BE538848A - - Google Patents

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BE538848A
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Landscapes

  • Making Paper Articles (AREA)

Description


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  " MACHINE POUR LA FABRICATION D'ENVELOPPES " 

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La présente invention   est/relative   aux machi- nes pour la fabrication des enveloppes à partir d'une matière se présentant eh rouleau. 



   La technique la plus courante jusqu'à pré- sent, en matière de fabrication d'enveloppes, a été de faire des enveloppes à partir de flans d'enveloppe découpés à l'emporte-pièce dans des piles de feuilles. 



  Les flans sont généralement débités par piles depuis un magasin et ils se prêtent normalement à la fabrica- tion d'enveloppes de la plus haute qualité. Cepen- .dant, le découpage à l'emporte-pièce des enveloppes est une opération coûteuse, qu'on se place au point de vue de la perte de papier ou de la main d'oeuvre utilisée dans la fabrication et la transformation des flans d'enveloppe. 



   Dans un but d'économie, on a proposé d'in- troduire en continu dans une machine à faire les enve- loppes une bande de la matière à traiter, de séparer successivement'un par un de la bande des flans d'enve- loppe en forme de losange et de faire avancer ces flans, dans une direction oblique par rapport à celle de l'alimentation du ruban, vers les dispositifs de transformation. Un tel procédé donne le minimum de perte de papier et de frais de main d'oeuvre. Néan- moins, les machines à alimentation oblique n'ont connu qu'un succès limité parce que, notamment, les envelop- pes ainsi obtenues ont un aspect et une résistance inférieure à ceux des enveloppes fabriquées à partir de flans découpés à l'emporte-pièce. 



   Avec les machines à alimentation oblique, en a l'habitude de faire des encoches dans les flans 

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 d'enveloppe, de rogner la pointe des rabatslatéraux, de rabattre ces derniers vers l'intérieur de manière à ce qu'ils se recouvrent légèrement l'un l'autre, puis de replier sur les rabats latéraux, le rabat de fond après l'avoir gommé. L'enveloppe   qinsi   obtenue peut   être   utilisée, mais présente de graves   inconvé-   nients. 



   L'un de ceux-ci se manifeste au centre du dos de l'enveloppe. Si les rabats latéraux se recou- vrent trop l'un l'autre, la partie extrême du rabat latéral inférieur n'adhère pas et forme un pan libre à l'intérieur de l'enveloppe, leguel peut froisser le contenu ou être'déplacé par lui, ce qui, dans un cas comme dans l'autre, gène le remplissage de   l'envelop-   pe. Par contre, si les extrémités des rabats latéraux ne se rejoignent pas complètement, la zone centrale aura un lauvais aspect sera irrégulière et ne donnera pas satisfaction à l'usage.

   En outre, l'adhésif ap- pliqué au rabat du fond passera sur le corps de l'en- veloppe collant le fond au corps 
De plus, au point où les rabats latéraux'se   recouvrent,l'un   l'autre, ils sont également recouverts par le fond, le rabat dé fermeture et le corps de l'enveloppe, ce qui fait, au centre de celle-ci, un 'total de cinq épaisseurs. Ceci réduit le nombre des enveloppes qui peuvent être rangées dans une boîte de dimensions,données, gène l'empilement et la fermeture mécanique.      



   Un autre inconvénient des flans en losange . 



    Porté. sur   le format et la forme de l'ouverture du dos de l'enveloppe. Les pointes des rabats latéraux étant rognées et ces derniers se chevauchent, les lignes de pliure des rabats latéraux doivent être disposées 

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 vers   l'intérieur   du flan beaucoup plus près de la dia- gonale qui relie la pointe du rabat de fond à la pointe du rabat de fermeture que des pointes (rognées) des rabats latéraux, tandis que les lignes de pliure du rabat   dç4lond   et du rabat supérieur ne doivent être   qu'u@   peu plus près de la diagonale qui relie les pointes des rabats latéraux que des pointes du rabat de fond ou du rabat supérieur (car les pointes du rabat   dépend   et du rabat supérieur ne sont pas rognées).

   Pour une en- veloppe de forme usuelle (beaucoup plus longue que large), on doit utiliser un flan en losange allongé dont les bords supérieur et inférieur font entre eux un angle assez aigu. Dans ces conditions, lorsque l'enveloppe est finie, le bord supérieur des rabats latéraux fait un angle très aigu avec le bord supé- rieur de l'enveloppe et les deux rabats latéraux se rejoignent au-dessus du centre du corps. Il s'ensuit que l'ouverture est triangulaire, n'atteint sa hauteur maximum qu'en un seul point et est d'une hauteur moyen- ne limitée. 



   Dans une demande de brevet des Etats-Unis déposée le 14 juillet   1954   au nom de Monsieur Abraham HERMAN, concurremment avec la présente demande se trouve décrite une enveloppe perfectionnée, fabriquée par une machine à alimentation.oblique offrant les avantages de l'alimentation par ,rouleau mais ne pré- sentant pas les inconvénients exposés ci-dessus. Pour aboutir à ce résultat, le demandeur a apporté certains perfectionnements dans le procédé,de fabrication des enveloppes à partir d'une bande continue. 



   Les pointes des rabats latéraux sont lais- sées intactes, mais la pointe du rabat de fond est rognée. Le rabat de fond est plié de manière à dé- 

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 EMI5.1 
 p.:1 .wor t:L.X1.LL5lc;:uent la dÜ.::;üwÜc: qui relie les pointes dos rabats latéraux du flan et les rabats latéraux sont pliés vers l'intérieur de manière à se trouver au-dessous du rabat de fond, les pointes correspondan- tes tombant un peu en-deça de la diagonale qui relie la pointe du rabat de fond et la pointe du rabat de fermeture.   Grâce   une telle disposition il n'y a plus au maximum que quatre épaisseurs de papier en un point quelconque de l'enveloppe fermée, soit la même épais- seur que pour une enveloppe obtenue à l'emporte- pièce. 



   Le recouvrement des rabats -latéraux étant supprimé, et ,celui des rabats de fond et de fermeture se trouvant augmenté, le flan nécessaire à la confec- tion d'une enveloppe de format donné est réduit en longueur, augmenté en hauteur par rapport à celui uti- lisé avec le procédé antérieur. Comme les enveloppes sont d'habitude plus longues que larges, il en résulte que le flan en losage doit avoir une forme se rappro- chant davantage du carré que précédemment et que les bords des rabats latéraux repliés font des angles plus grands avec les bords supérieur et inférieur du corps. L'ouverture de l'enveloppe est ainsi trapé- zoïdale, et non plus triangulaire et, en raison de l'inclinaison plus accentuée de ses bords latéraux, peut avoir une hauteur moyenne supérieure à celle qu'il est possible d'obtenir autrement. 



   D'autres caractéristiques et avantages résul- teront de la description qui .va suivre. 



   Au dessin annexé, donné uniquement à titre d'exemple : - la figure 1 est une vue schématique en plan montant les dispositifs d'alimentation en bande 

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 continue, de coupe et d'entraînement des flans d'enve- loppe, ainsi que du dispositif de centrage et d'aligne- ment   fpisant   partie d'une machine donnée à titre   d'exem-   ple, et qui tous sont communs à ladite machine et à celle, également décrite à titre d'exemple dans une dernande de brevet des Etats-Unis déposée le 25 mars 1953 ;   - la   figure 2 est une vue en plan d'un flan d'enveloppe, la face interne étant en dessus, avant le pliage des rabats; - la figure   3¯est'une   vue en plan du dos de l'enveloppe finie ;

   - la figure   4   est une   vue partielle   en plan dtune partie de la machine dans laquelle les flans sont encoches, rognés puis disposés à nouveau en posi- tion relative décalée, pour permettre le gommage du rabat de fermeture; - la figure 5 est une vue en plan d'un dis- positif de coupe et d'un certain nombre de galets combinés avec de dispositif; - la figure 5a est une vue en coupe et éléva- tion selon la ligne 5a-5a de la figure 5, dans la di- rection des flèches; - la figure 6 est une coupe verticale lon- gitudinale du dispositif d'entraînement des flans d'enveloppe et d'alignement de la figure 1, à une échelle légèrement plus grande, la section étant faite selon la ligne d'avancement des flans; - la figure 7 est une coupe longitudinale verticale selon la ligne 7-7 de la figure 4, dans la direction des flèches;

   - la figure 8 est une vue en coupe d'une lame de coupe rotative et de son support, à plus 

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 grande échelle du'à la figure 7; - la figure 9 est une coupe verticale trans- versale selon la ligne 9-9 de la figure 7, dans la di- rection des flèches; - la figure 10 est une vue semblable à celle de la figure   1,   mais représentant une variante de ma- chine, dans laquelle la pointe du rabat de fond est ro- gnée pendant que le flan est entraîné par le transpor- teur assurant l'alignement et le centrage; - la figure 11 est une vue en coupe longi- tudinale et verticale d'une partie du dispositif re- présenté à la figure 10, mais à plus grande échelle, selon la ligne 11-11 de la figure 10 dans la direction des flèches ;

   - la figure 12 est une vue partielle en plan montrant le dispositif de rognage des   figures   11 et 12 avec un flan d'enveloppe sur le point   d'être   rogné; - les figures 12a et   12b   sont des coupes verticales d'un distributeur, la coupe de la figure 12a étant'faite selon la ligne   12a-12a   de la figure 12b et la coupe de la figure 12b selon la ligne   12b-   l2b de la figure 12a; - la figure 13 est une vue partielle, en coupe longitudinale et verticale, représentant une partie d'une autre variante dans laquelle le disposi- tif de coupe est placé après   @e   mécanisme d'encoche- ment; - la figure 14 est une vue en plan du méca- nisme de la figure 13. 



   La machine des figures 1-9 est dans son en- semble semblable à celle des figures 7 à 29 de la de- mande précitée du 25 mars 1953 et décrite en référen- ce à ces figures. 

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   Dans la figure 1 une bande 10a de papier débitée'par une bobine (non représentée) est montrée à l'emplacement de coupe du flan après avoir été ache- minée par un dispositif d'alimentation en continu. La bande est amenée sous une lame fixe 12, disposée obli- quement, et sur un   tambour.14,   portant une lame en saillie 16. On voit deux flans 18a, dont l'un vient juste   d'être   détaché, et dont l'autre, séparé pendant   'le   cycle précédent de fonctionnement est entraîné hors de la position de coupe. Les lames 12 et 16 sont com- binées pour former une coupeuse "volante", qui peut être réglée angulairement, dans une large mesure, par rapport à la direction d'alimentation de la bande. 



   On remarquera que le flan 18a constitue un losange pratiquement parfait, dont les côtés opposés . sont parallèles et tous les côtés égaux. En l'occuren- ce, celui représenté ici est un carré, mais, d'habitu-      de, les flans ont une forme de losange. On voit ce flan à l'instant où la coupe vient d'être achevée, une diagonale se trouvant en coïncidence avec l'axe 20 du mécanisme d'entraînement succèdant au mécanisme de cou- pe. Ces caractéristiques '(autres que la forme carrée du flan représenté), sont valables pour les flans d'en- veloppe de format et de forme quelconques, que la machi- ne est capable de produire.

   Tous les flans sont coupés en losange et tous, dans la machine représentée à titre d'exemple, ont en fin de coupe une diagonale coïncidant avec la ligne 20 (figure 1), quels que soient la forme et le format donnés aux flans d'enveloppe. 



   Chaque flan a un format et une forme détermi- nés de telle sorte que la longueur de ses côtés, la va- leur de ses angles et sa hauteur sont connues à l'avan- ce. Lorsque l'on veut Obtenir un flan donné, on choisit 

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 une bande dont la largeur est égale à la hauteur du flan. Les angles formes par les côtés du flan et la ligne 20 (axe d'entraînement) étant connus, et deux de ses côtés étant formés par les bords opposés de la bande la direction convenable à donner au ruban est connue pour un flan déterminé. La direction d'alimentation de la bande devant varier selon la forme de flan consi- dérée, les mécanismes dérouleurs et débiteurs de la ban- de sont portés par un support, non représenté, adapté pour être réglé horizontalement autour d'un axe verti- cal fixe. 



   La coupe exécutée par la lame 16 est parallè- le à l'axe 26 (figure 1) de son tambour-support 14 et,      comme les bords coupés du flan et ses bords latéraux doivent faire, avec la ligne 20, des angles égaux mais opposés,   on   a prévu un support pour les lames (non re- présenté), qui est réglable horizontalement autour d'un axe   vertical.   



   On a également prévu un réglage du mécanisme de coupe le long du bâti d'alimentation en bande conti- nue (dans la direction de cette alimentation), qui peut être exécuté après les autres réglages. 



   Lorsque   le   flan 18a a été coupé selon la for- me en losange représentée figure 1, il est encoché en 38 (figure 2), ce qui marque la séparation des rabats latéraux du rabat .de fond, et en 39, ce qui marque la séparation des rabats latéraux du rabat de fermeture, comme le montrent les figures 2 et   4.   



   En même temps, la pointe du rabat du fond est cognée en   40   (figure   2).   Le fait que le rabat du fond est rogné et le mécanisme utilisé pour effectuer cette opération, constituent des caractéristiques de la pré- sente invention. 

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   La séparation de chaque flan s'achève à un moment exactement déterminé de la rotation du tambour 16. Le flan est alors saisi par les secteurs 42 et amené sur la ligne 20 jusqu'aux galets d'entraînement 242 et 254 (figure 6). Ces galets font avancer les fla flans et les déposent sur un convoyeur, comprenant qua- tre chaînes, deux chaînes intérieures 46 et deux chai- nes extérieures 48. Les quatre chalnes sont entrat- nées simultanément à une vitesse légèrement inférieu- re à la vitesse périphérique des galets 242 et 254 et à celle des secteurs 42. Les chaînes portent des dé-      tons 50, régulièrement espacés.

   Leur ensemble consti- tue un convoyeur à tétons 264, susceptible de caler, aligner et centrer les flans et de maintenir d'une fa- çon correcte le calage, l'alignement et le centrage desdits flans, bien que ceux-ci, lorsqu'agissent les tétons, ne soient pas encochés. 



   Lorsqu'un flan est disposé sur les galets d'entraînement   242,   254, il est retardé par des doigts de retenue 52 ou sabots. Concurremment avec les doigts 52 les tétons 50 servent à caler, aligner et centrer les flans. Les   chatnes   46 et 48 peuvent être réglées indépendamment l'une de l'autre, par rapport à leur arbre commun d'entraînement de manière que les tétons se placent correctement compte tenu de la   former   particulière du flan à traiter.

   Les quatre tétons doivent être capables de recevoir et de pousser, si- multanément, un flan correctement centré ainsi qu'il est montré à la figure   1. ,   
Lorsque les flans quittent le convoyeur à tétons, ils passent dans le dispositif d'entraînement à vitesse variable   54;   comprenant les secteurs 340 et   342,   vitesse variable.

   Les secteurs 340 prennent, 

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 chaque flan du   convuyur   264, tandis que le flan se déplace à une vitesse constante normale, et le transfèrent aux secteurs   342,   qui tournent à la même vitesse que les secteurs   340,   et l'obligent à s'arrê- ter un instant pour subir l'action de quatre couteaux rotatifs 58 destinés à pratiquer les encoches, puis l'accélèrent de nouveau jusqu'à sa vitesse normale et l'amènent au contact de secteurs 56, à vitesse constan- te, qui continuent à le faire avancer à vitesse nor- male. 



   Lorsque le flan se trouve arrêté pour être encoché (figure 7), son rabat de fond est rogné selon la ligne   40   par une lame rotative 62 qui coopère avec une lame fixe   64.   Après avoir franchi les postes d'en- cochement et de rognage, les flans sont prêts à être transformés en enveloppes finies 66a, du type repré- senté à la figure 3. Ils peuvent donc être transférés, par les tambours 60, à un mécanisme qui les dispose en position de recouvrement 67 ou position décalée (figure 4),. avant de les amener dans un dispositif prévu pour le gommage du rabat de fermeture et faisant partie d'une machine rotative à utilisations multi- ples, par exemple telle que décrite dans le brevet des Etats-Unis n 2.083.352 déposé le 18 décembre 1930. 



  A partir de ce stade, les opérations de fabrication sont classiques. Les enveloppes finies se composent d'un corps 68, de rabats latéraux 70, d'un rabat de fond 72 et d'un rabat gommé de fermeture 74, indiqués sur le flan des figures 2 et 3.. 



   Etant donné que le mécanisme d'alimentation en ruban et de coupe peut être identique à celui dé- crit dans la demande de brevet précitée du 25 mars 1953 et que les perfectionnements faisant l'objet de 

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 la présente demande n'intéressent pas directement ce mécanisme, ce mécanisme ne sera pas décrit dans la sui- te. Le bâti principal et le mécanisme d'entraînement, ainsi que les principaux organes peuvent également être les mêmes. Comme la présente description a pour objet de fournir suffisamment de détails pour permettre une compréhénsion claire des présents perfectionne- ments, et de leur rapport avec les autres pièces de la machine, il y a lieu de se référer à ladite demande pour y trouver des renseignements plus complets. 



   Les secteurs 42 (figure 1) sont solidaires de l'arbre 210, disposé transversalement par rapport au bâti principal 76 de la machine,. au-dessus du tra- jet des flans. Les secteurs 42 se trouvent de part et d'autre de la ligne centrale d'alimentation 20. - Ils se correspondent l'un à l'autre, tant par leur angle d'ouverture que par leur position angulaire relative, leur angle d'ouverture dépassant de beaucoup 90  (figure 6). Les secteurs 42 se trouvent au con- tact de galets 216 pressés vers le haut par des res- sorts. 



   Les secteurs 42 tournent d'un tour chaque fois que le tambour de coupe 14 fait lui-même un tour..      



  Ils sont calés avec précision pour saisir un flan à l'instant même où s'achève la séparation de ce der- nier. Les secteurs tournent à une vitesse périphéri- que supérieure à celle des tambours d'alimentation en bande, leur vitesse relative étant telle que le flan, une fois séparé, est toujours dégàgé de la banae qui avance. Normalement, aucun nouveau réglage du cala- ge des secteurs 42 et des tambours 14 n'est nécessai- re, car il est le même pour tous les flans. 



   Les secteurs 42 amènent les flans à une pai- 

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 re do tambours d'entrainement   242,   calés sur un arbre transversal   244.   Celui-ci entraîne les tambours   242   à une vitesse de rotation différente de celle des sec- teurs 42,mais à la même vitesse périphérique. Un pi- gnon   246   (figure 6) claveté sur l'arbre 210,   entra$ne,   au moyen d'une chaîne 248, un pignon 250, solidaire de l'arbre   244,   avec une vitesse de rotation supérieu- re à la sienne, mais dans le même sens. La chaine   248   passe du c8té inférieur du pignon   246,   au   coté   supérieur du pignon 250 et de là autour d'un pignon fou 252.

   La seconde portée de la chaîne passe direc- tement du pignon fou 252 au pignon   246.   



   Les galets 254 soumis à l'action d'un res- sort agissent respectivement sur l'un et sur l'autre des tambours 242, montés de manière à porter sur les galets. Les tambours 242, 254, continuent à faire avancer le'flan à la vitesse à laquelle ils l'ont re- çu, jusqu'à ce qu'il les ait quittés. A ce moment,   est le flan/saisi par le convoyeur à tétons 264 à action   de calage, d'alignement et de centrage (figures 1 et 6) lequel comprend les chaînes   46   et 48 et les tétons 50. 



   A leur extrémité gauche, les chaînes   46   et 48 (figure 6) passent sur des pignons fous 265 montés rotatifs sur   l'arbre     244.   Les chaînes   46   et 48 passent également sur les pignons 268 fixés d'une manière quelconque sur un arbre d'entraînement 270 et réglai bles, par exemple par des vis (non représentées) vis- sées dans les moyeux correspondants. Les pignons 268 peuvent être séparément réglés, axialement ou angulai- rement, par rapport à l'arbre 270. 



   L'arbre 270 est entraîné depuis l'arbre 210. 



  Un pignon 276, sur l'arbre 210, entraîne, par une 

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 chaîne 277, un pignon de chaîne 278 solidaite d'un pignon 279, lequel entraîne par engrènement un pignon égal 280, claveté sur l'arbre 270. Ainsi qu'on le voit l'arbre 270 est entraîné à une vitesse double de l'arbre   210:   Ceci,néanmoins, a pour conséquence un mouvement d'entraînement linéaire par la chaîne nette- ment plus lent que la vitesse périphérique des secteurs 42 et des tambours 242. 



   Après avoir passé entre les tambours 242, 244, un flan est ralenti ou arrêté de manière que ses bords arrière soient mis au contact de quatre tétons 50 et entraînés par eux, un téton se trouvant sur cha- cune des deux chaînes de convoyeur 46 et sur chacune des deux chaînes 48. Les chaînes 50 entraînent vers l'avant le flan à leur propre vitesse de déplacement, tandis qu'il se trouve retardé par les doigts 52 (fi- gure 1) formant ressort. Les doigts .exercent une pres- sion élastique contre les secteurs opposés (non repré- sentés) de la table, prévus le long des chaînes 46 et 48 et entre celles-ci. Certains doigts se trouvent le long de la ligne centrale 20, tandis que d'autres sont disposés par paire et montés symétriquement par rapport à la ligne centrale 20. 



   Si les convoyeurs à chaîne ont été correc- tement réglés de telle sorte que les quatre tétons viennent simultanément au contact des bords arrière d'un flan convenablement aligné, calé et centré, l'ef- fet combiné des tétons et des doigts sera de réaliser l'alignement, le calage et le centrage corrects d'un flan non correctement aligné, calé et/ou centré, à sa sortie des tambours d'entraînement 242. Ainsi, en dépit d'imprécisions initiales, le flan est traité de manière à se présenter d'une façon parfaite au 

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 dispositif d'encochement. 



   Ai moment où un flan d'un autre format ou d'une autre forme va être traité, il est nécessaire de vérifier le réglage angulaire des pignons 268 par rapport   µl'arbre   d'entraînement 270 ou de procéder de nouveau à ce réglage. On réalisera cette opération avec le plus grand soin, d'une part pour obtenir l'ac- tion conjuguée des quatre tétons de convoyeur, d'autre part pour que le flan soit parfaitement calé par rap- port au mécanisme d'encochement et de rognage. A par- tir du convoyeur   264,   les flans sont amenés, à l'aide de supports-guides convenables (non représentés), jus- qu'à un mécanisme d'entraînement qui les faitavancer jusqu'au dispositif d'encochement 58 et au delà.

   A cette fin, plusieurs pièces sont entraînées à partir du pignon de chaîne 278 et de l'arbre 270, comme l'in- diquent bien les figures 4, 6 et 7. Le pignon de chaîne 278 et le pignon 279 sont montés de manière à tourner en bloc sur un axe à épaulement 290. Un pi- gnon, de chaîne 292 est monté rotatif sur l'axe 290 à côté de la roue dentée 278 qui   l'entraîne.   Le pi- gnon 292 entraîne, par une chaîne 296, un pignon 298 fixé sur un arbre 300. Celui-ci entraîne et porte en partie le dispositif dtentrainement des flans à vi- tesse, constante qui succède'au dispositif d'encoche- ment. 



   Sur l'arbre 270 sont clavetés deux pignons 302 et 304.   Le,pignon   302 entraîne une chaîne 306, qui s'étend vers le bas pour entraîner le mécanisme d'encochement, tandis que le pignon   304   entraîne une chaîne 308   :s'étendant   vers le bas et vers l'avant pour entraîner le mécanisme à vitesse variable servant à amener les flans dans la position d'encochement et 

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 hors de cette position, ce mécanisme provoquant   l'arrêt   momentané des flans lorsque le mécanisme d'encochement agit sur eux. 



   Comme un flan doit être pris en charge par le convoyeur à tétons, entraîné rapidement vers l'avant pour être séparé des tétons du convoyeur, ralenti en- suite pour l'encochement et enfin accéléré de nouveau jusqu'à la vitesse normale, et cela pour chaque cycle de fonctionnement de la machine, il est important de remarquer, dès à présent, que l'arbre 270 fait deux tours pour un tour de l'arbre 210, c'est-à-dire pour chaque cycle de la machine. 



   Le pignon 304 est un pignon relativement pe- tit qui entraîne un pignon 310 de grand diamètre, cla- veté sur l'arbre transversal 312. Le diamètre du pi- gnon 310 est six fois plus grand que celui du pignon 304. Pour cette raison le pignon 310 fait un tiers de tour par cycle de fonctionnement de la machine. L'ar- bre 312 porte également une roue 314 (figure 7) com- portant trois ergots 316 qui font saillie latéralement. 



  Les ergots servent à entraîner une roue en étoile 318, montée rotative sur un arbre fixe 320. La roue 318 comporte six fentes radiales 322, équidistantes et adaptées pour recevoir les ergots 316, dans le but d'entraîner la roue 318 à vitesse variable. 



   La distance entre les axes des arbres 312 et 320 est égale à deux fois le rayon r de la circonfé- rence sur laquelle les ergots 316 sont montés sur la roue 314 et le rayon de la roue 318 est égal à ce rayon multiplié par la racine carrée de trois. Il est évident que, les pièces se trouvant dans la posi- tion de la figure 7, c'est-à-dire juste au moment où un ergot pénètre dans la roue 318 et où un autre 

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   erot   quitte celle-ci,   les     lignes   reliant les centres des arbres 312 et 320 l'un à   l'autre   et au centre de l'ergot en cours d'ongagement forment un triangle rec- tangle dont l'un des angles aigus est de 30 .

   L'hy- poténuse de ce triangle est 2r, son côté le plus court r et l'autre r   #3.   De cette façon, l'ergot pénètre radialement dans loue à fentes radiales 318 et cel- le-ci s'arrête un instant. Comme 1!autre ergot quitte aussi la roue 318 radialement, il n'y a pas d'incompa- tibilité entre le mouvement des deux ergots engagés en même temps dans la roue. A mesure que l'ergot pénè- tre plus profondément dans la roue 318, celle-ci se trouve accélérée jusqu'au moment où l'ergot traversant la ligne des centres, la vitesse de rotation de la roue 318 devient égale à la vitesse de rotation con- stante de la roue 314. Lorsque l'ergot s'écarte de son point de pénétration maximum dans la fente, la roue 318 se trouve à nouveau ralentie et, lorsqu'il quitte radialement la fente, la roue   s'arrête   un instant.

   Il est évident, dans ces conditions que puisque la roue 314 tourne d'un tiers de tour par cy- cle de fonctionnement, elle communique à la roue 318, pendant le même cycle, une rotation à vitesse varia- ble d'un sixième de tour. 



   Un pignon 324, solidaire de la roue 318 en- traîne à vitesse variable un pignon 326 qui est monté rotatif sur un arbre fixe 328. Le rapport des diamè- tres des pignons 324 et 326 est de trois à un. Par conséquent, pendant chaque cycle de fonctionnement, le pignon 326 subit un entraînement d'un demi-tour. 



  Un pignon 330, solidaire du pignon 326, entraîne les pignons 332 et 334 clavetés respectivement sur les arbres transversaux 336 et 338. Le pignon , 330 a un 

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 diamètre double de celui des pignons 332 et   334.   Il s'ensuit que les arbres 336 et 338 font un tour par cy- cle de la machine. Les arbres 332 et   334   portent, fi-   xésur   eux, les secteurs d'entraînement   340   et 342, respectivement, chacun de ceux-ci faisant un tour par cycle de la machine. Chacun des secteurs   340   et   342   coopère avec un galet fou d'entraînement   344.   



   Au delà des secteurs   340   et   342   sont disposés des secteurs 56, clavetés sur l'arbre 300 et des tam- bours pleins d'entraînement 60, clavetés sur l'arbre transversal 350. Il y a lieu de rappeler ici que la chaîne 296, entraînée par le pignon 292, entraîne l'arbre   300   une vitesse de rotation constante. Cette vitesse est la même que celle de l'arbre 210,-. si bien que l'arbre 300 fait un tour par cycle. Un pignon 
352, claveté sur ltarbre 300, entraîne, par une chaîne 
354, un pignon 356, qui est claveté sur l'arbre 350. 



   Celui-ci, comme l'arbre 300, fait un tour par cycle. 



   Les secteurs 56 et les tambours 60 ont le même rayon que les secteurs   42   et ont donc une vitesse d'entraî- nement constante égale à celle des secteurs   42   et su- périeure à celle du convoyeur à tétons 264. Les se?- teurs   340   et   342   ont aussi un   rayon.égal   à celui des secteurs 56, de telle sorte qu'entraînés à-une vitesse moyenne, ils peuvent faire avancer un flan à la même vitesse quelles secteurs   42,   les secteurs 56 et les tambours 60. 



   Dans la position où se trouvent les pièces à la figure 7, un ergmt 316 s'engage dans la roue 318 et un'autre le quitte. A ce moment, les secteurs   340   et   342   restent immobiles, maintenant un flan éga-   lement   immobile, tandis que l'on fait les encoches 38. Cependant, lorsque la roue 314 recommence'à tour- 

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 ner, le flan   qui   vient   d'être   encoché est emporté plus loin et accéléré depuis un état d'immobilité jusqu'à la vitesse moyenne au moment où le secteur   342   n'est plus en contact avec le flan. A cet instant, le sec- teur 56 vient en contact du flan, en effectuant douce- ment son entraînement.

   Comme on le voit d'après la figure 7, le flan peut être déjà arrêté pour subir l'action des secteurs 56, mais ces derniers sont inac- tifs et ne saisissent pas le flan. Au moment précis où le flan atteint la vitesse moyenne, les bords d'at- taque du secteur 56 arrivent au contact des galets fous conjugués   344   et assurent l'entraînement. Les secteurs   342   libèrent alors le flan et abandonnent aux secteurs 56 le contrôle de l'entraînement. Ceux- ci continuent à acheminer le flan, vers les tambours 60, à vitesse, constante. 



   Au moment où le dispositif d'encochement était en activité, le secteur   340   n'était déjà plus au contact du flan et avait laissé aux secteurs   342   le contrôle de l'entraînement. Bien que les secteurs 340 et   342   tournent à des vitésses variables, leurs vi-      tesses sont égales entre elles et leurs effets sur un flan donné sont toujours accordés. Ce transfert ne pose aucun problème de synchronisation. 



   Avant que les bords d'attaque des secteurs   340   n'aient atteint les galets conjugués   344,   le flan suivant est amené par le convoyeur à tétons à travers les galets   344   dans une position où il peut subit l'ac- tion du secteur   340   lorsque celui-ci redevient actif. 



  Lorsque l'enveloppe encochée a été prise en charge par. le secteur 56, les bords d'attaque des secteurs   340   arrivent au contact des galets fous conjugués   344   pour saisir et acheminer le flan suivant. A ce moment, les 

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   acteurs   340 tournent à une vitesse supérieure à la vitesse moyenne, si bien que le flan est rapidement retiré des tétons 50 vers la position d'encochement. 



  Lorsque les secteurs 340 ont agi sur le flan pendant environ un quart de tour, les secteurs 342 deviennent actifs et les deux paires. de secteurs font alors avan- cer le flan pendant environ un quart de tour supplé- mentaire. Le secteur 342 agit alors lui-même pour fai- re avancer le flan pendant environ trois huitièmes de cycle avant de l'immobiliser dans la position d'enco- chement. Le flan est ensuite traité comme celui qui l'a précédé. Le calage des secteurs, décrit ci-dessus, peut être modifié considérablement, sauf én ce qui con- cerne le calage relatif des secteurs 342 et 56, qui doit être sensiblement tel que celui décrit. Cepen- dant, le mode de'construction et l'agencement décrits sont très avantageux.

   On a constaté qu'ils sont adap- tables à une grande variété de formats et de formes de flan sans exiger aucun changement du réglage ou du calage des secteurs. 



   Comme on l'a indiqué, le mécanisme   denco-   chement (figures 4, 7 et 9) est entraîné à partir de l'arbre 270 par un pignon 302 et une chaîne 306. 



   En principe, les quatre couteaux, ainsi que leur montage et leurs liaisons fonctionnelles, sont identiques, si bien qu'il est suffisant d'en décrire un seul. Le mécanisme conjugué avec l'arbre 376 sera seul décrit et les mécanismes conjugués avec mes ar- bres 374, 378 et 380 ne seront pad décrits en parti- culier mais, recevront les numéros de référence corres- pondants, avec, respectivement, les indices 2, b et c. 



   Un bloc 404 (figures 4 et 6) est fixé à une plaque coulissante 406 qui est fixée à un autre bloc 

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 408, qui peut être réglé par rapport au bloc 408, dans le sens longitudinal de la machine. La plaque   406   com- porte une nervure (figure 9) qui vient se loger dans une rainure   410,   pratiquée dans le bloc 408 et compor- tant une ouverture étranglée.

   Un boulon 412 à tête carrée, a sa tête prise dans l'étranglement de la rainure, et traverse vers le haut la plaque   406.   Un écrou 414, engagé sur l'extrémité supérieure de la ti- ge du boulon, peut être desserré par rapport au bloc 408 et serré pour fixer le bloc   406   en position de réglage, 
Le bloc   408   est réglable transversalement par rapport à la machine et, lorsqu'il est réglé de cette manière, il confère un mouvement correspondant de réglage à la plaque   406   et au bloc 404. Le bloc 408 (figure 7) comporte une nervure 'qui vient se loger dans une rainure à étranglement d'une traverse   407.   



  Un boulon à tête carrée   409   a sa tête prise dans l'étranglement de la rainure et traverse vers le haut le bloc   408.   Un écrou 411, engagé à la partie supé- rieure de la tige du boulon, peut être desserré pour permettre le réglage du bloc   408,   et serré pour fixer le bloc en position de réglage. 



   Le bloc   404   supporte un arbre longitudinal 416 (figure 9). Un pignon   424   claveté sur l'arbre 416 est entraîné par un train d'engrenage (non repré- senté) à partir de la chaîne 306. Le sens de rota- tion   de   l'arbre   416   tel qu'il est représenté à la figure 9 est contraire à celui des aiguilles d'une montre,   l'arbre     416   est de même entrainé dans le sens des aiguilles d'une montre quand les arbres   416a   et 416b sont entraînés dans le sens corresppndant. 



   Un bras   426   est fixé à   $'arbre   416 et compor- 

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 te à son extrémité extérieure, une lame 28, rotative de forme angulaire, destinée à l'encochement. La lame 428 s'étend vers l'intérieur en direction de la ligne centrale de la machine lorsqu'elle pivote vers le bas à travers le flan. Le bras 426 tourne à vitesse con- stante, accomplissant un tour par cycle de la machine. 



  La lame 428 coopère avec deux lames fixes 430 et 432, montées sur un prolongement du bloc 404 et qui sont réglables et amovibles. Les lames 430 et 432 consti- tuent deux pièces distinctes qui peuvent être aiguisées séparément. On peut donc aiguiser le tranchant de cha- que lame sans déplacer l'autre. 



   Les quatre couteaux d'encochement sont d'une   construction semblable ; sont montés et actionnés   d'une façon identique, chacun d'eux étant placé de manière à s'étendre intérieurement vers la ligne cen- trale, lorsqu'ils coupent le flan, puis à se diriger vers le bas. Les quatre couteaux fonctionnent exacte- ment au même moment, à l'instant précis où le flan est immobilisé. Chacun d'eux, ainsi qu'on l'a indi- qué, peut être réglé latéralement et/ou longitudinale- ment par rapport à la machine de manière à pouvoir traiter des flans de format et de forme différents. 



   Conformément à l'invention, il est prévu un moyen pour rogner le rabat de fond de chaque flan sui- vant la ligne 40, juste à l'instant où le flan est im- mobilisé pour subir l'encochement. L'arbre 350 à vi- tesse constante (figures4 et 7) entraîne à la même vitesse que lui un arbre de faible longueur 357 par un pignon de chaîne 351, une chaîne 353 et un pignon de chaîne 355. Un autre arbre de faible longueur 359 est ' entraîné par l'arbre 357, les deux arbres 357 et 359 étant accouplés de façon simple par l'intermédiaire 

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 d'un joint universel représenté sur la figure. L'arbre 359 est télescopique, et comprend une partie intérieure clavetée 361 et une partie extérieure rainurée 363. 



  L'arbre 359 est relié par un joint universel à un ar- bre d'extrémité 365 de faible longueur monté transver- salement par rapport à la machine dans un palier du bloc 404. Un bloc 367 (voir aussi figure 8) monté réglable sur l'arbre 363 au moyen d'uns vis 369 suppor- te une lame de coupe 62. 



   La lame 62 comporte 4 son extrémité supérieu- re un bord tranchant 371. Le corps de la lame comporte une ou plusieurs fentes longitudinales 373 à travers lesquelles passeht les vis à tête 375, la tige de cha- cune de ces vis étant vissée dans le bloc 367. Les fentes 373 sont élargies et allongées dy c8té de la surface extérieure de la lame 62 pour recevoir les têtes des vis 375. Oomme l'arbre 350 est porté par le bloc 404b, cet arbre est réglavle avec le couteau. 



  428b d'encochement. Néanmoins, il est aussi souhai- table, en raison des hauteurs variables des rabats de fond que la lame 62 soit réglable par rapport au cou- teau d'encochement 428b. Cette condition est réalisée grâce aux vis 475 et aux fentes 373., 
La lame 62 est actionnée dans le sens inver- se des aiguilles d'une montre, suivant la figure 7, de telle sorte qu'elle se déplace vers le bas, trans- versalement par rapport à la pointe du rabat de fond. 



  Comme on l'a déjà dit, la lame 62 coopère avec le bloc fixe de coupe 64. Le bloc 64 est,fixé à la partie supérieure d'un socle 377 (figures 4, 7 et 9). Le socle   377   comporte une embase 379 à travers laquelle il est fixé d'une manière réglable à la plaque 407. 



  L'embase 379 comporte une fente longitudinale 381. 

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  Les vis à tête 383 passent à travers la fente 381 et   aon   vissées dans la plaque 407. Le bloc de coupe   64   est réglable vers l'avant ou vers l'arrière, dans le sens de l'avancement des flans, par desserrage des vis 383, réglage du pied 377 et resserrage des vis. 



   Les galets 344 (figures 4, 5 et 5a) avec les- quels coopèrent les secteurs 56 sont, dans la présente machine, montés rotatifs sur le bloc 64. Ils sont donc réglables avec celui-ci par rapport aux secteurs 56. L'arbre de galet 385 est placé dans une' fente verticale 387, et un ressort 389 le sollicite vers le haut, contre les extrémités supérieures des fentes 387, par l'intermédiaire d'une pièce de pression 391. La pression exercée par le ressort repousse les galets 344 de telle sorte qu'ils s'appliquent contre la pé- riphérie des secteurs 56 dans une position quelconque de réglage du bloc 64, ce qui avance eu retarde le serrage du flan entre les secteurs 56 et les gàlets conjugués 344. Piur que cette opération ne contrarie pas le calage des secteurs, l'arbre 300, qui porte les secteurs 56, est fixé réglable à son pignon d'entraî- nement 298, par une vis 393.

   On peut, au moyen de celle-ci, régler le calage des secteurs 56. 



   Un entonnoir récepteur 395, supporté par le socle 377 est placé exactemebt au-dessous de la lame 62 et du bloc 64, afin de recevoir et d'évacuer les pointes des rabats de fond après rognage. 



   Comme on l'a déjà expliqué, les flans, après encochement et rognage., sont soumis à un avance- ment accéléré et transmis aux secteurs 56 à vitesse constante lorsqu'ils ont atteint la vitesse des sec- teurs 56 ét des galets 60. Le mécanisme de rognage de la pointe des rabats latéraux, qui existait dans 

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   ,la     machine   du type antérieur,   ;iL   supprimé. 



   Les flans sont débités par les tambours 60 et   344   en position de recouvrement, ainsi qu'on l'a ex- pliqué dans la demande précitée déposée le 25 mars 1953. 



  A partir de ce moment, les flans sont soumis à l'ac- tion d'un mécanisme rotatif dont les possibilités sont très étendues qui achève de les transformer en enve-   loppea   finies. 



   Les modes de réalisation des figures 10 à 12b comprennent la machine fondamentale de la demande précitée à peu près telle qu'elle est décrite d'après les   figurée   1 et 4 à 9, la pointe du rabat inférieur étant coupé non pas lorsque le flan est immobilisé pour   lencochement,   mais pendant qu'il est acheminé à vitesse constante par le convoyeur assurant le calage, l'alignement et le centrage. Comme la machine n'est pas essentiellement différente sa description ne sera pas reproduite mais les mêmes références ont été attri- buées aux pièces correspondantes avec l'indice "X". 



  La description sera limitée aux traits caractéristiques de la machine des figures 10 à 12b, et aux détails s'y rapportant directement. 



   La longueur du convoyeur 264 est supérieure à celle du convoyeur représenté dans les figures 1 à 9. 



   Un pignon de chaîne 502 est claveté sur l'arbre 210x de manière à entraîner, par une chaîne 
504, un pignon 506 monté sur un arbre court 508, dont est solidaire un pignon 510. Celui-ci entraine un pignon 512 claveté sur un arbre 514 sur lequel est fixé un tambour formant ventouse 516. Le tambour porte une lame de   pincoupante   518 qui fait légère- ment saillie sur la périphérie du tambour. La lame 

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 518 attaque les flans à travers une ouverture prati- quée dans l'un des secteurs de la table, non représen- tée, qui supportent les flans lorsqu'ils sont ache- minés par le convoyeur 264x. Les rapports d'entraîne- ment entre l'arbre 514 et les chaînes du convoyeur 264x sont tels que le tambour tourne d'un tour par cycle de fonctionnement de la machine.

   Le rayon de fonctionnement du bord coupant de 518   es   tel que la lame se déplace à une vitesse périphérique égale à la vitesse linéaire du convoyeur. 



   La lame 518 coopère avec un cylindre 520, monté sur l'arbre 522 au-dessus du parcours des flans. 



  Un pignon   52,le   fixé au pignon   510, entraîne   un pignon 524 olaveté sur l'arbre 522, ce qui entraîne la rota-      tion du cylindre 520 à la même vitesse périphérique que le bord coupant de la lame 518. Le cylindre 520 est séparé du tambour 516 par un jeu suffisant pour   qqe   les flans ne soient pas entraînés. 



   L'arbre 514 est monté en partie sur un bloc 526 formant palier et servant aussi de support à un entonnoir récepteur ou tuyau 528. Celui-ci est placé de manière ç recevoir la pointe des rabats de fond lorsqu'elle est rognée par la lame 518. Pour que la pointe des.rabats de fond puisse être placée d'une manière convenable, le tambour 516 est pourvu d'un ou plusieurs canaux radiaux d'aspiration 530, communi- quant avec un alésage axial 531. L'arbre est mis alternativement en communication avec une source d'as- piration (non représentée) et avec l'atmosphère, par un distributeur fixe 533, monté sur le bloc 526.

   Lias- piration agit au moment précis où la lame 518 atteint la position de rognage et elle est remplacée par l'air atmosphérique lorsque l'extrémité sectionnée a été 

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 amenée à proximité et au-dessus de l'entonnoir récep- teur du tuyau 528. A cette fin, le corps fixe de distributeur comporte un canal recourbé 535 qài commu- nique en permanence avec la source d'aspiration par une conduite 537 et avec un orifice d'admission d'air 539 lequel communique constamment avec l'atmosphère par un canal latéral   541.   Le tambour 516 tpurne au contact du corps de distributeur   533,   l'orifice du canal 531 devant ainsi traverser le canal 535 et en- suite l'orifice 539. 



   Le tambour 516 peut être synchronisé par rap- port à l'arbre   514,   étant fixé à celui-ci par une vis 532. Un tel réglage n'affecte pas l'action du calage du canal d'aspiration 530. 



   Du convoyeur 264x (figure 10) chaque flan passe à travers   e   dispositif d'encochement 58, puis est soumis au mécanisme qui dispose les flans en po- sition de recouvrement (figure 4) en vue de leur transformation en enveloppes finies. 



   Dans le mode de réalisation des figures 13 et 14, la machine de base est la même, mais le dispo- sitif de rognage de la'pointe de rabat de fond est prévu au delà du mécanisme d'encochement. La machine de base restant la   même,   la description détaillée n'en sera pas reproduite, les mêmes numéros de référence seront donnés aux pièces correspondantes avec l'indice   "y".   La description sera limitée aux caractéristiques nouvelles du mécanisme des figures 13 et 14, ainsi qu'aux détails s'y rapportant directement. 



   La pointe des rabats de fond est rognée après que lesdits rabats ont franchi les galets 60Y, et le mécanisme de rognage est actionné à partir de l'arbre 350y portant les galets 60y. Cette disposi- 

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 tion entraine une légère translation du mécanisme vers la droite pour permettre le regroupement des flans en position de recouvrement, ainsi que l'adjonction d'autres galets 602, conjugués avec des galets opposés   344y   qui tournent à la même vitesse périphérique que les galets 60y. Les flans 18y sont débités par les galets 602 et 344y à travers une table 604 et dans l'intervalle entre une paire de galets conjugués 606, 608 à rotation lente, qui les disposent en position de recouvrement.

   Des galets 606, 608, les flans en posi- tion de recouvrement passent entre deux convoyeurs, supérieur et inférieur, 610 et 612, qui passent res- pectivement sur les galets supérieurs   614   (un seul est représenté)et sur les galets d'extrémité inférieure et intermédiaire 616 et 618. A partir de ce point, les flans sont traités par un mécanisme rotatif dont les possibilités sont multiples, que les transforme en envelopper finies. 



   Un pignon 620, claveté sur l'arbre 350y, entraîne, par une chaîne 622, un pignon   624   solidaire d'un arbre 626. Les galets 602 sont fixés sur l'arbre 626. 



   Un autre pignon 628, claveté sur l'arbre 350y,   entraîne,   :par une chaîne 630, un pignon 506y      qui actionne tout le mécanisme de rognage des rabats de fond. Le mécanisme est le même que celui représen- té aux figures 10 et 12b et décrit   en,référence   à ces figures. On leur a donc appliqué les mêmes numéros de référence avec   l'indice     "y."   et ,il n'en sera pas fait de.description détaillée. 



   Bien entendu, l'invention n'est nullement limitée aux modes d'exécution représentés ou décrits, qui   ntont   été donnés qu'à titre d'exemple.

Claims (1)

  1. R E S U M E L'invention a pour objet une machine pour la fabrication d'enveloppes à partir d'une bande mobi- le de pépier dans laquelle sont coupés des flans en forme de losange qui sont acheminés vers un mécanisme de gommage et de pliage, les flans étant encochés pendant leur passage à travers la machine en vue de la formation des rabats de l'enveloppe, ladite machine étant remarquable notamment par les caractéristiques suivantes considérées séparément ou en combinaisons : a) il comporte un dispositif de coupe synchroni- sé avec le mécanisme d'alimentation, qui rogne la pointe des rabats de fond, suivant le coin disposé à l'avant de chaque flan d'enveloppe, ce coin étant rogné soit avant, soit après l'encochement du flan;
    b) il est prévu un dispositif d'entraînement' à vitesse variable qui immobilise séparément chaque flan pendant l'encochement au cours de son passage à travers la machine; c) le dispositif prévu pour le rognage du coin avant d'un flan est mis en action pendant l'immobili- sation du flan; d) le coin avant de' chaque flan est rogné par une lame agissant comme une pince coupante tandis que le flan passant à travers la machine est en mouve- ment ; e) il est prévu un diépositif d'aspiration agissant par intermittence pour recueillir les déchets de papier provenant du rognage du coin avant des flans;
    f) après avoir été encochés et avoir subi le rognage du coin avant, les flans sont disposés en position de recouvrement en vue d'un traitement ulté- <Desc/Clms Page number 30> rieur; g) le mécanisme d'entraînement des flans est adapté de manière à centrer et à aligner chaque flan en forme de losange avant l'encochement et le rognage du coin avant.
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* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US5019030A (en) * 1990-04-26 1991-05-28 F. L. Smithe Machine Company, Inc. Envelope blank forming machine
US5100371A (en) * 1990-04-26 1992-03-31 F.L. Smithe Machine Company, Inc. Envelope blank forming machine

Cited By (2)

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