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f'Ot4"1 ou ,ra,t pouf la cuisson d'une UIa.... ti',a.I11:1tH.MÍ lé tour : tunnel.. le J
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Lr.} ,r"Ii'1t11 imêùtiùn concern4o un ""; '1;\4 ;tel.... 1"'66. d'un* .naine a&rQ.1J.u. dtuia un tour t\W1el et le lou t\lV!t:1 t bgt llexécut4 ' 1 du jlttto4c1.
Le. W1t1ère. c6ra.ùtiue. présentent, en $4ttïralî Pëhdânt la cuisson, des 'tn'lbt11tés différentes, amendant <Hs le '4' , turoo v1,-ùYll de la .1tout.. 8 xa variation de la toapdtâturo dans le roue twuelo Cette difiérmes de sensibilité peut Stte *t- triture non Il3ule!J1ent des ,>hénO:.1Gnes ;..:l\l.1c;utl...1A1. aussi à des réactions ch1n1ique..
Un exemple typique de l'upent²\t.f.<m de sonsi- ÎJ111t devant être att:r1bue à der. phénomènes physiques tàt *0nsti- tud par la t:rà.uu'oriJl6.t.l.on B c du quartz S7S** CoatM lb6xuplt de l'nutmentat1on de sensibilité de la matière cér4\1'.' c1. à cie.
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réactions chimique*, on citera la combustion des substances bitu-
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l1111fu 4
Une répartition irrégulière de la température sur l'éten- due de III section droite du four tunnel, perpendiculaire à l'axe du four, influence d'une tanière défavorable la vitesse de varia- tion de la température.
Pour la traversée de la région critique, il faut prévoir un temps assez trand, étant donné que les diffé- rentes zones de la section droite ne traversent pas au même moment la région critique de température.
Pour la divergence des températures dons la section droite ' perpendiculairement à l'axe uu four, on peut, dans le cas des tours tunnel* de construction classique, indiquer différentes raisons qui relèvent non seulement de la technique du procédé, mais aussi de
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la technique de la construction.
Le refroidissement t:u1., dans beau- tttup de tours tunnels est insuffisant, d'une part à cause du sup- plément atair secondaire dans la zone de cuisson} d'autre part an raison du tirage trop faible$ oblige à augmenter le passade d'air dans la sone de refroidissement Cet air est prélevé dans le four
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avec une température relativement basse et il est amené de zuiver- se* manières à des installations artificielles de séchage.
Les tours de Ce genre souffrent la plupart du te&ps d'un j.Ul<:ue d'air dans la zone de cuisson en couverte et ils ont une zone de préchauf' fait très Court*. La quantité d'air qui tasse est trop faible pour
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pouvoir remplir sa fonction en tant que ..'oyen de transmission de la Choeur.
Il sy:. .s,t que les vitesses d'air et de jas eu fumée obtenues dans .e fout .ont trop faibles xour pouvoir exercer une forte influence sur la répartition des vitesses et par suite sur la répartition des températures sur toute i' étendue de à section droite perpendiculaire à l'axe du four afin de s'opposer u l'irré- gularité de la répartition des températures, sur toute j'étendue
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de a section droite du four tunnei, qui tend à se produire comme conséquence de li répartition th61'1.1iue naturelle.
En outre, le flux ae l'air de refroidissement à travers .Le four, ainai .uc la répartition des températures sont ;erturba
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par le mode constructif de réalisation de l'aspiration de l'air de
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e1'ro.L lasements Les avantages du soutirage de la chaleur de re- froidissement sont faibles, étant donné que la chaleur, à cette faible température, ne peut être utilisée énertét1C'.uei.ent, la plu- part du temps, qu'avec un mauvais rendement ther.l1odna.:u1c:ue.
L'air de refroidissement soutira ne suffit que rarement pour couvrir
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les besoins en chaleur des installations de séchage. t:.n.., presque tous ,ces cas, il faut prévoir une installation supplémentaire de chaudières ou une installation pour la production du reniant de
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chaleur nécessaire, tes frais d'investissement pour une .elle instal- lation sont à peine inférieurs à ceux que nécessite une installa1 tion permettant de couvrir .l'ensemble des besoins en chaleur.
La récupération désirée de chaleur cans le four t\&U1"l, n'ost I\l'ap- parente, étant donné que la soustraction d'air de refroidissement doit être compensée par un chauffage supplémentaire dans la zone de cuisson.. ,
Dans les fours de cuisson pour les matières céramiques, il est d'un usage courant d'obtenir un certain équilibrage du* températures en ménageant dans la charge des passage d'air* Mais cette manière de faire réussit, pour les fours tunnels, dans des cas très rares, à fournir une répartition suffisante des tempéra- tures dans routes Les sections droites perpendiculaires à l'axe du four.
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A ce sujet, il y a lieu aè mentionner ici le phnGll1ènl de la sole de four trop froide qui se proauit dans de nombreux.
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fours de construction classique.
La répartition irrégulière du gradient de température aans ia zone ttfe réchauffage, en direction horizontaloi perpendicu- lairement à l'axe cm four est COlaJl1UtlC à presque tous les systèmes de fours tunnels car elle est la conséquence do l'aspiration des gaz de fumée au-dessus de la plate-forme du chariot dans ces types de fours.
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Dans beaucoup de l'ours de type classique qui sont munis" d'une voûte, on observe une montée des températures au dessous de
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ta voûte, à travers les intervalles résultant de l'existence de la
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voûte* entre la charge et voûte.
Dans le cas des plafonds suspen-
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dus,* utilisas souvent ces temps derniers pour pallier à cet in- OonY'1.nt, on n'obtient p4o# dans la plupart des cas, une Ótanché1-. t<5 suffisante dans le four tunnel quand il existe des dépressions
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liiez élevé en.
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Ei4 raison des défauts ct#6tanc idW se présentant dons at no#brlux tours tunneis, la répartition des températures & lolntd- rieur du four est influencée souvent a-une mun16re défavorable.
Ptttre ,1.0 plafond aeja -textionn6,, les chariots et on particulier leurs boras de choc sont fréquemnent connus d'une manière telle-
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ment insuffisante que ne peut être évitée une entrée indésirable d'air et par suite une altération de la répartition des températures
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Une raison fréquente des défauts d'dtanché'ité du four
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tunnel est aussi une protection insuffisante des joints prévus aux
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endroits où se heurtent les chariots La répartition ue la température est particulièrement dit- fifeiie à obtenir quand il s'agit de la cuisson de tuiles parce que
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rétablissement ce passages d'air ne peut être exécuté sans moyens
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auxiliaires de cuisson* Il se produit ici, outre les phénomènes
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dejp cités, des difficultés qui sont dues 4 ce que les tuiles,
en vu de .L'obtention d'une bonne résistances la gelée doivent être -souvent cuites à ces températures qui sont voisines de la te.ap(Íra.- turf de ramollissement sous pression. , 1 umid la répartition de la te4pérature est ILE,ulvu1se, il faut toujours compter i.uil y aura 1,Uie proportion élevée de défauts, puer eXElnp,. znes femmes, cafsu- ....,. etc.
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L'invention a pour objet d'éviter les inconvénients dé-
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crits au Jioyen d'un procédé adapté ,,ux; exigences ue cuis f on de la mut4bre céramique et au Moyen d'un four tunnel pour j.'e. cution ae ce procède. Plus particulièrement, l'objet du roc6u, est a10bteJ nir une uniformité aussi grande que possible de 1.- répû .l.tion de li température dans une section droite perpendiculaire à L xe du four <
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et en outre, des durées de passage courtes dans .le four un petit
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volume de four et Une qualité élevée du produit do aU1..OÜ, ,aU!'
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une consommation de combustible faible.
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Conformément àû procédé suivent l'invention, 10 ttitit tW> nel tilt exploité ans soutirage direct ou indirect J. la chaleur de refroidi.dament, ce qui signifie que l'air et le &a do coït* bust10n passent à travers tout le four tunnel jant que de ltâlr e' refroidissement soit soutiré, ta quantité c'air est choisie) t&4t au moins approximativement, d'une manière telle que it produit de la niasse par la chaleur spécifique de la matière de la charge cor-
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responde au produit de la masse par la chaleur spécifique le l'Air
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la répartition cloo températures à l'intérieur ùo Ift biett4tt droite du four étant réglée au moyen de carneaux longitudinaux et de dtkïe neaux transversaux prévus dani la plate-torme des chariots *t s'étendant à travers tout le four,
carneaux dont les Sections c!tfc 1118
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tes peuvent être élargies ou rétrécie..
L'air et les gaz de combustion sont aspirés a travée lé four avec un tirage élevé et avec une grande vitesse et il est fait
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usage d'une dépression ayant de préférence une valeur de $0 à lob Et
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de colonne d'eau et au-dessus*
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Les carneaux longitudinaux et les carneaux trll1i.,.r.aua
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disposés dans la partie supérieure de la plat*-tome du chariot sont forcés en briques profilées, par exemple en briquet profilées
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en fora* dOU ou en briques normales ou bien ils sont construits M pisé 2;traotaire dâué. La vitesse de l'air et la vitesse des III de combustion sur toute l'étendue de la section droite du toür sont réglées par Modification de 4a section droite des carneaux i 1.1d tdrleur de la plate-forme du chariot.
La diminution de lit 6-obtt" droite dans 'les carneaux de joie s'obtient par o4â en plaut dé freins qui sont forcés par des brl'lu" profilées ou par des brique normaien ou d'une manière analogues Conformément à l'invention, on ne soutire pas do chaleur de refroidissement à la zone de refroidissement ou l'on o. en sou- tire qu'une quantité peu importante.
Dans j.6 cas idéalt on réalise- rait un cycle dans lequel la quantité d'air et la quantité de '<ta*
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tière seraient réglée* l'une par rapport à l'autre d'une manière telle que l'air refroidirait à contre-courant la matière chaude et absorberait ainsi une quantité de chaleur équivalente pour la céder, mélangée à des gaz de combustion, à la matière à cuire dans la zone de réchauffage. Dans ce procédé, il n'y a que les absorptions de chaleur par les transformations chimiques et les pertes de chaleur et de gaz brûles qui soient à compenser au moyen d'une énergie de combustible supplémentaire.
Dans le cas idéal, le produit de la quantité d'air par la chaleur spécifique de l'air est égal au produit de la masse par la chaleur spécifique de la matière de la charge, en tenant compte du poids du chariot. Les grandes quantités d'air et de gaz de combustion ainsi nécessitées, aspirées à travers le four., permettent des valeurs relativement élevées pour la transmission thermique aux surfaces limites des phases de porte que l'on peut compter obtenir, non seulement dans la zone de refroidissement, mais aussi dans la zone de réchauffage des vitesses optimales de variation de température. Dans le procédé suivant l'invention, la vitesse de l'air et des gaz de combustion est suffisamment grande pour que la répartition des vitesses sur tout l'étendue de la section droite du four puisse être obtenue à l'aide de moyens simples.
En outre, on obtient non seulement une zone de précuisson suffisante, mais aussi une zone de cuisson pro- longée qui garantit une oxydation suffisante de la matière à cuire en vue de l'obtention d'une coloration convenable; l'air et Les gaz de combustion contiennent suffisaient d'oxygène pour que la plupart des matières bitumineuses brûlent déjà, sans zones de mé- 48±.ment particulières, dans la période de montre en température.
Dans le four tunnel suivant l'invention pour ..'exécution du procédé, la plate-forme du chariot est uunie de carneaux longi- tudinaux et de carneaux transversaux. A l'aide de ces carnenux longitudinaux et de ces carneaux transversaux, on peut agir de la manière désirée sur lu vitesse de l'air et régler cette vitesse et par suite la répartition de la température, sur toute retendue de la section droite au jour. Les carneaux longitudinaux peuvent, venir
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au remplacement de carneaux de sole,, dits cerneaux de semelle places dans la 'matière de la charge mais quand il existe des carreaux de
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eme:
l.é les carneaux lonitucinaux augmentent l'action des car neaux de 'SeML1- ..os Les carneaux longituainaux permettent d'agir sur la tewpdrature, utant donné qu'il est possible de les fermer ou de les ouvrir plus ou Moins. Il est possible, en plaçant des freins 'dans les .carneaux du plateau du chariot, d'agir sur la température dans le sens vertical d'une manière telle que l'on obtienne si on le désire- une avance du feu au pied de la charge ou bien une tempé- rature relative-Tient uniforme endirection verticale ou en direction horizontale ou bien une avance du feu au-dessous dit plafond.
En outre, il est possible, au moyen de;la même assure, d'agir sur cer-
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tains courants irréguliers se produisant dans la charge et à la répartition de la charge et d'aneliorer ainsi la répartition de la te4fipkriature. Au Moyen des carneaux transversajx disposés en combi- naison avec les carneaux longitudinaux aes ;n,, de combustion sont sur toute retendue de la. section droite nu four, étant
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donr: que les carreaux transversaux suivant l'invention se trouvent en nombre suffisant devant les. ouvertures de sortie des t4z de com- bustion.dans la paroi latérale du four.
Cette aspiration des ta? de combustion, n'est pas influencée par des 61vinents de la charge se trouvant éventuellement dans la zone des ouvertures d* échappement, de sorte que iaome les tas de combustion se trouvant à l'intérieur de la charge., peuvent être évacuas. Un autre avantage résulte de ce que la sole du chariot; étant relativement mince et cette sole étant léchée par des gaz de combustion, le rayonnement thermique de la charge clans la sole froide du chariot, rayonnement observé dans beaucoup de fours tunnels ne se produit pas.
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Pour diminuer ..La formation de passades d'uir t t g.r suite l'action sur lu teapér.4ti-tye sur toute . étendue de la section dro.L.te au-dessous du plafond de l'Our tunnel,, saas renoncer t-our auttint aux ItValt.cj,f de j. * c Uiuch''i té d'une VG7tr. il t.'st prvu pour . le four un plaFona d'un nouveau 4eni,? de structure. Le picifoidest constitué par un tofidti avec dessous pli.t ou ,,eu ,.x;s plat ,
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dans .Lequel les fers tt'urnaturc nn se trouvent as, comme à l'ordio* uiklre a l'intérieur au plafond mais sont dits u4-5 au-dessus du pia fend en tft que tirants de sorte -.u'ils ne :ont; pas aou-cis à la te p('rature élevée à laquelle le plafond est soumis.
Les forces de compression relativement grandes, qui sont nécessaires pour¯la' résistance d'un tel plafond, sont appliquée)!) de l'extérieur, par
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exemple par l'intermédiaire de butées en for M de barillets exac- tement au tiers inférieur et tranaoises au plafond. Elle garantis.., sent une étanchéité élevée du plafond du four tunnel. Afin de pou- voir appliquer des forces bien définies, il est nécessaire de me-
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surer ces forces. La manière la plus simple, d'y parvenir consiste à faire usage de moyens élastiques, par exemple de rondelles Belle ville.
On peut déterminer la force réglée par la mesure d'un
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trajet, Le plafond suivant l'invention permet d'utiliser les avnt ges du plafond suspendu pour la répartition e la température dans le four tunnel. lorsque, pour des raisons Quelconques, le plafond n'est
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pas exécuté parfaitement en ligne droite, on peut, suivant llipvuim tlon modifier l'intervalle entre la matière de la charge et le plafond du four, au moyen d'une superstructure adaptée au canal
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de combustion de telle sorte que ie flux d'air soit réduit au mi- nimum,
ainsi que cela est obtenu au moyen d'un plafond plat.
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Pour assurer !$exploitation du foui tunnel suivant 10x%.m ventlon avec la totalité du débit d'air et ce gaz de combustion, il est avantageux et nécessaire de faire fonctionner le four avec, une dépression considérable, de l'ordre de grandeur de plus de 50
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100 =,, A cet effet, il y a lieu de prendre des mesures partioulie'" ren Pour l'étancheraent du four tunnel et de: chariots.
A cet effet le four tunnel présente les caractéristique! suivantes :
La paroi du canal de combustion fa: t saillie au-delà de-
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la plate-forme eu chariot,. De cette .iz3nibri l'influence du rayon", ne.neiit sur les tabliera à sable se trouve très fortement diminuée et les joints aux zontis de jonction des tabliers de chariot)! sont . bien protégés contre la chute de combustible ou de cendres.
On *
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choisit aussi petit que possible l'intervalle entre le tAMier i sable et la maçonnerie latérale du tour$ de sorte que le$ surfaces de passage d'air à Cet endroit sont seulement faibles*
Au moyen de briques profilées spéciales, on recouvre l'in- tervalle aux points de jonction des chariots et par conséquent la
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Joint, de sorte que le joint se trouve protégé vis-à-vis du r yonn - ment de la chambre de combustion.
En outre, cala empêche que du combustibleet des cendres tombent sur le joint et continuant à
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brûler après leur chute, donnent naissance à des dâtrioruLtiftt A l'intérieur de la fente de ringardage et à si$ bords, il est prévu des pièces en forme de coins qui empêchent t4ut ûéver- sèment de cendres et de la charge dans l'espace se trouvant entre le tablier à sable et la maçonnerie du four.
tes briques profilées à partir desquelles tout forât** les ,
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carne4iux longitudinaux et les carneaux transversaux, sont édal4ex i- par rapport au plan médian de jonction des chariot* de sort* qu'on obtient aussi de cette manière une protection des joints.
Le joint aux points de jonction des chariots, est constitua par une bande de laine de verre ou d'une autre matière appropriée
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introduite librement dans un fer profilé, l'âme d'un fer profila . qui fait face au précédent s'enfonçant dans ladite bande* ;
Pour garantir ou pour rétablir l'étanchéité de 1$ uKjonn - rie du four, principalement après que s'est effectué un refroidit ; sèment du four tunnel, il est prévu, entre la couche réfractaire
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delà maçonnerie lat4rale du four et la maçonnerie d'appui, une cou- che de lal * de verre ou d'une autre matière approprient ta> la@ de verrb arrive, en raison du tirage qui règne dans le canal dé tom- bustion, dans les fentes éventuellement formées et elle peut les étancher de nouveau, à condition qu'elles ne soient pas trop grau.
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des et aussi parce que, dani les conditions de température dans lesquelles elle se trouve,
la laine do verre devient plastique.
II est particulièrement difficile d'obtenir une bonne ré- partition de température quand il s'agit d'une charge constituée purement par des tuiles* Suivant l'invention, il est prévu en outre,
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disposé sur le chariot, un dispositif d'appui qui permet de cuire des tulles au voisinage de la température de ramollissement.
Il est possible, U cet effet, de poser les tuiles crues d'une manière adaptée aux conditions de tirage désirées et en particulier de les disposer en paquets et de les cuire sans que s'exerce sur elles une ression produite par d'autrea tuiles crues superposées* Ce dis- positif d'appui est avantageux non seulement pour la cuisson de tuiles, mais aussi pour la cuisson d'autres pièces dont la tempéra- ture de cuisson en couverte est voisine de la température de ramol- lissement.
Pour augmenter encore l'action des carneaux de la plate- forme du chariot dans le cas où la charge, formée par des tuiles, ou par des objets analogues, a une densité particulièrement élevée, 11 peut être prévu, suivant l'invention, entre la plate-forme du chariot et le dispositif d'appui, un autre dispositif contenant des carneaux longitudinaux qui, renforcent l'action des carneaux longitudinaux se trouvant dans la plate-forme du chariot. Ce dis- positif d'appui peut être formé par des plaques en matière réfrac- taire, On a représenté sur le dessin un exemple de réalisation du four tunnel suivant 1* Invention.
La figure 1 est une coupe verticale du four tunnel, figure La figure 2 est une coupe horizontale du four suivant la figure
La figuré 3 représente$ à plus grande échelle une coupe verticale faite à travers le four.
La figure 4 est une vue perspective d'un chariot de cuis- son, sans charge.
La figure 5 est une vue en ovation de face qui montre le chariot de cuisson dans le canal de cuisson.
La figure 6 est une vue en élévation de deux chariot* de cuisson Placés l'un contre l'autre qui montre aussi le Joint entre les face d'extrémités des chariota de cuisson.
La figure 7 est une vue en plan de deux chariot* se trou* vant dans le canal de cuisson; les chariots de cuisson sont repré- @
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sentés sans charte.
La figure 8 est une vue en élévation latérale de deux chariots de cuisson; cette vue est destinée à montrer une trique de recouvrement prévue suivant l'invention.
La figure 9 est uno vue en plan correspondant à la figure 8. la figure 10 est une autre vue en élévation latérale sché- matique du chariot de cuisson dans le canal de cuisson; cette vue est destinée à montrer une autre brique de recouvraient prévue suivant l'invention* la figure 11 montre la surface d'une plate-forme de cha- riot avec un dispositif d'appui disposé sur ladite surface et avec une garniture entre le dispositif d'appui et la plate forme du chaiiot.
Dans l'exemple de réalisation représenté sur les figures 1 et 2, d'un four tunnel suivant l'invention, le repère 1 désire le plafond du four et le repère 2 désigne les ,).trois latérales du four* Les chariots sont désignés dans leur ensemble par le repère 3 et la charge à cuire, placée sur eux, est désignée par le repère 4. L'air de refroidissement entre dans le four en 5 et il se déplace a tra- vers le four suivant la direction de la flèche 5'. La direction du mouvement des chariots est désignée par le repère 6. Les trous d'ouverture, dans la zone de cuisson, sont désignés per le repère 6'.
Les gaz de fumée sont évacués au moyen de canaux 7a.
Dans la maçonnerie latérale du tour. il est préru à cet effet des canaux 7' de gaz de fumée, qui sont disposés à la hauteur de la plate-forme des chariotset qui débouchent dans des chambres 7 pour les gaz de fumée. De ces chambres, les gaz de fumée sortent , par l'intermédiaire de soupapes 7" pour entrer dans les canaux 7a d'échappement des gaz de fumée (Voir figures 3 et 7).
L'un des chariots appartenant au four est représenté en @ manière d'exemple sur les fleures 4 et 5, Il montre en particulier les Carneaux longitudinaux et les carneaux transversaux au-dessous du dessus du chariot. Ces cameaux sont formés par des briques pro- filées 9' et 9" en forme d'U. L'isolation du chariot est désignés
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par le repère 10.
Les briques profilât 9' et 9" forment des car- neaux transversaux non désignés et des carneaux longitudinaux 12. lies cadeaux longitudinaux, comme les cameaux transversaux peu- vent être ouverts ou fermés plus ou moins, suivant les besoins, au moyen de freins non représentes,
Les chariots sont munis latéralement de tabliers 13 qui sont engagés dans des cavités 14 dans lesquelles il est prévu un .empli..age en sable 15. Il convient que la largeur du remplissage en Sable soit plus grande du coté intérieur du tablier 13 que du côté extérieur.
Cet étanchement des chariots par rapport au canal de circulation 7b prévu au-dessous des chariots est d'une importance particulière pour le maintien du tirage. A l'étanchement contribue aussi la saillie du canal de cuisson au-delà du dessus du chariot, saillie oui est désignée par le repère 2'. On crée ainsi une sorte de joint ou labyrinthe qui, en liaison avec des pièces de garniture 22 (fige 10), en forme de coins, protège aussi contre la chute de centres dans la zone des passages de ringardage.
Ainsi qu'on peut le voir en particulier sur les figures 6 et 8, 9 il est prévu également, pour Les grands côtés des chariots qui se touchent, un étanchement qui a la forme d'un joint labyrin- the. Cet étanchement est obtenu au moyen de deux cornières 16, du fer à U 17, de la bande de laine de verre ou bande analogue 18 in- troduite librement dans le fer U et le fer à T désirés par le repère 19,ce dernier fer étant luni d'une âme qui s'enfonce dans la bande en laine de verre 18 ou en matière analogue.
L, garnitu- res isolantes des deux chariots sont décalées entre elles par rap- port au plan médian du joint et il en est de même pour les briques profilées 9' et 9" for ant les carneaux transversaux dans les cha- riots. L'intervalle entre les briques profilées est recouvert vers le haut par des plaques profilées 20 dont les parties en saillie s'étendent au-delà de l'intervalle et de cette manière, le recou- vrent. Ces briques profilées sont disposées dans les passagesde rin gardage 21.
Le dispositif' d'appui pour la cuisson de tuiles ou de Pièces profilées analogues qui doivent être cuites avec une tempe-
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rature de cuisson en couverte, voisin* du point dé rodai......, est représentée sur la figura il* Ce dispositif est désigné dans
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son ensemble par li repère 22 et il est formé par 4t" plitiimé verticales 23 et par des plaques horizontales 24, en une laitière réfractaire, par exemple en terre réfractaire. Ce dispositif d'appui
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permet dE) placer les places profilées d'une JIU111ià:re adapté* eu.)(! conditions de tirage désirées ainsi ou$une cuisson deidites pinces sans ue ces dernières soient soumises à la ;
yxes*ion d' autres piè- ces profilées reposant sur elle Entre la plate-tot2# du chariot et le dispositif u'appui, il peut être prévu une autre garniture qui a été désignée dans son ensemble par le répète 25 et qui se
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compose de plaques verticales 26 ainsi que de plaques norixontaits 27 en une matière réfractaire, par exemple, en terre ,t'''t.1r..
Orges à cette garniture, on forme d'autres carneaux longitudinaux qui peuvent servir à renforcer l'action des carneaux longitudinaux
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12. Il convient de prévoir, au-dessus du dispositif d'.:PUt. 22j un dessus adapté au recouvrement du canal de combustion et 4'fmP'cb., la tormation de passages d'air à cet endroit.
Un four construit suivant l'invention et atteint âpre si* jours seulement de service une vitesse d'avance de 55 a par Jour
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et une vitesse athiimum d'avance de 70 m par heure pe-ttif une traver- sée du out en 30 heures environ.
A. l'entrée du four, il faut prévoir MtufwMwtKtnt un bon étanchement. ce qui peut être obtenu, par exerple AU tffr d'we fermeture en papier* Cette fermeture peut être o6n.''''U'. pey une banda de papier qui est nsoirée, par la pression élever tdhtib lit dernier chariot et la face frontale du four.
Pour obtenir un fonctionnement correct du four, il est
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nécessaire de pouvoir observer la zone de prlcu1,.o4 *tout que là zone due refroidissement. la été ptévu à cet effet des Jeux très nombreux d'ouvertures de chargement non représentes, en tort* de tuyaux qui font saillie au-dessus du plafond du four et qui tout
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fermé par des plaques de verre d'une manière <5 tanche à l'air.
A chacue déplacement du chariot, il se produit pour la
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charge un bond de température de 10 à 40 ou 50 , suivant la lon- gueur du chariot. Quand la vitesse d'avance est élevée, il convient de réduire ce bond de température en poussant plus fréquemment le c..ariot sur des parcours plus petit*. Il en est dit même pour les matières qui sont sensibles. Pour résoudre ce problème, on peut, suivant les nécessités, accoupler ou désaccoupler plusieurs cha- ricts pour former des ensembles unitaires et il faut alors veiller à ce qu'existent bien les passages de ringardage correspondantes.
On ouase toujours la totalité des ensembles, de sorte qu'on peut influencer l'augmentation de température, pour ce qui concerne l'uniformité en se servant d'un nombre plus ou moins grand d'en- sembles de chariots.