BE825396A - Mecanisme recursif dans une unite de traitement numerique de donnees - Google Patents

Mecanisme recursif dans une unite de traitement numerique de donnees

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BE825396A
BE825396A BE153241A BE153241A BE825396A BE 825396 A BE825396 A BE 825396A BE 153241 A BE153241 A BE 153241A BE 153241 A BE153241 A BE 153241A BE 825396 A BE825396 A BE 825396A
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Description


  Mécanisme récursif dans une unité de traitement numérique de données, actionnée par des données.

  
CONVENTION INTERNATIONALE: demandes de brevets déposées aux

  
Etats Unis d'Amérique : 

  
 <EMI ID=1.1> 

  
Alan Lynn DAVIS, Erwin Arthur HAUCK, Don Martin LYLE et Lloyd Drayton TURNER ; 

  
 <EMI ID=2.1> 

  
du 13.9.74 aux noms de MM.Robert Stanley BARTON et Alan Lynn DAVIS.

  
 <EMI ID=3.1> 

  
du 13.9.74 aux noms de MM.Robert Stanley BARTON, Erwin Arthur HAUCK et Don Martin LYLE 

  
 <EMI ID=4.1> 

  
 <EMI ID=5.1> 

  
 <EMI ID=6.1> 

  
 <EMI ID=7.1> 

  
du 13.9.74 aux noms de MM.Robert Stanley BARTON, Alan Lynn DAVIS, <EMI ID=8.1> 

  
du 13.9.74 aux noms de MM. Michael H. MISSIOS et John R. WERNER. 

  
 <EMI ID=9.1> 

  
des perfectionnements apportés aux unités de traitement de 

  
données numériques, et elle concerne plus particulièrement; des  systèmes nouveaux et perfectionnés d'unités de traitement de

  
données numériques où l'unité de traitement de données est un

  
 <EMI ID=10.1> 

  
Dans la zone d'unités de traitement de données numériques la pratique existe actuellement d'employer des architectures de système qui ont été créées sous l'influence des frais élevés de hardware. Cette contrainte a pour résultat la centralisation du contrôle du système en dispositifs mentionnés comme étant les unités centrales de traitement et les mités principales de
-mémoire, A cause de ce hardware centralisé massif et coûteux qui devait être contrôlé, des systèmes opératoires (programmes pilote de contrôle), ont été créés pour généraliser son utilisation, en temps partagé sur un certain nombre de programmes ou tâches. Les architectures de système qui ont ^résulté de ces influences sont fortement généralisées et cela a pour résultat qu'elles sont

  
 <EMI ID=11.1> 

  
nombre de situations particulières. Ce type d'architecture est subdivisé d'une manière irrégulière et est mis en oeuvre principalement par une logique séquentielle câblée. Lorsque des techniques microprogrammées sont utilisées, l'architecture fonctionnelle de base du système n'est pas changée par cela que les unités de

  
 <EMI ID=12.1> 

  
 <EMI ID=13.1> 

  
La technologie nouvelle des circuits intégrés , telle que

  
 <EMI ID=14.1> 

  
unité de  <EMI ID=15.1> 

  
ment seulement si une nouvelle série de contraintes de structures est suivie. Par exemple, la technologie ISI exige une régularité de hardware et une non-dédication d'algorithmes spécialisés ou complexes à des confettis de circuit. Additionnelle ment, puisque les mémoires de circuits intégrés sont compatibles en interface avec une logique de circuit intégré, le schéma de l'architecture de l'unité de traitement orientée vers le registre pourra être éliminé en distribuant la mémoire du circuit du système à

  
travers le système. Cela évidemment supprime la nécessité d'un sous-système centralisé de mémoire principale. Maintenant qu'il est faisable de distribuer la mémoire du système dans l'entièreté d'un système, il est désirable d'éliminer les systèmes opératoires de contrôle central qui étaient requis auparavant.

  
 <EMI ID=16.1> 

  
une architecture de système qui a pour résultat un système bien formé et régulier, pouvant être subdivisé, est requise. Même si

  
 <EMI ID=17.1> 

  
 <EMI ID=18.1> 

  
rieures de programmation n'ont pas réussi à produire un système dont la programmation soit efficiente et qui soit efficient pour l'exécution de ses algorithmes. En d'autres mots, ces systèmes antérieures de microprogrammation présentent une absence totale de continuité entre ce qui constitue le langage de machine et ce qui est requis pour les besoins de la programmation de l'utilisateur et par les demandes de langage. Cela est vrai parce que les langages de miorocode de la machine de la technique connue

  
sont en série et sont de nature à produire une liaison, ce qui est en opposition directe avec les demandes de la technologie

  
LSI pour la régularité, et ne sont pas liants des fonctions complexes.

  
L'un des objets de la présente invention est de prévoir une unité centrale de traitement numérique qui pourra être utilisée comme bloc fonctionnel de base dans un ordinateur, tel qu'un ordinateur à multitraitements qui n'a pas besoin d'utiliser un programme pilote de contrôle ou qui demande un système extensif d'interruptions et qui possède de capacités d'émulation améliorées.

  
Les problèmes inhérents aux systèmes centraux, et autres choses mentionnées ci-dessus, réalisant ensemble lea objeots mentionnés ci-dessus sont réalisés dans le cas présent par un système binaire de données dans lequel la mémorisation contient des fichier de données composés de zones de données et de caractères de données et le oirouitage du système possède un circuit pour les recevotr. Une zone de données contient l'adresse du fichier de données en

  
 <EMI ID=19.1> 

  
et il sera dénommé système actionné par des données.

  
Le but général de la présente invention est réalisé plus

  
 <EMI ID=20.1> 

  
une unité de traitement de données en séries à caractères, dans lequel deux des caractères sont utilisés pour définir le commencement et la fin d'une zone particulière de données. Chaque caractère est représenté par une pluralité de bits binaires. Les structures de données sont organisées en zones contenant des fichiers de données d'une manière permettant l'extension et la contraction

  
de ces zones. Chaque zone de données se termine de préférence

  
par une extrémité de code de zone qui déclenche une comparaison entre le comptage des caractères de la zone de départ et des caractères de la fin dans une structure de données et un

  
comptage de référence. La structure et l'organisation d'un

  
fichier sont décrites par le contenu de la prémière zone

  
dans ce fichier. Un programme ou procédé est exécuté en

  
réponse à la réunion ensemble de paires de fichiers de données, chaque paire ayant un fichier de données contenant une partie

  
du programme, et l'autre fichier de données contenant les opérandes pour cette partie du programme. Chaque type de fichier de données pourra être résident dans la région de mémorisation

  
de l'unité de traitement de données (statique), tandis que l'autre est alimenté à l'unité de traitement depuis la région externe
(dynamique). L'arrivée des fichiers de données dynamiques provoque l'accouplement de fichiers de données dans la mémoire qui doit être adressée. Tour à tour, le fichier de vecteurs pourra produire l'exécution de l'opération dictée par son contenu utilisant les opérandes alimentés par les fichiers d'opérandes qui arrivent. Si tous les opérandes pour la structure de données adressées sont présents ou sont arrivés, 3'opération désignée par la structure

  
de données du programme est exécutée, le résultat étant transmis

  
à une destination indiquée par la structure de données de programmes. Les deux fichiers de données accouplés peuvent être utilisés en combinaison, pour produire la résultante dictée par la zone

  
de données du programme.

  
Une courte description des dessins sera maintenant donnée:
On se rendra facilement compte d'autres objets et de plusieurs des avantages résultant de la présente invention à mesure que l'invention est mieux comprise en se reportant à la description détaillée qui suit, laquelle est prise en conjonction avec les dessins ci-joints dans lesquels les mêmes chiffres de référence désignent les mêmes parties ou des parties analogues dans toutes les figures.

  
Dans ces dessins :
la figure 1 est un schéma de bloc fonctionnel d'un seul système de traitement de données d'une unité de traitement selon l'invention. La figure 2 est un schéma logique de la file d'attente d'entrée dans l'unité de traitement de la figure 1. La figure 3 est un schéma logique de l'unité logique de vecteurs dans l'unité de traitement selon la figure 1. La figure 4 est un schéma logique de l'unité de contrôle de l'unité de traitement selon la figure 1. La figure 5 est un schéma logique de la file d'attente de sortie de l'unité de traitement selon la figure 1. La figure 6 est un circuit logique d'un circuit de reconnaissance de signal utilisé dans la file d'attente d'entrée de la figure 2. La figure 7 est une illustration en résumé d'un vocabulaire à quatre caractères utilisé par l'unité de traitement de la figure 1.

   La figure 8 est une illustration en résumé de la structure générale d'un fichier de données utilisé par l'unité de traitement de la figure 1. La figure 9 est une illustration en résumé d'un fichier général de structure de données qui possède à son intérieur des sous-fichiers. <EMI ID=21.1>  sous forme arborescente un exemple particulier d'un programme

  
 <EMI ID=22.1>  

  
La figure 11 est une illustration en résumé d'un simple algorithme représenté sous forme arborescente et la structure de données ou fichier représentant l'algorithme qui est utilisé par l'unité de traitement de la figure 1 pour réaliser les opérations spécifiées. La figure 12 est une illustration en résumé d'un exemple spécifique de l'interaction de structures de programme et de données d'opérande endéans les diverses parties majeures de l'unité de traitement de la figure 1 pour arriver à un résultat désiré;

  
Une description sera maintenant donnée des modes préférentiels de réalisation de l'invention.

  
La figure 1 montre un système d'unité de traitement actionné par des, données communiquant avec une pluralité d'unités périphériques 15, 17, 19 par l'intermédiaire d'une centrale entrée/ sortie 13, La centrale entrée/sortie 13 pourra être un type standard de circuit de communication tel que celui utilisé dans les centrales téléphoniques, dans lequel n'importe laquelle des unités périphériques pourra être connectée avec l'unité de trai- <EMI ID=23.1> 

  
 <EMI ID=24.1> 

  
parallèles ou bien des unités de format en série. Pour adapter

  
à la nature de série à caractères de l'unité de traitement 11, lorsqu'on utilise des unités de format parallèle, la centrale entrée/sortie 13 pourra comprendre un multiplexeur pour convertir la pluralité de trajets parallèles de signaux venant des unités périphériques 15, 17, 19 vers l'entrée du trajet du signal relativement en série vers l'unité de traitement 11. Pour adapter la transmission du signal en série à caractères depuis l'unité de traitement 11 vers les unités périphériques de format parallèle 15 à 19, la centrale entrée/sortie 13 comprendra des multiplexeurs.

   Des unités périphériques 15, 17, 19 peuvent être constituées par n'importe lequel des dispositifs bien connus, tels que des aotionnements de rubans magnétiques, des lecteurs de cartes, des unités de cartes perforées, des unités de claviers des dispositifs d'impression, ou des dispositifs de mémorisation à tambour ou à disque.

  
L'ordinateur numérique actionné par des données ou l'un té centrale de traitement de données 11 reçoit des structures

  
de données des unités périphériques à sa file d'attente d'entrée

  
21. Ces structures de données, ainsi qu'il sera expliqué ci-après possèdent une organisation spécialisée et doivent suivre certaine règles de syntaxe. La file d'attente d'entrée 21 est fondamenta-

  
 <EMI ID=25.1> 

  
qui relise la fonction additionnelle de synchronisation des structures de données asynchrones reçues sur le câble d'entrée
31 vers l'horloge de système de l'ordinateur 11. Les structures de données reçues par la file d'attente d'entrée 21 sont reçues en série à caractères.

  
 <EMI ID=26.1> 

  
étant communiquées aux autres éléments de l'unité de traitement
11 d'une manière en série à caractères. Des structures de données dans la file d'attente d'entrée 21 sont transmises à la mémoire d'ordinateur 25, par exemple, d'une manière en série \ caractères par le câble 35, vers une unité de contrôle 23, et de l'unité de contrôle 23 par le câble 51 vers la mémoire d'ordinateur 25. 

  
La communication de contrôle entre la file d'attente d'entrée

  
 <EMI ID=27.1> 

  
tion de contrôle entre le contrôle 23 et la mémoire 25 par le câble 29, seront décrites ci-après.

  
En plus d'une transmission de structures de données de la file d'attente d'entrée 21 à la mémorisation 25, ces structures pourront être transmises à une unité logique de

  
 <EMI ID=28.1> 

  
D'une manière similaire, les structures de données de la mémorisation 25 pourront être communiquées à l'unité logique de

  
 <EMI ID=29.1> 

  
du câble 25. La communication de contrôle entre l'unité logique

  
de vecteurs 27 et l'unité de contrôle 23 par l'intermédiaire

  
du câble 45, sera expliquée ci-après.

  
L'unité logique de vecteurs 27 est fondamentalement une unité arithmétique en série qui exécute, par exemple, des fonction:
fondamentales telles que l'addition, la soustraction, la comparaison, et l'expédition aux structures de données de longueur de zone variable. L'unité logique de vecteurs pourra communiquer directement avec la mémorisation 25, par l'intermédiaire d'un câble de données 53 et avec une file d'attente de sortie 29 par l'intermédiaire d'un câble de données 59. La communication de contrôle entre l'unité logique de vecteurs 27 et la mémorisation
25 par l'intermédiaire du câble 55 et avec la file d'attente de sortie 29 par l'intermédiaire du câble de contrôle 57, sera expliquée ci-après.

  
La mémorisation d'ordinateur 25 de l'ordinateur 11 actionné par des données pourra être une mémoire à circuit intégré d'accès au hasard d'une grandeur préférentielle, formée

  
de confettis de mémoire d'accès au hasard tels que fabriqués par la "Signetics Corporation", par exemple. Dans leur catalogue  <EMI ID=30.1> 

  
 <EMI ID=31.1> 

  
32 x 2 qui pourra être utilisé pour construire la mémoire 25.

  
La construction d'une mémoire de dimensions plus grandes avec

  
un tel confetti de mémoire est considérée comme étant endéans les possibilités d'une personne de capacité ordinaire dans cette technique. Un autre exemple d'un confetti de mémoire pouvant être

  
 <EMI ID=32.1> 

  
 <EMI ID=33.1> 

  
qui illustrent un confetti de mémoire adressable à haute vitesse.

  
La file d'attente de sortie 29 qui peut recevoir des structures de données de l'unité logique de vecteurs 27, de la mémoire 25, ou de la file d'attente d'entrée 21 exécute la fonction de placer les structures de données qu'elle a reçues sous une forme pouvant être transmise aux unités périphériques
15-19 par 1* intermédiaire de la centrale entrée/sortie 13. La file d'attente de sortie, tout comme la file d'attente d'entrée,

  
 <EMI ID=34.1> 

  
de données d'une manière er série à caractères et transmettant ces caractères à la centrale entrée/sortie.

  
En se reportant maintenant à la figure 2, la file d'attente d'entrée 21 communique avec la centrale entrée/sortie par l'intermédiaire du câble 31. Ce câble 31 est formé de lignes 79, 81, 83 et 85 qui émanent de la logique d'interface
61 ou qui conduisent à cette logique d'interface 61 dans la file d'attente d'entrée 21. Les lignes 85 sont deux lignes de données parallèles qui reçoivent deux bits en parallèle de la centrale entrée/sortie (figure 1). Ces deux bits parallèles représentant un caractère. Les trois autres lignes 19, 81 et

  
83 sont des lignes de contrôle entre la file d'attente d'entrée et la centrale entrée/sortie. La ligne 79 transmet un niveau de signal binaire qui instruit la centrale entrée/sortie de retransmettre la structure de données chaque fois qu'une erreur

  
a été détectée dans la structure de données précédemment reçue. La ligne 81 porte un niveau de signal binaire qui valide ou invalide la centrale entrée/sortie en ce qui concerne la transmis-

  
 <EMI ID=35.1> 

  
signal généré par la centrale entrée/sortie qui indique une demande à envoyer des structures de données de l'une des unités périphériques ou file d'attente de sortie de l'unité de traitement de données 11. Ce serait en réponse à un tel niveau de signal de demande que le niveau de signal sur la ligne 81 validerait la centrale entrée/sortie, si la file d'attente d'entrée pouvait retenir des données additionnelles.

  
La structure de données de série à caractères reçue sur

  
 <EMI ID=36.1> 

  
en plus d'être soumise à la logique d'interface 61 est encore vérifiée quant aux erreurs par le cirouitage logique, dénommé par la facilité logique de reconnaissance "paren", et par un compteur

  
 <EMI ID=37.1> 

  
63. Le comptage du compteur 65 est transmis à la logique d'interface 61 par l'intermédiaire du câble 93. Il suffit de dire à présent que, si le comptage du compteur haut/bas 65 à la fin d'une structure de données particulières n'est pas égal à zéro, la logique d'interface 61 demande une retransmission sur la ligne 73 parce qu'une erreur s'est produite dans la structure

  
de données. La logique spécifique du circuit de reconnaissance "paren" 63 et son interaction avec le compteur haut/bas 65

  
et la logique d'interface 61 seront expliquées plus complètement ci-après.

  
Ainsi qu'il a été noté ci-dessus, la file d'attente d'entrée 21 fonctionne fondamentalement comme un tampon FIFO

  
et synchronise les caractères asynchrones des données qui arrivent

  
 <EMI ID=38.1> 

  
partie de la logique d'interface 61. La partie tampon de la file d'attente d'entrée est la mémoire de file d'attente d'entrée 67 qui peut être une mémoire d'accès au hasard formée de confettis de mémoire d'accès au hasard de circuit intégrés, fabriqués par

  
 <EMI ID=39.1> 

  
de parties de 1972 aux pages 4-20.

  
Les caractères de données reçus sur les lignes 85 des unités périphériques sont transmis à la mémoire de file d'attente d'entrée 67 sur les lignes 96 où elles sont mémorisées dans l'espace disponible de suite après, comme indiqué par le circuit

  
 <EMI ID=40.1> 

  
de données dans la mémoire de file d'attente d'entrée, les caractères de données sont lus de cette mémoire et sont transmis aux autres composants de l'unité de traitement 11 (figure 1) par

  
 <EMI ID=41.1> 

  
 <EMI ID=42.1> 

  
instant dans le temps, est décerminé par le circuit d'indicateur de lecture 71. Le caractère de données qui est lu de la -notoire de file d'attente d'entrée est transmis depuis la mémoire de file d'attente d'entrée sur des lignes 98 à la logique d'interface 61 et ensuite à l'unité de contrôle 23 (figure 1) sur les

  
 <EMI ID=43.1> 

  
câble de contrôle 37 transmettent des signaux de demandes de validation de lecture et des demandes de lecture depuis l'unité

  
 <EMI ID=44.1> 

  
validation de lecture. La ligne 121 transmet un signal de demande de lecture. Ainsi, d'une manière générale, l'information est mémorisée dans la mémoire de file d'attente d'entrée 67 aussi rapidement qu'elle est reçue, et qu'elle est lue de la mémoire de file d'attente d'entrée 67 dans un ordre FIFO aussi rapidement que l'unité de contrôle 23 (figure 1) le demande. Lorsque la logique d'interface 51 reçoit les caractères de données, par les lignes 85, elle génère un signal sur la ligne vers une unité de contrôle de cycle de mémoire 69 indiquant qu'une fonction d'écriture est requise. Le contrôle du cycle

  
de mémoire, en réponse à cette demande d'écriture génère un

  
 <EMI ID=45.1> 

  
mémoire de file d'attente d'entrée 67, un signal de sélectionne.ment d'écriture sur la ligne 105, vers un sélecteur 75 et un signal d'accroissement, sur la ligne 99, vers un indicateur d'écriture 73.

  
Le sélecteur 75 pourra être du type fabriqué par la Signetics Corporation et décrit dans leur catalogue de parties de 1972 aux pages 2-136. Fondamentalement, le sélecteur, en réponse à un signal sélectionné d'écriture ou de lecture sur

  
 <EMI ID=46.1> 

  
 <EMI ID=47.1>  respectivement, pour transmettre sur le câble 107 au registre d'adresse de la mémoire de file d'attente d'entrée 67.

  
L'indicateur d'écriture 73 et l'indicateur de lecture
71 pourront être un compteur binaire fabriqué par la Signetics Corporation et inscrit dans leur catalogue de parties de 1972 aux pages 2-100. Les entrées d'accroissement 99 et 101 vers l'indicateur d'écriture et vers l'indicateur de lecture respectivement, depuis le contrôla du cycle de mémoire 69 seraient connectées avec l'entrée A (non illustrée) de ceq compteurs de la Signetics Corporation. La canalisation 100 de la logique d'in-

  
 <EMI ID=48.1> 

  
l'indicateur d'écriture 73 serait connectée avec les entrées de remise à zéro (non illustrées) de ces compteurs.

  
Les sorties des deux indicateurs d'écriture et de lecture non seulement passent à travers le sélecteur pour adresser la mémoire de file d'attente d'entrée 67, mais sont échantillonnées par un comparateur 67. Ce comparateur peut présenter la forme d'un circuit de comparateur fabriqué par la Signetics Corporation

  
 <EMI ID=49.1> 

  
la page 101. Ce comparateur possède deux conducteurs de sortie qui indiquent laquelle des deux entrées est la plus grande et indiquent aussi lorsqu'elles sont égales. Parce que la file d'attente d'entrée 67 fonctionne comme un FIFO, c'est-à-dire un tampon "premier entré-premier sorti", le comptage d'indicateur d'écriture sera toujours plus grand que le comptage d'indicateur

  
 <EMI ID=50.1> 

  
67 y possède des données, mais n'est pas rempli. Par conséquent, un signal sur la canalisation 119 du comparateur 77 indiquera

  
à la logique interface 61 que le comptage de l'indicateur d'écriture est plus grand que le comptage de l'indicateur de lecture. Cela indique à la logique d'interface que des données restent encore dans la mémoire de file d'attente d'entrée.

  
Chaque fois que le comptage de l'indicateur d'écriture est égal au comptage de l'indicateur de lecture, un signal est transmis du comparateur sur la ligne 117 vers la logique d'interface 61. Ce signal peut signifier que la mémoire de file d'attente d'entrée est ou bien complètement vide, ou bien complètement pleine, selon que la dernière demande de mémoire générée par la logique d'interface 61 était une demande de lecture ou une demande d'écriture. La logique d'interface 61 interprète le signal sur la ligne 117 comme signifiant que la mémoire de file d'attente d'entrée 67 est pleine si la dernière opération de mémoire était une opération d'écriture. Si la dernière opération de mémoire était une opération de lecture, un signal sur la ligne
117 est considéré comme une indication que la mémoire de file d'attente d'entrée est vide.

   La logique d'interface 61 sait si

  
la dernière opération de mémoire était une opération d'écriture ou une opération de lecture, puisqu'elle transmettait soit une demande d'écriture, soit une demande de lecture, sur les lignes
57-95, respectivement, vers le contrôle 69 du cycle de mémoire. Chaque fois que la logique d'interface 61 détermine que la mémoire de file d'attente d'entrée 67 est vide, elle génère un signal de remise à zéro sur la ligne 100, qui doit être fourni à tous les deux indicateurs, d'écriture et de lecture. 

  
 <EMI ID=51.1> 

  
 <EMI ID=52.1> 

  
 <EMI ID=53.1> 

  
logique de vecteurs en série 27 pouvant être utilisée dans

  
 <EMI ID=54.1> 

  
J 4. 

  
 <EMI ID=55.1> 

  
 <EMI ID=56.1> 

  
parties de 19^2 aux pages 4-1. Les registres d'adresses 124 et

  
 <EMI ID=57.1> 

  
sont des registres standard d'adresse d'entrée en parallèle et de sortie en parallèle. La seule différence de structure entre les deux mémoires de lecture seule réside dans le mi or oc ode qu'ils contiennent. La mémoire de lecture seule 125 contient

  
 <EMI ID=58.1> 

  
dyadiques telles qu'additions, soustractions ou comparaison, par

  
 <EMI ID=59.1> 

  
requis pour générer le résultat d'opérations monadiques telles que complément, suppression du premier bit, ou premier bit à zéro, par exemple.

  
Des structures de données venant en série à caractères de la mémorisation 25 de l'ordinateur 11 (figure 1) par la voie de l'unité de contrôle 23 par l'intermédiaire de lignes 45 vers l'unité logique de vecteurs 27 sont dirigées par le démultiplexeur

  
 <EMI ID=60.1>   <EMI ID=61.1> 

  
structure de donnée qui est adresse par la structure de

  
 <EMI ID=62.1> 

  
 <EMI ID=63.1> 

  
 <EMI ID=64.1> 

  
sera dirigée vers la aratoire 25 de l'ordinateur ou vers la file d'attente de sortie 29 de l'ordinateur (figure 1), selon l'adresse de destination contenue dans la structure de données de programme.

  
 <EMI ID=65.1> 

  
 <EMI ID=66.1> 

  
 <EMI ID=67.1> 

  
 <EMI ID=68.1> 

  
cette unité logique de vecteurs pourront être du type fabriqué

  
 <EMI ID=69.1> 

  
de parties de 1972 aux pages 2-132.

  
 <EMI ID=70.1> 

  
doit être exécutée , un opérande A étant additionné avec un

  
 <EMI ID=71.1> 

  
 <EMI ID=72.1> 

  
mémoire 25, soit depuis la file d'attente d'entrée 21 de l'ordinateur, pour des raisons qui seront rendues claires  <EMI ID=73.1> 

  
 <EMI ID=74.1> 

  
 <EMI ID=75.1> 

  
 <EMI ID=76.1> 

  
additionnas. 

  
 <EMI ID=77.1> 

  
 <EMI ID=78.1> 

  
 <EMI ID=79.1> 

  
qu'une sommation particulière de caractères a été achevée. Egalement, dans le cas d'une addition, des signaux de report sont propages de -retour 1 l'entrée de la mémoire de lecture seule

  
 <EMI ID=80.1> 

  
 <EMI ID=81.1> 

  
exécutées avec la mémoire de lecture seule 129, les lignes d'alimentation de retour 131 peuvent simplement être une entrée

  
 <EMI ID=82.1> 

  
d'adresses 128 du ROM monadique de telle sorte que l'emplacement de mémoire suivant soit adressé.

  
 <EMI ID=83.1> 

  
tures de données venant de la mémoire 25 et de la file d'attente d'entrée 21 à l'unité logique de vecteurs 27 qui répond à ces deux structures de données en générant un résultat ainsi que  <EMI ID=84.1> 

  
 <EMI ID=85.1> 

  
 <EMI ID=86.1> 

  
On se reportera maintenant à la figure 4 qui illustre

  
 <EMI ID=87.1> 

  
 <EMI ID=88.1> 

  
des structures de données de la file d'attente d'entrée, sur les

  
 <EMI ID=89.1> 

  
de données de la file d'attente d'entrée 21, (figure 1), soit

  
la structure de données de la mémoire 25 (figure 1) adresse l'analyseur de zone ROM 146 par le registre d'adresses 145 ce qui fait que l'analyseur de zone ROM 146 pépondra en envoyant des signaux de contrôle à l'un d'une pluralité de démultiplexeurs
148, 150 et 152.

  
Par exemple, si la structure de données arrivant sur la ligne 35 de la file d'attente d'entrée (figure 1) est par hasard un fichier operande, l'analyseur de zone instruirait le démultiplexeurs 148 de transmettre les zones opérandes sur l'une les

  
 <EMI ID=90.1> 

  
 <EMI ID=91.1> 

  
 <EMI ID=92.1> 

  
de zone répondrait dans ce cas à la zone de description dans le fichier opérande. De manière analogue, si une structure de données

  
 <EMI ID=93.1> 

  
 <EMI ID=94.1> 

  
 <EMI ID=95.1> 

  
 <EMI ID=96.1>  

  
conduisant à la file d'attente de sentie et la ligne 45 conduisant à l'unité logique de vecteurs.

  
Supposons maintenant qu'au lieu d'une structure de données opérandes reçue sur l'une quelconque des lignes 35

  
ou 51b, une structure de données de programme soit reçue.

  
Cette structure de données de programme adresserait l'analyseur de zone ROM 146 en lui faisant transmettre une adresse à l'un des

  
 <EMI ID=97.1> 

  
Les ROM 154, 156, 158 forment une bibliothèque de microprogrammes oontenant des microprogrammes particuliers. Ces mioroprogrammes sont adressés par la structure de données arrivant 3ur l'une

  
des deux lignes de données 35 ou 51b. Supposons que la structure de données reçue par l'analyseur de zone ROM 146 commence avec une zone qui indique que ce qui doit suivre est un fichier de programme, l'analyseur de zone générerait alors une pluralité de signaux vers le démultiplexeur 150 qui dirigerait les signaux vers le fichier de programmes ROM 154, par exemple. En répond

  
à ces signaux qui s'adressent à des régions particulières dans

  
 <EMI ID=98.1> 

  
 <EMI ID=99.1> 

  
vers la file d'attente de sortie (figure 5), sur la ligne 121, vers la logique d'interface de la file d'attente d'entrée
(figure 2), et lorsque cela est avantageux, sur la ligne 144 vers le registre d'adresses 145 indiquant que l'opération particulière est achevée.

  
En plus de recevoir des structures de données sur les

  
 <EMI ID=100.1> 

  
signaux de contrôle. Par exemple, sur la ligne 123, un signal de contrôle de validation de lecture est fourni depuis la logique d'interface de la file d'attente d'entrée (figure 2). Sur la

  
 <EMI ID=101.1> 

  
 <EMI ID=102.1> 

  
la file d'attente de sortie (figure 5) fournit un signal de maintien informant le contrôle qu'il est plein. Bn signal de

  
 <EMI ID=103.1> 

  
depuis la bibliothèque ROM sur la ligne 144.

  
Le registre d'adresses 145 est un registre standard parallèle "entrée parallèle-sortie parallèle" bien connu à ceux

  
 <EMI ID=104.1> 

  
lyseur de zone ROM 146 pourra être du type fabriqué par la S igné tics Corporation et inscrit dans leur catalogue de 1972 aux pages 4-1. La bibliothèque ROM de microprogrammes 154, 156

  
 <EMI ID=105.1> 

  
152 peuvent être du type fabriqué par la 3 igné tics Corporation

  
et inscrits dans leur catalogue de parties de 1972 aux pages 2-132. Le démultiplexeur 150 peut consister en une pluralité de démulti-

  
 <EMI ID=106.1> 

  
 <EMI ID=107.1> 

  
 <EMI ID=108.1> 

  
En se reportant maintenant à la figure 5, la file d'attente de sortie 29 est illustrée comme étant un circuit FIFO à double mémoire. Le circuit de contrôle d'entrée 145 reçoit des données soit de la file d'attente d'entrée, soit de la mémoire sur

  
 <EMI ID=109.1> 

  
(figure 1). Les lignes 41 transmettent les signaux de contrôle de l'unité de contrôle 23 (figure 1). Le circuit de contrôle d'entrée 145 reçoit également des données depuis l'unité logique de vecteurs 27 sur les lignes 59 et, de manière analogue, transmet l'et reçoit le oontrôle depuis l'unité logique de vecteurs 27 sur les lignes 57. Les données reçues par le contrôle d'entrée 145 sur les lignes 39 sont dirigées soit vers la mémoire opérande RAM 155 (mémoire d'accès au hasard), soit à la mémoire d'adresse de destination RAM -157, selon que la structure de données reçue est une adresse de destination, telle que déterminée par les signaux sur la ligne de contrôle 41 depuis l'unité de contrôle 23 (figure 1), ou est un opérande tel que déterminé par les signaux sur la ligne de contrôle 41.

   Les données reçues sur les lignes 59 par le contrôle d'entrée 145 sont dirigées vers la mémoire opérande ou vers la mémoire d'adresse de destination, telle que déterminée par les signaux sur les lignes de contrôle 57.

  
Aussi bien la mémoire opérande que la mémoire d'adresse de destination peuvent être faites en confettis de mémoire RAM fabriquas par la Signetics Corporation et inscrites dans leur catalogue de parties de 1972 aux pages 4-20. Les deux mémoires sont adressées par un indicateur d'écriture ou par un indicateur de lecture, la mémoire opérande 155 ayant un indicateur d'écriture 147 et un indicateur de lecture 163, la mémoire d'adresse de destination 157 ayant un indicateur d'écriture
149 et un indicateur de lecture 161. L'opération de ces indicateurs d'écriture et de lecture respectivement est identique l'opération qu'ils exécutent dans la file d'attente d'Entrée lorsqu'ils s'adressent à la mémoire de file d'attente d'entrée
67 (figure 2). 

  
Le circuit de oontrôle d'entrée 145 fonctionne comme  la logique d'interface 61 dans la file d'attente d'entrée
(figure 2) en répondant aux signaux venant des comparateurs

  
151 et 153 pour arrêter la transmission de l'information vers

  
la file d'attente de sortie 29 depuis la file d'attente d'entrée, ou de la mémoire, ou de l'unité logique de vecteurs. Les comparateurs 151 et 153 respectivement, indiquent au circuit de

  
 <EMI ID=110.1> 

  
parateur 77 de la file d'attente d'entrée de la figure 2, que

  
les mémoires respectives sont soit pleines, soit vides, soit qu'elles contiennent certaines données.

  
Le circuit de contrôle de sortie 159 de la file d'attente de sortie 29 amorce une demande de lecture soit de la mémoire opérande, soit de la mémoire d'adresse de destination RAM 155,

  
 <EMI ID=111.1> 

  
 <EMI ID=112.1> 

  
sur la ligne 167 du câble 33. Le contrôle de sortie 159 répond également à un signal de retransmission sur la ligne 165. En réponde à des signaux sur l'une quelconque de ces lignes, le circuit de contrôle de sortie 159 peut transmettre une requête au signal de données d'écriture sur la ligne 169 vers la centrale entrée/sortie. En recevant un signal de transmission sur la ligne 167, par exemple, la structure de données dont une partie se trouve dans les deux mémoires, est de manière caractéristique transmise sur les lignes 171 vers la centrale entrée/sortie 13
(figure 1). On doit se rappeler que la centrale entrée/sortie 13 de la figure 1, en réponse aux structures de données reçues sur les lignes 171 de la file d'attente de sortie 29 dirigeront ces structures de données selon la zone d'adresses reçues de la

  
 <EMI ID=113.1> 

  
 <EMI ID=114.1> 

  
ou bien" la structure de données pourra être dirigée directement dans la file d'attente d'entrée de l'ordinateur 11 pour traitement ultérieur.

  
 <EMI ID=115.1> 

  
illustré une logique spécifique pour le circuit de reconnaissance

  
 <EMI ID=116.1> 

  
possède une paire de conducteurs d'entrée 175, 173, chacun connecte avec une paire de conducteurs d'entrée dans la ligne 85. Les signaux sur chacun de ces conducteurs 173 et 175 sont fournis

  
 <EMI ID=117.1> 

  
 <EMI ID=118.1> 

  
La sortie de la porte OU exclusive 177 sur la ligne 191 est ali-

  
 <EMI ID=119.1> 

  
sortie 89 de la porte ET 179 génère un signal de comptage plus -UN, tandis que la porte ET 171 sur la ligne de sortie 91 génère un signal de comptage vers le bas de moins UN au compteur binaire haut/bas 65. Le compteur binaire haut/bas 65 pourra être du type fabriqué par la Signetios Corporation et illustré dans leur catalogue de parties 197 de 1972 aux pages 2-170. Le compteur

  
 <EMI ID=120.1> 

  
la logique d'interface 61 de la fila d'attente d'entrée (figure 2) et reçoit un signal d'horloge du circuit de logique d'interface
61 sur la ligne 199 du câble 93.

  
La figure 7 illustre les deux représentations préférentielles de bit des quatre caractères utilisés dans tout l'ordinateur 11 (figure 1). Le délimitateur de données de gauche,  <EMI ID=121.1> 

  
caractère binaire 1 (178)' est représenté par deux signaux

  
 <EMI ID=122.1> 

  
signaux bas.

  
 <EMI ID=123.1> 

  
pour reconnaître si les signaux transmis sur la ligne 85 repré-

  
 <EMI ID=124.1> 

  
ou un caractère binaire 1 ou binaire 0, sera maintenant expliquée.

  
 <EMI ID=125.1> 

  
 <EMI ID=126.1> 

  
 <EMI ID=127.1> 

  
177 sera un binaire 1, et le signal sur la ligne 193 sera un  binaire 1, et de cette manière la porte ET 179 générera un niveau de signal 0 sur la ligne 89. Ce niveau de signal fait

  
que le compteur haut/bas 65 comptera plus 1. En supposant paintenant que le signal binaire sur la ligne 175 soit 0 et que le

  
 <EMI ID=128.1> 

  
tère paren droit, la sortie de la porte OU exclusive 177 sera

  
 <EMI ID=129.1> 

  
 <EMI ID=130.1> 

  
ligne 91 fera que le compteur binaire haut/bas 65 comptera 1 vers le bas. Le comptage du compteur binaire haut/bas 65 est  <EMI ID=131.1> 

  
 <EMI ID=132.1> 

  
 <EMI ID=133.1> 

  
 <EMI ID=134.1> 

  
qui est l'unité de base d'une structure de données, La première zone d'un fichier est une zone de description. Les zones qui suivent immédiatement sont des zones de données. La dernière zone est une zone de terminal*=" Les parons les pins à gauche

  
 <EMI ID=135.1> 

  
 <EMI ID=136.1> 

  
une simple structure de données, est transmis de gauche à droite, le parer d'ouverture est 201, et le paren de fermeture est

  
219. La première zone qui suit le paren d'ouverture 201 est une zone de description 203, laquelle est délimitée elle-même par une paire de parens. La zone suivante qui doit suivre la zone de description pourra être une zone opérande telle qu'illustrée par la zone 205, ou une zone d'adresse ou une zone d'opérateur.

  
Les données dans la zone de description 203 décriront le type et l'ordre de présentation des diverses zones qui les suivent. Les espaces 207, 211 et 215 entre les zones de données
205, 209 et 213 pourront, pourra simplicité, être appelles "espaces vides" qui permettent aux zones de données 205, 209

  
et 213 de subir une extension, si nécessaire, Lorsque ces zones  <EMI ID=137.1> 

  
espaces vides pourront être employés pour permettre plus tard

  
à ces zones de subir une extension. Le véhicule exact par lequel cela est fait sera décrit ci-après de manière plus complète.

  
La dernière zone de chaque zone est une zone de terni naison 217' qui en général ne présentera pas de données à son

  
 <EMI ID=138.1> 

  
caractères, un paren gauche et un paren droit. La zone de termi-

  
 <EMI ID=139.1> 

  
caractères qui représentent le code de terminaison pour la structure de données ou fichier. Ce code alors, selon la convention

  
 <EMI ID=140.1> 

  
deux bits à un tempe parallèle de gauche à droite.

  
Cette zone de terminaison et le paren de fichier de ter-

  
 <EMI ID=141.1> 

  
chier par la logique d'interface 61 de la file d'attente d'entrée
(figure 2). Lorsque ce code se produit, la sortie du compteur 65
(figure 2) sera 0 si auoune erreur ne s'est produite dans les

  
 <EMI ID=142.1> 

  
compteur 65 pour la structure générale de fichiers selon la figure 8 se fera de la manière 121212121210. Ainsi, une combinaisont d'un comptage 0 depuis le compteur 65 et la présence du code de terminaison indique que la structure de données reçue ne présente pas d'erreurs. Si par exemple, il y avait une erreur dans un caractère paren, le compteur ne serait ni augmenté, ni diminué. S'il y avait une erreur dans un caractère de données, <EMI ID=143.1>  diminution. Dans chaque cas. un comptage autre que 0 est laissé au moment où le code de oombinaison se produit. Cela indiquerait une erreur en obligeant la logique d'interface

  
de la figure 2 de répondre en demandant une retransmission comme décrit ci-dessus.

  
La structure de chaque fichier comme illustré d'une manière générale dans la figure 8 doit suivre certaines règles de syntaxe. Ces règles sont 

  
(1) Auoun caractère 1 ou 0 ne peut se produire entre des parens de même face. Par exemple, il ne peut y avoir des caractères entre le paren de zone d'ouverture 201 et le paren de zone d'ouverture de la zone de description 203.

  
(2) La première zone d'un fichier doit être la zone de description 203.

  
(3) La dernière zone du fichier est toujours la zone de terminaison 207.

  
Dans le présent exemple, cette zone ne présente pas de données.

  
Une zone de données telle que la zone de données A 205 de la figure 8 peut être formée elle-même d'une pluralité de

  
 <EMI ID=144.1> 

  
9 représente la zone A comme consistant en trois sous-fichiers a, b et c. Le paren de zone d'ouverture 221 et le paren de zone d'ouverture 223 définissent la zone de données A. Mais endéans ces parens, une pluralité de ce qu'on peut appeler

  
 <EMI ID=145.1> 

  
 <EMI ID=146.1> 

  
de vecteurs. Ces fichiers doivent évidemment suivre les règles générales de syntaxe décrites pour le fichier général selon la figure 8. C'est-à-dire, chaque fichier possède une zone de description des zones de données et une zone de terminaison. Ainsi qu'il peut se produire à l'intérieur d'un fichier, les espaces entre des fichiers de vecteurs à l'intérieur d'une zone, tels 227 et 231, peuvent permettre l'extension des fichiers de vecteurs dans cette zone, si on le désire.

  
Cette structure empilée de zones à l'intérieur de fichiers et de fichiers de vecteurs à l'intérieur de zones, pourra être comprise eplus facilement si on la considère en termes d'une structure arborescente présentant des noeuds qui représentent dès programmes ou des opérateurs. A titre d'exemple, supposons que l'opération définie suivante doit être exécutée sur une pluralité de libellés représentés par les lettres capitales de l'alphabet 

  

 <EMI ID=147.1> 


  
Cette combinaison arithmétique de 14 libellés différents pourra être représentée par la structure arborescente illustrée dans la figure 10.

  
La structure arborescente de la figure 10 reçoit comme étant ses entrées au niveau de feuille 225 les libellés, ou autres opérandes, qui doivent être actiornés pour le programme décrit par les divers noeuds 227, etc. de l'arbre. Ainsi, par exemple, les libellés A et B sont alimentés à l'opérateur de programme

  
add au noeud 227; les libellés C et D sont alimentés à l'opérateur de programme add au noeud 229. Les résultats des deux opé-

  
 <EMI ID=148.1> 

  
tion au noeud 231. Pendant que cela se produit, les libellés F et G peuvent être alimentés à un autre opérateur de programme add au noeud 235, le résultat de cette sommation étant alimenté

  
à un opérateur de programme de soustraction au noeud 237, en même

  
 <EMI ID=149.1> 

  
diverses opérations préalables se produisent, les libellés K et L sont alimentés à un opérateur de programme de soustraction au

  
 <EMI ID=150.1> 

  
de programme de soustraction au noeud 241, et les libellés 0 et

  
 <EMI ID=151.1> 

  
soustraction au noeud 247. Le résultat de l'opération au noeud
239 et le résultat de l'opération au noeud 241 sont alimentés

  
 <EMI ID=152.1> 

  
Le résultat du noeud d'opérateur de soustraction 231 et le résultat du noeud d'opérateur de soustraction 237 sont alimentés à un autre noeud d'opérateur add 233. Le résultat du noeud d'opérateur add 243 et le noeud d'opérateur de soustraction 247 sont alimentés à un autre noeud d'opérateur add 245. Le résultat du noeud d'opérateur add 245 est alimenté au noeud d'opérateur de soustraction 249 qui est également alimenté à un autre libellé R. Les résultats du noeud d'opérateur "moins" 249 et le noeud

  
 <EMI ID=153.1> 

  
de soustraction 251. Le résultat de ce noeud est alimenté à l'opération 253 d'envoi à X.

  
Ainsi qu'il est évident de cette description de la structure arborescente, le traitement d'opérande dans un courant de structure arborescente facilite le traitement d'opérandes d'une manière concurrente. C'est-à-dire, les opérations se produisant sur un même niveau tel que des noeuds 227, 229,

  
 <EMI ID=154.1> 

  
 <EMI ID=155.1>  

  
Cela est vrai pour toutes les opérations sur un autre, ou

  
deuxième niveau, tel les noeuds 231, 237 et 243 si les résultats d'opérations précédentes sont tous disponibles simultanément.

  
L'exemple de la figure 10, dans un but de simplicité

  
de la description et de facilité de compréhension n'a considéré

  
que des opérations dyadiques telles que addition et soustraction. Cependant, il est bien entendu que ce type de schéma de traitement de structure arborescente permettra des opérations monadiques et dyadiques avec la même facilité. Il est bien entendu que pour utiliser le traitement concurrent on doit utiliser un système d'unités de traitement de données.

  
Pour illustrer comment les structures de données à fichier empilé selon les figures 8 et 9 mettent en oeuvre les principes de traitement de structures arborescentes, on considèrera les opérations dyadiques simples suivantes sur quatre libellés

  
 <EMI ID=156.1> 

  
structures arborescentes dans la figure 11. Les libellés A, B, C et D au niveau de feuille 255, 257, 259, 261 sont alimentés au premier niveau des noeuds d'opérateurs, les noeuds de sommation 263 et 265. Les résultats de ce niveau de noeud sont

  
 <EMI ID=157.1> 

  
résultat de ce noeud 269 peut être envoyé à un autre noeud, ou opérateur de programme, ou à une destination physique.

  
Chaque noeud de la structure arborescente, figure 11, pourra être considéré comme étant un fichier. Par conséquent, en regardant à ces deux niveaux d'opérateurs de noeuds, le fichier qui décrirait le noeud de soustraction 267 est illustré comme étant un fichier 271 de noeuds de soustraction. Ce fichier est délimité par des parens droit et gauche, et présente une première zone, laquelle est une zone de description 277 qui décrit la nature

  
 <EMI ID=158.1> 

  
ce qui signifie que ce fiohier est un fichier d'opérateurs de programme. Puisque ce fichier est un fichier d'opérateurs, la zone suivante qui doit suivre la zone de description sera une zone

  
279 contenant le code d'opérateur, OP. Dans le présent exemple,

  
le code d'opérateur décrit une opération de soustraction. Puisque l'opération est dyadique, les zones qui suivent la zone d'opérateur décrivent les deux opérandes qui doivent être soustraits. Ces deux opérandes sont les résultats de noeuds d'addition 263 et 265.

  
Parce que les opérandes sont des résultats d'autres opérations, les zones opérandes sont des fichiers de vecteurs.

  
Par conséquent, les opérandes sont décrits par les fichiers de vecteurs 273 et 275. La zone qui suit les zones opérandes est une zone 287 d'adossé de destination indiquant la destination à laquelle on doit envoyer le résultat de l'opération de soustrac-

  
 <EMI ID=159.1> 

  
terminaison 289. L'espaoe vide peut se produire à tout endroit entre les zones dans un fichier. Par exemple, à l'intérieur du fichier de programme de soustraction, l'espaoe vide est illustré comme se produisant à 281, 283 et 285. On doit se rappeler que puisque les zones opérandes du fichier de programmes de soustraotion sont des fichiers de vecteurs, l'espaoe vide peut se produire

  
 <EMI ID=160.1> 

  
Considérons maintenant les deux fichiers de vecteurs à

  
 <EMI ID=161.1> 

  
 <EMI ID=162.1> 

  
sont également structurés selon les règles de syntaxe décrites ci-dessus. Il y a des parens de délimitation de fichiers gauche et droit. A l'intérieur de ces parons la première zone se trouve une zone de description, laquelle dans le cas présent décrit

  
le fichier comme étant un fichier de vecteurs, en réservant

  
ainsi la zone qui suit pour le code d'opérateur. Pour le

  
présent exemple, on a décrit une opération d'addition. Les

  
zones qui suivent la zone OP seront les zones opérandes qui

  
dans le présent exemple sont des libellés. En plus des zones opérandes, les zones de vecteurs dyadiques tels que les fichiers
273 et 275 à l'intérieur d'un fichier plus grand tel qu'un

  
fichier de programme 271 contiennent des zones résultantes désignées par R dans la figure 11. Ces zones résultantes (R) mémorisent le résultat de l'opération dyadique décrite par ce fichier de vecteurs si ce résultat ne peut pas être utilisé

  
au moment où il est généré.

  
Afin de faciliter la compréhension, l'opération générale de l'ordinateur 11 selon la figure 1 sera décrite en relation

  
avec le schéma simple de programme illustré dans la figure 11, lequel n'utilise que des opérateurs dyadiques. Pour faciliter davantage l'explication et la compréhension, on supposera que

  
les structures de données de programme ou les fichiers de programme= sont dynamiques et sont reçues par la file d'attente d'entrée 21
(figure 1). Il est bien entendu cependant que l'ordre inverse est également applicable et que les fichiers opérandes peuvent être mémorisés dans des mémoires d'ordinateur 25 et que les fichiers

  
de programme peuvent être alimentés à l'ordinateur 11 par

  
 <EMI ID=163.1> 

  
Afin d'exécuter le schéma fonctionnel des opérations selon la figure 11, la mémorisation de l'ordinateur contiendra un fichier de' programma tel qu'illustré dans la figure 12B

  
 <EMI ID=164.1> 

  
avant que l'ordinateur ne reçoive des fichiers d'opérandes, 

  
 <EMI ID=165.1> 

  
 <EMI ID=166.1> 

  
 <EMI ID=167.1> 

  
de description est un* zone décrivant l'opération qui doit être exécutée. Pour le présent exemple, c'est une opération de soustraction. La zone suivante pour suivre la zone d'opérateur 301 est une zone opérande délimitée par un paren gauche 305 et un paren droit 327. Cette zone opérande est un fichier de vecteurs qui représente une opération dyadique. Après cette zone opérande se trouve une deuxième zone opérande laquelle est également un fichier de vecteurs. La zone qui préoède immédiatement la zone de

  
 <EMI ID=168.1> 

  
se rappeler qu'un espace pourra être prévu entre les diverses zones du fichier de programmes, de soustraction de telle sorte que les espaces 303, 329, etc. permettent l'extension des zones opérandes. 

  
Considérons maintenant la première zone opérande, laquelle est un fichier de vecteurs. Dans ce cas particulier, une opération

  
 <EMI ID=169.1> 

  
fichier particulier, puisqu'il définit une opération dyadique, suivent la zone décrivant l'opérateur. De plus, ce fichier de vecteurs contient une zone de résultats 321 au lieu d'une zone d'adresse de destination. Les zones opérandes 309, 313 et la zone de résultats 321 sont toutes à l'état contracté. laissant un espace vide considérable 307, 311, 315 et 323 entre eux. En d'autres mots, ces zones sont simplement définies par un paren gauche suivi d'un paren droit sans caractères entre les deux. Ces zones opérandes restent contractées ainsi qu'il sera décrit plus en détail ci-après, jusqu'à ce que les opérandes y soient mémorisés.

  
La deuxième zone opérande pour le fichier de programmes de soustraction est également un fichier de vecteurs de même structure que celle décrite pour la première zone opérande. Il

  
 <EMI ID=170.1> 

  
 <EMI ID=171.1> 

  
elles se trouvent à l'état contracté en laissant un espace vide

  
 <EMI ID=172.1> 

  
On a décrit oi-dessus la structure envisagée d'un fichier de programmes à l'intérieur d'une mémorisation d'ordinateur qui

  
 <EMI ID=173.1> 

  
données opérandes ou fichier arrive à la file d'attente d'entrée qui adresse ce fichier déprogrammes particulier. La structure de ce fichier de programmes fournit un mécanisme récursif qui accélère l'exécution algorithme.

  
Une structure de données alternées pour l'exécution du déroulement fonctionnel selon la figure 11 serait une structure qui utilise trois fichiers de programmes au lieu d'un seul fichier de programmes contenant deux fichiers de vecteurs, comme illustré. Ainsi, les deux fichiers de vecteurs additionnels et le fichier de programmes de soustraction représentent trois fichiers de programmes indépendants. La zone résultante (R) de chaque

  
fichier de vecteurs serait remplacée par une zone d'adresse

  
 <EMI ID=174.1> 

  
 <EMI ID=175.1> 

  
grammes de soustraction d'une manière qui sera décrite ci-après. 

  
L'utilisation de oe type de structure de données demande que

  
le résultat de chaque opération soit dirigé hors de l'ordinateur et de retour à son entrée pour arriver au noeud

  
suivant d'opérateur. Par contraste, la structure du fichier

  
de programmes illustré élimine la nécessité d'envoyer le résultat d'une opération de fichier de vecteurs hors de l'unité de traitement et de retour à son entrée pour traitement ulérieur.

  
Pour continuer avec la structure de données illustrée, oonsidérons maintenant les fichiers de données qui arrivent à la file d'attente d'entrée. Supposons que le premier opérande qui arrive dans un fichier de données, soit l'opérande A. Le

  
 <EMI ID=176.1> 

  
comme étant une structure de fichier 1 sous l'en-tête "file d'attente d'entrée". La première zone de oe fichier de données est une zone de description 375 qui indique que cette zone particulière est une zone opérande contenant un libellé. Cette zone de description est analysée par l'analyseur de zone 146

  
 <EMI ID=177.1> 

  
règle les trajets appropriés vers la mémorisation d'ordinateur

  
 <EMI ID=178.1> 

  
mémorisation qui adresse le fichier de vecteurs particulier auquel appartient le libellé A, L'adresse de mémorisation 377 adressera l'emplacement dans la mémorisation d'ordinateur qui

  
 <EMI ID=179.1> 

  
l'intérieur du fichier de programmes de soustraction 301. La zone qui suit après la zone d'adresse 377 est une zone d'emplacement

  
 <EMI ID=180.1> 

  
 <EMI ID=181.1>  

  
respectivement, de ce fichienparticulier de vecteurs. Le fichier opérande qui est reçu à la file d'attente d'entrée présente aussi une zone de terminaison 387et peut posséder des espaces vides

  
 <EMI ID=182.1> 

  
Le contrôle 23 par la voie de son analyseur de zone ROM
146 et de sa bibliothèque de sous-routine consistant en une

  
 <EMI ID=183.1> 

  
add, après qu'il a été adressé par le fichier opérande à la file d'attente d'entrée pour déterminer si l'opérande B est arrivé précédemment et a été mémorisé dans sa zone 313. Puisque, dans

  
ce cas, il ne l'a pas été, comme indiqué au contrôle par les zones opérandes vides 309, 313, le contrôle mémorise l'opérande

  
A dans la zone appropriée 309. Comme l'opérande A est écrit dans la mémoire, caractère par caractère, le fichier opérande 309

  
est étendu pour s'adapter à ses dimensions exactes. Les caractères spécifiques de la manière dont l'opérande est réellement écrit dans la mémoire sont considérés comme étant dans la portée des connaissance* d'une personne de capacité moyenne dans cette technique, et par conséquent ne seront pas examinés ici.

  
Comme résultat, par conséquent, du fiohier libellé illustré en position 1, qui arrive à la file d'attente d'entrée, le fichier du programme de soustraction dans la mémorisation d'ordinateur aura le libellé A mémorisé dans la zone opérande

  
 <EMI ID=184.1> 

  
 <EMI ID=185.1> 

  
2 sous l'en-tête "mémorisation" de la figure 12B. Puisque le libellé A est maintenant mémorisé dans sa zone opérande appro-

  
 <EMI ID=186.1> 

  
zone opérande et sa zone opérande qui l'accompagne pourra être complètement utilisé ou fortement diminué. 

  
Supposons maintenant que le fichier opérande suivant qui arrive dans la file d'attente d'entrée 21 de l'ordinateur 11
(figure 1) contient l'opérande D dans sa zone opérande 382, comme montré en position 2 sous l'en-tête "file d'attente d'entrée". En plus de la zone de description qui communique

  
à l'unité de contrôle les zones qui doivent suivre, une zone

  
 <EMI ID=187.1> 

  
 <EMI ID=188.1> 

  
libellés en position 2 de la file d'attente d'entrée possède une zone d'entrée de mémorisation 376 qui adresse le fichier

  
de vecteurs add à l'intérieur du fichier de programmes de sous-

  
 <EMI ID=189.1> 

  
"mémorisation". Une fois ce fichier de vecteurs adressé, l'unité de contrôle, lorsqu'elle voit la zone d'opérateur du fichier de vecteurs rendra actif le microprogramme d'addition approprié dans la bibliothèque de microprogrammes formée de

  
 <EMI ID=190.1> 

  
que tous les opérandes qui sont nécessaires pour exécuter l'opération ne sont pas présents soit dans la file d'attente d'entrée, soit dans la mémoire de l'ordinateur, un autre microprogramme est rendu actif pour mémoriser le libellé D dans la zone opérande
382 du fichier de file d'attente d'entrée dans la zone opérande appropriée 351 du fichier de vecteurs add, comme déterminé par le code d'emplacement d'opérande dans la zone 389 au fichier de libellés à la file d'attente d'entrée. Comme résultat du traite-

  
 <EMI ID=191.1> 

  
dans la mémorisation apparaîtra telle qu'illustré en position sous l'en-tête "mémorisation". C'est-à-dire, un libellé A est mémorisé dans sa zone opérande appropriée dans le premier fichier de vecteurs add et un libellé D est mémorisé dans sa zone opérande appropriée dans le deuxième fichier de vecteurs add.

  
Supposons maintenant que la troisième fichier d'opérandes qui doit arriver dans la file d'attente d'entrée porte un opérande B dans la zone opérande "384, laquelle doit être combinée avec l'opérande A. Le contrôleur reconnait à cause de la zone de description L, qu'il s'agit d'un fichier de libellés, et par

  
 <EMI ID=192.1> 

  
qui adresse le premier fichier de vecteurs contenant l'opérande A. Le contrôleur commence à lire ce fichier de vecteurs adressé; et son analyseur de zone ROM 146 (figure 4) détermine de la zone de description "V" qu'il s'agit d'un fichier de vecteurs contenant .un programme, La zone qui doit suivre cette zone de description est alors une zone de code d'opérateur. En réponse à la zone d'opérateur, l'analyseur de zone actionne le microprogramme approprié de la bibliothèque de micro-programmes ROMs 154, 156 ou 158 (figure 4) et de plus provoque la lecture hors de lamémorisation du libellé A pour adresser le ROM approprié 125 dans

  
 <EMI ID=193.1> 

  
temps le libellé B de la file d'attente d'entrée pour adresser le même ROM 125 dans l'unité logique de vecteur.

  
Il faut se rappeler que l'unité logique de veoteur est une unité arithmétique en série qui agit sur deux caractères

  
en même temps, un caractère de chacune des deux zones opérandes. Lorsque l'unité logique de vecteur a achevé sa fonction

  
 <EMI ID=194.1> 

  
détermine si la zone résultante dans le deuxième fichier de  <EMI ID=195.1> 

  
mémorisera le résultat de l'addition de libellés A et B dans

  
la zone résultante appropriée dans le premier fichier de vecteurs. Comme résultat du troisième fichier d'opérandes apparaissant dans la file d'attente d'entrée, le fichier de programmes de soustraction en mémorisation recevra une structure comme illustré en

  
 <EMI ID=196.1> 

  
zones opérandes que les libellés A et B occupaient, les zones '535 et 359 respectivement sont maintenant vides, puisqu'elles

  
 <EMI ID=197.1> 

  
 <EMI ID=198.1> 

  
Le libellé D comme opérande du deuxième fichier de vecteurs est également présent.

  
La seul opérande qui manque à ce moment, est le libellé

  
 <EMI ID=199.1> 

  
nant l'opérande C dans la zone 386. Le contrôle reconnaît qu'il s'agit d'un fichier de libellés et ferme les trajets appropriés de sorte que la zone d'adresse de mémorisation 380 pourra s'adresser au deuxième fichier de vecteurs. Le contrôle lira alors ce fichier de vecteurs et réglera l'unité logique de vecteurs pour effectuer l'opération requise par la zone de code d'opérateur et commencera à additionner C et D de la même

  
 <EMI ID=200.1> 

  
lors de l'achèvement de cette opération, puisque la zone résultan-

  
 <EMI ID=201.1> 

  
en plus de mémoriser le résultat de la sommation des libellés

  
 <EMI ID=202.1> 

  
est choisi, lequel conditionne l'unité logique de vecteur selon la zone de code d'opérateur de soustraotion dans le fiohier de programmes de soustraction. Ce microprogramme fait que l'unité de contrôle alimentera ltunité logique de vecteur d'une manière caractéristique, la résultante de la sommation A + B de la zone résultante 369 dans la mémoire de l'ordinateur, comme résultat de C + D qui y sont alimentés, afin que les deux résultats soient soustraits.

  
Pendant que cette opération est exécutée, la zone de

  
 <EMI ID=203.1> 

  
 <EMI ID=204.1> 

  
d'attente de sortie 29 (figure 5). Cette zone d'adresse de destination-375 telle qu'illustrée dans la figure 12B sous l'en-tête "file d'attente de sortie" en position 1, est un

  
fichier de vecteurs de destination qui présente comme sa première zone une zone de description 381, laquelle dans le présent exemple identifie le fichier comme étant un fichier de libellés ou d'opérandes, une zone d'adresse qui le suit, et une zone d'emplaoement d'opérande 385 qui suit la zone d'adresse. Les zones d'opérande, telles que la zone 387, peuvent suivre la zone d'emplacement d'opérande. Puisque la syntaxe d'une structure de fichier doit être suivie, le fichier d'adresses de destination se termine par une zone de terminaison 391. La zone d'adresse de destination, puisqu'elle est un fichier de vecteurs peut aussi présenter un espace vide entre les zones à son intérieur, tel &#65533; l'espace vide
389, par exemple. La zone opérande 387, à ce point, ne présente aucune mémorisation à son intérieur et se trouve sous forme contractée.

   Lorsque l'unité logique de vecteur obtient le

  
résultat de la soustraction des libellés C + D, des libellés  <EMI ID=205.1> 

  
"mémoire opérande* de la figure 12B est envoyé à la mémoire opérande 155 de la file d'attente de sortie (figure 5).

  
Le contrôle de sortie 159 de la file d'attente de

  
 <EMI ID=206.1> 

  
essentiellement Identique à la forme qui est reçue à la file d'attente d'entrée comme illustré dans la figure 12B sous

  
 <EMI ID=207.1> 

  
résultat est un libellé, le fichier transmis est un fichier

  
 <EMI ID=208.1> 

  
 <EMI ID=209.1> 

  
sant le fichier comme fichier opérande. La deuxième zone est une zone d'adresse 383. Cette zone d'adresse telle qu'illustrée dans la figure 12B pourra être une simple zone contenant une

  
 <EMI ID=210.1> 

  
système de multitraitements, elle pourra contenir des zones composées telles qu'une zone 386 définissant une unité de traitement et une zone 388 d'adresse de mémorisation, définissant une région spécifique dans la mémorisation de l'unité de

  
 <EMI ID=211.1> 

  
zone 385 d'emplacement d'opérande, si nécessaire. La zone suivant la zone d'emplacement d'opérande est la zone résultante 393. Le fichier opérande quittant la file d'attente de sortie se termine par une zone terminale 391 et un paren droit 379.

  
Pour résumer, la description fonctionnelle ci-dessus rend clair que l'ordinateur selon la figure 1 n'exécute une opération qu'après que deux structures de données ont été articulées, l'une étant une structure de programme, l'autre étant une structure opérande. Dans le cas de l'exemple spécifique, la structure de programme sous la forme de fichiers de programmes est mémorisée dans la mémoire de l'ordinateur en attendant l'arrivée des structures opérandes ou des fichiers opérandes qui adressent les fichiers de programmes appropriée, et ainsi l'unité de contrôle de l'ordinateur exécutera le programme désigné. Par conséquent, cette opération actionnée par des données fournit une unité numérique de traitement de données présentant des possibilités d'émulation supérieures,

  
et: pourra être utilisée comme bloc fonctionnel de base dans

  
un ordinateur à multitraitements, chacun des blocs fonctionnels ayant sa fonction définie par les fichiers de programmes mémorisés dans leur région de mémoire respective. Puisque l'arrivée de fichiers d'opérandes à l'entrée d'une unité centrale de traitement de données spécifiques produit le déroulement du programme adressé lorsqu'un tel ordinateur est utilisé comme bloc fonctionnel dans un ordinateur à multitraitements, un

  
 <EMI ID=212.1> 

  
qui réglerait l'interaction des unités de traitement dans l'ordinateur à multitraitements ne serait pas requis. La description ci-dessus rend clair que l'ordinateur de la figure 1 présente des capacités d'émulation améliorées parce que le vocabulaire à quatre caractères dans un ordinateur de série à caractères facilite une structure de données d'une longueur de zone variable. Ces structures de données sont facilement vérifiées du point de vue des erreurs par l'utilisation de simples circuits logiques sur les trajets de circulation des données.

  
Il est bien entendu, évidemment, que la description ci-dessus ne concerne qu'un mode préférentiel de réalisation

  
de l'invention et que de nombreuses modifications peuvent être apportées sans sortir des principes et de la portée de l'invention. 

REVENDICATIONS.

  
1. Système d'unité de traitement de données binaires,  comprenant- :

  
des moyens de mémoriaation contenant des fichiers de données structurées dans un ordre empilé hierarchique, et

  
des moyens formant circuit d'entrée pour recevoir des  fichiers de données structurées dans un ordre empilé hierarchique,  les dits fichiers de données produisant l'adressage de certains fichiers de données dans les dits moyens de mémorisation de données. 

  
2. Système d'unité de traitement de données binaires selon

Claims (1)

  1. la revendication 1, dans lequel les dits moyens de mémorisation
    de données contiennent une information binaire interposée entre les dits fichiers de données interposés entre les dits fichiers
    de données pour indiquer le départ et la fin des dits fichiers de données.
    3. Système d'unité de traitement de données binaires
    selon la revendication 1 et comprenant des moyens formant circuit d'entrée pour recevoir une zone d'adresse de destination et au
    moins une zone opérande et leur combinaison de manière à former un fichier de sortie de données de message.
    4. Système d'unité de traitement de données binaires
    selon la revendication 1, dans lequel les dits moyens de mémorisation de données contiennent des fichiers de données qui représentent des données de programme, et dans lequel les dits moyens formant circuit d'entrée reçoivent des fichiers de données qui représentent des données opérandes. <EMI ID=213.1>
    lon 1 a revendication 4, dans lequel les' dites zones formant fichier de programmes sont séparées l'une de l'autre dans le fichier de programmes par des espaces vides dans lesquels les dites zones peuvent subir une extension.
    6. Système d'unité de traitement de données binaires selon la revendication 4, dans lequel le fichier de données de programme résidant dans les dits moyens de mémorisation de données contiennent un ou plusieurs fichiers associés avec une zone particulière de programme et une zone d'adresse de destination.
    7. Système d'unité de traitement de données binaires selon la revendication 4, dans lequel les dites zones formant un fichier d'
    <EMI ID=214.1>
    par des espaces vides dans lesquels la dite zone peut subir une extension.
    8. Système d'unité de traitement de données binaires selon la revendication 1, dans lequel les fichiers de données reçues par les dits moyens formant circuit d'entrée comprennent une zone opérande, une zone d'identification d'opérande, et une zone d'adresse de mémorisation.
    9. Système d'unité de traitement de données binaires, dans lequel une communication de données dans le système d'unité
    de traitement et avec ce système est en série par caractères, un caractère ayant une longueur de deux bits binaires, comprenant :
    des moyens de mémori3ation de données contenant des fichiers de données structurées dans un ordre empilé hiérarchique, et
    des moyens formant circuit pour recevoir des fichiers
    de données dans un ordre empilé hierarchique, les dits fichiers
    de données reçues produisant l'adressage de certains des fichiers de données dans les dits moyens de mémorisation. 10. Système d'unité de traitement de données binaires selon la revendication 9, dans lequel les dits moyens de mémorisation de données contiennent des données binaires interposées entre les dits fichiers de données pour indiquer le départ et la fin des dits fichiers de données.
    11. Système d'unité de traitement de données binaires selon la revendication 10, dans lequel quatre caractères sont utilisés pour représenter toutes les données, deux signaux hauts représentant un caractère binaire l,deux signaux bas représentant un caractère binaire 0, et une combinaison d'un signal haut et d'un signal bas représentant soit un caractère de données de départ, soit un caractère de données de terminaison.
    12. Système d'unité de traitement de données binaires selon la revendication 9, comprenant des moyens formant circuit de sortie pour recevoir une zone d'adresse de destination et une zone opérande et leur combinaison pour former un fichier de messages de sortie.
    13. Système d'unité de traitement de données binaires selon la revendication 9, dans lequel les dits moyens de mémorisation de données contiennent des fichiers de données qui représentent des données de programme et dans lequel les dits moyens formant circuit d'entrée reçoivent des fichiers de données qui représentent des données opérandes.
    14. Système d'unité de traitement de données binaires
    <EMI ID=215.1>
    résidant dans les dits moyens de mémorisation de données contiennent des zones opérandes associées avec une zone de programme pour former un fichier de programmes, les zones opérandes étant vides et contractées jusqu'à ce qu'elles subissent une extension <EMI ID=216.1>
    ferltea.
    <EMI ID=217.1>
    <EMI ID=218.1>
    <EMI ID=219.1>
    <EMI ID=220.1>
    <EMI ID=221.1>
    <EMI ID=222.1>
    <EMI ID=223.1>
    <EMI ID=224.1>
    données contiennent un ou plusieurs fichiers de vecteurs associés avec- une zone particulière de programme et une zone d'adresse de destination"
    17. Système d'unité de traitement de données binaires selon la revendication 9, dans lequel les fichiers de données reçues par les dits moyens de circuit d'entrée comprennent des zones opérandes, une zone d'identification d'opérandes, et une zone d'adresse de mémorisation, formant un fichier d'opérandes.
    18. Système d'unité de traitement de données binaires selon la revendication 17, dans lequel les dites zones formant un fichier d'opérandes sont séparées l'une de l'autre dans le fichier d'opérandes par des espaces vides dans lesquels les zones du fichier peuvent subir une extension.
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