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tion servant à donner aux effets d'habillement confectionnes un fini analogue à celui que reçoivent les pièces ou les rouleaux de tissus.
Dans un précédent brevet d'invention de la même demanderesse, brevet belge N[deg.] 632.793 du 24 mai 1963, on a décrit une méthode perfectionnée de finissage des tissus, méthode qui consiste à déshydrater partiellement les fibres de l'étoffe en les faisant-passer à travers un courant d'air chaud, sous faible pression, tout en évacuant simultanément
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vapeur. -
Il s'agit d'une opération qui donne aux tissus des caractéristiques permanentes de brillant, d'éclat, d'un toucher agréable, de souplesse,de plasticité, d'aspect favorable, et rend les étoffes,soumises à ce traitement, irrétrécissables.
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le même procédé aux effets d'habillement confectionnés, pour leur attribuer les mêmes propriétés.
Dans le brevet d'invention mentionné ci-dessus, on a décrit et représenté une installation servant à. donner le fini en question aux étoffes se présentant en pièces ou en rouleaux tandis que la présente invention a trait à une opération identique s'appliquant aux effets d'habillement confectionnés, en particulier.
L'installation selon la présente invention consiste notamment en un autoclave ayant une forme appropriée, susceptible de recevoir un chariot sur lequel les effets d'habillement sont disposés en couches alternées et séparées par des couches poreuses de matière plastique, par exemple, à l'état de mousse, etc. ; dans cet autoclave, le chariot, y compris sa charge, est d'abord traversé par un tampon d'air chauffé, poussé par un courant de vapeur introduit dans l'autoclave, l'air étant donc chauffé par cette vapeur sous pression, dans le but de donner aux effets d'habillement confectionnés le fini désiré.
l'installation comprend encore un système de chargement et de déchargement rapides de l'autoclave et une plateforme rotative en mesure de charger et décharger en même temps les chariots, sans aucun intervalle de temps mort lors du passage d'un cycle d'opération à l'autre.
Une forme d'exécution préférée de l'installation selon la présente invention est représentée à titre d'exemple non limitatif dans les dessins ci-joints, dont :
- la figure 1 est une vue schématique en perspective de l'autoclave et du chariot servant à supporter les effets confectionnés, à soumettre au traitement, et
- la figure 2 est une vue en plan du dessus de <EMI ID=4.1>
chargement et de déchargement.
Ainsi qu'il est représenté à la figure 1, l'autoolave a une forme préférablement rectangulaire et présente, à sa partie inférieure, une conduite 2 d'introduction de la vapeur
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à volonté par des organes de réglage 4 du mouvement et de sortie de la vapeur, respectivement, à l'intérieur et à la sortie de l'autoclave.
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type à guillotine, à battants ou de tout autre modèle. '
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rieur de l'autoclave, peut y être introduit.
Ce chariot 6 se déplacé, de préférence, sur des rails 7 grâce à des roulettes 8 ; il se compose de deux plaques métalliques 9 et 10, respectivement inférieure et supérieure, , toutes deux perforées pour le passage de la vapeur ; ces deux plaques sont réunies l'une à l'autre par exemple par des :
cornières 11 .
Le chariot 6 porte entre les deux plaques 9 et 10
des couches intercalées d'une matière absorbante et les
effets d'habillement devant être soumis au finissage.
On se sert préférablement de coussins ou de feuilles
12 de caoutchouc synthétique, disposés entre les effets 13
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des pantalons, des pardessus, etc*
La manière de fonctionner de l'autoclave est la même
que celle indiquée ci-dessus, c'est-à-dire qu'on introduit la vapeur à l'intérieur de l'autoclave 1 au moyen de la conduite 2 tandis qu'on règle la vanne 3 de sortie au moyen des organes \ de réglage 4.
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évacué lentement, le freinage de l'évacuation étant assuré
par le chariot 6 lui-même portant les couches 12 et 13.
L'air repoussé par la vapeur entrant dans l'autoclave par le bas se réchauffe et forme un tampon qui traverse le chariot, tout en déshydratant le tissu, après quoi la vapeur;
! en traversant le chariot, fixe les caractéristiques voulues,'
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Quand la vapeur commence sortir par la vanne
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toclave 1 une certaine pression ; on continue alors à faire affluer la vapeur à l'intérieur de l'autoclave où on main-
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on le déchargé" La figure 2 illustre la façon d'accélérer le <EMI ID=14.1>
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chacun d'eux coopère avec un de ces bras.
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dans le cens contraire à celui de la rotation des aiguilles
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dans le même sens que celle des aiguilles d'une montre
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dire à l'emplacement de la personne chargée de disposer les
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tion X correspond à la station du classement des chariots à la sortie et à l'entrée de l'autoclave ; la position S correspond à la station de déchargement des chariots sortant de l'autoclave et supportant les effets d'habillement dament traitée et la position Y correspond à un emplacement d'attente.
L'opération de chargement et de déchargement peutavoir lieu par exemple de la manière suivante tandis qu'un chariot se trouve à l'intérieur de l'autoclave, un autre traitement, plus exactement à la. ' position ou station 0 sur le
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Quand le chariot est extrait de l'autoclave, on le pousse le long des rails R jusqu'au point où on pourra l'en-
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de sorte qu'un nouveau chariot chargé, à la position C, passera à la position X pour être envoyé à l'intérieur de l'auto-
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d'habillement qu'il porte et qui ont subi le finissage. Entretemps, un autre chariot vide, qui ce trouve à la position.
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cycle suivant, et ainsi de suite.
l'opération de chargement et de déchargement peut se faire à la main et le système tout entier peut fonctionner avec l'aide de deux personnes seulement.
Il est évident que l'autoclave pourrait aussi être
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deux chariots à la fois et, tout en étant muni d'une porte de chaque coté, comporter un système de chargement 'bilatéral.
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à décharger à l'autre bout.
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être introduites lors de l'application de l'invention par les experts en la matière, sans pour cela sortir du cadre de la présente invention et des revendications suivantes .
<EMI ID=30.1> . confectionnés, caractérisée en ce qu'elle comprend un autoclave de forme appropriée pour contenir un chariot sur lequel les effets d'habillement à soumettre au traitement sont distribués en couches alternées constituées par des couches d'effets confectionnés et par des couches de matière poreuses;
le chariot, une fois introduit dans l'autoclave, étant d'abord traversé par un tampon d'air chauffé, sous la poussée d'un courant de vapeur introduit dans l'autoclaver et ensuite par la vapeur elle-même, sous pression, pour conférer par ces moyens aux effets d'habillement à traiter le fini définitif désiré.