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" DISPOSITIF DE COMMANDE D'UN EMETTEUR AUTOMATIQUE D'IMPULSIONS POUR INSTALLATIONS TELEPHONIQUES ET ANALOGUES." La. présente invention a pour objet un dispositif de commande pour 1'entraînement d'un appareil automatique d'émission d'impulsions électriques destiné à des installa- tions téléphoniques, télégraphiques ou analogues comportant sélection d'une adresse chiffrée.
Elle vise plus particuliè- rement le cas où la mémoire à adresses est constituée par une
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multiplicité de disques entraînés en rotation par un mécanis- me moteur approprié et sur lesquels les adressas individuelles sont enregistrées sous la forme de bossages qui, au cours d'u- ne révolution des disques, assurent la commande d'un généra- teur d'impulsions par l'Intermédiaire de tringles individuel lement associées à ces disques et d'un cliquet général com- mun à tous,
une touche de sélection associée à chacune des tringles étant amenée avant chaque opération de sa position de à sa position de travail à la quelle elle est main- tenue pendant la rotation du système par le moyen d'un cliquet de verrouillage, tandis que le mécanisme moteur est mis en marche pour s'arrêter automatiquement à la fin de cette opé- ration, les tringles de commando revenant alors à leur posi- tien de repos.
Un tel générateur d'impulsions ne permet pas seulement de sélectionner les chiffres d'un numéro d'appel dans un réseau téléphonique ou télégraphique à courte ou à grande distance, mais encore d'effectuer la sélection et la programmation dans des installations de traîtement d'informa-' tion ouivant le procédé dit "On-line", par l'intermédiaire des réseaux de communication,
Dans les appareils du genre en question les disques de commande exécutent une révolution complète au cours du processus de sélection du numéro désiré et ils se retrouvent ainsi à leur position de départ pour un nouveau cycle éventuel de fonctionnement Le temps de marohe de ces disques est fonction du numéro comportant le plus grand nom- bre de chiffres,
ainsi que de la fréquence d'impulsions nor- malisée. D'autre part pour chaque ordre d'unités de ce mu- méro le temps nécessaire est celui exigé pour les chiffres
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qui néoessitent la plus longue série d'impulsions.
Ce qui précède signifie que le processus de sélection exige toujours le même temps, que le numéro choisi soit petit ou grand.
Pour que la personne qui appelle ne soit pas obligée de maintenir son doigt sur la touche correspondante pendant toute la durée du processus de sélection, on prévoit dans ces appareils que lorsque'une touche a été actionnée, le mécanisme soit mis en marche et reste à cet état jusqu'à ce que les disques de commande soient revenus à leur position de départ après un tour complet, le mécanisme préoité étant alors automatiquement arrêté. L'intéressé n'a donc nullement la possibilité d'interrompre le cycle opératoire qu'il a dé- clenché, avant que ce cycle ne soit entièrement terminé.
Cela constitue toutefois un inconvénient, car il peut arriver que l'usager ait comms une erreur dans l'actionnement des tou- ches et qu'il s'en aperçoive avant la fin du cycle, ce'st-à- dire avant la liaison avec le faux numéro. En pareil cas il désirerait en effet interrompre prématurément ce cycle.
La présente invention vise par conséquent à permettre de réaliser dans de tels émetteurs d'impulsions la possibilité d'interrompre prématurément le cycle de sélection et de ramener rapidement les disques de commande à leur po- sition de départ, afin que l'usager ne soit pas obligé d'at- tendre l'écoulement de la durée normale de ce cycle avant de pouvoir commencer une nouvelle sélection.
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Le dispositif suivant l'invention est remar- quable en ce qu'il comporte, outre le train de transmission prévu pour l'entraînement des disques de commande au cours du fonctionnement normal, un second train à démultiplication
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plus faible propre à faire tourner ces disques à grande vi- tesse, oe second train pouvant être mis en action par l'in- termédiaire d'un accouplement oommandé par une touche de re- tour qui interrompt en même temps l'émission des impulsions.
Grâce à la disposition qui précède on obtient tout d'abord l'avantage de permettre à l'usager d'interrom- pre le cycle de sélection qu'il a déclenché et de remettre dans un'temps très court l'appareil à même d'entreprendre un nouveau cycle. En outre on s'assure un second avantage du fait que pour effectuer l'entraînement accéléré des disques de commande en vue de leur retour à leur position initiale, on peut utiliser non seulement le même moteur, mais encore un tel moteur ne comportant qu'une seule vitesse de fonction- nement. On conçoit bien entendu qu'il serait également possi- ble d'employer un moteur à deux vitesses, mais de tels mo- teurs sont coûteux et ils exigent beaucoup de place pour leur montage dans l'appareil.
Un avantage supplémentaire de l'invention doit être vu dans le fait que pour la marche à grande vitesse l'on peut ne pas mettre en oeuvre les mêmes pièces mécaniques que pour le fonctionnement, normal, ces dernières étant prévues pour une vitesse angulaire relati- vement faible, o'est-à-dire comportant une démultiplication relativement importante pour permettre d'utiliser un moteur à grande vitesse, moins coûteux. Or de telles pièces ne conviennent pas pour la marche à grande vitesse car elles seraient alors soumises à une usure excessive.
Suivant une autre caractéristique de l'in- vention, il est prévu que le train de transmission de fonc- tionnement normal comporte un accouplement à roue libre, ce qui présente l'avantage d'éviiter à ce train une réaction,
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défavorable de la part de celui de marche à grande vitesse et de n'opposer à ce dernier aucune résistance de frottement notable, comme cela serait par exemple le cas si l'on pré- voyait un accouplement à friction à la place du mécanisme à roue libre. Compte tenu des avantages techniques do fabri- cation et de fonctionnement, il est en outre prévu suivant l'invention de réaliser l'accouplement à roue libre sous la forme d'un mécanisme à cliquet.
En vue d'amortir l'à-coup d'accélération qui apparaît inévitablement lors de la mise en marche du train à grande vitesse et pour ménager ainsi les organes, il est im- portant de prévoir dans ce train une liaison élastique, avan- tageusement réalisée sous la forme d'une transmission par courroies en caoutchouc.
Une telle transmission par courroies en caout- chouo est de fonctionnement très stable et de plus sa fabri- cation est très simple et très économique. Elle peut en ou- tre absorber de très forts à-coups d'accélération sans être endommagée en quoi que ce soit si les courroies sont relati- vement longues et par conséquent élastiques. Enfin la liai- son à friction de ces courroies avec les poulies peut égale- ment jouer le rôle de sécurité à l'encontre des surcharges.
Pour obtenir que l'accouplement prévu dans le train de transmission à grande vitesse puisse être aisément mis en servioe par actionnement de la touche de retour et qu'il le reste jusqu'à ce qu'on ait atteint la position ini- tiale des disques de commande en pouvant ensuite être à nou- veau réutilisé, il est avantageux de prévoir 4 cet effet un levier d'actionnement à rappel élastique qui, à sa position de repos, se trouve retenu par une butée mobile liée à la touche précitée et qui, lorsqu'il se trouve en position de travail, soit à nouveau ramené à la position de repos précitée
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par une ceme tournant aveo les disques de commande.
De cette ' manière on utilise essentiellement, outre la touche de retour, trois pièces seulement pour la commande de l'aoooouplement sus-mentionné, à savoir le levier d'actionnement, la butée et ; la came qui tourne aveo les disques, ce qui constitue un avan- tage technique non seulement ou point de vue de la fabrication mais également à celui du fonctionnement.
Pour interrompre l'émission des impulsions électriques pendant la marche à grande vitesse, suivant une autre caractéristique de l'invention qui se signale également par sa simplicité, il est prévu que la butée soit maintenue en position effacée à l'encontre de l'aotion d'un ressort par le levier d'actionnement lui-même jusqu'au retour de ce- lui-ci à la position de repos, ladite butée agissant alors par l'intermédiaire d'un autre levier sur un dispositif de contacts de coupure inséré dans le circuit des impulsions.
Il est particulièrement avantageux au point de vue du fonc- tionnement qu'en même temps qu'on met en action l'accouple- ment prévu dans le train de transmission à grande vitesse, l'émission des impulsions se trouve interrompue et qu'inver- sement le circuit correspondant soit à nouveau fermé lorsque l'accouplement est mis hors d'action. De cette manière quand les disques de commande arrivent à leur position initiale, l'appareil est à nouveau prêt pour recommencer un cycle de sélection.
Il peut être avantageux à cet égard de pré- voir dans le train de transmission à grande vitesse un accou- plement électro-magnétique de type connu placé sous la dé- pendance d'un interrupteur actionné par le levier d'action- nement .Il est toutefois plus économique et plus simple
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d'établir cet accouplement par le moyen de l'une des poulies de la transmission à courroies de caoutchouc et d'un pignon,
ces deux pièces étant montées suivant un même axe de manière à pouvoir se déplacer axialement l'une par rapport à l'autre et portant toutes les deux des organes d'entraînement suscep- tibles d'être mis en prise ou dégagés par l'effet du déplace- ment précité*
Si l'on considère un appareil dans lequel les tringles de commande associées aux touches de sélection sont verrouillées à la position d'aotionnement par encliquetage à commande électro-magnétique, pour ramener ces tringles à la position de repos au cours de la marche à grande vitesse il est avantageux d'associer à la touche de retour un in- terrupteur électrique inséré dans le circuit de l'électro-ai- mant de verrouillage.
Il convient encore de pouvoir réaliser de fa- çon simple la mise en marche et l'arrêt exacts du moteur d'entraînement de façon que celui-ci démarre lorsqu'on ac- tionne une touche de sélection et qu'il s'arrête juste lors- que les disques atteignent leur position de départ, même lors de la marche à grande vitesse.
A cet effet, il est avanta- geux au point de vue de la fabrication aussi bien qu'à celui du fonctionnement., de prévoir un disque particulier ou dis- que principal, synchronisé aveo les disques de commande, pro- pre à actionner l'interrupteur du moteur et auquel soit asso- cié un disque auxiliaire identique, susceptible de se dépla- cer par rapport à lui d'un angle déterminé, ce disque auxi- liaire étant maintenu au repos à l'une des extrémités de sa position angulaire relative, à l'encontre de l'action d'un ressort de rappel, par le moyen d'un verrou qui s'efface
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lorsqu'on actionne une touche de sélection,
de manière que le disque auxiliaire précité avance ainsi sous l'action de son ressort par rapport au disque principal au cours de la ro- talion de l'ensemble pour assurer l'actionnement de l'inter- rupteur dès le début de la rupture,
On exposera d'autres détails de cette disposi- tion dans la description qui va suivre.
Suivant une autre caractéristique de l'inventior pour élargir et préciser les possibilités d'utilisation de la marche à grande vitesse, il est prévu de ménager sur les dis- ques de commande, entre deux bossages successifs de ceux-ci, une oreusure radiale plus profonde et de monter dans le cir- cuit du moteur, en série avec l'interrupteur de ce dernier, un Interrupteur auxiliaire qu'un levier de blocage vient ac- tionner par l'intermédiaire d'un autre levier, le tout de ma- nière que lorsqu'une tringle associée à une touche de sélec- tion tombe dans la creusure précitée de l'un des disques, cet interrupteur s'ouvre pour pouvoir ensuite être refermé soit par la touche de retour, soit par une touche particulière de mise en marche.
La disposition précédente présente l'avantage, plus particulièrement dans le cas de numéros 4 grand nombre de chiffres comportant une sélection préalable avant le nu- méro de l'abonné, que l'usager de l'appareil peut au cours du processus de sélection, recevoir la réponse du téléphone ou du télégraphe lui faisant savoir si la ligne aboutissant à 1 abonné désiré est libre ou non, En fait cette disposition détermine au cours du oyàle de sélection considéré une pause pendant laquelle on peut écouter la tonalité d'occupation ou de disponibilité de la lig@s.Si par exemple l'usager entend
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la tonalité d'occupation après que l'appareil ait réalisé le numéro de pré-sélection, il peut actionner la touche de retour pour accélérer le cycle opératoire.
En sens inverse, s'il re- çoit la tonalité de ligne libre,' c'est alors la touche de mise en marche (touche d'arrêt intermédiaire) qu'il actionne pour poursuivre le cycle normal de sélection.
Il est à signaler que la disposition en question comporte des avantages non seulement pour les communications téléphoniques ou télégraphiques, mais également dans le cas où l'appareil est utilisé pour assurer la sélection et/ou la pro- grammation dans les machines de traitement d'information, ou calculatrices fonctionnant suivant le procédé "On-lino" . Il est en effet fréquent; que le numéro de sélection ou de pro- grammation soit divisé en groupes de chiffres entre lesquels il oonvient d'observer une pause pour attendre un signal éventuel de réponse.
Ainsi qu'on l'a déjà dit, lorsque l'appareil est monté dans un réseau de communications téléphoniques ou té- légraphiques, il est avantageux de disposer les creusures ra- diales profondes des disques de commande entre deux bossages de ceux-ci, à savoir un bossage correspondant au dernier chif- fre du numéro de pré-sélection et l'autre au premier chiffre du numéro de l'abonné.
Le dispositif précité est particulièrement sim- ple et de fonctionnement sûr quand le levier de blocage est actionné par le oliquet général bien connu, associé à tous les organes de tâtage et qui commande le générateur d'impulsions, ce levier, quand ise trouve à sa position de repos, maintenant le levier d'actionnement de l'interrupteur auxiliaire à la po- sition de fermeture de ce dernier, à l'encontre de l'action,,,,
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d'un ressort.
On obtient ainsi l'avantage de pouvoir utiliser ,pour actionner l'interrupteur auxiliaire, les tringles de com- mande normales qui latent les disques, de sorte que cet in- terrupteur puisse être actionné de manière précise en fonction! de la position des disques eux-mêmes. pour que l'interrupteur auxiliaire puisse être refermé non seulement par la touche de mise en marche, mais également par celle de retour quand elle déclenche la marche à grande vitesse, le levier d'actionnement de l'interrupteur précité est relié à un bras qui est lui-même associé à une butée actionnée par la touche de retour.
De cette manière quand on appuie sur cette touche on referme l'interrupteur auxiliaire qui avait arrêté le moteur, de sorte que la mar- che à grande vitesse peut s'effectuer sans aucun retard. le dessin annexé, donné à titre d'exemple, per- mettra de mieux comprendre l'invention, les caractéristiques qu'elle présente et les avantages qu'elle est susceptible de procurer ' - Fig. 1 montre schématiquement le mécanisme de commande de
3.'émetteur d'impulsions électriques.
- Fig. 2 est une perspective schématisée des pièces essentiel- les à commande à main de l'appareil.
- Fig. 3 représente une vue de coté du mécanisme de mise en marche et d'arrêt du moteur d'entraînement.
- Fig. 4 est une vue en plan partielle correspondant à fig. 3 - Fig. 5 est une vue de coté du mécanisme d'entraînement et de retour, montrant les pièces essentielles de celui-ci* - Fig. 6 est une coupe suivant A-A (fig. 5).
- Fig. 7 est une vue en plan partielle correspondant à fig.5 - Fig. 8 est une coupe suivant B-B (fig. 7).
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- Pige 9 est un schéma des circuits électriques de l'appareil.
Fig. 1 représente les pièces les plus essentiel. les pour l'émission d'impulsions électriques destinées à re- présenter les chiffres individuels d'un numéro convenablement choisi. Dans cet appareil à chaque touche de sélection 1 (fig.
2 ) correspond une tringle 2 et un disque de commande 3 . * Les disques 3 sont tous calés coaxialement sur un même tambour 4 qui effectue une révolution complète lors de chaque cycle de sélection. L'entraînement de ce tambour 4 est assuré par un moteur 5 par l'intermédiaire de deux couples hélicoïdaux res- peotivement 6, 7 et 8, 9 (voir également fige 5, 7 et 8) . Les roues 7 et 8 sont calées sur un même arbre 10 monté à rotation par ses extrémités dans des paliers fixes 11 et 12. Les dis- ques 3 tournent dans le sens de la flèche 13 . Chacun d'eux comporte aur sa périphérie un certain nombre de bossages 14 de longueurs différentes, à chaque longueur correspondant un nombre déterminé d'impulsions électriques.
Lorsqu'on actionne une touche 1 la tringle 2 correspondante est déplacée dans le sens de la flèche 16 par rapport au cliquet général 15, de sorte que le doigt tâteur 17 de celui-ci ne se trouve plus au-dessus d'une entaille 18 de la tringle, mais bien sur la dent terminale 19 de celle-ci (voir fig. 2). Au cours de la rotation du disque 3 considéré dans le sens de la flèche 13, le nez 20 de la tringle tâte alors la périphérie du disque et, chaque fois qu'un bossage 14 passe au-dessous de lui, il soulève le cliquet 15 en le faisant pivoter autour de son .arbre porteur 21 .
Ce mouvement de bascule du cliquet 15 est transmis à un levier à deux bras 22 (fig. 1) articulé en 23 et soumis à l'action d'un ressort 24 . * L'extrémité inférieure 26 du bras vertical 25
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du levier 22 est engagée au repos dans une fente radiale 28 d'un plateau d'arrêt 27, le tout comme le fait bien comprendre fige 1 . Ce plateau 27 est angulairement solidaire d'un dis- que à impulsions 29, le tout étant monté fou sur l'arbre 10 auquel il n'est relié que par un accouplement à friction dont on aperçoit en fige 1 le ressort 30 .
Chaque fois que la tringle 2 soulève le cliquet général 15 au passage d'un bossage 14, le levier double 22 bascule suivant la flèche 31 à l'encontre du ressort 24, de sorte que l'extrémité 26 du bras vertical 25 ae dégage de la fente 28 du plateau d'arrêt 27, ce plateau et le disque d'im- pulsions 29 étant alors entraînés par l'arbre 10 par l'inter- médiaire de l'accouplement à friction. A ce moment un talon 32 du bras 25 du levier 22 forme un couple de contacts nsa tandis qu'au cours de la rotation du disque 29 un autre couple de contacts nsi détermine un nombre d'impulsions électriques correspondant à la longueur angulaire du bossage 14 .
Aussitdt que le nez tâteur 20 de la tringle 2 retombe radialement du bossage 14 considéré, le ressort 24 fait pénétrer l'extrémité 26 du levier 22 dans la première fente 28 qui se présente sur le plateuu 27, ce qui arrête celui-ci en même temps que le disque à impulsions 29 en ou- ; vrant simultanément les deux couples de contact nsa et nsi . j
La roue hélicoïdale 8 calée sur l'arbre 10 est ' en prise avec la roue correspondante 9 qui se trouve entrai- née dans le sens de la flèche 13. Cette roue 9 porte l'axe 33 (figo 8) d'un cliquet d'entraînement 34 qu'un ressort 35 engage avec une roue à rochet 36 rigidement solidaire d'une roue d'engrenage 37.
Cette roue 37 est à son tour calée sur le tambour de commande 4
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Ainsi 1'entraînement du tambour 4 ne s'effec- tue pas directement à partir de la roue 9, laquelle est mon- tée folle sur lui, mais bien par l'intermédiaire de l'acoou- plement à roue libre constitué par la roue 36 et le cliquet 34 .
Outre ce premier train de transmission consti- tué par les couples hélicoïdaux 6, 7 et 8, 9 et par l'accou- plement à roue libre que réalisent la roue à rochet 36 et son cliquet 34, il en- est prévu un second, également commandé par le moteur 5 .Ce second train est réalisé par le moyen de deux poulies à gorges doubles 38 et 39, la première étant oa- lée sur l'arbre 5' du moteur 5 et qui porte également la roue hélicoïdale 6 . Ce second train de transmission comprend en- core deux pignons 40 et 41 en prise l'un avec l'autre, le second engrenant en outre avec la roue d'engrenage 37 mention- née plus haut. Les poulies doubles 37 et 39 sont reliées l'u- ne à l'autre par deux courroies élastiques 42 faites en ca- outchouc.
Le train considéré renferme entre la poulie dou- ble 39 et le pignon 40 un accouplement 43 dont on peut apex cevoir la coupe en fige 6 .
La poulie 39 est folle angulairement et axia- lement sur un arbre 44; sa face extérieure oomporte un pro- longement chique 45 sur lequel agit un levier d'actionnement 46 destiné à assurer un déplacement axial de ladite poulie 39 sur l'arbre 44 .
La poulie double 39 comporte à son' intérieur une chambrure 47 orientée vers le pignon 40 et renfermant un moygu48 sur lequel est monté un ressort de compression 49.
Dans cette chambrurs 47 est logé un goujon d'accouplement 50 lequel coopère avec un autre goujon 51 solidaire d'un ,
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prolongement 52 du pignon 40, ce prolongement s'engageant dans la chambure 47 de la poulie double 39, le prolongement 52 comporte également une chambru;re 53 dans laquelle le moyeu 48 peut venir s'enfoncer'
Le pignon 40 et son prolongement 52 ne peuvent coulisses axialement sur l'arbre 44, mais sont au contraire goupiller sur lui . L'arbre 44 de son côte peut tourner dans des paliers non représentés, mais ne peut se déplacer axiale- ment.
Le levier d'actionnement 46 est monté à osoil- lation sur un goujon fixe 54 et 1'extrémité 55 de son grand bras 56 repose sur une butée 57 (fig. 5) .Au second ou petit bras 58 du levier 46 est attaché un ressort 59 qui maintient l'extrémité 55 sur la butée 57 précitée, c'est-à-dire qui im- pose au levier 46 un couple dans le sens dextrorsum en fige 5 .
Le petit bras 58 porte encore un galet 60 propre à coopé- rer avec une came 61 fixée sur un bout d'arbre 62 du tambour de commande 4 de manière à tourner en synchronisme aveo las disques 3 . *
La butée 57 est constituée par une partie pla- te 64 repliée à angle droit à partir d'une barrette 63 (voir aussi fige 2)
suspendue à une biellette 65 de façon à pouvoir se déplacer dans le sens longitudinale La biellette 65 est elle-même montée à oscillation sur un goujon fixe 66 et elle est reliée à la barrette 63 par une articulation 67 A son extrémité opposée à la butée 57 la barrette 63 est attelée à un levier 68 en forme d'équerre. Ce levier comporte un bras de commande 69 propre à agir sur un dispositif de contacts al, normalement fermé,et il est calé sur un arbre 70.
Cet arbre est à son tour monté à rotation dans un palier 71 et sur son
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extrémité opposée est goupillé un levier 72 dont un bras 73 s'engage par un épaulement 74 sous la tige 75 d'une touche de retour 76, ce bras portant par ailleurs un goujon latéral 77 (voir fig. 2,5 et 7) . La, tige 75 est équipée d'un ressort de rappel 78 de sorte qu'âpres qu'on l'ait actionnée , la touche 76 revient automatiquement à sa position de départ.
Un second bras 79 du levier 72 agit sur un micro-interrupteur 80, lequel commande un électro-aimant 81 (fig. 3). Ce dernier comporte une armature basculante 82 ac- couplée mécaniquement par un goujon-poussoir 83 avec une bar- rette de blocage 84 .La barrette 84 porte un nez 85 qui dé- passe perpendiculairement à l'axe longitudinal des tringles de commande 2 en étant associé à toutes celles-ci. Elle est soumise à l'action d'un ressort de traction 86 et eet montée à rotation sur un arbre 87. A la position de fonctionnement de chacune des tringles 2 le nez 85 coopère avec une dent d'arrêt 88 lorsque l'électro-aimant est excité. L'excitation de cet électro-aimant est assurée par un interrupteur 89.
La mise en marche et l'arrêt du moteur 5 (moteur électrique) au début et à la fin d'un cycle de rotation des disques 3 sont réalisés par les pièces représentées en fig. 3 et 4 .
Sur le coté du tambour de commande 4 opposé au bout d'arbre 62 (fig. 7) ,il est prévu un autre bout d'arbre 90 solidaire du tambour et porté à rotation par la platine 91 de l'appareil. A l'extérieur de cette platine le bout d'arbre 90 supporte un disque principal 92 et un disque au- xiliaire 93 .Le premier est goupillé en place, tandis que le second est monté fou et est relié au préoédent par un gou- jon 94 porté par celui-ci et qui traverse une lumière 95 (fig 3) du second.
Entre le goujon 94 du disque principal 92 et
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un autre goujon 96 porté par le disque auxiliaire 93 est ten- du un ressort de rappel 97
Le disque principal 92 et le disque auxi- liaire 93 comportent l'un et l'autre sur leur périphérie u- ne entaille radiale 98 et ils coopèrent tous deux avec un même galet tâteur 99 . Ce dernier est monté fou sur un axe 100 porté par un levier 101 en forme d'équerre monté à osoil- lation sur un goujon 102 de la platine 91 et soumis à l'ac- tion d'un ressort du traction 103 ,A l'extrémité libre 104 du levier 101 il est prévu une vis micrométrique 105 propre à coopérer avec le bouton-poussoir 106 de l'interrupteur 89 .
Sur sa face extérieure le disque auxiliai- re 93 porte un goujon 107 sur le trajet duquel se trouve un verrou 109 monté à coulissement longitudinal dans un étrier 108 . L'autre extrémité du verrou 109 est attelée 4 un bras 110 calé sur un arbre 111 sur lequel est également monté de façon rigide une barre 112 commune à toutes les tringles de commande 2 , lu tambour 4 est encore fixée une came cir- oulaire 113 tâtée par un galet 115 porté par un bras 114, cette came comportant sur sa périphérie une entaille radia- le 116 La came 113 et le bras 114 qu'elle commande n'ont aucune influence sur l'interrupteur 89 et par conséquent sur la mise en marche et l'arrêt du moteur 5 .
Leur rôle est au contraire de soulever toutes les tringles de commande 2 par le moyen d'une barre de relovage 117 qui est associée à celle-ci. De cette manière les nes tâteurs 20 de ces barret- tes sont dégagés de la zone d'action des bossages 14 des disques de commande 3 qui leur correspondent. Quand on ac- tionne une touche de sélection lit la tringle de commande 2
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qui lui est associée est déplacée dans le sens de la flèche
16 et elle n'est pas entraînée par la barre de relevage 117 lorsque celle-ci se déplace dans le sens de la flèche 110, étant donné que le bossage 119 de cette tringle ne se trou- ve plus sur le trajet de la barre précitée.
L'arrêt et la remise en marche du moteur 5 peuvent.s'effectuer non seulement par les pièces représen- tées en fig. 4 et 5, mais également à l'aide du dispositif ci-après qu'on peut voir en fig. 2 .
Ainsi qu'on le décrira plus loin en réfé- rence à fige 9 le circuit du moteur 5 comprend un interrup- teur auxiliaire 120 en série avec l'interrupteur 89 déjà dé- crit. Cet interrupteur auxiliaire 120 est actionné par le bras 121 d'un levier double 122 goupillé sur un arbre 123 et sur lequel agit un ressort de traction 124 . Le second bras 125 du levier 122 porte un goujon 126 propre à coopérer avec un levier de verrouillage 127. Ce dernier comporte un épaulement 128 situé sur le trajet du goujon 126 et il est monté à basculement sur un axe 129 . Le second bras 127a de ce levier 127 se trouve au-dessous d'une languette 130 du cliquet général 15, tandis que le levier lui-même est soumis à l'action d'un ressort 131.
Entre le quatrième et le oin- quième bossage 14 le disque de commande 3 considéré compor- te une creusure radiale 14a plus profonde que les espaces prévus entre les bossages successifs. Sur l'arbre 123 sont également goupillés deux bras 132 et 133 .Le premier se trou- ve sur le trajet de la tige 134 d'une touche de mise en mar- che 133,également équipée d'un ressort de rappel 78.
Le se- cond est situé sur le trajet du goujon latéral 77 du levier
72, qui, comme sus-indiqué, est soumis à l'action de la tou- che de rappel 76
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Le fonctionnement du dispositif qu'on. vient de décrire est le suivant: Mise en marche et arrt du moteur d'entraînement
A la fin de chaque cycle de sélection l'in- terrupteur auxiliaire 120 est formé dans le circuit de l'in- terrupteur 89, de sorte que lorsqu'on actionne ce dernier, le moteur 5 est alimenté.
Si l'on agit alors sur l'une des touches de sélection 1, la tringle de commande 2 correspon- dante se déplace dans le sens de la flèche 16 et son extré- mité inférieure vient buter contre la barre 112, de sorte que cette dernière fait basculer le bras 110 dans le sens de la flèche 136 de fig. 2 .Par suite de ce basculement du bras 110 le verrou 109 est effacé par rapport au.parcours oircu- laire du goujon 107 du disque auxiliaire 93, de sorte que sous l'effet du ressort tendu 97 celui-ci tourne par rapport au disque principal 92 d'un angle correspondant à l'étendue de la lumière 95 en dégageant ainsi de sa périphérie le galet tâteur 99 du levier 101.
Le déplacement angulaire qui en ré- sulte pour ce levier 101 détermine la fermeture de l'inter- rupteur 89 et par conséquent la mise en circuit du moteur d'entraînement 5 (voir également fige 9) . Le moteur 5 démar- re et met en rotation le tambour 4 avec les disques de com- mande 3 et les deux bouts d'arbre 62 et 90 .
Comme le montrent fige 2 et 3, lorsqu'on actionne la touche de sélection 1 la tringle de commande correspondante commence par reculer d'une certaine quantité avant d'actionner la barre 112. Lorsqu'on abandonne la tou- che 1, un ressort 137 rappelle la tringle 2 sur une faible distance de sorte qu'une fois la touche 1 libérée, le verrou 109 revient sur le trajet circulaire du goujon 107,c'est-à- dire à sa position de verrouillage
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Comme on peut le voir en fig. 9, en même temps que le moteur a été mis en marche par l'interrupteur 89, 1'électro-aimant 81 est excité par l'intermédiaire du mioro- interrupteur 80 et d'un redresseur 138.
L'armature 82 de cet électro-aimant fait donc basculer le nez de blocage 85 de la barrette 84 pour l'amener derrière la dent d'arrêt 88 de la tringle de commande 2, laquelle est ainsi retenue à l'encon- tre de l'action du ressort de rappel 137, à la position de fonctionnement pour laquelle le doigt tâteur 17 du cliquet général 15 ne se trouve plus au-dessus de l'entaille 18 , mais mais bien de la dent terminale 19 de la tringle.
Le moteur 5 reste alimanté jusqu'à ce que son circuit soit coupé ou bien par l'interrupteur 89, ou bien par l'interrupteur auxiliaire 120.
En ce qui concerne l'interrupteur 89, dans tous les cas il ne s'ouvre à nouveau que lorsque le disque principal 92 a effectué une révolution complète* Mais avant que cette rotation du disque 92 ne soit terminée, le goujon 107 du disque auxiliaire 93 est revenu buter contre le ver- rou 109, de sorte que ce disque 93 s'est arrêté pendant que le disque principal 92 a encore tourné à l'angle correspondant à la longueur de la lumière 95 en bandant le ressort 97.
Le galet tâteur 99 ne peut retomber dans l'entaille 98 du dis- que principal 92 qu'à la fin d'une révolution complète, lors- que cette entaille est revenue coïncider avec oelle du dis- que auxiliaire 93. C'est alors seulement que l'interrupteur 89 s'ouvre pour couper le moteur d'entraînement. Cette ou- verture de l'interrupteur 89 coupe également le circuit de l'électro-aimant 81, de sorte que l'armature 82 libère à nouveau la barrette de blocage 84 qui peut obéir à l'action
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du ressort 86 et dégager la dent 88 de la tringle de commande ;
2, cette dernière pouvant alors revenir à sa position de repos A un instant qui se situe au plus tard lors de la retombée du galet tâteur 99 dans les entailles 98, le galet 115' du levier 114 retombe de son cote dans l'entaille 116 de la came 113, de sorte que la barre de levage 117 ne se trouve plus sur le trajet de retour de la tringle de commande 2.
Arrêt intermédiaire
Si le disque de commande 3 associé à la trin- gle 2 qu'on vient d'actionner comporte une creusure radiale profonde 14a, comme cela a été représenté en fig. 2, après le tâtage du quatrième bossage 14 le nez tâteur 20 s'enfonce dans cette' creusure et exécute ainsi un déplacement angulaire plus grand, de sorte-que sous l'effet du ressort correspondant le cliquet général 15 qui repose sur la dent 19 de la tringle 2 bascule lui aussi d'un angle plus important et, par l'inter- médiaire de la languette 130 , entraîne le levier de verrouil- lage 127 dans le sens dextrorsum. L'épaulement 128 de ce le- vier libère le goujon 126 du levier 122, lequel bascule sous l'effet du ressort 124. L'interrupteur auxiliaire 120 s'ou- vre alors dans le circuit du moteur 5 qui s'arrête.
La personne qui a appelé peut ainsi atten- dre l'apparition du signal de tonalité dans l'écouteur, Si ce signal correspond à une ligne libre il peut actionner la tou- che 135 pour remettre en marche le moteur. Cela entraine le déroulement des phases ci-après :
Du fait de la pression exercée sur cette touche 135, la tige 134 de celle-ci s'abaisse et par le bras 132 elle fait basculer le levier 122 en sens inverse, de sor- te que le bras 121 de celui-ci ferme à nouveau l'interrupteur
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auxiliaire 120 en remettant en marche le moteur 5.
Du fait de cette remise en marche le disque de oommande 3 tourne à nouveau si bien que le nez tâteur 20 quitte la creusure pro- fonde 14a et que l'épaulement 128 du levier de verrouillage 127 se trouve devant le goujon 126. Lorsqu'on abandonne la touche de remise en marche 135, l'interrupteur auxiliaire 120 reste donc fermé et le processus de sélection se termine sui- vant son déroulement normal, c'est-à-dire à la vitesse prévue à cet effet.
Retour à grande vitesse du tambour de commande 4
Lorsqu'au cours de l'arrêt intermédiaire l'utilisateur entend non pas la tonalité libre, mais celle d'ocoupation, il peut actionner la touche de retour 76 pour terminer rapidement le cycle de sélection commencé.
Dans ce cas ce n'est donc plus la touche 135 de mise en marche qui est actionnée, mais celle de retour 76 . La tige 75 de cette touche 76 fait basculer le levier 72 de sorte que d'une part le levier d'aotionnement 122 forme à nuuveau l'interrupteur auxiliaire 120 par le goujon 77 et le bras 133, à la façon exposée plus haut, comme lors de l'ac- tionnement de la touche 135, tandis que d'autre part la par- tie plate ou butée 64 s'efface sous le levier 46 par l'inter- médiaire de l'arbre 70, du levier 68 et de la barrette 63,le levier 46, tiré par son ressort 59, tournant dans le sens dex- trorsum (considéré en fige 5) de façon que son bras 56 aocou- ple la poulie double 39 avec le pignon 40 par l'intermédiaire du prolongement conique 45.,
Par suite du déplacement vers le bas du bras 56 du levier 46, la poulie double 39 coulisse dans le sens axial sur l'arbre 44 (fig.6) en direction du pignon 40, de sorte que les deux goujons d'accouplement 50 et 51 viennent en prise l'un avec l'autre. De ce fait l'en- traînement du tambour de commande 4 est effectué à partir du
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deuxième train de transmission avec la plus faible démultipli- cation, la roue 37 d'engrenage étant commandée à grande vîtes-: se par le dispositif à courroies 38-39 et par les deux pignons ;
40,41.
La coupure du moteur se réalise après la fin d'un tour complet du tambour de commande 4 à la façon exposée plus haut en référence aux fig. 3 et
Lorsqu 'on abaisse la touche de retour 76 le dispositif de contacta a1 (fig. 5 et 9) s'ouvre sous l'ef- fet du bras 69 et le bras 79 agit de même sur le micro-inter- rupteur 80 branché dans le circuit de 1'électro-aimant 81 .
Le dispositif al est monté en série avec les contacts généra- ! teurs d'impulsions nsi de sorte que pendant le processus de marche rapide l'envoi des impulsions est interrompu. Le dis- positif de contact al remplit ainsi simultanément le rôle de l'étrier interrupteur (non représenté) des appareils télépho- niques usuels, si bien qu'âpres que le cycle commencé norma- lement ait été terminé rapidement, le combiné téléphonique n'a pas besoin d'être replacé sur cet étrier avant le commen.- cernent d'un nouveau processus de sélection.
Afin que le dispositif de contact al reste ouvert après qu'on ait abandonné la touche de retour 76 et jusqu'à la fin d'un tour ou révolution complète du tambour de commande 4 avec les disques 3 qu'il porte, la butée 57 est agencée de façon telle que l'extrémité 55 du grand bras
56 du levier d'actionnement 46 se trouve en avant.de la par- tie plate 64 de cette butée et que le levier 68 soit empêché d'obéir à la traction d'un ressort 138a accroché à la biel- ' lette 65 .
Ainsi dès que la butée 57 a été effacée sous le bras 56 du levier 46 par actionnement de la touche
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de retour 76, le dispositif de contact a1 reste ouvert jusqu'à la fin d'une rotation complète du tambour de commande 4 . De même l'interrupteur 80 demeure à l'ouverture.
Pendant le processus de retour rapide la roue d'engrenage 37 peut aller plus vite que la roue hélicoïda- le 9 grâce à l'accouplement à roue libre réalisé par la roue à rochet 36 et par le cliquet d'entraînement 34 . Il en résulte que le train de transmission qui correspond au fonctionnement normal reste pratiquement hors de service au cours du retour rapide. '
Peu avant la fin d'une révolution complète du tambour de commande 4, la came 61 calée sur le bout d'ar- bre 62 atteint le galet 60 du bras 58 du levier d'actionnement 46 et ramène donc ce levier à sa position de départ au cours du reste' de sa rotation, de sorte que la poulie double 39 re- vient elle aussi à sa position initiale et que les deux gou- jons d'accouplement ne sont blus en prise l'un avec l'autre.
En d'autres termes l'accouplement 43 est mis hors d'action.
Comme le désaccouplement s'effectue avant que le tambour 4 n'ait atteint sa position de départ, c'est le premier train de transmission correspondant à la marche normale qui prend la relève pour les derniers degrés 'de rotation et qui ramène le tambour 4 en assurant le retour complet du levier 46 à sa position normale qui est celle représentée en fig. 5 . *
Dès que le bord inférieur du bras 56 du le- vier 46 a été soulevé au-dessus de la butée 57, le ressort 138a tire à nouveau le levier 68 vers la gauche en fig* 5 par l'intermédiaire de la biellette 65 et de la barrette 63, de sorte que la butée se retrouve au-dessous du levier 46 et que le dispositif de contact al est 4 nouveau fermé*.
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Une fois que le tambour de commande 4 a ter-; miné sa révolution, le moteur d'entraînement est à nouveau cou- pé à la façon exposée plus haut et toutes les pièces de l'ap- pareil reprennent ainsi la position pour la-quelle elles sont prêtes à effectuer un nouveau cycle de sélection.
Comme le montre l'exemple de réalisation décrit ci-dessus, l'invention permet d'établir un appareil de fonctionnement très sur et de 'fabrication relativement peu compliquée qui ne comporte pas de pièces délicates, qui peut être manipulé de la façon la plus simple et qui assure dans tous les cas le fonctionnement le plus court. En outre cet appareil se caractérise par des possibilités d'utilisa-. tion universelle.
Il doit d'ailleurs être entendu que la des- cription qui précède n'a été donnée qu'à titre d'exemple et qu'elle ne limite nullement le domaine de l'invention dont on ne sortirait pas en remplaçant les détails d'exécution décrits par tous autres équivalants.