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"MACHIl# BN3ACHSUBS A-#Om.#IQTJ.m1t
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La présente inventa a trait à me ma.oh:1n4 automatique .pour l'ensachage OOtlDlet de produite agrioolee tolu que des pommes de terre ou autres légumes, ou Juatrie (charbons, minerais, produits transtorIl1As, eto*oa)e On oonna1t déjà des ennacheuses automatiques de divers types, mais oen machines ne réalisent pas l'opération d'ensaché!
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de façon coaplete, colt qu'elles exigent que l'ouvrier dispose à la van 10 sac mir l'orifice de sortie de la trémie d pesée, ou Nw un support xobile l'amenant IL oette trémies soit qu'alles livrent leu <Ma 1" 111118, ada non "te8. ce qui enge U enoort l'1ntonr8ntlon d'un ouvrier pour réaliser l'opéraion de f rmeture d,âfilÚ:
t1ft par couture, noUa,", ou autre (o))érat10n qu' on 44signora ci-après dix non de Il auellementll POUl" la dist:Ln,u.ezdu ni=le rapprochement des borda de l'ouverture du sac sans !1m1;1on redite borda l'un .. l'autre et auquel on rëaeyv9ï:<t le terme "formturo*). L' 1nvon1;1on via* au oontrain à réaliser une machina à lfflz1le il aufflao d'ameMr des piles de uaoo super- 1'O&<;Ça et qui livre les sacs remplie et eoel16., prête pour ilexpédi t. :1cn. ta Machin@ suiyeatt l'invention comprend essentiellement des moyens pour prélever leu sacs un par un IL ])art.\> d'une Dite et pons' 8..'nen8r 1< Ban pr4levé au-deesoue d'une tr41Ù1t de remJ)l1ssa&ftt don I11oyen8 pour ouvrir le sac an-deasous de la tzémie, pour dé. clenocar son remplissage à partir de oeU,-o:
1 et pour le refermer une o1.fJ remplis da moyens pour saisir la sac rempli et pour l'évacuer par d6.placement doua le plan de son débouché refera, don moyens pour aasurar la 800 Uem.on1i de oe sac et des moyens pour 4vaou'ar le aao rempli et scellé, Dons une forme d'exécution préférée de l'invention le prêlbve#en:t des sacs s'effectue l'aide de ventouses pneumatiques J')orl6e par un bras 060 :Ulant, ces ventouses s'abaissant sur la pile de 3aon pour prendre par aspiration le s8.o supérieur de celle-oi, puis S8 relevant pour amener ce sac à la vertical* au-dassous de la trémie le remplissage.
Bien entenclu pour qu'un
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tel dispositif puisse fonctionner, il faut que la paroi des sacs soit pleine et imperméable au moins au voisinage de l'ouverture,
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1à oh les ventouses viennent agir, IOl est en outre prévu. des @ moyens pour soulever la pile au fur et à mesure des prélèvements.
Dans une disposition préférée, la pile de sacs est porté* par un plateau, préférablement à inclinaison réglable, qui tend IL se soulever flou l'effet d'un contrepoids ou anglogue, le méoanieme vertical qui assure oe déplacement du plateau étant normalement bloqué, mais étant libéré pour un court instant au moment précis oh les ventouses preneuses n'abaissent sur la pile, en abaissant au besoin la plateau eu cas oh oelui-oi se serait soulevé de façon excessive au ooura du cycle procédant.
Il ont avantageux d'agencer les choses de manière quo les ventouses soulèvent d'abord le sac considéré en le faisant en quelque sorte rouler sur lui-même, de manière à le dégager Battement du sao inférieur, aana qu'il tende à repouoser ce dernier dans le sens longitudinal.
Pour assurer l'ouverture, puis la fermeture du sac, il est prévu un second système de ventouse pneumatique qui, une fois le sac amené sous la trémie de remplissage, vient agir sur la paroi de celui-ci opposée à celle recevant l'action du premier système Le remplissage lui-même est évidemment déclenché par ouverture de la trappe de sortie de la trémie correspondante. Dans une disposition préférée on prévoit deux trémies superposées, la trémie supérieure faisant partie d'un appareil automatique autonome ou incorporé à la machine, qui la charge d'un poids de produits exao- tement déterminé, tandis que la trémie inférieure ne sert que de oouloir de guidage.
Cette trémie inférieure eet avantageusement soumise à une vibration transversale de façon à éviter tout blocage.
Pour obtenir une meilleure sécurité de fonctionnement on fait préférablement comporter aux ventouses des mécanismes de pinces qui, une fois le sac ouvert, viennent serrer les parois de
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Ilouverturs, ce qui pu 4e weI" l'application du. vida aux
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ventouses.
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Les moyens de prise du sac won>li et rafarme sont aTSntageUeamant oonatituds par un chariot mobile portant un mëoaniatM de mtoho:1.res de gram* 3,onuar woPr*0 à et roiseorrer autour de la partît .U1)dr18UJ:'8 du aao, immédiatement au-dessous des ventouses. Ceci fait les Vîmes at4certent pour libérer la sac et le chariot revient en arriara en entratnant ce dernier, La scellement de l' ouvert\1rit 4u..ac est p:t'4t4:ra.blement réaliai par ooutura, 1 u cours de cola raoul, la chariot fait panser la partie haute du sac dana une petite maoh1 II. ooudre, Il est alors avantageux de prévoir une oertaina liberté des mâchoire a par rapport au obariotp b. lenconrs de ressorts appropria, afin de permettre le mouvemant saccadé imposé par la maohmo à o oudre nanti que aels entrain* don efforts sur l'aiguilla de oelle-oi.
En pareil ou, on fait OOa0P%Ok à la machina un diBpos1ttt qui, une fois la oouture terminée, aoups le fil au raa de celle-oi de manibre k dégager le saoi lu varianteo ai les parois du saxo sont en matibro p1aste ou aont garnies d'une telle matira, le scellement peut ne réaliser p:1.m])le 80\dure à chaud, par exemple an réalisant loti mê.ohoir88 allaa-mamaa noue forma chauffent*,
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Dans la forme d'exécution préférée de l'invention tous les
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aouvement. sont oomasaadée par don vérins pneumatiques placée sous la dépendance d'un programmateur jouant la 1'&18 de poste
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central.
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14 dessin annexé. donna à titra d'exemple, permettra de mieux comprendre 1'invmtion, les oaractèriatiqu a qu'elle I)zd. conte et les avantages qu'alla est auaoaptibla da procurer Pige 1 montra un type do sao pr6férablement utilisé an
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liaison avec la machine suivant l'invention.
Fig. 2 est une vue schématique on élévation d'un appa-
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r4il poaeur-doaéur indépendant qu'on ...0018 à la machine sur vant l'invention date la forme d'exécution reprduent4o aux figures o:L-a8.
?igt 9 est une vu* en plan nra.7. de la machine ou.. , vant cette fomo d'exécution ]?la* 4 est une vu* de o8té partielle à plus grade échelle montrent le poste de réserve des sacs vides et la poète de tranOfOrt de ceux-ci, les ventouses preneuses 9.Pp11qude. eur la pile de sacs. Cette vue correspond à peu près à la ligne de coupe IV-IV de fige 3.
Fig. 5 et 6 sont des coupes suivent V-V et VI-VI (fig. 4).
?la, 7 Montre la détail d'une ventouse pneumatique
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preneuse avec le mécanisme de pince qui lui est associé.
J'1i:. 8 est une vue en élévation avec coupe de l'ensemble des vomtousen iwanoui3on et de leur braa de commande.
J:1.. 9 ont une vue en bout de la partie haute do oet 8118tmbll, les ventouses n'y étant pu f1aur4e. pour ne pas eux%- charger inutilement le dessin,.
Pige 10 est une vue en plan partielle correspondant à fig. 9.
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J'1,fh f reproduit partiellement fige 4, mais en montrant les ventouses preneuses en fin de course de transfert*
Fig. 12 montre le détail d'une ventouse pneumatique
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ouvreuee avec le méomisme de pince qui lui ont associé,, lia. 13 ont une vue en élévation de l'ensemble de la ventouse ouvreuse et de son mdoanisme de commande, les trois organes de cet ensemble étant auppoaéa align8 pour la commodité du
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deaain yi;
. 14 est une vue de *8té oorreapondant ig. 13r naia les oriconon étant rapr6saaéa à leur poaitioa normale de fonctionnements Cette vue moatrs en outre les drinn d' uat3.on bemsnt de 3.'stsambls, leur aïcanisme de rialu4 et la Muept de guîdffl de la ventouse* i8. 15 est uns vue soh6ma%iqu* en 616TMion montrant la ventouse ounouse appliquée contre le aao par les ventouses PPnoUho0* 71&, 16 est la vu en plan oorreapondant k fig, 15.
rige 17 à 19 sent des schémas explicatifs du fonotionnement des ventouses et don pineau pour emsnsr un sac au poàt* de reapliaaagw, 3.'ouvrir et 1* rate pendant le ddversement de 1& charge, Pia, 20 est une vue on vlan du chariot de scellement et diévusaaticm des sacs* Pi±, 21 en est une vu* en bout avec coupe suivant XXI-XXI, cette vue montrant également la moh4ne b, coudre qui %celle lac sacs,
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Pia 22 est un schéma rsmablablw k ceux de fig$ 17 à 19, mais montrant Ion pilota à l'inetant oh la sac plein *et saisi par les machoirwa du ohariott Dansa la forme d'ajout ion les organe da rébsmxi.on des naos sont oonA%1%uÀ8 par don ventouses pneuaatiquw et par uonséquont les paroia daadite aaoa doivent tira pl*3nAa et impsrnaâab3.ea au moins dana la zona d'action des ventoui3ont,
On utiliaa préférablement z cet effet des sacs du type décrit au bravât français 1 1 166 063 du 6 ]février 1957 au non du demandeur$ Jean IODUU, pour "8ao d'embal3,s;w" Fit;t 1 montre à
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titre d'exemple un tel sac 1 constitué par une poche en filet ou
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@ en tissu à larges Milles 2 doublé extérieurement d'une couche 3 de papier, matière plastique ou analogue sur une certaine hauteur à partir de l'extrémité supérieure ouverte du. sao.
Un tel sao constitue un emballage très aéré, qui convient partiellement ' pour de nombreux produits alimentaires (légumes, par exemple) et qui, âpres remplissage, peut être %collé par couture., agrafage, collage, pliage eu aoudage à chaud, suivant lee case Dans la machine représentée les sacs sont scellés par couture.
La maohine représentée est d'autre part prévue pour être alimentée par un appareil peseur-doseur automatique de type connu, ! comprenant essentiellement une trémie poseuse 4 (fig. 2) portée par un système approprié de fléaux tarés, et à laquelle les produits considérés sont amenés par un élévateur 5 à partir d'une goulotte inférieure d'alimentation 6. Des mécanismes appropriés arrêtent l'élévateur 5 dès que la trémie 4 a reçu la charge pré- vue, cette dernière pouvant alors être déversée par manoeuvre de sa trappe de vidange 7 (généralement par commande électrique à distance). Dès que la vidange s'est opérée, la trémie 4 remonte et l'élévateur 5 se remet en marche de façon automatique pour la remplir à nouveau.
Coma montré dans la vue générale en plan de fig. 3, la machine suivant l'invention comprend un premier poste A destiné à recevoir une réserve de sacs vides empilés les uns sur les autres à l'état aplati, un poste de transfert B équipé de moyens qui prélèvent les sacs successifs à partir du poste A et qui les amènent à un troisième poste 0 ou poste 4' ouverture et de remplie- sage, un poste latéral de scellement D (le terme "scellement" devant s'entendre au. sens inique plus haut) qui constitue également sortie des sacs remplie et scellés, et enfin un poste central de commende E.
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poate de réaerve dee jaco Viù*8 - Ce polit*$ désigné par la référence globale A, comprend un
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plateau 8 (fi±, 4) légèrement ànàlàn4 direction du haut et vers le poste suivant B, le bord transversal inférieur de ce plateau étant solidaire d'une paroi vertical* ou tête 9 guidée à
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oouliasement sur de= titte vertioalet fixée 10 (t3,. 4 et 5) par l'intermédiaire de patine 1 in priférablement prévue au nombre do deux pour l'vne des tiate et d'un seul pour l'autre,, les deux premiers sont prétérablament du type à billes pour enoaieaer la couple de basculementf le troisième pouvant etrw établi de même maniéro ou nous la :
tor d'une simple fourche propre à empêcher loi plateau de tourner autour de l'axe des deux premiers patina. La face extérieure de la tête 8 *et solidaire d'une oreille centrale
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inférieure 12 laquelle ont attaché un oable 13 qui $'élève var- tioalement pour Danser sur une poulie aupérieuM 14 (fig, 4 et 6 je montée sur un axe 15 lui-mamt :porté par une olojson verticale 16 du bâti 17 de la machine, cette cloison étant découpée d'une
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entaille 16 pour le Daaaa&t de la poulie. De ladite poulie 14 le câble 13 redoncondg passe contre une butée verticale 19 et vient n'attacher à un oontrepoida 20 mobile entre la. cloison 16 et la paroi verticale adjacente du bâti 17.
En face de la butée 19 la cloison 16 porte un vérin 21 en bout de la tige duquel ont fixé un sabot 22 propre à serrer le câble 13 contre ladite butée avec une force suffisante pour bloquer son déplacement.
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Loraque la machine ont en marche, la plateau 8 porte un aupilage ? (fijg. 4) de naos 1 k l'état aplati, l'extrémité ouverte (extrémité eupérieure en t%, 1 ) étant appliquée contre la. tête 9* le contrepoids 20 cet aaeos lourd pour tendre tt soulever la. pliateau avec la pile P, mais os déplacement cet empêché par le vérin 21 qui bloque la odbls 13 contre la butée 20* À un inatsnt dfter.
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miné du cycle, de$ ventouses pneumatiques wenouaes 23 (fui8.4) *$abaissent sur la pile 2 près de la tête 9, c'est-à-d-ixe aur le i haut du sac supérieur de cette pile (donc sur la partie pleine et imperméable 3 de oelui-oi, fig. 1).
À cet instant précis le vérin 21 (fig.6) fait reculer la sabot 22 pour libérer le câble 13, ce qui permet au plateau 8 de se soulever nous l'action du
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contrepoids 20 de manière que le sac BuplSr1eur de la pile se trou-' ve franchement au contact des voutourien 23 (dont la course est limitée, coma on le verra oi-apr8). Eventuellement si le soo eupërieur de la pile 2 était trop -haut pour une raiaon quelcon- que (déréglage accidentel, par exemple), cette libération du câble 13 permettrait aux ventouses 23 d'abaiaaer le plateau 8.
Le cycle opératoire se poursuivant, les ventouses 23 aont mises nous vide de manière à prendre en quelque sorte le aao au-
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vérieur de la pile P, puis le vénn 21 est à nouveau actionné pour bloquer le o&ble 13 et enfin lea va touses 23 se aoulevent en entraînant aveo elles le aao riupérie;
précité, Grâce â la libération momentanée du câble z3 lors de chaque cycle, on est assuré qu'au coure du :tonctionnllD9nt le jplatoau 8 s'élève peu à peu à mesure que la pile P s'épuise,
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En vie-,-vie de l'extrémité la plua haute de la pile P, au niveau du sac aupérieur de celle-ci, il est prévu une paroi in-
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clinée incurvée 24 dont le rôle consiste à limiter tout glleee-. ment intempestif du haut de la pile vers le poste de transfert B au cours de l'enlèvement dudit sac supérieur,
Il peut être avantageux de prévoir réglable l'inclinaison
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du plateau porte-sao. 8, ce qui peut s'obtenir par tous moyens non figurés, par exemple en l'articulant à la tête 9 et en @
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prévoyant un système de blocage de l'articulation à l' inolitiai- son désirée.
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Poate de trenafert de% aqon videa - Ce pontet ou poste B de la. machine, comprend ...en'ti8llttll8:n't les ventouses preneuaea 23 précitées et leurs mécanismes d'aotionnement.
Chaque vontou 4. 23 (8. 7) ont constituée par un petit pliateau 011'oula1re dont la tue libre ont creusé* d'une dépression 25 de faible D=forAour, ce plateau étant solidaire d'une queue 26 fixée sur un 4d 27 lui-même portord transversalement en 28 de façon à et mont"-rJ-U1' un arbre creux.29, le blocage éteat assuré par nns vis 30.
Lw dd 27 et la quouo 26 sont perforée de manibre à réaliser un oanal intérieur 31 qui fait collD1uniqU8r la dépressionl
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25 avec une perforation 32 ])1'êW8 dans la paroi de l' arbre 29,
Comme montré fig. 8, celui-ci porte vers l'une de son extrémités deux dés 27 et par conséquent deux ventouses preneuses 23 conve-
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nablement ,s1,'Iaoé..
l'une de l'autre, tandis que son ext m1tî opposée est montée à rotation dans une tige tubulaire horizontale 33, Les deux extrémité" précitées aont obturées par des bouchons, respectivement 34 et 35, or dernier formant tOte dé- 'bordant* de butée axiale contre la tige 33, tsrrdie que la butée opposée est constituée par l'un des dés 27. La tige 33 représente elle-méme l'une dea branches d'une équerre dont l'autre branche est réalisée soue la forma d'un bras 36, également tubulaire, qui sa termine par un moyeu transversal 37 monté fou air un arbre horizontal fixe 38 parallèle à l'arbre 29.
L'arbre 38 est
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percé a-tialement d'-un alésage borgne 39 que des perforations 40 font communiquer avec une chambrure intérieure du moyeu 37 dans laquelle débouche l'alésas- axial 41 du braa 36, Oet alésage
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, s'ouvre à l'autre extrémité dudit braa dana une ohaD1brure de la tige tubulaire 33 et que des perforations 42 1'itlient l'alésage axial 43 de l'arbre 29. On comprend qu'ainsi les dépressions 25
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(fig. 7) des ventouses 23 sont reliées à l'alésage 39 de l'arbre fixe 38 indépendamment des débattement a angulaires du moyeu 37 sur ledit arbre 38 et de l'arbre oreux 29 dans la tige 33. Il est bien entendu prévu, des joints tels que 44 et 45 pour assurer l'étanohéité au droit dea portées tournantes.
La tête débordante 35 se prolonge latéralement par une oreil- la 46 (fige 9 et 10) qui porte un bouton latéral 47 auquel est amarré un ressort 48 aooroohé d'autre part à l'extrémité d'un doigt transversal 49 soudé sur la périphérie de la tige 33, ce doigt portant une butée latérale 50 propre à limiter le déplace. ment angulaire de la tête 35 par rappor à ladite, tige. Pour la commodité du dessin on a supposé en fig. @ à 10 que les ventouses 23 (non représentées en fig. 9 et 10) se trowaient dans un plan parallèle à l'axe du bras 36.
A cette position le ressort 48 est tendu et il faut donc que le bouton latéral 47 soit retenu par une rampe appropriée, à la façon qu'on exposera plun loin. Lors- que ledit bouton est libre, le ressort 48 le rappelle jusqu'à amener l'oreille 46 contre la butée 50 (position indiquée en traita interrompus en tige 9).
On notera que pour ne pas surcharger la dessin on n'a représanté ni la ressort 48, ni le doigt 49 en fig. 4 et 11,
Le bras 36 porte une oreille latérale 51 (fig. 4) à laquelle est attelée en 52 la tige d'un vérin 53 dont l'extrémité opposé* est articulée au bâti de la machine en avant du plan de coupe de la partie droite de fig. 4 , en un point indiqué par la référence
54. La course angulaire 0( dudit bras 36 sous l'effet de ce vérin est limitée par deux butées 55 (fige 4) et 56 (fig.11) solidaires de la paroi du bâti située en avant du plan de coupe dans les- dites figures.
Le fonctionnement du poète du transfert B est le suivant !
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A vas instant d6teri é du cycle le vérin 53 se contrait* pour amener la bras 36 de la position de fïao 11 à celle de fiN;.4 (soit de gauches droit* dans ces f Jguzeo) Vers la fin de la course du bras la bouton latéral 47 rencontre une rampe 57
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(fie. 4) fixée contre la paroi du bà%1 en avant du plan de ooupe, cette rampe faisant toumer :
La téta 35 (à l'encontre du ressort de rappel 48 de fiK. 8 à 10) de manière à ce que les deux ventouses 23 et présentent bien à plat aur le aao supérieur de la pile P (laquelle se soulevé au besoin, comme expliqua plue haut)* Puis les ventouses sont minou nous vide pour prendre le sac et
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le vérin 53 ont aotionné en sens ïnveree afin de ramener le braa 36 à la position de fig. 11, Au cours de oe déplacement du braa 36, la rampe 57 libère progmaaivoment le bouton 47, et qui fer- met à la tête 35 de tourner en zone Inverse des aiguillée d'une
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montre en entraînant l'arbre 29 (fi<:
. 8) avec leu ventouses Preneuses 23, On a indique on'fïg. 11 en 23, 23, 23.q et 23$ la position initiale et troia positions subséquentes des ventouses 23, tandis que la, 16, lg et là correspondent aux positions successives du sac supérieur de la pile P. On voit clairement que grâce à ce mouvement de rotation des ventouses 23 par rapport au bras 36, le sac se roule en quelque sorte sur lui-même, de sorte qu'il ze soulevé progressivement de la pile, sans jamais
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tendre à glisser sur celle-ci# et qui risquerait d'entraîner le ou les sacs suivants qui pourraient alors ne plus être pris correctement par la suite,
Vers la fin de la course du bras 36 en direction de la au-'
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cho en fia, 4 et f 1,
le bouton 47 rencontre une seconde rampe fixe 58 qui fait tourner la tête 35 dans le sens des aiguilles d'une montre juaqu'à amener les ventouses 23 dans un plan verti-
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cal, de sorte que sous l'effet de son poids la sac 1 ne présente
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Ytrtiosleaent après avoir ainI:
1 été transféré du poste de réserve à au. poste de remplissage C, Poste d'ouverture et 92 1'I1I)"liel!$pRe des aaoe ce poste, ou poste 0, comprend un système de ventouse d'ouverture des saoul des MOanisml8 de pince. de ratauua de ceux-oit et tuu trémie de remplia,aga de* sacs o\tV'8rta. la système de ventouse d'ouverture comprend une T8ntouae Unir que 59 (l18. 12), ou ventouse ouvreuse, également en forme de plataau circulaire avec une dépression peu profonde 60 sur sa face libre. Mais ici la ventouse est directement solidaire d'un de 61
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comportant un canal on équerre 62 (fig, 12 et 13) qui relie la di. pression 60 à une tubulure latérale 63 propre à l'adaptation d'un tuyau souple schématisé en 64.
Le dé 61 est perforé transversalement en 65 (fig, 12)pour recevoir une tige 66 sur laquelle on le bloque par -le moyen d'une vis 67. La tige 66 est portée à rotation par un manchon 68 (fig, 13) solidaire de deux oreilles latérales 69 articulées à leur tour sur un axe 70 porté par un moyeu 71 fixé transversalement:
en bout d'un bras 72, L'extrémité opposée ou extrémité supérieure de ce dernier est solidaire d'un autre moyeu transversal 73 porté à rotation par .un arbre transversal 74 supporté par des paliers appropriés du bâti de la machine (ces paliere n'étant pas représentés sur la dessin), L'extrémité de la tige 66 opposée à celle qui porte la ventouse 59 est solidaire d'un patin 75 qui., lorsque le bras 72 est abaissé,coopère avec une rampe horizontale 76 (fig. 15) fixé contre la paroi du bâfi
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en avant du plan de 3.. 1 , comme en fig. 4 et 11. Des Joncs tendue (oirclips) 77 retiennent axialement la tige 66 par rapport au manchon 68.
A la tige 66 est fixé un doigt radial 78 qu'un ressort 79 relie à un autre doigt 80 porté par l'oreille 69 adjacente
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de Manière a solliciter la '\1&8 66 k tourner dans la oono des aiguilles d'une sont su :f1&. 14. Un autre ressort 81 aetinterDoué entre un doigt 8 A'una oreille 69 et un doigt d'attache 83 ,1 solidaire du brae 72 de &8nibfp k tendre h faire tourner leu oreilles 69 et le bancha 68 en sens inverse das aiguillée de=* montre, Des bu.W.. z4 et 658 solidaire% respectivement de i'oreJ1le 69 considérée et du brà 72, limitent la course angulaire des doigte 78 et 82.
On not.ra .. ce lI.1et qu'on f1&' 13 on a supposé pour la clarté du dessin que les 01'1111e. 69 et la dé 61 &Ta1ent été MMa4e dans la prolonament du brar 72, ce qai n'est possible que moyennant eup"eeioz% de la butée 85 laquelle n'a donc pas été représentée dans cette figure.
Le bras 72 comporte sur sa hauteur un axe transversal 86 @
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formant point d'articulation de la t18 87 (fU4 14) d'un vérin 88 oontre lequel ont fixe latéralement un vérin plus petit 89
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dont la tige 90 vient alûrticuler par l'intermédiaire d'un étrier 91 sur un arbre transversal supérieur 92,, Les deux extrémités
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de ce dernier ooulienant dans des ramures horizontale. 92 du bâti 17 de la machine.
En outre entre les deux branches de l'étrier 91 ledit arbre traverse un dé 93 dans lequel se vient une tlge filetés 94 perpendiculaire audit arbre et portée à rota-
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tion par un palier 95 dans lequel elle ont retenue axialements l'extraite extérieure de cette tige portant un volant de manoeuvre 96. Des moyens non figurea empêchent l'ensemble don deux vérins 88, 89, de tourner autour des tige* 87, 90.
Par exemple l'étrier 91 peut être solidaire de tiges parallèles à l'axe de
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la tige 90 du vérin 89 et qui oOuliB.ent}1ana des guides prévue sur les cdtdu de et dernier* On notera que pour ne pas aureharger fin. 13, on n'y a pas représenté les vérins 88, 89 ni lea meeaniamea qui leur sont aa-
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@ sooiéa.
L'arbre transversal 74 est disposé au-dessus de l'arbre 38 de fig. 4 et 11, de façon telle que lorsque les deux ventouses prenou-, ses 23 se trouvent à la position de fin de course de transfert de fig. 11 en maintenant le sac 1 à la verticale, la ventouse ouvreuse 59 puisse venir s'appliquer contre la paroi opposée du sac, au même niveau que les ventouses 23 et dans l'axe de l'en- semble de celles-ci, comme montré fig. 15 et 16, étant noté que l'espace libre ménagé entre lesdites ventouses 23 est inférieur @ au diamètre de la ventouse 59.
Le bras 72 est alors à peu près vertical; le patin 75 est appliqué sur la rampe horizontale 76 par la réaction du ressort 81 (prévu plus tort que le ressort 79), ce qui assure le maintien de la ventouse 59 dans un plan vertical et son application bien à plat contre le sac 1. D'entre part le mécanisme des vérins 88 et 89 est agencé de manière que lorsque ces deux vérins sont expandés le bras 72 ait légèrement dépassé la verticale (position 72a en fig. 14), que lorsque les doux vérins sont contractés, le bras 72 soit fortement relevé (position 72b), et enfin que si l'un des vérins (88, par exemple) est expandé et l'autre contracté, ledit bras 72 prenne une position oblique in- termédiaire 72c qu'on peut faire varier par manoeuvre du volant 96.
Le fonctionnement du mécanisme de ventouse ouvreuse est le suivant @ @
Pendant le transfert d'un sac vide de la pile P au poste 0, le bras 72 est à la position relevée 72b (fig. 14), de sorte que la ventouse 59 ne gène pas les débattements des ventouses preneuses 23 (phase opératoire schématisée en fig.
17), Quand le sac vide 1 est arrivé à la position de fig, 11, les deux vérins 88, 89 s'expendent et le bras 72 tend donc à venir en 72a, Mais ce déplacement est arrêté par butée de la ventouse ouvreuse 59 contre le
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@ sac appliqué contre le$ ventouses preneuses 23 (position de fige 15 et 16), ces ventouses ne pouvant se déplacer vers la gauche en raison de la présence de la bâtée 56. Le bras 72 rente donc suba- tantiellement vertical (phase opératoire schématisée en fig. 18).
Le vide est alors appliqué à ladite ventouse 59 qui "prend" @ ainsi le paroi du sac opposée à celle retenue par les ventouses 23. Puis le vérin 89 est contracté de manière à amener le bras 72 à la position 72c de fige 14 pour laquelle la ventouse 59 s'est @ écartée des ventouses 23 sans que le patin 75 cesse de la mainte- nir verticale, grâce à la présence du ressort 81 (fige 14) qui tend toujours à abaisser la tige 66. Le sac se trouve alors ouvert pour le remplissage (phase opératoire schématisée en fig. 19), le degré d'ouverture pouvant d'ailleurs être réglé à volonté par @ le volant 96.
0'est à cet instant du cycle qu'interviennent les mécanismes de pinces qu'on va décrire. Il est prévu une pince par chaque ventouse. Mais alors que la pince associée à la ventouse ouvreuse 59 est solidaire de celle-ci, les pinces qui correspondent aux ventouses preneuses 25 sont fixées au bâti et ne coopèrent aveo celles-ci que lorsqu'elles sont en fin de course de transfert (position de fige 11).
Fige 7 montre le mécanisme depince associé à une ventouse preneuse 23. Il comprend une pince proprement dite 97 en forme d'équerre plate dont la branche verticale porte une mâchoire 98 propre à s'appliquer contre la face utile de la ventouse 23, tandis que la branche horizontale s'articule en 99 à un support 100 fixa au bâti (non représenté). Cette seconde branche comporte une partie élargie dans laquelle est découpée une rainure oblique 101 traversée par un exe 102 porté par un étrier 103. Ce dernier est fixé en bout de la tige 104 4'un vérin 105 monté sur le sup-
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port 100.
Lorsque la ventouse 23 est en fin de course de transfert, elle se présente par rapport au mécanisme de pince à la façon indiquée en fige 7 et l'on comprend qu'en agissant sur le vérin 105 on puisse soit appliquer,la pince contre la ventouse (ou contre le sac retenu par celle-ci), comme montré en traite pleins, soit au contraire relever la pince (position en traits interrom- . pua) pour dégager la ventouse et le sac qu'elle retie Il est à noter que la poussée de la pince contre la ventouse 23 est encaissée par la butée 56 (fige 11).
Pour ne pas surcharger les dessins, les pinces 97 n'ont été indiquées qu'en fige il et dans le schéma de fige 19.
Le mécanisme de pince qui correspond à la ventouse ouvreuse
59 comprend les mêmes éléments 97, 98, 99, 101, 102, 103 et 104, mais le support 106 de ces derniers est directement fixé sur le . dé 61 de la ventouse, ce qui ne change rien au fonctionnement. Ce mécanisme de pince de la ventouse 59 n'a été indiqué que dans le schéma de fig. 19. les pinces 97 sont relevées jusqu'au moment où le sac 1 a été ouvert (position de fige 19). Elles se referment alors pour pin- cer les parois du sac respectivement contre les ventouses 23 et 59, comme schématiquement indiqué dans ladite fig. 19. A ce moment le sac est positivement retenu, sans risque de glissement sous l'effet de la charge.
On supprime alors l'application du vide aux ventouses et l'on procède au remplissage.
Pour ce faire il est prévu au poste 0 une trémie de remplis- sage 107 (fig. 17 à 19) agencée de manière à déboucher au-dessus de l'ouverture supérieure du sac retenu par les pinces 97 et les ventouses 23 et 59. Cette trémie 107 ne trouve d'autre part au-dessous de la trémie peseuse 4 (fige 2) de l'appareil poseur- doseur associé à la machine suivant l'invention. Lorsque le sac 1
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a été ouvert et que les pinces 97 se sont refermées, la trappe de vidange 7 de la trémie 4 'ouvre et le contenu de cette der- nière se déverse dans la trémie de remplissage 107 qui le guide vers l'ouverture du sac 1.
Dès que la trémie 4 s'est vidée, elle se relève, sa trappe 7 se roter automatiquement et l'élévateur
5 (fig. 2) la remplit à nouveau, .. la façon connue dans les appareils du genre en question.
Pour éviter tout engorgement du débouché de la trémie de remplissage 107, on monte cette dernière de façon élastique sur le bâti de la machine et l'on fait agir sur elle un ou plusieurs vibrateurs tels que 108 (fig. 17 à 19) orientés transversalement.
Dès que le sac a été rempli, le vérin 89 s'expande à nou- veau pour ramener la ventouse 59 contre les ventouses 23 et re- former ainsi le sac. Fig. 16 fait bien comprendre que les pinces associées aux ventouses et non représentées dans cette figure, ne gênent nullement ce mouvement du fait qu'elles viennent se loger respectivement de part et d'autre de la ventouse 59 et entre les deux ventouses 23.
Il ne reste plus alors qu'à sceller le sac rempli et à l'éva- cuer.
. Poste de scellement et d'évacuation des sacs pleins -
Ce poste, référencé D, comprend essentiellement un système de mâchoires porté par un chariot mobile transversalement par rapport à l'axe longitudinal d'alignement des postes A, B et 0 et une petite machine à aoudra disposée sur le trajet des bords supé- rieurs refermés du sac de manière à assembler ceux-ci par une ligne de couture.
Le chariot proprement dit 109 (fige 20 et 21) est constitué par une table solidaire de patina cylindriques 110 (préférable- nent à billes) qui coulissent sur une tige transversale 111 fixée
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au bâti 17, la retenue en position horizontale étant assurée par un galet 112 à axe vertical qui roule contre une autre tige fixe
113 disposée sous la tige 111, tandis qu'un doigt 114, disposé contre la tige 113, s'oppose à tout relèvement intempestif du chariot.
La commande de ce dernier est assurée par un vérin hori- zontal 115 fixé au bâti 17 entre les tiges 111 et 113, la tige 116 de ce vérin traversant librement une oreille 117 du chariot avec laquelle est est accouplée élastiquement par le moyen de deux ressorts 118 montés sur elle entra ladite oreille et deux , bagues de butée 119 calées sur ladite tige. Le chariot 109 porte un axe vertical 120 sur lequel s'articule une première mâchoire
121 rappelée à la position d'ouverture (position an traits inter- rompus en tige 20) par un ressort 122.
Sur un autro axe vertical
123 du chariot est monté un poussoir 124 qui, lorsqu'il est orienté perpendiculairement au sens de déplacement dudit chariot, retient la mâchoire 121 à la position fermée (position en traits pleins) pour laquelle son bord de serrage (bord droit en fig. 20) est au contraire parallèle au sens de déplacement précité, Le poussoir 124 est commandé par un vérin 125 qui lui est attelé en 126, ce vérin étant lui-même articulé sur le chariot en 127.
Le vérin 125 est agencé de façon que lorsqu'il est à fond de course d'expansion le poussoir se trouve à la position de fermeture de la mâchoire 121. Oette dernière coopère d'autre part avec une seconde mâchoire 128 fixée à l'extrémité de la tige 129 d'un autre vérin 130 monté sur un rebord 131 du chariot 109 de façon que son axe soit perpendiculaire au sens de déplacement du chariot,
Cette mâchoire a également été représentée en traits pleins à la position de fermeture et en traita interrompus à la position d'ouverture.
Les mâchoires 121 et 128 étant à la position ouverte, pour
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les retermer on doit d'abord actionner le vérin 125 Qui, par le poussoir 124, amène la première mâchoire 121 à la position de fermeture et l'y bloque, puis le vérin 120 qui serre la seconde mâchoire 128 contre la première. @
L'ensemble du chariot et de issu guidée est agencé de façon que le plan de contact des mâchoires 121 et 128 coïncide prati- quement avec le plan de la. partie haute du sac rempli et refermé au poste 0.
La course du chariot est telle que les mâchoires 121 et 128 puissent venir se refermer sur la partie haute pré- citée, immédiatement au-dessous des ventouses 23 et 59 (indiquées an traits interrompus en fig. 20), puis que le sac ainsi saisi puisse être entraîné (bien entendu après desserrage des pinces des ventouses) pour traverser la zone de travail de la machine à coudre, et enfin être évacué par l'intermédiaire d'un couloir latéral de chute tel que celui indiqué en 132 en fig. 21.
La machine à coudre elle-même peut être de n'importe quel type connu et il n'est donc pas besoin de la décrire en détail.
Elle comprend un mécanisme de couture à aiguille horizontale porté par un bâti 133 (fig. 21) en forme de 0 couché avec ouvertu- re tournée vers le bas. Ce bâti est articulé en 134 à un support 135 fixé au bâti 17 de la machine ensacheuse, une butée 136 as- @ surant la retenue à la position de travail tout en permettant le relevage de l'ensemble quand on désire accéder commodément aux organes de couture. L'entraînement est assuré au moment opportun par un petit moteur électrique 137 fixé au bâti 133. Ce dernier porte la réserve de fil 134. Bien entendu le support 135 est dis- posé à une hauteur telle que le mécanisme de couture agisse au- dessus du niveau des mâchoires 121 et 128.
Pour assurer l'amenée correcte de la partie haute du sac à la machine à coudre il est prévu d'une part une tige 139 (fig. 21)
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formant en quelque sorte "anti-balanqant" pour bloquer les oscil- lations exagérées du sac plein 1 (indiqué en traita interrompus), d'autre part deux galets 140 (fig. 20) disposes immédiatement en amont de ladite machine à coudre, au-dessus du niveau des mâchoires 121 et 128, pour maintenir les bords supérieurs du sac étroitement serrés l'un contre l'autre à leur entrée dans la machine à coudre.
A cette machine & coudre est associé un dispositif propre à couper le fil de couture après que le sac soit sorti de la zone de travail de ladite machine. Ce dispositif comprend un petit vérin horizontal 141 (fig. 21) porté par la branche du bâti 133 la plus éloignée du support 135, la tige de ce vérin supportant en bout une lame oblique 142 propre à venir se disposer en face de l'espace de passage (zone de tmvail) délimité par les deux branches dudit bâti. Quand le sac a acheva de traverser la machine à coudre, la lame 142 s'avance,de sorte que lorsque le sac tombe finalement survie couloir 132, le fil glisse sur l'arê- te de la lame qui le sectionne.
Le fonctionnement du poste D de scellement et d'évaouation. est le suivant @
Lorsque le sac 1 a été rempli et refermé par rapprochement des ventouses 23 et 59, le chariot 109, qui se trouvait jusqu'ici à la position reculée de tige 20 avec ses mâchoires 121 et 128 ou- vertes, s'avance vers le poste de remplissage C de manière que lesdites mâchoires entourent le sac immédiatement au-dessous des ventouses. Les vérins 125 et 129 s'expandent l'un après l'autre pour refermer les mâchoires qui serrent le sac.
Les pinces 97 (fig. 7 et 12) s'ouvrent alors pour libérer ce dernier et les vérins 88 et 89 (tig. 14) se contractent pour effacer la ven- touse 59, le bras 72 se relevant en 72b. On se trouve ainsi à
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la position schématisée en fig.22.
Le chariot 109 revient alors en entraînant le sac. Ce mou- vement de retour s'effectue à une vitesse relativement lente et bien déterminée, ce qui peut *$obtenir par exemple par le moyen d'un orifice calibré interposé sur l'alimentation du vérin 115, à l'aide d'un frein tel qu'un dash-pot à huile, etc.,. Les borde supérieurs du sac passent ainsi entre les galets 140 et arrivent à la machine à coudre dont le moteur 137 se met en marche pour assurer leur couture.
Il est à noter que l'aiguille tend à arrêter les épaisseurs qu'elle traverse et qui doivent donc avancer de façon saccadée si l'on veut éviter des déchirures. Ce mouve- ment saccadé est rendu possible par les ressorts 118, l'ensemble du chariot étant réalisé sous forme assez légère pour ne pas pré- senter une inertie exagérée. Dès que le sac cousu est sorti de la machine à coudre, la lame coupante 142 n'avance, puis, le chariot 109 étant arrivé en fin de course de retour, les mâchoires 121, 128 s'ouvrent en laissant retomber le sac sur le couloir 132, tandis que la fil de couture se sectionne sur l'arête de la lame 142.
Poste central de commande et fonctionnement général -
Ce poste (référencé E en fige 3) renferme les appareils d'ali- mentation (moto-compressur, pompe à vide, par exemple), les Vannes et relais, les organes de contrôle et de sécurité, ainsi que les diverses commandes manuelles.
On peut évidemment imaginer bien des moyens pour assurer la marche automatique de la machine. Il est notamment possible d'agencer les choses de manière que chaque organe assure la commande de celui qui doit intervenir après lui, quitte à prévoir des temporisations lorsque cela est nécessaire. Il semble toutefois préférable d'utiliser à cat effet un programmateur chrono-
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métrique, tel par exemple qu'un tambour tournant d'un tour complet à une vitesse déterminée pour réaliser un cycle de fonctionnement, puis s'arrêtant en fin de révolution pour repartir ensuite sous l'effet d'une impulsion de déclenchement appropriée.
On fait avantageusement commencer le cycle à l'instant où la trémie 4 (fig. 2) de l'appareil poseur-doseur remonte et se referme après: vidange. 0'est alors le signal électrique déclenché par cette remontée de la trémie qu'on utilise en guise d'impulsion de départ du programmateur. Dans ces conditions le cycle peut être le suivant : - départ du programmateur déclenché par la remontée de la trémie peseuse 4 ; - temps d'attente pour assurer la vidange de la trémie de remplissage 107 dans le sac 1 (fige 19) - arrêt des vibrateurs 108 agissant sur cette trémie 107 ;
- en même temps que l'opération ci-dessus, expansion du vérin 89 (fige 14) pour ramener la ventouse 59 contre les ventouses 23 et refermer le sac 1 (position de fige 22) - expansion du vérin 115 (fige 20) pour amener le chariot 109 vers le sac 1 ; - expansions successives des vérins 125 et 130 (fig, 20) pour refermer les mâchoires 121 et 128 sur le sac (fige 22) ; - expansion des v6rins 105 (fig. 7 et 12) pour ouvrir les pinces 97; - contraction des vérins 88 et 89 (fige 14) pour rame- ner.le bras 72 en 72b et effacer la ventouse 59 ; - contraction du vérin 115 (fig. 20) pour faire reculer le chariot 109 ;
- en même tempa que l'opération ci-dessus, mise en
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marche du moteur 137 de la machine à coudre ; après le temps nécessaire au passage du sac dans la machine à coudre, expansion du vérin 141 (fig. 21) - contraction simultanée des vérins 125 et 130 pour libérer le sac plein et scellé qui tombe sur le couloir de chute 132, le fil de couture se coupant sur l'arête de la lame 142 ; en même temps queles deux opérations précédentes, contraction du vérin 53 (fig. 4) pour amener les ventouses 23 sur la pile P - contraction du vérin 21 (fig. 6) pour permettre au plateau 8 (fig. 4) et à la pile P de remonter, si nécessaire (po- sition de fig. 17);
- mise sous vide des ventouses 23 (fig. 4) ; - expansion du vérin 21 (fig. 6) pour bloquer le câble 13 et le plateau 8 (fig. 4) avec la pile P ; - expansion du vérin 53 (fig. 4 et 11) pour transférer un sac 1 de la pile P au poste d'ouverture et de remplissage ; - expansion des vérins 88 et 89 (fig. 14) pour amener la ventouse 59 contre le sac 1 (position de fig, 15, 16 et 18) - mise sous vide de la ventouse 59 - contraction du vérin 88 pour ouvrir le sac 1 (posi- tion de fig. 19), le bras 72 (fig. 14) venant en 72c; - contraction des vérins 105 pour refermer les pinces
97 contre les ventouses 23 et 59; - coupure de l'application du vide aux ventouses 23 et 59 ;
- en même temps que l'opération précédente, déclenche- ment de l'ouverture de la trappe de vidange 7 de la trémie pe- gouge 4 ; - en même temps queues deux opérations précédentes,
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mine en marche des vibrateurs 108 ; - en morne tempe que les trois opérations précédentes, ou à un instant quelconque se situant après la chute du nda plein sur le couloir 132 (tige 21), contraction du vérin 141 pour effa- cer la lame 142.
Le cycle opératoire est alors terminé. Le cycle suivant .commence dès que la trémie poseuse 4 s'est relévée.
Dispositifs de sécurité -
On fait avantageusement comporter à la machine des disposi- tifs accessoires assurant son arrêt automatique (et éventuelle- ment l'émission d'un signal d'alarme) au cas d'un incident de marche quelconque.
De tels dispositifs peuvent notamment comporter - un tâteur actionné par le sac 1 transféré au poste de remplissage (position de tige 4) pour intervenir en cas d'absence de ce sac au moment voulu par suite de l'épuisement de la pile P ou d'un mauvais fonctionnement des ventouses et du bras 36 ; - un plateau mobile disposé sous le sac 1 en position de remplissage (fig. 19 ) pour recevoir les produits déversés par la trémie 107 et qui ne seraient pas retenus par ledit sac par suite d'une déchirure de celui-ci, de sa non-ouverture par la ventouse 59, d'un mauvais fonctionnement des pinces 97, etc..., ce plateau commandant alors un contact approprié ;
- un tâteur disposé dans le débouché de la trémie de remplissage 10? (fig. 19) pour arrêter la machine si cette tré- mie ne s'est pas entièrement vidée au bout du temps prévu ; un casse-fil associé à la machine à coudre et déclen- ché par l'absence de tension du fil lors de l'opération de cou- bure ; - un tâteur décelant l'absence éventuelle du sac plein
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à la position de fin de course de retour du chariot 109t pour éviter tout blocage ou retard intempestif de celui-ci ou tout mauvais fonctionnement dea mâchoires 121, 128.
Variante a -
Il doit d'ailleurs être entendu que la description qui pré- cède n'a été donnée qu'à titre indicatif et qu' elle ne limite nullement le domaine de l'invention dont on ne sortirait pas en remplaçant les détails d'exécution décrits par tous autres équi- valents.
C'eat ainsi qu'on peut notamment envisager les variantes ci-après, parmi beaucoup d'autres - incorporation du mécanisme peseur-doseur de fig. 2 à @ la machine elle-même ; @ - scellement des sacs par soudure à chaud de leurs bords prévus avec garniture dematière plastique, ce qui pourrait s'ob- tenir en réalisant sous forme chauffante soit les galets 140 @ (fig. 20), soit les mâchoires 121 et 128 (la machine à coudre étant alors supprimée ou laissée en position de non-utilisation) ; - scellement des sacs par-une machine agrafeuse à commande électrique ou pneumatique remplaçant la machine à coudre ;
- non-utilisation des pinces 97.(fig, ?, 12 et 19) dans le cas de charges légères sous l'effet desquelles le sac ne ris- querait pas de glisser sur les ventouses (le vide devant alors être maintenu dans ces dernières jusqu'après la fermeture des mâ- choires 212 et 128) ; - déplacement en ligne droite de la ventouse ouvreuse 59 ; -. combinaisons différentes de ventouses 23 et 59 (par exemple trois ventouses 23 et deux ventouses 59) - remplacement des ventouses pneumatiques par d'autres organes de préhension des parois des sacs,
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La liste ci-dessus n'est d'ailleurs nullement limitative, comme on le conçoit aisément.
REVENDICATIONS
EMI27.1
-1-'-'-'-1-1-'-;-1-1-1-1-'-
1 - Machine ensacheuse, caractérisée en ce qu'elle comprend 'des moyens pour prélever les sacs un par un à partir d'une pile et pour amener le sac prélevé au-dessous d'une trémie de remplissage,des moyens pour ouvrir le sac au-dessous de la trémie, pour déclencher son remplissage à partir de celle-ci et pour le refermer une fois rempli, des moyens pour saisir le sac rempli et pour l'évacuer dans le plan de son débouché refermé, des moyens pour assurer le scellement de ce sac, et des moyens pour évacuer le sac rempli et scellé.