BE538277A - - Google Patents

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BE538277A
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B41PRINTING; LINING MACHINES; TYPEWRITERS; STAMPS
    • B41JTYPEWRITERS; SELECTIVE PRINTING MECHANISMS, i.e. MECHANISMS PRINTING OTHERWISE THAN FROM A FORME; CORRECTION OF TYPOGRAPHICAL ERRORS
    • B41J23/00Power drives for actions or mechanisms
    • B41J23/32Electromagnetic power drives, e.g. applied to key levers
    • B41J23/34Electromagnetic power drives, e.g. applied to key levers applied to elements other than key levers
    • B41J23/36Electromagnetic power drives, e.g. applied to key levers applied to elements other than key levers and acting on type members

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  • Physics & Mathematics (AREA)
  • Electromagnetism (AREA)
  • Electromagnets (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  Machine à écrire électrique 
La présente invention se rapporte aux machines à écrire commandées par moteur du type dans lequel chaque mécanisme de frappe ou de caractère ou autre mécanisme qui doit être actionné à chaque manipulation d'une touche ou d'une pièce équivalente manoeuvrable à la main est actionné par un bras moteur qui est mu de manière appropriée par un cylindre moteur qui, lorsque la machine à écrire est en cours d'emploi, est entraîné continuellement par un moteur électrique ou un autre moteur. Dans ces machines, un bras moteur est associé à chaque mécanisme de frappe ou mécanisme équivalent à actionner. 



   Dans les machines à écrire connues de ce type, chaque bras moteur est associé à un dispositif d'actionnement constitué par une came, un excentrique ou une pièce d'actionnement équivalente qui a une   position   de repos dahs laquelle elle 

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 est normalement empêchée de tourner et maintenue hors de contact du cylindre moteur par un mécanisme à déclic. A chaque manipulation d'une touche ou d'une pièce équivalente manoeuvrée à la main, le mécanisme à déclic approprié est actionné en sorte de libérer la came ou excentrique d'actionnement du bras moteur associé pour assurer sa coopération avec le cylindre moteur, après quoi le mécanisme de frappe ou autre mécanisme associé est actionné par le cylindre moteur. 



   Les machines à écrire connues de ce type présentent différents inconvénients. En effet, la pièce d'actionnement du bras moteur est mise en contact avec le cylindre moteur par voie mécanique, et le mécanisme à déclic qui sert à établir cette mise en contact est sujet à usure. D'autre part, la com- mande, par le fait qu'elle est mécanique, n'est pas nécessaire- ment très rapide, et les différentes liaisons mécaniques sont assez compliquées et difficiles à ajuster. 



   La présente invention élimine les inconvénients précités grâce à la création d'une machine à écrire du type ci-dessus indiqué dans laquelle le hras moteur est mis en   communication   avec le cylindre moteur par voie électrique, lorsque la touche correspondant au bras moteur est manoeuvrée. A cet effet, la machine à écrire suivant l'invention est équipée d'électro-   aimants à noyaux mobiles ; chaque barre à caractères corres-   pond un électro-aimant. La manipulation d'une touche provoque la fermeture d'un circuit électrique dans lequel se trouve l'électro-aimant. Celui-ci provoque le déplacement d'un noyau mobile qui par l'intermédiaire d'un dispositif approprié met le bras moteur en contact avec le cylindre en rotation permanente de sorte que la barre à caractère est actionnée. 



   L'invention sera décrite à présent avec référence à une forme de réalisation indiquée à titre d'exemple. 



   La Fig. 1 représente, en élévation latérale, une touche de la machine à écrire électrique suivant l'invention, tandis que la Fig. 2 représente cette touche en profil. 

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   La Fig. 3 représente en élévation une forme de réalisation préférée de touche avec son mécanisme de contact. 



   La Fig. 4 représente schématiquement le mécanisme de commande d'une barre à caractère. 



   La Fig. 5 représente schématiquement le circuit électrique et le mécanisme pour la répétition de frappes. 



   La Fig. 6 représente schématiquement le couplage des circuits électriques de la machine. 



   La machine à écrire électrique suivant l'invention comprend : 
Un moteur, un transformateur, un redresseur, ces deux derniers éléments produisant un courant continu de 48 V un arbre de transmission denté sur roulement à billes, quatre poulies, à savoir : une poulie sur moteur commandant le retour   du chariot ; poulie sur moteur commandant l'arbre de   transmission ; une poulie sur arbre de transmission; une poulie sur axe de retour du chariot. 



   44, 46 ou plus de pièces se trouvant au-dessus de l'arbre de transmission, entraînées par celui-ci et commandant les secteur barres. 



   44, 46 ou plus de bobines électro-magnétiques (électro- aimants avec noyaux mobiles ) montées sur une boîte en matière dite "plexiglass". 



   Un clavier indépendant des secteurs barres se composant de 44,46 ou plus de lettres et signes, majuscules, fixé- majuscules, retour du chariot, marche arrière et autres touches de commande de la machine. 



   Un dispositif à contacts réglables monté sur une plaque en "plexiglass" s'ajustant au-dessous du clavier des touches. 



   Des fils conducteurs électriques et divers contacts pour les frappes à répétition. 



   On décrit à présent, avec référence aux figures, le fonctionnement de la machine, pour la réalisation d'une frappe. 



   Comme on l'a indiqué plus haut, la manoeuvre des barres 

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 à caractères est obtenue grâce à la fermeture d'un circuit électrique, à la suite de laquelle un électro-aimant met le mécanisme de commande de la frappe en communication avec un cylindre en rotation permanente qui entraîne ce mécanisme de commande et produit la frappe. 



   Les Figs. 1 et 2 représentent, en élévation et en profil, une touche permettant une fermeture et une réouverture rapides d'un circuit électrique. La tête 1 de la touche se prolonge par un corps 2 qui porte un axe 3 . Lorsque la touche 1 est abaissée légèrement, l'axe 3 entraîne un oscillateur 4 monté par rotation en 5 et sous l'action d'un ressort de rappel 6. 



  Le bec de l'oscillateur'4 est abaissé , ce qui met le contact 7 de l'oscillateur en communication avec le contact fixe 8, et provoque la fermeture du circuit de l'électro-aimant correspondant à la touche. Dès que le contact est établi, le bec de l'oscillateur 4 est mis hors engagement de l'axe 3, et l'oscillateur retourne dans sa position de repos sous l'action d'un ressort de rappel 6. Un ressort de rappel 9 ramène également la touche dans sa position de repos. 



   La Fig. 3 représente une forme de réalisation préférée de touche avec mécanisme de contact, avec laquelle les contacts fixes peuvent être disposés dans un plan sensiblement horizon- tal, sur une plaque en matière synthétique isolante par exemple. L'oscillateur est ici composé de deux éléments, à savoir l'oscillateur proprement dit 10 monté par rotation en 11, sur lequel est monté par pivotement en 13 une pièce coudée 12 qui établit la communication avec le contact fixe 17. Lorsque la touche 1 et par suite l'axe 3 sont abaissés, cet axe entraî- ne le bec de l'oscillateur qui pivote de sorte que la pièce coudée 12 vient toucher le contact fixe 17 et ferme le circuit.

   La pièce 12 est sous l'action d'un ressort de rappel 
14 attaché à la pièce 10 et qui ramène la pièce 12 dans sa position primitive après que le contact ait été établi ;   pivotement trop grand de la pièce 12 sur la pièce 10 est   

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 empêché par la butée 15 fixée sur cette pièce 10. Un ressort de rappel 16 ramène l'oscillateur 10 dans sa position de repos après la manoeuvre de la touche 1. 



   Lorsque le circuit auquel correspond la touche est fermé, l'électro-aimant 18 de la Fig. 3 , se trouvant dans le circuit en question, est excité et le noyau 19 en fer doux, avec une tête en laiton, est attiré vers le centre de l'électro-aimant et est par conséquent projeté vers le haut. Ce noyau soulève le bras 20 du levier à deux bras 20,21 monté par pivotement en 22 sur la pièce 23. Cette pièce 23 commande la barre de frappe et peut coulisser horizontalement sur des guides 24,25. 



  Comme le bras 20 du levier est soulevé, le bras 21 est abaissé et fait descendre un bec 26 pouvant glisser verticalement dans un pont 27 solidaire de la pièce 23, ce bec étant sollicité vers le haut sous l'action d'un ressort 28. Lorsque le bec 26 est dans sa position inférieure, il y est maintenu à l'encontre de son ressort de rappel 28 par l'encoche d'une glissière 29 montée par glissement horizontal sur la pièce 23, et soumise à l'action d'un ressort de rappel 30 qui tend à entraîner la glissière 29 vers la gauche, sur la figure. 



   Or, lorsque le bec 26 est abaissé, il vient en engagement avec un cylindre de   commande   denté 35, entraîné par un moteur électrique et en rotation permanente. Le cylindre 35 tourne dans le sens de la flèche et entraîne par conséquent le bec 26 vers la gauche, sur la figure. Comme le bec 26 est monté sur la pièce 23, toute cette pièce est également entraînée vers la gauche. Aux trois quarts de la course de la pièce 23, la glissière 29 vient buter contre une barre transversale 36 sur laquelle se trouvent, des vis et des contre-vis réglables, et libère le bec 26 qui, sollicité par son ressort de rappel 28, remonte dans sa position de repos. 



   Lors du déplacement vers la gauche de la pièce 23, la tige 32 qui fait partie de cette pièce se déplace également vers la gauche et fait descendre le galet ou goujon 33 

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 du bras moteur 34 qui fait partie du mécanisme de frappe. La frappe est produite comme l'indiquent les flèches. Après la frappe, un ressort de rappel 31 ramène la pièce 23 dans sa position de repos. 



   La Fig. 5 sert à illustrer schématiquement le mécanisme de répétition, lorsqu'on désire par exemple provoquer la répétition de la frappe d'un signe, tiret, point, etc., simplement en maintenant abaissée la touche correspondante. 



   Aussi longtemps que la touche 37 est abaissée, le contact 38, 40 est fermé, et le circuit provenant de la source de courant continu 39 et passant par l'électro-aimant 18 est également fermé. Ce circuit passe aussi par les contacts 41,42 à l'extrémité de droite de la pièce 23. Ce contact 41,42 est fermé dans la position de repos de la pièce 23, et est ouvert à l'instant de la frappe, lorsque la pièce 23 est déplacée vers la gauche sur la figure. Ainsi, lorsque la touche 37 est abaissé: et que le circuit électrique est par conséquent fermé, le noyau 19 de l'électro-aimant 18 est lancé vers le haut et provoque la frappe, comme on l'a indiqué avec référence à la Fig. 4 . La pièce 23 se déplace vers la gauche. A cet instant, le contact 41,42 s'ouvre et la pièce 23 est rappelée vers la droite par son ressort 31.

   Si à ce moment la touche 37 est toujours enfoncée, l'opération recommence et une nouvelle frappe est produite. Les frappes sont répétées aussi longtemps que la touche 37 reste abaissée par le doigt. 



   La Fig. 6 représente schématiquement le couplage électrique de la machine. Toutes les touches 1, 1', 1", etc. sont reliées au conducteur courant continu 43 d'une polarité, tandis que les extrémités de toutes les bobines d'électro-aimants 18, 18', 18" etc. sont reliées au conducteur 44 de polarité inverse. 



  Lorsqu'une touche 1 est abaissée, le circuit de l'électro-aimant correspondant 18 est fermé par l'intermédiaire de l'oscillateur 10, et le bras moteur correspondant à cette touche est actionné. 



  Les électro-aimants sont disposés en quinconce, afin de gagner 

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 de la place. On constate que pour changer de clavier, et pour passer d'un clavier azerty par exemple à un autre clavier, il suffit de procéder aux changements nécessaires des raccordements électriques, sans changer les caractères sur les barres. 



   Il est bien entendu que d'autres formes de réalisation de l'invention sont également possibles, dans le cadre des revendications ci-dessous. C'est ainsi par exemple que le noyau de l'électro-aimant, au lieu d'être lancé vers le haut, peut être lancé vers le bas ou vers l'avant, le restant du mécanisme étant alors construit en conséquence. La barre de frappe d'écriture peutégalement être relevée au lieu d'être abaissée. 



   D'autre part, la commande des majuscules, du fixe-majuscules et de la tabulation peut également être effectuée par électro- aimants. A cet effet, on emploie de préférence des électro- aimants plus puissants à noyau fixe.

Claims (1)

  1. R e v e n d i c a t i o n s 1. Machine à écrire commandée par moteur, du type dans lequel chaque mécanisme de frappe ou de caractère ou autre mécanisme qui doit être actionné à chaque manipulation d'une touche ou d'une pièce équivalente manoeuvrable à la main est actionné par un bras moteur qui est mu de manière appropriée par un cylindre moteur qui, lorsque la machine à écrire est en cours d'emploi, est entraîné continuellement par un moteur électrique ou autre, caractérisée en ce que le bras moteur est mis en engagement avec le cylindre moteur par l'intermédiaire d'une disposition à électro-aimant et noyau mobile.
    2. Machine à écrire suivant la revendication 1, caractérisée en ce que l'électro-aimant associé au bras moteur est excité par la fermeture d'un circuit électrique provoquée par la manipulation de la touche correspondante.
    3. Machine à écrire suivant les revendications précédentes, caractérisée en ce que les électro-aimants associés aux <Desc/Clms Page number 8> mécanismes de frappe sont alimentés en courant continu, de préférence de 8 volts.
    4. Machine à écrire suivant les revendications précédentes, caractérisée en ce que les touches, par l'intermédiaire d'un axe ou pivot monté sur le corps de la touche, actionnent un dispositif oscillant monté par pivotement, qui produit la fermeture du circuit électrique de l'électro-aimant , et qui sous l'action d'un ressort de rappel reprend sa position d'ouverture de circuit immédiatement après la manoeuvre de la touche, ceci pour assurer une fermeture instantanée et rapide du circuit.
    5. Machine à écrire suivant la revendication 4, caractérisée en ce que le dispositif oscillant produisant la fermeture du circuit lorsque la touche est manipulée, comprend un bec ou une pièce analogue, actionné par le pivot de la touche lorsque celle-ci est enfoncée, et qui, après avoir provoqué la fermeture du circuit, reprend sa position normale de repos sous l'action d'un ressort, sans être en engagement avec le pivot de la touche.
    6. Machine à écrire suivant les revendications précédentes, caractérisée en ce que les contacts servant à la fermeture des circuits des différents électro-aimants sont montés sur une plaque isolante, en la matière dite "plexiglass" par exemple, qui est sensiblement parallèle au plan formé par les touches.
    7. Machine à écrire suivant les revendications précédentes, caractérisée en ce que le mouvement du noyau de l'électro-aimant fait basculer un levier à deux bras monté par pivotement sur une pièce maîtresse qui peut se déplacer sensiblement horizon- talement ; en ce que le levier à deux bras actionne une pièce montée par glissement vertical sur la pièce maîtresse; en ce que cette pièce à glissement vertical vient en engagement avec le cylindre moteur par lequel elle est entraînée, ce qui produit aussi l'entraînement de la pièce maîtresse sur laquelle elle est montée ; en ce que l'entraînement de la pièce <Desc/Clms Page number 9> maîtresse provoque la manoeuvre du mécanisme de frappe ;
    ce que la pièce à glissement vertical est maintenus en engagement avec le cylindre moteur par une pièce à glissement horizontal montée sur la pièce maîtresse jusqu'à ce que, par suite du déplacement de la pièce maîtresse, la pièce à glissement . horizontal vient buter contre la barre transversale fixe servant d'arrêt et libère ainsi la pièce à glissement vertical qui sous l'action d'un ressort de rappel vient reprendre sa position de repos ; en ce que la pièce maîtresse vient ensuite reprendre sa position de repos sous l'action de son ressort de rappel.
    8. Machine à écrire suivant les revendications précédentes, caractérisée en ce que le cylindre moteur est denté.
    9. Machine à écrire suivant les revendications précédentes, caractérisée en ce que les électro-aimants commandant les mécanismes de frappe sont disposés en quinconce.
    10. Machine à écrire suivant les revendications précédentes, caractérisée en ce que pour les caractères (OU signes qui doivent être répétés continuellement lorsque la touche correspondante est enfoncée, on a prévu un circuit électrique passant par la pièce maîtresse qui commande le mécanisme de frappe, ce circuit étant fermé lorsque la touche est enfoncée et lorsque la pièce maîtresse occupe sa position de repos, et étant ouvert lorsque la pièce maîtresse est actionnée par l'électro-aimant pour entraîner le mécanisme de frappe, tandis qu'il se ferme immédiatement après la manoeuvre de ce mécanisme, par suite du rappel, par un ressort, de la pièce maîtresse vers sa position de repos, de sorte que l'on obtient une succession de frappes aussi longtemps que la touche correspon- dante est enfoncée.
    11. Machine à écrire suivant la revendication 10, caractérisée en ce que la touche pour les caractères ou signes à répétition établit un contact permanent lorsqu'elle est enfoncée.
    12. Machine à écrire suivant les revendications précédentes, <Desc/Clms Page number 10> caractérisée en ce que l'échappement est commandé par un électro-aimant dont le circuit est fermé lorsque la barre d'espacement est enfoncée.
    13. Machine à écrire suivant les revendications précédentes, caractérisée en ce que le déplacement de la corbeille ou du chariot, en vue de la frappe des majuscules, est commandé par un électro-aimant à noyau fixe.
    14. Machine à écrire suivant les revendications précédentes, caractérisée en ce que le dispositif de fixe-majuscules est commandé par un électro-aimant à noyau fixe.
    15. Machine à écrire suivant les revendications précédentes, caractérisée en ce que la tabulation est commandée par un électro-aimant à noyau fixe.
    16. Machine à écrire , en substance comme décrite c'i-dessus, avec référence au dessin annexé.
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