BE336439A - - Google Patents

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BE336439A
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    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C22METALLURGY; FERROUS OR NON-FERROUS ALLOYS; TREATMENT OF ALLOYS OR NON-FERROUS METALS
    • C22BPRODUCTION AND REFINING OF METALS; PRETREATMENT OF RAW MATERIALS
    • C22B19/00Obtaining zinc or zinc oxide
    • C22B19/04Obtaining zinc by distilling
    • C22B19/14Obtaining zinc by distilling in vertical retorts

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Description


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    "PROC@DE   ET FOUR POUR LE   TRAITEMENT   DES MINERAIS DE ZINC ET   D'AUPRES     MATIERES   ZINCIFERES ,DANS DES CHAMBRES DE RE-   DUCTION     VERTICALES A   MAROCHE CONTINUE" 
Depuis de nombreuses années on   cherche   à résoudre le pro- blème de l'extraction du zinc au moyen de moufles verticaux, et il existe conséquement un grand nombre de projets qui, en partie n'ont été que publiés , mais en partie aussi pratique- ment essayée. 



     Malgré   cela l'industrie de zinc du monde entier ne tra- vaille jusqu'à présent qu'uniquement avec des fours à moufles essentiellement horizontaux. Il s'ensuit qu'on a pu trouver jusqu'à présent ,une solution pratique du problème en question. 

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 EMI2.1 
 Comment s'expliquer cela? Dans la métallurgie le progrès technique ne peut résider que dans l'augmentation de la sim- plicité de l'appareillage dans lequel se réalise le processus métallurgique, ainsi que dans la   @éduction   de la main d'oeu- vre .

   L'industrie de zinc remonte à plus de 100 ans, et grâce au développement, que le procédé y appliqué à pu prendre depuis un temps aussi prolongé, le four à sine à moufles horizontaux ou couchés a atteint aujourd'hui un degré de perfection qui ne peut plus être   dépasse*   Cependant le chargement et la vi- dange journaliers des moufles exigent une dépense en main d'oeuvre tellement considérable que les circonstances   écono-   miques actuelles imposent là nécessité d'une amélioration. 



   L'histoire de l'industrie de zinc montre que la première idée de remplacer le moufle horizontal par un mbufle vertical avait plutôt pour but de réduire l'effet nuisible de la scorie se séparant de la charge et provoquant dans le moufle horizon- tal une destruction trop rapide du fond de ce dernier    Dans   les temps actuels l'idée de l'emploi de moufles verticaux a été reprise de plus d'une façon, mais ceci en visant plutôt la possibilité de faciliter par l'emploi de moufles verticaux les travaux de chargement et de vidange. 



   On partait cependant de l'ancien procédé en ce sens, que le traitement dans les moufles verticaux n'était pas rendu continu. Lors de la vidange il   s'agissait   d'ouvrir le moufle vertical en bas et en haut, et on a   du constater   que ce tra-      vail est beaucoup plus défavorable qu'il en était suivant l'an- cien procédé, vu que l'ouvrier qui travaillait à l'orifice inférieur du moufle était exposé à une pluie de scories inoan- descentes, tandis que l'ouvrier qui devait percer la charge par l'orifice supérieur était exposé aux effets de cheminée du moufle, c'est-à-dire aux fumées et à la chaleur sortant de ce dernier . 



   De plus,   même   en réalisant la marche continue avec mou- fies verticaux, lors de laquelle la charge descend lentement au travers de ces derniers, il subsistait ,malgré une amélio- ration indiscutable du travail du four, un désavantage   oonsi-   

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 durable, car il existait toujours la nécessité comme pour les moufles Horizontaux ,de remplacer les moufles détruits. 



  Or pour remplaoer les moufles verticaux il fallait ouvrir le four en haut et en bas aux endroits destinés à recevoir le moufle. Oe travail entraine des grandes difficultés, de sorte que l'avantage résultant du travail continu, dans un moufle vertical en était complètement compensé ou annulé. 



   Dans le cas où les moufles verticaux étaient de petites dimensions et de faible poids, le travail de remplacement des moufles détruits était encore plus ou moins réalisable, quoique ce travail, devant s'effectuer sur et en dessous du four ouvert, au lieu de   s'effectuer   devant le four comme il en était suivant l'ancien procédé, était très difficile et désagréable. 



   Ces difficultés dépassent les limites admissibles, lorsqu'on est obligé d'employer en vue d'augmenter la pro-   duction   journalières des moufles verticaux, de plus fortes dimensions* 
Ou pourrait soulever ici la question, pourquoi ,au lieu d'employer un grand moufle, ne réunit-on pas dans un four plusieurs petite moufles, disposés les uns à   coté   et derrière les autres? Une telle disposition empêcherait la continuité du travail, qui n'est possible que lorsque les minerais sont chargés par le haut et les résidus évacuas par le bas. Ainsi il n'existe pas de possibilité construc- tive d'évacuer les vapeurs de zinc ni par le haut, ni par le bas.

   Il ne reste que la possibilité d'évacuer les dites vapeurs latéralement du moufle dans un condenseur , et dans ce cas on ne peut disposer que tout au plus deux rangées de moufles dans un four. Avec l'emploi de petits moufles on serait obligé,-pournéatteindre qu'une production justement suffisante,- de construire un four très long et étroit, ce qui est au point   dvue   oonstruotif tout à fait irrationnel. 



    Par     conséquent,   la   nécessité   s'impose, d'employer des grands moufles, dont les dimensions maxima atteignent plusieurs 

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 mètres. 



      ;un   côté, rien que la fabrication des   récipients   de oette grandeur représente déjà un travail considérable, mais d'un autre coté, les travaux de remplacement de tels moufles pendant la marche   du.   four entraînent des difficultés telle- ment grave' ,que tout le procédé en est rendu inutilisable. 



   Quoiqu'on parvenait, par voie mécanique à manier le grand poids de ces moufles portés à l'incandescence, dans le four à recuire, on nty parvenait pas lorsqu'il   n'agissait   de rem- placer un tel moufle détérioré ou détruit; ceci exigeant des ouvriers excessivement vigoureux et   autacieux    En   résumé:

   tous les avantages offerts par le moufle vertical dans le pro- cédé continu, au point de vue passate automatique de la charge au travers du moufle sont tombés devant les difficultés cons-   truotives   et par l'impossibilité de la continuité de marche du four, à cause de l'impossibilité pratique des travaix par* tioulièrement de démontage de ces   moufles   
Ainsi malgré les possibilités offertes par le moufle ver- tioal ,ce moufle était pratiquement inférieur au moufle hori- sontal. 



   Tient la question de voir si ces difficultés ne pouvaient ttre surmontées par l'érection de moufles maçonnés .Il y a dém jà longtemps que des propositions de ce genre ont été faites ( par exemple par Francisci-Staeger, Lynen, Armstrong),-mais, dans les moufles maçonnés,il est impossible de rendre les joints verticaux de ces derniers étanohes dans la chaleur, même en cas d'application d'encastrement de l'espèce de tenons et mor-   taises,-   et ceci à cause du mouvement, ou des   déplacements,   inévitables du four, résultant de la dilatation par la chaleur, et à cause de la dilatation et du rétrécissement des briques   réfracteras   du revêtement de ces moufles.

   En outre l'épais- seur des briques qui,   marne   en cas de sa réduction, au   minimum   reste importante, entraine une conduction de chaleur beaucoup trop mauvaise, comparativement aux moufles en argile dont   les   parois sont minces* et est pourquoi le moufle maçonné n'a eu, non plus, aucun      

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 succès. 



   Le chemin envisage par la présente invention est complè- tement différent de tout ce qui précède. Suivant la présente invention le travail et la construction du four sont tels, que leafours peuvent   travailler ',   sens aucun dérangement lors du remplacement de moufles ,pendant une période prolongée avec un chauffage et à une marche continuellement uniforme, nonbe- tant quelques moufles détériorés, le four n'étant mis hors feu que lorsque le nombre des moufles déterrés dans le four a atteint une certaine proportion ( par exemple 1/5 à 1/4). 



  Après refroidissement oomplet le four est alors démonté et gar- ni de nouveaux moufles recuits, pour être ensuite allumé pour une nouvelle période. Si, après un certain temps, l'un ou l'au- tre des moufles est détérioré, on le   remplit.-au   lieu de le charger de minerais,- d'une manière réfractaire, par exemple de brique  lumineuse moulue ou de sable, en le laissant ainsi tel qu'il est dans le four* On continue de cette manière jusqu'à ce que le nombre des moufles détériorés   ,et   par conséquent non productifs , a atteint une valeur telle.

   , que le travail ulté- rieur du four en deviendrait peu   économique* Alors   le four est éteint , malgré les moufles non détériorés qui s'y trouvent encore 
Il'est de toute évidence, que cette simple solution ne se- ra juste, que lorsque la période d'activité du four, n'est pas trop courte, puisque le perte d'une certaine quantité de mou- fles non détériorés à chaque arrêt du four ,ainsi que la con- sommation en combustible à chaque allumage du four, tracent une limite à l'économie de de   genre   de travail. 



   Mais, -sans parler du fait connu de chaque métallurgiste du zinc et consistant en ce que les moufles subissant leur re- quit dans le four à zinc   lui-marne,   sont supérieurs, au point de vue durée aux moufles portés à l'incandescence hors du four à zinc et placés ensuite dans le four à zinc   chaud.,-   c'est précisément le procédé susmentionné faisant lobjet de la présente invention, qui offre dans l'industrie du zinc des nouveaux 

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 moyens de travail et de construction, par   lesquels   la durée de la période de marche ,c'est-à-dire la duré des moue flou est prolongée, 
Ces moyens seront exposée dans oe qui suit:

   
1.   CONFIGURATION   DU MOUFLE      
Pour les causes mentionnées plus haut il est nécessaire' de remplacer  dans les fours à zinc à marche continue, le grand nombre de petits moufles par un nombre inférieurs de grands moufles. Le fabrication des grands moufles est diffi- cile, quoique pas impossible.

   Mais grâce au fait que suivant la présente invention le montage des moufles s'effectue chaque fois dans un four refroidi, les grands moufles peuvent être constitués suivant la présente invention, soit par plu- sieurs petits moufles disposés   l'un   à coté   de l'autre   et réunis horizontalement au moyen de plusieurs tubulures ou tu-   bout   de manière à permettre aux vapeurs de zinc de s'évacuer vers un condenseur commun., situé dans la paroi antérieure du four { chacun des ou grands moufles peut être   Subdivisé   nori- zontalement en plusieurs éléments constitutifs, dont la fabri- cation n'offre aucune difficulté ,ces éléments pouvant faci- lement être réunis par superposition les uns aux autres, en ne formant que des joints horizontaux.

   Suivant l'expérience ces joints horizontaux, que l'on enduit avec un mortier frit- table au feu, sont rendus et maintenus étanohes par le poids propre du moufle. Pour plus de sûreté, ces   éléments   d'un mou- fle peuvent être munis en outre d'un bord en forme de manchon,   l'étanohéité   des joints ainsi obtenus pouvant être augmentée par l'application d'une fritte .On   prévient   ainsi à construire au moyen d'éléments   réfractaires*   ayant une forme semblable, pour ainsi dire, à celle d'une cuve, des moufles de grandes dimensions. 



     On   sait que les moufles verticaux possèdent un point faible, à savoir, la résistance de leurs parois en matière ré- 

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 fractaireau propre poids. 



   Tous les moufles verticaux ont la tendance de se renfler au feue   Ceci   provient du fait que le travail à la compression par unité de surface est beaucoup moinsfavorable dans les mou- fles verticaux que dans les moufles horizontaux. Dans un mou- fle vertical la charge du poids propre est complètement indé- pendante de l'importance de la section, et le travail à la compression par unité de surface s'exprime pour une même   hau-   teur de moufle, toujours par le même nombre indépendamment de l'importance de l'épaisseur de la paroi du moufle.

   En présence de la hauteur considérable qu'il faut donner à un moufle vertical destiné à travailler de manière continue, et dans lequel le chauffage progressif et la réduction du minerai doit s'effectuer dans la même chambre,-ceci constitue un grave inconvénient. par suite des hautes températures exis- tant dans un four à zinc ,les substances d'argile perdent leur dureté ou ramolli sent Sensiblement, ce qui entraine déjà, un travail de 1 kg/cm2 de section,une déformation   inadmissi-   ble. 



   En présence de ces conditions une augmentation de la durée ---- du moufle, suffisamment importante pour rendre le pro- cédé périodique, faisant l'objet de la présente invention , pratiquement et avantageusement réalisable, ne peut être   at-   teinte que soit par l'application de bâtis, ou analogues, renforceurs, ou en formant le profil du moufle de manière ,à ce qu'il présente des parois minoes exposées au feu, et en outre des parois intermédiaires ou intérieures épaisses, qui lui servent pour ainai dire de colonne vertébrale. 



   Ce n'est que grâce, au remplacement   périodique  des moufles dans un four froid, qu'on peut appliquer de tels moyens . 



   D'un autre   côté   ce n'est qu'ainsi qu'il devient possible d'utiliser sana danger des moufles   de 2   et même 3 mètres de hauteur .Si l'on voulait recuire ces moufles en dehors du four à zinc, pour les placer ensuite dans le four à zinc chaud, la répartition très inégale de la matière constitutive du mou- fle, ainsi que son refroidissement tout aussi inégal lors du 

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 transport , provoqueraient inévitablement   des tensions,   qui causeraient la rupture du moufle . 



   Par contre le procédé périodique offre au constructeur, au point de vue configuration du moufle une certaine tolérance qui autrement serait strictement impossible. 



   2.   G@ANDEUR   DU MOUFLE   La   configuration du moufle est cependant extrêmement importante pour la durée de la période déterminée par   l'allu-   mage et   l'extinction   du   fonr,   
Plus, cette périote est longue ,plus le travail sera économique, car il est évident que l'importance de la produc- tion de zinc est déterminée par la quantité de minerai ayant passé par le four* 
Plus, cette quantité est importante,   plis   la production par unité de temps sera   grante.   On pourrait   croi@e,   qu'il suf- tirait d'exposer les moufles   à des   hautes températures, pour obtenir des chiffres de production avantageuse! . 



   Cependant il n'en est pas ainsi pour les conditions du procédé faisant objet de la présente invention: il ne faut par perdre de vue, que la période de travail du four doit durer pendant des mois pour répondre aux conditions économiques, et que pendant tout ce temps les parois du moufle, exposées au feu, ne pouvant avoir,- en vue d'une bonne   oonduotion   de cha-   leur.,-   que quelques centimètres d'épaisseur, restent exposées sans interruption à une haute température uniforme. On sait que l'argile exposé à une température élevée pendant un temps aussi prolongé ,subit un changement ,au point de vue de son état primitif. 



   Si dans le nouveau procédé, on voulait continuellement appliquer des températures très élevées,-comme on les applique dans les fours à moufles horizontaux peu avant la fin de la réduction, et pendant quelques heures seulement pour reprendre ensuite des températures plus basses à   moira  grand effet,- la durée de la période de travail serait certainement rendue très peu satisfaisante.

   Ce sont précisément ces températures élevées de 1300 à   1400*   C, qui lors   d'une   application continue- 

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 provoquent une destruction rapide de la substance constitutive du moufle ,de sorte qu'elles ne peuvent pas être appliquées dans le procédé suivait la présente invention, la raison d'être de ce dernier dépendant de la longueur de durée de la pério- de de travail, par contre, des températures basses de   50    100  
0 seulement ,c'est-à-dire des températures continues de 1200  à 
1250 C ont une influence beaucoup moins destructive sur la subs- tance constitutive des moufles, et en appliquant ces températures moyennes,on arrive à une durée de période de travail satisfaisante à savoir une 1/2 année et plus. 



   La   suppression   des températures très élevées susmentionnées entraine toutefois la nécessité de prolonger   correspondamment   la présence de la charge à l'intérieur du moufle, c'est-à-dire de réduire suffisamment la vitesse de cheminement de la charge au travers du moufle, en vue d'une dézingation suffisante de la dernière. 



   Pour compenser la diminution de passage de charge, résul- tant de la lenteur da cheminement, il faut   par.-conséquent   augmenter la capacité du moufle. 



     Ceci,   à son tour, n'est possible, que grâce à un placement à froid,et par éléments constitutifs séparés, des moufles,- les seuls moyens permettant l'emploi de moufles de grandes capacités. 



   3. CHAUFFAGE 
Comme exposé plus haut, il ne faut appliquer que des tem-   pératures   moyennes. 



   Il est par conséquent important que la température doit répartie d'une manière bien uniforme à la   z8ne   des moufles dans laquelle à lieu la réduction du minerai, c'est-à-dire que la flamme doitêtre homogène aux endroits de la chambre de combustion situés entre les moufles, Ceci est atteint le mieux, par une admission progressive de l'air de combustion au gaz et par une conduite correspondance des flammes. 

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   Les moufles étant placés à froid dans le four également   froide   on a la possibilité de disposer ou de former des carneux entre les parois extérieures des moufles,- et en interposant des conduits percés, ou en se serrant pour la construction des   cerneaux   de chauffage de briques creuses, on peut facilement conduire et répartir l'aire de combustion sur le chemin par- couru par les gaz. 



   4. CONSTRUCTION DU   FOUR   
Puisque la disposition de la conduite des flammes ou du feu est déterminée, comme exposé précédemment par la disposition des carnaux de chauffage entre les moufles, la construction ultérieure du four devient extrêment simple. 



   Une voûte pour la chambre du four renfermant les moufles, n'entre pas en question* Les moufles reposent vers le bas sur un châssis ou analogue enfer, et supportent eux-mêmes leur recouvrement du dessus.  Crabe   au fait que les moufles forment eux-mêmes, par l'intermédiaire de plaques interposées, les carnaux servant à la conduite des flammes, il devient possible de réunir ou de disposer les oarnaux d'amenée et d'évacuation des gaz de chauffage et de combustion, dans un bloc de maçonne- rie commun, qui renferme, en   plus ,  les générateurs de gaz et les récnauffeurs d'air de combustion* Les parois de pour- tour du four sont complètement dépourvues de   cerne=   et ne présentent que des regards, pour la surveillance des moufles. 



  Ce ne sont que les parois situées en regard des cotés latéraux du bloc central qui présentent des niches recevant les   conden-   seurs pour les vapeurs de zinc. 



   Les moufles reposent de manière entièrement indépendante de la maçonnerie du four, sur un châssis, ou analogue, en char- pente métallique, protégée contre le feu par une couche d'en- viron 0,40 m d'épaisseur de terre réfraotaire ou de sable, remblayée extérieurement autour des parties inférieures des moufles. 



   On remplit ainsi d'une manière excessivement simple une condition très importante ,qui consiste en ce que les moufles 

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 doivent rester entièrement indépendantsde tout mouvement de la maçonnerie du four,- qu'ils puissent eux-mêmes se rétré- cir et se dilater d'une manière entièrement libre, et qu'ils soient complètement soustraits à tout effort ,pouvant être provoqué par n'importe quel déplacement de la maçonnerie très chaude du four. 



   Tout ceci est d'une importance essentielle au point de vue de la duréa- des moufles. 



   Sans le remplacement des moufles à froid la conduite des flammes aurait dû être disposée ou menée seulement d'une paroi du fourvers une paroi opposée de ce dernier, et les moufles seraient disposés entre ces deux parois. L'amenée et la sortie des gaz auraient dû être disposées à des endroits séparés. Contrairement à tout ceci, la concentration de la canalisation en un bloc commun,   oonttitue   un progrès technique aussi bien au point de vue métallurgie de zinc, qu'aux points de vues thermique et constructif. 



   Grâce à une telle disposition de la canalisation entière, des chambres ou dispositifs réohauffeurs d'air, et du système, foyer, dans le bloc central du four, on y orée en quelque sorte un accumulateur de chaleur, qui compense les variations de température provoquées par l'enlèvement des scories des foyers par le chargement du charbon frais et analogue. Ceci est égale- ment d'un grant avantage pour les moufles et contribue à   l'aug-   mentation de leur durée. 



   Une fois que les moufles sont détériorés par le travail le four doit être éteint et refroidi ,jusqu'à l'avoir garni de nouveaux moufles. Le réchauffement des moufles lors de l'al- lumage du four doit se faire par un accroissement de   tempéra-   ture lent. Ceci s'effectue avantageusement au moyen de foyers à grille. Pour la première chauffe servant au recuit des moufles on emploie du charbon dégazéïfié ou distillé à sec, c'est-à-dire du coke.   La   chaleur d'incandescence se répartit lentement du foyer au travers du bloc de maçonnerie central, et lorsque ce dernier est devenu rouge la chaleur se transmet auxmoufles. Ainsi 

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 oette première chauffe des moufles t'effectue d'une manière progressive très lente et très uniformeelle dure environ une semaine. 



   Aussitôt que les moufles sont portés au rouge il n'y a plus de danger pour que le gaz et l'air de combustion puissent alors être admis aux carnaux, en vue de commencer le travail. 



   La chaleur nécessaire au travail du four peut Être pro- duite par les mômes foyers à grille, qui ont servi au chauffage préalable. En vue d'atteindre une répartition de feu, uniforme dans le massif entier du four, il est avantageux de répartir la combustion sur quatre foyers, au lieu d'un grand foyer unique* 
Une telle répartition uniforme du feu est d'une importance es- sentielle lors de la remise à feu du four refroidi.

   Bien n'em- pêche d'employer ces foyers seulement comme foyers auxiliaires, servant uniquement au chauffage préalable du four et des mou- fles,- et de les murer ensuite, aussitôt que le four est devenu rouge;le chauffage normal , ou de travail, s'effectue alors par des conduites d'admission de gaz spéciales amenant un gaz combustible produit en dehors du four proprement dit* 
Les dessins annexés représentent à titre d'exemple un mode de réalisation d'un four à zinc à chambres de réductions verti- cales adapté au nouveau procédé de travail, faisant objet de la présente invention* 
La figure 1 représente une coupe partielle transversale dans le four. 



   Du   côté   gauche la coupe passe par le centre des moufles, et   du côté   droit, par les   oarnaux   de   chauffage.   



   La figure 2 représente à gauche une coupe longitudinale dans le four suivant x-Y de la figure 1, et à droite une vue du        côté   renfermant les   condenseurs.   



   La figure 3 représente un moufle à une échelle agrandie( partiellement en coup) vue de son large   côté.   



   Le figure en représente une vue de dessus, (avec brisure à gauche, faisant voir la section du moufle en dessous de sa 

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   face   de   jonction   supérieure) 
La figure 5 en représente une vue du coté étroit (dirigé vers les condenseurs) 
Le sale ou plateforme inférieure de l'usine est désignée par   A ,1e   plateforme de travail, de laquelle s'effectue le ser- vice des condenseurs par B, et la plateforme de chargement par 0. Le four formé par les murs de pourtour latéraux U1,U2   Çfige?.)   et par les deux mure W1,W2 renferment les condenseurs, est divisé en deux parties égales par le bloo de maçonnerie D. Ce bloc de maçonnerie renferme quatre foyers pour chacune des moitiés du four séparément. Dans la figure 2 on n'a représenté que deux de ces foyer.

   D1 et D2 à titre indicatif. Ces foyers peuvent être des foyers   semi-gazogènes.   



   De chacune des chambres de combustion part un canal ver- tioal E (voir fig.2) vers le haut, chacun de ces canaux E a- boutissant à un canal horizontal F1   et   F2 ,disposé dans le bloc      central D. De ces canaux horizontaux F1, F2 partent des   car-   naux à gaz G vers la chambre du four renfermant les moufles en y aboutissant dans les carnaux de chauffage supérieurs dis- posés entre les moufles. 



   L'air   est   préalablement chauffé par les réchauffeurs   d'air   H1 ,H2 disposés dans le bloc de maçonnerie D ,et monte de là par les canaux J1,J2 vers les canaux de distribution partant      des canaux J1,J2 vers les   08=aux   de chauffage. L'air est dis- tribu$ le long des carmaux de chauffage au travers des parois p'   séparant   les dits carnaux et constitués par des briques creuses munies d'ouvertures m1,m2, m3 .Par conséquent le gaz entrant dans le   oarnau   de chauffage supérieur, n'obtient pas la quantité totale nécessaire d'air de combustion d'un coup, mais peu à peu   ;ceci   provoque la formation d'une flamme longue, et empêche la formation de flammes dardantes nuisibles. 



   Les gaz de combustion passent au travers des canaux d'é-   vaouation   L1,L2 dans les réchauffeurs d'air H1,H2 ,y sont ame- nés en   contact   avec des tuyaux N1,N2 amenant l'air frais, pour être aspirés finalement par les canaux 01,02 allant vers la   cheminée.   

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   La chambre des moufles est supportée vers le bas par un chassis P en poutrelles en fers supporté   lui-même   par des montants.   Ce     chassie   présente des ouvertures correspondantes aux chambres de réductions ou moufles Les moufles R reposent debout sur le   chassie 2  indépendamment des murs de pourtour et du bloc de maçonnerie central du four.

   Les espaces entre les moufles sont remplis vers le bas ,de terre réfractaire ou analogue 
Cette disposition libre des moufles .permet à ces derniers d'exécuter librement tout déplacement occasionné par la dilata- tion causée par la chaleur* 
Les moufles se composent chacun, par exemple, de six parti  ou éléments r1,r2,r3,r4,r5, r6qui se rattachent les uns aux autres par des joints uniquement horizontaux* Le nombre des éléments dépend de la hauteur des moufles. Les éléments de chaque moufle s'engagent les uns dans les autres par exemple au moyen de re- bords, ces rebords faisant ressaut du côté des carneux de   chauf-   fage, ces ressauts servent à leur tour, à supporter les plaques p ou briques creuses p1 formant les cerna= de chauffage, ainsi que les plaques de recouvrement d, en haut.

   La section trans- versale des moufles est allongée (figure 4) ;les parois des mou- fles disposées du   coté   du chauffage sont sissi minces que pos- sible, pour offrir une bonne conductibilité à la chaleur. 



   Les parois antérieures et postérieure de chaque moufle, disposées perpendiculairement   aU[parois   minces précitées, sont relativement épaisses. De même on prévoit à l'intérieur de cha- que moufle deux ou plusieurs parois   épaisses ± ,  .constituant en quelque sorte   l'épine   dorsale de chaque moufle, pour lui don- ner la rigidité nécessaire au feu. 



   Ces parois intérieures transversales,de refforcement q, subdivisent l'intérieur de chaque moufle en plusieurs comparti-   ment*.   



   Afin de pouvoir évacuer les vapeurs de zinc et les gaz de réduction de tous ces compartiments, de chaque moufle vers un condenseur commun T, raccordé à la paroi antérieure du mou- 

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 fle donné, les dites parois transversales interieures q sont pérora, à la hauteur du condenseur , de troue o. Les   oonden-   seurs v   s'engagent   dans les parois des moufles dirigées vers la paroi antérieure du four* La configuration et la fermeture des condenseurs est essentiellement la   môme,que   celles usuel- lement employées dans les fours a. zinc. Pour protéger les con-   denseure   des gaz en ignition on les entoure à l'endroit cor- respondant de briques K en forme de collier.

   Quant au reste, les condenseurs sont   disposés,-comme   dans les fours à zinc ordinaires,- dans des niches ,et sont pourvus de chapeaux ou bonnets ,servant à recevoir les gaz en combustion et vapeurs non condensés, ces gaz et vapeurs étant évacués par les canaux z. 



     Par   leur partie inférieure les moufles communiquentavec ou s'ouvrent dans des buses ou analogues ±, au travers desquelles descendent de manière continue, les résidus ou cendres d'éva- ouation La fermeture de ces buses ou poches est constituée par une   cuve ±,   qui en cas de besoin, peut être remplie d'eau, formant un joint hermétique. Les cendres sont évacuées de la cuve S suivent les   besoins.   



   Le ciel ou recouvrement supérieur du four est constitué par des plaques d reposant sur le bord supérieur des chambres de réduction, ces plaques d étant pourvues d'ouvertures corres- pondant à la section transversale intérieure des moufles. 



   Plus haut, se trouve la plateforme de chargement C,   cons-     tituée par des poutrelles et plaques en fer ; qui présente   également des ouvertures correspondantes aux orifices des chambres de réduction. 



     Zozo   du garnissage à neuf du four on remplace toutes les chambres de réduction ,les condenseurs et les tuyaux N de réchauffeur. d'air. Les chambres de réduction sont érigées au moyen des éléments r ayant subi un recuit préalable et posés ou placés à froid dans le four, de la manière représentée aux figures 3 à 5. 



   A l'intérieur des moufles on dispose des systèmes con-      

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 ducteurs en briques profilées de l'espèee connue(non représentée) servant à la direction des gaz et des Tapeurs de zinc vers les condenseurs. Après avoir fermé le tout, on procède avec pré- caution au chauffage préalable du four* 
Aussitôt que toutes les parties du four sont devenues u- niformément rouges ,on procède à une aise en marche progressi- 
Te des moufles, et ceci en commençant par une charge pauvre en zinc et riche en charbon de réduction ,en augmentant ensui- te lentement la teneur en zinc de la charge ,pour arriver fine* lement à la charge normale. 



   Lors de la marche   normal* ,  les moufles sont remplis par le haut à des intervales de tempe déterminés d'une   émarge   de composition pleine,   c'est-à-dire ,   de minerai mélangé avec du charbon de réduction,-chaque nouelle charge devant être précé- dée par un perçage réitéré et à plusieurs endroits de la char- ge déjà contenue dans la chambre de réduction, eu moyen de ringards, en vue de la désagrégation et d'une amélioration de la descente de l'ancienne charge*   Le   feu doit rester conti- nuellement uniforme ,afin de maintenir les chambres de   réduc-   tion toujours à une température aussi égale que possible.

     Le   dégagement du zinc se produit d'une manière continue, puisque les nouvelles charges arrivent continuellement ,après un chauffage préalable   progressif ,   dans la zone de plus haute température des moufles, tout en continuant lentement leur descente au travers de cette zône. La rapidité de la descente de la charge doit être mise en correspondance avec le   processus   d'obtention du zinc et avec la température régnant dans le four.

   Les vapeurs de zinc sont évacuées par les systèmes con-   ducteurs   connus, susmentionnés .disposés à l'intérieur des compartiments folmés dans les chambres de réduction par les parois transversales,-et tari vent dans les condenseurs,-ou elles se condensent en zinc liquide,-tandis que les gaz:de réduction, accompagnent les vapeurs susmentionnées, sont brû- lés à   l'air  ,-après avoir été conduits préalablement au tra- vers d'un récipient ou ballon en fer, en vue du dépôt 

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 ou   récupération   des poussières de zino y contenus pour être finalement évacués, à moins qu'on ne les récupère à   l'état   non brûlés.

   Le zinc accumule dans les condenseurs est coule à des intervales de temps voulus, normalement une fois par jour. les   cendres   d'évacuation sont enlevées des cuves ±   à   des intervales appropriés. Leur évacuation peut également se faire d'une manière continue, au moyen d'un appareil ou dispositif transporteur. 



   Le travail du four se réalise ainsi d'une manière continue sans interruption. Si, au cours du temps un moufle est détério- ré ,de sorte qu'il en résulte des pertes en zinc, on le remplit d'une matière inerte, et on l'abandonne à   .lui-même.   La marche des autres moufles continue, jusqu'à ce qu'enfin le nombre des moufles hors .travail ait atteint. le limite, à laquelle le travail du four commence à devenir sans profit 
Le four. est abandonné alors au refroidissement et garni à nouveau comme exposé précédemment. 



   Le construction du four venant d'être déorite se prête à un grand nombre de variantes oonstruotives, sans que l'on s'écarte du principe formant la base de la présente invention. 



   R E V E N DE   CATIONS   
1) Proédé pour le traitement de minerais et autres ma- tières à teneur de zino, dans des chambres de réduction ver-   ficelés,   à marche continue, caractérisé en ce que le four à zince est maintenu en marche continue, sous un chauffage uni- forme, pendant   une  période de travail prolongée (par exemple d'une demi-année), pendant laquelle les moufles éventuellement détériorés ne sont pas remplacés, ces moufles étant remplis d'une matière inerte et abandonnés à eux-mêmes dans le four, jus- qu'à ce que le nombre de ces moufles atteigne une limite, au dessus de laquelle le rendement du four devient non économique; le four étant alors abandonné au refroidissement et garni d'un nouveau système de réduction.

Claims (1)

  1. 2) Four servant à la réalisation du procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce que les chambres de réduc- <Desc/Clms Page number 18> ductions verticales sont librement supportées,indépendamment les unes des autres, et indépendamment de la maçonnerie du four, par un châssis de support, et en oe que l'étanchéité entre les moufles, à la partie inférieure de ces derniers, est obte- nue par l'emploi d'une matière réfractaire pulvérisée, tan- dis que le recouvrement supérieur du four est formé par des plaques supportées par les moufle,$* 3) Mode de réalisation du four suivant la revendication 2, caractérisé en ce que les oamaux de chauffage, traversés par les gaz en ignition ,sont formés entre les chambres de réduction,
    au moyen de plaques reposant sur des ressauts for- més par les parois latérales des chambres de réduction.
    4) Mode de réalisation du four suivant les revendications 2 et 3 caractérisé en ce que les plaques formant les carnaux de chauffage renferment des passages ou analogues, qui commua niquent avec les canaux d'air, disposés dans la maçonnerie cen- trale du four, les dits passages étant munis de trous d'échap- pement d'air, répartis sur la longueur des carnaux de cnauf- fage.
    5) Mode de réalisation du four suivant les revendications 2 à 4, caractérisé en ce que les chambres de réduction verti- cales se composent d'une pluralité d'éléments séparés, qui se joignent les uns aux autres uniquement par dès joints hori- zontaux.
    6) Mode de réalisation du four suivant les revendications z à 5 , caractérisé en oe que les chambres de réduction présen- tent du ou des cotés des oarnaux de chauffage, des parois min- ces ,tandis qu'à l'avant, à l'arrière et à l'intérieur, elles présentent des parois transversales épaisses.
    7) Mode de réalisation du four suivant les revendications 2 à 6 .caractérisé en oe que les compartiments, formés dans les chambres de réduction par les dites parois transversales sont garnis de systèmes conducteurs , et en ce qu'ils communi- quent entre eux et avec le condenseur donné ,au travers d'ou- <Desc/Clms Page number 19> vertures appropriées.
    8) Mode de réalisation du four .suivant les revendications 2 à 7 ,acaractérisé en ce que les moufles sont constitués par deux ou plusieurs tubes ,de section préférablement rectan- gulaire ,se composant d'éléments individuels et disposés les uns derrière les autres indépendamment les uns des autres, ces tubes communiquant les uns avec les autres, à la hauteur des condenseurs, au travers de pièces de raccordement horizontales, dans le but d'amener les vapeurs de zinc et les gaz de réduc- tion -provenant de tous ces tubas ,dans le condenseur qui est raccordé au tube antérieur.
    9) Mode de réalisation du four suivant les revendications 2 à 8, caractérisé en ce que les chambres de réduction (mou- fies) communiquent par leur orifice inférieur (d'évacuation ou de déchargement) avec des buses ou poches préférablement en fer, qui contiennent continuellement une quantité de résidus (cendres d'évacuation) suffisante pour couper les chambres de réduction de l'air, (ceci pouvant être favorisé avantageuse- ment par un joint d'eau) l'excédant en résidus étant évacué conformément aux besoins.
    RESUME L'invention consiste: en ce que le traitement continu des minerais de zinc ou analogue dans des moufles verticaux se fait d'une manière pérodique,c'est-à-dire sans égard aux moufles détéroirés, qu'on remplit d'une matière inerte en les abandon- nant à eux-mêmes,ce genre de travail étant confia jusqu'au moment ou le nombre des moufles détériorés dépasse la limite économique, le four étant alors refroidi et garni de nouveaux moufles en vue d'une nouvelle période d'activité.-on une construction de four se prêtant . une réalisation avantageuse de oe procédé.
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