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"Elément creux en terre cuite ou matie- re analogue pour l'exécution des marches d'escaliers".
Le titulaire du brevet belge précisé sous rubri- que nous signale que trois erreurs matérielles se sont glissées dans la description du brevet belge en cause.
Ces erreurs sont les suivantes: @ - Page 3. ligne 23 :
Il y a lieu de remplacer la description de la figure 1: " La figure 1 est une vue en coupe d'un élément " type en terre cuite creuse, muni d'une armature " en fer 14 et de la coulée de béton 15 qui la rendent propre à résister (une fois mis en " oeuvre)' aux efforts de charge qui sont inhérents " à sa fonction de marche" par .
" La figure 1 est une vue en coupe d'un élément " obt enu par division à partir de l'extrudé de " la figure 2".
@ - Page 3, ligne 31 et page 4. ligne 1;
Il y a lieu,de remplacer la description de la figure 2a: " La figure 2a est une vue en coupe d'un élément " obtenu par division à.partir de l'extrudé de " la figure 2"
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par: " La. figure 2a est une vue en coupe d'un élément " type en terre cuite creuse, muni d'une armature " en fer 14 et de la coulée en béton 15 qui la " rendent propre à résister (une fois mis en " oeuvre) aux efforts de charge qui sont inhérents "à sa fonction de marche".
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.. Page 6 , 1 .gne 3 a
Il y a lieu de remplacer à la fin de la phrase : " figure 1" par : " figure 5".
Nous vous prions de bien vouloir joindre la présente lettre corrective au dossier de ce brevet, pour valoir comme de droit, et aussi pour qu'une copie de cette lettre soit annexée à toute copie de brevet qui serait délivrée à des tiers.
Nous vous remettons, avec la présente, duplicata de cette lettre corrective, en vous priant de nous la retourner pour nous permettre de l'annexer au Titre Officiel. Nous joignons, à cet effet, un timbre fiscal à FB 30.- pour certifier conforme ledit duplicata de notre lettre corrective.
Veuillez trouver également ci-joint le montant de FB 15.- en timbres fiscaux pour couvrir la taxe d'usage.
Nous vous prions de bien vouloir nous faire parvanir la pièce justificative d'usage et en attendant nous vous prions d'agréer. Messieurs, nos salutations très distinguées.
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"Elément creux en terre cuite ou matière analogue pour l'exécution des marches d'escaliers".
Les escaliers construite à l'intérieur des édifices pour assurer la liaison verticale entre les différents niveaux, sont formés d'un certain nombre de marches qui, placées l'une à la suite de l'autre, constituent une volée. Les volées d'escaliers relient entre eux les paliers.
Chaque marche est mise en place de telle façon que l'une de ses faces soit verticale (contre-marche) et l'autre horizontale (marche proprement dite).
Dans les volées droites, les marches sont exécutées suivant un plan reotangulaire et l'on rassemble les irrégula- rités des maçonneries dans les paliers.
Il est connu que les escaliers peuvent être exécutés
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sous des formes très diverses qui utilisent différents types de marches.
En dehors des types des marches classiques massives (ou visibles), la technique a perfectionné l'exécution des escaliers en adoptant, récomment, un plan de pose à dalle unique, en ciment armé, encastrée dans la maçonnerie ou dans le chaînage, ou bien en utilisant, plus récemment, des marches constituées par des éléments triangulaires monolithiques, autoporteurs, en porte-à-faux et moulée au préalable.
Toutefois, il est évident que ces éléments - du fait même de leur nature - sont d'une part très lourds en raison du @@@ume considérable de béton qui les constitue, et, d'autre part, tres coûteux en raison de la nécessité d'utiliser un poids de fer sugments en proportion.
On a donc pensé à adopter une structure-de section théorique triangulaire, qui reproduit la forme prismatique des marches monolithiques en béton armé, mais réalisée en terre cuite creuse (ou matière analogue) et qui comprend, dans le périmètre de la grille formée par sa section, un vide qui joue le rôle de coffrage étanche propre à contenir la coulée d'une âme de béton - également prima- tique et qui s'étend sur toute la longueur de l'élément - dans laquelle on noie l'armature de fer qui résiste aux sol- licitations que la marche est appelée à supporter.
La légèrité de la structure du type d'élément ainsi réalisé réduit sensiblement la section de béton nécessaire et, par conséquent, son poids, de sorte qu'on peut également rédui- re avantageusement l'armature métallique qui est nécessaire pour rendre l'élément propre à résister à la charge.
En outre, on a étudié particulièrement la forme péri- phérique de la section de la marche et on l'a dotée de moyens particuliers aptes à faciliter la réunion des éléments en une série pour l'exécution d'une volée d'escalier, dans le but
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d'obtenir une gamme de diverses volées possibles (suivant les formules cousues et généralement acceptées qui caractérisent la meilleure "fabilité" d'un escalier), en déterminant en conséquence le rapport entre la largeur et la hauteur des marches (module de la volée)
de façon que la somme des tra- veux de transport soit maintenueà peu près constante pour assurer la plus grande commodité et la plus grande facilité de la montée.
Grâce à ces moyens incorporés au préalable, et qui sont propres à ces marches, il est facile de modifier dans un inter- Talle considérable le rapport entre la largeur et la hauteur au moment de la mise en oeuvra et de façon à permettre d'exé- cuter les volées et leur finissage définitif sans aucune diffi- culté et sans avoir à recourir à aucun artifice de construction, comme le montrera mieux la suite de la description.
Tour chaque disposition voulue - dans les limites per- mises par les caractéristiques dimensionnelles des moyens élémentaires qui constituent les marches - il est donc facile de construire des volées d'escaliers satisfaisant aux formules connues qui assurent la facilité de la montée.
La dessin annexé est donné uniquement à titre d'exemple non limitatif.
La figure 1 est une vue en coupe d'un élément type en terre cuite creuse, muni d'une armature en fer 14 et de la coulée de béton 15 qui la rendant propre à résister (une foie mis en oeuvre) aux efforts de charge qui sont inhérente à sa fonction de marche.
La figure 2 est une vue en coupe montrant l'extrudé de la filière de formation et à partir duquel on peut obtenir, par division, deux éléments jumeaux analogues à celui repré- senté sur la figure 1.
La figure 2a est une vue en coupe d'un élément obtenu.
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par division à partir de l'extrudé de la figure 2.
Les figures 3a et 3b sont des vues en coupe montrant deux marches qui forment une volée d'escalier utilisant une série d'éléments du type représentée sur la figure 1; sur la figure 3a, la volée forme avec l'horizontale (0-0) un angle de penteÓ et, sur la figure 3b, la volée forme avec l'hori- zontale (0-0) un angle de pente/3.
Les figures 4a et 4b sont des vues- en coupe de deux marches formant une volée d'escalier au moyen d'une série d'éléments du type représenté: sur la figure 2a; sur la figure 4a, la volée forme avec l'horizontale un angleÓ et sur la figure 4b, la volée a un angle de pente /9 .
Le périmètre de la section de l'élément creux en terre cuite reprééenté sur la. figure 1 présente la forme théorique triangulaire 1-3'-4'-1'.sauf que les sommets théoriques 3' et 4' sont coupés; le sommet 3.'suivant une ligne oblique par rap- port au coté horizontal ±-±' , de sorte que l'on obtient un nou- veau côté 2-3 du périmètre réel de la section de l'élément.
. Le sommet 4' contraire suivant deux nouveaux cotés 4-5 et 5-6 dont le premier est parallèle au coté 2-3 tandis que le deuxième est parallèle à l'horizontale 1-3'.
Le corps de l'élément creux présente dans la zone de son centre de gravité une cellule longitudinale particulière dont la oavité a de préférence une section pentagonale dont les sommets sont 7-8-9-10-11 lorque le diaphragme ou voile lami- naire 7-11 est enlevé pour la mise en oeuvre du gradin.
Dans cette cavité ou canal parfaitement étanche, on introduit tout d'abord l'armature en fer puis le béton, qui sont "nécessaires pour donner à la marche la résistance lui permet.. tant de remplir sa. fonction.
Le profil de l'élément jumeau représenté sur la figur<
2a, qui est formé par division de l'extrudé représenté sur la
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fiugre 2 reproduit sensiblement la conformation de celui re- pasente sur la figure 1. Il est également triangulaire, 1'. @attement du sommet théorique 103' est analogue a celui du son- me@@@ tandis qu'au contraire, l'abattement du sommet théorique 10 résulte de la ligne de jonction des sommets réels 104 et 10 qui est parallèle au côté102. 103. Cet élément présente lu aussi dans la zone de son centre de gravité, la cellule loritudinale particulière étanche, dont la section est 107- 108109-110-111.comme l'élément de la figure 1.
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111.' v- 1 Sur la figure 3, on a représenté un exemple de super- "' '" éléments 'U élment ev, position déoalée de deux/représentés sur la figure 1.
. Comme on peut le voir,, les éléments utilisée sont dis- posée pour l'encastrement dans la maçonnerie (ou le chaînage) qui forme les limites de la cage d'escalier, au premier élément inférieur I, on superpose au niveau de l'extrémité libre et effilée de son plan horizontal 1-2. le talon 6-6, également horizontal,du deuxième élément II, en réalisait ainsi l'appui des éléments l'un sur l'autre et de la continuité de la volée.
Une série d'éléments, qui sont ensuite superposés l'un à l'autre,forment une volée d'escalier qui a, ouivant la ligne (0-A), une penteÓ par rapport à l'horizontale (0-0).
On obtient cette volée aveo toute facilité en disposant le pan coupé 5-4 du talon de l'élément II, à une certaine dis- tance du pan coupé 2-3 de l'élément I et en interposant entre les surfaces de ces deux pans coupés, un cordon 12 de mortier de l'épaisseur adéquate.
Dans le cas de la construction de la volée d'escalier suivant la figure 3b, bien que l'on utilise des marnes éléments que sur la figure 1, on obtient une volée qui a, suivant la ligne (0-B) une pente /3différente de la pente Ó tout simple- ment en suppriment le cordon de mortier 12.
Sur les figures 4a et 4b, on représente une comparaison
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analogue à celle constituée par les figures 3a et 3b, aveo les mêmes resulatats, mais en utilisant les éléments décrits et représentéssur la figure 2a, qui est formée par division de la structure de la figure 2, la pente ci , , qui est due à l'inter- position du cordon de mortier 3 est, ici encore, différente de
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l* inclinaison/9 ..
1lg'w¯U oe- marches ¯p Il y a lieu. de remarquer que lee/a.:tna1 constitudea ' peuvent être indàffénemments garnies de béton individuellement et au préalable, avant la mise en oeuvre, ou bien garnies sur le chantier, par remplissage par la haut, en une seule coulée qui constitue également le chaînage par lequel ces marches sont encastrées.
En outre, le profil général théoriquement triangulaire de la seotion n'est pas limitatif pour la réalisation d'éléments creux qui répondent aux exigences de la technique de la présente invention pour la fonction de marches, mais on peut utiliser 1.ne variante coustituée par un élément creuxà section rectan- gula@@2e présentant des pane coupée parallèles sur ses angles opposés, et qui bénéficie des marnes caractéristiques partiou- libres que celles qui distinguent la marche à section théorique triangulaire, cette marche rectangulaire ne se différencie de la première ,que par son esthétique, comme représenté sur la figure 1.