CA2423189A1 - Poly turbine energetique et anti refoulement - Google Patents

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CA2423189A1 CA002423189A CA2423189A CA2423189A1 CA 2423189 A1 CA2423189 A1 CA 2423189A1 CA 002423189 A CA002423189 A CA 002423189A CA 2423189 A CA2423189 A CA 2423189A CA 2423189 A1 CA2423189 A1 CA 2423189A1
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Normand Beaudoin
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Abstract

La présente invention vise à montrer comment produire une génération de turbines à combustion interne ayant un soutien des pièces assuré et fiable, de même qu'une capacité maximale de segmentation de type flottant. De plus, la présente invention entend montrer comment peuvent être produites des contre turbines, pouvant servir de compresseur, de dépresseur, ou de turbines d'appoint. Enfin, la présente invention entend montrer comment produire ces turbines à combustion interne de manière pleine, expansive ou réductive, tronquée, et finalement ou poly soutenues ou soutenues en un endroit unique.

Description

POLY TURBINE ENERGETIQUE ET ANTI REFOULEMENT
Dans ies inventions antérieures du déposant, soit moteur à induction semi transmittive objet de la demande de brevet canadien N° 2,045,777-5 déposée le 26 juin 1991 pour « Machine énergétique à induction semi-transmittive » d'une part, moteur à poly induction objet de la demande de brevet canadien N°
2,302,870 déposée le 15 mars 2000 pour « Moteur énergétique à poly induction » et de la demande de brevet internationale PCT/FR 01/00753 déposée le 14 mars 2001 sous priorité de la précédente de seconde part, et moteur énergétique à bielles de traction objet de la demande de brevet canadien N° 2,310,487 déposée le 23 mai 2000, pour « Moteur énergétique à traction » de troisième part, il a été montré comment induire le mouvement non rectiligne des pièces motrices d'un moteur de telle sorte qu'elles soient autres que des pistons. Dans ces premiers cas, comme par exemple celui montré à la figure I, qui est une reproduction de la figure XXII de l'invention ayant pour titre " Moteur énergétique à poly induction", chaque extrémité de la pale touche toujours aux parties opposées du cylindre. D'un autre côté, comme dans la figure III
de l'invention du déposant ayant pour titre "Moteur énergétique à traction", il a été
montré que les pistons peuvent être retranchés, permettant ainsi aux bielles de devenir des pales.
La présente invention a pour but de produire, dans le prolongement de ces inventions des turbines à combustion interne, entièrement supportées par une mécanique interne et conséquemment réceptives à la lubrification et, deuxièmement, capables d'accepter une segmentation efficace, donc en des points précis, des pales.
Plus précisément, dans la présente invention, le déposant entend montrer la possibilité de concevoir un moteur dont le noyau rotatif sera constitué non pas d'une seule pale, mais plutôt d'un ensemble flexible de pales pouvant se mouvoir semi rotativement dans un cylindre en en assurant l'étanchéité la plus haute, et cela en FEUILLE DE REMPLACEMENT (REGLE 26) même temps qu'il sera pleinement supporté par une mécanique fable et bien lubrifiée.
La présente solution technique découle donc de la volonté du déposant de configurer de façon dynamique et mécanique les déformations subséquentes d'un ensemble de pales reliées entre elles de manière à former un noyau de turbine flexible. La réalisation de base sera, pour la présente invention, une réalisation dont l'ensemble des pales seront réunies à la manière d'un quadrilatère. En effet, si on étudie le mouvement des bielles de traction de l'invention du déposant ayant pour titre "Moteur énergétique à traction", on peut remarquer qu'elles passent successivement de la forme losange à la forme carrée, pour passer ensuite à la forme losange complémentaire FiG. III.
En concevant maintenant ce quadrilatère, non plus comme un ensemble de bielles de traction, mais plutôt comme un ensemble de pales formant un noyau de turbine ' tournant en même temps qu'il subit ces transformations, on réalisera qu'on peut disposer cet ensemble dans un cylindre dont la forme est de type ovoïde, et ce de manière à ce qu'à tout moment les quatre points de rattachement des côtés de l'ensemble de pales touchent aux côtés du cylindre. La figure III montre comment, dans un cylindre de forme ovo'ide, se produit une déformation progressivé du quadrilatère dans ses phases carrées à losange, puis de nouveau de losange à
carré, et ce, successivement et alternativement.
Mais, même si ce système possède déjà des qualités d'étanchéité, puisque des segments peuvent être disposés dans des endroits précis situés aux points de rattachement des pales, il demeure encore assez aléatoire puisque la progression de la déformation entre le carré et le losange, simplement soutenu ici par le cylindre dont la surface sert à la fois de support, est variable à l'infini. De plus, cet appui sur le cylindre aura tôt fait d'user les pièces du noyau de turbine et les segments.
En effet, même si cette dynamique est dans une bonne direction, il faut avouer que la
3 variabilité d'un tel moteur, en supposant une segmentation à chaque point de rattachement des pales, et au surplus dans un milieu non lubrifié et hautement gazéifié, laisse fortement à désirer.
Comme dans les inventions antérieures du déposant, celui-ci entend proposer ici une méthode simple pour supporter les pièces, cette fois-ci de l'intérieur, de manière à s'assurer d'une mécanique de support des pales sécuritaire et facilement lubrifiable et une segmentation sans appui ni frottement excessifs, donc de type flottant.
A noter que bien qu'il y ait des manières semi supportées pour soutenir ces pièces, le déposant vise par la présente invention, des supports les plus complets possibles des pièces.
Pour arriver à produire une mécanique adéquate de support des pièces, il faut étudier à la loupe le comportement de l'un des points des pièces constituant l'ensemble pale. Plusieurs peuvent être choisis. Le déposant préfère débuter l'analyse en choisissant un point situé aux extrémités des pales, soit aux points de rattachement des pales entre elles. Ainsi, on constate que, dans une situation idéale, le point choisi parcourt une trajectoire dont la forme se compare à celle d'un ovale, similaire à celle du cylindre.
La mécanique de support de la présente invention doit donc être capable de faire produire ce type de figure aux extrëmités des pièces constituant le noyau de la turbine.
La première mëcanique de support des pièces suggérée, est la suivante : on supposera, dans le corps de la turbine, un vilebrequin monté rotativement et muni de deux manetons disposés de façon opposée. A chacun de ces manetons sera reliée de façon rotative un engrenage qu'on nommera engrenage d'induction de la bielle.
Cet engrenage sera muni d'un maneton et sera lui-même imbriqué à un engrenage de type engrenage interne, disposé rigidement dans le côté du moteur. Dans ce cas,
4 cet engrenage interne devra être de deux fois la grosseur de l'engrenage d'induction.
Chaque maneton de l'engrenage d'induction sera, par le recours par exemple à
une bielle, relië à un point de rattachement opposé des pales entre elles. Dès lors, si on suit la trajectoire des points de rattachement lors de la rotation du vilebrequin, on se rendra compte qu'en même temps qu'elle subit les élongations induites par le vilebrequin, elle subit les rotations induites par l'engrenage d'induction auquel elle est reliée, et que le résultat combiné de ces deux mouvements correspond à la forme ovoïde recherchée.
Dès lors en effet, l'ensemble décrira lors de la rotation du vilebrequin, très exactement à travers la forme de cylindre proposée, l'alternance carré /
losange pré-décrite, et cela il est important de le souligner, de façon parfaitement soutenue et autonome, ce qui veut dire totalement indépendante du cylindre. En effet, à
leur extrémité latérale, les bielles se retrouveront en même temps à leur état le plus ressorti, ce qui étirera le losange sur sa largeur. Ensuite, lorsque les bielles se retrouveront à mi-chemin entre leur extension et leur rétention maximale, la forme du noyau de la turbine passera au carré. Dernièrement, lorsque les bielles seront à leur point de centre de course latérale, c'est-à-dire à leur point le plus interne, le losange inverse se formera.
Comme on l'a vu, lors de la position carrée, les bielles d'induction seront à
mi-chemin entre leur sortie et leur entrée maximale. Cette position angulée est donc très en faveur du couple, puisqu'elle survient en même temps que la forme carrëe du noyau de la turbine, et lorsque par conséquent les chambres à combustion extérieures sont rétrécies à leur maximum.
En fait, les pièces décriront le mouvement recherché, et cela, même en l'absence du cylindre. C'est cela qui assurera la fluidité du moteur et l'absence de frottement ou de cognement habituellement occasionné par les pièces à la fois en friction et en changement rapide de direction. En replaçant cet ensemble à nouveau dans un
5 cylindre approprié, les segments pourront alors être disposés, en étant aménagés de façon flottante, en des points précis, c'est-à-dire glissant simplement sur le cylindre avec une légère pression qui pourra provenir de petits ressorts, sans possibilité
d'usure prématurée. L'utilisation d'une mécanique de soutien force le choix de forme idéale du cylindre par rapport à toute autre forme aléatoire.
Cette succession dynamique des formes pourra donner lieu aux quatre temps du moteur ou encore à la construction deux temps du moteur, ou encore à un allumage continu de type turbine interne. Bien entendu, plusieurs ensembles pourront être utilisés simultanément.
Dernièrement, ces types de moteurs peuvent recevoir un type de brûlage de gaz anti-refoulement, définissant les temps tels qu'ils ont été décrits dans l'invention précitée du déposant ayant pour titre "Moteur énergétique anti-refoulement", c'est-à-dire en produisant l'admission par effet de la succion des gaz brûlés dans la chambre d'admission des gaz brûlés. On produira alors une turbine propre à cent pour cent.
Notons maintenant comment cette disposition a un avantage, au niveau du couple, sur les moteurs rotatifs et sur les autres moteurs à pale.
Dans les moteurs rotatifs ou autres moteurs à pale, la force, lors de l'explosion, est égale en couple et en anti-couple, puisqu'il y a dans les premiers instants de l'explosion autant de pression sur chaque côté du piston. Le couple ne commence donc réellement qu'après le début de déconstruction des pièces. Dans le présent cas, même la force sur le derrière de la pale est utilisée et a un couple positif. Le couple est donc viable non pas seulement sur la moitié de la surface de la pale, mais sur sa surface entière, ce qui double le couple du moteur. II n'y a donc pas de contre pression, comme celle qu'on trouve dans les moteurs à pales simples. Mais il y a plus encore : on peut en effet noter du côté antérieur de la pale même, un effet de levier. L'ajustement du moment d'explosion du moteur pourra donc accepter
6 PCT/FRO1/01570 passablement d'avance. Comme déjà souligna les bielles sont à ce moment dans une position angulaire.
Une deuxième façon de produire une mécanique de soutien de cette turbine consiste cette fois-ci à se servir d'engrenages de soutien externes. On suppose en effet cette fois, un engrenage de type externe, relié rigidement à un axe, lequel axe est à son tour relié rigidement au corps du moteur. Ensuite, on suppose deux engrenages externes, qu'on nommera engrenages d'induction, reliés chacun à une extrémité d'un manchon rotatif, dont le centre est monté rotativement autour de l'axe de soutien de l'engrenage principal de soutien. Les deux engrenages d'induction seront d'une part imbriqués à l'engrenage de soutien, et d'autre part munis de v mânetons, chacun d'eux étant par la suite relié au point de rattachement opposé du quadrilatère de pales formant le noyau de la quasi-turbine.
Comme précédemment, si on suit la trajectoire décrite par un point situé sur le maneton des engrenages d'induction au cours de la rotation d'un tour complet du manchon de soutien des engrenages de soutien, on pourra vérifier que celui-ci parcourt très exactement l'ovale recherché, à savoir la forme idéale que doit avoir le cylindre pour que les déformations progressives du noyau en carrés et losanges successifs soient parfaitement synchronisées. Comme précédemment, le cylindre n'a aucune incidence sur le mouvement des pièces, et cela, à tel point que le quadrilatère de la turbine produira exactement les mêmes formes successives avec ou sans cylindre.
Dès lors, en remplaçant le tout dans le cylindre, on pourra segmenter les pales de façon flottante et sécuritaire, et sans risque d'usure, deuxième effet recherché par ie déposant.
7 Comme précédemment, il faut noter la position angulaire des manetons d'induction lors de la forme carrée du noyau et donc lors de l'explosion, ce put assure un couple renforcé et sans cognement. II faut noter, en outre de cette manière de faire, qu'on peut comme il sera montré ci-après, disposer les manetons des engrenages d'induction en dehors des circonférences de ceux-ci,.ce qui permettra de créer un cylindre, bien que toujours de forme ovoïde, mais cette foïs-ci déformée, bombée, s'approchant de celle d'un huit et par conséquent capable de retarder l'explosion et de profiter d'un couple de beaucoup amélioré.
Une troisième façon, pour cette forme de cylindre, de produire une mécanique de soutien adéquate des pièces, est de supposer un vilebrequin muni de quatre creusets en forme d'arc, capables de recevoir serai-rotativement des pièces, qu'on nommera supports de pales. Ces supports de pales seront ensuite imbriqués, chacun à un creuset de vilebrequin. On pourra munir chaque support de pale d'un engrenage, chaque engrenage étant par ses deux côtés, relié au voisin. Cette procédure vise à s'assurer pue les quatre supports de pales agiront en synchronisme. Chacun de ces supports sera muni d'un moyen coulissant, apte à
recevoir une pale.
Une autre manière encore de réaliser le système est de pourvoir chaque point de rattachement des pales d'une tige poussoir, cette tige étant à son tour insérée de façon coulissante dans une deuxième centrale mobile, et ce, de telle sorte qu'elle soit, à sa deuxième extrémité, appuyée sur une came de type ovoïde. De cette manièrë, toujours au moins deux poussoirs assureront l'emplacement des composantes de la turbine FIG. X1:
Le dëposant poursuit ci-après sa démonstration dans le sens d'une amélioration de la forme des pales formant le quadrilatère du noyau de la turbine.

ô
On peut en effet constater qu'il est possible de modifier le dessin intérieur des pales afin d'en tirer parti de façon interne.
On supposera que chaque pale constituant le noyau de la turbine est dessinée à
la façon d'un triangle isocèle, et que l'ensemble de ces triangles isocèles, tout en continuant de décrire le mouvement extérieur carré / losange / carré décrit précédemment, est monté intérieurement autour d'un axe de forme carrée, dont la longueur des côtés équivaut à ia longueur des côtés égaux des triangles isocèles. Ii faut de plus supposer que cet axe carré central voit ses côtés dirigés dans le même sens que celui du carré extérieur du noyau de la turbine lorsqu'il est dans cette phase, et que par la suite, sa vitesse de rotation soit équivalente à la moitié de celle du noyau FIG. XIV.
Dès lors, en suivant le déroulement du mouvement interne de la turbine dans ses moments principaux, on sera en mesure de constater que lorsque ie noyau de la turbine est en phase carrée, les pointes internes des triangles isocèles de chaque pale sont à égale distance les unes des autres, et que ces pointes internes touchent au centre de chaque côté l'axe carré disposé dans le centre du moteur.
Ensuite, après un huitième de tour des pièces, la moitié des côtés adjacents des triangles s'accolera alors que l'autre moitié ëpousera la forme du carré
interne.
Toutes les chambres internes seront donc fermées. Avec ce type de dessin, on s'aperçoit donc qu'on peut introduire de façon interne, une turbine complémentaire, une pompe turbo, ou encore une pompe de succion, produisant ainsi un moteur anti-refoulement. II faut aussi noter que cette turbine centrifuge la première, ouvrant ici la porie à l'idée de poly turbine.
Une autre configuration découlant des premières pourra être nommée quasi turbine élision. On peut, après avoir plus spécifiquement défini la manière d'obtenir le mouvement des pièces, ne conserver par exemple pour la turbine à cylindre quasi carrée, qu'un nombre de quatre pales au lieu de huit, ces pales étant supportées -puisque cela ne change en rien le rapport des engrenages - comme s'il s'agissait d'un noyau à huit côtés.
De même, une manière différente de soutien des pales peut être utilisée, c'est-à-dire en les supportant à la fois par leur centre et une de leurs.extrémités, plutôt que par chacune de leurs extrémités.
Ainsi donc, dans le cas présent, on peut supposer une pièce de centre possédant quatre points de rattachement au centre de chaque pale. Ensuite, un point de rattachement à l'extrémité de chaque pale, relié à l'un des deux systèmes précédemment énoncés, à savoir soit à l'extrémité d'une bielle oscillant autour d'un maneton en étant entraînée par un engrenage imbriqué à un engrenage interne, ou soit relié au maneton d'un engrenage d'induction monté sur un manchon et imbriqué
à un engrenage externe. De manière à éviter d'être obligé d'utiliser un deuxième ensemble, on peut supporter la pièce par une coulisse imbriquée à la pièce centrale de support. Cette coulisse devra être irrégulière, de manière à absorber les différences de grosseur du noyau, si le cylindre est régulier.
Que ce soit l'une ou l'autre des manières décrites précédemment, le cylindre ne participera plus à la sécurisation et à la stabilisation des pièces, et des segments flottants pourront être utilisés.
Dans la figure suivante, nous montrons que la turbine n'est pas strictement conçue avec un noyau de quatre côtés. On peut en effet supposer un noyau de turbine par exemple de six, ou de huit côtés. Ces noyaux de six, ou de huit côtés évolueront normalement dans des cylindres trianglo'ides, c'est-à-dire quasi triangulaires, arrondis, ou carrëoïdes, c'est-à-dire quasi carrés, arrondis.
Dans le cas 5 d'un cylindre quasi carré par exemple, une déformation similaire de l'octogone se produira, le déformant et le reformant successivement.
De la même manière que précédemment, les pales pourront être soutenues mécaniquement, mais cette fois il faudra prévoir quatre déformations/reformations 10 par tour, celles-ci étant de plus, plus petites. En utilisant un rapport d'engrenage des engrenages d'induction par rapport aux engrenages de soutien, qu'ils soient internes ou externes, on obtiendra l'exact mouvement des pales dont nous avons besoin.
Jusqu'ici, nous avons étudié ce que nous pourrions dénommer des turbines expansives, dans le sens où la déformation du noyau de la turbine oblige une expansion de la forme du cylindre, du rond à l'ovale, de l'octogone au semi-carré.
Les prochaines réalisations montreront comment on peut produire des turbines impressives, c'est-à-dire où ce sera le noyau qui devra absorber le manque d'espace occasionné par le déplacement des pièces.
La présente réalisation suppose que les pales, par exemple ici au nombre de quatre, ne sont pas cette fois-ci reliées entre elles directement, mais plutôt par le détour de petites bielles que nous nommerons bielles d'adjonction (FIG XVIII).
Ensuite, ces bielles d'adjonction seront reliées chacune à une bielle d'induction. A
leur tour, ces bielles d'induction seront reliées nomme précédemment au maneton d'un engrenage d'induction monté sur un manchon rotatif et imbriqué à un engrenage de support. Si les quatre bielles d'induction sont ainsi reliées et que les engrenages d'induction sont dans un rapport de un sur quatre de l'engrenage de support, il se produira, dans le présent cas, à chaque tour du moteur, quatre tractions et poussées successives et alternatives sur les points de rattachement des bielles d'induction, et des bielles de liaison. Ces tractions et poussées auront pour effet de rapprocher et d'éloigner successivement les points de rattachement entre eux, et par voie de conséquence, les grosseurs successives des carrés qui forment le noyau. On passera donc d'un plein carré à un carré en overlapping, plus petit, et donc capable d'occuper une position angulaire par rapport à la surface du cylindre.
Une autre réalisation capable de réaliser une turbine de type turbine impressive peut être obtenue en supposant des tiges poussoir arrondies, terminées par un patin, actionnées par une came pour activer les côtés du noyau de la turbine. De façon à
ce pue la came puisse non seulement sortir les côtés, mais aussi les faire entrer, on peut imaginer pour chaque côté un petit culbuteur, rattaché à ta fois à la tige et à un point de rattachement. La tige et le culbuteur subissant chacun tout à tout l'effet de la came, la pale obéira à ces succions. Une autre façon encore, est d'utiliser une structure de soutien octogonale, montée sur une came carrée, les pièces agiront donc toujours en contrepartie des autres.
On notera que, de même que précédemment, on peut dessiner les pièces du centre de ce type de turbine, de manière à produire une poly turbine.
Jusqu'à présent, nous avons montré comment produire des turbines et quasi turbines dont la forme du cylindre était rëgulière, par exemple en parfait ovoòde, en parfait quasi carré, quasi triangle, et au surplus, obtues. Bien entendu, ces formes sont génératives et peuvent être démultipliées, par exemple pour des pales octogonales, douze, seize côtës, et ainsi de suite.
Les précëdentes réalisations ont de plus, dans l'ensemble, montré comment réaliser ces turbines en se servant des points limites des pales comme points de rattachement aux mécaniques de la turbine. Des réalisations subsëquentes de la présente turbine montreront comment on peut plutôt se servir du quadrilatère, de pales précédemment décrit, comme quadrilatère de soutien articulé autour d'une came, à laquelle on rattachera des pales, cette fois-ci, par leur centre et non pas par leur extrémité.
Cette configuration originale, en plus de faire naître (FIG XXI) des pales pistons constituées de doubles pièces, permettra elle aussi, à l'interne, de produire une turbine intérieure supplémentaire interne, qui, comme précédemment, pourra agir comme compresseur, succionneur ou encore poly turbine.
Dans ce cas, la compression externe des pales est obtenue par le jeu de deux pales complémentaires à la fois. Comme précédemment, on peut dessiner ce type de turbine à la manière d'une poly turbine. On peut aussi, en tenant compte de la courbure du cylindre, dessiner les pièces de manière à ce que chaque extrémité
touche toujours la surface du cylindre. Dès lors, il faudra compenser à
l'intérieur de la structure de pales, par les arrondis appropriés, si on désire 'conserver les compressions intérieures.
C~uant au soutien mécanique de ces types de turbines, il est similaire aux précédents. On notera au surplus qu'alors que les précédentes turbines aboutissaient à des formes de cylindre ovoïdes, triangloïdes ou quasi carré, les présentes aboutissent à des formes rectangloïdes.
Notons, dans cette même optique de soutien des pièces, si comme précédemment on généralise, qu'on peut aboutir à différentes formes décuplées de la présente réalisation. Pour n'en nommer qu'une, un poly soutien à six côtés reliés centrâlement à des pales, mais toujours avec engrenages dont la résultante est ovaloïde, pourra donner une pale à six côtés dans un cylindre quasi rectangulaire.
Une autre réalisation de l'invention consiste à produire une quasi turbine à
pistons.
Partant des présentes considérations, on peut montrer qu'on peut se servir de la structure soutien à titre de poly came, en l'engageant par exemple autour d'une came ovale. L'intérêt de cette manière de faire, est de provoquer non plus un aller-retour du piston par four, mais deux ou plusieurs. Ici, seulement deux pistons sont rattachés pour montrer !'utilisation de la came.
Une autre réalisation de l'invention, lorsque les pales sont soutenues par le centre, consiste à les relier à la pièce de soutien centrale par un jeu de bielles croisées, ce qui permet de produire une forme de cylindre bombée, où l'on pourra tirer avantage, en retardant l'explosion, d'un couple démultiplié en force et en angle.
Dernièrement, on pourra décider de mécaniser les poly turbines plutôt par un point de rattachement intérieur. Dans ce cas, la poly turbine pourra être mécanisée en rattachant les pointes internes des triangles, décrivant - par opposition à
l'ovale des extrémités - un carré, par exemple équivalent au carré intérieur rotatif. Pour ce faire, on se servira d'un engrenage d'induction pourvu d'un maneton, et imbriqué à un engrenage interne de quatre fois sa grosseur. La figure résultante, en ce qui concerne le maneton, sera le carré recherché, devra ensuite être placée dans le temps pour suivre le déplacement de cette forme en temps réel. La même procédure pourra être appliquée à des figures de nombre différent, en ajustant le rapport des engrenages.
Description sommaire des figures La figure ! est une reproduction de la figure XXII de !'invention du déposant ayant pour titre "Moteur énergétique à poly-induction". On y aperçoit que l'induction d'une pale simple est obtenue d'une façon entièrement mécanique, et que par conséquent la pale, ici, un moteur boomrang triangulaire, peut dès lors être munie de segments flottants.

La figure II est une reproduction de la figure lil de l'invention du déposant ayant pour titre "Moteur énergétique à traction". Dans cette figure, on aperçoit quatre bielles de traction qui, dépourvues de leurs pistons, et assurées mécaniquement, serviront de base aux développements de la présente série de turbines à
combustion interne.
La figure III est une coupe transversale schématique montrant les deux temps principaux d'une première réalisation d'une turbine énergétique. Ici, contrairement â
la figure I, le noyau de la turbine est formé d'un ensemble de pales, pour lequel il faudra concevoir à la fois lé~ cylindre et la mécanique appropriées. Les pointillés ' montrent le déplacement et les déformations progressives du noyau de turbine, puisque le cylindre de cette première réalisation est !'ovale.
On peut constater que le noyau de la turbine, au cours de sa rotation, passe successivement et alternativement du carré au losange. Les petites chambres, en hachuré fin, seront les chambres à combustion et s'expandront en hachurë
large, lors de l'expansion des gaz, et ainsi de suite pour l'admission, la compression et l'échappement.
La figure IV montre une première façon poly inductive d'assurer le mouvement du noyau de la turbine. Deux bielles relient deux points de rattachement opposés des pales aux manetons des engrenages d'induction, ces engrenages d'induction, à
la fois montés sur un maneton de vilebrequin et engagés à un engrenage interne de support. Cet ensemble assure le parfait mouvement des pièces.
La figure V est une coupe transversale des mécaniques exposëes à la figure IV.
La figure VI est une vue en trois dimensions de la figure précédente, où on a ajouté par exemple les conduïts d'admission des gaz d'échappement.

5 La figure Vll expose une deuxième manière mécanique de réaliser l'invention, cette fois-ci à partir d'un engrenage de soutien externe.
La figure VIII montre la succession des phases du moteur.
10 La figure IX montre comment réaliser le moteur de façon bombée, obtue.
La figure X est une vue en trois dimensions des précédentes.
La figure XI représente une troisième façon de soutenir les pièces à
l'intérieur, 15 mais cette fois-ci, avec l'usage d'une came. En effet, dans ce cas, il faudra relier chaque point de rattachement des pales à une tige poussoir, engagée de façon coulissante dans une pièce centrale de support, de telle manière que l'autre extrémité soit en contact avec la came de forme ovale. A noter qu'on peut aussi n'utiliser que deux tiges, en se servant d'une structure de ceinture de la came en quatre parties.
La figure XI1 est une réalisation similaire à la précédente, mais oû, en se servant d'une gaine de came, on utilise plus que deux tiges poussoir.
La figure XIII est une vue d'une mécanique différente, et par ailleurs à cinq côtés.
Autour d'un axe central monté rotativement et muni de cinq arcs internes capables de recevoir les supports de pales, sont montés semi-rotativement cinq supports de pales acceptant la portion circulaire du mouvement. Les quatre pales sont, en plus d'être rattachées, montées de façon coulissante sur les supports. Un ensemble d'engrenages de cohésion est ajouté, de manière à sëcuriser le tout.
La figure XIV montre comment utiliser l'espace intérieur de la première réalisation, à la manière d'une poiy turbine, ou pompe d'appoint.

1 g~
La figure XV montre comment réaliser une quasi turbine, comportant cette fois-ci, un noyau de huit côtés, et insérée dans un cylindre quasi carré.
La figure XVI montre, par opposition aux précédentes, comment fabriquer une turbine impressive. Dans ce type de turbine, les pièces du noyau ne se dëploient pas en expansion, mais plutôt vers !'intérieur. C'est pourquoi on dira que cette turbine est impressive, au lieu d'être expansive.
La figure XVII montre l'emplacement des pièces dans les deux temps principaux de la turbine impressive, et sa mécanique de soutien.
La figure XVIII montre comment utiliser des tiges et culbuteurs, comme mécanique de soutien.
La figure XIX montre, cette fois-ci, un ensemble de pales poly soutenues en croisé, ce qui assure un mouvement arrière ou une avance des pièces les unes par rapport aux autres. Cette manière de soutenir les pales permet d'obtenir une structure bombée de cylindre, plus propice au couple du moteur.
La figure XX montre l'expression géométrique de la précédente.
La figure XXI montre comment, en se servant d'un quadrilatère comme celui déjà
utilisé comme noyau de turbine, mais cette fois en le prenant comme structure de soutien; on peut supporter un ensemble de semi-carrés formant le noyau. Ici, la compression extérieure est assurée par la cohésion de deux carrés. Comme précédemment, les poïntes intérieures peuvent être dessinées de manière à
créer une poly turbine.
La figure XXII représente une poly turbine reliée de préférence par les pointes de centre. Dans ce cas, ces pointes sont reliées à un maneton monté sur un engrenage d'induction imbriqûé à un engrenage interne de quatre fois sa grosseur. La résultante sera le carré recherché. Cette forme sera ensuite mécanisée de manière à se produire dans le temps.
Description détaillée des figures La figure 1 est une reproduction de la figure XXIi de l'invention du déposant ayant pour titre "Moteur énergétique à poly induction". Dans cë type de moteur boomerang triangulaire, on peut constater qu'on a élaboré une mécanique interne permettant, parmi toutes les formes possibles aléatoires d'un moteur, de choisir la forme idéale susceptible d'accepter un support mécanique, et partant de là, d'obtenir une segmentation de type flottante qui, implantée en des points précis, conserve l'étanchéité de la compression du moteur à son maximum.
La figure II est une reproduction de la figure III de l'invention du déposant ayant pour titre "Moteur énergétique à traction". Dans cette invention, par un ensemble de bielles de traction 1, reliées entre elles de manière à former un quadrilatère reliant le piston au vilebrequin 3, le déposant a montré comment les déformations de ce quadrilatère produisaient la poussée d'une façon décuplée sur le vilebrequin.
Dans la présente invention, on tirera parti plus particulièrement de l'aspect dessin que produisent ces bielles, à savoir de la suite de losanges, carrés / losanges, pour ensuite transformer de façon originale leur fonction. En effet, on montrera comment ces déformations et reformations alternatives seront incluses dans une dynamique qui fera obéir l'ensemble à la manière d'une quasi rotation.
La figure III est une vue schématique des déformations alternatives précitées de l'ensemble quadrilatère soumis à une semi rotation. Ici, un ensemble de pales 4, reliées entre elles à chacune de leurs extrémités pour former un quadrilatère flexible, seront insérées dans le cylindre 5 d'un moteur, ce cylindre étant de forme ovoïde.

Dans la suite des deux séquences qui sont présentées, on peut constater que la suite des déplacements et déformations de l'ensemble se produit à l'intérieur du cylindre et aura pour résultat un passage fluide, progressif et alternatif des formes carré / losange. L'ensemble des pièces est cependant, dans cette figure, supporté
par le cylindre ce qui entraîne cognement, friction et usure.
Pour résoudre ces problèmes, il faut, comme fait précédemment pour des moteurs à pales rotatifs et triangulaires, trouver l'agencement mécanique spécifique qui assurera le soutien interne fiable, huilé et fluide, des pièces, permettant ainsi aux segments d'être disposés de façon flottante.
La figure IV représente une autre méthode permettant de mécaniser la rotation de cet ensemble de manière à ce que la suite des figures soit réalisée, afin que la succession des figures carré / losange se produise, tout en conservant la forme du cylindre. Dans la présente figure, on a laissé l'ensemble noyau en pointillés, pour plus de clarté de cette mécanique. Sur les manetons 6 d'un vilebrequin 7 monté
rotativement 8 dans le corps de la machine, on a disposé rotativement deux engrenages, qu'on nommera engrenages d'induction 11. Grâce à un maneton, ces engrenages seront reliês, par les bielles d'induction aux points de rattachement opposés des pales. La deuxième extrémité de ces bïelles sera reliée à deux des points de rattachement opposés 10, des pales formant le noyau. Ces engrenages d'induction seront également couplés, chacun, à un engrenage de type interne, dans le présent cas, deux fois plus grand, disposé rigidement dans les côtés du bloc du moteur, et qu'on nommera engrenage de soutien 12.
Chacun de ces systèmes est construit d'un côté du noyau de la turbine et rattaché
au point de rattachement opposé. Pour plus de synchronisme, on pourra réunir des deux vilebrequins par des engrenages imbriqués à un axe commun. En suivant le dessin que produiront, à partir de cette mécanique, les manetons et les bielles d'induction, on se rendra compte qu'ils décrivent un quasi losange, ce qui est la figure que doivent parcourir les points de rattachement opposés des pales lorsqu'ils suivent le cylindre. Les deux points de rattachement complémentaires décriront complémentairement la même forme.
En résumé, la dynamique de cet ensemble est la suivante : lors de la rotation du vilebrequin, les engrenages d'induction, montés sur les manetons et imbriqués aux engrenages de soutien de type interne, seront soumis à une action rotative 100 et anti rotative. Le résultat en sera que leurs extrémités produiront un mouvement quasi ovale. Or, comme ces extrémités sont reliées par les bielles, aux points spécifiques correspondants des pales, elles forceront ce même mouvement, ce qui est le mouvement recherché, puisqu'en double, tout en permettant de suivre exactement la forme du cylindre, elles forceront la reproduction de la suite carrés /
losanges. II
n'est pas nécessaire de pourvoir le mécanisme de quatre manetons, puisque les deux points de rattachement complémentaires feront le même trajet, par complémentarité. Ayant ainsi sécurisé l'ensemble du système, on pourra en faire tourner les pièces de la même manière, même sans le cylindre. C'est là la raison pour laquelle on peut affirmer que l'ensemble noyau peut être segmenté avec une segmentation à des endroits précis, et ce, de façon flottante.
La figure V montre une coupe transversale des mécaniques précédemment exposées. On y retrouve le vilebrequin 7, ses manetons 10, les engrenages d'induction 11, l'engrenage de soutien 12, les bielles d'induction 9, le cylindre 5, les pales 4. Aux fins de clarté, ce mouvement est montré à partir de la rotation du vilebrequin, comme si le moteur était en compression. Une poussée sur les pales produirait, bien entendu, le même ensemble de mouvements.
La figure VI est une vue en trois dimensions de la réalisation précédente, où
ont été ajoutés par exemple les emplacements standard de carburation 25, d'échappement 26, d'allumage 27, de même que les segments flottants 28.

5 La figure VII montre une deuxiëme façon mécanique de soutenir l'ensemble noyau. Les éléments concernant le corps du moteur 1, le cylindre 5, et le noyau de la turbine, étant les mêmes, on se concentrera sur la partie mécanique de soutien.
Dans le présent cas, on dispose de façon rigide un engrenage de type externe -qu'on .nommera engrenage de soutien 12 - sur un axe 30, axe lui-même relié
10 rigidement au corps du moteur. Ensuite, on dispose de façon rotative autour de cet axe, un moyen de soutien des engrenages d'induction, ledit moyen étant muni de deux manchons opposés auxquels sont reliés rotativement les engrenages d'induction 11. On appellera ces manchons, manchons d'induction 31. Chaque engrenage d'induction est imbriqué à l'engrenage de soutien, et est muni d'un moyen 15 tel un maneton 32, relié à son tour, à deux points de rattachement opposés des pales. Bien entendu, les engrenages d'induction sont imbriqués à l'engrenage de soutien de manière à ce que les manetons soient dans des positions opposées, c'est-à-dire simultanément dans leurs temps les plus éloignés, ou rapprochés.
20 La dynamique de cet arrangement est la suivante : lors de la rotation du soutien des engrenages d'induction autour de son axe 101, les engrènages d'induction que celui-ci supporte et qui sont entraînés par l'engrenage de soutien auquel ils sont imbriqués. Dès lors, les manetons dont ils sont pourvus, subiront à la fois l'effet de leurs propres rotations et celui de la rotation du soutien d'engrenage. Le résultat de ce poly mouvement sera de forme ovale. Ainsi donc, si ces manetons sont reliés, chacun, à un des points de rattachement opposés des pales constituant le noyau, alors, ces points décriront l'exact dessin du cylindre st l'ensemble noyau réalisera des déformations alternatives carré / losange, qui ont déjà été commentées.
Bien entendu,' comme précédemment, on sous-entend un quadrilatêre correct des engrenages, soit normalement un sur deux, et une position correcte des manetons en relation avec les circonférences des engrenages d'induction, qui résulteront en des formes idéales, bombées ou aplanies, d'ovales.

La figure VIII montre dynamiquement la succession de l'emplacement des pièces dans les phases principales de rotation du moteur. On peut voir, à la vue (a), que lorsque les manetons des engrenages d'induction sont à leurs points les plus ressortis latéralement 102, ils induisent la formation du losange. A la vue (b) les manetons des engrenages d'induction étant à demi rentrés 103, il en résulte la forme carrée du noyau de turbine, et enfin, à la vue (c) il en résulte un losange contraire, puisque les manetons des engrenages d'induction sont à leurs points les plus rentrés 104. Si on observe maintenant la dynamique du mouvement des pièces, on s'apercevra que comme précédemment, les deux points de rattachement seront entraînés à suivre l'ovale du cylindre.
La figure IX montre schëmatiquement comment, en plaçant les manetons 6 des engrenages d'induction en dehors des circonférences de ceux-ci, on obtient un ensemble de pièces tournant dans une forme ovaloïde mais se rapprochant de celle d'un huit 39. Cette disposition est très intéressante puisqu'elle permet de conserver plus longtemps la petitesse des chambres à combustion 40 et ce, jusqu'au moment où la poussée 41 et ie couple seront grandement améliorés.
La figure X montre une vue en trois dimensions des précédentes, oü on a ajouté
admission 25, bougie 27, tuyau d'échappement 26.
La figure XI montre comment on peut utiliser plutôt une structure de came pour assurer le mouvement des pièces. Ici, chaque point de rattachement des pales 10 du noyau de la turbine est relié de façon supplémentaire à une tige poussoir 41, elle même engagée de façon coulissanté dans une glissière d'une pièce centrale rotative 42, de manière à en assurer le mouvement. Ces tiges poussoir sont appuyées à
la seconde de leurs extrémités, à une came 43 de forme ovale. La poussée sur deux des tiges opposées 44 entraîne la traction sur les pales qui, de façon contraire et complémentaire glissent 45 vers la came, et ainsi de suite, alternativement.

~ Ici, la figure XI montre shëmatiquement les deux temps principaux d'un tel type d'arrangement, à savoir premièrement quand tous les poussoirs sont également enfoncés, et deuxièmement quand ils sont dans ddes positions opposées.
La figure XII montre l'utilisation d'une gaine de came rendant possible l'utilisation de seulement deux tiges poussoir. Ici, la came 43 est entourée de quatre pièces reliées entre elles et formant une gaine de came 46. Deux points de rattachement 200 seulement sont reliés aux bielles d'induction 47. II faut noter que cette structure pourrait servir à d'autres inventions du déposant, comme par exemple ses inventions relatives aux turbines à piston dans le but de les produire à bielles fixes.
La figure XIII montre une 'autre façon supplémentaire d'assurer le mouvement des pales de la~ turbine. Ici, les pièces ont été dessinées en tenant compte des deux mouvements que constitue la déformation du carré au losange,. à savoir un mouvement de rotation et un mouvement d'élongation. Avec cette figure, nous réalisons une structure de pale à cinq côtés.
Chaque ensemble de pièces produit donc sa part de mouvement et 1a somme des ces mouvements donne le mouvement recherché. En supposant en effet un vilebrequin disposé rotativement dans le corps d'un moteur 7, on peut munir ce vilebrequin de quatre creusets en forme' de demi arc 48, capables de recevoir rotativement des pièces. Dans ces arcs seront disposés rotativement des pièces de sôutien 49 des pales qui, à l'un de leurs côtés seront formées en arc - et par conséquent capables de produire la partie rotative du mouvement - et de l'autre côté
munies d'une glissière 50 âvec laquelle sera couplée chaque pale de façon coulissante.
Divers engrenages peuvent être ajoutés de manière à assurer de façon complémentaire la cohésion des pièces, notamment quâtre.engrenages de cohésion imbriqués les uns aux autres.

La figure XIV montre comment la géométrie de la présente turbine peut être rentabilisée à son maximum en dessinant chaque palle constituant le noyau de la turbine de manière à ce que, de façon supplémentaire, le centre de la turbine soit efficient.
En effet, on pourra constater, à travers les deux dessins montrant les positions du noyau de la turbine comment, si on dessine chaque paie à ia manière d'un triangle isocèle ayant ces deux côtés d'une longueur égale à celle de chaque côté 52 d'une came semi carrée, insérée rotativement dans le centre du moteur, il se produira alternativement une expansivité des pièces, puis un repliement total des pièces sur elles-mêmes. Dans un premier temps en effet, les pointes des triangles 53 se retrouveront au centre de chaque côté du carré, et cela en même temps que les côtés seront à leur phase la plûs éloignée. Les chambres produites, en hachuré
54, seront donc à leur ouverture maximale. Lors du prochain temps, par paire de deux, les côtés des triangles formant les pales s'accoleront l'un à l'autre 55, alors que les côtës complémentaires s'accoleront au carré 56, ce qui refermera complètement les chambres.
L'utilisation interne de ces chambres peut donc être faite de plusieurs manières, comme par exemple pour un effet de pompe auxiliaire des gaz, ou encore de pompe d'échappement comme dans le cas des moteurs anti-refoulement, ou encore comme moteur d'appoint. Une façon originale de les employer serait de les faire participer au cheminement des gaz de la turbine, inversant par exemple le .sens de la sortie des gaz, maximisée par exemple par le centre, produisant ainsi une poly turbine.
On pourra pousser encore plus loin en faisant voyager les flots des gaz entre la turbine externe et la turbine interne afin de provoquer un allumage continu, car il y aura nécessairement champ compressif entre ces deux turbines de différentes forces.

Dernièrement, il faut noter dans fa mesure où on est prêt à accepter un certain frottement sur le cylindre en raison des matériaux actuels très résistants comme par exemple les céramiques, que le système peut fonctionner sans les mécaniques de soutien déjà évoquées, en se servant et du cylindre et de la came rotative, comme points d'appui des pales triangulaires du noyau de la turbine.
La figure XV montre comment les idées ci-dessus peuvent être appliquées à des turbines de plus de quatre côtés 203. Par exemple ici, le noyau de la turbine possède huit côtés et évolue dans un cylindre dont la forme est quasi carrée.
Huit fois par tour, il se déforme et se reforme. Les mêmes mécaniques peuvent être appliquëes pour supporter les pièces en tenant compte bien entendu de la technicité
du dessin, par exemple ici, le noyau passe huit fois par tour de ('octogone à
l'octogone déformé. La suite de deux de ces moments est ici montrée. On comprendra qu'il faut donc adapter la relation entre les engrenages d'induction et de support. Plus précisément, les engrenages d'induction devront être construits dans un rapport de un sur huit, pour faire effectuer huit mouvements alternatifs par tour, aux pièces. De la même manière que précédemment, cette turbine peut être construite sous forme de poly turbine. )1 faut aussi noter que des turbines à
six, douze, seize côtés sont possibles, et ainsi de suite. Mais, plus les nombres de côtés sont importants, plus l'expansivité et la compression des pièces est réduite, ce qui limite l'efficacité du moteur.
La figure XVI est une turbine de type impressif. Elle est ainsi nommée parce que nécessairement, ia rotation d'une pièce carréoïde, ou quasi carrée, dans un espace quasi carré, nécessite, comme montré pour l'ovale, l'expansion alternative de cet espace.
On peut cependant concevoir fa turbine de façon contraire, c'est-à-dire en agissant sur le noyau, en le rapetissant et l'agrandissant alternativement. C'est là
une 5 première manière de faire tourner une pièce carréo'ide, c'est-à-dire de forme quasi carrée, dans un espace également carréoïde.
La figure XVI montre donc deux temps successifs d'une turbine de type impressif.
En effet, dans le premier temps (vue (a)), le quadrilatère formé par le noyau est plein 10 204 et remplit pratiquement tout l'espace du quasi quadrilatère délimitant l'espace du cylindre, dont chaque côté, en hachuré, est compressé à son maximum 61.
Dans le second temps, (vue (b)), les extrémités des pales ont agi en overlapping 62 et ainsi c'est le noyau de la turbine lui-même qui a accepté l'expansion des 15 chambres de combustion, plutôt que la forme du cylindre. On voit donc l'expansion des chambres en hachuré, par rapport à la vue (a)).
La figure XVII montre comment soutenir ce type de mouvement mécaniquement.
20 L'idée principale de ce type de soutien est de relier l'ensemble les pales entre elles de façon indirecte par le recours à deux bielles d'adjonction 63 par point de rattachement. Ces bielles d'adjonction seront elles-mêmes reliées entre elles en un point'de rattachement à des bielles d'induction 47, elles-mêmes rattachées par exemple à des vilebrequins. Dès lors, une poussée ou une tractïon de ce point de 25 rattachement résultera en un croisement ou un décroisement des pales, et par conséquent en une expansion ou encore en une réduction de la grosseur du noyau, ce qui est l'effet recherché.
La poussée et la traction sur les points de rattachement des bielles de liaison pourra être obtenue par divers moyens mécaniques similaires à ceux déjà
exposés.
Des engrenages munis d'un maneton et tournant autour d'un engrenage de soutien pourront être installés sur le noyau de la turbine et par conséquent être calibrés, dans te cas présent, pour tourner quatre fois par tour.

De même que pour les turbines précédentes, l'effet de poly turbine peut être obtenu de ce type de turbine. II faut aussi noter, comme précédemment, que ce type de turbine peut être conçu à huit, seize côtés et ainsi de suite, ou encore avec un nombre impair de côtés.
La figure XVIII représente la façon de construire ce type de turbine, avec l'aide d'une came. Dans la présente figure puisque les quatre côtés du noyau agissent non pas en alternance mais plutôt simultanément, on verra que non seulement la came pousse les pales vers l'extérieur, mais également les ramène, l'objectif de la présente invention étant toujours de supporter les pièces de façon principalement interne. La façon préférée ici, et de se servir, pour ramener les pales, d'un poussoir culbuteur, inversant ainsi la poussée de la came en traction de la pale. Si on relie en effet l'extrémité de chaque tige poussoir de la pale 41 à un culbuteur 69 ici en terminaison fourchette, et que ce culbuteur est lui-même relié semi rotativement à un point d'ancrage 70 situé sur le corps du noyau, on pourra constater que la came 43 poussant alternativement sur la bielle elle-même et sur le culbuteur, procurera le va et vient nécessaire à la formation réductive et grossissante du noyau du cylindre.
La figure XIX est une représentation d'une turbine non pas de type expansive ou impressive, mais plutôt adventive, en ce que c'est à partir d'avance et de retard dans la gestion de la dynamique des formes, qu'on réussit à proposer une turbine bombée. En effet, la façon de produire une telle turbine est de rattacher chaque pale 73 de la turbine de façon à la fois dédoublée et inversée 74 à un moyeu central 75 monté rotativement dans ie moteur 1.
Dans le présent cas, un moyeu central 75 est disposé dans le cylindre 5 du corps d'un moteur. Sur chaque côté de ce moyeu sont disposés deux points de rattachement 76, auxquels sont reliées des bielles de soutien 77 qui, croisées entre elles, sont ensuite reliées à deux points de rattachement par pale 73.

Cette disposition est fort intéressante puisqu'elle permet, en retardant le moment opportun de l'explosion, d'obtenir une poussée réellement rotative dans un meilleur angle d'attaque et avec un effet de décommandement sur ies paies puisqu'elles se déplient et se replient exagérément. De plus, on augmente l'expansivité des chambres même pour une turbine élisée.
Comme montré précédemment : d'une part une turbine en quatre évoluant dans un espace en quatre est, à toute fin pratique une turbine élisée, d'autre part, on peut placer le maneton des engrenages d'induction en dehors des circonférences de ces engrenages si on veut obtenir la manière obèse de ia forme.
Partant de ces deux considérations, il sera beaucoup plus facile de préciser la mécanique de soutien de cet arrangement qui, autrement pourrait s'avërer difficile à
résoudre.
Mais tenant compte de ces données, on peut suggérer qu'en utilisant comme s'il s'agissait d'un noyau de type octogonal à cylindre obèse, des engrenages d'induction -de huit fois plus petits que l'engrenage de soutien et de plus, en disposant les manetons en dehors du centre, on pourra ensuite relier les manetons par une bielle d'induction à l'un des deux points de rattachement de chaque pale. Ces points de rattâchement seront ainsi attirés et repoussés dans les proportions idéales, et la structure déjà décrite de soutien de chaque pale fera le travail.
La figure XX montre ta géométrie qui permet d'obtenir l'effet exagéré du pilage de la pale, En effet, on peut constater qu'en devant obéir à deux centres, la pale doit obéïr à deux arcs. Les deux pliages, soit par l'arrière, soit par l'avant sont exagérés, ce qui permet de bénéficier d'un retard et d'un bon angle d'explosion.
Cette figure montre en effet la position des deux pales dans deux moments 206, 207, différents. On y voit clairement que puisque le soutien se fait à partir de deux points, la position de la pale est toujours en conjonction avec cees deux arcs 208, et que la seule pale où elle est symétrique, est au centre.
De même on peut, comme dans les mécaniques déjà exposées, utiliser les dilatations et compressions supplémentaires des pièces afin de créer une contre turbine ou encore une poly turbine. Comme précédemment, ce type de turbine peut être utilisé à trois, quatre ou autre nombre de côtés, de manière à préserver les principales nécessités d'un moteur, relations d'expansion des gaz, traînées, compression.
La figure XXI est un type de turbine où le soutien des pièces composant le noyau de la turbine a plutôt été produit par le centre de chaque pale. Dans le présent cas, la face de chaque côté du noyau de turbine sera constitué de deux faces de pales conjointes 80. Les segments seront disposés au coin extérieur de chaque partie de turbine 81. Un ensemble de bielles de liaison 82 reliera les quatre parties du noyau.
Ce sera par ces points de rattachement que sera mécanisé le moteur par l'une dees mécaniques que le déposant a commentées.
Dans le cas présent, quatre semi carrés sont ainsi adjoints pour former le noyau de la turbine. Tenant compte de l'aspect ovaloïde du cylindre de la turbine, les carrés seront imparfaits puisque deux de leurs côtés seront plutôt en arc, affaiblissant ainsi l'un des points de son périmètre extérieur, de telle sorte qu'il ne dépasse pas la forme du cylindre. On appellera pointe de segmentation 81, cette pointe de rencontre des deux côtés en arc, puisque ce sera sur elle que seront disposés les segments.
On remarquera donc pue le côté du noyau sera constitué de deux côtés de pale.
Cette figure montre tout d'abord les deux moments limites de la turbine ici commentée à la figure XXI. Lors de son passage de la forme semi carré à la forme semi losange, deux des pointes glisseront vers le centre et les deux autres vers l'extérieur 83. Cette figure montre donc en outre, comment la surface interne des carrés peut, elle aussi, être utilisée comme turbine d'appoint, ou comme pompe d'injection ou de succion, ou encore comme poly turbine.
La figure XXII montre comment on peut aussi mécaniser le premier type de turbine par le centre. En effet, par opposition aux pointes extérieures qui produisent un 0 dessin de type ovaloïde, les pointes dessinent un carré. Les pointes doivent en effet suivre la surface carréoïde. On doit d'abord joindre les pointes des pales aux manetons des engrenages d'induction 230. Comme précédemment, ces engrenages d'induction 11 sont imbriqués à un engrenage interne de soutien 12 de quatre fois leur grosseur. On fera parcourir statiquement aux manetons la forme carrée désirée.
II faut maintenant mécaniser cette dynamique du carré, car elle se fait dans le temps, c'est-à-dire pue les pièces qui façonnent le carré sont elles-mêmes dans le temps. II
s'agit de mettre l'engrenage interne en action et d'accélérer le vilebrequin en conséquence. Ainsi, si le déposant se trouvait sur une plaque pivotante, il apercevrait un carré. II faut donc ajouter au vilebrequin un engrenage 210, couplé
indirectement ~0 à l'ensemble de l'engrenage interne 211 devenu rotatif, par le biais d'un engrenage pignon en doublant la vitesse 212. Cette configuration, simple et avare d'espace, avec une grande capacité de huilage et une propension à la poly turbine, résume bien la position de déposant en matière de motorologie. De plus, cette version a une forte capacité d'étanchëité sur les côtés. Des engrenages supplémentaires devront aussi être disposés pour activer la partie carrée, tournant deux fois plus lentement que les pointes. Plusieurs moyens sont possibles. Par exemple, un petit engrenage pivot 213, transmettant l'action de l'engrenage d'induction à un engrenage d'entraînement de la pièce carrée 214, pourra être utilisé si on veut garder la mécanique toute du même côté.

Claims (17)

.cndot. REVENDICATIONS -
1. Une machine, telle un moteur, une pompe, un compresseur, comprenant en composition :
.cndot. un bloc de la machine dans lequel est inséré rigidement un cylindre de fa machine, de forme ovaloïde, .cndot. quatre pales reliées entre elles à chacune de leurs extrémités par les points de rattachement, de telle sorte que l'ensemble forme un quadrilatère, cet ensemble étant lui-même disposé
semi rotativement dans le cylindre du moteur.
2. Une machine, telle un moteur, une pompe, un compresseur, comprenant en composition :
.cndot. un bloc de la machine dans lequel est inséré rigidement un cylindre de la machine, de forme ovaloïde, .cndot. quatre pales reliées entre elles à chacune de leurs extrémités par les points de rattachement, de telle sorte que l'ensemble forme un quadrilatère, cet ensemble étant lui-même disposé
semi rotativement dans le cylindre du moteur, .cndot. deux bielles d'induction reliées à deux des points de rattachement opposés de l'ensemble de pales formant le noyau, et à leurs secondes extrémités montées rotativement aux manetons opposés d'un vilebrequin, et munies rigidement d'engrenages d'induction, .cndot. des engrenages d'induction reliés rigidement à la bielle d'induction et couplés à l'engrenage de soutien, .cndot. un engrenage de soutien disposé rigidement dans le bloc du moteur, un vilebrequin monté rotativement dans le bloc de la machine et dont les manetons sont reliés aux bielles d'induction.
3. Une machine, telle un moteur, une pompe, un compresseur, comprenant en composition:

.cndot. un bloc de la machine dans lequel est inséré rigidement un cylindre de la machine, de forme ovaloïde, .cndot. quatre pales reliées entre elles à chacune de leurs extrémités par les points de rattachement, de telle sorte que l'ensemble forme un quadrilatère, cet ensemble étant lui-même disposé
semi rotativement dans le cylindre du moteur, .cndot. deux bielles d'induction reliées à deux des points de rattachement opposés de l'ensemble de pales formant le noyau, et à leurs secondes extrémités montées rotativement aux manetons d'engrenages d'induction, .cndot. des engrenages d'induction montés rotativement sur un soutien d'engrenages d'induction et couplés à un engrenage de soutien de type externe, et munis de manetons reliés directement ou indirectement aux points de rattachement opposés des pales, .cndot. un engrenage de soutien de type externe, monté rigidement au corps du moteur, indirectement par un axe de soutien, .cndot. un axe de soutien monté rigidement dans le corps du moteur, sur lequel est fixé rigidement l'engrenage de soutien, et autour duquel est disposé rotativement un manchon rotatif aux extrémités duquel sont montées rotativement les engrenages d'induction, .cndot. un engrenage de soutien disposé rigidement dans le bloc du moteur, un vilebrequin monté rotativement dans le bloc de la machine dont les manetons sont reliés aux bielles d'induction.
4. Une machine selon la revendication 2, dont les manetons d'engrenages d'induction ne sont pas les circonférences de ces engrenages.
5. Une machine, telle un moteur, une pompe, un compresseur, comprenant en composition :

.cndot. un corps de la machine, dans lequel est disposé un cylindre, .cndot. quatre pales formant le noyau de la turbine, et reliées entre elles par leurs extrémités en des points de rattachement, .cndot. quatre tiges poussoir insérées de façon coulissante dans le moyeu de la turbine dont l'une de leurs extrémités est reliée au point de rattachement des pales, et dont l'extrémité
contraire est en appui contre une cale centrale, .cndot. une came centrale disposée transversalement dans le centre de la machine.
6. Une machine selon les revendications 1, 2 et 3, dont la forme de chaque pale est triangulaire et dont le centre du noyau de la turbine est de forme quasi carrée, cette machine utilisant le centre, comme contre turbine, turbo compresseur, pompe anti refoulement, poly turbine, turbine complémentaire.
7. Une machine selon les revendications 1, 2, 3 et 5, comprenant en combinaison plusieurs systèmes et comprenant un nombre différent de côtés et dont les relations des engrenages ont été calibrées.
8. Une machine, telle un moteur, une pompe, un compresseur, comprenant en composition:
.cndot. un bloc de la machine dans lequel est inséré rigidement un cylindre, .cndot. un cylindre dans lequel est disposé semi rotativement le noyau de la turbine, .cndot. un ensemble de pales formant le noyau, reliées indirectement entre elles par le moyen de bielles, .cndot. deux bielles ayant chacune une de leurs extrémités reliées à la pale et leur extrémité contraire reliée à la bielle de la pale consécutive de même qu'à sa bielle d'induction, .cndot. des bielles d'induction dont l'une de leurs extrémités est reliée au point de rattachement des bielles entre elles et dont la seconde est reliée au maneton d'un engrenage d'induction, .cndot. des engrenages d'induction munis d'un maneton couplé à la bielle d'induction et montés rotativement sur un axe de soutien de manière à être couplés à l'engrenage de support, .cndot. un engrenage de support monté rigidement et indirectement dans le bloc par le moyen d'un axe de support, .cndot. un axe de support sur lequel est monté rotativement un support d'engrenage d'induction, cet axe de support pouvant servir à acheminer la puissance à l'extérieur de moteur, .cndot. un ensemble de pales reliées entre elles à leurs extrémités et engages de façon coulissante sur des pièces soutiens de pales, .cndot. des pièces soutiens de pales disposées semi rotativement sur le vilébrequin et munies d'une structure coulissante capable de recevoir les pales, .cndot. un vilebrequin monté rotativement dans le corps du moteur, muni de creusets capables d'accepter semi rotativement les soutiens de pales.
9. Un moteur selon la revendication 8, comprenant en composition plusieurs ensembles prédécrits.
10. Un moteur selon les revendications 8 et 9, dont les pièces du centre sont aménagées de telle façon à créer un compresseur d'appoint ou une pompe anti refoulement ou un turbine secondaire, ou encore une poly turbine.
11. Un moteur selon les revendications 2, 3 et 8, dont le nombre de pales est en élision par rapport au nombre idéal et dont le noyau de la turbine comporte une pièce centrale complétant le système et assurant l'étanchéité de la turbine.
12. Une machine, telle un moteur, une pompe, un compresseur, comprenant en composition:

.cndot. un corps de la machine dans lequel est disposé le cylindre au centre duquel est disposée de façon fixe une came, .cndot. un ensemble de pales reliées indirectement entre elles vers leur centre au moyen d'un ensemble de bielles, .cndot. des bielles reliées chacune à leur extrémité à une pale, à une tige poussoir, .cndot. un ensemble de tiges poussoirs, chacune d'elles étant reliée au point de rattachement des bielles entre elles et insérée de façon coulissante dans le moyeu du moteur et ayant chacune leur seconde extrémité à la fois appuyée sur une came et munie d'un culbuteur, .cndot. un ensemble de culbuteurs, chacun étant relié à l'extrémité de la tige poussoir, et semi rotativement au corps du moteur, et muni d'une partie allongée permettant à la came d'en tirer l'effet attractif sur le poussoir.
13. Un moteur selon la revendication 12, mais dont l'effet mécanique est plutôt obtenu par une gaine de bielles montée rotativement autour d'une came et reliée aux points de rattachement des pales.
14. Une machine, telle un moteur, une pompe, un compresseur, comprenant en composition:
.cndot. un corps de la machine dans lequel est disposé un cylindre, .cndot. un soutien rotatif des pales monté rotativement dans le bloc et muni pour chaque pale, de deux points de rattachement, .cndot. un ensemble de pales possédant chacune deux points de rattachement distincts reliés par le moyen de bielles de soutien au soutien rotatif, .cndot. deux bielles de soutien par pales, qui, entrecroisées entre elles, relient les pales. au soutien rotatif.
15. Un moteur selon la revendication 14, comprenant en composition plusieurs systèmes et conçu intérieurement de manière à produire une poly turbine.
16. Un moteur selon la revendication 14, soutenu mécaniquement par un soutien semi transmittif.
17. Une machine selon la revendication 14 dont l'un des points de rattachement de chaque pale est relié à une mécanique de soutien grâce à une bielle d'induction, elle-même reliée à un maneton d'engrenage d'induction.
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* Cited by examiner, † Cited by third party
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ITTO20080847A1 (it) * 2008-11-18 2010-05-19 Vittorio Carlo Salvatore Scialla Pistone a prisma rombico snodato per macchine termiche

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