BE570019A - - Google Patents

Description

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   La présente invention a pour but d'accélérer le travail au tour en ce sens qu'il est possible de transformer n'importe quel tour à volonté en un tour automatique. La tourelle-revolver conforme à cette invention est conque de façon à pouvoir être montée sans peine sur la poupée mobile, ce qui transforme n'import' quel tour en quelque sorte en un tour semi-automatique. 



   Sur la tourelle-revolver se trouve un plateau de rotation circulaire, sur lequel il est possible de serrer au maximum six outils différents, par exemple des forets hélicoïdaux, diverses fraises à profiler,des outils à fileter, des tarauds,etc. On fixe la tourelle-revolver à l'aide du cône normal sur la poupée mobile, de sorte qu'après chaque opération d'usinage, il est possible de déplacer la tourelle-revolver en même temps que la poupée mobile sur le banc du tour. Le plateau-porte-outils circulaire tourne autour de son axe, de sorte qu'il amène toujours l'outil désiré à sa nouvelle position de travail, exigée d'après l'opération à effectuer. 



   Pour procéder au tournage cônique et au filetage conique, on se sert de la réglette de guidage, qui est montée sur un ou plusieurs sièges qui sont fixes. Lorsque le support est entraîné par la vis-mère, la réglette de guidage dirige le support à chariots croisés avec les outils pour exécuter l'usinage ou pour tailler le filetage. 



   L'usinage nécessaire de la matière du côté opposé, c'est-à-dire de la partie qui se trouve entre les mâchoires du mandrin de serrage, peut être effec- tué par la broche principale creuse. De cette manière il est possible de percer des trous du côté opposé ou de tailler des filetages avec les tarauds. 



   L'avantage de la nouvelle invention, sur les machines qui existaient précédemment, est le suivant: 
1. La tourelle-revolver peut être montée sur n'importe quelle poupée mobile à l'aide du cône normal. 



   2. La réglette de guidage est reliée au support à chariots croisés, à l'aide duquel on exécute le tournage cônique et le filetage   cônique,   et que l'on utilise également pour le tournage de profilage. 



   3. L'invention permet l'usinage de la partie de la pièce qui se trou- ve entre les mâchoires du mandrin de serrage. 



   Le fonctionnement de la tourelle-revolver est expliqué par le plan ci-joint. Les plans 1 et 2 représentent la tourelle-revolver (20) avec ses diver- ses pièces. Le plateau porte-outils est pourvu au bord de quatre trous (24) (sièges des outils), mais le nombre de trous peut varier entre 2 et 6. Le plateau porte-outils (23) tourne autour de son axe (26). 



   La fig. B représente le plateau porte-outils (23), les dents d'entraî- nement (50), et l'axe (26). Le levier d'excentrique (21) s'appuie contre la sur- face semi-cônique (27). La traction du levier d'excentrique vers soi (21) bloque le plateau porte-outilsLorsqu'on déplace le levier dans le sens opposé, le pla- teau porte-outils se débloque, de sorte qu'il tourne et est   amené   la position de travail suivante: 
Pour placer l'outil suivant à sa position de travail, il existe un mécanisme auxiliaire qui se trouve sur le plateau porte-outils (23) et l'axe (26) ce que montre la fig. E du plan 2. A chaque logement d'outil correspond une dent (50). L'axe (26) est pourvu.d'une rainure (51), dans laquelle se trouve le levier à cran (60 et 56), fig. e. 



   Lorsque l'on déplace le levier (21) dans le sens de la flèche (30), le levier à cran se déplace dans le même sens jusqu'à la dent suivante ( les dents sont représentées   toutes   par le numéro 50). Pendant le déplacement d'une dent à l'autre, le levier à cran remonte sur le flanc de la dent (52) et oscille autour de la broche (53) (ou tourne). Du fait que le levier à cran est remonté sur le 

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 sommet de la dent (50), mais qu'il est nécessaire qu'il saisisse cette même dent, il a été prévu un boulon (54) et un ressort (55), montés dans l'axe (26), et ce- ci du côté opposé de l'axe de rotation (d'oscillation) de la dent utilisée momen- tanément, il en résulte que le boulon (54) avec le ressort (55) forcent le levier à cran de saisir la dent correspondante pendant la rotation autour de la broche (53).

   L'axe (26) avec le boulon (54) et le ressort (55) sont représentés sur la fig. H. 



   Lorsqu'on déplace le levier en direction opposée de la flèche'(30) qui a provoqué l'enclenchement du levier à cran qui fait tourner le plateau (23),   c.â.d.   que le nouvel outil se place à la nouvelle position de travail, le plateau porte-outils (23) se déplace jusqu'à l'outil suivant nécessaire, c.à.d. jusqu'à ce que la vis de   réglage   (28) ne repose pas sur la plaque de glissement (29). 



   Le levier à cran se compose d'une pièce d'appui auxiliaire (56) qui tourne sur la vis (57), tandis que le ressort (58) assure le serrage des deux pièces et du levier  '(60);   ces pièces présentent entr'elles un intervalle en rai- son de l'opération suivante,   c.à.d.   pour fixer le plateau porte-outils (23). 



  La deuxième partie du levier (60) se trouve dans la rainure (51) c.à.d. dans l'axe (26). Lorsqu'on continue de déplacer le levier (21) dans le même sens, il se produit une pression à l'aide du levier de serrage des   dents   qui presse sur la face de la dent de façon à faire tourner le plateau porte-outils (23), qui est déjà parvenu précédemment à la position déterminée. En poursuivant la rota- tion du levier (21), le plateau porte-outils se bloque. Le serrage plus ou moins fort du plateau porte-outils à la position de travail voulue se fait à l'aide du levier (21), qui est excentrique, de façon que le levier tourne autour de son axe dans le sens longitudinal. 



   La partie du levier (21) qui passe au travers de l'axe (26) est tail- lée excentriquement. Pour amener un nouvel outil à la position de travail, nous devons tourner (glisser) le levier (21) dans le sens de la flèche (30), et la ro- tation simultanée du plateau porte-outils (23) dans le même sens est provoquée par la dent (61) reproduite sur la fig. (G). 



   Pour centrer exactement l'outil au centre de l'axe de la pointe de la poupée mobile, on utilise la vis de réglage (28) qui se trouve sur la plaque de glissement (29). Le mouvement du levier (21) dans le sens de la flèche (30), le plateau de glissement (29) glisse dans le sens de la flèche (31), dans la mesure où la vis de règlage (28) peut se déplacer, ainsi que le montre la fige A avec la flèche (32), et ce n'est   qu'à   ce moment que le plateau porte-outils (23) est libre, et peut adopter une nouvelle position de travail. Par le mouvement du pla- teau porte-outils (23) pour l'outil que l'on désire utiliser, on attire le levier (21) vers soi, dans le sens opposé de la flèche (30) et la plaque de glissement attire le ressort (33) qui ferme le passage du plateau porte-outils, tandis que la vis de réglage (28) se pose sur la plaque de glissement (29).

   Lorsqu'on conti- nue de déplacer le levier (21) le plateau porte-outils (23) se bloque, de sorte que l'outil peut   être   utilisé. 



   La fig. D montre le mécanisme du frein. Le levier (22) est raccordé au mécanisme intérieur en deux points (34 et 35) au moyen d'une fente. Dans la fente (34) se trouve la pièce (36) qui est soumise à la compression du ressort (37), qu'il est possible de régler au moyen de la vis (38). Ce mécanisme est des- tiné à maintenir le levier à sa position déterminée. Dans la fente (35) se trouve un boulon à gradins (39). Par le mouvement du levier (22) à sa position, celui-ci déplace le boulon à gradins (39) vers la droite, où il s'engage dans la douille de l'outil (40), ce qui provoque le freinage, ainsi que le montre la fig. D. 



   La même figure représente l'outil de coupe   (41)   avec le support (42), qui repose sur la douille (40), qui se déplace librement dans son logement, et qui est pourvue   d'une   rainure annulaire (44) qui s'engage dans la vis (45). La vis (45) est destinée à la fixation de la douille (40). Le porte-outil (42) est 

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 pourvu d'une rainure (46), dans laquelle se déplace un boulon (47), celui-ci limi- te le mouvement de translation du porte-outil, de sorte que la poupée reste immo- bile. 



   Au moyen de la broche (48), la douille (40) est reliée au porte-outil (42), de sorte que la liaison simple de la douille et du porte-outil est ainsi réa lisée. Ceci est nécessaire en particulier pour le travail avec la fraise à profi- ler, ou suivant les besoins avec les tarauds, etc. Le porte-outils (42) fixé avec la douille (40) par la broche (48) offre plusieurs possibilités de travail. Si l' on travaille avec un outil de coupe, le porte-outils peut tourner dans son logemen et l'outil de coupe est verrouillé par le frein, ou suivant les besoins un autre outil quelconque est verrouillé avec la vis (45). 



   Chaque outil peut être monté dans l'un ou l'autre des 2 à 6 logements (24) prévus sur le plateau porte-outils. Lorsqu'on monte l'outil dans le logement (24), la pièce exige parfois la fixation de l'outil nécessaire, ainsi que le mon- tre l'exemple du porte-outil représenté sur la fig. b. 



     PLAN 1.   Sur le chariot du tour (12) se trouve la poupée mobile (25) sur laquelle on fixe à l'aide, du cône normal la tourelle-revolver (20). La tourel- le-revolver (20) est pourvue de deux leviers (21 et 22) et d'un plateau porte- outils circulaire (23). Le levier (21) est destiné à passer d'un outil à l'autre, à tourner le plateau porte-outils et à bloquer le plateau porte-outils sur lequel sont serrés tous les outils. Le levier (22) est destiné à fixer la position de l'outil nécessaire. On prend par exemple le taraud (49) fixé sur le plateau (23), qui tourne librement sur son axe. 



  Pour le filetage d'une vis, on utilise le levier (22), qui sert à freiner l'outil de coupe (49) lorsqu'on l'utilise. Lorsque le taraud a taillé le filet sur une longueur suffisante, on desserre l'outil au moyen du levier (22), de sorte qu'il cesse momentanément de tailler, parce qu'il tourne librement dans son logement. 



  On arrête ensuite la machine et on la remet en marche en direction opposée, on tourne une fois de plus le levier (22) pour serrer l'outil de coupe et celui-ci se déroule automatiquement du filetage. 



   Pour ces opérations on peut utiliser également la cage de filière automatique, de façon à éviter les nombreux changements de positions de la machine Tous les outils existants tournent dans leurs logements et peuvent être freinés avec le levier (22) et être bloqués dans leur logement, le processus est le même que lorsque les filets sont taillés avec l'outil de coupe (39). 



   Le fonctionnement du dispositif pour le tournage cônique et le fileta- ge conique est décrit sur le plan ci-joint: Le plan 1 représente la partie supé- rieure du tour avec le support (1) sur lequel se trouve la réglette de guidage placée dans la rainure (3). La rainure (3) se trouve sur l'axe (4) fixé sur la plaque (5) et la plaque elle-même est fixée sur le support (7) et peut se dépla- cer le long du support, tandis qu'on peut le fixer au moyen de la vis (8). Le réglage du tournage conique se fait à l'aide de la réglette de guidage (2), étant donné que celle-ci s'incline plus ou moins dans le sens horizontal par rapport à l'axe de la machine. La réglette de guidage (2) est reliée des deux côtés au moyen de 2 barres (9) qui sont mobiles dans leurs rainures (10), tandis qu'il est possible de le fixer sur le chariot (12) avec la vis (11).

   Sur le support (7) se trouve le support à chariot croisé (13) sur lequel est monté l'outil pour le tournage. 



   La   figo   A du plan 1 représente le dispositif pour l'accélération du tournage de cônes courts. Ce dispositif est monté au-dessous du mandrin de serra- ge sur le chariot au moyen de 2 vis qui traversent la fente(62). 



   La plaque (63) est fixée pour le chariot du tour, et sur cette plaque se trouve un logement mobile (64) fixé sur la plaque (63) au moyen d'une queue d'aronde (65). Sur le logement mobile (64) se trouve une courte réglette de guida- ge (66) qui tourne sur la vis (67). Lorsque la vis (67) est serrée à fond, la 

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 réglette de guidage est fixe. Pour obtenir l'angle désiré pour le tournage côni- que ou pour le filetage conique, on utilise la courte réglette de guidage, dont l'angle est indiqué sur la plaque semi-circulaire (68). La vis (69) sert à fixer la réglette de guidage courte absolument à la position exacte. La réglette de guidage courte est fixée sur le support de la même manière sur la longue réglette de guidage (2). 



   Le fonctionnement du dispositif pour l'usinage en sens opposé par la broche principale est représenté sur le plan ci-joint. Plan 1. Le plan 1 représen- te la broche principale (14) qui est creuse et dans laquelle est placée la tige (15) qui est reliée au levier (16). A l'aide du levier (16), on appuie sur la tige (15) sur laquelle est fixé l'outil, par exemple le foret hélicoïdal (17) ou la fraise à profiler, etc... utilisé pour usiner la partie de la pièce qui est serrée entre les mâchoires du mandrin de serrage (18). Le guidage précis des outils (17) est assuré par la douille (19) qui est fixée sur l'axe (14) à l'aide du cône nor- mal. Le mandrin de serrage est vissé sur la broche principale. 



   REVENDICATIONS. 



   1. La tourelle-revolver pour la semi-automatisation du tour se carac- térise par le fait qu'elle est montée sur la poupée mobile à l'aide du cône normal (25) et qu'elle est pourvue de deux à six logements d'outils (24) permettant le serrage de divers outils.

Claims (1)

1. 2. La tourelle-revolver conforme à la revendication 1 caractérisée par le fait qu'elle est pourvue du plateau porte-outils (23) avec les différents outils, le plateau (23) tourne autour de son axe (25) tandis que le levier (21) traverse l'axe (26) et que l'autre partie du levier traverse l'axe (26) de façon que cette partie du levier fasse glisser en tournant la plaque de glissement (29) créant ainsi la place pour le passage de la vis de réglage (28).

   3. La tourelle-revolver, conforme aux revendications 1 et 2, caracté- risée par le fait que chaque outil peut tourner librement dans son logement ou être verrouillé, et que le freinage se fait au moyen d'un boulon à gradins (39) qui se déplace à l'aide du levier (22). Ce dernier est pourvu de la fente (35) dans laquelle se trouve le boulon à gradins (39).

   4. La tourelle-revolver, conforme aux revendications 1-3, caractérisée par le fait que le porte-outils (42) est pourvu d'une rainure (46) dans laquelle glisse la clavette (47), permettant la rotation du porte-outils, et limitant le mouvement de translation de ce dernier.

   5. Tourelle-revolver d'après les revendications 1 à 4, caractérisée par le fait que le mouvement axial est empêché par la vis (45) qui se trouve dans la rainure annulaire (44) de la douille (40). Dans ce cas, la vis (45) est desti- née en même temps à empêcher la rotation de la douille (40) dans son logement sui- vant les besoins.

   6. La tourelle-revolver, d'après les revendications 1 à 5, caractérisée par le fait que pour empêcher le mouvement axial du porte-outils (42) avec la douille (40), il est prévu la broche (48) pour utiliser divers outils suivant les besoins, par exemple l'outil de coupe, de sorte que le porte-outils (42) est relié à la douille (40) et est bloqué dans le cas où la poupée mobile et l'outil tra- vaillent sans mouvement axial, dans ce cas les pièces (40, 42) restent bloquées et forment un ensemble soit par la vis (45), soit à l'aide du frein à main (22).

   7. La tourelle-revolver conforme aux revendications 1 à 6, caractérisée par le fait que la position déterminée du levier (22) est assurée par la fente (34' dans laquelle se trouve le boulon (36) soumis à la compression du ressort (34) et qui est fixé à l'aide de la vis de réglage (38).

   8. La tourelle-revolver conforme aux revendications 1 à 7, caractérisé' par le fait qu'à l'aide du boulon (54) avec le ressort (55) qui se trouvent dans <Desc/Clms Page number 5> la fente (51), c'est-à-dire dans la fente de l'axe (26), on force le levier de serrage des dents (56) à saisir par son mouvement de rotation d'oscillation la dent correspondante sur la broche (53).

   9. La tourelle-revolver conforme aux revendications 1 à 8, caractéris< par le fait que la pièce d'appui (56) tourne sur la vis (57) autour de laquelle est enroulé le ressort (58), et qu'il adopte la position correspondante à laquel- le le ressort (58) exerce la pression correspondante sur le plateau porte-outils, et que lorsque ce plateau se trouve à la position voulue, il la maintient à cette position aussi longtemps qu'il n'est pas bloqué par le levier (22).

   10. La tourelle-revolver conforme aux revendications 1 à 9, caracté- risée par le fait que le plateau porte-outils (23) arrive au cours de sa rotation au système de blocage (61) et le glisse dans son logement, de sorte que, lorsque le plateau porte-outils (23) dépasse le système de blocage (61), celui-ci est ra- mené à sa position antérieure par son ressort, et sert par conséquent à empêcher la rotation du plateau en sens opposé et ceci lorsque le levier (21) est attiré ou glissé en direction de la flèche (30).

   11. Le dispositif pour le tournage cônique et le filetage conique caractérisé par le fait qu'il se compose du support (1) sur lequel se trouve la réglette de guidage (2) cette dernière étant placée dans la rainure (3,) qui glisse au-dessous de la réglette, tandis que la rainure (3) se trouve sur le pla- teau (5) qui peut se déplacer suivant les besoins sur le support (7) et qu'il est possible de fixer à la position voulue au moyen de la vis (8). Sur le plateau (5) est monté le logement (6) avec la rainure (3) qui se trouve à son tour sur l'axe (4) autour duquel tourne l'ensemble du logemento 12. Le dispositif conforme à la revendication 11, caractérisé par le fait qu'il comporte deux barres (9) qui peuvent se déplacer dans leur rainure (10) et qui peuvent être fixées par le vis (11) sur les prismes (12) du banc.

   Sur ces barres (9) est montée la réglette de guidage (2) qui peut être réglée à l'aide de ces barres de façon à obtenir l'angle désiré du cône.

   130 Un dispositif conforme aux revendications 11 et 12, caractérisé par le fait qu'il comporte une réglette courte (66) qui tourne sur la vis (67), de sorte que la plaque (62) est reliée avec la rainure au logement supérieur à l'aide de la queue d'aronde.

   14. Le dispositif conforme aux revendications 11 à 13 caractérisé par le fait que le logement mobile (64), glisse sur la plaque inférieure, dont l'angle sur la plaque est semi-circulaire.

   15. Le dispositif conforme aux revendications 11 à 14, caractérisé par le fait que la réglette de guidage peut être fixée à la position voulue par vis (67) qui relie en même temps le plateau (63) au logement (64) et aux réglet- tes (66 et 69).

   16. Le dispositif pour l'usinage du côté opposé au moyen de la broche principale du tour, caractérisé par le fait qu'une douille (19) est montée sur la broche avec ouverture cylindrique, au moyen d'un cône normal. L'ouverture cylindrique est destinée à guider les outils, tandis que les guidages cylindri- ques peuvent être raccourcis suivant la pièce à usiner.

   17. Le dispositif conforme à la revendication 16, caractérisé par le fait qu'il comporte la tige (15) à laquelle est monté le porte-outils. Cette tige (15) est reliée au levier (16), avec le levier (16) on exerce une pression sur la pièce au cours du travail.