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" Procède pour reproduire un cliché en totalité ou par por- tions et duplicateur rotatif pour la mise en oeuvre du pro- cédé ".
L'invention a pour objet un procédé visant à repro" duire un cliché en totalité ou par portions, dans lequel, au moyen de contacta de manoeuvre affectés aux lignes et/ou aux colonnes d'un cliché, on excite des électro..aimants qui assurent
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la reproduction des lignes ou colonnes considérées.
Dans les appareils connus de ce genre, on utilise les électro-aimants exclusivement pour faire pivoter l'un par rapport 4 l'autre les éléments d'impression. Etant donné les masses,importantes qu'il s'agit d'accélérer ,une telle machine ne peut fonctionner qu'à une vitesse limitée. Cependant,il faut qu'elle présente une stabilité suffisante et qu'elle soit in- sonorisée'.
Par contre, suivant l'invention,' la reproduction se fait au moyen d'une encre magnétique, qui contient de façon connue des particules magnétiques, de préférence des particules de pigment magnétique, et le transfert de l'encre ,de l'encrage au cliché et/ou du cliché au support d'impression et/ou du cli- ohé , un support intermédiaire d'impression,qui se fait prati- quement sans contact, est commandé à l'aide d'un champ magné- tique pouvant être établi par lignes et/ou par colonnes. Le transfert peut se faire dans un champ magnétique continu ou alternatif.
Dans cette disposition, il n'y pas de masses à accélérer en dehors de l'encre elle-même. Par suite ,la mise en route et l'arrêt de l'impression se font à une vitesse ex- tr$mement grande et le cylindre d'impression peut tourner à une vitesse qui n'est pratiquement pas diminuée par rapport aux duplicateurs rotatifs à fonctionnement continu, A cet effet, il n'est pas nécessaire que la machine soit particulièrement robuste, d'autant plus 'que la pression d'application n'est plus nécessaire enyre la cylindre d'impression et le support d'im- pression.
Si l'on commande au moyen des aimants suivant l'in- vention le transfert d'encre dé l'encrage au cliché en plus du transfert d'encre du cliché au support d'impression ou bien à
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la place de ce transfert, on obtient encore un autre avantage, à savoir qu'il ne peut pas s'accumuler un excès d'encre aux pointe du cliché qui ne sont pas à reproduire.
En principe, le procédé de reproduction totale ou par- tielle d'un cliché, suivant l'invention, peut être appliqué à tout procédé d'impression connu. En particulier, on peut uti- liser des clichés électrophotographiques ou similaires qui exercent une,-force d'adhérence variable en fonction de l'image sur une poudre colorante qui, de façon connue, contient des constituants pouvant être influencés magnétiquement.
Mais il est particulièrement avantageux d'utiliser comme cliché un cliché plat facile à confectionner et qui assu- re par nature un transfert rapide d'encre, de préférence l'en- veloppe de caoutchouc d'une machine' à imprimer en offset ou bien un cliché magnétique qui fonctionne de toute façon avec une encre magnétique. Quand on applique ces procédés d'impres- sion, on peut surtout obtenir une qualité d'impression qui ré- pond à toutes les exigences,,
De préférence, dans les deux cas, on mouille le cli- ché de manière en elle-même connue, Dans l'impression à plat, l'encrage du cliché en fonction de l'image est commandé par @ mouillage de façon usuelle.
Dans le cas du cliché magnétique: dans lequel l'encrage en fonction de l'image est commandé par l'intensité de champ variable de celui-ci,le cliché et le aup- port d'impression peuvent être rapprochés grâce au mouilla@ jusqu'au contact mutuel et l'aimant qui commande l'impression sélective peut être d'autant plus faible. Grâce au mouillage, il ne peut pas se produire un transfert d'encre par adhérence pure, c'est-à-dire quand l'aimant de transfert n'est pas en circuit.
Dans le procédé d'impression sélective magnétique
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proposé par l'invention, on peut utiliser des feuilles d'im- pression magnétique, des feuilles normales d'offset ou des supports non revêtus. Les feuilles d'impression magnétique sont constituées par un support dans lequel on a imprimé une couche constituée par une matière fortement magnétique dans son ensem- ble et par une substance filmogène. On opère l'écriture soit au moyen d'un style magnétique soit par irradiation à l'aide de rayons infra-rouges, en un procédé par ombre, en tirant parti du point de Curie de la couche magnétique. On confectionne une feuille normale d'offset suivant le procédé connu, par exemple en écrivant à la machine ou optiquement.
Sur des supports non revêtus, on écrit à la main ou à la machine avec une encre très perméable, faiblement magnétique,
L'encrage de la feuille d'impression magnétique ma- gnétisée en fonction de l'image se fait sans contact dans le champ propre de la feuille; par contre le transfert de l'encre magnétique sur une feuille non revêtue sur laquelle on a écrit en fonction de l'image avec une substance adhérente très per- méable se fait sans contact dans un champ magnétique indépen- dant; .
Suivant une autre caractéristique de l'invention, les impulsions de manoeuvre servant à commander le champ ma- gnétique partent, de manière en elle-même oonnue, d'un moyen de commande affecté au cliché,on commande par lignes un champ magnétique subdivisé par colonnes et le choix des colonnes et/ ou lignes à reproduire est effectué de préférence au moyen de contacts commandés par touches.
Les régions du cliché qui sont divisées en lignes et en colonnes:et qu'il s'agit de reproduire sont donc choisies uniquement par manoeuvre d'une touche ou d'un organe similaire.
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Puis, lorsque la ligne considérée passe au point de transfert de 3:'encre du cylindre d'impression sur le support, la partie des aimants de transfert qui est affectée à la colonne désirée est excitée par le contact de manoeuvre affecté au cliché ou tournant de façon synchrone avec celui-ci, de sorte que la por- tion ohoisie des lignes désirées est seule reproduite. De cette manière, on .peut reproduire par portion n'importe quel documenta
Par exemple, d'une fact ure/de revendeur aveo prix et remises, on peut reproduire des extraits qui constituent la facture d.e client sans remise, le bon de livraison sans prix ou le bon d'enlèvement sans prix ni adresses, etc...
Les touches sélectrices peuvent constituer par exem- ple des touches à double fonction qui restent en position de travail lorsqu'on les a enfoncées une seule fois et sont à nou- veau effacées par'une nouvelle pression. Il est également très avantageux ici de prévoir un clavier présentant une touche centrale d'effacement. Elle permet, après avoir réalisé toutes les reproductions qu nécessite une combinaison, d'effacer cette combinaison par pression sur une seule touche, après quoi on peut poser une nouvelle combinaison.
Si comme dans le cas ci-dessus la partie qui ne doit pas apparaître dans la reproduction est seulement la plus petite partie des indications contenues dans un formulaire complet,il peut aussi être à conseiller d'adopter une disposition de tou- ches ou d'interrupteurs dans laquelle on reproduit tous les passages dont la touche n'a pas été actionnée. On peut, alors établir dans tous les cas la nouvelle combinaison en actionnant ou en effaçant simplement une seule touche.
Naturellement,dans des machines plus simples, la mise au point des contacts sélec- teurs peut aussi se-faire à l'aide de fiches, d'interrupteurs à bascule etc,..D'autre part, l'appareil d'impression sélective
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-suivant l'invention peut aussi être combiné à des mémoires mé- caniques ou électroniques qui emmagasinent toutes les combinai- sons prévues pour la reproduction ainsi que le nombre des re- productions désirées dans chaque oas, celles-ci étant alors exécutées automatiquement l'une après l'autre'.
Suivant une autre proposition de l'invention, les impulsions de manoeuvre servant à commander le champ magnétique commandent simultanément l'avance du support. Ce procédé permet 'de rapprocher sur le support d'impression des lignes ou portions qui sont éloignées les unes des autres sur le cliché et il peut servir en particulier à établir des documents pour l'organisa- tion du travail, Par exemple, l'en-tête et des lignes choisies d'une liste de pièces à fabriquer peuvent apparaître sous forme ramassée ou en succession immédiate sur des cartes d'accompagne- ment de travail, des bons de prélèvement de matières, des relevés de travail à la tâche etc...
Naturellement, au lieu de cela, on peut aussi omettre les' paragraphes inutiles sur des devis et re- produire les paragraphes utiles sans espacement.
L'avance du support d'impression peut être effectuée de différentes façons. Par exemple, le support d'impression peut être entraîné par un dispositif magnétique à plots dont la bo- bine d'aimant est excitée par le courant de l'aimant de transfert.
Mais de préférence,les impulsions de manoeuvre doivent actionner un accouplement de manoeuvre pour le dispositif d'entraînement du support d'impression. Il est ainsi assuré qu'au moment du transfert d'encre, il n'existe entre le support d'impression et le cliché, aucune vitesse relative qui nuise à la netteté de la reproduction.L'accélération initiale du dispositif transporteur se situe dans les interlignes où l'aimant de transfert mis en circuit simultanément ne trouve pas d'encre sur le cliché.
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Ainsi, le transfert d'enore et l'entraînement du pa- pier sont commandés de 'la façon la plus simple par une seule impulsion qui part d'un interrupteur se déplaçant de façon syn- chronisée avec le cliché. Si toutes les lignes du cliché ne sont pas à reproduire, le support d'impression reste naturelle- ment en retard sur le cliché dans son mouvement. Afin qu'uil soit tout de même transporté complètement à travers la machine et éjecté dans le collecteur, le cliché doit, suivant l'invention, être maintenu dans sa position initiale jusqu'à ce que le sup- port d'impression suivant ait atteint sa position initiale.
Suivant une autre caractéristique de l'invention, on utilise une encre qui contient, dans un liant repoussant dans le papier à la manière d'une hui pour offset, une fraction aussi grande que possible de particules de substance magnétique et de particules de pigment et/ou de particules de pigment ma- gnétique. Cette encre peut être distribuée conformément à l'in- vention par l'aimant de transfert. Elle présente par ailleurs les mêmes propriétés d'impression qu'une encre normale pour offset.
Naturellement, les plus grades forces d'attraotion apparaissent quand on utilise dans l'encre des substances magné- tiques très perméables. En outre, pour exclure des perturbations .causées dans le processus de commande suivant l'invention par une prémagnétisation fortuite de l'encre, il faut que sa force coercitive soit en général aussi faible que possible. Cependant, il peut être avantageux dans certains cas d'utiliser des pigment qui ont une force coercitive moyenne et une rémanence de satu- ration moyenne. Dans le champ alternatif, ces particules subis- sent continuellement un renversement de magnétisation mais elles conservent une part notable du sens de magnétisation qui leur a été tout d'abord imprimé foruitement.
Par suite, les particules
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de pigment exécutent dans le ohamp alternatif un mouvement os- cillant qui communique une plus faible viscosité à l'encre presque obligatoirement visqueuse par nature et facilite ainsi le transfert: d'encre.
En outre, suivant l'invention , un duplicateur rota.* tifdestiné à. la mise en oeuvre du procédé est caractérisé par le fait qu'un électro-aimant est disposé à l'endroit du trans- fert d'encre du cliché au support et/ou de l'encrage au cliché et/ou du cliché à un support intermédiaire',
Suivant une forme de réalisation préférentielle de l'invention, on utilise comme cliché le cylindre porte-cliché ou le cylindre d'offset d'une machine à offset, ou bien le cli- ché magnétique d'une machine d'impression magnétique, et le du.. ' plicateur rotatif doit présenter un mouilleur de façon connue.
Suivant une autre caractéristique de l'invention, l'électro-aimant est en forme de règle, Pour obtenir un champ magnétique aussi homogène que possible, il est à conseiller de disposer un électro-aimant en forme de règle à l'extérieur et un autre à l'intérieur du cylindre qui porte le cliché, les deux aimants étant de préférenoe reliés par une culasse magné- tique.
Suivant une autre proposition de l'invention, l'électro-) aimant en forme de règle peut être formé d'aimants annulaires présentant une fente. En donnant à la fente une structure ap- propriée, connue par la technique de l'enregistrement magnéti- que du son, on arrive à faire sortir les lignes de force de la fente. Les lignes de force qui agissent sur les pigments magné- tiques changent de sens au passage.
Etant donné qu'un certain temps s'écouler entre la magnétisation du pigment et le transfert d'encre, on/peut; en harmonisant convenablement la vitesse d'im- pression avec les forces de freinage de l'encre qui sont liées
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à la vitesse, arriver à ce que le temps de changement du sens des lignes de force et le temps qui s'écoule entre la magnéti- sation et le transfert d'encre soient du même ordre de grandeur.
Le transfert d'encre se fait alors dans le champ magnétique vers un pôle de l'aimant annulaire.
Suivant une autre proposition de l'invention, plu- sieurs électro-aimants pouvant tourner autour d'un axe sont ac- couplés au cylindre d'impression. En particulier, plusieurs ai- mants disposés à la façon d'un induit de moteur électrique peu- vent former un cylindre de transport de papier qui est équipé, de manière en elle-même connue, d'une pince commandée par came, Etant donné que dans cette forme de réalisation les électro- aimants se meuvent avec le support d'impression, on peut, même avec des champs magnétiques très peu homogènes, obtenir une re- production entièrement exempte de barbouillage, indépendamment de la vitesse d'impression. D'autre part, des champs très peu homogènes peuvent être même engendrés avec une intensité nota- ble sur un espace limité.
Il est particulièrement avantageux que les différents électro-aimants soient reliés aux segments d'un collecteur con- tre l@quel est placé un balai ou organes similaire. Dans ce cas, seul est excité l'électro-aimant qui se trouve justement en face du p@ .nt de reproduction.
Dans le cas du transfert d'encre commandé magnétique. ment de l'encrage au cliché, il est avantageux que l'aimant de commode constitue un rouleau encreur.
Suivant une forme de réalisation préférentielle de l'intention, l'électro-aimant est en outre subdivisé par colon-. nés t les aimants partiels affectés à chacune des colonnes peu- - vent litre commandés indépendamment les- uns des autres.En outre,
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on prévoit un organe de commande accouplé au cylindre d'impres- ,sion avec un rapport de démultiplication entier, de préférence un doigt de contact glissant sur des contacts,pour commander par lignes l'éleotro-aimant qui commande le transfert d'encre, ou plusieurs organes de commande qui commandent par lignes cha..
cun des électro-aimants affectés à une colonnes ,
En outre, de manière en elle-même connue, le duplica- leur rotatif suivant l'invention doit présenter des contacts pouvant être actionnés par des touches ou moyens similaires pour choisir les portions et/ou colonnes à reproduire.En outre, on prévoit un entraînement central et deux accouplements pou- vant être commandés indépendamment l'un de l'autre pour le mé- canisme imprimant et le transport du papier, ;
En outre, de façon particulièrement avantageuse, le mécanisme imprimant et le transport du papier peuvent être équi- pés chacun d'un organe de manoeuvre permettant d'arrêter alter- nativement leur propre entraînement et de mettre en marche l'au.
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tre entrafinement'.
Pour assurer une reproduction entièrement exempte de barbouillage même quand l'aimant de report est à disposition fi- xe, on propose en outre suivant l'invention d'arrêter le mécanisme imprimant pendant le transfert de l'encre'.
Un appareil suivant l'invention destiné à la mise en ; oeuvre de ce procédé est caractérisé par lefait que le mécanis- me imprimant est accouplé à un entratnement en rotation constan- te au moyen d'un accouplement magnétique commandé par un organe de manoeuvre affecté au cliché, et que l'on a prévu un organe de freinage du mécanisme imprimant, commandé de façon synchrone avec cet accouplement;
En outre, suivant l'invention, on propose un appareil dans lequel s'effectue le transfert magnétique de l'encre entre
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un cliché et un support intermédiaire d'impression et qui pré- sente un aimant de transfert pour le transfert de l'encre du cy- lindre porte-cliché au cylindre 4 enveloppe de caoutchouc.
Dans cette disposition, les éléments de l'impression en offset qui ont donné satisfaction, notamment la commande de l'encrage par mouillage du cliché ainsi que le transfert de l'en- ore au moyen de l'enveloppe élastique en caoutchouc qui peut s'ap- pliquer à des supports d'impression'extrêmement rugueux ou rigi- des, restent entièrement inchangés'. Cependant, notamment lorsqu'on a prévu un dispositif de nettoyage magnétique destiné au nettoyage du cylindre à enveloppe de caoutchouc et qui peut nettoyer celui- ci en l'espace d'un tour, on peut commander la reproduction con- formément à 1'invention. Contrairement à l'impression normale en offset, l'agent de mouillage ne peut pas arriver sur le support d'impression et la poussière de papier ne peut pas arriver dans le récipient à agent de mouillage.
On peut encore faciliter le prooessus de transfert par le fait qu'au moins un des cylindres qui participent au transfert magnétique de l'encre présente un revêtement élastique par-dessus lequel est tendue une feuille magnétisable'. Si les deux cylindres qui participent au transfert magnétique de l'encre présentent ur faible interstice ou si deux cylindres mouillés se touchent @a pression d'application notable,' la feuille magnétisable tendue par-dessus le revêtement élastique est déformée, après l'établis- sement du champ magnétique de commande, par les forces magnét@@en engendrées, dans une mesure telle qu'il se produit un contact au une pression d'application', ce qui a pour effet de faciliter ou de permettre le transfert d'encre.
Grâce à cette feuille magr@t sable tendue par-dessus une base élastique, la commande d'impres- sion sélective suivant l'invention peut même être effectuée avec
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une encre faiblement magnétique ou même aveo une encre/non magné.
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t'ieable-.
On a représenté à titre d'exemple quelques formes de réalisation de l'invention sur les dessins , sur lesquels
La figure 1 est une vue d'ensemble d!un duplicateur rotatif suivant l'invention représenté schématiquement ;
La figure 2 est une coupe du cylindre d'impression et de l'aimant de transfert!
La figure 3 montre un autre duplicateur rotatif sui- vant l'invention ;
La figure 4 montre un dispositif magnétique constituant un rouleau encreur ; '
La figure 5 montre un dispositif magnétique formé d'ai- monts annulaires ;
La figure 6 montre la commande du transfert d'encre entre le cylindre porte-cliché et le cylindre à enveloppe de caoutchouc, et la figure 7 montre un duplicateur rotatif dans lequel le transfert d'encre se fait pendant l'arrêt.
Suivant la figure 1, une feuille d'impression à plat
3 est fixée au moyen d'un dispositif tendeur 2 sur un cylindre . porte-cliché 1 monté sur un axe 1a. Contre la feuille d'impression . à plat est appliqué un rouleau toucheur ° qui est alimenté en encre par l'intermédiaire d'un rouleau preneur 7, par un rouleau d'encrier 5 alimenté par un encrier 6':Le rouleau d'encrier 5 peut être muni de façon usuelle d'un mécanisme réglable de manoeu.
' vre pas à pas permettant de régler l'amenée d'encre. De marne, le preneur peut exécuter de façon connue un mouvement oscillant pour le transfert intermittent d'encrer
En ou%:.,, on a prévu un rouleau mouilleur 8 qui plonge dans une cuvette de mouillage 9 et qui s'applique simultanément
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contre le rouleau toucheur 4. De ce fait,' le rouleau toucheur 4 transfère l'humidité de façon également connue à la feuille d' impression à plat 3 sous forme de pellicule appliquée par-dessus l'encre'.
On a désigné par 10 un cylindre à enveloppe de caout- chouo monté sur un axe 10a et sur lequel une enveloppe de caout- chouc 12 est tendue au moyen d'un dispositif tendeur 11. Au cy- lindre à enveloppe de caoutchouc 10', est reliée de façon solidaire en rotation une poulie 13 qui est accouplée à une autre poulie
15 par un lien élastique ou une chaîne d'entraînement 14.
A l'arbre 40 de cette poulie sont fixés des doigts de , contact 16a-d dont l'un est visible sur le dessin. Il glisse sur des plots 17 a-c solidiaires du bâti et établit ainsi temporaire ment une liaison conductrice entre un conducteur 18 et les con- duoteurs 19a-c. Les conducteurs 19a-o. sont reliés chacun par un interrupteur 20a-c à un conducteur 21 d'une source detension oon- tinue formée es deux conducteurs 21,22. Pour actionner les in- terrupteurs 20a-c, oa a prévu des touches T1-T3 ou organes simi- laires.
En outre, on a représenté schématiquement sur la figure
1 une table porte-papier 23 sur laquelle repose une pile de papier
24. Sur la pile de papier est appliqué un organe de présentation à frottement 25 qui exécute de façon oonnue un mouvement oscillant et qui, à chacun de ses mouvements de gauche à droite où son rou- leau de présentation est bloqué par un mécanisme à roue libre, amène une feuille de papier 102 entre les rouleaux transporteurs
26 et 27'.
Les rouleaux transporteurs 26 et 27 , de même que les rouleaux transporteurs 28 et 29, sont reliés par une transmission non représentée au cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 de telle
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sorte qu'à la feuille de papier 102 est communiquée une vitesse correspondant à la vitesse circonféentielle du cylindre à en- veloppe de caoutchouc. Elle glisse sur un porte-papier 30 qui dans le cas présent est disposé de telle sorte que le papier passe pratiquement sans contact sous le cylindre à. enveloppe de caoutchouc 10. En outre, on a prévu une table de dép8t de papier
31 qui reçoit les feuilles imprimées éjectées par les rouleaux
28,29.
Suivant les figures 1 et 2, un électro-aimant constitué par un noyau 32 et les bobines 33a-d est disposé à, l'endroit où la bande de papier est à la plus petite distance du cylindre à enveloppe de caoutchouc 10. Il est relié par des éléments de cu- lasse magnétique 32a et 32b à l'axe creux 10a du cylindre à en- veloppe de caoutchouc 10 qui est lui-même fixé à un bâti 34,
Sur l'axe creux 10a sont en outre glissés d'autres électro-aimants constitués par les noyaux 35a-d et les bobines 36a-d et fixés par exemple au moyen des vis sans tête37a-d.
Le sens du courant dans les bobines 33a ,36a est choisi de façon telle qu'il se constitue des pales sud sur les épanouissements polaires 33c-f lorsque les épanouissements polaires 35c-h jouent le rôle de pales nord et 'inversement. De cette façon, notamment quand le cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 est formé dtune matière appropriée de préférence très perméable, il se constitue au ppint de transfert dtencre entre le cylindre à enveloppe de caoutchouc et le papier un champ magnétique fortement homogène et le flux magnétique de l'ensemble du dispositif se boucle de façon avantageuse par les éléments de culasse 32a et 32b ainsi que par l'axe creux 10a.
Chaque paire d'aimants est reliée par l'intermédiaire de conducteurs de branchements 38a-d, 39a-d, à l'un des conduc-., teurs 18a-d qui, conformément à ce qui précède,sont commandés par
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L'un des doigts de contact 16a-d de façon synchronisée avec le cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 ou avec le cylindre por. te-cliché 1 relié à celui-ci par le train d'engrenages 41,42.
Le retour du courant au deuxième conducteur 22 du réseau à courant continu se fait par les barres omnibus 43,44, Les con- ducteurs électriques sont recouverts par un capot protecteur extérieur 45 ou agencement similaire.
Si maintenant on met en mouvement le cylindre porte.. cliché 1, la feuille d'impression à plat 3 fixée à celui-ci prend de l'encre de façon connue aux pointe hydrofuges,Cette encre est transférée sous forme d'image renversée du cliché au cylindre à enveloppe de caoutchouc 10, mais dans le cas présent elle ne peut pas arriver sur la feuille de papier qui passe sous le cylindre d'impression parce qu'aucun contact direct ou.au- cune pression d'application suffisante n'est maintenu.
Mais aussitôt qu'une ligne ou une colonne que l'on a sélectionnée en actionnant l'une des touches T1-T3 passe par le point de reproduction, le doigt de contact 16a qui tourna de façon synchronisée avec le cylindre porte-cliché 1 et le cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 ferme le circuit des ai- m ante de report 32f, 35h. Dans le champ magnétique continu a@ se constitue ainsi, l'enore magnétique qui se trouve aur l'en veloppe de caoutchouc jaillit sur le papier sur la largeur de épanouissements polaires 36f, 35h correspondant à la colonne choisie.
En actionnant d'autres touches non représentées T'@ T'3 etc., on peut de la même façon exciter les paires d'aimen@ affectées aux autres colonnes.
Sur la figure 3, un cylindre porte-cliché 1 monté au. l'axe 1a et portant une feuille d'impression à plat 3 coopère à nouveau avec un cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 monté sur un axe 10a. Mais ici, la feuille 102 amenée dans la machine
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par un organe de présentation à frottement 25 est reprise par une pince 46 d'un cylindre d'appui 47. La pince 46 est comman- dée de façon usuelle par une came solidaire du bâti qui n'est pas représentée plus précisément.
Sur l'arbre 48 du cylindre d'appui 47 est fixé un excentrique 49 qui entraîne 1!organe de présentation à frottement 25'.'
Ainsi, la rotation du cylindre d'appui 47, a pour .effet que l'organe de présentation à frottement 25 prend une feuille de papier 102 de la pile 24 et la pousse, de préférence avec/formation d'une ondulation, dans l'embouchure ouverte de la pince 46', Dans la suite de la rotation, la pince 46 se ferme, saisit la feuille de papier et la transmet finalement au rou- leau d'évacuation 51 appliqué contre la racle 50 puis sur la table de dépôt 31.
En outre, on a prévu un.rouleau d'entraînement 52 duquel on peut rapprocher soit une poulie à friction 54 reliée au cylindre d'appui par une chaîne d'entraînement 53 ou un or- gane similaire, soit une poulie à friction 56 reliée au cylin- dre à enveloppe de caoutchouc 10 par une chaîne d'entraînement
55. Les deux cylindres 1 et 10 sont accouplés de la façon u-, suelle par des engrenages appropriés.
La poulie à friction est montée sur un bras porteur
57 qui peut pivoter autour de l'axe 48 du cylindre d'appui 47, la poulie à friction 56 sur un bras porteur 58 qui peut pivoter autour de l'axe du cylindre à enveloppe de caoutchouc 10. Les bras porteurs 57 et 58 subissent chacun l'action d'un aimant de traction 59,60 et d'un ressort 61,62. En outre, on a encore ,prévu un patin de frein 63 pour la poulie 54 et un patin de frein 64 pour la poulie 56.
Les ressorts 61 et 62 ainsi que les aimants de
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traction 59 et 60 sont disposée de telle sorte que la poulie
54 est attirée par le ressort 61 contre la patin de frein 63 et par l'aimant 59 contre le rouleau d'entraînement 52,tandis que la poulie 56 s'applique sous l'action du ressort 62 con- tre le rouleau 52 et sous l'action de l'aimant 60 contre le patin de frein 64.
D'autre part, on a prévu un crochet de blocage 66, monté sur l'axe 65 solidaire du bâti, et qui coopère sous l'ac- tion d'un ressort 67 avec un bec 58a du bras porteur 58. Il est actionné par un levier de déclenchement 68 qui est monté sur l'axe solidaire du bâti et s'appuie contre lui sous l'ac- tion d'un ressort 70.
La course du levier de déclenchement 68 est limitée par une butée,,71 solidaire du bâti, Le levier de blocage 66,'8 pour effet que le ressort 62 peut seulement ao- coupler le cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 au rouleau central d'entraînement 52 quand le levier do déclenchement 68 est enfoncé, la commande de la reproduction par Tignes ou par uolonnes est assurée, dans ce cas aussi, par une série de doigts de contact 16a-d tournant de façon synohrone avec le cylindre à enveloppe de caoutchouc et coopérant avec une série de contacts
17a-c, 17'a-c, 17"a-c solidaires du bâti. De même ,on a prévu ici aussi des interrupteurs 20a-a et des touches T1, T2,etc..
Sur le cylindre d'appui 47 sont prévues des bobines d'aimant 47a qui, à la façon d'un induit de moteur électrique, sont insérées dans des rainures correspondantes du cylindre d'appui 47. Les bobines sont de préférence bobinées de telle sorte qu'à la surface du cylindre, il se constitue alternati- vement un pôle nord et un pôle sud. L'alimentation des bobines en courant est assurée d'une part par un conducteur 72 qui relie au commutateur 16, 17 un étrier frotteur 76 appliqué contre le
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cylindre d'appui, et d'autre part, un conducteur 73 qui part du conducteur 22 du réseau à courant continu aboutit à un é- trier frotteur 75 appliqué contre un collecteur 74.
De façon connue, le collecteur est subdivisé en portions périphériques isolées les unes des autres et qui alimentent seulement en courant la paire de bobines qui est momentanément voisine du cylindre à enveloppe de caoutchouc 10. Il peut être en outre subdivisé en direction axiale pour exciter par colonnes les aimants tournants.
Grâce à cette disposition, de la façon décrite plus haut, on reproduit seulement les lignes ou colonnes pour les-* quelles le commutateur tournant 16,17 donne le contact lorsqu' elles passent devant le point d'impression. Mais au moyen d'un autre conducteur 77, on amène simultanément du courant à l'ai- mant de traction 59 relié constamment au conducteur de réseau 22 par un conducteur 78 et qui attire donc son armature et ac- couple le cylindre d'appui 47 au rouleau d'entraînement 52.
Ainsi, pendant la reproduction, la feuille de papier maintenue par la pince 46 se déplace à la même vitesse que le cylindre à enveloppe de caoutchouc 10. Aussitôt que le commutateur tour- nant 16, 17 interrompt à nouveau le passage du courant, l'ai- matit 59 est également désexcité. Le ressort 61 attire la poulie à friction 54 contre le patin de frein et arrête ainsi le cy- lindre'd'appui 47 jusqu'à la reproduction de la prochaine ligne choisie.
Aussitôt que le cylindre porte-cliché 1 et le cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 ont terminé un tour complet, le doigt de contact 16 qui tourne de façon synchrone avec ces oy- lindres touche deux contacts 79,80. Ces deux contacts sont re- liés par des conducteurs 81,82, à un interrupteur dquble 83,84
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qui peut être actionné au moyen d'un galet 85 et d'une came de manoeuvre 86 fixée au cylindre d'appui 47.
D'autres conduc- teurs 57,88 relient l'interrupteur double 83,84 aux aimants 59, 60 qui sont eux-mêmes reliés au conducteur de réseau 82 par des conducteurs 78, 89'':' Ainsi, l'aimant 60 écarte la poulie à fric- tion 56 du rouleau central d'entraînement 52 et l'attire contre le patin de frein 64, ce qui fait que le cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 et le cylindre porte-cliché 1 s'arrêtent. Mais en même temps, par l'excitation de l'aimant 59, la poulie à friction 54 est attirée contre le rouleau d'entraînement 52 et le cylindre d'appui 47 est ainsi mis en mouvement, Etant donné que l'organe de présentation à frottement 25 et le rouleau d' évacuation 51 sont accouplés au cylindre d'appui,
la feuille qui se trouvait dans la machine est amenée au dépôt et une nou- velle feuille est glissée dans la pince 46 qui saisit la feuille quand le cylindre d'appui continue de tourner.
Au moment où une nouvelle feuille est prête à rece- voir l'impression, le galet 85 de l'interrupteur double 83, 84 vient toucher la came de manoeuvre 86 ce qui fait que le courant des aimants de traction 59, 60 ,est coupé.Les deux aimants sont désexcités. Le ressort 61 attire la poulie à friction 54 cont le patin de frein 63 et arrête ainsi le cylindre d'appui ju ce que l'aimant de traction 59 soit à nouveau excité, de la çon décrite plus haut, pour la reproduction d'une ligne choi@@e Dans la mesure où le levier de déclenchement 68 est poussé ressort 62 attire la poulie à friction 56 contre le rouleau d'entraînement 52 et met ainsi en mouvement le cylindre porta cliché 1 et le cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 pour le cycle de travail suivant.
Si le levier de déclenchement 68 n'a pas été poussé, on peut, avant le déclenchement du cycle de
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travail suivant, poser une nouvelle combinaison en vue de la reproduction en actionnant les touches correspondantes T1-T3 etc.. Sur figure ' cyiinàre d'impression por% .
Sur la figure un cylindre d'impression 92 portant un cliché magnétique 91 est monté sur un axe 90 et contre ce cylindre est placé un rouleau mouilleur 8 plongeant dans une cuvette de mouillage 9. En outre, on a prévu un rouleau magné- tique 93 constituant un rouleau encreur et présentant de pré- férence un faible écartement a vis-à-vis de la surface du cliché magnétique 91.
II est accouplé au cylindre d'impression par des engrenages non représentés de façon telle que sa. vi- @tesse périphérique est égale à celle du cliché magnétique 91;
Dans des rainures 93a sont disposées des spires de bobine qui engendrent des champs magnétiques appropriés à la surface du rouleau magnétique,
L'arbre 96 du rouleau magnétique 93 est relié par un contact glissant 97 et un conducteur 98 à un conducteur 22 du réseau à courant continu.
Le circuit des différentes spires de bobine d'aimant se ferme de la façon décrite ci-dessus par un collecteur 99,un étrier trotteur 100, un conducteur 18, un commutateur 16,17 tournant de façon synchrone avec le cylindre d'impression 92, et par les interrupteurs 20a-c commandés par . touches': 'La rouleau encreur magnétique 93 coopère, de la façon connue pour les encrages usuels, avec une racle 94 et entre le rouleau 93 et la racle 94, il se constitue un enorier 95.
On peut, à l'aide de vis de réglage 101, régler la racle 94 de façon telle que lorsque le rouleau encreur se meut dans le sens de la flèche, il se constitue sur ce rouleau un mince fil m d'e@cre. Toutefois, par suite du mouillage du cliché
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magnétique 91 au moyen du rouleau mouilleur 8 et par suite de la faible pression d'application qui règne entre les surfaces 91 et 93 ou de l'interstice qui subsiste éventuellement entre les rouleaux, ce film d'encre ne peut se-reporter sur le cli- ché magnétique 91 qu'aux endroits où celui-ci a reçu une ma- gnétisation rémanente lors du processus de reproduction pré- cèdent.
De cette façon, le rouleau magnétique n'encre donc . que les points d'image du cliché magnétique. Mais aussitôt que le commutateur 16,17 rend conductrices les spires du rouleau magnétique, il se constitue sur la surface de ce rouleau un champ opposé présentant à peu près l'intensité de la magnéti- sation rémanente du cliché 91, ce qui fait que l'action de celle-ci est neutralisée. Par suite, étant donné le mouillage déjà mentionné de ce cliché magnétique, l'encre ne peut être transférée en aucun point même en cas de contact direct des rouleaux. Ainsi, les lignes ou colonnes correspondantes ne sont pas reproduites, exactement comme dans les dispositifs décrits plus haut.
Pour faire en sorte qu'il ne se produise pas de coloration sur la feuille à imprimer même en cas de con- tact direct entre le rouleau toucheur 4 et le cliché,on peut prévoir en supplément un aimant de transfert éventuellement manoeuvré par lignes et par colonnes et qui transfère l'encre magnétique sans contact ou/du moins sans pression d'application notable'. Par la combinaison des deux genres d'aimant, on peut empêcher avec certitude la coloration ainsi que l'accumulation d'un excès d'encre sur les lignes non destinées à être repro- duites.
Sur la figure 5, l'aimant de transfert en forme de règle placé en face du cylindre à enveloppe de caoutchouc 10
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est formé par des pièces magnétiques annulaires 103 dont les entrefers 103a forment une ligne parallèle 4'la génératrice du cylindre à enveloppe de caoutchouc 10.
De façon connue dans la technique de l'enregistrement magnétique du son,' l'entrefer
103a présente une structure telle que les lignes de force sor- tent de l'entrefer et pénètrent le cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 fabriqué de préférence en matière très perméable,
Ainsi, même avec cette structure de l'aimant en forme de règle, on obtient entre le cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 et l'aimant en forme de règle 103 un champ magnétique composé de deux moitiés de champ qui sont chacune pratiquement homogènes, et qui transfère l'encre, en ce point, sur le support d'impres sion 102.
Sur la figure 6,' un dispositif d'aimant 35 situé à l'intérieur du cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 et du type décrit en détail plus haut coopère avec un dispositif d'aimant correspondant 104 fixé à l'intérieur du cylindre porte-cliché 1'.
La commande de ce dispositif d'aimant est également assurée de la façon décrite' plus haut, et aux points du cliché 'lui sont destinés à être reproduits, elle provoque un jaillissement de l'encre franchissant l'interstice a, qui subsiste entreles deux cylindres 1 et 10,
L'encrage du cliché 107 est opéré au moyen da dispo- sitif d'encrage et de mouillage ,4, 5, 6, 7, 8, 9, de la façon généralement connue pour les machines à imprimer en offset. De même, pour le transport du papier, on a prévu de manière connue une pile 24, un organe de présentation à frottement 25, un cy- lindre d'appui 106 équipé d'une pince 105 commandée par care et une table de dépôt 31'.
Entre le cylindre d'appui 106 et le cylindre à enveloppe de caoutchouc 10, on maintient dans ce
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cas la pression d'applic ation usuelle dans les machines de ce genre:','
En dessous du cliché 107, fixé au moyen d'un dispo- itif tendeur 2 sur le cylindre porte-cliché 1, est placée une feuille élastique 108 formée de matière en mousse ou similaire, /Le cliché 107 est constitué par une matière magnétisable,On peut par exemple utiliser une film de matière synthétique dans a lequel sont enchassées des particules très perméables de matière magnétique'.
Si maintenant on met en circuit les aimants 35 et 104, il apparaît dans le film magnétisable 107 une force magné.. tique se dirigeant vers le pale d'aimant le plus proche et qui déforme le substrat élastique 108. Dans le cas présent, les deux aimants 35 et 104 sont à peu près à la même distance géc- métrique du film d'impression 107. Afin que ce film soit attiré vers le cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 et diminue l'in- terstice a existant entre les deux cylindres 1 et 10 de manière à faciliter le transfert d'encre, il faut veiller à ce que la- perméabilité du cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 soit su - périeure à lerméabilité du cylindre porte-cliché 1.
Un dispositif de nettoyage magnétique fonctionnant sans contact reprend, après chaque tour du cylindre à enveloppe de caoutchouc 10, l'image d'encre constituée sur sa surface,d sorte qu'au bout d'un tour seulement, on peut appliquer une nouvelle combinaison de lignes ou de colonnes à reproduire et à ne pas reproduire.
Le dispositif de nettoyage est constitué par un rou- leau magnétisé de façon permanente, 128, tournant obligatoire. ment avec le Cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 et qui pré- sente un petit interstice b vis-à-vis du cylindre à enveloppe de caoutchouc 10. La magnétisation permanente est indiquée schématiquement par les lettres N, S placées alternativement.
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En réalité, pour obtenir un champ intense ou bien pour obtenir un faible facteur de démagnétisation, le rouleau 128 pourrait être constitué par de minces disques magnétisés radialement pré- sentant alternativement leur pôle nord et leur pôle sud du côté de la périphérie\ L'encre arrivée au rouleau magnétique 128 est raclée par une racle non magnétique 129 et finalement poussée dans un collecteur 130.
Suivant la figure 7, un cylindre porte-cliché et un cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 sont accouplés par des engrenages non représentés plus spécialement, L'entraînement de ce groupe ast assuré par un rouleau en rotation constante 52, par l'intermédiaire d'une poulie à friction 56 montée sur un bras pivotant 58 et reliée par une chaîne de transmission 55 au cylindre à enveloppe de caoutchouc 10.
Le bras porteur 58 est constamment attiré contre le rouleau frotteur 52 par un ressort 62. Un bec 109 du bras porteur 58 subit l'action d'un cliquet
110. Celui-ci est articulé à un levier pivotant 112 qui possède en 111 un point d'appui solidaire du bâti , et ilest maintenu par un ressort 113 en coopération constante avec le bec 109 ou avec une butée 114 solidaire du bâti.
Le levier pivotant 112 subit en outre l'action d'un aimant de traction 115 qui, grâce au cliquet 110, peut faire pi- voter le bras pivotant 58 dans le sens des aiguilles d'une montre et attirer ainsi la poulie à friction 56 contre un patin de frein 1160 Le patin de\frein 116 est monté sur un levier pivotant 118 qui possède en 117 un point d'appui solidaire du bâti et qui est attiré par un ressort 119 contre une butée 120. Au levier pivo- tant 118 est en cutre fixé un contact 122 coopérant avec une lamelle de contact 121. On peut rapprocher la lamelle de contact ' 121 du contact 122 au moyen d'une vis de réglage 123.
Afinde transporter le papier, on a prévu des rouleaux
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transporteurs 26, 27, 28,' 29 accouplas solidairement au cylin- dre à enveloppe de caoutchouc 10 et au cylindre porte-cliché 1.
Mais ici, on place le papier à la main sur une table de présen- talion 124 et on le pousse contre une butée pivotante 1250 La butée 125 coopère par une came 125a avec une came de commande
126 prévue sur le cylindre à enveloppe de caoutchouc et qui la fait dévier au moment où doit se produire l'avance de la nou- velle feuille'. Elle libère la feuille poussée 4 la main contre la butée 125 et qui arrive ainsi entre les rouleaux transporteurs
26, 27.
Le fonctionnement de l'appareil est le euivant :
Tant que la poulie à friction 56 est attirée par le ressort 62 contre le rouleau d'entraînement 52 en rotation cons-* tante, les cylindres 1 et 10 effectuent une rotation uniforme.
Aussitôt qu'une ligne destinée à être reproduite arrive entre les aimants de transfert 32 et 35, le doigt de contact 16 ferme de la. façon déjà décrite le circuit qui va du conducteur de ré- seau 21 au deuxième conducteur de réseau 22 par le sélecteur 20 fermé pour la ligne considérée et, l'aimant de traction 115. L'ai- mant de traction 115 est excité et fait ainsi dévier le bras pi- votant 58, par l'intermédiaire du oliquet 110. La poulie à, fric- tion 56 est attirée contre le patin de frein 116 qui tend ainsi le ressort 119. Il apparaît une force de freinage agissant sur la poulie à friction 56 et dépendant de la force du ressort 119 et de sa déviation.
La vis de réglage 123 est réglée de telle façon que les deux contacts 121,120 se touchent au moment où la force de freinage qui agissait jusque là est devenue sûrement suffisante pour amener à l'arrêt la poulie à friction 56 ou les cylindres 1 et 10 aacouplés à celle-ci ainsi que les rouleaux transporteurs 26, 27, 28, ' 29.
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Par la fermeture du contact 121, 122, les aimants de transfert 32,35 et un aimant de manoeuvre 127 agissant sur le cliquet 110 sont excités. Les deux premiers aimants ' , provoquent le transfert de l'encre du cylindre à enveloppe de caoutchouc 10 sur le support d'impression 102, transfert qui se produit donc à l'arrêt du mécanisme d'impression.
L'aimant de manoeuvre 127 amené le cliquet 110 hors de coopé- ration avec le beo 109 du levier pivotant 58. Le ressort 62 peut donc rétablir la liaison d'entraînement entre le rouleau d'entraînement en rotation constante 52 et la poulie à friction
56, ce qui fait que le mécanisme d'impression se remet en mars@ che. Aussitôt que le mécanisme d'impression a démarré, le cir- cuit fermé par le doigt de contact 16 est aussi coupé et l'ai- mant de traction 115 est mis hors circuit. Le levier pivotant
112 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action du ressort de traction 113 ce qui fait que le cliquet 110 s'en- * gage à nouveau d'rrière le bec 109 du levier pivotant 58 et prépare la course de manoeuvre suivante.