CA1228331A - Boite a poudre de maquillage et son pinceau applicateur - Google Patents
Boite a poudre de maquillage et son pinceau applicateurInfo
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Abstract
Boîte de maquillage contenant une poudre fluide et ayant un compartiment de prélèvement d'une dose de poudre. Ce compartiment est pourvu d'une cheminée intérieure dont la section transversale décroit progressivement en direction du fond dudit compartiment et dont l'extrémité de plus petite section transversale est légèrement écartée dudit fond. La boîte comprend également un pinceau applicateur de poudre qui comporte une touffe de poils ayant, en l'absence de toute contrainte, la forme d'un tronc de cône solidarisé par son extrémité de plus petite section transversale à une extrémité d'un manche, ce pinceau étant destiné à être fixé de manière amovible dans la cheminée, de sorte que lorsqu'il est reçu dans la cheminée l'extrémité libre de la touffe de poils, dont la section maximum en l'absence de toute contrainte est supérieure à celle de l'extrémité de plus petite section de la cheminée, est au contact du fond du compartiment de prélèvement et que l'extrémité du manche qui est opposée à la touffe de poils dépasse de l'extrémité de plus grande section de la cheminée. Le pinceau comporte une virole montée autour d'une partie de manche qui est adjacente à la touffe de poils et mobile entre une première position, dans laquelle la virole n'exerce aucune contrainte sur la touffe de poils, et une seconde position, dans laquelle la virole provoque un resserrement transversal de la touffe de poils.
Description
MOITE A POUDRE DE MAQUILLAGE ET SON PINCEAU APPLICATEUR
La présente invention concerne une boîte destinée au conditionnement et à la distribution d'une poudre de maquillage non compacte se trouvant dans un état sensiblement fluide telle que la boîte décrite dans le brevet français publié sous le né. 2 513 498 et l'invention concerne également un pinceau applicateur de poudre destiné à une telle boîte.
La boîte à poudre de maquillage décrite dans la demande de brevet précisée comporte une cloison intérieure qui la divise en deux compartiments, un premier compartiment dans lequel est introduite initialement une réserve de poudre de maquillage, et un second compartiment dans lequel s'effec-tuent les prélèvements proprement dits de doses de poudre.
Le passage de la poudre du compartiment de la réservé au compartiment de prélèvement s'effectue simplement en retour-néant la boîte sur elle-même, car les deux compartiments précisés communiquent entre eux par un passage ménagé entre un bord libre de la cloison qui est opposé au fond de la boîte et une paroi en regard de ladite boîte. Ainsi, la poudre qui demeure dans le premier compartiment, ou compartiment de la réserve, n'est pas soumise à une action de compactage exercée par applicateur au moment du prélèvement et peut rester dans un état sensiblement fluide. De plus, le second compati-ment, ou compartiment de prélèvement, ne contient qu'une faible partie de la poudre initialement introduite à liât rieur de la boîte, ce qui contribue à limiter les risques d'un prélèvement trop important de poudre de maquillage. En outre, le compartiment de prélèvement est traversé par une cheminée intérieure qui se termine juste au voisinage du fond de ce compartiment et est destinée à recevoir, comme appliqua-leur de poudre, un pinceau. De cette façon, le prélèvement de la poudre de maquillage par la touffe de poils ou de soies du pinceaus'effectue dans le compartiment de prélèvement, à l'intérieur de la boîte, sans risque, par conséquent, de dispersion de poudre à l'extérieur de la boîte.
y' ~2;~833~
La cheminée intérieure, de forme sensiblement conique, raccordée par son extrémité de plus grande section la paroi supérieure de la boîte et sensiblement disposée tout entière à l'intérieur de cette dernière, présente un diamètre qui diminue progressivement en direction du fond du comparé
liment, l'extrémit~ de plus petite section de la cheminée ôtant légèrement écartée du fond du compartiment de pr~lè-vexent. Cette cheminée permet ainsi une réduction du drame-ire initial de la touffe de poils du pinceau, de sorte que le prélèvement de la poudre s'effectue sur la partie centrale de l'extrémité libre de la touffe et non pas sur toute la surface de cette dernière. Ceci permet d'empêcher le pr~levement d'une dose trop importante de poudre de maquillage par la touffe de poils, et, comme par ailleurs le diamètre de la cheminée augmente en direction de lest rieur de la boîte, la touffe de poils du pinceau peut, au moment de l'extraction de ce dernier, reprendre progrès-vivement son diamètre initial d'origine en évitant ainsi une brusque détente des poils de la touffe et, par suite, une projection de la poudre prélevée.
Afin de permettre l'introduction initiale d'une réserve de poudre dans la boîte, le compartiment de réserve comporte, sur son fond, un trou de remplissage qui, après l'introduction de la poudre, est obturé éventuellement de façon irréversible par un opercule ; ce dernier peut être réalisé en matière plastique moulée et fixé par soulage aux ultrasons sur la boîte à poudre de maquillage réalisée en matière plastique moulée.
Le pinceau applicateur associé à la boîte à poudre de maquillage comprend une touffe de poils ou de soies ayant une forme sensiblement tronconique, solidarisée à
un manche de pinceau par son extrémité de plus petite section, et présentant, son extrémité de plus grande section, un diamètre maximum qui est supérieur au diamètre de l'extrémité de la cheminée qui est adjacente au fond ~2283~L
du compartiment de prélèvement, lorsque la touffe de poils n'est soumise a aucune contrainte.
Enfin, la boîte a poudre itou le pinceau présentent des moyens permettant la fixation amovible du pinceau à
l'intérieur de la cheminée, et dans une variante particu-fière de réalisation, ces moyens de fixation amovible consistent en un capot ou couvercle amovible sur la paroi supérieure de la boîte poudre de maquillage et de forme complémentaire a l'extrémité libre de la tige du pinceau que le couvercle est destine repousser vers l'intérieur de la cheminée, le couvercle comportant des organes de fermeture tels qu'un ergot qui s'encliquette plastiquement dans une encoche ménagée sur la paroi supérieure de la boîte.
On a constaté à l'usage que les poils de la touffe s'écartent les uns des autres, et que la touffe dans son ensemble s'évase, de sorte que, même si initialement le diamètre maximum de l'extr~mité libre de la touffe est, en l'absence de contraintes, inférieur au diamètre de l'extrémité de plus grande section de la cheminée afin de permettre une introduction aisée du pinceau dans cette dernière, très rapidement le diamètre maximum de l'extré-mité libre de la touffe prend une valeur supérieure au diamètre de l'extrémité de plus grande section de la chemin née, de sorte qu'il devient impossible d'introduire la touffe de poils du pinceau dans la cheminée sans replier et déformer ou casser sur le bord de la cheminée les poils situés à la périphérie de la touffe, ce qui s'accompa~ne de projection de poudre, entraîne une dégradation rapide du pinceau et nuit l'aspect esthétique de l'ensemble.
La présente invention permet de remédier à cet in-convoient tout en conservant les avantages que présentent une telle boîte à poudre de maquillage et son pinceau applicateur.
La présente invention a donc pour objet le produit y industriel nouveau que constitue une boite à poudre de ma-quillage, qui est destinée à contenir de la poudre à l'état sensiblement fluide et à l'intérieur de laquelle se trouve un compartiment de prélèvement d'une dose de poudre, ledit compartiment étant pourvu d'une cheminée intérieure, dont la section transversale décroît progressivement en direction du fond dédit compartiment et dont l'extrémité de plus petite section transversale est légèrement écartée dédit fond, ladite boite comprenant également un pinceau appliqua-leur de poudre qui comporte une touffe de poils ayant, enl'absence de toute contrainte, sensiblement la forme d'un tronc de cône solidarisé par son extrémité de plus petite section transversale à une extrémité d'un manche, ledit pinceau étant destiné a cire fixé de manière amovible dans ta cheminée, de sorte que, d'une part, lorsqu'il est reçu dans la cheminée, l'extrémité libre de la touffe de poils, dont la section maximum en l'absence de toute contrainte est supérieure à celle de l'extrémité de plus petite sec-lion de la cheminée, est sensiblement au contact du fond du compartiment de prélèvement et que, d'autre part, le trait du manche qui est opposée à la touffe de poils dépasse de l'extrémité de plus grande section de la chemin née, caractérisé par le fait que le pinceau comporte une virole, montée autour d'une partie de manche qui est Ada-conte à la touffe de poils, et mobile entre une première position, dans laquelle la virole n'exerce sensiblement aucune contrainte sur la touffe de poils, et une seconde position, dans laquelle la virole provoque un resserrement transversal de la touffe de poils.
Ainsi, après avoir utilisé le pinceau pour se poudrer, l'utilisatrice peut, en déplaçant la virole de la première à la seconde position, resserrer les poils de la touffe, de sorte que le diamètre de l'extrémité libre de cette dernière soit suffisamment diminué pour que l'introduction de la touffe de poils dans la cheminée puisse se faire sans difficulté.
Dans une variante préférée, d'une grande simplicité
de réalisation, la virole coulisse le long de la partie de manche qui est adjacente à la touffe de poils, entre les deux positions précisées et qui sont définies chacune par la coopération d'au moins une butée que présente la virole avec au moins une butée que présenté le manche du pinceau.
Selon une caractéristique préférentielle, la virole est montée avec un serrage calibré contre au moins un organe en saillie sur la surface externe de la partie du manche sur laquelle la virole est mobile, de sorte que, d'une part, le frottement entre la virole et cet ou ces organes en saillie assure le maintien de la virole dans au moins la seconde position, âpres que l'utilisatrice ait déplacé la virole de la première a la seconde position, et, d'autre part, que la virole puisse garder, lors de l'extraction du pinceau, la première position précisée qu'elle occupe sur le manche de ce dernier lorsque le pinceau est fixé de manière amovible dans la cheminée, grâce à la coopération de cette dernière avec la virole, comme cela est plus précisément décrit ci-dessous.
Dans une forme préférée de réalisation, l'extrémité
de la touffe de poils, par laquelle cette dernière est solidaire du pinceau, est engagée et retenue à l'intérieur d'un manchon cylindrique qui est lui-même engagé et retenu, par son extrémité qui n'est pas traversée par la touffe de poils, à l'intérieur d'une extrémité d'une douille tubulaire, la virole coulissant autour du manchon et présentant, en saillie vers lin trieur un épaulement formant butée qui coopère avec un épaulement formant butée et en saillie vers l'extérieur sur l'extremite du manchon traversée par la touffe de poils, lorsque la virole occupe la seconde position, l'extrémité de la virole tournée vers la douille constituant une autre butée qui coopère avec la butée que constitue l'extrémité de la douille dans a ~22833~
laquelle est engagé le manchon lorsque la virole occupe la première position. Le pinceau est alors constitué de quatre éléments la touffe de poils, le manchon, la virole et la douille tubulaire, qu'il est facile d'assembler.
Lorsque le pinceau est ainsi réalisé, il est avanie-gueux que les organes en saillie contre lesquels la virole est montée avec un serrage calibré soient constitués par des nervures longitudinales reparties sur la surface talé-fate externe du manchon.
Conformément à une caractéristique intéressante du pinceau selon la présente invention, lorsque le pinceau est en place dans la cheminée, la touffe de poils sur laquelle ne s'exerce aucune contrainte étant en contact, par son eu-trait libre, avec le fond du compartiment de prélèvement, la virole occupe dans ladite cheminée, une position limite dans le sens de sa pénétration dans ladite cheminée, et constitue ainsi un dispositif de fixation amovible du pin-cocu dans la cheminée, par coincement de ladite virole dans cette dernière.
Avantageusement, la virole constitue, dans la position limite précisée, un organe de auge de la cheminée, ce qui permet d'empêchér le passée de poudre dans la chef minée lors des retournements 'de la boite à poudre, en par-ticulier, lors des retournements de la boite à poudre décrié
te ci-après destinés à assurer le transfert de faibles quantités de poudre du compartiment de réserve vers le coma partirent de prélèvement.
Par ailleurs, dans le cas où la virole constitue un organe de fixation amovible du pinceau dans la cheminée comme indiqué ci-dessus, le serrage de la virole contre le (ou les) organe précisé, en saillie sur la partie du manche du pinceau sur laquelle la virole est mobile, est avantageusement calibré pour que la force de frottement entre la virole et ledit (ou lesdits) organe soit sué-fleure à la force de frottement entre la virole et la ~228331 paroi interne de la cheminée dans la position limite précis tee de la virole. De cette façon, lorsque le pinceau est retiré de acheminée, alors que la virole n'exerce aucune contrainte sur la touffe de poils, la virole se libère de la surface intérieure de la cheminée sans se déplacer sur le manche ; autrement dit, lorsque l'utilisateur extrait le pinceau de la cheminée, le pinceau se trouve automate-que ment prêt à être utilisé.
Selon une autre caractéristique avantageuse propre à l'invention, la virole présente, en saillie vers lest rieur, un renflement périphérique, dont la partie située du côté de l'extrémité de la virole qui est tournée vers la touffe de poils est convexe et présente une section transversale qui diminue progressivement en direction de la touffe de poils, à partir d'une section maximale du non-flement. Ce renflement facilite la manoeuvre de la virole par l'utilisatrice, mais il permet également, en coopération avec la cheminée qui reçoit le pinceau, de limiter l'enfon-ciment du pinceau dans la cheminée après la venue de la vi-foie dans la première position sur le manche du pinceau, de participer à la fixation amovible du pinceau dans la cheminée par coincement de la virole contre la face intérieur ne de cette dernière, de positionner convenablement le pin-cocu dans la cheminée et de boucher cette dernière.
Si la virole est montée avec un serrage calibré contre au moins un organe en saillie sur la surface externe de la partie du manche sur laquelle la virole est mobile, et si cette virole présente un renflement périphérique en saillie vers l'extérieur, il est avantageux que le profil de la cheminée, le profil du renflement de la virole et le serra-go entre cette dernière et le (ou les) organe en saillie sur le manche soient calibrés de sorte que lorsque le pin-cocu est retiré de la cheminée, la virole se libère de la surface intérieure de la cheminée sans se déplacer sur le manche.
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Conformément à une caractéristique intéressante de la boîte à poudre selon la présente invention, cette boite à poudre comporte une cloison intérieure qui la dix vise en deux compartiments dont l'un est destiné à conte-noir une réserve de poudre, et dont l'autre constitue le compartiment de prélèvement d'une dose de poudre, les deux compartiments communiquant entre eux par un passage qui est ménagé entre un bord libre de la cloison, du côté opposé
au fond de la boite, et une paroi en regard de la boite, et qui permet, par retournement de la boite le transfert d'une faible quantité de poudre du compartiment de la ré-serve au compartiment de prélèvement.
Dans le cas où la boîte comprend également un couver-aie qui se fixe de façon amovible ourla partie supérieure de la boîte autour de l'extrémité de plus grande section de la cheminée, en recouvrant l'extrémité libre du manche du pinceau et en repoussant ce dernier vers l'intérieur de la cheminée, il est avantageux que la face interne du cou-vende comporte des organes de poussée du pinceau qui ont une forme complémentaire de l'extrémité libre du manche et sont -n appui contre cette extrémité
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libre lorsque le couvercle est fixé sur la boîte, de façon a appuyer le manche contre la virole qui est coincée dans la cheminée en occupant la première position sur le manche.
Afin d'assurer une bonne rigidité du couvercle, sans qu'il soit nécessaire de lui donner une épaisseur importante, les organes de poussée sont avantageusement constitues par des nervures de raidissement du couvercle, qui sont croisées et présentent des échancrures complément laines de la forme de l'extrémité libre du manche du pinceau.
Lorsque de plus, le couvercle se fixe de façon amovible sur la boîte par emboîtement élastique autour dune partie de la paroi supérieure de la boîte qui est en saillie sur le dessus de la boîte et dans laquelle débouche la cheminée, à l'aide d'au moins un ergot du couvercle qui s'encliquette plastiquement dans une encoche ménagée dans ladite partie en saillie sur le dessus de la boîte, il est avantageux que, selon l'invention, ladite partie en saillie sur le dessus de la boîte présente une section transversale sensiblement ovale, dont chacune des extrémités arrondies est munie d'une encoche sensiblement en arc de cercle, dans laquelle est destinée a s'encliqueter plastiquement l'un de deux ergots en arc de cercle en saillie l'un vers l'autre sur la face interne de la base du couvercle qui entoure ladite partie en saillie sur le dessus de la boîte. Cette variante est d'une grande simplicité de réalisation et d'un faible coût, car les organes de fixation amovible du cou-vende sur la boîte peuvent cire réalisés directement par moulage soit sur la boîte, soit sur le couvercle, sans qu'il soit utile de rapporter des pièces quelconques de fermeture ou d'articulation sur la boîte ou sur le couvercle.
Dans ce damer cas, lys ergots en arc de cercle sont portés de pré-rare pur de partions arrondies du couvercle, reniées l'une l'autre pu deux fl~3nssens~1~nent para Pcetaumo~nspartiellement amincis, pré-lent un fable jeu avec les fus en regard de la partie en set Fe sur Là par suppure ce ~ba~te,de telle sorte que la com~>ress~Dn des deux flancs là
.
~2283~1 vers lyre dans y âne Harris, par pincement du couvera le, phoque; te la sortie des ergots hors de leur encoche, et donc l'enlè-vexent du couvercle, afin d'accéder à l'extrémit~ libre du manche du pinceau et de retirer ce dernier de la cheminée.
Pour mieux faire comprendre l'objet de la présente invention, on va en décrire ci-après, titre d'exemple purement illustra tif et non limitatif, un mode de réalisa-lion représenté sur le dessin annexé .
Sur ce dessin - la figure 1 est une vue en perspective d'une boîte à poudre de maquillage selon l'invention sur laquelle est fixée un couvercle, - la figure 2 est une vue en coupe selon II-II de la figure 1, la figure 3 est une vue en coupe transversale selon III-III de la figure 2, - la figure 4 est une coupe verticale analogue à
la figure 2 représentant le pinceau introduit dans la cheminée, avant la fermeture du couvercle, - la figure 5 est une vue de dessous du couvercle selon V-V de la figure 4, et - la figure 6 est une vue éclatée partiellement en coupe du pinceau applicateur d'une boîte à poudre selon les figures 1 à 5.
En se référant a la figure 1 du dessin, on voit que l'on a désigné par 1 dans son ensemble une boîte des-tirée à renfermer de la poudre de maquillage non compacte, a l'état sensiblement fluide, un couvercle 2 pouvant se fixer de manière amovible sur la boîte 1. En référence aux figures 2 à 4, la boîte 1 comprend un corps creux 3 et un fond 4. Le corps 3 est formé d'une paroi latérale cylindré-que dont la section transversale a la forme de deux demi-cercles de même rayon, tournés l'un vers l'autre et raccord dés par un rectangle (voir figure 3). L'extrémité supérieure de cette paroi latérale est arrondie en 5 et se raccorde ~228331 à une paroi supérieure qui présente une partie centrale 6 en saillie sur le dessus de la boîte 1. La partie centrale 6 a une section transversale de même forme, mais plus petite, que celle de la paroi latérale du corps 3, et une encoche en arc de cercle 7 est ménagée dans la face latérale externe de chacune des deux portions arrondies en demi-cercles de la partie en saillie 6. A cette partie 6 se raccorde également l'extrémité supérieure, de plus grand diamètre, d'une cheminée intérieure 8 tronconique, dont l'extrémité inférieure, de plus petit diamètre, est écartée d'une faible distance du fond 4. Cette cheminée 8 présente ainsi une ouverture d'entrée de grande section, qui débouche dans la partie 6, et une ouverture de sortie, de petite section, qui débouche en regard du fond 4. L'axe de symétrie lys de la cheminée 8 est excentré par rapport à l'axe de symétrie commun à la partie 6 et à la paroi latérale du corps 3, et chacune des deux parties planes 9 de la paroi latérale du corps 3 présente, sur sa face interne, et de l'autre côté de l'axe de symétrie commun à la partie 6 et au corps 3 par rapport à l'axe de symétrie de la cheminée 8, deux glissières verticales en vis-à-vis, délimitées chacune par deux nervures 10 parallèles qui s'étendent à
faible distance l'une de l'autre,de l'extrémité supérieure arrondie 5 de la paroi latérale jusqu'à un évidement ménagé
dans la face intérieure de cette dernière, sur le pourtour de la base de cette paroi latérale.
Le corps 3, dont la structure vient d'être décrite, peut être réalisé d'une seule pièce en matière plastique moulée.
Le fond 4, également réalisé d'une seule pièce en matière plastique moulée, présente un rebord périphérique 11, par lequel le fond 4 s'emboîte dans laidement de la base de la paroi latérale du corps 3, et porte une plaque rectangulaire 12, dont l'épaisseur diminue progressivement de son extrémité inférieure de raccordement au fond 4, en ~22~33~
direction de son extrémité supérieure libre 13, de sorte que lorsque le fond 4 est emboîté dans le corps 3, la plaque 12 pénètre et glisse par ses deux côtés verticaux dans les deux glissières délimitées entre les nervures 10 du corps 3. Le fond 4 présente enfin, dans sa partie située du côté
de la plaque 12 qui ne vient pas en regard de la cheminée 8 du corps 3, un trou de remplissage délimité par un brossage annulaire 14 portant un épaulement radial vers l'intérieur de son passage central. Ce trou de remplissage peut être obturé par un opercule 15, éventuellement amovible et réalisé
en un matériau relativement souple et flexible, par exemple en élastomère, et qui présente une gorge périphérique de sorte que l'opercule 15 puisse s'encliqueter plastiquement dans le brossage 14 dont l'épaulement radial interne vient se loger dans la gorge de l'opercule 15. Mais il est égale-ment possible que l'opercule 15 puisse être solidarisé au fond 4 par exemple par soulage aux ultrasons, âpres l'intro-diction d'une réserve de poudre de maquillage dans la boite.
En effet, âpres le montage et la solidarisassions du fond 4 sur le corps 3, la plaque 12 constitue une cloison verticale interne à la boîte, qui divise le volume interne du corps 3 en deux compartiments, l'un 16, situé au-dessus du brossage 14 et de l'opercule 15, et qui constitue un coma partirent destiné a recevoir une réserve de poudre, et l'autre 17, autour de la cheminée 8, et qui constitue un compartiment de prélèvement. Ces deux compartiments 16 et 17 communiquent à leur partie supérieure par un passage 18 ménagé entre l'extrémité supérieure 13 de la cloison 12 et la face interne en regard de la partie en saillie 6 de la paroi supérieure de la boîte.
La boîte est équipée d'un pinceau applicateur 19, dont la structure est plus précisément décrite en référence à la figure 6. Le pinceau 19 comprend une touffe de poils 20 ayant sensiblement la forme d'un tronc de cône qui est solidarisé par sa petite base à l'extrémité inférieure d'un ~22833~
manchon 21 cylindrique de section circulaire. L'extrémité
libre de la touffe de poils 20, en forme de calotte sph~ri-que, présenté un diamètre maximum, en l'absence de contrainte, qui est supérieur au diamètre de l'extrémité
inférieure de plus petit diamètre de la cheminée 8. Une telle touffe de poils 20 est réalisée en engageant la partie d'extrémit~ supérieure d'un faisceau de poils ayant une forme cylindrique de section circulaire dans le manchon 21, au travers de son extrémité inférieure entourée d'un épaulement annulaire 22 radial et en saillie vers lest rieur. Puis on dispose cet ensemble à l'aplomb d'une cuvette ayant la forme en calotte sphérique que l'on souhaite donner l'extrémité libre de la touffe 20, et, à l'aide d'un poussoir que l'on introduit dans le manchon 21 par son extrémité supérieure, on repousse les poils contre le fond de la cuvette. Enfin, après avoir retiré le poussoir, on introduit de la colle dans le manchon 21, par l'extrémité
supérieure de ce dernier, et, après séchage, on obtient l'ensemble de la touffe de poils 20 et du manchon 21 représenté sur la figure 6. Le manchon 21 présente quatre nervures 23 longitudinales régulièrement réparties sur sa surface latérale extérieure, et qui ne s'étendent pas jusqu'à
l'extrémité supérieure de ce manchon 21, afin que cette extrémité supérieure soit une partie tubulaire lisse 24.
Le pinceau comprend également une virole 25 présent tant un alésage central 26 débouchant à l'extrémité inné-fleure de la virole et de diamètre supérieur au di~mètreducercle circonscrit au nervures 73,(~ germent supérieur au moire de épaulement a deg~sersurcedernier)tandis qu'uncontre-alésage 27, débouchant a l'extrémité supérieure de viral, et coaxial à l'alésage26, délimite avec ce dernier un épaule-ment radial interne 28 dans la virole 25. De plus, le diamè-ire du contre-alésage 27 assure un serrage calibré sur les nervures 23 lorsque la virole 25 est déplacée sur ces dernier-nos, et est inférieur au diamètre de l'épaulement 22.
~228331 1 ode la sorte, la virole 25 peut être montée coulissante avec un frottement calibré sur le manchon 21 ,..........
et déplacée en direction de la touffe de poils 20 jusqu'a ce que l'épaulement radial interne 28 de la virole 25 vienne en butée contre l'épaulement radial externe 22 de lettre mité inférieure du manchon 21. Dans cette position, il est clair que, comme représenté sur la figure 4, la virole 25 assure un resserrement radial de la touffe de poils 20.
Autour de sa partie d'extrémité inférieure, la virole 25 présente un renflement périphérique convexe 29, en saillie vers l'extérieur, dont le diamètre diminue progressivement en direction de l'extrémité inférieure, 3 partir d'une section de diamètre maximum raccordée par une surface concave a la partie supérieure de la virole 25.
Le pinceau 19 comprend enfin une douille tubulaire 30, de section circulaire, ouverte à son extrémité inné-fleure et fermée à son extrémité supérieure en forme de dôme arrondi. Le diamètre interne de la douille 30 est loger-riment supérieur au diamètre externe de l'extrémité lisse 24 du manchon 21, tandis que le diamètre externe de la douille 30 est voisin du diamètre externe de la partie sué-fleure de la virole 25. L'extrémité 24 du manchon 21 peut ainsi cire engagée et collée dans la douille 30 de sorte que les extrémités supérieures des nervures 23 soient voix sites de l'extrémité inférieure de la douille 30, après avoir fait glisser la virole 25 sur le manchon 21 en posé-lion de resserrement radial de la touffe de poils 20, c'est-à-dire jusqu'à ce que l'épaulement 28 soit en butée contre l'épaulement 22. Comme la hauteur de la virole 25 est légèrement inférieure à la hauteur du manchon 21, la virole est ainsi montée mobile sur ce manchon 21 entre deux positions dont l'une, déjà présentée ci-dessus, est une position de resserrement radial de la touffe de poils 20, et l'autre, dans laquelle la virole 25 est en butée par son extrémité supérieure contre l'extrémité inférieure de 833~L
la douille 30 et dans laquelle l'épaulement 22 reste engagé
dans l'alésage 26, est une position dans laquelle la virole 25 n'exerce pratiquement aucune contrainte sur la touffe de poils 20 et permet à celle-ci de prendre une forme évasée.
Le serrage calibré avec lequel la virole 25 est montée sur le manchon 21, par coopération du contre-alésage 27 avec les nervures 23, permet de maintenir la virole 25 dans chacune de ses deux positions dans lesquelles l'utilisatrice peut amener la virole, dont la manoeuvre est facilitée grâce 10 au renflement convexe 29. Comme le corps 3 et le fond 4, le manchon 21, la virole 25 et la douille 30 du pinceau peuvent être réalisés en matière plastique moulée.
Le couvercle 2 représenté sur les figures 1,2,4 et 5, est bombé et présente une base font la section connes-lys pond à celle de la partie en saillie 6, que cette base vient entourer lorsque le couvercle 2 est fixé sur la boite, par encliquetage élastique dans les deux encoches 7 de cette partie 6 de deux ergots 31 de forme complémentaire et en arc de cercle, en saillie l'un vers l'autre et chacun sur 20 la face interne de l'une des deux parties arrondies dextre mite 32 du couvercle 2, qui sont reliées l'une à l'autre par deux flancs 33 sensiblement plans et parallèles, et amincis par rapport aux autres parties du couvercle 2 manière à présenter c~c~m un il jeu avec la face en regard de y partie en su 25 lie 6, lorsque le couvercle 2 est élastiqucment embof béé sur cette partie 6. Le couvercle 2 est ri~idif pu- une nervure longitudinale centrale 3 4 que croisent à angle droit deux nervures transversales 35, et des clan-cures telles que 36 que présenter ces nervures délimitent deux calot-tes d'appui de fonte sensil~lPment complémentaire de celle de llextrémi~
30 supérieure arrondie de la douille du pinceau 19. Un tel couvercle
La présente invention concerne une boîte destinée au conditionnement et à la distribution d'une poudre de maquillage non compacte se trouvant dans un état sensiblement fluide telle que la boîte décrite dans le brevet français publié sous le né. 2 513 498 et l'invention concerne également un pinceau applicateur de poudre destiné à une telle boîte.
La boîte à poudre de maquillage décrite dans la demande de brevet précisée comporte une cloison intérieure qui la divise en deux compartiments, un premier compartiment dans lequel est introduite initialement une réserve de poudre de maquillage, et un second compartiment dans lequel s'effec-tuent les prélèvements proprement dits de doses de poudre.
Le passage de la poudre du compartiment de la réservé au compartiment de prélèvement s'effectue simplement en retour-néant la boîte sur elle-même, car les deux compartiments précisés communiquent entre eux par un passage ménagé entre un bord libre de la cloison qui est opposé au fond de la boîte et une paroi en regard de ladite boîte. Ainsi, la poudre qui demeure dans le premier compartiment, ou compartiment de la réserve, n'est pas soumise à une action de compactage exercée par applicateur au moment du prélèvement et peut rester dans un état sensiblement fluide. De plus, le second compati-ment, ou compartiment de prélèvement, ne contient qu'une faible partie de la poudre initialement introduite à liât rieur de la boîte, ce qui contribue à limiter les risques d'un prélèvement trop important de poudre de maquillage. En outre, le compartiment de prélèvement est traversé par une cheminée intérieure qui se termine juste au voisinage du fond de ce compartiment et est destinée à recevoir, comme appliqua-leur de poudre, un pinceau. De cette façon, le prélèvement de la poudre de maquillage par la touffe de poils ou de soies du pinceaus'effectue dans le compartiment de prélèvement, à l'intérieur de la boîte, sans risque, par conséquent, de dispersion de poudre à l'extérieur de la boîte.
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La cheminée intérieure, de forme sensiblement conique, raccordée par son extrémité de plus grande section la paroi supérieure de la boîte et sensiblement disposée tout entière à l'intérieur de cette dernière, présente un diamètre qui diminue progressivement en direction du fond du comparé
liment, l'extrémit~ de plus petite section de la cheminée ôtant légèrement écartée du fond du compartiment de pr~lè-vexent. Cette cheminée permet ainsi une réduction du drame-ire initial de la touffe de poils du pinceau, de sorte que le prélèvement de la poudre s'effectue sur la partie centrale de l'extrémité libre de la touffe et non pas sur toute la surface de cette dernière. Ceci permet d'empêcher le pr~levement d'une dose trop importante de poudre de maquillage par la touffe de poils, et, comme par ailleurs le diamètre de la cheminée augmente en direction de lest rieur de la boîte, la touffe de poils du pinceau peut, au moment de l'extraction de ce dernier, reprendre progrès-vivement son diamètre initial d'origine en évitant ainsi une brusque détente des poils de la touffe et, par suite, une projection de la poudre prélevée.
Afin de permettre l'introduction initiale d'une réserve de poudre dans la boîte, le compartiment de réserve comporte, sur son fond, un trou de remplissage qui, après l'introduction de la poudre, est obturé éventuellement de façon irréversible par un opercule ; ce dernier peut être réalisé en matière plastique moulée et fixé par soulage aux ultrasons sur la boîte à poudre de maquillage réalisée en matière plastique moulée.
Le pinceau applicateur associé à la boîte à poudre de maquillage comprend une touffe de poils ou de soies ayant une forme sensiblement tronconique, solidarisée à
un manche de pinceau par son extrémité de plus petite section, et présentant, son extrémité de plus grande section, un diamètre maximum qui est supérieur au diamètre de l'extrémité de la cheminée qui est adjacente au fond ~2283~L
du compartiment de prélèvement, lorsque la touffe de poils n'est soumise a aucune contrainte.
Enfin, la boîte a poudre itou le pinceau présentent des moyens permettant la fixation amovible du pinceau à
l'intérieur de la cheminée, et dans une variante particu-fière de réalisation, ces moyens de fixation amovible consistent en un capot ou couvercle amovible sur la paroi supérieure de la boîte poudre de maquillage et de forme complémentaire a l'extrémité libre de la tige du pinceau que le couvercle est destine repousser vers l'intérieur de la cheminée, le couvercle comportant des organes de fermeture tels qu'un ergot qui s'encliquette plastiquement dans une encoche ménagée sur la paroi supérieure de la boîte.
On a constaté à l'usage que les poils de la touffe s'écartent les uns des autres, et que la touffe dans son ensemble s'évase, de sorte que, même si initialement le diamètre maximum de l'extr~mité libre de la touffe est, en l'absence de contraintes, inférieur au diamètre de l'extrémité de plus grande section de la cheminée afin de permettre une introduction aisée du pinceau dans cette dernière, très rapidement le diamètre maximum de l'extré-mité libre de la touffe prend une valeur supérieure au diamètre de l'extrémité de plus grande section de la chemin née, de sorte qu'il devient impossible d'introduire la touffe de poils du pinceau dans la cheminée sans replier et déformer ou casser sur le bord de la cheminée les poils situés à la périphérie de la touffe, ce qui s'accompa~ne de projection de poudre, entraîne une dégradation rapide du pinceau et nuit l'aspect esthétique de l'ensemble.
La présente invention permet de remédier à cet in-convoient tout en conservant les avantages que présentent une telle boîte à poudre de maquillage et son pinceau applicateur.
La présente invention a donc pour objet le produit y industriel nouveau que constitue une boite à poudre de ma-quillage, qui est destinée à contenir de la poudre à l'état sensiblement fluide et à l'intérieur de laquelle se trouve un compartiment de prélèvement d'une dose de poudre, ledit compartiment étant pourvu d'une cheminée intérieure, dont la section transversale décroît progressivement en direction du fond dédit compartiment et dont l'extrémité de plus petite section transversale est légèrement écartée dédit fond, ladite boite comprenant également un pinceau appliqua-leur de poudre qui comporte une touffe de poils ayant, enl'absence de toute contrainte, sensiblement la forme d'un tronc de cône solidarisé par son extrémité de plus petite section transversale à une extrémité d'un manche, ledit pinceau étant destiné a cire fixé de manière amovible dans ta cheminée, de sorte que, d'une part, lorsqu'il est reçu dans la cheminée, l'extrémité libre de la touffe de poils, dont la section maximum en l'absence de toute contrainte est supérieure à celle de l'extrémité de plus petite sec-lion de la cheminée, est sensiblement au contact du fond du compartiment de prélèvement et que, d'autre part, le trait du manche qui est opposée à la touffe de poils dépasse de l'extrémité de plus grande section de la chemin née, caractérisé par le fait que le pinceau comporte une virole, montée autour d'une partie de manche qui est Ada-conte à la touffe de poils, et mobile entre une première position, dans laquelle la virole n'exerce sensiblement aucune contrainte sur la touffe de poils, et une seconde position, dans laquelle la virole provoque un resserrement transversal de la touffe de poils.
Ainsi, après avoir utilisé le pinceau pour se poudrer, l'utilisatrice peut, en déplaçant la virole de la première à la seconde position, resserrer les poils de la touffe, de sorte que le diamètre de l'extrémité libre de cette dernière soit suffisamment diminué pour que l'introduction de la touffe de poils dans la cheminée puisse se faire sans difficulté.
Dans une variante préférée, d'une grande simplicité
de réalisation, la virole coulisse le long de la partie de manche qui est adjacente à la touffe de poils, entre les deux positions précisées et qui sont définies chacune par la coopération d'au moins une butée que présente la virole avec au moins une butée que présenté le manche du pinceau.
Selon une caractéristique préférentielle, la virole est montée avec un serrage calibré contre au moins un organe en saillie sur la surface externe de la partie du manche sur laquelle la virole est mobile, de sorte que, d'une part, le frottement entre la virole et cet ou ces organes en saillie assure le maintien de la virole dans au moins la seconde position, âpres que l'utilisatrice ait déplacé la virole de la première a la seconde position, et, d'autre part, que la virole puisse garder, lors de l'extraction du pinceau, la première position précisée qu'elle occupe sur le manche de ce dernier lorsque le pinceau est fixé de manière amovible dans la cheminée, grâce à la coopération de cette dernière avec la virole, comme cela est plus précisément décrit ci-dessous.
Dans une forme préférée de réalisation, l'extrémité
de la touffe de poils, par laquelle cette dernière est solidaire du pinceau, est engagée et retenue à l'intérieur d'un manchon cylindrique qui est lui-même engagé et retenu, par son extrémité qui n'est pas traversée par la touffe de poils, à l'intérieur d'une extrémité d'une douille tubulaire, la virole coulissant autour du manchon et présentant, en saillie vers lin trieur un épaulement formant butée qui coopère avec un épaulement formant butée et en saillie vers l'extérieur sur l'extremite du manchon traversée par la touffe de poils, lorsque la virole occupe la seconde position, l'extrémité de la virole tournée vers la douille constituant une autre butée qui coopère avec la butée que constitue l'extrémité de la douille dans a ~22833~
laquelle est engagé le manchon lorsque la virole occupe la première position. Le pinceau est alors constitué de quatre éléments la touffe de poils, le manchon, la virole et la douille tubulaire, qu'il est facile d'assembler.
Lorsque le pinceau est ainsi réalisé, il est avanie-gueux que les organes en saillie contre lesquels la virole est montée avec un serrage calibré soient constitués par des nervures longitudinales reparties sur la surface talé-fate externe du manchon.
Conformément à une caractéristique intéressante du pinceau selon la présente invention, lorsque le pinceau est en place dans la cheminée, la touffe de poils sur laquelle ne s'exerce aucune contrainte étant en contact, par son eu-trait libre, avec le fond du compartiment de prélèvement, la virole occupe dans ladite cheminée, une position limite dans le sens de sa pénétration dans ladite cheminée, et constitue ainsi un dispositif de fixation amovible du pin-cocu dans la cheminée, par coincement de ladite virole dans cette dernière.
Avantageusement, la virole constitue, dans la position limite précisée, un organe de auge de la cheminée, ce qui permet d'empêchér le passée de poudre dans la chef minée lors des retournements 'de la boite à poudre, en par-ticulier, lors des retournements de la boite à poudre décrié
te ci-après destinés à assurer le transfert de faibles quantités de poudre du compartiment de réserve vers le coma partirent de prélèvement.
Par ailleurs, dans le cas où la virole constitue un organe de fixation amovible du pinceau dans la cheminée comme indiqué ci-dessus, le serrage de la virole contre le (ou les) organe précisé, en saillie sur la partie du manche du pinceau sur laquelle la virole est mobile, est avantageusement calibré pour que la force de frottement entre la virole et ledit (ou lesdits) organe soit sué-fleure à la force de frottement entre la virole et la ~228331 paroi interne de la cheminée dans la position limite précis tee de la virole. De cette façon, lorsque le pinceau est retiré de acheminée, alors que la virole n'exerce aucune contrainte sur la touffe de poils, la virole se libère de la surface intérieure de la cheminée sans se déplacer sur le manche ; autrement dit, lorsque l'utilisateur extrait le pinceau de la cheminée, le pinceau se trouve automate-que ment prêt à être utilisé.
Selon une autre caractéristique avantageuse propre à l'invention, la virole présente, en saillie vers lest rieur, un renflement périphérique, dont la partie située du côté de l'extrémité de la virole qui est tournée vers la touffe de poils est convexe et présente une section transversale qui diminue progressivement en direction de la touffe de poils, à partir d'une section maximale du non-flement. Ce renflement facilite la manoeuvre de la virole par l'utilisatrice, mais il permet également, en coopération avec la cheminée qui reçoit le pinceau, de limiter l'enfon-ciment du pinceau dans la cheminée après la venue de la vi-foie dans la première position sur le manche du pinceau, de participer à la fixation amovible du pinceau dans la cheminée par coincement de la virole contre la face intérieur ne de cette dernière, de positionner convenablement le pin-cocu dans la cheminée et de boucher cette dernière.
Si la virole est montée avec un serrage calibré contre au moins un organe en saillie sur la surface externe de la partie du manche sur laquelle la virole est mobile, et si cette virole présente un renflement périphérique en saillie vers l'extérieur, il est avantageux que le profil de la cheminée, le profil du renflement de la virole et le serra-go entre cette dernière et le (ou les) organe en saillie sur le manche soient calibrés de sorte que lorsque le pin-cocu est retiré de la cheminée, la virole se libère de la surface intérieure de la cheminée sans se déplacer sur le manche.
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Conformément à une caractéristique intéressante de la boîte à poudre selon la présente invention, cette boite à poudre comporte une cloison intérieure qui la dix vise en deux compartiments dont l'un est destiné à conte-noir une réserve de poudre, et dont l'autre constitue le compartiment de prélèvement d'une dose de poudre, les deux compartiments communiquant entre eux par un passage qui est ménagé entre un bord libre de la cloison, du côté opposé
au fond de la boite, et une paroi en regard de la boite, et qui permet, par retournement de la boite le transfert d'une faible quantité de poudre du compartiment de la ré-serve au compartiment de prélèvement.
Dans le cas où la boîte comprend également un couver-aie qui se fixe de façon amovible ourla partie supérieure de la boîte autour de l'extrémité de plus grande section de la cheminée, en recouvrant l'extrémité libre du manche du pinceau et en repoussant ce dernier vers l'intérieur de la cheminée, il est avantageux que la face interne du cou-vende comporte des organes de poussée du pinceau qui ont une forme complémentaire de l'extrémité libre du manche et sont -n appui contre cette extrémité
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libre lorsque le couvercle est fixé sur la boîte, de façon a appuyer le manche contre la virole qui est coincée dans la cheminée en occupant la première position sur le manche.
Afin d'assurer une bonne rigidité du couvercle, sans qu'il soit nécessaire de lui donner une épaisseur importante, les organes de poussée sont avantageusement constitues par des nervures de raidissement du couvercle, qui sont croisées et présentent des échancrures complément laines de la forme de l'extrémité libre du manche du pinceau.
Lorsque de plus, le couvercle se fixe de façon amovible sur la boîte par emboîtement élastique autour dune partie de la paroi supérieure de la boîte qui est en saillie sur le dessus de la boîte et dans laquelle débouche la cheminée, à l'aide d'au moins un ergot du couvercle qui s'encliquette plastiquement dans une encoche ménagée dans ladite partie en saillie sur le dessus de la boîte, il est avantageux que, selon l'invention, ladite partie en saillie sur le dessus de la boîte présente une section transversale sensiblement ovale, dont chacune des extrémités arrondies est munie d'une encoche sensiblement en arc de cercle, dans laquelle est destinée a s'encliqueter plastiquement l'un de deux ergots en arc de cercle en saillie l'un vers l'autre sur la face interne de la base du couvercle qui entoure ladite partie en saillie sur le dessus de la boîte. Cette variante est d'une grande simplicité de réalisation et d'un faible coût, car les organes de fixation amovible du cou-vende sur la boîte peuvent cire réalisés directement par moulage soit sur la boîte, soit sur le couvercle, sans qu'il soit utile de rapporter des pièces quelconques de fermeture ou d'articulation sur la boîte ou sur le couvercle.
Dans ce damer cas, lys ergots en arc de cercle sont portés de pré-rare pur de partions arrondies du couvercle, reniées l'une l'autre pu deux fl~3nssens~1~nent para Pcetaumo~nspartiellement amincis, pré-lent un fable jeu avec les fus en regard de la partie en set Fe sur Là par suppure ce ~ba~te,de telle sorte que la com~>ress~Dn des deux flancs là
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~2283~1 vers lyre dans y âne Harris, par pincement du couvera le, phoque; te la sortie des ergots hors de leur encoche, et donc l'enlè-vexent du couvercle, afin d'accéder à l'extrémit~ libre du manche du pinceau et de retirer ce dernier de la cheminée.
Pour mieux faire comprendre l'objet de la présente invention, on va en décrire ci-après, titre d'exemple purement illustra tif et non limitatif, un mode de réalisa-lion représenté sur le dessin annexé .
Sur ce dessin - la figure 1 est une vue en perspective d'une boîte à poudre de maquillage selon l'invention sur laquelle est fixée un couvercle, - la figure 2 est une vue en coupe selon II-II de la figure 1, la figure 3 est une vue en coupe transversale selon III-III de la figure 2, - la figure 4 est une coupe verticale analogue à
la figure 2 représentant le pinceau introduit dans la cheminée, avant la fermeture du couvercle, - la figure 5 est une vue de dessous du couvercle selon V-V de la figure 4, et - la figure 6 est une vue éclatée partiellement en coupe du pinceau applicateur d'une boîte à poudre selon les figures 1 à 5.
En se référant a la figure 1 du dessin, on voit que l'on a désigné par 1 dans son ensemble une boîte des-tirée à renfermer de la poudre de maquillage non compacte, a l'état sensiblement fluide, un couvercle 2 pouvant se fixer de manière amovible sur la boîte 1. En référence aux figures 2 à 4, la boîte 1 comprend un corps creux 3 et un fond 4. Le corps 3 est formé d'une paroi latérale cylindré-que dont la section transversale a la forme de deux demi-cercles de même rayon, tournés l'un vers l'autre et raccord dés par un rectangle (voir figure 3). L'extrémité supérieure de cette paroi latérale est arrondie en 5 et se raccorde ~228331 à une paroi supérieure qui présente une partie centrale 6 en saillie sur le dessus de la boîte 1. La partie centrale 6 a une section transversale de même forme, mais plus petite, que celle de la paroi latérale du corps 3, et une encoche en arc de cercle 7 est ménagée dans la face latérale externe de chacune des deux portions arrondies en demi-cercles de la partie en saillie 6. A cette partie 6 se raccorde également l'extrémité supérieure, de plus grand diamètre, d'une cheminée intérieure 8 tronconique, dont l'extrémité inférieure, de plus petit diamètre, est écartée d'une faible distance du fond 4. Cette cheminée 8 présente ainsi une ouverture d'entrée de grande section, qui débouche dans la partie 6, et une ouverture de sortie, de petite section, qui débouche en regard du fond 4. L'axe de symétrie lys de la cheminée 8 est excentré par rapport à l'axe de symétrie commun à la partie 6 et à la paroi latérale du corps 3, et chacune des deux parties planes 9 de la paroi latérale du corps 3 présente, sur sa face interne, et de l'autre côté de l'axe de symétrie commun à la partie 6 et au corps 3 par rapport à l'axe de symétrie de la cheminée 8, deux glissières verticales en vis-à-vis, délimitées chacune par deux nervures 10 parallèles qui s'étendent à
faible distance l'une de l'autre,de l'extrémité supérieure arrondie 5 de la paroi latérale jusqu'à un évidement ménagé
dans la face intérieure de cette dernière, sur le pourtour de la base de cette paroi latérale.
Le corps 3, dont la structure vient d'être décrite, peut être réalisé d'une seule pièce en matière plastique moulée.
Le fond 4, également réalisé d'une seule pièce en matière plastique moulée, présente un rebord périphérique 11, par lequel le fond 4 s'emboîte dans laidement de la base de la paroi latérale du corps 3, et porte une plaque rectangulaire 12, dont l'épaisseur diminue progressivement de son extrémité inférieure de raccordement au fond 4, en ~22~33~
direction de son extrémité supérieure libre 13, de sorte que lorsque le fond 4 est emboîté dans le corps 3, la plaque 12 pénètre et glisse par ses deux côtés verticaux dans les deux glissières délimitées entre les nervures 10 du corps 3. Le fond 4 présente enfin, dans sa partie située du côté
de la plaque 12 qui ne vient pas en regard de la cheminée 8 du corps 3, un trou de remplissage délimité par un brossage annulaire 14 portant un épaulement radial vers l'intérieur de son passage central. Ce trou de remplissage peut être obturé par un opercule 15, éventuellement amovible et réalisé
en un matériau relativement souple et flexible, par exemple en élastomère, et qui présente une gorge périphérique de sorte que l'opercule 15 puisse s'encliqueter plastiquement dans le brossage 14 dont l'épaulement radial interne vient se loger dans la gorge de l'opercule 15. Mais il est égale-ment possible que l'opercule 15 puisse être solidarisé au fond 4 par exemple par soulage aux ultrasons, âpres l'intro-diction d'une réserve de poudre de maquillage dans la boite.
En effet, âpres le montage et la solidarisassions du fond 4 sur le corps 3, la plaque 12 constitue une cloison verticale interne à la boîte, qui divise le volume interne du corps 3 en deux compartiments, l'un 16, situé au-dessus du brossage 14 et de l'opercule 15, et qui constitue un coma partirent destiné a recevoir une réserve de poudre, et l'autre 17, autour de la cheminée 8, et qui constitue un compartiment de prélèvement. Ces deux compartiments 16 et 17 communiquent à leur partie supérieure par un passage 18 ménagé entre l'extrémité supérieure 13 de la cloison 12 et la face interne en regard de la partie en saillie 6 de la paroi supérieure de la boîte.
La boîte est équipée d'un pinceau applicateur 19, dont la structure est plus précisément décrite en référence à la figure 6. Le pinceau 19 comprend une touffe de poils 20 ayant sensiblement la forme d'un tronc de cône qui est solidarisé par sa petite base à l'extrémité inférieure d'un ~22833~
manchon 21 cylindrique de section circulaire. L'extrémité
libre de la touffe de poils 20, en forme de calotte sph~ri-que, présenté un diamètre maximum, en l'absence de contrainte, qui est supérieur au diamètre de l'extrémité
inférieure de plus petit diamètre de la cheminée 8. Une telle touffe de poils 20 est réalisée en engageant la partie d'extrémit~ supérieure d'un faisceau de poils ayant une forme cylindrique de section circulaire dans le manchon 21, au travers de son extrémité inférieure entourée d'un épaulement annulaire 22 radial et en saillie vers lest rieur. Puis on dispose cet ensemble à l'aplomb d'une cuvette ayant la forme en calotte sphérique que l'on souhaite donner l'extrémité libre de la touffe 20, et, à l'aide d'un poussoir que l'on introduit dans le manchon 21 par son extrémité supérieure, on repousse les poils contre le fond de la cuvette. Enfin, après avoir retiré le poussoir, on introduit de la colle dans le manchon 21, par l'extrémité
supérieure de ce dernier, et, après séchage, on obtient l'ensemble de la touffe de poils 20 et du manchon 21 représenté sur la figure 6. Le manchon 21 présente quatre nervures 23 longitudinales régulièrement réparties sur sa surface latérale extérieure, et qui ne s'étendent pas jusqu'à
l'extrémité supérieure de ce manchon 21, afin que cette extrémité supérieure soit une partie tubulaire lisse 24.
Le pinceau comprend également une virole 25 présent tant un alésage central 26 débouchant à l'extrémité inné-fleure de la virole et de diamètre supérieur au di~mètreducercle circonscrit au nervures 73,(~ germent supérieur au moire de épaulement a deg~sersurcedernier)tandis qu'uncontre-alésage 27, débouchant a l'extrémité supérieure de viral, et coaxial à l'alésage26, délimite avec ce dernier un épaule-ment radial interne 28 dans la virole 25. De plus, le diamè-ire du contre-alésage 27 assure un serrage calibré sur les nervures 23 lorsque la virole 25 est déplacée sur ces dernier-nos, et est inférieur au diamètre de l'épaulement 22.
~228331 1 ode la sorte, la virole 25 peut être montée coulissante avec un frottement calibré sur le manchon 21 ,..........
et déplacée en direction de la touffe de poils 20 jusqu'a ce que l'épaulement radial interne 28 de la virole 25 vienne en butée contre l'épaulement radial externe 22 de lettre mité inférieure du manchon 21. Dans cette position, il est clair que, comme représenté sur la figure 4, la virole 25 assure un resserrement radial de la touffe de poils 20.
Autour de sa partie d'extrémité inférieure, la virole 25 présente un renflement périphérique convexe 29, en saillie vers l'extérieur, dont le diamètre diminue progressivement en direction de l'extrémité inférieure, 3 partir d'une section de diamètre maximum raccordée par une surface concave a la partie supérieure de la virole 25.
Le pinceau 19 comprend enfin une douille tubulaire 30, de section circulaire, ouverte à son extrémité inné-fleure et fermée à son extrémité supérieure en forme de dôme arrondi. Le diamètre interne de la douille 30 est loger-riment supérieur au diamètre externe de l'extrémité lisse 24 du manchon 21, tandis que le diamètre externe de la douille 30 est voisin du diamètre externe de la partie sué-fleure de la virole 25. L'extrémité 24 du manchon 21 peut ainsi cire engagée et collée dans la douille 30 de sorte que les extrémités supérieures des nervures 23 soient voix sites de l'extrémité inférieure de la douille 30, après avoir fait glisser la virole 25 sur le manchon 21 en posé-lion de resserrement radial de la touffe de poils 20, c'est-à-dire jusqu'à ce que l'épaulement 28 soit en butée contre l'épaulement 22. Comme la hauteur de la virole 25 est légèrement inférieure à la hauteur du manchon 21, la virole est ainsi montée mobile sur ce manchon 21 entre deux positions dont l'une, déjà présentée ci-dessus, est une position de resserrement radial de la touffe de poils 20, et l'autre, dans laquelle la virole 25 est en butée par son extrémité supérieure contre l'extrémité inférieure de 833~L
la douille 30 et dans laquelle l'épaulement 22 reste engagé
dans l'alésage 26, est une position dans laquelle la virole 25 n'exerce pratiquement aucune contrainte sur la touffe de poils 20 et permet à celle-ci de prendre une forme évasée.
Le serrage calibré avec lequel la virole 25 est montée sur le manchon 21, par coopération du contre-alésage 27 avec les nervures 23, permet de maintenir la virole 25 dans chacune de ses deux positions dans lesquelles l'utilisatrice peut amener la virole, dont la manoeuvre est facilitée grâce 10 au renflement convexe 29. Comme le corps 3 et le fond 4, le manchon 21, la virole 25 et la douille 30 du pinceau peuvent être réalisés en matière plastique moulée.
Le couvercle 2 représenté sur les figures 1,2,4 et 5, est bombé et présente une base font la section connes-lys pond à celle de la partie en saillie 6, que cette base vient entourer lorsque le couvercle 2 est fixé sur la boite, par encliquetage élastique dans les deux encoches 7 de cette partie 6 de deux ergots 31 de forme complémentaire et en arc de cercle, en saillie l'un vers l'autre et chacun sur 20 la face interne de l'une des deux parties arrondies dextre mite 32 du couvercle 2, qui sont reliées l'une à l'autre par deux flancs 33 sensiblement plans et parallèles, et amincis par rapport aux autres parties du couvercle 2 manière à présenter c~c~m un il jeu avec la face en regard de y partie en su 25 lie 6, lorsque le couvercle 2 est élastiqucment embof béé sur cette partie 6. Le couvercle 2 est ri~idif pu- une nervure longitudinale centrale 3 4 que croisent à angle droit deux nervures transversales 35, et des clan-cures telles que 36 que présenter ces nervures délimitent deux calot-tes d'appui de fonte sensil~lPment complémentaire de celle de llextrémi~
30 supérieure arrondie de la douille du pinceau 19. Un tel couvercle
2 peut également treille réalisé en matière plastique moulée.
Lorsque le pinceau 19 est fixé dans cheminée 8, comme cela est représenté sur figée y le couvercle 2, lui-même fixé sur abolie est en pouilles, par l'une des carottes délimites par les échancrures 36 des 35 nerwres 34 es, sur l~extrémité supérieure de y douille 30 dont 16 ~L2~833~l l'extrémité inférieure est en butée contre l'extrémité super fleure de la virole 25. Cette dernière est coincée par son renflement 29 dans la cheminée 8, et l'extrémité libre de la touffe de poils 20, qui traverse l'extrémité inférieure, de plus petit diamètre, de la cheminée 8, vient sensiblement au contact du fond du compartiment 17.
Le remplissage de la boîte poudre de maquillage peut être effectué en usine, par le fabricant, et de préfet-fonce sous dépression, alors que le pinceau est en place, afin d'empêcher les fuites de poudre. La poudre est intro-dite par le trou de remplissage délimité par le brossage 14 dans le fond 4, et ce trou est ensuite bouché au moyen de l'opercule 15. La boîte est destinée à être commercial lésée en association avec le pinceau applicateur 19. La poudre de maquillage est initialement contenue dans le compartiment de réservé 16. Lorsque l'on retourne la boîte, une faible quantité de poudre passe du compartiment. de réserve 16 dans le compartiment de prélèvement 17 et vient s'accumuler sur le fond de ce compartiment. L'utilisatrice a la possibilité d'effectuer plusieurs prélèvements d'une dose de poudre à l'aide du pinceau là avant de retourner la boîte pour obtenir un nouveau transfert d'une faible quantité de poudre du compartiment de réserve 16 vers le compartiment de prélèvement 17. A l'intérieur de la cheminée conique 8, l'extrémité de la touffe de poils 20 subit une réduction de son diamètre initial, de sorte que le prélève-ment de la poudre se fait uniquement au centre de son extrémité, ce qui présente l'avantage d'éviter le prélève-ment d'une trop grande quantité de poudre par le pinceau.
Lorsque le pinceau est extrait de la cheminée 8, comme le diamètre de cette dernière croît progressivement en direct lion de l'extérieur de la boîte, la touffe de poils 20 peut reprendre progressivement son diamètre initial ce qui évite toute détente brusque des poils et empêche de faire voler la poudre de maquillage prélevée.
12~8331 A partir de la position représentée sur la figure 2, dans laquelle le pinceau 19 est fixé dans la boîte, lorsque l'utilisatrice souhaite extraire le pinceau, elle pince le couvercle 2, en exerçant une compression des deux flancs amincis 33 du couvercle 2 l'un vers l'autre, ce qui provoque un léger déplacement des ergots 31 qui s'écartent l'un de l'autre et se libèrent donc dans une certaine mesure des encoches 7. Ceci permet de diminuer les efforts à
exercer sur le couvercle 2 afin de le désolidariser de la boîte. Puis l'utilisatrice ci lrextrémité supérieure arrondie de la douille 30 du pinceau 19, qui est en saillie au-dessus de l'ouverture d'entrée à l'extremité supérieure de la cheminée 8, et par traction sur la douille 30 retire le pinceau 19 de la boîte. Le serrage de la virole 25 sur les nervures 23 du manchon 21 est calibré de sorte que la force de frottement entre la virole 25 et les nervures 23 est supérieure à la force de frottement entre le renflement 29 de la virole 25 et la paroi de la cheminée 8. La virole 25 conserve donc la position qu'elle occupe sur la figure 2 lors du retrait du pinceau 19 hors de la boîte, et lut lisatrice peut directement utiliser le pinceau pour se pou-durer. Lorsqu'elle souhaite réintroduire le pinceau 19 dans la boîte, l'utilisatrice déplace la virole 25 dans la posé-lion de resserrement radial de la touffe de poils 20, comme représenté sur la figure 4, puis introduit le pinceau 19 dans la cheminée 8 jusqu'a ce que le renflement 29 de la virole 25 vienne au contact de la paroi de la cheminée 8.
Puis l'utilisatrice dispose le couvercle 2 sur l'extrémité
arrondie de la douille 30 et pousse ensuite le couvercle 2 en direction de la boîte, afin d'encliqueter plastiquement les ergots 31 dans les encoches 7. Ce faisant, l'une des calottes d'appui délimitées par les nervures 34 et 35 exerce sur la douille 30 une force d'appui verticale, dirigée de haut en bas, qui entraîne le coulisse ment du manchon 21 à l'intérieur de la virole 25 coincée dans la cheminée 8, jusqu'a ce que le pinceau 19 reprenne la position repéré-sentie sur la figure 2, dans laquelle la touffe de poils 20, vient par son extrémité libre, sensiblement au contact du fond du compartiment de prélèvement 17~
L'ensemble constitué par le pinceau là et la boite est ainsi prêt pour un nouveau prélèvement.
Il est bien entendu que le mode de réalisation ci-dessus décrit n'est aucunement limitatif et pourra donner lieu à toutes modifications désirables sans sortir pour cela du cadre de la présente invention.
Lorsque le pinceau 19 est fixé dans cheminée 8, comme cela est représenté sur figée y le couvercle 2, lui-même fixé sur abolie est en pouilles, par l'une des carottes délimites par les échancrures 36 des 35 nerwres 34 es, sur l~extrémité supérieure de y douille 30 dont 16 ~L2~833~l l'extrémité inférieure est en butée contre l'extrémité super fleure de la virole 25. Cette dernière est coincée par son renflement 29 dans la cheminée 8, et l'extrémité libre de la touffe de poils 20, qui traverse l'extrémité inférieure, de plus petit diamètre, de la cheminée 8, vient sensiblement au contact du fond du compartiment 17.
Le remplissage de la boîte poudre de maquillage peut être effectué en usine, par le fabricant, et de préfet-fonce sous dépression, alors que le pinceau est en place, afin d'empêcher les fuites de poudre. La poudre est intro-dite par le trou de remplissage délimité par le brossage 14 dans le fond 4, et ce trou est ensuite bouché au moyen de l'opercule 15. La boîte est destinée à être commercial lésée en association avec le pinceau applicateur 19. La poudre de maquillage est initialement contenue dans le compartiment de réservé 16. Lorsque l'on retourne la boîte, une faible quantité de poudre passe du compartiment. de réserve 16 dans le compartiment de prélèvement 17 et vient s'accumuler sur le fond de ce compartiment. L'utilisatrice a la possibilité d'effectuer plusieurs prélèvements d'une dose de poudre à l'aide du pinceau là avant de retourner la boîte pour obtenir un nouveau transfert d'une faible quantité de poudre du compartiment de réserve 16 vers le compartiment de prélèvement 17. A l'intérieur de la cheminée conique 8, l'extrémité de la touffe de poils 20 subit une réduction de son diamètre initial, de sorte que le prélève-ment de la poudre se fait uniquement au centre de son extrémité, ce qui présente l'avantage d'éviter le prélève-ment d'une trop grande quantité de poudre par le pinceau.
Lorsque le pinceau est extrait de la cheminée 8, comme le diamètre de cette dernière croît progressivement en direct lion de l'extérieur de la boîte, la touffe de poils 20 peut reprendre progressivement son diamètre initial ce qui évite toute détente brusque des poils et empêche de faire voler la poudre de maquillage prélevée.
12~8331 A partir de la position représentée sur la figure 2, dans laquelle le pinceau 19 est fixé dans la boîte, lorsque l'utilisatrice souhaite extraire le pinceau, elle pince le couvercle 2, en exerçant une compression des deux flancs amincis 33 du couvercle 2 l'un vers l'autre, ce qui provoque un léger déplacement des ergots 31 qui s'écartent l'un de l'autre et se libèrent donc dans une certaine mesure des encoches 7. Ceci permet de diminuer les efforts à
exercer sur le couvercle 2 afin de le désolidariser de la boîte. Puis l'utilisatrice ci lrextrémité supérieure arrondie de la douille 30 du pinceau 19, qui est en saillie au-dessus de l'ouverture d'entrée à l'extremité supérieure de la cheminée 8, et par traction sur la douille 30 retire le pinceau 19 de la boîte. Le serrage de la virole 25 sur les nervures 23 du manchon 21 est calibré de sorte que la force de frottement entre la virole 25 et les nervures 23 est supérieure à la force de frottement entre le renflement 29 de la virole 25 et la paroi de la cheminée 8. La virole 25 conserve donc la position qu'elle occupe sur la figure 2 lors du retrait du pinceau 19 hors de la boîte, et lut lisatrice peut directement utiliser le pinceau pour se pou-durer. Lorsqu'elle souhaite réintroduire le pinceau 19 dans la boîte, l'utilisatrice déplace la virole 25 dans la posé-lion de resserrement radial de la touffe de poils 20, comme représenté sur la figure 4, puis introduit le pinceau 19 dans la cheminée 8 jusqu'a ce que le renflement 29 de la virole 25 vienne au contact de la paroi de la cheminée 8.
Puis l'utilisatrice dispose le couvercle 2 sur l'extrémité
arrondie de la douille 30 et pousse ensuite le couvercle 2 en direction de la boîte, afin d'encliqueter plastiquement les ergots 31 dans les encoches 7. Ce faisant, l'une des calottes d'appui délimitées par les nervures 34 et 35 exerce sur la douille 30 une force d'appui verticale, dirigée de haut en bas, qui entraîne le coulisse ment du manchon 21 à l'intérieur de la virole 25 coincée dans la cheminée 8, jusqu'a ce que le pinceau 19 reprenne la position repéré-sentie sur la figure 2, dans laquelle la touffe de poils 20, vient par son extrémité libre, sensiblement au contact du fond du compartiment de prélèvement 17~
L'ensemble constitué par le pinceau là et la boite est ainsi prêt pour un nouveau prélèvement.
Il est bien entendu que le mode de réalisation ci-dessus décrit n'est aucunement limitatif et pourra donner lieu à toutes modifications désirables sans sortir pour cela du cadre de la présente invention.
Claims (26)
1. Boîte à poudre de maquillage, qui est destinée à contenir de la poudre à l'état sensiblement fluide et à
l'intérieur de laquelle se trouve un compartiment de prélè-vement d'une dose de poudre, ledit compartiment étant pourvu d'une cheminée intérieure, dont la section transversale dé-croit progressivement en direction du fond dudit comparti-ment et dont l'extrémité de plus petite section transversale est légèrement écartée dudit fond, ladite boîte comprenant également un pinceau applicateur de poudre qui comporte une touffe de poils ayant, en l'absence de toute contrainte, sensiblement la forme d'un tronc de cône solidarisé par son extrémité de plus petite section transversale à une extré-mité d'un manche, ledit pinceau étant destiné à être fixé
de manière amovible dans la cheminée, de sorte que, d'une part, lorsqu'ils est reçu dans la cheminée, l'extrémité
libre de la touffe de poils, dont la section maximum en l'absence de toute contraite est supérieure à celle de l'extrémité de plus petite section de la cheminée, est sen-siblement au contact du fond du compartiment de prélèvement et que, d'autre part, l'extrémité du manche qui est opposée à la touffe de poils dépasse de l'extrémité de plus grande section de la cheminée, caractérisée par le fait que le pin-ceau comporte une virole, montée autour d'une partie de man-che gui est adjacente à la touffe de poils, et mobile entre une première position, dans laquelle la virole n'exerce sensiblement aucune contrainte sur la touffe de poils, et une seconde position, dans laquelle la virole provoque un resserrement transversal de la touffe de poils.
l'intérieur de laquelle se trouve un compartiment de prélè-vement d'une dose de poudre, ledit compartiment étant pourvu d'une cheminée intérieure, dont la section transversale dé-croit progressivement en direction du fond dudit comparti-ment et dont l'extrémité de plus petite section transversale est légèrement écartée dudit fond, ladite boîte comprenant également un pinceau applicateur de poudre qui comporte une touffe de poils ayant, en l'absence de toute contrainte, sensiblement la forme d'un tronc de cône solidarisé par son extrémité de plus petite section transversale à une extré-mité d'un manche, ledit pinceau étant destiné à être fixé
de manière amovible dans la cheminée, de sorte que, d'une part, lorsqu'ils est reçu dans la cheminée, l'extrémité
libre de la touffe de poils, dont la section maximum en l'absence de toute contraite est supérieure à celle de l'extrémité de plus petite section de la cheminée, est sen-siblement au contact du fond du compartiment de prélèvement et que, d'autre part, l'extrémité du manche qui est opposée à la touffe de poils dépasse de l'extrémité de plus grande section de la cheminée, caractérisée par le fait que le pin-ceau comporte une virole, montée autour d'une partie de man-che gui est adjacente à la touffe de poils, et mobile entre une première position, dans laquelle la virole n'exerce sensiblement aucune contrainte sur la touffe de poils, et une seconde position, dans laquelle la virole provoque un resserrement transversal de la touffe de poils.
2. Boîte à poudre selon la revendication 1, caractérisée par le fait que la virole du pinceau coulisse le long de la partie de manche adjacente à la touffe de poils, entre les deux positions définies chacune par la coopération d'au moins une butée que présente la virole avec au moins une butée que présente le manche.
3. Boîte à poudre selon la revendication 2, carac-térisée par le fait que la virole du pinceau est montée avec un serrage calibré contre au moins un organe en saillie sur la surface externe de la partie du manche sur laquelle la virole est mobile.
4. Boîte à poudre selon la revendication 3, ca-ractérisée par le fait que l'extrémité de la touffe de poils par laquelle cette dernière est solidaire du manche, est engagée et retenue à l'intérieur d'un manchon cylindrique qui est lui-même engagé et retenu par son extrémité qui n'est pas traversée par la touffe de poils à l'intérieur d'une extrémité d'une douille tubulaire, la virole coulissant autour du manchon et présentant, en saillie vers l'inté-rieur, un épaulement formant butée qui coopère avec un épau-lement formant butée et en saillie vers l'extérieur sur l'extrémité du manchon traversée par la touffe de poils, lorsque la virole occupe la seconde position, l'extrémité
de la virole tournée vers la douille constituant une autre butée qui coopère avec la butée que constitue l'extrémité
de la douille dans laquelle est engagée le manchon, lorsque la virole occupe la première position.
de la virole tournée vers la douille constituant une autre butée qui coopère avec la butée que constitue l'extrémité
de la douille dans laquelle est engagée le manchon, lorsque la virole occupe la première position.
5. Boîte à poudre selon la revendication 4, caractérisée par le fait que les organes en saillie, contre lesquels la virole est montée avec un serrage calibré, sont constitués par des nervures longitudinales réparties sur la surface latérale externe du manchon.
6, Boîte à poudre selon la revendication 5, caractérisée par le fait que, lorsque le pinceau est en place dans la cheminée, la touffe de poils, sur laquelle ne s'exerce aucune contrainte, étant en contact, par son extrémité libre, avec le fond du compartiment de prélève-ment, la virole occupe, dans ladite cheminée, une position limite dans le sens de sa pénétration dans ladite cheminée et constitue ainsi un organe de fixation amovible du pinceau dans la cheminée par coincement de ladite virole dans cette dernière.
7. Boîte à poudre selon la revendication 6, caractérisée par le fait que la virole constitue, dans la position limite précitée, un organe de bouchage de la che-minée.
8. Boîte à poudre selon la revendication 7, caractérisée par le fait que le serrage de la virole contre le ou les organe(s) en saillie est calibré pour que la force de frottement entre la virole et ledit ou lesdits organe(s) soit supérieure à la force de frottement entre la virole et la paroi interne de la cheminée dans la po-sition limite précitée de la virole.
9. Boîte à poudre selon la revendication 8, caractérisée par le fait que la virole présente, en saillie vers l'extérieur, un renflement périphérique, dont la par-tie située du côté de l'extrémité de la virole qui est tournée vers la touffe de poils est convexe et présente une section transversale qui décroît progressivement en direction de la touffe de poils, à partir d'une section maximale du renflement.
10. Boîte à poudre selon la revendication 9, caractérisée par le fait qu'elle comporte une cloison inté-rieure qui la divise en deux compartiments dont l'un est destiné à contenir une réserve de poudre, et dont l'autre constitue le compartiment de prélèvement d'une dose de poudre, les deux compartiments communiquant entre eux par un passage qui est ménagé entre un bord libre de la cloison, du côté opposé au fond de la boîte, et une paroi en regard de la boîte, et qui permet, par retournement de la boîte, le transfert d'une faible quantité de poudre du compartiment de la réserve au compartiment de prélèvement.
11. Boîte à poudre selon la revendication 10, comprenant également un couvercle qui se fixe de façon amovible sur la partie supérieure de la boîte, autour de l'extrémité de plus grande section de la cheminée, en re-couvrant l'extrémité libre du manche du pinceau qui est opposée à la touffe de poils, et en repoussant le pin-ceau vers l'intérieur de la cheminée, caractérisée par le fait que la face interne du couvercle comporte des organes de poussée du pinceau qui ont une forme complémentaire de l'extrémité libre du manche et sont en appui contre cette extrémité libre lorsque le couvercle est fixé sur la boîte, de façon à appuyer le manche contre la virole coincée dans la cheminée.
12. Boîte à poudre selon la revendication 11, caractérisée par le fait que les organes de poussée sont constitués par des nervures de raidissement du couvercle, qui sont croisées et présentent des échancrures complémen-taires de la forme de l'extrémité libre du manche.
13. Boîte à poudre selon la revendication 11 ou 12, dont le couvercle se fixe de façon amovible sur la boîte par emboîtement élastique autour d'une partie de la paroi supérieure de la boîte, et dans laquelle débouche la cheminée à l'aide d'au moins un ergot du couvercle qui s'encliquette élastiquement dans une encoche de ladite partie en saillie, caractérisée par le fait que ladite partie en saillie présente une section transversale sensiblement ovale, dont chacune des extrémités arrondies est munie d'une encoche sensiblement en arc de cercle, dans laquelle est destiné à s'encliqueter élastiquement l'un de deux ergots en arc de cercle, en saillie l'un vers l'autre sur la face interne de la base du couvercle qui entoure ladite partie en saillie.
14. Boîte à poudre selon la revendication 12, caractérisée par le fait que les ergots en arc de cercle sont portés par deux portions arrondies du couvercle, reliées l'une à l'autre par deux flancs sensiblement parallèles et au moins partiellement amincis, et présentant chacun un faible jeu avec la face en regard de la partie en saillie lorsque le couvercle est fixé sur la boîte, de telle sorte que la compression des deux flancs l'un vers l'autre dans leur zone amincie, facilite la sortie des ergots hors des encoches.
15. Boîte à poudre selon la revendication 1, caractérisée par le fait que la virole du pinceau est montée avec un serrage calibré contre au moins un organe en saillie sur la surface externe de la partie du manche sur laquelle la virole est mobile.
16. Boîte à poudre selon la revendication 1, caractérisée par le fait que l'extrémité de la touffe de poils par laquelle cette dernière est solidaire du manche, est engagée et retenue à l'intérieur d'un manchon cylin-drique qui est lui-même engagé et retenu par son extrémité
qui n'est pas traversée par la touffe de poils à l'inté-rieur d'une extrémité d'une douille tubulaire, la virole coulissant autour du manchon et présentant, en saillie vers l'intérieur, un épaulement formant butée qui coopère avec un épaulement formant butée et en saillie vers l'extérieur sur l'extrémité du manchon traversée par la touffe de poils, lorsque la virole occupe la seconde position, l'extré-mité de la virole tournée vers la douille constituant une autre butée qui coopère avec la butée que constitue l'extré-mité de la douille dans laquelle est engagée le manchon, lorsque la virole occupe la première position.
qui n'est pas traversée par la touffe de poils à l'inté-rieur d'une extrémité d'une douille tubulaire, la virole coulissant autour du manchon et présentant, en saillie vers l'intérieur, un épaulement formant butée qui coopère avec un épaulement formant butée et en saillie vers l'extérieur sur l'extrémité du manchon traversée par la touffe de poils, lorsque la virole occupe la seconde position, l'extré-mité de la virole tournée vers la douille constituant une autre butée qui coopère avec la butée que constitue l'extré-mité de la douille dans laquelle est engagée le manchon, lorsque la virole occupe la première position.
17. Boîte à poudre selon la revendication 15 ou 16, caractérisée par le fait que les organes en saillie, contre lesquels la virole est montée avec un serrage cali-bré, sont constitués par des nervures longitudinales ré-parties sur la surface latérale externe du manchon.
18. Boîte à poudre selon la revendication 1, caractérisée par le fait que, lorsque le pinceau est en place dans la cheminée, la touffe de poils, sur laquelle ne s'exerce aucune contrainte, étant en contact par son extré-mité libre, avec le fond du compartiment de prélèvement, la virole occupe, dans ladite cheminée, une position limite dans le sens de sa pénétration dans ladite cheminée et constitue ainsi un organe de fixation amovible du pinceau dans la cheminée par coincement de ladite virole dans cette dernière.
19. Boîte à poudre selon la revendication 18, caractérisée par le fait que la virole constitue, dans la position limite précitée, un organe de bouchage de la cheminée.
20. Boîte à poudre selon la revendication 19, caractérisée par le fait que la virole du pinceau est montée avec un serrage calibré contre au moins un organe en saillie sur la surface externe de la partie du manche sur laquelle la virole est mobile, le serrage de la virole contre le ou les organe(s) en saillie étant calibré pour que la force de frottement entre la virole et ledit ou lesdits organe(s) soit supérieure à la force de frottement entre la virole et la paroi interne de la cheminée dans la position limite précitée de la virole.
21. Boîte à poudre selon la revendication 1, caractérisée par le fait que la virole présente, en saillie vers l'extérieur, un renflement périphérique, dont la par-tie située du côté de l'extrémité de la virole qui est tour-née vers la touffe de poils est convexe et présente une section transversale qui décroît progressivement en direc-tion de la touffe de poils, à partir d'une section maximale du renflement.
22. Boîte à poudre selon la revendication 1, 20 ou 21, caractérisée par le fait qu'elle comporte une cloison intérieure qui la divise en deux compartiments dont l'un est destiné à contenir une réserve de poudre, et dont l'autre constitue le compartiment de prélèvement d'une dose de poudre, les deux compartiments communiquant entre eux par un pas-sage qui est ménagé entre un bord libre de la cloison, du côté opposé au fond de la boîte, et une paroi en regard de la boîte, et qui permet, par retournement de la boîte, le transfert d'une faible quantité de poudre du compartiment de la réserve au compartiment de prélèvement.
23. Boîte à poudre selon la revendication 1, comprenant également un couvercle qui se fixe de façon amovible sur la partie supérieure de la boîte, autour de l'extrémité de plus grande section de la cheminée, en re-couvrant l'extrémité libre du manche du pinceau qui est opposée à la touffe de poils, et en repoussant le pinceau vers l'intérieur de la chaminée, caractérisée par le fait que la face interne du couvercle comporte des organes de poussée du pinceau qui ont une forme complémentaire de l'extrémité libre du manche et sont en appui contre cette extrémité libre lorsque le couvercle est fixé sur la boîte, de façon à appuyer le manche contre la virole coincée dans la cheminée.
24. Boîte à poudre selon la revendication 23, caractérisée par le fait que les organes de poussée sont constitués par des nervures de raidissement du couvercle, qui sont croisées et présentent des échancrures complémen-taires de la forme de l'extrémité libre du manche.
25. Boîte à poudre selon la revendication 23 ou 24, dont le couvercle se fixe de façon amovible sur la boîte par emboîtement élastique autour d'une partie de la paroi supérieure de la boîte qui est en saillie sur le dessus de la boîte, et dans laquelle débouche la cheminée, à l'aide d'au moins un ergot du couvercle qui s'encliquette élastiquement dans une encoche de ladite partie en saillie, caractérisée par le fait que ladite partie en saillie pré-sente une section transversale sensiblement ovale, dont cha-cune des extrémités arrondies est munie d'une encoche sen-siblement en arc de cercle, dans laquelle est destiné à
s'encliqueter élastiquement l'un de deux ergots en arc de cercle, en saillie l'un vers l'autre sur la face interne de la base du couvercle qui entoure ladite partie en saillie.
s'encliqueter élastiquement l'un de deux ergots en arc de cercle, en saillie l'un vers l'autre sur la face interne de la base du couvercle qui entoure ladite partie en saillie.
26. Boîte à poudre selon la revendication 24, caractérisée par le fait que les ergots en arc de cercle sont portés par deux portions arrondies du couvercle, re-liées l'une à l'autre par deux flancs sensiblement paral-lèles et au moins partiellement amincis, et présentant chacun un faible jeu avec la face en regard de la partie en saillie lorsque le couvercle est fixé sur la boîte, de telle sorte que la compression des deux flancs l'un vers l'autre dans leur zone amincie, facilite la sortie des ergots hors des encoches.
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