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Appareil ménager.
La présent* invention concerne d'une façon générale des dispositifs de commande d'accélération et, en particulier, un nou- i veau procédé et un nouvel appareil où la vitesse de rotation d'un tambour du type à axe horizontal ou en substance horizontal est limitée à une vitesse optimum de sécurité sous l'effet des débatte. monts du tambour due au balourd d'une charge non équilibrée y con- tenue.
Les principes de la présente invention peuvent tire facile- ment incorporés dans tout dispositif et tout procédé d'équilibrage en vue d'équilibrer des forces centrifuges asymétriques dues à un balourd dans un corps rotatif. Cependant, comme l'invention s'appli-
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que en particulier à une machine de buanderie et à un procédé y relatif, elle sera décrite dans le présent mémoire avec référence à une machine de buanderie et un procédé à usage ménager.
Du point de vue de la ménagère qui utilise la machine de buanderie, il est hautement souhaitable qu'une charge d'article, , blanchir soit complètement lavée et séchée en un laps de temps aus- si court que possible. Ce critère reste d'application, que la charge d'articles à blanchir doive être séchée sur des cordes ou , à la machine. Dans chaque cas, le laps de tenps requis pour sécher une certaine charge est en substance directement proportionnel à quantité de liquide retenue dans les articles à la fin d'un cycle de lavage.
On sait que dans une machine à laver automatique où le linge est lavé et essoré , ou dans des machines combinées à laver et à sécher dans lesquelles le linge est lavé, rincé, essoré par centrifugation et séché par barattage dans un tambour avec apport de chaleur, la partie du temps de lavage et de séchage total précé- dant la partie séchage à la machine ou sur cordes de l'ense.able du cycle de blanchissage, est considérée comme partie lavage de l'ensemble du cycle etaensubstance la même durée pour toutes les machines existantes. Cela étant, les gains de temps les plus no- tables peuvent être réalisés en raccourcissant la partie séchage de l'ensemble du cycle.
Habituellement, lorsqu'au veut essayer d'améliorer le sé- chage à la machine, il faut augmenter la chaleur de séchage fournie à la machine a sécher. Cependant, cela est peu souhaitable du point de vue de la consommation d'énergie et des frais qui sont ainsi légèrement accrus, mais cet accroissement de la chaleur tour. nie est surtout indésirable à cause des considérations de construc- tion qui sont alors mises en jeu en raison de l'accroissement de la consommation d'énergie par le dispositif de séchage.
Une autre façon d'améliorer le séchage à la machine, qui est envisagée par la présente invention, consiste à augmenter la
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vitesse du tambour pendant la partie essorage du cycle de lavage pour extraire de plus grandes quantités d'eau de la charge avant de commencer à la sécher à la machine ou sur des cordes.En augmen-- tant ainsi la vitesse d'essorage utilisée pour extraire une quanti- té d'eau supplémentaire de la charge,on peut obtenir une consomma- tion l'énergie d'environ huit à quinze fois inférieure à celle qui serait nécessaire pour éliminer cette eau supplémentaire par le séchage à la machine qui consomme beaucoup d'énergie.
En supposant que l'on dispose des paliers et des transmis- lions appropriés, la consommation d'énergie est la considération principale qui entre en ligne de compte pour fixer la limite de la vitesse de rotation que l'on peut atteindre en entraînant une masse autour de son centre exact.
Un tambour à linge vide entraîna au- tour de son axe de rotation est dans un état de marche optimum, mais lorsqu'une charge est placée dans la tambour, elle a tendance à se , répartir de telle façon que le centre massique du tambour charge ne coïncide pas avec son axe de rotation, ce qui produit ainsi une force centrifuge déséquilibrée directement proportionnelle au ta- lourd de la masse totale eu rotation, au carré de la vitesse angu- laire de ce balourd et au rayon séparant le balourd de l'axe de rotation du cylindre.
Un effet de balourd, outre qu'il affecte l'énergie nécessaire pour faire tourner le tambour, crée des conditions de vibrations graves qui sont mêmes plus prononcées dans les machines à axe hori- contai que dans les machines à axe vertical, car la force déséqui- librée en substance opposée aux forces de gravité qui agissent sur la machine, peut être suffisante pour soulever la nachine dt sa surface de support. Ce mouvement viol&nt fait, suivant l'expris- sion généralement adoptée "voyager" la machine. ;
Maturellement de nombreuses tentatives ont été faites pour résoudre ce problème.
Certaines machines de buanderie actuelles dt type à axe horizontal travaillent à une vitesse d'essorage suffise- , ment limitée pour que les charges de balourd rencontrées en fonction- nement normal ne produisent pas une force centrifuge suffisante
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pour soulever la machine de son support. On a également envisagé dans les machines connues de prévoir un dispositif de commande qui déclenche le mécanisme d'essorage en cas de mouvements excessifs de
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la machine,, le tambourodéce.-lêrant alors jU8qu'<une vitesse de barattage à laquelle son contenu peut retomber pour se repartir autrement..
La vitesse d'essorage finale est donc limitée à une va- leur telle que la quantité totale de liquide extraite par centrifu- gation du contenu du tambour est de beaucoup inférieure à celle
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désirée, Cela étant, il faut un tempo de séchage sur cordes pro- longé ou un apport de chaleur supplémentaire si les articles sont
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sèches à la machine.
Une autre tentative de résoudre le problème des vibrations mentionné plus haut, a été de suspendre touée la machine de buande-
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rie, avec une; maase supplémentaire formant un poids mort dans son habillage, sur un système élastique complexe. Ces réalisations dé-
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pendant de leloolation de la source de vibrations, la masse due- pendue pouvait ainsi viole-onent vibrer dans l'habillage et le poids mort tenda4fc à réduire au minimum les effets des forces centrltu- ge9ul.bres. Elles ne donnent pas satisfaction parce que ;;ti'Js dimensions de l'habillage doivent être fortement augmentées pour tenir compte des mouvements giratoires violents de la masse suspendue pendant le fonctionnement de la machine.
Dans des machines connues, on a aussi essayé de détecter et de localiser les mouvements excentriques du corps rotatif par
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des %écanîsmes relativement complexes qui com.;iandent l'addition ou la soustraction de poids aux éléments rotatifs de la machine de manière à contrecarrer les forces centrifuges asymétriques produites par le balourd dans le ta'ibour.
Suivant les principes de la présente invention, un tam- bour est tourillonné sur un axe en substance horizontal,dans une eu-* ve rigidement reliée à une plaque de base.Une transmission relie le
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tambour à un moteur dye,-4trainerto-nt et comporte uï rapport de petite vitesse pour baratter la linge à une vitesse de lavage peu élevée
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et un rapport de grande vitesse pour faire tourner le tambour à des
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Vitesses d'essorage plus élevées afin extraire du liquida du linge contenu dans le tambour.
Suivant une autre particularité de l'in- vention, il est prévu un embrayage pour changer les rapports de vitesse "de la transmission ainsi qu'un dispositif détecteur sensi- ble aux débattements du tambour dus au déséquilibre de la charge y contenue, pour limiter le rapport de vitesse de la transmission à une valeur située entre les rapports de petite et de grande vitesses de manière à faire tourner ainsi -le tambour à une vitesse optimum de sécurité supérieure à la vitesse de lavage peu élevée.
L'embrayage peut par exemple être du type à commanda pneuma- tique et le dispositif détecteur peut comprendre une valve de, /fuite actionnée par lesvibrations du tambour pour diminuer la -pression pneumatique exercée sur l'embrayage,de sorte que l'embrayage patine par intermittence pour empêcher toute accélération du tambour, tout en maintenant en même temps le tambour à une vitesse sensiblement constate. La vitesse du tambour est ainsi maintenue, pendant l'équilibrage par injection d'eau, à une vitesse produisant. une force centrifuge suffisante sur le' balourd dans le tambour .pour produire les débattements nécessaires pour déclencher l'équilibrage par Injection d'eau.
Lorsque le balourd est équilibré, les dé- battements diminuent, avec ce résultat que l'embrayage à commande pneumatique reçoit une pression entière et ininterrompue et l'accé- lération reprend.
La présente invention a donc pour but important de procurer un appareil de commande d'accélération pour un récipient rotatif.
L'invention a encore pour buts de procurer un dispositif de commande d'accélération destiné à être utilisé avec un dispositif de commande d'équilibrage et ne gênant pas le fonctionnement approprié de ce dernier un dispositif comprenant une botte de transmission, un embrayage et un dispositif détecteur agencés de telle sorte que le dispositif détecteur détecte les débattements d'un récipient rotatif supérieurs à ceux qui déclenchent l'équilibrage de la char- ge, le dispositif détecteur agissant sur l'embrayage pour limiter
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le rapport de vitesse de la transmission de sorte que le récipient tourne à une vitesse optimum de sécurité suffisamment élevée pour ne pas gêner le processus d'équilibrage de la charge.
D'autres buts et avantagea de l'invention ressortiront de la description donnée ci-après, à titre d'exemple , avec référence aux dessins annexés, dans lesquels : la Fig.l est une vue en élévation de face d'une machine de buanderie suivant la présente invention, l'habillage extérieur étant enlevé et certaines parties étant arrachées tandis que d'au- très sont enlevées pour la clarté la Fig.2 est une vue en élévation de cote de la machine de la Fig.l,
certaines parties de l'habillage étant enlevées pour la clarté la Fig.3 est une vue fragmentaire à plus grande échelle d'un mécanisme détecteur qui peut être utilisé pour déclencher le processus d'équilibrage de la charge et la limitation du rapport de vitesse de la transmission ; la Fig.4 est une coupe en substance suivant la ligne IV-IV de la Fig.3 de l'appareil détecteur de l'invention ; la Fig. 5 est une vue plus ou Moins schématique, partie en coupe, du dispositif de commande d'accélération conforme à l'inven- tion ;
la Fig.6 est une coupe d'une transmission à deux vitesses utilisée dans la présente invention ; et, la Fig. 7 est une vue schématique de certains éléments de circuit hydraulique incorporés dans la machine représentée.
On se référera d'abord dans la description donnée ci-après à certains détails de construction d'une forme de machine à laver et à sécher combinée donnée à titre d'exemple ainsi qu'à un type de dispositif équilibreur par injection d'eau utilisé avec cette Mâchée. Cependant, il est clair que le dispositif de commande d'accélération conforme à l'invention n'est pas limité à la cons truc tion particulière représentée sur les figures 1 et 2 et ses avan- tages ne découlent pas uniquement de l'emploi du dispositif équili-
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breur à liquide particulier représenté également sur les Figs.3 et
4.
De plus, on remarquera au cours de la description que les par- tien qui ne sont pas nécessaires pour décrire le dispositif de com- mande d'accélération ont été éliminées pour plus de clarté,
Sur les Figs. 1 et 2, une machine de buanderie domestique ayant la forme d'une machine à laver et à sécher combinée est de* signée dans son ensemble par 10, et comprend un habillage extérieur 11 formant une enceinte esthétiquement attrayante pour la machine
10.
Comme cela se pratique habituellement, l'accès à une zone de traitement formée dans la machine 10 se fait par une ouverture appropriée ménagée dans le devant de l'habillage, cette ouverture avant étant fermée par une porte d'accès (non représentée) pendant les opérations de blanchissage.
Une structure de base rigide désigné* dont son ensemble par
13 est prévue dans 1* habillage extérieur Il et comprend une plaque ! profilée en U 13a à laquelle est fixé un flasque 14. La base 13, comme le montre également les Figs.l et 2, comprend des pieds avant
15 boulonnés à la plaque profilée 13a et un pied arrière 16 bou- lonné à un étai 17 qui est soudé ou autrement fixé à la. paroi arrière 18a d'une cuve en substance imperforée 18.
La cuve 18 est reliée à la base 13 et est montée sur celle-ci par une plaque de support 19 qui est solidarisée de la .paroi avant 18b de la cuve 18 par soudure ou par des techniques analogues.La plaque 19 est également fixée au flasque 14 de la base 13 par exemple par des boulons ou des organes analogues 20.
La paroi arrière 18a de la cuve 17 comporte un renfonce- ment central 21 percé d'une ouverture et coopérant avec un croisil-
Ion de support 22 solidement assujetti à la paroi arrière 18a pour supporter rigidement un palier 23 dans lequel est tourillonné un arbre (non représenté) tournant avec un tambour perforé 24 monté dans la cuve 18.
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Il est à remarquer que les liaisons réalisées par les parties 14 et 19 entre la base 13 et la cuve 18 sont des liaisons rigides cependant, la structure de support est suffisamment élastique pour que de très petits mouvements de la cuve 18 par rapport à la base 13 puissent se produire. Les liaisons établie* par la fixation des plaques 14 et 19 sur la plaque de base 13a et la fixation de l'étai 17 sur la cuve 18 sont suffisamment rigides pour contenir les mouvements oscillants de la cuve 18 autour d'un axe parallèle à l'axe de rotation horizontal du tambour
24 et situé en dessous de ce dernier.
Dans la machine représentée à titre d'exemple aux dessins, ces mouvements oscillants permis de la cuve sont approximativement de 0,010 pouce (0,25 mm) de part et d'autre de sa position centrée normale, mesuré sur un bras de levier approximatif de 16 pouces (41 cm).
La machine 10 est équipée d'un moteur d'entraînement dite. trique 25 qui est monté sur la cuve 18 et qui est pourvu d'un ar- bre de sortie entraînant une transmission 26 qui est également montée sur la cuve 18. La transmission 26, qui sera'' décrite ci après de façon Plus spécifique, comporte un arbre de sortie 26a (Fig.2) portant des poulies 27 et 28, la poulie 27 recevant une courette 29;,/qui entraîne une poulie 30 pour faire tourner le tam- our 24. La poulie 28 d'autre part, reçoit une courroie 31 en- tratnant une soufflerie (non représentée) servant à faire circuler de l'air de séchage chauffa dans le tambour 24.
La machine 10 est également équipée d'une valve mélangeuse classique (non représentée) ainsi que d'un collecteur 140 (Fig.7) ménagé dans la partie inférieure de la cuve 18 pour recevoir les liquides pour les opérations de lavage, de rinçage et d'essorage.
Le collecteur 140 communique avec une pompe 141 qui est à son tour raccordée à une première valve à deux voles 142 commun! quant avec une décharge pour vidanger la cuve ou avec une seconde valve à deux voies 143 qui est pourvue d'une conduite 144 servant à faire re-
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circuler le liquide de lavage dans le tambour 24 pendant l'opéra-
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tison de lavage par l'intermédiaire d'une lance de roolroulation (non représentée) et d'une seconde conduite 32 raccordée à une lance 95
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servant à faire recirculer le liquide équilibreur par 1' orifice 95b de la lance pendant 1* essorage,
ce liquide équilibreur étant introduit dans des coupaxtimants liquide 39 par 1* intermédiaire de$ segments collecteurs respectifs 45a-c qui communiquent avec ....sment. collecteur. re.p.et1t. 'a-c communiquent .yeo /}/1 ces compartiment*. Un dispositif de commande séquentiel oui %0$* , de type classique 33 règle le fonctionnement des valves 14;;4t 143 suivant une séquence programmée. /;y:- Le dispositif de commande séquentiel da3 par 33 peut évidemment être préréglé par l'opérateur et est associé par le cuir- cuit électrique habituel à tous les éléments de commando de la machine comprenant le moteur d'entraînement électrique 25, les
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différentes valves utilisées et en particulier la valve a 1014not4e décrite ci-après en détail qui commande pn.umat1qu.:
nent l'embrayage faisant partie de la transmission 26. Le dispositif de commando séquentiel 33, par les différentes connexions électriques habituel-
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lement utilisées,, actionne la machine suivant un programme compre- nant des périodes de lavage, de rinçage, d'essorage et de séchage.
Dans une opération typique, l'opérateur introduit une charge de linge à blanchir par la porte d'accès dans le tambour 24, et, au début d'un programme présélectionné, la cuve 18 reçoit une charge d'eau d'alimentation. Après l'opération de lavage, le liquida de blanchissage est évacué par le collecteur et est déchargé à l'égout et les articles contenus dans le tambour 24 sont alors sou-
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mis à une opération d'essorage suivie par un rifeage et un nouvel essorage, Ces parties du cycle de lavage pouvant être répétées 4utoi souvent qu'on le désire suivant le progranae pr'4Jtlrm1n'.
Après l'essorage final, la machine exécute une opération do sé- chage impliquant un fonctionnement du dispositif de séchage et comprenant l'apport de chaleur d'évaporation au courant d'air de ventilation mis en circulation dans la zone de traitement, ou la charge de linge blanchi peut être enlevée de la machine par
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l'usai* et être mise à sécher sur des cordes.
Comme Indiqué plut haut, le dispositif de commande d'accélération de la présente invention peut être utilisé conjointe- ment avec différents typée de dispositifs équilibreurs à eau mais un dispositif équilibreur particulièrement avantageux est repré- sente dans les dessins annexée afin de montrer clairement les nombreux résultats nouveaux obtenus grâce au dispositif de com- mande d'accélération de l'invention.
Sous ce rapport, on remarque- ra sur la Fig-1 que le tambour 24 comporte plusieurs nervures de renforcement radiales angulairement espacées 34 ménagées dans sa paroi arrière ou fond 24a. Au centre de son fond 24a, le tambour 24 est relié par exemple en 35 à un arbre 36 tourillonné dans le palier 23. La paroi périphérique extérieure du tambour 24 est formée par une jupe 37 particulièrement caractérisée par un grand nombre d'ouvertures 38 par lesquelles le liquide peut s'échap- per de l'intérieur du tambour 24 dans la cuve 18.
Le tambour est également pourvu en plusieurs endroits circontérentiellement espacés sur sa périphérie de renfoncements dans chacun desquels est monté un récipient équilibreur à liquide,, indiqué en 39 sur la
Fig.2. Chaque récipient 39 comprend un plateau en substance en forme d'auge comportant des parois radialement espacées 40 et 41 des parois d'extrémité axialement espacées 42 et 43 et deux parois .latérales espacées 44. Chaque récipient 39 est pourvu d'un segment collecteur 45a , 45b et 45c qui, comme le montre les dessins,
est en général profilé en U et est pourvu d'une ouverture 46 par laquelle tout le liquide contenu dans le segment collecteur est déchargé radialement vers l'extérieur dans un certain récipient suivant les nécessités de l'équilibrage. Dans le cas particulier représenta trois récipients 39 sont prévus et chaque segment 45a-c peut donc si on le désire couvrir un arc de 120 sur la paroi avant du tambour 24. Les segmenta collecteurs, désignés d'une façon géné- rale par le chiffre 45 sont solidement attachés par exemple par sou- dure ou l'équivalent à la paroi avant du tambour en coïncidence avec
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le dispositif d'alimentation de liquide prévu pour y infecter du liquide équilibreur.
Afin de commander l'injection de liquide équilibreur dans les récipients 33 par 1' intermédiaire des segments collecteur.
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45a-t:, on utilise suivant la présente invention, comme une variable de commande, un signal mécanique qui se manifeste sous forme d'un mouvement oscillant relativement faible entre la cuve 18 et un élément de référence relativement fixe associé à la structure Je base de la machine. Un élément de support pour le mécanisme équili-
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breur d1ê sur les fies 3 et 4. par le chiffre 75, comprend un .flasque attaché par des organes de fixation 76 à la paroi avent 18b de la cuve 18.
Le flasque 75 est percé d'une ouverture 75a près de son extrémité supérieure et une buselure 77 est fermement fixée dans cette ouverture, cette buselure comportant un ouverture en substan- ce en forme de D 77a formée par une encoche qui entaille la bu-
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selure 77, en substance diamétralement. Un axe 79!e.t tourillonne dans des coussinets 78 dans la buselure 77 et comporte encoche formant un plat et délimitant un évidement en substance enn a;e de D 79a coopérant avec l'ouverture de forme analogue 77a m6n.i dans la buselure 77.
L'axe 79 reçoit une vis 80 à une extra- mité servant à y fixer un interrupteur d'écoulement ou déflecteur 81.
L'axe 79 est taraudé radialement sur le plat de l'évidement en D 79a pour recevoir des vis 82a et 82b servant à monter exeen-
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triquernent sur l'axe une came 83, une rondelle 64 et une lame de ressort relativement mince ±5 tout près du plat 79a Comme le montrent les dessins, la partie de fixation 83a de 1 came 83, la rondelle 84 et une extraite de la lame de ressort 85 sont es- sentiellement entièrement contenues dans 1#évidement 79a de l'axe 79 et dans l'ouverture 77a de la buselure 77.
La came 83 qui tourne avec l'axe 79 sur un arc limita est
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pourvue de lobes 83b et 83c attaquant un suiveur de eas.e genre galet 86 monte de façon à pouvoir tourner sur un levier 87 srtieu-
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lé en 88 au flasque de support 75. L'extrémité du levier 87 ,'étend
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au delà du galet suiveur ue came 86 et comporte une patte 87a à laquelle un ressort 89 est ancré à une extrémité, l'autre extrémi- té du ressort étant -'- son tour attachée à un ancrage fixe 90 fixé sur le flasque de support 75.
Le flasque 75 porte également une valve de fuite 91 fixée
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en place par des colliers de serrage 92, la valve 91 comportant une tige 91a placée de manière .à être actionnée par la patte 87a prolongea le levier 87. Conne décrit en détail ci-après, la valve de fuite 91 ca..4:mrique par une conduite- 91b avec la boite de transmission 26 pour faire patiner ou débrayer un embrayage à fric- tion dans la transmission, de manière à arrêter l'accélération du
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tambour 24 de telle sorte que, pendant l'exécution de la fonction d'équilibrage, le t6J,bour soit maintenu . la vitesse de rotation. qui a 8r,lené le balourd à produire le.! déviations vibratoires détec- tèes de la cuve 18.
pn pratique, le dispositif de commande pneuma- tique de l'embrayage et le dispositif équilibreur à eausont coor- donnes de façon que l'équilibrage ait lieu avant le patinage de
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l'embrayage à ctîon. Dans un tel cas, les dispositifs de coN'man- de sont 69 de façon qu'une oscillation plus forte de la cuve
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ytemolt nécessaire pour actionner la valve 91 que pour déplacer le déflecteur 81.
L'organe de réaction formé par la lame de ressort 85 est attaqué à son extrémité opposée par un élément fixe ou immobile
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pendant la rotation du ka.bour, de sorte que si le tambour vibre sous l'effet d'une charge de balourd , l'axe 79 tourne légèrement et fait pivoter le déflecteur ou l'interrupteur 81 de manière à démasquer la lance 95 qui peut ainsi injecter du liquide équilibreur dans les segments collecteurs appropriés 45a-c diamétralement op- posés au balourd. Sous ce rapport, il 'est à remarquer qu'un pare- éclaboussures 96 (Fig.l) est monté sur la paroi avant 18b de la
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cuve entre la cuve 18 ot le tambour 24.
Le pare-ddbous sures est percé d'uno ouverture itllongêe 96a (fie.3) coïncidant avec l'orifice de la lance 95.
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Le dispositif de serrage pour la lame de ressort de réaction 85 comprend une colonne fixe ou immobile 100 qui se dresse sur le Plateau 13a de la structure de base 13 et qui 5 est attachée par soudure, par des organes de fixation ou par d'autre modes d'as- semblage. t'organe de réaction fixe 100 est entailla en 100a de manière à présenter un crochet 100b attaquant une extrémité de la lame de ressort de réaction 85.
En bref, on paît voir que la colonie 100 sert de buté ou d'organe de réaction fixe auquel une extrémité de la lane de ressort 85 est attachée, l'autre ertrémité de la lans de ressort 85 étant attachée au plat ménagé sur l'ax" 79 auquel le déflecteur 81 et la came 83 sont également rigidement attachas. L'escillation de la cuve 18 pendant la rotation de balourds dans la Machine place la lame de ressort 85 alternativement sous tension et tous compres- sion et la flexion et le flambage résultants de la lame de ressort excentrique 85 font osciller le déflecteur 81 et came 83 pour commander les fonctions d'équilibrage par injection d'eau et de commande de l'embrayage pendant le cycle d'essorage de la machine.
Comme décrit plus haut, le dispositif équilibreur à eau décrit représente une réalisation typique qui peut être utilisée conjointement avec le dispositif de commande d'accélération de la présente invention. Au cours de la description ci-après, qui concerne en particulier un dispositif nouveau et perfectionné pour commander l'accélération du tambour en réponse aux débattements du tambour par rapport à une structure de base fixe, il apparaîtra clairement que d'autres types de dispositifs équilibreurs à eau peuvent être efficacement utilisés.
En bref, dans le dispositif de commande d'accélération de la présente invention, la valve de fluide 91 qui est montés Sur le flasque de support 75 et qui détecte les vibrations causées par le. rotation d'une charge formant balourd dans le tambour 24 com- munique avec une lumière de sortie d'une valve d'air à solénoïde et
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est construite de manière à former une conduite de décompression entre. un compresseur d'air et le vérin pneumatique qui commande l'embrayage prévu dans la boîte de transmission 26.
De l'air com- primé provenant d'une source appropriée est mis en communication avec une lumière d'entrée de la valve à solénoïde et le solénoïde est excité pour accélérer le tambour 24 de sa vitesse de lavage à sa vitesse d'essorage en plaçant sous pression une chambre dans la valve à solénoide aboutissant à l'embrayageà commande pneumati- que. Lorsqu'un balourd est accéléré et produit des débattements, la valve de fuite sur le flasque de support est ouverte par intermittence pour diminuer la pression dans la chanbre de la avalve à solénolde qui, par l'intermédiaire de la lumière de sortit communiquant avec le vérin pneumatique commandant l'embrayage, fait patiner l'embrayage pour'empêcher le tambour d'accélérer da- vantage jusque ce que le balourd soit compensé.
Cependant, et comme décrit en détail ci-après, la vitesse de rotation du tambour n'est pas nécessairement diminuée mais est maintenue essentielle- ment à la valeur qui a provoqué les débattements de la cuve de manière à ne pas gêner l'exécution du rocessus d'équilibrage ap- proprié.
Le dispositif de commande d'accélération de la présente invention est représenté plus ou moins schématiquement sur la Fig.
5, qui montre clairement que le moteur d'entraînement 25 est re- lié à la boîte de transmission 26 comportant un arbre de sortit sur lequel sont montées les poulies 27 et 28,, formant l'élément de sortie de la Fig,5. Les détails de construction de la boite de transmission seront décrits plus loin et, en ce qui concerne cette boite on peut remarquer sur la Fig.5 que la conduite 110 communique avec la boîte de transmission (en particulier un embra- yage commandé par un vérin pneumatique qui sera également décrit plus loin) et avec une lumière de sortie 111 d'une valve pneuma- tique 1 solénoide désignée d'une façon générale par le chiffre
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Un compresseur 113 de n'importe quelle construction appro-
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priée comporte une conduite 114 raccordée à sa lumière de refoule-
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ment et aboutissant à une lumière d'entrée 115 de la valve à 8014- golde 112. La valve à solénoïde est également pourvue d'une se- conde lumière de sortie 116 qui communique par la conduite 91b avec la velve de fuite ou de décompression 91.
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La valve à solênoide 112 est pourvue d'un corps 119 co.uportant,à une extrémité, plusieurs passages taraudés 120a, 120b et 1200 recevant des raccords lola, 121b et 12lue, respectivement qui sont alésés de manière à forcer la lu.:. 1ère de sortie 116, . la lumière d'entrée 11$ et la lumière de sortie 111< Le corps 119 de la valve à solénoïde 112 est façonné intérieurement de manière à présenter une chambre 122 cot1Uî11U11- quant avec les lumières 116, 115 et 111 par l'intermédiaire de passages étranglés 116a, 115a et alla. La chambre 122 eocncunique avec une chambre 123 par un trou central 124a ménage dans un
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diaphragme rigide bzz qui est également pourvu d'évents 12 communiquant par des évents 119a ménagés dans le corps 119 avec l'atmosphère.
Le trou central 124a ménagé dans le diaphragmé rigide 124 reçoit une soupape en substance en T à surface plane 126 placée de manière à être en contact avec une armature de adénoïde 127
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lorsqu'un solénoide 12g est désexcité. On peut remarquer que, sur la Fig.5, l'armature de solénoïde 127 comporte un passage axial
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central 127a, un ressort 129 étant logé dans ce passage et réagis- sant, d'une part contre une extrémité du passage, et d'autre part
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contre un bouchon fixe 130 contenant un passage 130a. Le bouchon 130 peut être fixé de n'importe quelle façon appropriée à un boîtier de Sclenoldel3l et, si on le désire, un joint d"tanc3lt 132 peut être placé entre l'armature z.27 du solénoïde et le ! bouchon 130.
L'excitation du solénoïde 128 de la valve à solénoïde 112
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commande le passage à la vitesse d'essorage de la transmission a deux vitesses 26. Lorsque le solénoïde est désexcité, l'armature
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de solenolde 4 ressort 127 occupe sa position supérieure et presse la soupape 126 contre la surface i2a, ce qui à son tour permet à la cavité ou la chambre 122 de se vider dans 1 'atmosphère par les évents 124a, 124b et 119a Nuages dans le diaphragme rigide 124 et le corps 119 respectivement . Cette action empêche la pres-
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sion d'air du compresseur 113 d'atteindre 1$eml)rayage preU$at1que dans la transmission 26.
De plus, cette action bloque le passage d'entrée 115a à la chambre 122, et le compresseur 113 peut ainsi accumuler de la pression jusqu'à ce qu'un dispositif de décompression classique dans le compresseur évacue l'excès de pression.
Lorsqu'on désire faire passer la transmission de la vi- tesse de lavage la vitesse d'essorage, un excite le solénoïde 128, par exemple par l'intermédiaire d'un circuit électrique appro-
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pria raccordé au dispositif à temps prér68l4ble 33. L'excitation du solénoïdei 128 déplace l'armature 127 contre la pression du res- sort 129 essentiellement vers la position de la Fig.5. La pression
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d'air de là lumière d'entrée 115 associée ruz 1'action de la pesanteur
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plaque l1Boupape 126 sur son siège formé par la surface 3.2tue du diaphragme rigide 124, Cette action bloque donc toute com::'un1ca- t1oni!re les chambres 122 et 123, et place les sorties 111 et 16 de la valve sous pression.
La lumière de sortie 111 aboutit à l'embrayage à commande pneumatique dans la boîte de transmission
26 et fait fonctionner cet embrayage. La sortie 116 communique avec la valve de fuite 91 et lorsqu'un balourd est accéléré et pro- duit une déviation de la cuve, la valve de fuite est ouverte par intermittence pour diminuer la pression d'air dans la chambre 122.
La pression d'air diminuée agissant sur l'embrayage à commande pneumatique fait patiner 3'embrayage et arrête l'accélération de tambour jusqu'à ce que le balourd soit équilibré.
Le positionnement de la tige 91a de la valve par rapport
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Za patte 87a du levier 87 est commandé de façon réglable par rap- port t* 1& position du déflecteur ou interrupteur 81 et de ses par- ties associées de sorte que le débattaient de .la cuve et du tambour
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requis pour évacuer la pression d'air de commande nécessaire soit légèrement supérieur àcelui qui déclenche l'action d'équilibrage à l'eau. Cette particularité dépend simplement d'un réglage ppro- prié des différentes parties de la machine et assure que le procès . sus d'équilibrage colt toujours déclenché et que la commande d'ac- célération entre ensuite en jeu pour maintenir le rapport de la vi- tesse de transmission à la
vitesse qui a provoqué initialement l'état de déséquilibre et qui a déclenché le processus d'équili- brage sans diminuer inutilement la vitesse du tambour.
Sur la Fig.6, la botte de transmission 26 comporte un car- ter 150 comprenant un corps principal 151 auquel un couve 153 est fixé par des organes de fixation 152.Le corps 151du tar- ter est pourvu d'un bossage central alésé 154 reçevant un arbre de diamètre variable 155 relié à une extrémité au moteur 25. te bossage alésé 154 peut recevoir COUSE, 156 et un joint d'étanchéité 157.
Un pignon 158 est calé sur l'arbre 155 axialement vers l'intérieur du coussinet 156 et engrène un pignon 159 calé par exemple par une goupille 159a sur un arbre 160 supporté à ses ex- trémités opposées dans des coussinets 161 et 162 ajustés dans des évidements ménagés dans le corps 151 et dans le couvercle 153 res- pectivement du carter.
L'arbre 160 porte un pignon 163 claveté par exemple en 163a et engrenant un pignon 164 qui tourne librement à une vitesse constante sur un manchon 165 relié à la poulie 27 et entourant la partie diminuée de l'arbre 155.
Le pignon 164 comprend une partie excentrique 164a sur laquelle est monté une chape de bielle 165a qui entraîne le piston (non représenté) du compresseur 113 à une vitesse constante chaque fois que le moteur 25 est excité.
Le pignon 164 est également pourvu d'un évidement qui re- çoit un disque encastré 166 ancré au pignon 164 au moyen de la cheville transversale 166a. Un cr&bot 167 est monté sur le man-
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chon 165 et est placé dans un Avidement cylindrique ménagé dans le disque 166 et plusieurs gaieté 168 coopèrent avec le disque 166 et le crabot 167 pour former un accouplement à roue libre entre ces deux organes.
Puisque l'accouplement à roue libre formé par le disque 166, le crabot 167 et les galets 168 est de construction classique, il suffit de précise?* que cet accouplement est embrayé pendant les opérations de lavage à petite vitesse lorsque le disque
166 serre les gaieté 168 par un effet de came étroitement contre le crabot 167 pour faire tourner le manchon 165 et le poulie en- traînée 27 à la vitesse de lavage* Pendant les opérations d'esso- rage, la crabot 167 est entraîna à la vitesse de l'arbre 155 et tourne ainsi plus rapidement que le disque 166, déplaçant donc les géants 168 vers une position débrayée.
Le *rabot 167 est pourvu d'une bride latérale entaillée
167a qui attaque positivement un organe en cuvette 169. Un disque d'embrayage placé dans le creux de l'organe 129 comporte des surfaces de frottement 170a, ce disque pouvant tourner avec une bague de montage 171 qui à son tour tourne avec l'arbre 155 et est axialement mobile le long de ce dernier. Un second disque d'embrayage 172 tourne avec la bague 171 et est axialement mo- bile le long de celle-ci, ce disque étant pourvu d'une surface de frottement 172a. Un plateau d'entraînement 169a tourne avec la cuvette 169 et est axialement mobile par rapport à celle-ci, ce plateau étant placé entre les disques d'embrayage 170 et 172.
Le dispositif servant à déplacer la bague 171 pour modi- fier la vitesse de rotation de la poulie 27, par exemple en arrê- tant l'accélération lorsqu'un balourd est détecté, peut comprendre une fourchette 175 reliée à la bague 171 et appuyant contre une surface formant point d'appui 176 tout en étant reliée à son extrémité opposée à une partie d'extrémité allongée 177a d'une tige de piston 177. La partie d'extrémité de la tige de piston peut coulisser dans un bossage 178, tandis que la tige du piston proprement dite est guidée dans un bossage alésé 179a formé sur
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le cylindre 179 relié au couvercle 153.
Comme le montre la Fig.6, la tige de piston 177 est reliée à un piston 180 et le couvercle 153 est percé d'un trou (non représentée) livrant passage à la conduite 110 servant à introduire de l'air sous pression dans la chambre 181 du vérin.
Le dispositifde commande d'accélération fonctionne de la façon suivante : lorsque la machine passe de la vitesse de lavage à la vitesse d'essorage, le solénolde 128 dans la valve à solé- nolde 112 est excité par le circuit électrique de la machine. L'exci- tation du solénoïde 128 déplace l'armature 127 du adénoïde en opposition à la pression du ressort 129 et essentiellement vers la position de la Fig.5. L'air sous pression du compresseur 113 qui pénètre dans la lumière d'entrée 115, en combinaison avec l'action de la pesanteur, plaque la soupape 126 contre la surface la@o $pour $bloquer le passage 124a entre les chambres 122 et 123.
Les lumières de sortie 111 et 116 de la valve sont alors Mises sous pression et, comme on l'a remarqué plus haut, ces 'liserés communiquent par les conduites 110 et 91b respectivement avec* -3* chambre 181 du vérin pneumatique dans la boîte de transmission 26 et avec la valve de fuite 91.
La mise sous pression de la chambre 181 du vérin dans le carter 150 de la boîte de transmission fait pivoter 1* extrémité supérieure de la fourchette 175 vers la gauche autour du point d'appui 176, sur la Fig. 6, ce qui amène le disque 172 à se dépla- . cer vers la droite en repoussant le plateau d'entraînement 169a et le disque 170 vers la droite jusqu'à ce que la cuvette 169 soit entraînée par l'intermédiaire de la bague 171 à la vitesse de l'arbre 155. Le crabot 167 tourne ainsi plus rapidement que le disque 166 et le tambour 24 est entraîna à sa vitesse d'essorai'..
Lorsque le tambour 24 tourne avec un effet de balourd, les débattenentsrésultants du tambour et de la cuve, par l'inter- médiaire.de la liaison réalisée entre l'organe de réaction rigide
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100 et l'axe 79 par la la la de ressort 85, font osciller la came 83 dont le lobe 83b se déplace contre le galet suiveur de came 86 sur le levier 87.
La patte 87a du levier 87 est ainsi pressa contre la tige de valve 91a de la valve de fuite 91, Cela étant,
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la pression dans la chambre L22 de la valve à solénolde 112 est diminuée, ce qui diminue 6gal.ete,.,t la pression exercée sur le piston 180 du vérin pneumatique 179 et la fourchette 175 pivote en sens inverses autour du point d'appui 176 pour déplacer par in- termittence la bague 171 le long de l'arbre 155.
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Cette action diminue la pression exercée sur le plateau 169a et sur la surface verticale intérieure de la cuvette 169, et a pour effet de faire patiner l'e.abrayage à commande pneumatique.
Cependant, COJ1..le l'embrayage à cou.lt.:1c1e pneumatique p atine par intermittence, la poulie 27 ne subit pas nécessairement de réduc-
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tion dl vitesse Marquât uaJ...1.l(\p1..f..m' 101ft eN'4fi ao mon 8,Odl'I'A'" tion# d'autres termes, la poulie 27 qui entraîne le tambour 24 tourné? essentielle nent à la vitesse qui a provoqua l'effet de ba- lourd'4sor te que l'action d'équilibrage puisse se poursuivre.
,'p mesure que le balourd est corrigé par l'injection de liquide équilibreur dans le ou les COu1pé1rt1nents appropriés 39, les d Abattements de l'axe 79 par rapport à l'organe de réaction fixe 100 diminuent, avec pour résultat que la patte '7a ce.,,se d'enfoncer la tige de valve 91a pour ouvrir la valve de fuite 91 et la chambre 131 reçoit doac une pression d'air ccupléte,ee qui peraet au tambour 24 de continuer à accélérer jusqu'à ce qu'un nouveau balourd produise les abattements nécessaires pour décom- primer à nouveau par intermittence la chambre 122 par l'inter.'-
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diaire de la valve 91.
Evidenuient, lorsque le cycle d'essorage est achevé, le dispositif de commande d'accélération revient à l'état initialement décrit lorsque le solénoide 128 est d-'sexcité.
L'action du ressort 129 presse alors la so.ipape 126 contre la sur-
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face. 122a, ce qui perMet à leu cha...bre 122 d'être ...ise à l'échappement par In passage 124 et par les 'vents 124b et 119:. La pres-
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.ion d'air accru* provenant du compresseur 113 n'atteint ainsi . pas l'embrayage à commande pneumatique et comme le passage d'antrée 115a est bloquât la pression s'accumule dans le compresseur 113 Jusqu'à ce que sa valve de sûreté s'ouvre.
Comme on le remarquera maintenant, chaque fois que le tambour et la cuve se déplacent vers la gauche sur la Fig.1, la lame de ressert 85 est placée sous tension et oblige l'axe 79 à se déplacer en sens inverse des aiguilles d'une montre par napport au flasque de support 75 pour amener le déflecteur 81 à $ce 9 pour démasquer l'orifice 95b de la lance. D'autre part, lorsque le flasque de support 75 se déplace vers la droite de l'axe vertical central sous l'effet d'un balourd dans le tambour 24, la lame de ressort est comprimée entre l'axe 79 et les surfaces de serrage 100a de l'organe de réaction rigide 100.
Cette action de compres- sion tend à faire flamber ou à plier légèrement la lame de ressort 85 mais cette laxie est cependant capable de faire tourner l'axe 79 dans le sens des aiguilles d'une montre, pour résinier le déflec- teur quoique ce déplacement du déflecteur vers le haut ne soit pas suffisant pour permettre l'infection d'eau dans les comparti- ments équilibreurs qui augmenterait le balourd.
L'interrupteur ou déflecteur 81 se déplace approxiaati'- . vexent de distances égales en sens inverses depuis sa position neutre ou convenablement centrée et exactement en phase avec les déviations du tambour et de la cuve à condition qu'on établisse initialement la relation appropriée entre le plat de l'évidement 79a de l'axe 79 et le déflecteur 81. A cet effet, la buselure 77, lorsqu'elle est installée dans le flasque de support 75 est placé. de façon que son encoche 77a permette au plat 79a de l'axe de fonctionner dans sa position dimensionnelle appropriée.
Lorsque la lame de ressort 85, la rondelle 84 et la came 83 sont fixées en place sur l'évidement plat 79a de l'axe, et que la coopération entre la surface de came 83b et le galet suiveur de carat 86 sol-
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licite par le ressort 89 a placé le plat de l'évidement 79a dans sa position neutre appropriiez le déflecteur 81 est fixe au moyen de la vis 80 sur l'axe. Une certaine dimension est éta- bile à cet effet à la suite de recherches expérimentales et cette dimension localise l'extrémité supérieure du déflecteur ou inter- rupteur 81 par rapport à l'orifice de sortie 95b de la lance 95.
On établit ainsi la relation de phase appropriée entre la position du balourd dans le tambour 24 et le déplacement du déflecteur 81 pour permettre au fluide équilibreur de pénétrer dans les segments collecteurs 45.
Lorsqu'on a trouvé cotte dimension exacte, on bloque le déflecteur à l'aide de la vis 80 dans sa position dimensionnelle par rapport à l'orifice 95b de la lance équilibreur. Ensuite, on règle la valve de fluide 91 dans le flasque de support 75 pour établir une distance appropriée entre la tige de valve 91a et la patte 87a lorsque le galet suiveur de came 86 est centré sur la surface de came 83b de la cama 83 sous la commande du ressort 89. la lame de ressort 85 étant détachée.
Cette dimension assure que la mise à l'échappement ou le patinage de l'embrayage se produise à une déviation légèrement supérieure à la déviation nécessaire pour amorcer l'équilibrage afin ,cornue mentionné plus haut, de maintenir la vitesse de rotation du tambour égale à la vitesse qui a amené l'effet de balourd à produire les déviations nécessaires pour aaorcer l'équilibrage. Lorsque les réglages précités, qui peuvent être faits à l'atelier, ont été apportés, l'appareil complet peut être monté sur la paroi avant 18b de la cuve 18.
A ce moment, il est à remarquer que les surfaces de came ou lobes 83b et 83c de la came 83 sont taillés de manière à en- traîner la patte 87a vers le bas pour des débattements de la cuve 18 de part et d'autre de l'axe vertical central de la machine. Cette sensibilité aux débattements de la cuve de part et d'autre de l'axe vertical central procure un facteur de sécurité très impor-
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tant. Si la machine décrit. ! titre' d'exemple doit être installée et convenablement réglée dans un emplacement permanent de la' machine, il suffit que la patte 87a soit entraînée vers le bas lorsque la cuve se déplace d'un côté seulement de l'axe vert!- cal cemtral et la machine fonctionne convenablement sans vibration. dangereuses.
Si la valve de fuite 91 est sensible aux débatte- ments de la cuve d'un côté de l'axe vertical seulement et que la machine est déplacée sans détacher la lame de ressort 85 de l'organe de réaction rigide 100, un état de vibrations graves pouf se pro- duire. Si la pente du plancher dans le nouvel emplacement est différente de la pente de l'emplacement précédent, la cuve 18 se déplace légèrement par rapport à la structure de base43 et l'axe 79 tourne. Le déflecteur 81 et la came 83, en supposa '; que la lame de ressort 85 n'a pas été détachée, ne sont pas dans leur position neutre appropriée.
La patte 87a, en supposant qu'elle se déplace vers le bas avec les mouvements ou les débattissent de la cuve d'un côté seulement de l'axe vertical de la machine, est alors trop proche ou trop éloignée de la tige 91a dans sa nouvelle position neutre. Si elle est trop proche, le dispositif paeuma- tique est mis à l'échappement par des débattements inférieurs à la normale et il est impossible pour le tambour d'accélérer norma- lement.
Si elle est trop éloignée, on obtient un état nécessitant des débattements de la cuve très importants avant que la patte 87a actionnne la tige 91a pour ouvrir la valve 91 afin d'arrêter' , l'accélération du balourd dans le tambour 24. Ces débattements peuvent être suffisaient importants pour faire voyager la machine ou même pour la culbuter.
Ceci est complètement éliminé dans la machine de l'invention en taillant la came 83 de manière qu'elle comporte un lobe 83b et un lobe 83c qui entraînent la patte 87a vers le bas pour des débattements de la cuve 187a de chaque côté de l'axe vertical central. Ainsi, si on déplace la machine sans détacher l'organe 85 et qu'on dérange la position neutre de la
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came 83, la patte 87a actionne toujours la valve 91 pour arrêter l'accélération du tambour pour des débattements de la cuve d'un côté de l'axe vertical central de la machine inférieurs à ceux qui sont normalement nécessaires pour actionner la valve 91. Cet état correspond à l'état "trop proche- qu'on vient de décrire.
L'état de vibration dangereux a donc été éliminé, mais avant que la machine ne puisse fonctionner convenablement, il est nécessaire de détacher l'organe 85 pour permettre au ressort 89 de ramener le déflecteur 81 et la came 83 à leur position neutre appropriée.
Evidemment, l'organe 85 doit toujours être détaché lorsque la machim est déplacée vers un nouvel emplacement.
La présente invention permet de surmonter rapidement et efficacement un effet de balourd et, grâce au dispositif d'échappe- ment, un contrôle précis est maintenu sur l'accélération du tam- bour 24, de sorte que le tambour tourne non seulement à une vitesse considérablement plus élevée que celle qui a amené l'effet de balourd à produire les débattements nécessaires pour d'clencher l'équilibrage! par injection d'eau, mais également, en n'actionnant pas le dispositif de mise à l'échappement aux mêmes débattements., résultant du balourd, la vitesse de rotation du tambour n'est pas ramenée à une valeur telle que le dispositif équilibreur à eau soit rendu inefficace.
Diverses modifications peuvent être évidemment apportées à la construction décrite sans sortir du cadre de la présente?! invention.