentes d'encastrement (205, 305) pour les lames souples (272, 372) des feuilles d'habillage.
6~) Caisson de présentation selon les revendications 4 et 5, caractérisé en ce que les retours des voiles réunis ou la réunion d'un retour et d'une ossature formant les fentes d'encastrement sont assemblés par des points d'assemblage ponctuels (105-1, 205-1) en forme de rivets ou de boutons pression répartis de manière définie sur la hauteur de chaque fente pour former des zones d'encastrement autour de chaque rivet et les lames souples (172) des feuilles d'habillage (107) ont des bords exté-rieurs munis d'encoches (175) réparties selon l'écartement des rivets pour venir chevaucher les rivets et être encastrées dans les fentes.
7~) Caisson de présentation selon la revendication 1, caractérisé en ce que le caisson est formé d'une superposition de modules réunis par les lames souples d'au moins une feuille d'habillage s'étendant sur la hauteur de plusieurs modules de caisson.
8~) Caisson de présentation suivant l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que les voiles sont assemblés par des rivets ou des boulons et d'autres moyens de liaison tels que par exemple des languettes découpées dans la matière même des voiles qui s'engagent dans des fentes des plis des voiles en vis-à-vis.
9~) Caisson de présentation suivant l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que l'axe du caisson a une direction différente de la verticale, la cohésion des caissons constitués de plusieurs éléments dans une position non verticale pouvant être assurée par des éléments supplé-mentaires rigides tels que tube en plastique translucide interne solidarisé
aux traverses et aux voiles de structure.
aux traverses et aux voiles de structure.
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