Procédé pour la conservation du café torréfié et conditionnements pour la mise en oeuvre du procès
Le café vert , qui est pratiquement sans odeuest transformé , par la torréfaction , en un produit nouveau riche en arôme .
On sait que cet arôme très volatil est donné par la oaféone , huile essentielle qui se développe pendant la torréfaction aux dépens de l'acide oatétannique qui y préexiste .
A la fin de la torréfaction , cette caféone ,
<EMI ID=1.1>
partie à l'état de vapeur dans les grains de café
Dans le même temps, la torréfaction , qui est une combustion partielle , donne lieu à la formation d'une
<EMI ID=2.1>
Ce CO 2 s'accumule dans les cellules végétales
<EMI ID=3.1>
gonflés , crépitent sous l'effet de la pression intérieure <EMI ID=4.1>
poursuivre pendant plusieurs jours en diminuant d'intensité
<EMI ID=5.1>
<EMI ID=6.1>
la majeure partie des gaz dégagea , chargés d'arôme , s'en va ; dans l'atmosphère . Puis le CO 2 restant dans les grains finit par être remplacé par de l'air , simplement par différence de densité . On sait , on effet, que le poids moléculaire de l'air
<EMI ID=7.1>
La dégradation se continue alors par l'oxyda- tion des matières grasses qui rancissent , l'absorption de l'humidité ambiante, l'imprégnation par les odeurs voisines
<EMI ID=8.1>
semaines, voire marne en quelques jours dans les plus mauvaises conditions, le café est devenu invendable .
On peut donc dire que l'avilissement du café torréfié commence dès sa sortie du torréfacteur .
Si au contraire , en vue de conserver ces gaz
<EMI ID=9.1>
sortie du torréfacteur , dans un récipient étanche , la pression développée au bout de quelques jours dans le réci- pient est telle qu'il se trouve complètement déformé et peut même éclater .
Conditionner une denrée aussi spéciale , en vue de sa bonne conservation en qualité et en durée , pose donc de sérieux problèmes .
L'industrie du café ne semble avoir vu que les
<EMI ID=10.1>
qui se dégage du café chaud .
Les solutions préconisées à ce problème ont été
<EMI ID=11.1>
<EMI ID=12.1>
<EMI ID=13.1>
dérés comme gênants . Dans ces conditions , une bonne pa tie de l'arôme du café se trouve , en môme temps, élis' L'expérience montre que, une fois un tel emballage ou c: tionnement ouvert , il faut en consommer très rapidement
<EMI ID=14.1>
valeur
<EMI ID=15.1>
torréfié dans des emballages constitués par une matière étanche et munie de moyens tels que valves ( constituées ' . exemple par un cordon poreux ) qui laissent passer les p - au fur et à mesure de leur formation , ceci afin d'éviter la déformation do l'emballage ou conditionnement .
Cependant, dans de tels emballages , étant
<EMI ID=16.1>
dans un court lapa de temps , qu'ils autorisent d'une part, d'autre part les positions qu'ils sont susceptibles de
et de C02
<EMI ID=17.1>
puisque le dégagement gazeux est lui-même très important .
En d'autres termes, les solutions préconisées jusqu'ici l'ont été dans le sens de la facilité et de la préservation de la présentation de l'emballage plutôt que de la conservation de son contenu .
En partant d'une conception entièrement diffé-
<EMI ID=18.1> la conservation optimale du café tien seulement dans son embal-
<EMI ID=19.1>
<EMI ID=20.1>
ouvert durant la période normale d'utilisation par le consommateur *
Ca procédé consiste essentiellement , contrairement aux procédés connus , où la conservation se fait , soit
<EMI ID=21.1>
problème sous tous ses aspects a eu l'idée que lez gaz et en particulier le CO 2 , gaz protecteur parce qu'inerte , dégagea . par la torréfaction du café , considérés jusqu'ici comme gê- nants , en raison de leur ebond&nca , pouvaient être utilisés
grâce à la pression qu'ils développent à l'intérieur de
'1 l'emballage où est placé le café à la sortie du torréfacteur,
Le problème, en définitive , est de livrer
au consommateur après un certain temps de conservation du
<EMI ID=22.1>
L'idée de fraîcheur est, en l'occurence $ liée
<EMI ID=23.1>
gées du café sont alors occluses ou en puissance dans les
<EMI ID=24.1>
une période inatable . Leur texture et leur forme sont modifi- des du fait des gaz en formation , et ils réagissent en les
<EMI ID=25.1>
Il faut donc agir immédiatement sur les
<EMI ID=26.1>
et de l'arôme . Cette élimination est évitée , conformément
<EMI ID=27.1>
par le dégagement gazeux <EMI ID=28.1>
<EMI ID=29.1>
<EMI ID=30.1>
que. jours .
<EMI ID=31.1>
grains , ils constituent dans l'emballage étanohe une � ntre-
<EMI ID=32.1>
lement devenue très élevée dans les grains .
Les gaz qui ne sont pas sortie des graine
<EMI ID=33.1>
refroidir , puis de se concentrer et do se fixer dans les oellules . De même , le CO 2 a imprégné les grains jusqu saturation , Enfin, la stabilisation est réalisée .
<EMI ID=34.1>
donc le double avantage surprenant de concentrer l'arôme
du café torréfié et de saturer les grains de CO 2 , assurant ainsi une longue protection contre l'oxydation .
Plus la pression est élevée , meilleur est le résultat ; mais pour des raisons de commercialisation , on ne peut utiliser des emballages qui risquent d'éclater .
En expérimentant dans la gamme des matières
<EMI ID=35.1>
polyéthylène haute et basse pression , le polypropylène et
<EMI ID=36.1>
rités , d'obtenir les avantages recherchés , grâce à des pressions importantes certes t mais sans qu'il soit nécessaire de garder la pression totale développée durant le dégagement gazeux
Ces matières , dont l'étanchéité varie avec l'épaisseur, peuvent supporter et conserver pendant un laps de <EMI ID=37.1>
le de 20 gr/Cm2
En outra on constate , et c'est là le fait ; important que cette matière se comporte comme un filtre .
<EMI ID=38.1>
désodorises, seul ou presque un excédent de 00 2 est libéré.
La durée de conservation recherchée déter-
<EMI ID=39.1>
peut obtenir ainsi des pressions minima et maxima plus ou moins fortes et des écarts entre les minima et maxima plus
ou moins grands .
<EMI ID=40.1>
mince et trop poreuse , qui ne permettrait pas d'obtenir
une forte pression durant la période critique du dégagement gazeux et qui par la suite , laisserait l'air remplacer le CO 2 simplement par différence de densité .
La pression intérieure limite d'étanchéité
<EMI ID=41.1>
que .
Une matière assez rigide permet de réduire au minimum les déformations du récipient
Une matière teintée protège de la lumière.
<EMI ID=42.1>
soufflage ou extrusion-thermo-formage , ce qui permet 'obtenir un emballage monobloo ayant une seule ouverture
La forme donnée par les moules lors du sou la-
<EMI ID=43.1>
comme représentée au dessin annexé cylindrique ou par lépipédique avec large goulot ( Fig. 1 et 2 ) ou reprc tant un sao à café classique à fond rectangulaire ou c
<EMI ID=44.1>
lant vers l'ouverture ( Fig. 3 et 4 ) . Apres remplisse,.
<EMI ID=45.1>
7 et 8 ) .
Dans ce cas, l'emballage tout entier joue 1-.-
<EMI ID=46.1>
Le conditionnement peut également être réai..comme représenté à titre d'exemple sur les Fig.9 à 12 du dessin annexé .
Réalisé en deux parties, il comprend un réci-
<EMI ID=47.1>
11 et 12 ) .
Le récipient en verre ou en métal comporte un renflement ou bourrelet [pound] sur la partie extérieure , près de l'ouverture .
Le couvercle moulé dans l'une des matières plastiques définies plus haut est coiffant , et comporte un bord roulé! . Il est mis en place à force , et du
fait de son élasticité donne une bonne fermeture sur le verre ou le métal .
Ce couvercle assure la fonction de valve .
Si on veut éviter au café le contact de la matière plastique , il suffit d'interposer un ronide papier sulfurisé entre le bord du récipient en verre ou en métal et le couvercle en matière plastique
Il est également possible de réaliser des fermetures étanchos à vis pour tous les emballages précités ( saut le sac) qu'ils soient entièrement ou partiellement en matière plastique ..
Des expériences ont été menées par le Demandeur à l'aide de conditionnements du genre de ceux
<EMI ID=48.1>
Le conditionnement servant à l'expérimentation était muni d'une valve de chambre à air de voiture permettant de contrôler l'évolution de la pression régnant à l'intérieur du conditionnement
On a rempli de café torréfié , ohaud
le récipient qui a été ensuite thermosoellé . Rapidement les gaz se sont accumulés à l'intérieur . L'air qui se trouvait enfermé en même temps que le café est allé vers le haut du fait de sa densité moindre . Lorsque la pression a dépassé le point limite d'étanchéité du récipient , l'air
<EMI ID=49.1>
Puis la pression a commencé à monter . Après un jour, �elle était d'environ 200 Gr/Cm2 , après deux jours de 400 Gr/Cm2,
<EMI ID=50.1>
environ , et après plusieurs mois , toujours d'environ
50 Gr/Cm2 .
En même temps que la pression on contralait l'odeur des gaz passant à travers la paroi , et l'on a constaté que ces gaz étaient pratiquement désodorisés
On peut donc conclure , que sous l'effet
<EMI ID=51.1> l'arôme sont restés dans les graine , et quo seul ou près ue le CO 2 a été évacué .
De cette expérience confirmée par beau coup d'autres , il ressort que la période critique durant laquelle l'emballage doit conserver une forte pression se situe entre le premier et le huitième jour . C'est penda
<EMI ID=52.1>
atteindre la pression minima déterminée par la limite de porosité de l'emballage , cette pression minima devant toujours être supérieure à la pression atmosphérique .
<EMI ID=53.1>
Fait surprenant , ce café ainsi conservé présentait un ar8me supérieur à celui d'un café frais consommé dans les jours suivant la torréfaction .
En outre , lors de l'utilisation du café , un emballage ouvert , pourvu qu'il reste vertical entre les prises garde le produit frais perdant près d'un mois .
En pratique t la conservation du café garait'optimale, pour une longue durée , pouvant aller jus-
<EMI ID=54.1>
vention , sous des pressions s'établissant de préférence , entre 200 et 500 Gr/ Cm2 pour les pressions maximales et, pour les pressions minimales , entre 20 et 50 Gr/ Cm2 .
<EMI ID=55.1>
tible utilisé ( bois, coke , fuel , gaz) et des particules brûlées , qui donnent au café une saveur acre . Ces composés,
<EMI ID=56.1>
le début du passage de l'excédent gazeux au travers de la paroi . Les gaz restant dans les grains et à l'intérieur du récipient sont exempts de produits nocifs ou désagréable..
<EMI ID=57.1>
te de l'utilisation de moyens absolument naturels , ce Qui met à l'abri des réactions secondaires , surtout chimiques ,
<EMI ID=58.1>
jonction de gaz dite inertes .
Process for the preservation of roasted coffee and packaging for carrying out the process
Green coffee, which is practically odorless, is transformed, by roasting, into a new product rich in aroma.
We know that this very volatile aroma is given by oaféone, an essential oil which develops during roasting at the expense of oatetannic acid which exists there.
At the end of roasting, this caffeone,
<EMI ID = 1.1>
vapor part in the coffee beans
At the same time, roasting, which is partial combustion, results in the formation of a
<EMI ID = 2.1>
This CO 2 accumulates in plant cells
<EMI ID = 3.1>
inflated, crackle under the effect of internal pressure <EMI ID = 4.1>
continue for several days, decreasing in intensity
<EMI ID = 5.1>
<EMI ID = 6.1>
most of the gas released, loaded with aroma, goes away; in the air . Then the CO 2 remaining in the grains ends up being replaced by air, simply by difference in density. We know, indeed, that the molecular weight of air
<EMI ID = 7.1>
The degradation then continues through the oxidation of the fatty matter which becomes rancid, the absorption of ambient humidity, the impregnation by neighboring odors.
<EMI ID = 8.1>
weeks, or even marl in a few days under the worst conditions, the coffee has become unsaleable.
We can therefore say that the degradation of roasted coffee begins as soon as it leaves the roaster.
If, on the contrary, in order to conserve these gases
<EMI ID = 9.1>
out of the roaster, in a sealed container, the pressure developed after a few days in the container is such that it is completely deformed and may even burst.
Packaging such a special food, with a view to its good conservation in terms of quality and duration, therefore poses serious problems.
The coffee industry seems to have seen only
<EMI ID = 10.1>
that comes out of hot coffee.
The recommended solutions to this problem have been
<EMI ID = 11.1>
<EMI ID = 12.1>
<EMI ID = 13.1>
derives as bothersome. Under these conditions, a good part of the aroma of the coffee is, at the same time, elected. Experience shows that, once such a packaging or container is opened, it must be consumed very quickly.
<EMI ID = 14.1>
value
<EMI ID = 15.1>
roasted in packages made of a waterproof material and provided with means such as valves (constituted for example by a porous bead) which allow the p - to pass as and when they are formed, in order to avoid deformation of the packaging or packaging.
However, in such packaging, being
<EMI ID = 16.1>
in a short lapse of time, which they authorize on the one hand, and on the other hand the positions that they are likely to
and C02
<EMI ID = 17.1>
since the release of gas is itself very important.
In other words, the solutions advocated so far have been in the sense of ease and preservation of the presentation of the packaging rather than the conservation of its contents.
Starting from an entirely different conception
<EMI ID = 18.1> Optimal storage of coffee is only possible in its packaging.
<EMI ID = 19.1>
<EMI ID = 20.1>
opened during the normal period of use by the consumer *
This process consists essentially, unlike the known processes, where the conservation is done, either
<EMI ID = 21.1>
problem in all its aspects had the idea that lez gas and in particular CO 2, protective gas because integer, released. by roasting coffee, considered until now as troublesome, because of their ebond & nec, could be used
thanks to the pressure they develop inside
'' 1 the packaging where the coffee is placed at the outlet of the roaster,
The problem, ultimately, is to deliver
to the consumer after a certain period of storage of the
<EMI ID = 22.1>
The idea of freshness is, in this case $ linked
<EMI ID = 23.1>
of the coffee are then occluded or potentially in the
<EMI ID = 24.1>
an inatable period. Their texture and shape are altered by the gases being formed, and they react by
<EMI ID = 25.1>
It is therefore necessary to act immediately on the
<EMI ID = 26.1>
and aroma. This elimination is avoided, in accordance with
<EMI ID = 27.1>
by gas release <EMI ID = 28.1>
<EMI ID = 29.1>
<EMI ID = 30.1>
than. days .
<EMI ID = 31.1>
grains, they constitute in the etanohe packaging a � between-
<EMI ID = 32.1>
It has only become very high in the grains.
The gases that did not come out of the seeds
<EMI ID = 33.1>
cool, then concentrate and settle in the cells. Likewise, the CO 2 has impregnated the grains until saturation. Finally, stabilization is carried out.
<EMI ID = 34.1>
therefore the surprising double advantage of concentrating the aroma
roasted coffee and saturate the beans with CO 2, thus ensuring long protection against oxidation.
The higher the pressure, the better the result; but for marketing reasons, packaging which is liable to burst cannot be used.
By experimenting with the range of materials
<EMI ID = 35.1>
high and low pressure polyethylene, polypropylene and
<EMI ID = 36.1>
rities, to obtain the desired advantages, thanks to high pressures certainly t but without it being necessary to keep the total pressure developed during the release of gas
These materials, whose waterproofness varies with thickness, can withstand and retain for a period of <EMI ID = 37.1>
the 20 gr / Cm2
In addition we see, and this is the fact; important that this material behaves like a filter.
<EMI ID = 38.1>
deodorises, only or almost an excess of 00 2 is released.
The desired shelf life will determine
<EMI ID = 39.1>
can thus obtain more or less strong minimum and maximum pressures and differences between the minimum and maximum more
or smaller.
<EMI ID = 40.1>
thin and too porous, which would not allow to obtain
a high pressure during the critical period of gas evolution and which would then let the air replace the CO 2 simply by density difference.
Inner pressure sealing limit
<EMI ID = 41.1>
than .
A fairly rigid material minimizes container deformation
A tinted material protects from light.
<EMI ID = 42.1>
blow molding or extrusion-thermoforming, which makes it possible to obtain a monobloo packaging having a single opening
The shape given by the molds during the sou la-
<EMI ID = 43.1>
as shown in the annexed drawing cylindrical or by the epipedic with wide neck (Fig. 1 and 2) or representing a classic coffee sao with rectangular bottom or c
<EMI ID = 44.1>
leaning towards the opening (Fig. 3 and 4). After filling ,.
<EMI ID = 45.1>
7 and 8).
In this case, the entire packaging plays 1 -.-
<EMI ID = 46.1>
The packaging can also be réai..comme shown by way of example in Fig.9 to 12 of the accompanying drawing.
Produced in two parts, it includes a recital
<EMI ID = 47.1>
11 and 12).
The glass or metal container has a bulge or pound on the outside, near the opening.
The cover molded in one of the plastic materials defined above is styling, and has a rolled edge! . It is put in place by force, and
because of its elasticity gives a good closure on glass or metal.
This cover performs the valve function.
If you want to prevent the coffee from coming into contact with the plastic, it suffices to insert a ronide parchment paper between the edge of the glass or metal container and the plastic lid.
It is also possible to make watertight screw closures for all the aforementioned packaging (except the bag) whether they are entirely or partially in plastic material.
Experiments have been carried out by the Applicant using packaging of the type of those
<EMI ID = 48.1>
The conditioning used for the experiment was fitted with a car inner tube valve making it possible to control the evolution of the pressure prevailing inside the conditioning.
We filled up with roasted, hot coffee
the container which was then thermosealed. Soon the gases accumulated inside. The air that was trapped at the same time as the coffee went upwards due to its lower density. When the pressure has exceeded the sealing limit point of the container, the air
<EMI ID = 49.1>
Then the pressure started to mount. After one day, it was around 200 Gr / Cm2, after two days of 400 Gr / Cm2,
<EMI ID = 50.1>
approximately, and after several months, still approximately
50 Gr / Cm2.
At the same time as the pressure was controlled the odor of the gases passing through the wall, and it was found that these gases were practically deodorized.
We can therefore conclude that under the effect
<EMI ID = 51.1> the aroma remained in the seeds, and only or near CO 2 was released.
From this experience, confirmed by many others, it emerges that the critical period during which the packaging must maintain strong pressure is between the first and the eighth day. It's hanging
<EMI ID = 52.1>
reach the minimum pressure determined by the porosity limit of the packaging, this minimum pressure must always be greater than atmospheric pressure.
<EMI ID = 53.1>
Surprisingly, this coffee thus preserved presented an ar8me superior to that of a fresh coffee consumed in the days following roasting.
In addition, when using coffee, an open package, as long as it remains vertical between takes, keeps the product fresh losing nearly a month.
In practice t the conservation of the coffee is guaranteed to be optimal, for a long period, up to
<EMI ID = 54.1>
vention, under pressures preferably establishing between 200 and 500 Gr / Cm2 for maximum pressures and, for minimum pressures, between 20 and 50 Gr / Cm2.
<EMI ID = 55.1>
tible used (wood, coke, fuel, gas) and burnt particles, which give the coffee a pungent flavor. These compounds,
<EMI ID = 56.1>
the start of the passage of excess gas through the wall. The gases remaining in the grains and inside the container are free from harmful or unpleasant products.
<EMI ID = 57.1>
you use absolutely natural means, which protects against secondary reactions, especially chemical ones,
<EMI ID = 58.1>
junction of so-called inert gases.