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Frein hydraulique perfectionné pour la fermeture auto. matique de portes en toue genres
L'invention vise à den perfectionnements à introduire aux freina hydrauliques pour la fermeture de portes en tous genres, où un ressort de rappel eat mis noua tension durant l'ouverture de la porte en vue de fournir tout de suite aprés l'énergie nécessaire à refermer la porte, fermeture à nouveau qui se fait en contraste à l'effort d'un frein hydraulique, comportant un piston se déplaçant dans un cylindre, alors que l'huile sous
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pression voyage à partir de la chambre de oompree1on à travers une section à étranglement,
la mise nous tension du ressort et la poussée excercée sur le piston se faisant par une crémaillère couplée avec un pignon appliqué sur l'arbre coopérant avec le levier de réglage du ressort de rappela
Ces typon de freins hydrauliques ont plusieurs Inconvénients, parmi lesquels on cite ici celui de 1'impossibilité d'employer les freine indifféremment sur des portée tournantes ou à droite ou bien à gauche, de aorte qu'on était obligé de fabriquer deux différente types de freina hydrauliques,
Un autre inconvénient dérive du fait que ces types de freins connus ne peuvent pas être utilises pour des portes de différentes grandeurs et par conséquent d'un poids même bien différant, car il ne suffit pas de changer le ressort de rappel pour en assurer le bon fonctionnement,
vu que ces freine sont dépourvus de toute possibilité d'un réglage de l'étranglement en vue d'en harmonises' le fonctionnement avec les efforts bien différents de pussée du ressort de rappel de la portes
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Encore un autre inconvénient est de au fait que ces dinpouitits mont facilesient sujets à des fuites d'huile le remplacement de la parte d'huile représentant un Cree problème ôtant donné qu'on est obligé de d6monter l'appareil pour le refoumiasfaent.
Inconvénient est aueaî le défaut d'un res3.sgo suffisant du syntème de freinages en effet, alors que le troirmge a lieu en trois phases auctesoiven, c'est-à-dire par uue première phase 6tranglament limité, une deuxième phase à étranglement pousse, donc plut lente, et par une troisième phase dépourvue de tout étranglement, cela pour fournir à la porte .énergie, qui lui
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est indiepeneable, faut vaincre la résistance dynamique des verrousenclenchement, La présente invention sort à éliminer les inconvénients ous-mentionnéo et à permettre 1'unago don freina hydrauliques, qui en dérivent, sans aucune modification, aur tous les types de portes, même celles d'installatîone à compartimenta étanches et anti-déflagration.
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Selon la présente invention, l'appareil comporte un corps creux et dostiné à renfermer les organes mobiles du ±rein, ce Corps creux est muni de deux troua opposés l'un à l'autre, taraudée, dana chacun desquels on visse une douille perche axialement, de aorte que les deux douilles peuvent supporter un arbre en poeition étanche et sortant aux deux extrémités des douilles! tout en comportant à ces extrémités une position d'accrochage du levier servant à régler la force du ressort de rappel.
De cette façon en réunissant ledit levier avec l'une ou l'autre des extrémités de l'arbre sus-mentionné, le frein hydraulique pourra être utilisé pour la fermeture de portes s'ouvrant ou vers la droite ou bien vers la gauche,Au obté de chacune de ces douilles, on a un tampon de fermeture, dont on se servira pour le remplissage aisé de l'huile provenant du corps creux du frein, quelle qu'en soit la position et sans avoir besoin de démonter l'appareil,
Le piéton de la disposition hydraulique comporte à sa partie centrale une soupape de retenue, qui s'ouvre quand le piston ne déplace dans la direction de la mise sous tension du ressort, tout en laissant couler l'huile à son gré, et se forme alors que ce piston se déplace en sene inverse,
L'huile est de cotte façon obligée de passer à travers un trou central de ladite soupape, dont le passage intérieur peut être plue ou moins étranglé par une tige possédant un long fraisage oblique par rapport à son propre axe, Ce fraisage sert à varier la section transversale du pansage de l'huile lors de la phase du freinage, non seulement pour pouvoir régler la rapidité de la fermeture de la porte, mais aussi pour régler l'étranglement par rapport au type de ressort employé, afin qu'un ressort trop fort n'ait pas une influence négative sur l'étranglement. On pourra de ce fait faire usage du dispositif en question avec des ressorte d'une force différente pour la manoeuvre de portes,
dont le propre poids pourra être fort différent, L'élimination de l'étranglement enfin de course se fait par
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le moyen d'une disposition fort simple, c'est-à-dire par un petit trou, qui traverse le piston et la crémaillère, qui y est rattachée, et en sort par le dos, à travere un trou radiale qui est fermé par la paroi du corps creux du frein et ouvert par un dispositif de vidange seulement quand le piston est presque arrivé en fin de course, tout en laissant libre le passage de l'huile.
Le corps creux renfermant les organes mobiles de l'appareil de freinage est fait d'un alliage d'aluminium anti-friction, par fusion en coquille avec la paroi du cylindre, à l'intérieur duquel se déplace le piston, cette paroi étant soumise à un traitement servant à en augmenter la dureté pour en réduire l'usure. Ce traitement est celui qu'on appelle "roulage".
La tige de contrôle de l'étranglement du passage de l'huile est supportée par un tampon réglable à l'intérieur d'une douille qu'on visse dans une embouchure à l'extrémité du corps creux, la tige et le tampon étant pourvue de moyens en se sure d'éviter toute fuite d'huile,
L'objet de l'invention est représenté à simple titre d'exemple non limitatif sur les feuilles de dessina ci-jointes, desquelles:
- la figure 1 est une vue d'une coupe axiale du frein de l'in- vention; - la figure 2 représente sur une échelle le détail A dé la figure 1; - la figure 3 est une vue en coupe du seul corps creux renfermant les organes mobiles du frein; - la figure 4 est une vue en coupe de la crémaillère mobile avec le piston.
Reprenant ces figurée, on remarque que le frein hydraulique pour portes, objet de l'invention, comporte un corps creux 1 muni à une de ses extrémités d'une embouchure 2, taraudée à l'intérieur, dans laquelle est raccordé un tuyau 3 fait avec une butée annulaire 4, destinée à s'appliquer contre l'embouchure 2 pour y maintenir en place une garniture 5 d'étanchéité s'appuyant contre un élément de vidange obtenu sur le bord intérieur de ladite embouchure,, L'extrémité libre de ce tuyau est fermée par
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un tampon 6 fixé dquelle manière que ce soit,
Du côté opposé de l'embouchure 2,
ledit corps 1 comporte un cylindre 7 à .L'intérieur duquel se déplace un piston 8, prévu à l'extrémité d'une crémaillère 9, dont l'autre extrémité porte une douille 10 constituant le logement d'un bout d'un ressort
11 logé à l'intérieur du tuyau 3, tandis que l'autre bout de ce ressort c'appuie contre le tampon 6,
Dans sa partie médiane, le corps 1 est muni de deux trous transversaux, taraudée à l'intérieur pour le vissage de deux douilles 12 et 13 trouées par des trous coaxiaux de support d'un arbre 14, dont les deux boutssortent de ces deux douillea.
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L'arbre 14 tourne à l'intérieur de ces douilles, en position d'étanchéité aux liquides, grâce à l'application de couplages 15 et 16 de garnitures, alors que les douilles elles-même sont elles auarsi étanches dans leur logement, grâce à des garnitures
17 et 18 d'étanchéité.
A chacune des extrémités de l'arbre 14 est formée une attache pour un levier 19 portant à son autre bout un galet 20 ne déplaçant le long d'un guidage fixé au châssis de la porte, Les attachée des bouts de l'arbre 14 peuvent, par exemple, se terminer . par des appendices carrés 21 et 22, respectivement. Une disposition de ce genre permet d'appliquer le levier 19 soit sur l'attache 21 soit sur l'attache 22, c'est-à-dire que l'appareil peut être utilisé tout aussi bien sur des portes tournant soit à droite, soit à gauche,
L'arbre 14 porte à sa partie centrale un engrenage 23 s'engageant dans la crémaillère 9.
A côte de chacune des douilles se trouve un tampon 24, respec- tivement 25; ces tampons eervent à boucher des trous correspondants du corps creux 1, l'étanohéité de ces fermetures étant assurée par de* garnitures appropriées. Suivant que la porte tourne à droite ou à gauche, on aura toujours un de ces tampons tourné vers le haut, de sorte qu'on pourra remplir d'huile l'appareil de freinage hydraulique, sans aucune difficulté et n'importe quand, sans la nécessité du démontage du frein de non logement.
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Comme on l'a déjà dit ci-haut, le corps oraux 1 est obtenu par la fusion d'un alliage d'aluminium anti-friction et sa partie intérieure est soumise au traitement du roulage pour non endurcissement contre une usure trop rapide,
Le piston 8 est muni d'un trou central 26, fermé par une soupape 27 de retenue et maintenue dans son logement par un faible ressort 28.
Cette soupape s'ouvre alors que, du fait de la rotation du levier 19, par conséquent aussi de l'arbre 14, la crémaillère 9 est poussée vers la gauche ce qui donne lieu à la mise noua tension du ressort 11, tandis qu'elle se fermera alors que, par l'abandon de la porte de la part de qui l'avait ouverte, cette dernière se refermera grâce à l'expansion du ressort qui fait retourner la crémaillère 9 *fore la droite,
L'huile, qui s'était recueillie à la droite du cylindre 4, est alors obligée de repasser à gauche en traversant un petit trou central de ladite soupape 27, dans lequel est logée une tige 29,
Cette dernière est munie d'un fraisage oblique 30 servant à ouvrir plus ou moins la lumière dudit petit trou grâce à la commande du réglage exercée sur la tige 29.
La tige 29 eut ancrée sur un tampon 31 vissé dane une douille 32, vissée à son tour dans un manchon 33 d'extrémité du corps creux. C'est en faisant tournor ce tampon dans un sens ou dans l'autre qu'on met en position axiale, appropriée la tige 29.
La tige 29 traverse le bout intérieur de la douille 32, où elle est convenablement guidée par un manchon 35 en mesure d'ap- pliquer des garnitures 36 à bague assurant l'étanchéité tout le long de la tige en question, tandis que la douille 32 est fixée en position d'étanchéité par l'entrepositionnement d'une garniture 37 comprimée par le collet de la douille 32 (figu- res 1 et 2).
Du bout antérieur du piaton 8 (figures 1 et 4) part un petit trou 38 qui se prolonge à l'intérieur du corps de la crémaillère 9 et débouche en position radiale, plus exactement en position radiale, c'est-à-dire en un point intermédiaire de ladite crémaillère.
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L'embouchure 39 du trou 38 est normalement fermée par la paroi intérieure du corps treux 1, quand le piston 8 eet déplacé par rapport à la fin de sa course de repos, tandis que, quand le piston est presque arrivé en fin de cette course, l'embouchure 39, se met à la coïncidence avec une ouverture de vidange 40 met (figure 3), ce qui met en communication la chambre de compression, à l'avant du piston, avec la partie arrière de ce dernier, c'est- -à-dire en y formant un libre passage de l'huile, tout en interrompant 1'étranglement provoqué par la tige 29 et tout en rendant libre le piston d'effectuer la dernière partie de sa course à une certaine vitesse.
De cette façon, la porte n'est plue freinée et elle peut alors se renfermer rapidement, car elle aura suffisamment de force pour vaincre la résistance des verrous, éventuellement appliqués, du type à enclenchement,
Naturellement, l'invention peut être aussi réalisée d'autre) façon en faisant recours à d'autres formes basées sur la même principe, ce qui revient à dire que ces autres constructions demeureront dans les limites de la protection accordée par le brevet une fois délivré.
Revendications ! 1.- Frein hydraulique perfectionné pour la fermeture automatique de portes en tous genres, ce frein comprenant un corps creux, renfermant ses organes mobiles, et fait de façon à présenter deux trous opposés l'un à l'autre, dans lesquels prennent leur logement deux douilles supportant l'arbre du levier de manoeuvre de la porte, cet arbre dépassant par ses extrémités les bouts extérieurs opposés de cea douilles et possédant à chacune de ces extrémités une position d'attache dudit levier, de sorte que ce dernier peut être monté sur l'une ou l'autre de ces extrémités et que l'appareil de freinage peut être utilisé sur des portes s'ouvrant tout aussi bien à droite qu'à gauche,
les douilles étant montées de manière à assurer la parfaite étanchéité au passage de l'huile du frein hydraulique par le moyen de garnitures à bague.