BE560822A - - Google Patents

Description

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   L'objet de la présente invention est un procédé pour la fabrica- tion de plaques stratifiées, destinées en particulier au revêtement de murs, de tables et autres, et une plaque stratifiée fabriquée par ce procédé. 



   Les plaques de revêtements pour murs, etc., sont fabriquées jus- qu'à présent, entre autres procédés, par l'application sur un support, tel que plaques de fibres de bois, plaques d'amiante-ciment (Eternite) ou au- tres, de diverses couches colorées de vernis à base de résines synthétiques, de préférence recouvertes d'une dernière couche de vernis de résine synthé- tique incolore appliquée par pulvérisation,, L'application de ces couches de vernis de résine synthétique à recuire est faite le plus souvent au ra- cloir et au pistolet ou à la machine automatique à   pulvérisero   Chaque cou- che de résine synthétique est soumise à un recuit à deux ou trois étages en étuve sèche ou par rayonnement infra-rouge.

   Plus récemment on a employé pour certaines applications un vernis dit "polyester" au lieu des vernis à base de résines synthétiques. Ces traitements de surface des plaques de re- vêtement n'ont cependant qu'une faible résistance chimique et leur résistan- ce mécanique au frottement, surtout, leur résistance aux égratignures et aux chocs, ainsi que leur résistance à la chaleur, sont insuffisantes, Sur un revêtement de table ainsi traité, par exemple, des cigarettes allumées font des taches de brûlures indélébileso 
Un autre procédé connu pour la fabrication de plaques consiste à souder à la presse plusieurs feuilles de papier imprégnées de résine synthé- tique pour constituer un   "stratifié"o   Le plus souvent, la feuille de base est un papier à longues fibres ("papier Kraft") imprégné de résine phénoli- que,

   la feuille de papier intermédiaire est soit unicolore ou décorée d'im- pressions diverses, et la feuille de revêtement de surface est transparente. 



  Ce procédé a cependant des inconvénients : d'une part le coût des papiers imprégnés actuellement utilisés est élevé, et d'autre part les couleurs, les motifs et les dimensions disponibles sont en nombre limité. La limitation de dimension est due en premier lieu aux papiers imprimés utilisés dont la largeur ne peut dépasser celle des rouleaux d'imprimerie. Les difficultés d'impression sont en effet d'autant plus considérables que le rouleau est plus largeo En outre, l'épaisseur de ces plaques n'est que d'environ 1,5 mm. et elles manquent de rigidité, si bien qu'elles doivent encore être collées sur un support rigide. 



   On fabrique également des plaques de revêtement dont le support est une plaque de fibres de bois agglomérées, sur laquelle on applique à la presse les feuilles de papier imprimées imprégnées de plastifiant. Les in- convénients de ces plaques sont les mêmes que ceux des revêtements précé- dents, à l'exception de la rigidité. 



   En outre, toutes les plaques de revêtement connues jusqu'à présent présentent l'inconvénient d'une résistance insuffisante aux effets de la chaleur appliquée localement. Si, par exemple, on pose sur une table ainsi revêtue une poêle contenant de l'huile bouillante, l'échauffement peut cau- ser des soufflures entre les couches stratifiées ainsi qu'à l'interface du vernis et de son support à l'intérieur de chaque couche. Le plus souvent on constate aussi une attiration de la couleur du papier imprimé. 



   Un autre inconvénient propre à certaines plaques de revêtement connues et disponibles dans le commerce est le danger de formation de fis- sures capillaires dans le revêtement de surface, sous   l'influence   des condi- tions atmosphériques. Cette détérioration est due, en partie à une adhéren- ce insuffisante de la pellicule de protection sur la couche inférieure, et en partie aux contraintes développées dans la plaque terminée.

   On a déjà cherché à éviter cette détérioration en introduisant des fibres cellulosi- ques dans la pellicule transparenteo On a aussi proposé d'incorporer des 

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 fibres de verre, par malaxage avec la résine synthétique, mais on n'a obte- nu qu'un succès partielet on a rencontré des difficultés dans l'application du procédé si bien que la fabrication s'accompagne d'un important rebut, sans que l'on ait pu supprimer complètement les inconvénients connus. 



   Le procédé de fabrication de plaques objet de l'invention, est ca- ractérisé par le fait qu'au moins une couche de vernis plastique est appli- quée sur un support, puis soumise à une cuisson, après quoi le support ain- si traité est recouvert - par application à la presse à chaud - d'une feuille imprégnée de résine synthétique formant liaison continue jusqu'au support et constituant une pellicule de protection translucide et non sujette au fissurage. 



   Objet de l'invention est également la plaque de revêtement fabri- quée par ce procédé. 



   Par vernis plastique on entend une solution colorée de résine   syn-   thétique constituée de glycérophtalates, d'aminoplastes ou d'un mélange de ces matières. 



   Le procédé objet de l'invention est exposé plus en détail ci-des- sous. 



   Sur une plaque support, on applique un vernis plastique formant les motifs désirés, par exemple au pistolet et au besoin en deux ou plusieurs couches. Ce vernis est ensuite soumis à une cuisson qui assure son adhéren- ce au support, après quoi on applique sur le support ainsi traité, à la pres- se à chaud, une feuille, par exemple une feuille de papier, imprégnée de ré- sine de mélamine et d'une charge. Cette feuille, qui sera désignée désor- mais' "revêtement à chaud" forme après ce traitement une pellicule protectri- ce qui est translucide, de telle sorte que les couleurs et motifs des cou- ches de vernis cuit sont mis en valeur sans souillure possible.

   Ce revête- ment est en outre d'une dureté superficielle telle que sa résistance mécani- que répond à toutes les exigences possibles, c'est-à-dire qu'il est   absolu-   ment insensible aux égratignures, aux chocs des objets durs, au contact de cigarettes allumées, etc.. la formation de soufflures entre les différentes couches et la décoloration sont également exclues, même en cas d'exposition prolongée à la chaleur. 



   On peut employer comme support des plaques massives à base de fi- bres de bois, de copeaux agglomérés, de fibres de verre, de matière plasti- que, de cellulose et même de la tôle métallique. Les vernis plastiques uti- lisés peuvent être en particulier des résines synthétiques d'alkydes, des résines à base d'urée ou un mélange de ces deux dernières, auxquelles on peut aussi ajouter des résines à base de mélamine. Ces vernis peuvent être appliqués sur le support par pulvérisation, par impression au rouleau ou, par exemple, au moyen d'un racloir (sérigraphie - procédé dit "Silksireen"). 



  La cuisson de ces revêtements colorés peut se faire dans un four à convec- tion, par rayonnement infra-rouge ou encore par chauffage à haute fréquence. 



  La feuille constituant la pellicule transparente de protection peut être constituée de fibres de papier, de fibres textiles, de fibres de verre ou de fibres minérales et en cas de besoin peut être imprégnée non seulement de résine de mélamine mais aussi de résines synthétiques thermo-durcissantes. 



   Pour prévenir la formation de fissures on peut prévoir d'une part l'incorporation dans le mélange d'une charge transparente formant armature et de structure en paillettes, telle que des particules de mica. On peut encore améliorer les résultats par l'emploi de charges à propriétés tensio- actives tel que le gel de silice. Un traitement préalable -de l'armature du revêtement à chaud au moyen de substances adoucissantes emplissant par ca- 

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 pillarité, et au moyen d'hydrates de carbone est également un moyen qui peut contribuer utilement à éliminer du revêtement à chaud des contraintes géné- ratrices de fissures.

   On a trouvé en outre que le danger de formation de fissures par suite de contraintes dans le revêtement à chaud était sensible- ment diminué lorsque la couche pigmentée et imprimée contient des charges dont la structure entraîne une certaine rugosité de surface permettant une adhérence maximum du revêtement à   chaudo   
On peut donner du procédé objet de l'invention quelques exemples détaillés : 
Exemple N  I. 



   Sur une plaque support en fibre d'amiante, préalablement dépolie à la meule et à la toile émeri, on applique, par exemple par pulvérisation au pistolet, une couche d'apprêt de vernis à base de résine synthétique, c'est-à-dire une solution colorée de glycérophtalates et d'aminoplastes. 



  Ce vernis est traité en étuve,sèche à environ 140 C pendant 45 minutes envi- ron de façon à assurer son adhérence sur le supporto Après ce traitement, la plaque ainsi traitée est meulée à nouveau d'une part pour éliminer les fibres dépassant irrégulièrement à la surface, et d'autre part pour obtenir la surface rugueuse régulière et la porosité nécessaires pour l'opération suivante. La deuxième opération consiste à faire passer le support ainsi traité, sur un convoyeur sans fin, par la pulvérisation automatique dans la- quelle plusieurs pistolets successifs, à faible pression, environ 0,4 at. appliquent de nouveau une peinture à base de résine synthétique. La décora- tion voulu est obtenue par le déplacement des pistolets qui sont mobiles et peuvent être réglés de façon à donner à volonté une décoration donnée.

   Cha- que pistolet peut appliquer une couleur différente, de telle sorte que les applications successives des gouttelettes de peinture des différentes cou- leurs constituent le motif de décoration voulu. La plaque ainsi traitée passe alors pour la seconde fois dans une étuve de cuisson où elle est trai- tée environ une heure à 140-150 C. Elle passe ensuite dans une chambre de stabilisation atmosphérique, jusqu'à ce qu'elle ait atteint un degré hygro- métrique de 7 à 8%.

   Après cette stabilisation la plaque est de nouveau meu- lée, comme après la première cuisson, ou rendue rugueuse à la brosse métal-   liquee   Après quoi on applique sur cette plaque, à la presse, à une tempéra- ture de 150 C et une pression d'environ 100   kg/cm2,   pendant 20 minutes une feuille imprégnée de résine de mélamine et de poudre de mica, par exemple une feuille de papier; elle est ensuite refroidie. La plaque de la presse détermine le fini de surface de la plaque de revêtement; elle peut être à surface "polie-miroir", mate ou verniculée.

   Sous l'effet de la pression et de la chaleur, la résine de mélamine pénètre, à travers les couches de ver- nis poreux, dont on peut d'ailleurs régler la porosité par des substances d'addition à point d'ébullition déterminé, jusqu'au support et relie ainsi celui-ci avec l'armature décrite plus haut (vernis à base de résine synthé- tique avec additions ad.équates) pour former un bloc compact sans risque de fissurage.

   Ce revêtement à chaud forme ainsi une feuille protectrice qui, d'une part, est absolument transparente, si bien que les couleurs et décora- tions des couches colorées sont mises en valeur sans souillure possible, et d'autre part est d'une dureté de surface telle que sa résistance mécanique satisfait entièrement à toutes les exigences, c'est-à-dire   qu'il   est absolu- ment insensible aux égratignures, aux chocs d'objets durs ainsi qu'au con- tact de cigarettes ou de cigares allumés, etco La formation de soufflures entre les différentes couches est également impossible,de même qu'une alté- ration des couleurs, même en cas d'exposition prolongés à la chaleur, du fait de la liaison intégrale en profondeur, qui exclut les inclusions gazeu- ses.

   Il est évident que pour des applications particulières, par exemple dans l'industrie électrique, on peut appliquer à la presse, au dos du sup- 

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 port, une feuille de papier à longues fibres ("papier- Kraft") imprégnée de résine phénolique ("feuille de presspahn"). 



   Exemple N  2.    



  Le processus de fabrication est le même que pour l'exemple 1, mais le vernis à base de résine synthétique, une solution de glycérophtala-   te et d'aminoplaste, reçoit en plus des pigments, une charge de poudre de pierre ponce, de poudre d'amiante, de gel de silice ou autres, dans la pro- portion de 10 à   50 %   du poids de la résine synthétique, afin de rendre la surface plus rugueuse. Cette rugosité augmente la surface de contact et améliore l'adhérence. Dans ce cas la surface colorée recuite n'a pas besoin d'être meulée. 



   Exemple N  3. 



   Le processus est ici aussi identique aux exemples 1 et 2. La so- lution de résine synthétique nécessaire pour le revêtement à chaud est char- gée, ayant l'imprégnation du papier, de 5 à 25   %   de poids de poudre de mica   commercial   et malaxée dans un moulin broyeur. 



   Exemple N  4. 



   Correspond à l'exemple N  3, mais la résine synthétique de la cou- che de revêtement, avant l'imprégnation du papier, est mélangée de 5 à 30   %   de son poids de gel de silice, et malaxée au moulin broyeur. 



   Exemple N  5. 



   L'armature du revêtement à chaud est, au moment de sa préparation, soumise à un traitement préalable par imprégnation avec du Sorbitol, qui pé- nètre par capillarité entre les fibres de la feuille (papier, textile, verre ou minéral), améliore la résistance des fibres aux contraintes après le pas- sage à la presse à chaud. 



   Les avantages des plaques de revêtement   faiquées   par ce procédé sont les suivants : 
Les caractéristiques mécaniques de la plaque sont excellentes ; elle résiste aux égratignures, aux chocs et aux attaques chimiques. La for- mation de fissures capillaires par le vieillissement du revêtement de surfa- ce est absolument exclue. Par rapport à d'autres plaques de revêtement con- nues et utilisées, la plaque de revêtement objet de l'invention, possède une résistance à la chaleur plus élevée qui lui permet de ne pas être endommagée, même si l'on y pose des consoles chauffées pendant un certain temps,et de ne pas présenter de soufflures ni d'altération des couleurs.

   La liaison et le soudage du revêtement traversant les couches de vernis de décoration pour atteindre le support, il ne reste aucun pore ouvert ni inclusion gazeuse qui puisse se dilater durant l'usage sous l'effet d'un quelconque chauffage lo- cal et entraîne la formation de soufflures ou causer une décohésion des cou- ches plastiques. Le mélange de charges tonnées à la résine synthétique per- met d'obtenir des caractéristiques d'adhérence de ces couches entre elles, inconnues jusqu'à présent. Un avantage supplémentaire est le fait que la dimension des plaques n'est plus limitée par la longueur du papier imprimé, mais peut être choisie à volonté sans autre limitation que la surface de la presse à chaud utilisée.

   En outre, le présent procédé permet de réaliser des effets de coloration nouveaux, inconnus jusqu'à présent. 

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Claims (1)

1. REVENDICATIONS. l.- Procédé pour la fabrication de plaques destinées en particulier <Desc/Clms Page number 5> au revêtement de murs, de tables et autres caractérisé par le fait qu'au moins une couche d'un vernis coloré à base de résine synthétique est appli- qué sur un support et soumise à une cuisson, puis est recouverte d'une feuil- le imprégnée de résine synthétique, appliquée à la presse à chaud de façon à réaliser une liaison en profondeur avec le support et à former un revête- ment transparent non sujet au fissurage.

   20- Procédé conforme à la revendication l, caractérisé par le fait que l'on emploie comme support une plaque de fibre de bois agglomérés.

   30- Procédé conforme à la revendication l, caractérisé par le fait que l'on emploie comme support une plaque de copeaux de bois agglomé- réso 4.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que l'on emploie comme support une plaque de fibres minéraleso 50- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que l'on emploie comme support une plaque de fibres de verreo 60- Procédé conforme à la revendication l, caractérisé par le fait que l'on emploie comme support une plaque de matière plastique thermo- durcissable., 7.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que l'on emploie comme support une plaque à base de cellulose.

   80- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que l'on emploie comme support une plaque de tôle métallique.

   9.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que la couche de résine synthétique appliquée consiste en une solution de résine synthétique colorée à base de glycérophtalates et d'aminoplastes.

   10.- Procédé conforme à la revendication 1, la couche de vernis appliquée étant constituée de résines synthétiques de polymérisation non durcies à chaudo 11.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que la couche de vernis appliquée contient une résine polyester.

   120- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que la couche de vernis appliquée consiste en élastomèreso 130- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que,afin d'éviter la formation de fissures par contraintes et d'amélio- rer l'adhérence entre la couche colorée et le revêtement à chaud9 on ajou- te à la résine synthétique colorée de 5 à 50% de son poids d'une charge de particules de structure feuilletée se superposant comme des écailles pour constituer une armatureo 14.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que le revêtement transparent contient de 5 à 25% du poids de sa rési- ne d'une charge de particules transparentes se superposant comme des écail- les.

   15.- Procédé conforme aux revendications 1, 13 et 14, caractérisé par le fait que les charges sont constituées de poudre de mica, de poudre de pierre ponce, de poudre d'amiante ou autres, la proportion du mélange étant 5 à 25 % de charge par rapport au poids de la résine.

   16.- Procédé conforme aux revendications 1 et 13, caractérisé par le fait que,le vernis coloré à base de résine synthétique reçoit une addi- tion d'une charge tensio-actrive telle que le gel de silice, dans la propor- tion de 5 à 30 % du poids de la résineo <Desc/Clms Page number 6> 17.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que l'on applique plus d'une couche de vernis coloré synthétique et que chaque couche est soumise à une cuissono 18. - Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que le vernis synthétique est appliqué par pulvérisationo 19.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que le vernis synthétique est appliqué au rouleau.

   20.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que le vernis synthétique est appliqué au racloir.

   210- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que le vernis synthétique est appliqué au moyen de pochoirs, 22. - Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que le vernis synthétique est appliqué par un procédé électrostatique.

   23.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que la cuisson du vernis synthétique sur le support est faite en étuve sèche.

   24.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que la cuisson du vernis synthétique sur le support est faite aux rayons infra-rougeso 25. - Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que la cuisson du vernis synthétique est faite au moyen de courant électrique à haute fréquence.

   26.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que le revêtement protecteur transparent est réalisé au moyen d'une feuille de fibres de papier imprégnée de résine synthétique.

   27.- Procédé conforme à la revendication le caractérisé par le fait que le revêtement protecteur transparent est réalisé au moyen d'une feuille imprégnée d'amino-plastes.

   28.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que le revêtement transparent est réalisé au moyen d'une feuille de fibres textiles imprégnée de résine synthétique.

   29.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que le revêtement transparent est réalisé au moyen d'une feuille de fibres de verre imprégnée de résine synthétique.

   30.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que le revêtement transparent est réalisé au moyen d'une feuille de fibres minérales imprégnée de résine synthétique.

   31.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que le revêtement transparent est réalisé au moyen d'une feuille de fibres synthétiques.

   32.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que, dans le but d'éviter le fissurage du revêtement par suite des con- traintes, on introduit dans sa composition des charges tensio-actives telles que du gel de silice, dans la proportion de 5 à 30% du poids de résine.

   13.- Procédé conforme à la revendication 1, caractérisé par le fait que les fibres de l'armature du revêtement à chaud sont soumises, avant d'être imprégnées de résine synthétique, à un traitement préalable de satu- ration capillaire par des hydrates de carbone tels que la sorbite ou le sor- bitol. <Desc/Clms Page number 7>

   34.- Plaques, en particulier plaques de revêtement pour murs, ta- bles et autres, fabriquées selon le procédé conforme à la revendication l.