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Mctltrt d'inttpooucht pour Itexécution de chapée d'i OM)Mnt #t dUgallMtion.
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Là présente invention est relative à une matière const- nant pour l'exécution de sous-chapes parfaltenent unies, itn vue de la pose de couche* de revêtement unité, M pMticf' lier de couvre-plancher ou de xaritemsata Muraux, tout ta assurant de façon efficace un isoleaont thermique et un amor- tissement des bruita de pas et d1 ambiance. L'invention con. cerne en outre un procédé pour établir don nous-chapes pour l'application de couche* de reritement, en particulier dans
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le bâtiment. En particulier, lorsqu'il 'agit de faux plancher* ou .
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de planchers es prêtant A la circulation, dans la conotrufi-
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tion d'habitations, par exemple planchera en laves de parquet*
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en linjcleua ou en plaque* de matière synthétique# il est,
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nécessaire d'établir vue aire de base parfaitement unie.
A cette fin, on pratique souvent une méthode consistant à appliquer d'abord sur l'aire de base - qui peut être un dal- lage en béton ou un plancher maçonne en briques - une couche de fond en une matière coulable, l'asphalte étant de plut en plus utilisé à cette fin. Il est en outre courant, pour certaines applications,à savoir, lorsque l'aspect importe peu, d'établir la couche d'usure en les matériaux coulables précitée, parée que, notamment, les revêtement* en asphalte conviennent à la circulation pédestre et au roulage. Ainsi, par exemole, les planchera **,asphalte conviennent pour les hall. d'usines, de blanchisseries et d'entrepôt*.
Or, il est dans la nature des procédas modernes de la construction d'immeubles que les planchera, etc., exécutés dans les bâtiments, ne peuvent pas être établie de façon suffisamment plane pour que l'on puisse atteindre l'égalisa- tion '- qui est le plus souvent requise - de façon éconcimique, c'est-à-dire, sans frais excessifs, au moyen d'une couche coulée, en asphalte par exemple, car une telle couche d'as- phalte doit présenter une surface horisontale parfaitement unie.
On a constaté en outre qu'une telle couche d'asphal- te- qui, pour des raiaoa. économiques, doit présenter une épaisseur maximum de 2 cm - ne satisfait pas entièrement aux exigences courantes en ce qui concerne l'isolement pho- nique et thermique. Pour cette raison, on emploie souvent à ce jour dans ce but, en guise de couche intermédiaire, des matelas ou plaques en matière isolante. Toutefois, com- -me de tels matelas, etc., possèdent une épaisseur unifor- me, ils ne conviennent pas pour le nivellement des aspérités que présente la dalle portante, en ciment par exemple, et exigent des travaux de parachèvement très fastidieux et onéreux.
Ceci a amené l'emploi de produits non tassés et
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fluants, dans le but d'établir une sous-chape unie et moins onéreuse. Or, le sable présente un inconvénient en ce qu'il 'écoulé aux endroits où la couche portante présente des pas- sages pour canalisations et des fissures, de aorte que des cavités se forment aux endroits en question. D'autre part, le sable tend ensuite à se tasser, par exemple sous l'effet de vibrations auxquelles donne fatalement lieu la circulation urbaine.
Les matériaux de plus gros calibre, sous la forme de grains ou de lamelles, ou sous celle d'autres petits fragments, ne conviennent pas davantage, étant donné que,' même si le produit a été parfaitement égalisé après le ré- pandage et recouvert de carton, ces partielles se déplacent . ultérieurement les unes par rapport aux autres, en particu- lier lors de l'opération consistant à appliquer la couche du revêtement. En effet, lorsqu'il s'agit de traiter des surfa- ces étendues, on doit inévitablement marcher sur et Iles-ci, ou bien, la couche déversée et égalisée est;
semaine à d'au- trou effets mécaniques, abstraction faite de* désavantages cités plus haut, les Matières ds remplissais organiques sont - sujettes à la putréfaction ou sont rapidement détruitspar les champignons ou les parasites d'origine animais, pour les- quels allés constituent .un terrain de culture, indésirable dans les habitations
Le matériau suivant l'invention est caractérisé en ce qu'il est constitué par des produits boulants et répandables de grande surface,
que l'on enduit ou imprégna de liants thermoplastiques qui ne deviennent agglutinants, sous l'action de la chaleur, qu'aux températures supérieures à 60 C envi- ron et pouvant atteindre 150 C.
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De tels produits peuvent consister en particulier en matières contenant de la cellulose et se présentent sous la forma de petits fragmenta, telles que les tiges brisées/de
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végétaux, par exemple les déchets de chanvre, les déchet* de lin, les pelures broyées et la paille hachée, dont les particules présentent une longueur plus grande que leur dit- mètre et qui, à l'état emmêlé, s'entrecroisent en formant de fins interstices.
Les matières thermoplastiques convenant 1 cet effet sont le bitume, ainsi que les résines synthétiques, ces pro- duits pouvant être utilisés sous une forme solide pulvéru- lente ou sous une forme liquide, par exemple en solution ou en émulsion. Afin que les produits de support, tels que les déchets de chanvre, puissent être enduits avec les pro- duits thermoplastiques susdits, ou imprégnés de ceux-ci, cela de façon qu'il en résulte encore néanmoins un produit parfaitement répandable et qui nesoit pas composé de parti- cules qui collent les unes aux autres lors du transport ou du stockage, on adopte un procédé consistant en ce que le mélange constitué par les produits de support et les produits thermoplastiques ajout'.
, l'état sec ou liquide, est malaxé dans un mélangeur, un tambour mélangeur rotatif par exemple, jusqu'à ce que les particules du produit, constituées par de* déchets de chanvre, par exemple, soient suffisamment mouillées ou imprégnées.
Lorsqu'on emploie une matière sèche, par exemple une matière thermoplastique pulvérulente, on doit préchauffer la matière de support, ou bien, ce qui est préférable, ap- pliquer de la chaleur lors du malaxage, par exemple en in- sufflant de l'air chaud, afin que la poudre devienne exté- rieurement suffisamment adhésive pour qu'elle adhère aux déchets de chanvre,etc., sans cependant donner lieu à un* agglutination. Lorsqu'on fait appel à des Solutions, on évapore le sclvant et l'on empêche la masse de se prendre en gros morceaux par cuisson,en imprimant au produit une
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agitation suffisante lors du malaxage dans le mélangeur et en douant convenablement la matière thermoplastique.
En pro- cédant à des essais préalables, on peut déterminer aident les meilleures conditions opératoires et les proportions le plus favorables, qui conviennent dans chaque cas et qui sont susceptibles de fournir un produit t particules fines, qui ce prête encore Aisément au répandage.
@ En particulier, lorsqu'il s'agit d'une imprégnation, il est avantageux de sécher au préalable parfaitement la Matière de support, par exemple de la déshydrater dans le tambour Mélangeur par un apport de chaleur à une températu- re de 90 C à 100*0.
Bien que 1'incorporation de liante 'thermoplastiques, en particulier de bitume, ait pour effet de rendre les matiè- res de support organiques pratiquement Inattaquables par les parasites d'origine animale ou végétale, on peut néan- moins employer, en plus, des adjuvante destinés à assurer la protection contre l'action de tels parasites* On peut employer à cet effet des *ayons métalliques tels que le @ stéarate de calcium ou le stéarate de sine, ou bien, le naphténate de cuivre, ainsi que l'acide sorbique ou la or- bite.
On peut incorporer ces substances aux matières ther*' moplastiques ou à leurs solution*, etc., ou encore, soumet- tre le produit de support à un traitement préalable à l'ai- de de ces substances.
' Une Matière répandable ou fluant* établie suivant l'in- vention offre une particularité favorable en ce que, soumise aux 'condition. de stockage et de transport habituelle,..11. demeure non tannée et se distribue aisément sous la forme de couchée uniformément étalées.
Les particules du produit suivant l'invention ne s'agglutinent pas au-dessous d'une température de l'air de 60*Ce de aorte que cette matière
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peut être transportée au cours des chaude mois d'été sans pré- cautions particulière et ne donne pas lieu au collage des outils, lors du lissage par exemple, même dans les locaux où règne une température élevée.
La prise de la matière en une couche très poreuse n'intervient que sous l'effet de la température requins pour ramollir suffisamment le liant* Comparativement aux produits de sous-chape employée ce jour et constituée également par des matières à fines particules, telles que les couses de papilionacées, de la paille hachée, ou analogues et contenant des liants organi- ques, produits qui sont cependant utilisés sous la forme de blocs, plaques ou bandes .préfabriqués, une matière en vrac ou répandable offre un,avantage en ce qu'elle ne doit pas être coupée lors de la pose;
un autre avantage consiste en ce que la matière peut être transportée plus aisément jus- qu'au point d'utilisation et celui d'adhérer parfaitement et intimement, après sa prise au point d'application, à la sur- face de base et, surtout, aux parois latérales contiugés, ce qui empêche la formation d'interstices constituée par des joints ouverts.
Pour l'exécution d'un plancher en asphalte, par exemple, on procède comme suit :On applique une chape sur;le plan- cher en béton ou en brique, on nivelle parfaitement toutes les aspérités, puis, en faisant appel à des outils employés couramment à cette fin, on lisse la chape, de manière à for- mer une couche de 15à 30 .mm.
Il est déjà connu de déterminer une légère agglutina- tion lors de l'étalement. L'agglutination se produit de pré- férence après le lissage, et l'on emploie dans ce but un jet d'air chaud ou de gaz chaud, tout en comprimait de préféren- ce quelque peu la couche. 1-titre de variante, et lorsqu'on applique, en guise de couche de revêtement, une masse coula-
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ble à chaud, telle que l'asphalte, la chaleur et la pression de cette masse, de même que la pression exercée lors du tra- vail de parachèvement de cette couche de revêtement chaude, peuvent être utilisées pour rendre gluant le liant de la masse étalée et pour comprimer celle-ci jusqu'à l'épaisseur requise.
Un plancher en asphalte, pour la confection duquel l'asphalte a été appliqué avec une température de 200 à 240 C cède généralement une quantité de chaleur suffisante pour assurer une agglutination parfaite dos particules de la .masse étalée.
L'application de la chaleur donne lieu à une agglutina- . tion intime, et il se forme un corps cohérent qui constitua
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un excellent isolant thermique et phoniquu et aeMre parlai- tEearazt aux couches adjacentes, griot aux cavité* incluses.
Ce corps peut 4trz réalisé de façon à prénentir de toutes parts une surface sans solution de caa%Luult4* Aussitôt tchavee la chape se prête à la circulation, c*"qtnt"est ssennei pour la poursuite du travail, 4ri parti culier dans le cas de grandes surfaces
Lorsqu'on doit prévoir des passages libres, pour le$ canalisations par exemple, il suffit d'entourer les endroits
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en question de *lac$* planches ou de aartr, Jusqu'à M \ -" hsu" tour voulue de la chape. De stéws, on peut. *144**at ir compte de détail indispensables, la formation des1 escalier* par exemple, lors du répandage et du durcissement par là chaleur.
D'autre part, la couche durcie permet uu ti-avatl de parachèvement ultérieur, par exemple le perçage de oust. vu qu'elle ne s'effrite pas lors de cette opération et ne risque pas de s'écouler à travers des orifices, mais au con- traire, offre une bonne cohérence.
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Lorsqu'on désire empêcher un rayonnement thermique, inze
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portun lors ae .La mise en oeuvre de .La masse repanaue, ou dans le cas où la chaleur d'une couche de revêtement devant être appliquéeà chaud risquerait d'être préjudiciable au liant de la chape, il est avantageux de recouvrir la chape, que l'on désire protéger, a l'aide de fouilles appropriées de papier ou de carton ondulé, par exemple ; avantde recou- vrir ainsi la chape en question, il est avantageux, après avoir procédé au lissage, d'agglutiner entre eux les éléments de la chape et consolider cette dernière, en dirigeant sur la surface de cette chape, au moins pendant un court espace de temps, un jet d'air chaud.
Bien que l'on ait mentionné plus haut en particulier des produits de support contenant de la cellulose, il va de soi que cela n'exclut pas la possibilité d'employer d'autres matières organiques ou inorganiques, présentant n'importe quelles formes convenant à un produit répandable.