"Mule ou pantoufle analogue" <EMI ID=1.1>
demandeur, concernent une pantoufle constituée d'une ou de plusieurs couches d'une matière élastique alvéolaire formant à la fois une semelle et une empeigne, cette dernière étant formée par l'accrochage de languettes dans des fentes prévues, toutes deux, aux extrémités de pattes s'étendant de part et d'autre de cette semelle.
Selon le brevet de perfectionnement 807.747, la matière élastique alvéolaire formant la semelle et l'empeigne se présente sous la forme de deux feuilles emprisonnant entre elles un matelas d'air grâce à la soudure des bords libres de la pièce formant semelle et empeigne. Les faces externes de ces couches de matière élastique alvéolaire sont laminées à chaud en vue de la réalisation d'une surface lisse imperméable d'un entretien aisé.
Ce laminage, outre qu'il s'agit d'une opération supplémentaire, pose, au cours de la fabrication, divers problèmes, tel que la détérioration par la chaleur, lorsque le temps de contact entre les cylindres de laminage à chaud et la matière élastique alvéolaire est exagéré, ou encore la décoloration de cette matière lorsqu'elle est colorée.
Le but de la présente invention est de réaliser une mule ou pantoufle qui a un aspect amélioré et peut être réalisé dans de meilleures conditions de production tout en conservant ses qualités intrinsèques.
A cet effet, la mule ou pantoufle selon l'invention est constituée d'au moins une couche de matière élastique alvéolaire et de deux couches extérieures en matière synthétique imperméable emprisonnant ladite <EMI ID=2.1>
phérique.
D'autres détails et avantages de l'invention ressortiront de la description qui sera donnée ci-après d'une mule ou pantoufle analogue, selon l'invention. Cette description n'est donnée qu'à titre d'exemple et ne limite pas l'invention. Les notations de références se rapportent aux figures ci-jointes.
La figure 1 est une vue en plan avec brisures partielles d'une mule ou pantoufle analogue représentée avant son montage. La figure 2 est une vue en coupe, selon la ligne II-II de la figure 1 mais reproduite à une plus grande échelle.
La mule représentée par ces figures est constituée par l'assemblage de deux couches de matière élastique alvéolaire 1 et 2 constituant aussi bien la semelle
3 que l'empeigne formée par les pattes 4, 5, 6 et 7.
Les pattes 4 et 5 se terminent par des languettes 9 qui s'introduisent dans les fentes 8 des pattes
7 et 6 respectivement, de telle sorte que les pattes 4 et
5 se croisent lorsque la mule est fermée.
Des soudures de renforcement 10 sont prévues aux extrémités des fentes 8 afin d'empêcher que la matière dont sont constituées ces pattes ne se déchire. Des soudures analogues 10 sont réalisées à l'extrémité des fentes prévues entre les pattes 4 et 5 et les languettes 9.
Quatre soudures 11 sont réalisées à l'endroit où les pattes 4 à 7 se replient par rapport à la semelle 3.
Selon les techniques antérieures mises au <EMI ID=3.1>
alvéolaires 1 et 2 étaient laminées sur leur face extérieure afin de réaliser une surface imperméable d'un'entretien aisé. De la sorte également, il était possible de constituer, après soudure du contour de la mule, un matelas d'air qui, emprisonné entre les deux couches de matière élastique alvéolaire, améliorait considérablement le confort
de la chaussure ainsi réalisée.
Cependant le laminage des couches en question s'est révélé une opération délicate provoquant par intermittence une fusion exagérée de la matière. De plus, lorsqu'on fait usage d'une matière alvéolaire colorée, celle-ci peut, sous l'influence de la chaleur, se décolorer plus ou moins fortement. Ces deux inconvénients provoquent une perte de matière plus ou moins importante.
Selon la présente demande de brevet, il est remédié à ces inconvénients en remplaçant l'opération de
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tique alvéolaire 1 et 2 et de deux couches extérieures 12 et 13 en matière lisse imperméable. La soudure périphérique
14, exécutée comme précédemment au cours de l'opération de découpage-soudage, selon les techniques parfaitement connues de l'homme de métier, réunit donc le bord des couches 1 et 2 et celui des couches extérieures 12 et 13. Il se forme ici également un matelas d'air entre les couches 1 et 2, tandis que l'achèvement de l'ensemble est réalisé par une pellicule lisse qui peut aisément être entretenue.
Théoriquement, les deux couches 1 et 2 pourraient être remplacées par une couche unique soudée latéraè lement aux couches extérieures 1 et 2, mais la présence de deux couches donne de meilleurs résultats. ;*La soudure péri-
"Mule or similar slipper" <EMI ID = 1.1>
Applicant, relate to a slipper made of one or more layers of an elastic cellular material forming both a sole and an upper, the latter being formed by the hooking of tongues in slots provided, both, at the ends of tabs extending on either side of this sole.
According to the improvement patent 807,747, the alveolar elastic material forming the sole and the upper is in the form of two sheets trapping an air mattress between them thanks to the welding of the free edges of the piece forming the sole and the upper. The external faces of these layers of cellular elastic material are hot-rolled with a view to producing a smooth impermeable surface which is easy to maintain.
This rolling, besides being an additional operation, poses, during manufacture, various problems, such as deterioration by heat, when the contact time between the hot rolling rolls and the material cellular elasticity is exaggerated, or even discoloration of this material when colored.
The object of the present invention is to provide a mule or slipper which has an improved appearance and can be produced under better production conditions while retaining its intrinsic qualities.
For this purpose, the mule or slipper according to the invention consists of at least one layer of elastic cellular material and two outer layers of impermeable synthetic material enclosing said <EMI ID = 2.1>
pherical.
Other details and advantages of the invention will emerge from the description which will be given below of a similar mule or slipper according to the invention. This description is given only by way of example and does not limit the invention. The reference notations relate to the attached figures.
Figure 1 is a plan view with partial breaks of a similar mule or slipper shown before assembly. Figure 2 is a sectional view along the line II-II of Figure 1 but shown on a larger scale.
The mule represented by these figures is constituted by the assembly of two layers of elastic cellular material 1 and 2 constituting both the sole
3 than the upper formed by the legs 4, 5, 6 and 7.
The tabs 4 and 5 end with tabs 9 which enter the slots 8 of the tabs
7 and 6 respectively, so that the legs 4 and
5 intersect when the mule is closed.
Reinforcing welds 10 are provided at the ends of the slots 8 in order to prevent the material of which these tabs are made from tearing. Similar welds 10 are made at the end of the slots provided between the tabs 4 and 5 and the tabs 9.
Four welds 11 are made at the place where the tabs 4 to 7 fold up relative to the sole 3.
According to prior techniques set to <EMI ID = 3.1>
Cells 1 and 2 were laminated on their outer face to provide an impermeable surface for easy maintenance. In this way also, it was possible to form, after welding the contour of the mule, an air mattress which, trapped between the two layers of elastic alveolar material, considerably improved comfort.
of the shoe thus produced.
However, the rolling of the layers in question has proved to be a delicate operation, causing an exaggerated melting of the material intermittently. In addition, when a colored cellular material is used, it may, under the influence of heat, discolor more or less strongly. These two drawbacks cause a more or less significant loss of material.
According to the present patent application, these drawbacks are remedied by replacing the operation of
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alveolar tick 1 and 2 and two outer layers 12 and 13 of smooth impermeable material. Peripheral welding
14, carried out as above during the cutting-welding operation, according to techniques perfectly known to those skilled in the art, therefore brings together the edge of layers 1 and 2 and that of outer layers 12 and 13. It forms here also an air mattress between layers 1 and 2, while the completion of the whole is achieved by a smooth film which can easily be maintained.
Theoretically, the two layers 1 and 2 could be replaced by a single layer welded laterally to the outer layers 1 and 2, but the presence of two layers gives better results. ; * The peri-weld