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"OREILLER, COUSSIN, MATELAS OU ANALOGUE ELASTIQUE INDEFORMABLE"
On connatt les inconvénients des oreillers classiques, notamment le lait qu'ils s'écrasent progressivement à l'usage et
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dey;annent de plus en plus dura.
Par oontre. ai on les réalise en , atièré très souple, comme le duvet par exemple, la tttte 8 1 Anton1'l'a exagérément, D'autre part. l'expérience montre que, dans prw usment tous les cas, une pression trop forte de la tâte sur 11 orei-',, est préjudiciable à la bonne tenue de la chevelure ce qui est pau ,uliérement désagréable pour les dames, On a 6EN.,ment envisagé d'utiliser des oreillers en matière plastique 6pongieus, 'un seul bloc, mais l'utilisation de la seule souplesse naturelle de'\ matière plastique spongieuse ne donne pas de résultats satisfaisant, sa tendance permanente à reprendre sa forme première fait qu'ell, xerce une traction incessante depuis le fond du creux créé par la prt;;ion de la t3te vers les borda dudit creux, traction qui, par f-ril,-ion sur la peau donne une imp:r:
ee- ' sion très désagréable sinon m3me doul,lreuse à la longue.
Des inconvénients du Même ordre se constatent dans l'usage des coussins, matelas et autres objets analogues, notamment l'augmen- tation de dureté à l'usage ainsi que les déformations Localise...
La présente invention propose un nouveau mode de réalisation d'oreiller et autres ne présentant pas les inconvénient. ci-dessus mentionnés*
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Bxeaplativementt l'oreiller est constitué d'un bloc de matière synthétique spongieuse, avantageusement une tousse de @
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polyéther, de dimensions correspondant à celles d'un oreiller classique, Sur une, ou les deux grandes faces, sont effectuées des découpes en quadrillage sur une profondeur de l'ordre de 2 cm et
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d'une surface en plan d'environ 2 x 1 coo Il ont enatntiol que lea bulles incorporiez à la matière synthétique soient communïcanten entre elles afin de permettre une certaine circulation de l'air,
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donc une évacuation de la chaleur* Dans une variante arantageune de l'invention, il eat prévu que les d6coupea ont la forme do rainures, et qui permet dtencort améliorer cette circulation de l'air dans l'oreiller,
L'invention prévoit que les découpes seront effectuées soit sur une, soit aur les deux faces de l'oreiller. Dans ce dernier cas, la profondeur et/ou la forme des entailles pourront différer entre les deux facea, ce qui présente l'avantage de donner deux degrés
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différente de souplease au choix de 1'utilisabour. ' Afin de mieux faire ressortir l'exposa ei-deaaue, le dessin.-- annexé représente, à titre exemplatif et non limitatif, un mode d'exécution du procédé de l'invention.
La figure 1 donne une vue du dessus aur un oreiller suivant l'invention.
La figure 2 est une vue latérale partielle et à plua grande échelle.
La figure 3 est une vue latérale partielle d'une variante d'exécution.
En ae reportant aux figures, l'oreiller eat constitué d'un
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bloc sensiblement parallélipipédique 1 de dimenaione convenableai ù Ses arêtes seront avantageusement chanfrainées ou arrondies.
La face supérieure 2, ou les deux faces supérieure 2 et inférieure 3,
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est/aont entaill6e(a) en quadrillage de manière à former des petits bloua 4, par exemple parallélipipédiques mais pouvant également
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recevoir d'autres formes. La profondeur des entailles sera exemplati- vement de 2 cm et les parallélipipèdes mesureront exemplativement 2 cm x 1 cm. Ils peuvent aussi être des carrés de 1,5 cm de cote.
Dans la variante de la figure 3, des rainures $ d'une largeur de quelques millimètres séparent les parallélipipèdes 4,
En service, nous le poids de la tête de la personne, la partie supérieure de l'oreiller s'écrase à la fois par suite de l'élasticité propre de la matière et celle de chacun dès petite blocs qui s'enfonceront chacun proportionnellement à l'effort lui appliqué. L'ensemble épousera ainsi la forme de la tête, les entailles empêchant l'apparition de tensions gênantes. De plua., lors d'éventuels mouvements de la tête, les petits blocs s'incline- ront pratiquement librement pour suivre le sens dudit mouvement.
Les efforts de traction sur la chevelure sont ainsi réduite au minimum. Dès cessation de l'appui de la tête, l'élasticité propre de la matière rendra sa forme primitive à l'oreiller*
Comme déjà dit, la porosité de la Matière et, éventuellement la présence des rainures montrées à la figure 3, assureront une certaine circulation de l'air empêchant un échauffement local désagréable.
Il est bien évident que de nombreuses variante* de présen- tation comme de dimensions des petite blocs et des entailles Ion séparant sont possibles sans pour cela s'écarter du cadre de l'invention pouvant se caractériser par ce qui suit. @